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Ziro (Nando) : Lancement du projet « Cultivons un avenir meilleur » au profit de 48 800 personnes vulnérables.

Ziro (Nando) : Lancement du projet « Cultivons un avenir meilleur » au profit de 48 800 personnes vulnérables.

Sapouy, 30 juillet 2025 (AIB) – Le Haut-Commissaire de la province du Ziro, Saïba Zoromé, a procédé ce mercredi, à Sapouy, au lancement officiel du projet « Cultivons un avenir meilleur ». Mis en œuvre dans 40 villages des six communes de la province, ce projet vise à améliorer durablement la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience des ménages vulnérables, à travers une approche inclusive et communautaire.

S’exprimant à l’ouverture de l’atelier de lancement, le Haut-Commissaire Saïba Zoromé a salué un projet d’envergure, qui, selon lui, « doit contribuer significativement à la lutte contre la pauvreté et la malnutrition dans notre province ». Il a précisé que le projet interviendra dans toutes les six communes du Ziro et a réaffirmé l’engagement de l’administration locale à accompagner les acteurs de la mise en œuvre dans les différentes localités.

Le projet est une initiative portée par Helen Keller International, en partenariat avec l’Association Promo Monde Rural (APMR), et financée par une fondation privée européenne.

Le projet, qui s’inscrit dans la continuité du programme RESIFA déployé précédemment dans la Sissili, entend aller plus loin. Selon Georges Dimithe, directeur pays de Helen Keller International, « ce projet se distingue par son ciblage prioritaire des ménages les plus vulnérables, identifiés sur la base de données officielles de l’État. Ce projet bénéficiera à environ 48 800 personnes, dont 6 000 bénéficiaires directs, parmi lesquels près de 4 200 femmes », a-t-il précisé, en réponse à une exigence spécifique du bailleur.

« Nous voulons nous appuyer sur la connaissance locale. C’est pourquoi l’APMR, une organisation dynamique et expérimentée basée à Sapouy, a été retenue comme partenaire de mise en œuvre », a-t-il ajouté. Helen Keller International assurera un appui technique permanent, tandis qu’une équipe sera déployée localement pour garantir la qualité de l’exécution.

Le projet repose sur trois axes principaux : la promotion de pratiques agricoles intelligentes face au climat, la valorisation des produits locaux et des aliments indigènes, et l’autonomisation économique et sociale des femmes, notamment à travers des groupements AVEC et des activités génératrices de revenus.
Les autorités régionales, locales et les partenaires techniques présents à l’atelier ont salué la pertinence du projet et appelé à une synergie d’actions entre tous les acteurs pour assurer une mise en œuvre efficace.

Pour M. Zoromé, « la clé du succès réside dans la communication, le partage d’expériences et la complémentarité entre les partenaires ». Il s’est dit confiant : « Les autorités locales se sont approprié le projet, et nous pouvons vous rassurer qu’il atteindra ses objectifs », a-t-il conclu.
En rappel, le projet « Cultivons un avenir meilleur » s’étendra sur une durée de trois ans et demi.

Agence d’Information du Burkina (AIB)
AK/ata

Faso Mébô : Des enfants se privent de leur goûter pour soutenir l’initiative

Faso Mébô : Des enfants se privent de leur goûter pour soutenir l’initiative

Kaya, 30 juillet 2025 (AIB) – Une délégation d’enfants de 7 à 15 ans en colonie de vacances à Kaya a remis, le 30 juillet 2025, sur la place de la mairie de Kaya, cinq sacs de ciment au profit de l’initiative présidentielle Faso Mébô. Un geste symbolique en faveur de la construction du pays, salué par la présidente de la délégation spéciale communale de Kaya.

Réunis à Kaya à l’occasion de la 28ᵉ édition de la colonie de vacances islamique de l’Association des Élèves et Étudiants Musulmans du Burkina Faso (AEEMB) et du Centre de Réflexion et de Formation Islamique (CERFI) Sanmatenga, 118 enfants âgés de 7 à 15 ans ont décidé de marquer leur soutien à l’initiative Faso Mébô, en sacrifiant une partie de leur argent de goûter pour acheter cinq sacs de ciment. Une délégation est allée remettre ces sacs, le mercredi 30 juillet 2025, à Mme Solange Kima/Minoungou, présidente de la délégation spéciale communale de Kaya.

Sawadogo Zalihata, porte-parole des colons, a décliné la motivation de ses camarades dans son discours :
« Nos encadreurs nous ont invités à œuvrer pour le développement de notre pays car, comme le dit l’islam, l’amour de la patrie fait partie de la foi », a précisé la jeune fille de 14 ans.

Zalihata et ses camarades ont également lancé un appel à tous les enfants pour qu’ils s’impliquent activement dans cette dynamique de patriotisme et de contribution à la construction nationale.

En recevant le don, Mme Solange Kima/Minoungou a chaleureusement remercié ces jeunes donateurs pour leur geste de solidarité et leur engagement envers le Burkina Faso. Elle a souligné l’importance de cet acte, preuve de l’amour que ces enfants portent à leur pays :
« Votre geste est une expression forte de patriotisme et de responsabilité envers la nation », a apprécié l’autorité communale. Faisant observer que le Burkina Faso de demain leur appartient, la PDS les a invités à persévérer dans cet élan.

Pour Moussa Zoundi, secrétaire permanent des colonies de vacances islamiques de l’AEEMB et du CERFI au Sanmatenga, cet événement n’est pas qu’une simple occasion de vacances, mais une opportunité pour sensibiliser les jeunes à leur rôle dans l’édification du Burkina Faso de demain.

Le don des colons s’inscrit dans la dynamique de mobilisation citoyenne en faveur du développement du Burkina Faso, et témoigne de l’implication active de la jeunesse dans la construction d’un avenir commun.

Agence d’Information du Burkina (AIB)

Tuy : Les coiffeuses de Houndé reçoivent du matériel de coiffure

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Tuy : Les coiffeuses de Houndé reçoivent du matériel de coiffure

Houndé, 1er août 2025- L’association des coiffeuses de Houndé dénommée Élégance Coiffure a bénéficié, ce jeudi 31 juillet 2025, d’un don de matériel de coiffure. Ce don, d’une valeur estimée à plus d’un million de FCFA, a été offert par la société ATS-Burkina, sous-traitant de la mine de Houndé.

Le don est composé d’un important lot de matériels de coiffure comprenant des chaises, des lave-têtes, des têtes maniables, des lisseurs et des séchoirs. La présidente de l’association, Ouédraogo Victoria/Somé, a exprimé sa reconnaissance à l’endroit du donateur.

«Ces équipements viennent à point nommé, car ils vont non seulement renforcer les capacités de nos membres, mais aussi améliorer la qualité de nos prestations, promouvoir notre autonomie et valoriser notre métier », a-t-elle déclaré avec enthousiasme.

Pour la secrétaire générale de l’association, Safoura Sinna, ce don est un symbole fort de confiance, d’encouragement et de reconnaissance pour le métier qu’elles exercent.

