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La Corée du Nord invite les étrangers à venir jouer au golf

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La Corée du Nord invite les étrangers à venir jouer au golf

 

 SÉOUL, 9 août 2023 – La Corée du Nord, un des pays les plus fermés de la planète, a invité les golfeurs étrangers à participer à un tournoi amateur à Pyongyang en vue de « développer des liens d’amitié » avec leurs homologues nord-coréens.

Le Golf de Pyongyang, la capitale nord-coréenne, accueille « une compétition de golfeurs amateurs au printemps et à l’automne et les amateurs étrangers peuvent également y participer », selon le site internet du club, qui dépend de l’administration du tourisme de Pyongyang.

La date du tournoi n’était pas indiquée avec plus de précisions.

Le pays s’impose depuis début 2020 de très sévères restrictions pour lutter contre le Covid-19 mais les signes se multiplient récemment présageant d’un prochain assouplissement des contrôles aux frontières.

Autre signe d’ouverture, Pékin avait confirmé en juillet que la Corée du Nord s’était inscrite aux Jeux asiatiques, qui se tiendront en Chine en septembre.

Dans un autre message, Pyongyang a indiqué que son agence, la Ryomyong Golf Travel Company, avait mis en place des attractions, notamment « un parcours de golf sous-marin, un terrain de tir à l’arc et un bassin de navigation de plaisance ».

Cheong Seong-chang, du Centre d’études sur la Corée du Nord à l’Institut Sejong en Corée du Sud, a déclaré à l’AFP que des signes récents indiquaient que le tourisme chinois en Corée du Nord allait reprendre progressivement.

Le terrain de golf de Pyongyang aurait été construit au début des années 1980 et a été officiellement inauguré en 1987 pour célébrer le 75e anniversaire du fondateur du pays, Kim Il Sung.

En 2005, à une époque où les relations entre la Corée du Nord et la Corée du Sud étaient meilleures, le terrain de golf a accueilli une compétition de l’Association coréenne de golf professionnel féminin.

Pour An Chan-Il, un transfuge devenu chercheur et qui dirige l’Institut mondial d’études sur la Corée du Nord, Pyongyang « a fait du golf un moyen important pour avoir des devises étrangères » et a même créé un « département de golf » dans une université de sport réputée de la capitale.

Toutefois, selon le journal sud-coréen Chosun Ilbo, il semblerait que le Nord ait également commencé à utiliser le parcours pour ses essais de missiles interdits.

Selon un expert militaire cité par le journal, les multiples missiles balistiques à courte portée lancés par Pyongyang le 9 mars ont probablement été tirés depuis le lac Thaesong, sur le terrain de golf, afin de rendre difficile pour Séoul de « localiser l’origine du lancement ».

Avec l’AFP

 

Burkina : L’Assemblée législative de transition adopte le projet de loi portant protection, sauvegarde, et valorisation du patrimoine culturel

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Burkina : L’Assemblée législative de transition adopte le projet de loi portant protection, sauvegarde, et valorisation du patrimoine culturel

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)- L’Assemblée législative de transition (ALT) a adopté ce mardi le projet de loi portant sur la protection, la sauvegarde, et la valorisation du patrimoine culturel en présence du ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo qui a affirmé que « la culture est l’âme et l’arme d’un peuple ».

« La culture est l’âme et l’arme d’un peuple, donc cette loi sur la protection, la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel vient renforcer de façon significative et efficace, la gouvernance du secteur du patrimoine culturel de façon générale », a déclaré le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le ministre Ouédraogo s’exprimait le mardi, à Ouagadougou, lors de l’adoption du projet de loi portant sur la protection, la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel à l’ALT.

Selon lui, cette loi consacre de nombreuses innovations qui permettent au ministère de la culture et à l’ensemble des acteurs impliqués dans la question de la sauvegarde et de la valorisation, d’avoir les outils nécessaires pour mettre en sécurité le patrimoine culturel matériel et immatériel, qui « constituent notre arme, notre identité, notre valeur essentiel ».

Le président de lAssemblée législative de transition (ALT) Ousmane Bougouma 

Le ministre a rassuré les députés que les décrets d’application seront conforment à l’esprit de cette loi afin de concrétiser la volonté commune de l’ensemble des acteurs de créer les conditions pour qu’on ait une meilleure gouvernance de notre secteur du patrimoine culturel matériel et immatériel.

« Les langues nationales font parties également de notre patrimoine culturel immatériel et constituent le véhicule de notre culture et il est très important de travailler non seulement à leur préservation mais surtout à leur promotion » a-t-il affirmé.

Le ministre a souligné que des dispositions sont prises pour permettre à l’ensemble des acteurs de valoriser la culture burkinabè, pour assurer la transmission, mais aussi pour s’assurer que les éléments de notre patrimoine culturel matériel et immatériel contribuent de façon significative à faire de notre pays une destination prisée par les touristes.

M. Ouédraogo a rassuré que son département travaille en bonne intelligence avec le ministère de l’éducation nationale et la promotion des langues nationales pour la valorisation de la culture burkinabè.

« La dynamique c’est de faire en sorte que nous soyons fiers de notre culture et être fier de sa culture, c‘est être fier de sa langue maternelle » a-t-il conclu.

Agence d’information du Burkina

BA/JEN/wis

Dano : La traditionnelle montée des couleurs du mois d’août dédiée à la jeunesse

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Dano : La traditionnelle montée des couleurs du mois d’août dédiée à la jeunesse

Dano, 08 août 2023 (AIB)-Le secrétaire général de la province du Ioba, André Lankoandé a présidé le lundi 07 août 2023, la cérémonie mensuelle de montée des couleurs nationales à Dano qui est dédiée à la jeunesse.

La cérémonie mensuelle de montée des couleurs nationales du mois d’août dans le Ioba, s’est déroulée à la mairie de Dano. Elle a été dédiée à la jeunesse.