Le représentant de la société ATS-Burkina, Abdoulaye Compaoré, a indiqué qu’à travers ce don, l’entreprise souhaite lancer un message de solidarité et de paix, car de nombreuses associations dans la ville manquent d’aide et ont besoin d’accompagnement.

«Tout ce qui concerne la communauté nous concerne également », a-t-il affirmé, tout en souhaitant que ce matériel permette aux bénéficiaires d’atteindre leurs objectifs.

La cérémonie de remise a été présidée par le haut-commissaire de la province du Tuy, représenté par Ousséni Démé, qui a salué l’initiative et encouragé les bénéficiaires à faire bon usage du matériel reçu.

Pour rappel, l’association Élégance Coiffure de Houndé a été créée en 2022 dans le but de regrouper les femmes coiffeuses, de leur permettre de mieux se connaître, de travailler en synergie pour relever ensemble les défis du métier dans la ville, et de former les jeunes filles désireuses d’embrasser la profession de coiffeuse.

Agence d’Information du Burkina 

BEB/OO

Ganzourgou : production agricole, environnement, santé et mine au cœur de la première session du Cadre de concertation provincial 2025

Burkina-Ganzourgou-Concertation-Provinciale-1ère-Session

Ganzourgou : production agricole, environnement, santé et mine au cœur de la première session du Cadre de concertation provincial 2025

Avec plus de 931 hectares déjà labourés et 400 tonnes d’intrants agricoles distribués, la campagne agricole 2025-2026 s’annonce sous de bons auspices dans la province du Ganzourgou. C’est ce qu’a révélé le directeur provincial de l’Agriculture, Sey Omar Ouédraogo, lors de la première session ordinaire du Cadre de concertation provincial (CCP), tenue le 29 juillet 2025 à Zorgho. Cette rencontre présidée par le haut-commissaire Aminata Sorgho/Gouba a permis aux acteurs de faire le point sur les secteurs clés du développement local.

« Le niveau d’exécution des opérations est assez satisfaisant », a affirmé M. Ouédraogo. Selon lui, dans le cadre de l’offensive agricole, le ministère de l’agriculture, des ressources a animales et halieutiques a déployé dans la province 9 tracteurs et 5 motoculteurs, des semences et de l’engrais déjà distribués. À l’en croire, à l’issue de cette campagne, il est attendu plus de 152 000 tonnes de céréales dans la province, soit plus de 50 % de la production régionale. En plus, 23 849 tonnes de cultures de rente (arachide, sésame, soja) et 11 435 tonnes de niébé et de voandzou sont espérées. Le mécanisme des labours subventionnés, les modalités d’octroi de bons, ainsi que le coût des opérations ont été détaillés aux participants.

Dans son allocution d’ouverture, Mme le haut-commissaire a salué les réformes engagées dans le domaine agricole pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. Elle a exprimé sa reconnaissance envers les services techniques, les agriculteurs et les partenaires, tout en rendant un hommage appuyé aux producteurs en pleine saison des travaux champêtres.

La session a aussi été l’occasion de présenter les résultats de l’initiative nationale « L’heure patriotique pour reverdir le Faso ». Le directeur provincial des eaux et forêts, Sayouba Sigué, a indiqué que plus d’un million de plants ont été mis en terre dans le Ganzourgou, le 21 juin dernier, grâce à une forte mobilisation, hissant la province au premier rang national. Il a salué l’engagement de tous les acteurs et invité à poursuivre les initiatives de reboisement et surtout à prendre soin des plants.

Sur le plan sanitaire, le médecin-chef du district, Dr Delphin Kaboré, a évoqué le déroulement de la campagne de distribution des Moustiquaires imprégnées à longue durée d’action (MILDA). Selon lui, le district sanitaire a enregistré un déficit initial de plus de 71 000 moustiquaires. L’approvisionnement complémentaires intervenu hors délai a entraîné la prolongation de la distribution au-delà du 17 juillet. Il s’est dit confiant quant à l’atteinte des objectifs.

Le projet minier Toèga SA, situé à Mankarga V8 dans la commune de Boudry, a été aussi présenté par M. Jacques Guitanga. Filiale de la société West African Resources, le projet Toèga vient porté à 3 le nombre de mines en exploitation dans la province. Il prévoit la réinstallation de 58 ménages, s’investi dans le dialogue avec les communautés et se distingue par plusieurs réalisations sociales dans les villages impactés.

A la clôture de la session, le haut-commissaire a lancé un appel à toutes les parties prenantes à s’investir pour la tenue régulière de ce cadre, qui constitue un espace privilégié d’échange autour des questions de développement de la province.

Agence d’Information du Burkina 

MS/OO 

Cadre régional de Dialogue des Kuilsé : Les performance de développement à mi-parcours examinées à Kaya

Cadre régional de Dialogue des Kuilsé : Les performance de développement à mi-parcours examinées à Kaya

Cadre régional de Dialogue des Kuilsé : Les performance de développement à mi-parcours examinées à Kaya
Kaya, le 30 juillet 2025, (AIB) – Le 30 juillet 2025, le Cadre Régional de Dialogue des Kuilsé s’est réuni à Kaya sous la présidence du Colonel-Major Z. Blaise Ouédraogo, gouverneur de la région. Une rencontre qui a permis de faire un point à mi-parcours des performances de la région en 2025 et d’adopter le Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement Régional actualisé pour la période 2025-2026.

C’est un bilan à mi-parcours des performances 2025, jugé satisfaisant par le Colonel-Major Z. Blaise Ouédraogo, gouverneur de la région, qui a été adopté par le cadre régional de Dialogue (CRD) des Kuilsé réuni en session ordinaire le mercredi 30 juillet 2025. Soulignant l’importance du suivi et de l’évaluation des progrès réalisés dans la mise en œuvre de la Politique Nationale de Développement (PND), le gouverneur dans son discours d’ouverture a rappelé la mission du CRD.

« Notre mission est de fournir à nos concitoyens des services de qualité, essentiels pour améliorer leurs conditions de vie face aux multiples défis qu’ils rencontrent. » A-t-il relevé. Le bilan à mi-parcours présenté par la direction régionale de l’Economie et de la planification (DREP) fais cas à la fois des réalisations marquantes et des défis persistants, tout en ouvrant la voie à des actions futures pour renforcer la résilience de la région.
Bilan des réalisations à mi-parcours.

Le rapport régional de performances à mi-parcours révèle des progrès notables malgré des conditions particulièrement difficiles. L’évaluation des actions entreprises dans le cadre du Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement (PA-SD) régional met en lumière 121 produits attendus au 30 juin 2025, dont 21 ont été réalisés et 38 sont en retard de démarrage. Le taux d’exécution physique des produits est estimé à 17,36 %, tandis que le taux d’exécution financière s’élève à 33,22 %. La crise sécuritaire persistante et la lenteur administrative dans les marchés publics restent des facteurs limitants.

Malgré ces défis, des actions significatives ont été entreprises pour améliorer la sécurité et l’accès aux services de base. Parmi les investissements réalisés figurent la rénovation d’infrastructures et la mise en place de mécanismes d’assistance humanitaire. La région a dû faire face à un nombre important de PDI du faire de la crise sécuritaire, mais des progrès ont été réalisés avec le retour d’une bonne partie d’entre elles dans leurs localités d’origine.

Les perspectives pour 2025-2026
Pour la période 2025-2026 la réalisation de 202 produits attendus, dont 138 dès 2025. Les priorités pour cette période à venir sont alignées sur les quatre grands piliers du PA-SD à savoir renforcer la sécurité, améliorer la résilience des populations, refonder l’État et œuvrer à la réconciliation nationale. Les défis majeurs restent la sécurité, les restrictions budgétaires et la faiblesse des ressources financières. Le renforcement du maillage sécuritaire et la révision des plans d’action avec les partenaires pourraient permettre de surmonter ces obstacles. Le coût total des projets prévus est estimé à 58,75 milliards de FCFA.

Pour y parvenir, les acteurs régionaux, notamment les collectivités territoriales, les ONG et les partenaires techniques et financiers, sont appelés à redoubler d’efforts pour accélérer la mise en œuvre des projets.

Pour le gouverneur des Kuilsé, le bilan à mi-parcours du PA-SD régional 2025 est une illustration de la résilience de la région malgré des conditions complexes. L’adoption du plan actualisé pour 2025-2026 représente un espoir pour la stabilisation et le développement durable de la région, avec un focus sur la cohésion sociale, la paix, et l’essor économique.
Agence d’Information du Burkina
AIO/

Kaya, le 30 juillet 2025, (AIB) – Le 30 juillet 2025, le Cadre Régional de Dialogue des Kuilsé s’est réuni à Kaya sous la présidence du Colonel-Major Z. Blaise Ouédraogo, gouverneur de la région. Une rencontre qui a permis de faire un point à mi-parcours des performances de la région en 2025 et d’adopter le Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement Régional actualisé pour la période 2025-2026.

C’est un bilan à mi-parcours des performances 2025, jugé satisfaisant par le Colonel-Major Z. Blaise Ouédraogo, gouverneur de la région, qui a été adopté par le cadre régional de Dialogue (CRD) des Kuilsé réuni en session ordinaire le mercredi 30 juillet 2025. Soulignant l’importance du suivi et de l’évaluation des progrès réalisés dans la mise en œuvre de la Politique Nationale de Développement (PND), le gouverneur dans son discours d’ouverture a rappelé la mission du CRD. « Notre mission est de fournir à nos concitoyens des services de qualité, essentiels pour améliorer leurs conditions de vie face aux multiples défis qu’ils rencontrent. » A-t-il relevé. Le bilan à mi-parcours présenté par la direction régionale de l’Economie et de la planification (DREP) fais cas à la fois des réalisations marquantes et des défis persistants, tout en ouvrant la voie à des actions futures pour renforcer la résilience de la région.
Bilan des réalisations à mi-parcours

Le rapport régional de performances à mi-parcours révèle des progrès notables malgré des conditions particulièrement difficiles. L’évaluation des actions entreprises dans le cadre du Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement (PA-SD) régional met en lumière 121 produits attendus au 30 juin 2025, dont 21 ont été réalisés et 38 sont en retard de démarrage. Le taux d’exécution physique des produits est estimé à 17,36 %, tandis que le taux d’exécution financière s’élève à 33,22 %. La crise sécuritaire persistante et la lenteur administrative dans les marchés publics restent des facteurs limitants.
Malgré ces défis, des actions significatives ont été entreprises pour améliorer la sécurité et l’accès aux services de base. Parmi les investissements réalisés figurent la rénovation d’infrastructures et la mise en place de mécanismes d’assistance humanitaire. La région a dû faire face à un nombre important de PDI du faire de la crise sécuritaire, mais des progrès ont été réalisés avec le retour d’une bonne partie d’entre elles dans leurs localités d’origine.
Les perspectives pour 2025-2026
Pour la période 2025-2026 la réalisation de 202 produits attendus, dont 138 dès 2025.

Les priorités pour cette période à venir sont alignées sur les quatre grands piliers du PA-SD à savoir renforcer la sécurité, améliorer la résilience des populations, refonder l’État et œuvrer à la réconciliation nationale. Les défis majeurs restent la sécurité, les restrictions budgétaires et la faiblesse des ressources financières. Le renforcement du maillage sécuritaire et la révision des plans d’action avec les partenaires pourraient permettre de surmonter ces obstacles. Le coût total des projets prévus est estimé à 58,75 milliards de FCFA.

Pour y parvenir, les acteurs régionaux, notamment les collectivités territoriales, les ONG et les partenaires techniques et financiers, sont appelés à redoubler d’efforts pour accélérer la mise en œuvre des projets.

Pour le gouverneur des Kuilsé, le bilan à mi-parcours du PA-SD régional 2025 est une illustration de la résilience de la région malgré des conditions complexes. L’adoption du plan actualisé pour 2025-2026 représente un espoir pour la stabilisation et le développement durable de la région, avec un focus sur la cohésion sociale, la paix, et l’essor économique.

Agence d’Information du Burkina
AIO/

Solidarité nationale : Le Soum apporte une contribution de 31 tonnes de ciment à Faso Mêbo

Solidarité nationale : Le Soum apporte une contribution de 31 tonnes de ciment à Faso Mêbo

Ouagadougou, 31 juillet 2025 (AIB)-La province du Soum a offert jeudi 31 juillet 2025, une contribution de 31 tonnes de ciment, estimée à 3 365 000 FCFA, à l’initiative présidentielle Faso Mêbo.

La cérémonie officielle de remise s’est tenue dans l’enceinte du lycée Philippe Zinda Kaboré à Ouagadougou. La délégation du Soum, conduite par le secrétaire général de la province représentant le haut-commissaire, était composée de l’ensemble des préfets des communes de la province et de plusieurs personnes ressources engagées.

Prenant la parole au nom des autorités provinciales, le secrétaire général de la province, M. Losséni 2e Jumeau WONI, a salué l’initiative présidentielle, qu’il a qualifiée de « dynamique fédératrice » au service de la résilience nationale. « Malgré les nombreuses épreuves que traverse notre province, nous avons jugé essentiel de répondre à cet appel patriotique. FASO MEEBO est une initiative porteuse d’espoir pour les Burkinabè », a-t-il souligné.

Ce geste de solidarité, fruit d’un élan collectif des collectivités territoriales du Soum, témoigne de la détermination des populations à contribuer, à leur niveau, à l’édification d’un Burkina Faso plus fort, plus uni et plus résilient. Pour les membres de la délégation, cette contribution ne doit pas être perçue uniquement comme un don matériel, mais comme un acte de foi en l’avenir du pays.

La remise du ciment au lycée Philippe Zinda Kaboré, traduit également l’importance accordée à l’éducation dans la vision de développement du Soum. Il s’agit, selon les autorités provinciales, d’un investissement dans la jeunesse, pierre angulaire de toute stratégie de transformation sociale et économique.