Le président du conseil provincial de la jeunesse du Ioba Aristide Youorikiè Dabiré par ailleurs 1er vice-président de la délégation spéciale communale de Dano, a pris part à cette cérémonie aux côtés des autorités provinciales.

A l’unisson, toutes les personnalités présentes ont chanté l’hymne national le Ditanyè pendant la montée du drapeau.

Le secrétaire général de la province du Ioba, André Lankoandé (2ème à partir de la droite) avait à ses côtés le PDS de Dano,Denis Zanré (3 ème à partir de la droite), le directeur provincial de la police nationale, Souleymane Zouri (1er à partir de la droite) et le président du conseil provincial de la jeunesse, Aristide Youorikiè Dabiré (4 ème à partir de la droite)

À la fin du cérémonial militaire, le préfet, président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Dano, Denis Zanré a exprimé sa fierté de recevoir l’ensemble des corps constitués et les a remercié pour leur mobilisation.

Selon le PDS de Dano, les couleurs nationales symbolisent notre unité, la solidarité nationale mais aussi notre espérance à un Burkina nouveau, réconcilié et libéré de l’hydre terroriste. Il a invité les populations à rester solidaires.

Le secrétaire général de la province du Ioba André Lankoandé, représentant la Haut-commissaire, a remercié tous les acteurs des différentes structures pour le service rendu aux populations.

Les corps constitués étaient bien mobilisés à cette cérémonie de montée des couleurs à la mairie de Dano

Il a également remercié les agents de la mairie de Dano et le conseil provincial de la jeunesse pour leur accueil. M. Lankoandé a rappelé que notre situation sécuritaire n’est pas reluisante.

« C’est pourquoi, chacun de nous doit garder la vigilance et rester acteur de sa propre sécurité en informant les Forces de défense et de sécurité (FDS) de toutes situations anormales constatées » a-t-il poursuivi. Il a souhaité un bon mois d’août à toute la population dans la paix et la sécurité.

Agence d’information du Burkina

SZ/wis

Ouahigouya : Atelier de formation au profit des cadres du dispositif du système d’alerte précoce

Burkina-Nord-Formation-Atelier

Ouahigouya : Atelier de formation au profit des cadres du dispositif du système d’alerte précoce

Ouahigouya, 8 août 2023 (AIB)-La Direction régionale de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques du Nord en collaboration avec le Programme de résilience  du système alimentaire en Afrique de l’Ouest, composante Burkina Faso (PRSA-BF), a organisé un atelier de formation du 31 juillet au 4 août 2023 à Ouahigouya au profit des cadres du dispositif du système d’alerte précoce (SAP) déconcentré sur les concepts de la sécurité alimentaire, la nutrition et l’alerte précoce.

Les SAP (système d’alerte précoce) relais et les chefs de zone d’appui technique (ZAT) venus des provinces du Passoré, du Zondoma, du Loroum et Yatenga dans divers secteurs d’activités ont été formés sur les concepts de la sécurité alimentaire, la nutrition et l’alerte précoce.

Il s’est agi de renforcer leurs capacités techniques sur les concepts de sécurité alimentaire, de crise alimentaire, d’alea, de risque et les systèmes de collecte et de calcul des nutritionnelles.

Ainsi, au cours des 5 jours, des communications sur le dispositif de suivi de la sécurité alimentaire, le fonctionnement du SAP, les fichiers de collecte de données nutritionnelles et l’enquête sur la consommation des ménages ont été livrées.

Selon le formateur, Vincent Naty, la sécurité alimentaire est le fait d’assurer à toute personne et tout temps un accès économique, sociale et physique à une alimentation suffisante, sûre et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leur préférence alimentaires pour leur permettre de mener une vie saine et active.

« Et pour parler de sécurité alimentaire, il faut que ces 4 dimensions que sont la disponibilité, l’accessibilité, l’utilisation et la stabilité soient réunies » a-t-il fait savoir.

Le représentant du directeur régional en charge de l’agriculture, Oumarou Gnondogo

Mais contrairement à la sécurité alimentaire, l’autosuffisance, elle, à l’entendre, est la capacité de satisfaire tous les besoins alimentaires d’une population par la seule production nationale.

Quant à la notion d’alea, M. Naty a expliqué que c’est un phénomène naturel ou anthropique dangereux à mesure de causer des morts et des dommages.

« Quand le phénomène survient, on parle de catastrophe. Sa gestion passe par l’atténuation, la réparation, l’intervention, le rétablissement et la récupération. » a-t-il expliqué.

De son avis, c’est par les données contenues dans le système d’alerte précoce (SAP) que le gouvernement peut éviter ou réduire le choc des risques.

Et le représentant du directeur régional en charge de l’agriculture, Oumarou Gnondogo, par ailleurs, directeur provincial en charge de l’agriculture d’apprécier que ces cinq jours de formation ont été d’un apport très bénéfique pour eux.

« Désormais, on peut faire la différence entre les concepts de sécurité et d’autosuffisance alimentaire, aussi on sait comment calculer la consommation alimentaire d’un ménage », a-t-il indiqué.

Agence d’information du Burkina

FB/wis

Burkina : L’Institut danois des droits humains remet des outils pédagogiques à l’Ecole nationale de police et à l’Académie de police

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Burkina : L’Institut danois des droits humains remet des outils pédagogiques à l’Ecole nationale de police et à l’Académie de police

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)- Le Représentant Pays de l’Institut danois des droits humains (IDDH) au Burkina Faso, Evariste Ouédraogo, a remis mardi, à Ouagadougou, à l’Ecole nationale de police et à l’Académie de police, un lot d’outil pédagogique de droits humains en vue de l’enseignement des Droits humains au niveau des deux écoles.