Par ce geste, la province du Soum entend également encourager d’autres entités administratives et communautaires à s’engager davantage dans la mise en œuvre de Faso Mêbo, qui se veut un cadre inclusif de mobilisation pour la reconstruction nationale.

Agence d’information du Burkina

AG/ata

‎2 ème session du CCP/Sanguié : bilan scolaire 2025 et actions de l’ONG ASMADE au menu

‎BURKINA-SANGUIE-CADRE-CONCERTATION-PROVINCIAL

‎2 ème session du CCP/Sanguié : bilan scolaire 2025 et actions de l’ONG ASMADE au menu

‎Réo, 31 juil. 2025 (AIB) – Le Haut-commissariat du Sanguié a abrité, jeudi, la deuxième session ordinaire du Cadre de concertation provincial (CCP) qui s’est penché sur les projets de l’ONG ASMADE et sur les résultats scolaires de la province.

‎Présidant la rencontre, le Haut-commissaire de la province, Talari Germaine Ouoba, a indiqué que ce cadre, voulu par le gouvernement, permet aux acteurs de développement de s’informer, d’évaluer et d’harmoniser leurs interventions. Elle a salué l’accompagnement de l’ONG ASMADE qui met en œuvre près de neuf projets dans la province, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé, de l’agriculture, de l’environnement et de la participation citoyenne.

‎Le coordonnateur de l’ONG ASMADE, Jean-Urbain Kombasséré, a précisé que leurs interventions touchent les communes de Réo, Zamo, Ténado, Kordié et Didyr. Il a souligné les progrès réalisés en matière de sécurité alimentaire, d’assainissement, de régénération des sols et d’appui aux activités génératrices de revenus.

‎La session a également examiné les résultats scolaires de l’année 2025. Selon la directrice provinciale de l’enseignement secondaire, Rasmata Grâce Guingané, la province a enregistré 48,75% au BEPC (1ère place régionale), 67,7% au baccalauréat (2e place) et 3e place au CEP. Elle a plaidé pour l’ouverture d’un lycée professionnel afin de rapprocher l’offre éducative des jeunes.

‎De son côté, le directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle, Bapian Yo, a annoncé un taux de réussite de 82,14% au CEP contre 76,35% l’an dernier. Il a toutefois relevé le manque de moyens roulants pour les encadreurs et le besoin d’infrastructures supplémentaires pour réduire les effectifs pléthoriques.

‎Au terme de la rencontre, des engagements ont été pris par les acteurs pour soutenir davantage le système éducatif et poursuivre la mise en œuvre des recommandations antérieures, notamment l’organisation d’une journée de l’excellence.

‎Agence d’Information du Burkina

‎FGB

Kossi/Infrastructures : Le pont de Manidara reliant les communes de Djibasso et Doumbala a cédé

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Kossi/Infrastructures : Le pont de Manidara reliant les communes de Djibasso et Doumbala a cédé

Nouna, 1er août 2025 (AIB)-Le pont reliant les communes de Djibasso et Doumbala a cédé après la quantité d’eau tombée ce jeudi 31 juillet 2025.

L’état de dégradation avancée de la voie qui relie les communes de Djibasso et Doumbala, a eu raison du pont qui sert de jonction entre les deux communes après la forte pluie du jeudi 31 juillet 2025.

Les ressortissants des villages de Tienekuy, Kira Manidara ont constaté avec consternation leur isolement du marché hebdomadaire de Djibasso.

C’est après avoir fait le marché de ce jeudi 31 juillet 2025, que les commerçants de ces différentes localités ont constater qu’ils ne peuvent plus regagner leurs domiciles respectifs, à cause de l’effondrement du pont.

La populations avaient alerté les autorités sur la dégradation avancée de l’infrastructure routière et les bonnes volontés pour sa réfection.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/oo

Kourittenga : Les membres du COPROSUR outillés sur la gestion des risques de catastrophes

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Kourittenga : Les membres du COPROSUR outillés sur la gestion des risques de catastrophes

Koupéla, 31 juil. 2025 (AIB)- L’ONG Welthungerhilfe à travers son projet « TEEL TAABA » (WHH) en collaboration avec son partenaire local, l’Association Zood-Noma pour le développement, a initié mardi 29 au jeudi 31 juillet 2025 à Koupéla, un atelier de renforcement de capacité sur la gestion des risques de catastrophes au profit des membres du Conseil provincial de secours d’urgence et de réhabilitation (COPROSUR). L’atelier s’est déroulé sous la présidence du Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo. 

Les membres du Conseil provincial de secours d’urgence et de réhabilitation (COPROSUR), ont été outillés entre autres, sur la gestion et la réduction des risques de catastrophe, d’incendies, la gestion des crises humanitaires et les principes de démobilisation des capacités endogènes durant les trois jours.

« Ce cadre nous a permis d’acquérir de nouvelles expériences en matière de gestion des catastrophes», a indiqué Béatrice Zoundi/Kinda, une des participants.

Elle est par ailleurs conseillère d’orientation scolaire et professionnelle à la direction provinciale en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga.

Pour Mme Zoundi, l’initiative est salutaire et à leur tour, ils vont travailler à relever les défis liés à ces fléaux.

Le communicateur de l’atelier, le commandant de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers de Koupéla, le capitaine Simplice Ouédraogo, a traduit quelques mesures de prévention à l’endroit des populations.

« J’exhorte la population au strict respect des normes de construction et d’installations techniques, de travailler à assainir leur milieu de vie et surtout d’éviter de jeter les ordures dans les caniveaux», a-t-il dit.

Selon le capitaine Ouédraogo, ces mesures vont sans doute contribuer à minimiser les risques de catastrophe, que ce soit les incendies ou les inondations.

Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, président du COPROSUR, s’est dit satisfait de ce qui est ressorti de l’atelier au profit des membres du COPROSUR.

« Cette session, a non seulement renforcé nos capacités et nous permettrons d’anticiper et de réagir aux catastrophes», a déclaré M. Ilboudo.

Le Haut-commissaire a invité les membres du COPROSUR, à mettre en application les notions acquises pour une meilleure gestion des catastrophes.

Il a par ailleurs traduit sa reconnaissance à l’ONG Welthungerhilfe (WHH) pour l’initiative.

Rendez-vous est donc donné en septembre 2025, pour l’élaboration d’un plan de contingence.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/oo

Ouagadougou/Formation en charcuterie : 24 apprenants s’outillent en transformation de la volaille

BURKINA-FORMATION-CHARCUTERIE

Ouagadougou/Formation en charcuterie : 24 apprenants s’outillent en transformation de la volaille

Ouagadougou, 31 juil. 2025 (AIB) – La quatrième édition de la formation en charcuterie a pris fin vendredi à Ouagadougou, offrant à 24 participants des compétences essentielles dans la transformation de la volaille et la fabrication de produits dérivés notamment, les merguez, les saucisses, les pâtés, les jambons et le fumage.

L’initiative est de l’entreprise La volaille du Faso, en partenariat avec l’Ecole nationale de l’élevage et de la santé animale (ENASA).

Durant quatre jours, les apprenants ont suivi des modules pratiques et théoriques, incluant un volet sur le développement personnel et un autre sur l’hygiène, soulignant l’importance de la qualité et de la sécurité alimentaire dans ce secteur.
Cette approche globale vise à doter les participants d’outils nécessaires pour réussir dans un métier encore peu vulgarisé localement.
La promotrice de la formation, Alima Zagré, a expliqué que cette initiative est née de sa propre expérience avec des débuts difficiles en charcuterie.

« Notre objectif est d’offrir aux jeunes un accompagnement complet afin qu’ils puissent s’installer plus facilement dans ce métier », a-t-elle déclaré, insistant sur le suivi post-formation assurée par son équipe, notamment via des stages et un accompagnement personnalisé.

Du côté de l’encadrement technique, Ismaël Thiombiano, agent à la direction de la formation continue de l’École nationale de l’élevage et de la santé animale (ENESA), s’est dit très satisfait de l’engagement des apprenants. « Leurs énergie et motivation durant toute la formation montrent une réelle volonté d’apprendre et de faire prospérer le métier », a-t-il affirmé, les encourageant à continuer dans cet élan.

La formatrice s’est dite satisfaite de cette 4e édition qui a concerné 24 apprenants. Elle s’est également réjouie car ceux-ci ont montré beaucoup d’intérêt pour la formation.

De son avis, plusieurs participants ont promis de passer rapidement à l’action pour vivre le métier de leur rêve et contribuer au développement de la filière volaille au Burkina Faso.

Cette session confirme ainsi l’importance de la formation pratique pour renforcer l’entrepreneuriat dans le secteur agroalimentaire au Burkina Faso, a-t-elle conclu.

La volaille du Faso, créée en 2015, est une entreprise burkinabè spécialisée dans la transformation de la volaille, notamment, la découpe, le merguez de volaille, la saucisse de volaille, les saucissons de volaille halal.

Elle occupe également, de nos jours, toute la chaîne de valeur de la volaille (vente de poussin, production, aliment, transformation et commercialisation) au Burkina Faso.

Agence d’Information du Burkina
LN/OS/zaf/ata

Nakambé : Les femmes, absentes des postes clés dans les radios rurales, (master)

Nakambé : Les femmes, absentes des postes clés dans les radios rurales, (master)

Bobo-Dioulasso, 28 juillet 2025 (AIB-) Dans la région du Nakambé, les femmes restent largement écartées des postes de responsabilité au sein des radios rurales, bien qu’elles représentent près de 29 % du personnel, seules 6 % occupent des fonctions décisionnelles, mettant en évidence une inégalité persistante dans l’accès aux rôles clés du secteur médiatique. Ce sont les principales conclusions du master Adama Sorgho, étudiant en Techniques des métiers de l’information à l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso.

La soutenance de master de M. Adama Sorgho, étudiant en Techniques des métiers de l’information à l’Université Nazi Boni a eu lieu le 28 juillet 2025 à Bobo-Dioulasso.

Le document a mis en lumière une réalité préoccupante : les femmes représentent seulement 28,57 % du personnel dans les radios locales de la région du Nakambé, ex-Centre-Est.

L’étude note également une faible implication dans les instances décisionnelles, avec seulement neuf femmes occupant des postes de responsabilité, soit à peine 6 % de l’effectif total. Cette marginalisation freine leur capacité à influencer les contenus diffusés et perpétue des représentations stéréotypées dans les programmes radiophoniques.

Les raisons de cette sous-représentation sont multiples. Elles tiennent principalement à des pesanteurs sociales, culturelles et religieuses, qui limitent l’accès des femmes à des fonctions visibles ou dirigeantes dans le secteur médiatique, surtout en milieu rural.

L’impétrant, qui a obtenu la note de 15/20 à l’issue de sa soutenance, propose plusieurs pistes de solution : la promotion de l’égalité des chances dans les recrutements, la formation ciblée des femmes journalistes, ainsi que des campagnes de sensibilisation pour briser les tabous liés au genre dans les métiers de l’information.

Alors que les radios rurales jouent un rôle central dans la cohésion sociale et le développement communautaire, leur transformation en espaces inclusifs et équitables reste un impératif. Le regard porté par cette étude contribue à nourrir la réflexion sur la participation équitable des femmes dans les médias au Burkina Faso.

Agence d’Information du Burkina

SM/ata

Burkina/Master professionnel : Salimata Karambiri propose une stratégie pour prévenir les fugues et accompagner la réinsertion des enfants

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Burkina/Master professionnel : Salimata Karambiri propose une stratégie pour prévenir les fugues et accompagner la réinsertion des enfants

Ouagadougou, 31 juil. 2025 (AIB) – L’étudiante Salimata Karambiri a soutenu ce jeudi, à l’Institut panafricain d’étude et de recherche sur les médias, l’information et la communication (IPERMIC) de l’Université Joseph Ki-Zerbo, un mémoire de Master professionnel portant sur la contribution du Centre d’éducation et de formation professionnelles de Ouagadougou (CEFP/O) dans la prévention des fugues et l’insertion socioprofessionnelle des enfants retirés de la rue. Une contribution académique qui enrichit la réflexion sur la protection de l’enfance et les stratégies de réinsertion durable au Burkina Faso.

Dans le cadre de son mémoire présenté à l’Institut panafricain d’étude et de recherche sur les médias, l’information et la communication (IPERMIC) de l’Université Joseph Ki-Zerbo, Mme Karambiri a mené ses recherches sur « L’opération retrait des enfants en situation de rue : la communication du CEFP/O dans la prévention des fugues et l’insertion socio-professionnelle des enfants. »

Cette recherche s’inscrit dans le cadre de l’opération de retrait des enfants vivant dans la rue, lancée par le ministère en charge de l’action sociale.

« Face à la vulnérabilité croissante de ces enfants, souvent exposés à divers risques (violences, exploitation, ruptures familiales), les autorités ont orienté ces enfants vers des structures d’accueil, dont un centre d’éducation et de formation professionnelle basé à Ouagadougou », a-t-elle expliqué.

Selon elle, ce centre a assuré une prise en charge d’urgence intégrant accueil, accompagnement psychosocial, formation et orientation vers la vie active.

Elle a souligné que l’objectif du mémoire est d’analyser comment la communication institutionnelle a été mobilisée pour soutenir ce processus de réinsertion.

Mme Karambiri met en lumière le rôle stratégique de cette communication, non seulement dans la sensibilisation des enfants et de leurs familles, mais aussi dans la prévention des fugues et l’adhésion aux parcours de formation.

Pour elle, l’étude montre que des messages adaptés, relayés par divers canaux et acteurs, ont permis de créer un climat de confiance autour du projet. Elle insiste sur l’importance d’une communication continue et ciblée, qui tienne compte du vécu et des aspirations des enfants concernés.