« L’IDDH à travers ces différents outils souhaite renforcer d’abord les connaissances des enseignants ou des formateurs des écoles de police, ensuite celles de leurs élèves et enfin celles de tous les fonctionnaires de police du Burkina Faso surtout ceux qui ne pourraient plus revenir se recycler dans ces écoles », a déclaré le Représentant Pays de l’Institut danois des droits humains (IDDH/BF), Evariste Ouédraogo.

Le Représentant Pays (IDDH/BF) s’exprimait mardi, à Ouagadougou, lors d’une cérémonie de remise d’un lot d’outil pédagogique de droits humains à l’Ecole nationale de police et à l’Académie de police.

Il a précisé que ces acquis sont possibles depuis 2020 grâce au projet « Appui aux forces de sécurité du Burkina, du Mali et du Niger pour la lutte contre l’impunité et le renforcement de leurs liens avec les populations » financé par l’Union Européenne.

Ce lot d’outils pédagogiques en droits humains est composé entre autres, de manuels du formateur, de Cahiers et de guide de poches des élèves sous-officiers, d’élèves commissaires et officiers de police.

A l’en croire, le projet conduit par l’IDDH dans ces 3 pays a permis ici au Burkina Faso de renforcer le partenariat avec tous les centres de formation et écoles de Police, de Gendarmerie, des Eaux et Forêts et de l’Ecole Nationale de la Garde de Sécurité Pénitentiaire (ENGSP).

Le secrétaire général du ministère de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité (MATDS), Sié Edgard Sou, a remercié les donateurs pour ces manuels et a invité les bénéficiaires à en faire un bon usage.

M. Sou a profité de l’occasion pour féliciter les différents DG pour leur leadership à la tête de ces temples de savoirs qui font la fierté du Burkina.

Le directeur général de l’Ecole nationale de police, Oumarou Songné, a remercié les partenaires pour ces outils de travail pour les deux écoles parce que selon lui, la question des droits humains s’invite dans toutes les missions des services de polices.

« L’utilité ici, c’est de s’approprier les contenus de ces documents pour rendre leur missions plus efficace», a-t-il indiqué.

Agence d’information du Burkina

AO/hb/wis

Orodara : Le secrétaire général de la province du Kénédougou Bassama Ko préside la cérémonie de montée de couleurs

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Orodara : Le secrétaire général de la province du Kénédougou Bassama Ko préside la cérémonie de montée des couleurs nationales 

Orodara, 8 août 2023 (AIB)-Le secrétaire général de la province du Kénédougou Bassama Ko à présidé dans la matinée du lundi 7 août 2023, la cérémonie de montée des couleurs nationales dans l’enceinte du district sanitaire de Orodara.

À l’occasion de la cérémonie de montée des couleurs nationales, le Médecin du district sanitaire de Orodara Dr Ghislain Bouda s’est réjoui du choix de son service pour abriter cette cérémonie solennelle pleine de sens surtout en ces temps d’insécurité qui courent dans notre pays.

Selon lui, la montée des couleurs est un moment pour chaque citoyen burkinabè d’exprimer ses sentiments d’appartenir à la mère patrie qui est le Burkina Faso.

Il a remercié le premier responsable de la province du Kénédougou en l’occurrence le Haut-commissaire pour tous les appuis au système de santé à travers le district sanitaire de Orodara.

Au nom du Haut-commissaire empêché, le secrétaire général de la province du Kénédougou Bassama Ko a remercié et félicité le Médecin chef et son équipe pour l’accueil et la forte mobilisation autour de cette activité.

En outre, il a rappelé l’importance du drapeau pour un pays. À en croire M. Ko, les couleurs nationales sont d’importance capitale et sont caractérisées par trois éléments essentiels à savoir la souveraineté, la présence de l’état sur un territoire et le sentiment de fierté d’appartenir à une nation. Pour ce faire, il a invité les uns et les autres à respecter les couleurs nationales.

Agence d’information du Burkina

AK/wis

Région du Nord : Le nouveau directeur régional de l’Economie et de la Planification Polycarpe Naré installé

Nord- Economie-Planification

Région du Nord : Le nouveau directeur régional de l’Economie et de la Planification Polycarpe Naré installé

Ouahigouya, 8 août 2023 (AIB)-Le secrétaire général de la région du Nord Albert Kuilga Zongo, a présidé ce mardi 08 août 2023, à Ouahigouya, la cérémonie officielle d’installation de Polycarpe Naré comme nouveau directeur régional de l’Economie et de la Planification du Nord (DREP/Nord).

La cérémonie de passation et d’installation du nouveau directeur régional de l’Economie et de la Planification du Nord (DREP/Nord) Polycarpe Naré, s’est déroulée en présence des corps constitués de la région et de représentants de la Direction Générale de l’économie et de la Planification (DGEP).

C’est le secrétaire général de la région du Nord Albert Kuilga Zongo qui a officiellement installé, au nom du gouverneur de la région, Polycarpe Naré dans ses fonctions de nouveau directeur régional de l’Economie et de la Planification du Nord. Le nouveau directeur régional Polycarpe Naré est conseiller des affaires économiques. Il a été nommé en conseil des ministres le 06 juillet 2023.

Le SGR Nord (a gauche) remettant la certificat de prise de service a Polycarpe Naré

M. Naré a remercié sa hiérarchie pour la confiance portée sur sa modeste personne pour assumer cette responsabilité. Il a sollicité l’accompagnement du directeur sorti et l’ensemble du personnel, des corps constitués de la région car pour lui, les défis sont énormes surtout dans ce contexte de crise sécuritaire et humanitaire.

Le directeur régional de l’Economie et de la Planification du Nord, Sanousso Savadogo qui a passé le relais, a occupé le poste plus de six ans. Il a fait un bilan non exhaustif des actions que son service a mené dans plusieurs domaines de la planification.

Sanousso Savadogo directeur sorti a reçu les félicitations de l’autorité régionale

L’aide à l’élaboration des plans communaux et régionaux de développement, des rapports spéciaux à l’autorité, l’animation des cadres de concertation provinciaux, communaux et au niveau régional en passant par la tenue régulière des assemblées générales des projets et programmes de la région ont été entre autres les activités à mettre à l’actif de M. Savadogo.

Le personnel et le représentant du gouverneur ont félicité le directeur sorti pour la qualité de son management qui a permis de relever les défis de la planification dans un contexte difficile.

Au terme de la cérémonie, le secrétaire général de la région Albert Kuilga Zongo a lancé des mots de remerciements, d’encouragements et prodigué des conseils aux deux cadres de la DGEP.

M. Zongo a invité particulièrement Polycarpe Naré au dialogue permanent avec le personnel, à être résilient pour consolider les acquis engrangés dans la région.

Agence d’information du Burkina

PN/wis

Le Burkina Faso, le Mali et le Niger travaillent pour réduire les effets des sanctions de la CEDEAO

Le Burkina Faso, le Mali et le Niger travaillent pour réduire les effets des sanctions de la CEDEAO

 

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)-Le Burkina Faso, le Mali et le Niger ont convenu le 7 août 2023, de travailler ensemble pour réduire les effets pervers des sanctions économiques et politiques prises par la CEDEAO contre le Niger, a appris l’AIB.

Deux délégations burkinabè et malienne se sont rendues le 7 août 2023 à Niamey pour réaffirmer leurs soutiens aux nouvelles autorités, arrivées au pouvoir le 26 juillet 2023, mais rejetées par la CEDEAO et des chancelleries occidentales.

La délégation burkinabè a été conduite par le ministre en charge de l’Administration territoriale Emile Zerbo, accompagnés par le ministre délégué à la Sécurité, le commissaire de police Mahamoudou Sana, le Chef d’Etat-major Généraldes Armées (CEMGA), le Colonel-major Célestin Simporé ainsi que de plusieurs hauts responsables militaires.

Côté Malien, il y avait de hauts responsables militaires avec à leur tête le ministre d’Etat, ministre de l’Administration Territoriale et de la Décentralisation, porte-parole du Gouvernement, le Colonel Abdoulaye Maïga, avec à ses côtés le ministre en charge de la Défense, le Colonel Sadio Camara et le CEMGA, le Général Harouna Samaké.

Les deux délégations ont expliqué aux autorités nigériennes qu’elles ont été mandatées par les présidents Ibrahim Traoré et Assimi Goita, afin de leur réitérer les fermes engagements du Burkina Faso et du Mali à soutenir le Niger en ces moments difficiles.

Comme l’indiquait déjà le communiqué conjoint n°1 du 31 juillet 2023, les gouvernements malien et burkinabé ont fait part de leur solidarité avec les nouvelles autorités du Niger, en notant entre autres que toute attaque dirigée contre le Niger serait une déclaration de guerre contre le Mali et le Burkina Faso.

Les autorités du Niger ont donné des informations aux émissaires qui leur ont permis de bien appréhender la situation que vit le Niger.

Les trois pays ont convenu de partager leurs expériences mais surtout de travailler ensemble pour réduire les effets pervers des sanctions économiques et politiques prises contre le Niger.

Les partenaires ont précisé que ces sanctions provoquent des conséquences nuisibles sur les populations et sur la sécurité de leurs territoires

Au terme de la rencontre de travail, le président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP, le général de brigade Abdourahame Tiani a grandement remercié ses homologues burkinabè et malien pour les soutiens apportés.

Le chef de l’Etat nigérien a également salué les délégations pour leurs prompts soutiens au peuple nigérien à ce moment crucial de la vie du Niger.

Les délégations burkinabè et malien ont regagné leurs pays dans la soirée du lundi 7 août 2023, en assurant que le Burkina Faso et le Mali restent aux côtés du Niger, un pays ami et frère.

Agence d’information du Burkina

Burkina : « L’application Sank Money est belle et bien un produit de Sank Business et non de Sank Finance » (administrateur général Sada Zougmoré)

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Burkina : « L’application Sank Money est belle et bien un produit de Sank Business et non de Sank Finance » (administrateur général Sada Zougmoré)

Ouagadougou, 8 août 2023 (AIB)-« L’application Sank Money est belle et bien un produit de Sank Business et non de Sank Finance », a indiqué le lundi 7 août 2023, à Ouagadougou, l’administrateur général de Sank Business Sada Zougmoré au cours d’une conférence de presse.

L’administrateur général de Sank Business Sada Zougmoré a convié les journalistes à une conférence de presse le lundi 7 août 2023 à Ouagadougou pour donner sa version des faits sur une publication de l’ex administrateur général et cofondateur résident aux Etats unis, Jules Kadher Kaboré.

Dans sa publication sur sa page Facebook, le samedi 5 août 2023 soir, Jules Kadher Kaboré écrit : « nous avons remarqué l’existence d’une nouvelle plateforme dénommée Sank Money venant d’une entreprise appelée Sank Finance qui se fait passer pour Sank Business. Jusqu’à présent nous ignorons les motifs de cette société. Vigilance et prudence en attendant que nous réunissons tous les détails ».

Selon l’administrateur général de Sank Business Sada Zougmoré, « l’application Sank Money est belle et bien un produit de Sank Business et non de Sank Finance comme le prétend M. Kaboré (l’ex administrateur général et cofondateur)».

« De l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (ARCEP) à Orange, nous avons toujours utilisé Sank Business dont nous sommes actionnaire majoritaire avec 80% des parts », a-t-il affirmé.

Dans sa publication, M. Kaboré a affirmé : « pour l’heure Sank Business se désengage de tout ce que cette société pourrait poser comme action en son nom » en précisant qu’il est le Fondateur et PDG de Sank Business.