L’auteure a confié que, les résultats de ce travail peuvent aider à améliorer les stratégies de réinsertion sociale et professionnelle, et renforcer l’efficacité des politiques publiques de protection de l’enfance au Burkina Faso.

A l’issue de la présentation, le jury a reconnu la qualité du travail en lui attribuant la mention très bien.

Agence d’information du Burkina
ZAF/BBP

Burkina/Cadre sectoriel de dialogue Défense-Sécurité : Le ministre Sana appelle à une mobilisation accrue pour consolider les acquis

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Burkina/Cadre sectoriel de dialogue Défense-Sécurité : Le ministre Sana appelle à une mobilisation accrue pour consolider les acquis

Ouagadougou, le 31 juil. 2025 (AIB)-Le ministre de la Sécurité, Mahamadou SANA, a présidé ce jeudi la session de revue à mi-parcours 2025 du Cadre sectoriel de dialogue Défense-sécurité (CSD-DS), tenue dans la salle de conférence du ministère de la Défense et des anciens combattants pour faire le point des défis sécuritaires relevés.

La session de revue à mi-parcours du cadre sectoriel de dialogue des secteurs de la défense et de la sécurité, tenue ce jeudi 31 juillet 2025, à Ouagadougou, marque un moment important pour faire le point des efforts qui ont été déployés par les plus hautes autorités du pays pour relever les défis sécuritaires et poser les bases d’un avenir commun plus sûr et plus résilient, concourant à la mise en œuvre de la politique nationale de développement, notamment à travers le suivi des performances du plan d’action pour la stabilisation et le développement.

« Cette revue à mi-parcours est un mécanisme essentiel de suivi et d’évaluation des performances de notre secteur. Elle nous permet de mesurer le progrès, d’identifier nos insuffisances, de reconnaître les succès et surtout de tracer une trajectoire réaliste et ambitieuse pour le reste de l’année 2025 », a déclaré Le ministre de la Sécurité, Mahamadou Sana, lors de son discours d’ouverture.

À cette occasion, Le ministre de la Sécurité, il a salué les efforts déployés au cours du premier semestre de l’année et a lancé un appel fort à l’engagement collectif pour relever les défis sécuritaires persistants.

Dans son discours, il a exprimé la reconnaissance du gouvernement envers les forces de défense et de sécurité (FDS), ainsi qu’aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), pour leur engagement quotidien dans la reconquête du territoire et la sécurisation des populations.

Selon Le ministre Sana, la période de janvier à juin 2025 a enregistré un taux d’exécution physique de 50% et un taux d’exécution financière de 53%. Ces résultats traduisent, selon lui, des avancées notables, notamment la création de nouvelles brigades d’intervention rapide, la montée en puissance des capacités tactiques des FDS et VDP, la stabilisation de certaines zones libérées, ainsi que la réorganisation du maillage territorial entre la police nationale et la gendarmerie.

Il a par ailleurs évoqué plusieurs actions complémentaires menées, à savoir les campagnes de sensibilisation contre le financement du terrorisme, la lutte contre la criminalité urbaine, la cybercriminalité et l’insécurité routière.

Le chef de département de la Sécurité a mis en lumière les initiatives lancées au plan économique et politique comme « Faso mêbo », visant à moderniser et assainir les centres urbains, la célébration de la Journée nationale de l’arbre axée sur les plantes médicinales ou encore la deuxième édition de la Journée d’engagement patriotique et de participation citoyenne

Le ministre a précisé que les activités non réalisées au premier semestre feront l’objet d’une intensification durant les mois à venir.

« Nous allons poursuivre les efforts de stabilisation, de redéploiement des forces et de retour des populations dans les zones libérées. Certaines actions prennent du temps, mais elles sont intégrées dans notre plan d’action », a-t-il assuré.

Il a conclu en appelant tous les acteurs à rester mobilisés et à œuvrer, dans l’unité et la discipline, pour un Burkina Faso résilient face aux menaces.

Agence d’information du Burkina

BBP/OS/ATA

Burkina : La nouvelle loi sur la liberté d’association vise à contrer le financement du terrorisme et le blanchiment de capitaux

Burkina : La nouvelle loi sur la liberté d’association vise à contrer le financement du terrorisme et le blanchiment de capitaux.

Ouagadougou, 31 juillet 2025 (AIB) – Le ministère de l’Administration territoriale et de la Mobilité (MATM) a organisé, ce jeudi 31 juillet 2025 à Ouagadougou, une conférence de presse sur la nouvelle loi portant liberté d’association, adoptée le 17 juillet 2025. Selon le Directeur général de l’Administration dudit ministère, Jean Pierre Vogna, cette loi vise à permettre un meilleur contrôle du financement du terrorisme et du blanchiment de capitaux.

« La nouvelle loi portant liberté d’association vise à permettre au gouvernement de consolider le dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme », a affirmé le Directeur général de l’Administration du MATM, Jean Pierre Vogna.

Selon lui, au regard du contexte national marqué par le défi sécuritaire, la nouvelle loi n°011-2025/ALT du 17 juillet 2025 contribuera à recadrer la forte dispersion des associations dans plusieurs domaines d’intervention, souvent dans le seul but de capter des financements.

Le DG a souligné que cette loi promulguée comporte des innovations majeures, notamment « la clarification du concept d’association, qui opère une distinction nette entre les associations et les organisations politiques ou commerciales ».

Il a cité également « le relèvement à dix (10) ans de la période minimale probatoire pour l’obtention du statut d’association reconnue d’utilité publique, contre cinq (05) auparavant ».

Jean Pierre Vogna a en outre relevé « l’obligation pour toutes les associations de fournir leurs budgets, leurs comptes annuels et leurs rapports financiers aux ministères en charge des libertés publiques, de l’économie et des finances, ainsi qu’au ministère du domaine d’intervention concerné ».

Il a aussi évoqué « l’interdiction faite aux présidents d’institution, ministres et députés en fonction d’être membres dirigeants d’une association, de même que l’interdiction faite aux chefs de circonscription administrative et aux présidents de conseil de collectivité territoriale d’être membres dirigeants d’associations ayant pour champ d’action leur ressort territorial ».

Autre innovation citée : « l’interdiction faite à une personne d’être premier responsable de plus de deux associations, ce qui vise un double objectif », a-t-il ajouté.

M. Vogna a également précisé « la dissociation entre la signature de la convention d’établissement et l’obtention du statut d’ONG, afin de réserver ce statut uniquement aux associations capables de financer des projets de développement ».

Il a conclu sur « l’obligation pour les associations étrangères de désigner un seul représentant et un responsable financier, tous deux de nationalité burkinabè et résidant au Burkina Faso, afin de prioriser les compétences nationales dans le recrutement des personnels des associations étrangères ».

La nouvelle loi portant liberté d’association, adoptée à l’unanimité le 17 juillet 2025 par l’Assemblée législative de Transition et promulguée le 23 juillet 2025 par le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, permettra un meilleur encadrement des organisations associatives et un assainissement certain de l’environnement associatif.