Pour l’administrateur général Sada Zougmoré, Jules Kadher Kaboré « n’est plus PDG de Sank Business ». « Il a depuis le 23 décembre 2022 céder 80% des parts à M. Boureima Nanema, il est et restera le cofondateur avec 20% », a-t-il souligné.

M. Zougmoré a estimé que Jules Kadher Kaboré parle dans sa publication, « comme s’il n’était au courant de rien » alors qu’il leur a « vendu l’entreprise ». Il a signifié que cela « dénote vraiment de la mauvaise volonté de ce dernier ». « Dès aujourd’hui, nous porterons une plainte contre lui pour diffamation », a-t-il promis.

Concernant Sank Finance, Sada Zougmoré a expliqué qu’ils ont pensé à le créer afin d’accompagner les femmes et les jeunes avec des micro-crédits, étant donné que Sank Business n’est pas autorisé à le faire et que Jules Kadher Kaboré est bien informé de cela.

L’administrateur général Sada Zougmoré est aussi revenu au cours de la conférence de presse sur les conditions de participation de son équipe technique dans le capital de Sank Business à 80%.

Il a relaté que c’est à la suite de négociations débutées le 10 novembre 2022, que la signature du premier acte de cession a eu lieu le 23 décembre 2022 avec le paiement de 50 millions de FCFA. Il a précisé que l’article 2 de ladite convention donne tous les droits et pouvoir à l’actionnaire majoritaire dès sa signature.

C’est donc en s’appuyant sur cet article que l’administrateur général et son équipe technique ont « décidé le 31 décembre 2022, du changement de la charte graphique et annoncé les couleurs sur la page Facebook officiel de l’entreprise » a fait savoir Sada Zougmoré.

« Le 10 janvier 2023, une réunion de prise de contact avec le personnel a eu lieu ici même au siège de la société. Le 12 janvier 2023 a eu lieu la prise en main technique entre M. Jules Kaboré et notre équipe technique », a-t-il poursuivi.

A la suite de ces actions, M. Zougmoré a informé qu’un audit technique a été faite et il a « révélé beaucoup d’insuffisances et au regard des amendements et ajouts qui doivent se faire, une refonte de l’application s’imposait ».

Et cette refonde devait se faire par son équipe technique qui devait bénéficier de l’accompagnement de Jules Kadher Kaboré avec tous les accès.

A la suite de l’audit technique, un autre audit sur la gestion financière de Sank Business a été fait. « Notre équipe et celle de Monsieur Kaboré ont audité les comptes de l’entreprise et ont révélé des manquements très graves, toute chose qui a conduit à un amendement de l’acte de cession le 24 février 2023 », a assuré l’administrateur général Sada Zougmoré.

M. Zougmoré déplore donc que Jules Kadher Kaboré « depuis les USA refuse de faire la mutation pourtant l’article 2 de la convention est claire : le cessionnaire sera propriétaire des actions cédées dès la signature ».

« Le 26 juin 2023, notre équipe technique a contacté M. Kaboré pour avoir tous les accès afin d’effectuer les migrations et jusqu’à ce jour, il n’a pas donné suite à cette requête », a-t-il regretté.

Sada Zougmoré a rapporté que Jules Kadher Kaboré a estimé qu’il ne signera la mutation qu’après le paiement du crédit du Fonds burkinabè de développement économique et social (FBDES) alors qu’il n’arrive pas à justifier l’utilisation fait des 50 millions de FCFA que ce Fonds lui a remis. « Pendant que le FBDES, le poursuit pour la justification des sommes reçues, il nous met la pression pour le paiement », a-t-il déclaré.

L’administrateur général dit avoir « approché le FBDES pour avoir le dossier et voir dans quelle mesure payer », mais ce dernier leur a fait comprendre qu’ils doivent fournir d’abord les nouveaux statuts et RCCM avant d’avoir des informations sur le crédit.

De l’avis de M. Zougmoré, M. Kaboré a refusé tout règlement à l’amiable et a envoyé l’affaire à la justice et un juge leur a donné raison. Il a attesté que quand l’affaire est allée en justice, sans même attendre la décision de justice, M. Kaboré a pris le soin de retirer leur chargé à la communication de la page Facebook de l’entreprise et bloqué tous les accès de l’application.

Il a noté que depuis janvier 2023, son équipe et lui payent le loyer, les salaires et tous les charges de l’entreprise bien qu’il n’y avait pas d’activité.

Sank Business, est une structure de transfert d’argent lancée le 06 janvier 2021 par Jules Kadher Kaboré et Dramane Kiendrebeogo.

Suite à des difficultés financières, les fondateurs ont cédé le 23 décembre 2022, 80% des parts de l’entreprise à M. Boureima Nanema.

Agence d’information du Burkina  

LM/wis

Burkina : plus de 12 millions de contribution du PPS pour l’effort de paix

BURKINA-ECONOMIE-SECURITE-POLITIQUE-PPS-DON

Burkina : plus de 12 millions de contribution du PPS pour l’effort de paix

Ouagadougou, 8 Août 2023 (AIB) – Le président du Parti panafricain pour le salut (PPS) Abdoulaye Mossé a remis mardi à Ouagadougou un chèque de 12 202 220 FCFA au ministre de l’économie, des finances et de la prospective Aboubakar Nacanabo, comme contribution à l’effort de paix, a constaté un journaliste de l’AIB.

Une forte délégation du PPS conduite par son président Abdoulaye Mossé a effectué le déplacement du ministère de l’économie, des finances et de la prospective pour faire ce don (chèque), pour accompagner le Gouvernement dans sa lutte pour la sécurisation du Burkina Faso.

Le président Mossé à expliqué que c’est la contribution des militants (dans les provinces et les villages les plus reculés du pays) de son parti, le PPS qui ont contribué à hauteur de 100F par militant depuis le 29 mai à la date d’aujourd’hui, pour réunir cette somme.

« A travers les familles, au niveau des partis politiques, nous essayons de soutenir socialement des situations qui ne sont pas facile dans la plupart des provinces. L’action d’aujourd’hui était de marquer dans la conscience de nos militants à travers le Burkina Faso en leur demandant un effort minimal de 100f pour que nous puissions collecter et soutenir le gouvernement », a déclaré le président du PPS, Abdoulaye Mossé.

Il a expliqué que « le montant importe peu. C’est en réalité une invite à d’autres partis politiques de faire mieux que nous, pour le bonheur de nos populations. Nous avons travaillé sur l’ensemble du territoire et à la date d’aujourd’hui nous avons 41 provinces qui ont contribué. Les autres provinces qui ne sont pas encore arrivées avec leur contribution, peuvent se rattraper avec les haut-commissaires ou d’autres structures ».

Pour le ministre Nacanabo qui a salué à sa juste valeur cet élan de solidarité, « la présente cérémonie de remise de chèque au profit du Fonds de soutien patriotique par le PPS est un signal fort qui vient encore nous réconforter dans notre intime conviction que la solidarité agissante et l’union des fils et filles de notre patrie, sont les socles sur lesquels nous nous appuierons pour en finir le plus vite possible avec l’hydre terroriste ».

Il a rassuré les militants du PPS que « des dispositions seront prises pour garantir une gestion saine et transparente des contributions reçues ».

Mossé sur la suspension des activités des partis politiques

« C’est une période très difficile pour les partis politiques avec la suspension des activités. Il faudra mener d’une manière subtile, à ne pas troubler l’ordre publique et la sensibilité des uns et des autres. Nous avons déjà transmis au gouvernement les produits de nos réflexions d’une commission qui a travaillé trois mois durant par rapport à nos propositions pour la sortie de crise », a fait savoir le président du PPS Abdoulaye Mossé.

Pour lui, « la situation n’est pas facile mais nous demandons au gouvernement de laisser une porte ouverte pour recevoir les critiques et les suggestions pour améliorer les choses. Pour ce qui est de la suspension des activités des partis politiques, d’une manière ou d’une autre, (on pouvait), ne serait-ce que permettre aux membres des bureaux exécutifs, de se réunir. Notre contribution aurait pu dépasser ce que nous avons amené aujourd’hui ».

La suspension des activités des partis politiques est entrée en vigueur en septembre 2022.

Le Parti panafricain pour le salut (PPS) est né le avril 2022.
Agence d’information du Burkina
as/ata

SIAEL 2024 :  De nombreuses distinctions en perspectives pour les acteurs du monde rural

SIAEL 2024 :  De nombreuses distinctions en perspectives pour les acteurs du monde rural

La 7e édition du Salon International de l’Agriculture, de l’Environnement et de l’Elevage (SIAEL) organisé par l’Association pour le Développement du Monde Rural (ADMR) va saluer le mérite de plusieurs acteurs du monde rural, dans la soirée du 24 février 2024, à l’occasion de la nuit de récompenses des acteurs du monde rural dénommé « Kũuri d’or ».

L’agriculture, l’environnement et l’élevage sont les secteurs clés sur lesquels les pays du continent africain devraient s’appuyer pour propulser leur développement. Au Burkina Faso ces secteurs emploient 86% de la population. Afin d’encourager et de créer une saine émulation entre les acteurs, l’ADMR tient pour la 7e fois le SIAEL du 20 au 24 février 2024, dans la commune rurale de Komsilga, province du Kadiogo, région du Centre.

Outre les expositions, les séances de dégustation de mets locaux, les conférences et des rencontres B to B, une soirée d’hommage aux acteurs du monde rural dénommée « Kũuri d’or », est programmée pour le samedi 24 février 2024.

La cérémonie sera patronnée par les premiers responsables du Burkina Faso, et avec l’implication des Partenaires Techniques et Financiers, des ONGs et Associations internationales de développement, des ministères techniques concernés. Il s’agit des ministres en charge de l’Agriculture, de l’Élevage et de l’Environnement.

Selon Jean Victor Ouédraogo, secrétaire exécutif de l’Association pour le Développement du Monde Rural (ADMR), promotrice du SIAEL, cette adhésion des plus hautes autorités du Burkina Faso à l’initiative, témoigne de l’importance et de la pertinence de cette activité qui entre en droite ligne des priorités actuelles de notre développement socioéconomiques.

Célébrer les modèles de réussite

A entendre M. Ouédraogo, le « kũuri d’or » (qui signifie daba en langue locale Moore) est un cadre privilégié de récompenses des meilleurs acteurs du monde rural, des partenaires techniques et financiers intervenant dans les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de l’environnement. « Les récipiendaires du « Kũuri d’or » constituent des modèles, des exemples de réussite pouvant impacter les autres acteurs dans leurs domaines respectifs », précise Jean Victor Ouédraogo. Il ajoute que l’événement constitue un miroir pour chaque acteur et suscite en lui un besoin constant d’une transformation continue et positive de son activité.

Le secrétaire exécutif de l’ADMR souligne que le « Kũuri d’or » comprend neuf (09) prix officiels dont trois « kũuri d’or », trois « kũuri d’argent » et trois « kũuri de bronze » et une vingtaine de prix spéciaux.

A quelques huit mois du SIAEL, l’ADMR est engagée dans une course contre la montre pour mobiliser des ressources afin de valoriser l’excellence dans le monde rural. C’est ainsi que Jean Victor Ouédraogo, commissaire général du SIAEL lance un appel pressant aux décideurs politiques (gouvernement, Assemblée Législative de la Transition, les délégations spéciales, entre autres), au secteur privé (Banques, Institutions de Microfinance, Assurances, prestataires de services) et aux Partenaires Techniques et Financiers. Il compte également sur les ONGs et Associations internationales de développement, les professionnels de l’agriculture, de l’élevage et de l’environnement pour boucler le budget en rapport avec la 7e édition du SIAEL.