Agence d’Information du Burkina

Faso Mêbo : Un entrepreneur offre du matériel à la brigade de Tenkodogo

Faso Mêbo : Un entrepreneur offre du matériel à la brigade de Tenkodogo

Tenkodogo, 30 juillet 2025 (AIB)- Dans le cadre de l’Initiative présidentielle Faso Mêbo, l’entrepreneur Aziz Koudougou a offert, le mardi, un important lot de matériel à la brigade locale de Tenkodogo. Ce don, composé de 5 tonnes de ciment, 5 casques, 5 gilets et 5 tee-shirts, vise à soutenir les efforts d’embellissement de la ville.

Remettant le don, le PDG , M. Koudougou Aziz, a déclaré être venu « accompagner les travaux d’embellissement de la ville », initiés sous la bannière de l’initiative Faso Mêbo. Il a salué l’engagement des jeunes de la brigade locale qui, selon lui, « redonnent vie à Tenkodogo par leur courage et leur sens du devoir civique ».

Le responsable local de la brigade Faso Mêbo a exprimé sa reconnaissance à l’endroit de l’entreprise donatrice. Il a promis de faire bon usage du matériel pour accélérer les chantiers d’assainissement et de rénovation urbaine en cours. Ce geste s’inscrit dans la dynamique de mobilisation communautaire autour de la vision présidentielle de développement à la base.

Agence d’information du Burkina

Coopération Burkina-Russie : La mise en place d’un Conseil d’affaires et la création d’une commission intergouvernementale annoncées

Burkina-Russie-Coopération-Énergie

Coopération Burkina-Russie : La mise en place d’un Conseil d’affaires et la création d’une commission intergouvernementale annoncées

Ouagadougou, 31 juil. 2025 (AIB) – Une délégation russe conduite par le ministre de l’Énergie, Sergeï Tsivilev, a eu, mercredi, une séance de travail avec des membres du gouvernement burkinabè. Il s’est agi de passer en revue les différents axes de la coopération bilatérale.

Le ministre de l’Énergie, des Mines et des Carrières, Yacouba Zabré Gouba, et son homologue de la Fédération de Russie, Sergeï Tsivilev, ont signé un mémorandum.

Cet acte est l’aboutissement d’un tête-à-tête entre les délégations russe et burkinabè, ayant travaillé sur plusieurs axes de coopération bilatérale.

Il est ressorti de ces échanges la volonté de mettre en place un Conseil d’affaires dans les domaines du commerce et de l’économie, sur orientation du Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Une délégation russe de plus de 70 membres est arrivée dans la nuit de mardi.

Il a également été question de la création d’une commission intergouvernementale, ainsi que de l’ouverture d’un flux aérien afin d’établir une ligne directe entre le Burkina Faso et la Fédération de Russie.

« Nous avons pu parvenir à un accord pour le développement des infrastructures énergétiques, et avons paraphé un accord avec une société russe. Avant de développer la centrale nucléaire, des centrales thermiques seront mises en place au Burkina Faso pour améliorer l’offre énergétique », a précisé Yacouba Zabré Gouba.

Le ministre en charge des Affaires étrangères, Karamoko Jean-Marie Traoré, celui de l’Économie, Dr Aboubacar Nacanabo, celui de l’Enseignement supérieur, Pr Adjima Thiombiano, ainsi que le ministre en charge de l’Administration territoriale, ont également pris part à cette table ronde.

Le ministre russe de l’Énergie, Sergeï Tsivilev, a, pour sa part, rassuré la partie burkinabè.

« Les relations entre nos deux pays sont fondées sur les principes de justice, d’égalité et de confiance mutuelle », a affirmé Sergeï Tsivilev.

Il a recommandé la mise en place de plans d’action pour consolider les liens de partenariat entre les deux États.

En marge du séjour, des membres de la délégation ont eu une séance d’échange le mercredi, avec la presse burkinabè. Les échanges se sont articulés autour du renforcement des liens entre les médias des deux pays.

Les journalistes burkinabè ont souhaité recevoir des formations en journalisme de guerre afin de mieux exercer leurs métiers et contribuer dans la lutte contre le terrorisme dans l’intérêt du Burkina Faso. Et cela en bénéficiant de l’expérience de la presse russe dans ce domaine.

Agence d’information du Burkina

AG des EPE : Le Premier ministre appelle à une gestion rigoureuse et responsable

AG des EPE : Le Premier ministre appelle à une gestion rigoureuse et responsable

Ouagadougou, 31 juil. 2025 (AIB) – Le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a présidé ce jeudi la 26e Assemblée générale des Établissements publics de l’État (EPE), axée sur l’analyse des rapports de gestion et des états financiers. Il a appelé à une utilisation optimale des ressources publiques afin de contribuer à la lutte contre la pauvreté.

« Au cours de cette session, nous allons passer en revue la gestion des différents établissements publics de l’État afin d’en apprécier les performances réalisées au titre de l’exercice 2024, d’examiner les difficultés rencontrées dans l’accomplissement de leurs missions, et de dégager ensemble les actions nécessaires à entreprendre pour une amélioration continue des services publics », a déclaré le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, lors de son discours d’ouverture.

Dans un contexte de contraintes budgétaires persistantes et d’attentes sociales pressantes, selon lui, l’utilisation efficiente des ressources s’impose à tous comme une nécessité, au regard de la faiblesse des ressources financières du pays et des besoins sans cesse croissants de la population, pour atteindre à moindre coût les objectifs stratégiques socio-économiques.

Pour le chef de l’exécutif burkinabè, une bonne tenue de la comptabilité des matières, dotée d’outils adaptés et animée par des professionnels compétents, constitue un levier stratégique pour optimiser l’utilisation des biens publics, rationaliser les dépenses, et allouer les ressources économisées à des programmes à fort impact social.

« Les travaux de cette session porteront sur l’analyse des rapports de gestion et des états financiers de 109 établissements publics, toutes catégories confondues, pour l’exercice budgétaire 2024.

Je me réjouis de constater la mise en œuvre effective de la quasi-totalité des recommandations formulées lors de la 25e session », a-t-il conclu.

Dans son intervention, le ministre de l’Économie, des Finances et de la Prospective, Aboubacar Nacanabo, a relevé que cette session permettra d’examiner les rapports de gestion et les états financiers des précédents conseils d’administration des EPE. Selon lui, cette assemblée constitue l’instance d’orientation stratégique qui permet d’apprécier ce que les EPE ont accompli au cours de l’année écoulée et de donner des orientations pour l’année à venir.

« Cette année, nous avons axé la réflexion sur la mise en place de la comptabilité des matières et les enjeux qu’elle représente au sein des établissements publics de l’État. Tous les EPE ont été invités à s’y engager, à en faciliter l’implémentation et à s’en approprier les principes. Aujourd’hui, nous pensons que cela peut contribuer à une meilleure gestion des patrimoines non financiers », a-t-il indiqué.