Après six éditions, la Foire Internationale, Agro-sylvo-pastorale de Komsilga (FIKOM) a changé de dénomination pour devenir le Salon International de l’Agriculture, de l’Environnement et de l’Élevage (SIAEL). Ce changement de dénomination répond à la nécessité de réajuster certains aspects afin d’orienter l’évènement vers un format plus adapté à l’envergure nouvelle que les promoteurs souhaitent le donner.

Les compétitions pour la sélection des meilleurs acteurs du monde rural sont ouvertes.

Vous pouvez dès à présent annoncer votre candidature au Comité d’organisation à travers les adresses ci-dessous :

Tél : (00226) 76605533/ 70217140

E-mail : siael2024@gmail.com

Encadré

Zoom sur les récompenses

  • Pour cette 7e édition du SIAEL, les récompenses se présentent comme suit :

1) 09 Prix officiels (agriculture, élevage, environnement) :

– le Kũuri d’or (03);

– le Kũuri d’argent (03) ;

– le Kũuri de bronze (03).

2) Les récompenses

  1. a) Récompenses individuelles

– le prix de la meilleure productrice et du meilleur producteur dans le domaine de l’agriculture,

– le prix du meilleur producteur et de la meilleure productrice dans le domaine de l’élevage,

– le prix de la meilleure femme transformatrice des produits forestiers non ligneux.

  1. b) Récompenses collectives,

–  le prix du meilleur groupement (féminin et masculin) dans le domaine de l’agriculture,

–  le prix du meilleur groupement (masculin et féminin) dans le domaine de l’élevage,

–  le prix de la meilleure association transformatrice des produits forestiers non ligneux.

3) Les prix spéciaux pour les meilleurs acteurs d’appui au développement du monde rural :

  • la meilleure ONG d’appui au monde rural ;
  • le meilleur investisseur dans le domaine du monde rural ;
  • la première région dans la production céréalière ;
  • la première région dans la production animale ;
  • la première région dans la promotion des PFNL;
  • la meilleure exposante ;
  • le meilleur exposant ;
  • la promotion des mets locaux ;
  • le prix de la diaspora dans les secteurs agro-sylvo-pastoraux ;
  • le prix de la meilleure intégration technique de l’information et de la communication (TIC) et agro sylvo pastoralisme ;
  • le prix de la meilleure innovation Agro sylvo pastorale Africaine ;
  • le prix de la meilleure intégration production et protection de l’environnement ;
  • le prix de la protection des droits humains dans l’agrosylvopastoralisme ;
  • le meilleur bas-fond rizicole ;
  • la meilleure exploitation familiale.

4) Prix spécial du jury

Ce prix est attribué à une personnalité politique, économique, religieuse, coutumière ou une organisation de la société civile ayant impacté positivement les changements dans le monde rural.

NB: Cet article est une contribution extérieure.

Ouagadougou : Bientôt des contrôles inopinés pour vérifier l’application des tarifs des parkings  

Ouagadougou : Bientôt des contrôles inopinés pour vérifier l’application des tarifs des parkings

 

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)-La mairie de Ouagadougou compte organiser bientôt des contrôles inopinés pour vérifier l’application des tarifs des parkings, a appris l’AIB.

 

Dans un communiqué en date du 4 août 2023, la commune de Ouagadougou a prévenu qu’elle va retirer les agréments aux parkeurs qui ne respectent pas les tarifs fixés en 2015, pour les vélos, les motos et les véhicules.

 

Pour ce faire, des contrôles inopinés auront lieu, précise le texte.

En rappel, selon les arrêtés municipaux de 2015, dans les établissements scolaires et universitaires, les écoles de formations professionnelles, les formations sanitaires, les pharmacies, les morgues et les cimetières, les cyclistes doivent payer 25FCFA, les motocyclistes 50FCFA et les automobilistes 100FCFA.

 

Les prix passent au double au niveau de l’administration publique, des yaars et marchés.

 

Pour les loisirs, les concerts et les spectacles, les propriétaires de vélos paient 100FCFA, ceux des motos 200FCFA et ceux des véhicules quatre roues 500 FCFA.

Agence d’information du Burkina

«Le président Bazoum est le seul président du Niger», réaffirme la France

«Le président Bazoum est le seul président du Niger», réaffirme la France

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)-«Le président Mohamed Bazoum est le seul président du Niger», a réaffirmé mardi la France, assurant également qu’elle continue de reconnaitre Aïchatou Boulama Kane comme l’ambassadrice de Niamey à Paris, malgré la fin de ses fonctions décidée par les militaires au pouvoir, depuis le 26 juillet 2023.

Agence d’information du Burkina

Ouagadougou : Bientôt des contrôles inopinés pour vérifier l’application des tarifs des parkings

Ouagadougou : Bientôt des contrôles inopinés pour vérifier l’application des tarifs des parkings

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)-La mairie de Ouagadougou  compte organiser bientôt des contrôles inopinés pour vérifier l’application des tarifs des parkings, a appris l’AIB.

Dans un communiqué en date du 4 août 2023, la commune de Ouagadougou a prévenu qu’elle va retirer les agréments aux parkeurs qui ne respectent pas les tarifs fixés en 2015, pour les vélos, les motos et les véhicules.

Pour ce faire, des contrôles inopinés auront lieu, précise le texte.

En rappel, selon les arrêtés municipaux de 2015,  dans les établissements scolaires et universitaires, les écoles de formations professionnelles, les formations sanitaires, les pharmacies,  les morgues et les cimetières, les cyclistes doivent payer 25FCFA, les motocyclistes 50FCFA et les automobilistes 100FCFA.

Les prix passent au double au niveau de l’administration publique, des yaars et marchés.