Au cours de cette 26e AG des EPE, trois communications ont été présentées : une communication introductive à la session, un rapport sur la gestion des EPE au titre de l’exercice 2024, et une synthèse des rencontres sectorielles sur le fonctionnement des établissements publics.

À l’issue des discussions issues de ces communications, des recommandations et des résolutions seront formulées pour améliorer la gouvernance des établissements publics de l’État, afin qu’ils puissent contribuer efficacement au développement économique et social du Burkina Faso, dans la trajectoire souveraine qu’il a choisie pour son avenir.

Agence d’information du Burkina

BBP/ata

PONI/Des acteurs culturels outillés en chorégraphie pour mieux représenter la province à la SRC

PONI/Des acteurs culturels outillés en chorégraphie pour mieux représenter la province à la SRC

Gaoua, 30 juillet 2025 (AIB) – En prélude à la Semaine régionale de la culture (SRC), une formation en chorégraphie a été organisée à l’endroit des acteurs culturels de la province du Poni. Cette initiative vise à renforcer leurs compétences pour améliorer leurs prestations lors des prochaines compétitions régionales.

C’est dans la salle polyvalente de Gaoua que s’est tenue, ce mercredi 30 juillet 2025, une session de formation dédiée aux troupes culturelles du Poni. Selon le représentant du directeur provincial de la communication, de la culture, des arts et du tourisme, Modeste DA, cette initiative découle du constat de l’insuffisance de performances des troupes de la province lors des deux précédentes éditions de la SRC. D’où la nécessité d’un renforcement de capacités pour rehausser le niveau des prestations.

Le formateur, Adama KOTÉ, tout en saluant l’intérêt manifeste des participants, a décliné les grandes étapes de la création chorégraphique : la conception de l’idée de danse, la sélection et l’agencement des mouvements, l’élaboration de la structure finale, et enfin la mise au point des moindres détails pour une exécution harmonieuse.

Parmi les bénéficiaires, Hien Sié, visiblement satisfait, estime que cette formation est une aubaine. « Nous avons appris beaucoup de choses qui nous permettront d’améliorer nos prestations pour les prochaines compétitions », a-t-il confié.

En somme, cette session marque une étape importante dans la préparation des artistes du Poni, appelés à représenter dignement leur province lors de la prochaine Semaine régionale de la culture.

Agence d’Information du Burkina 

MS/oo

Ioba/CEP : Le directeur provincial satisfait du progrès de 10,69 % réalisé à la session 2025

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Ioba/CEP : Le directeur provincial satisfait du progrès de 10,69 % réalisé à la session 2025

Dano, 31 juillet 2025 (AIB) – La province du Ioba a réalisé un taux de succès de 90,85% au Certificat d’études primaires (CEP), session de 2025 soit un écart positif de 10,69%.

Le Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) du Ioba, Adama Néya, a félicité tous les acteurs de l’éducation pour avoir réalisé un progrès de 10,69% à l’examen du CEP de la session de 2025.
En effet, la province du Ioba a obtenu cette année un taux de réussite de 90,85% au CEP contre 80,16% en 2024. Pour cette session 2025, 5 291 candidats ont pris part à l’examen certificat d’études primaires (CEP). On dénombre 2814 filles et 2477 garçons présents.

A l’issue de la compilation des résultats des 10 jurys ouverts dans la province, le Ioba a enregistré 4 807 admis soit un taux global de réussite de 90,85%.
Avec 2 531 admises, les filles ont atteint 89,94% et les garçons ont réalisé 91,89% de réussite avec 2276 admis.
Pour le DPEPPNF du Ioba, ces bons résultats sont à mettre à l’actif de l’ensemble des acteurs du monde éducatif.
« Il faut également souligner que l’organisation des différents examens blancs nous ont permis lors des rencontres bilan de corriger certaines insuffisances et de rattraper les retards », a-t-il poursuivi. « En plus, les sorties des encadreurs pédagogiques appuyées par l’organisation des journées pédagogiques ont, sans nul doute favorisé la réalisation de cette belle performance », a soutenu M. Néya.

« Je suis satisfait car notre objectif qui était de 83% a été largement atteint et dépassé. J’invite tous les enseignants, les encadreurs pédagogiques et les parents d’élèves à redoubler d’efforts pour la session à venir » a conclu le DPEPPNF du Ioba.

Agence d’information du Burkina
SZ/dnk-ata

Kourittenga/Reboisement : 500 plants mis en terre par l’association ASVK sur son site à Goghin

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Kourittenga/Reboisement : 500 plants mis en terre par l’association ASVK sur son site à Goghin

Kourittenga, 31 juil. 2025 (AIB)- L’Association Sève de Vie de Koupéla (ASVK) en collaboration avec les populations locales, a procédé ce jeudi 31 juillet 2025, à une mise en terre de 500 plants sur son site situé dans le village de Goghin à quelques kilomètres de la ville de Koupéla. Cette activité a connu la présence du Haut-commissaire de la province, Moctar Ilboudo et des ONG partenaires.

L’Association Sève de Vie de Koupéla (ASVK) dispose d’un site de plus de 14 hectares pour ses activités de reboisement dont un espace d’un hectare a été aménagé et clôturé pour la mise en terre des 500 plants ce jeudi 31 juillet 2025.

« La délimitation de ce site d’un hectare qui abrite la mise en terre des 500 plants, s’est faite avec l’appui du Fond pour l’Environnement Mondial (FEM) », a précisé le président de l’association ASVK, Ablassé Béré.

La marraine de l’activité, qui est l’épouse de sa majesté Naaba Yemdé de Koupéla, a salué la bravoure des femmes et l’engagement de la population pour l’entretien des arbres plantés sur le site dans les années antérieures.

« J’invite la population à rester toujours sur sa garde et de soutenir le travail qui a été fait sur le site afin que cela soit bénéfique à tous », a-t-elle exhorté.

Ablassé Béré, a indiqué que l’activité est d’une contribution de l’association à restaurer le couvert végétal.

« L’activité de ce matin, répond à l’appel du président du Faso qui est de contribuer à reverdir notre territoire mais c’est aussi de donner une chance à la jeune génération et à ceux qui nous succèderont de pouvoir découvrir certaines espèces qui étaient en voie de disparition», a-t-il laissé entendre

M. Béré a par ailleurs invité la population à une conjugaison d’effort afin de donner vie aux plants mis en terre sur le site au bonheur de tous.

Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a salué l’initiative de l’association qui est de contribuer à promouvoir le vert.

« Nous sommes venus apporter notre soutien à l’Association Sève de Vie de Koupéla qui a répondu à l’appelle du Chef de l’Etat, à travers ce reboisement qui participe de la mise en œuvre de la campagne de reforestation», a-t-il fait savoir.

M. Ilboudo a précisé que le couvert végétal est un patrimoine que nos aïeux, nous ont légué.

«Si de nos jours nous assistons à une reforestation grandissante, c’est de par nos actions et il est de notre devoir de travailler à restaurer le vert autour nous», a rappelé le Haut-commissaire.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/oo

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