Pour les loisirs, les concerts et les spectacles, les propriétaires de vélos paient 100FCFA, ceux des motos 200FCFA et ceux des véhicules quatre roues 500 FCFA.

Agence d’information du Burkina

 

Intervention militaire au Niger : Le Burkina et le Mali interpellent l’UA et l’ONU

Intervention militaire au Niger : Le Burkina et le Mali interpellent l’UA et l’ONU

Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)-Le Burkina Faso et le Mali ont interpellé mardi, le Conseil de paix de l’Union Africaine et le Conseil de sécurité de l’ONU, sur leurs responsabilités quant aux conséquences imprévisibles d’une intervention militaire, envisagée par la CEDEAO, au Niger.

«Les Gouvernements de Transition du Burkina Faso et de la République du Mali en appellent à la responsabilité principale du Conseil de sécurité (de l’ONU), garante de la paix et de la sécurité internationale, pour empêcher, par tous les moyens à sa disposition, une action armée contre un Etat souverain (le Niger) dont l’ampleur des conséquences serait imprévisible» lit-on dans une lettre commune des chefs des diplomaties burkinabè et malienne, en date du 8 août 2023.

Olivia Rouamba et Abdoulaye Diop qui s’adressent au président du Conseil de sécurité des Nations Unies, ont utilisé les mêmes termes dans une autre lettre adressée le même jour, au président du Conseil de paix de l’Union africaine.

«Nous savons pouvoir compter sur la sagesse du Conseil de sécurité (et du Conseil de paix) pour éviter, outre la dégradation de la situation sécuritaire avec la multiplication et la propagation des groupes terroristes, un drame humanitaire, qui s’ajouterait aux difficultés d’une population en attente légitime d’un soutien pour faire face aux nombreux défis auxquelles elle est confrontée», ont ajouté les deux autorités dans les deux lettres.

 

En rappel, des militaires ont renversé le 26 juillet 2023 le président nigérien Mohamed Bazoum pour protester contre sa gestion de la crise sécuritaire.

Après la levée de nombreuses et sévères sanctions contre le pays, la CEDEAO envisage d’employer la force pour rétablir le président Bazoum.

Le Burkina et le Mali dans un communiqué conjoint avaient déjà assuré qu’ils porteront mains fortes au Niger, en cas d’agression extérieure.

Dans leurs missives à l’UA et à l’ONU, le Burkina Faso et le Mali, ont réitéré «leurs attachements à la recherche de solutions par les voies exclusives de la diplomatie et de la négociation, seules à même de garantir la paix et la stabilité du Niger et de la région».

Agence d’information du Burkina

Le Burkina Faso dénonce une convention fiscale qui le liait avec la France

Le Burkina Faso dénonce une convention fiscale qui le liait avec la France

Ouagadougou, 8 août 2023 (AIB)-Le Burkina Faso a dénoncé hier lundi, la Convention fiscale de non double imposition qui le liait à la France depuis le 15 février 1967, a appris l’AIB de sources sûres.

La Convention fiscale de non double imposition signée le 11 août 1965 entre le Burkina Faso et la République française et entrée en vigueur le 15 février 1967, y compris son avenant signé le 3 juin 1971 et entré en vigueur le 1er octobre 1974, n’obéit plus aux intérêts du Burkina Faso.

Elle a été dénoncée le lundi 7 août 2023 par voie diplomatique avec un délai d’effet d’ici à trois mois, a appris l’AIB.

Ouagadougou accuse Paris d’être restée silencieuse, à ses deux demandes faites en janvier 2020 et en fin 2021, pour renégocier les termes de la convention.

Agence d’information du Burkina

Une ONG permet à 40 mille Américains de retrouver leurs origines burkinabè

Une ONG permet à 40 mille Américains de retrouver leurs origines burkinabè

 Ouagadougou, 8 août 2023(AIB)-L’ONG Azaaban en dix ans d’existence, a permis à 40 mille Américains descendants d’esclaves, de retrouver leurs origines burkinabè, a appris l’AIB.

L’ONG Azaaban qui a fêté à New York, le 5 aout 2023, ses dix ans d’existence, a indiqué avoir permis durant cette période, à 40 mille Américains, descendants d’esclaves, de retrouver leurs origines.

Son président, section Burkina,  Adama Ouédraogo,  a fait cette annonce, lors d’une visioconférence avec Franceline Toé, conseillère spéciale du Premier ministre burkinabè Me Apollinaire Kyelem de Tambèla, chargée de la Diaspora.

L’ONG a été créée en 2013 aux Etats-Unis dans le but de réunir les Américains d’origine burkinabè et organisé leur retour au Burkina Faso, a ajouté M. Ouédraogo, toujours cité par le service de communication de la Primature.

Il a expliqué que ces personnes ont pu identifier leurs origines, à partir des tests d’ADN.

«Le Burkina Faso est cette patrie des ancêtres prête à accueillir toutes celles et tous ceux qui ont le désir de retrouver la patrie d’où sont partis de force leurs ancêtres, pétris de dignité humaine et réduits par la barbarie et l’exploitation d’hommes de peu de foi. La patrie des hommes intègres accueille les descendants de ses enfants à bras ouverts», a déclaré Francine Toé, selon la même source.

Mme Toé a exhorté ces filles et fils du Burkina,  à saisir les opportunités d’investissements au pays, notamment dans les domaines de l’énergie, de la santé, de l’agriculture, de l’énergie solaire, de  l’élevage, des mines, du bâtiment et des travaux publics.

Francine Toé a félicité  l’ONG Azaaban pour le travail difficile qu’elle accomplit dans la quête des africains américains qui recherchent leurs racines.

Selon les Nations-Unies, plus de 15 millions d’hommes, de femmes et d’enfants africains ont été déportés pendant la Traite négrière pendant 400 ans, entre le 15e et le 19e siècle.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

 

Niger: le régime militaire dit ne pas pouvoir accueillir une délégation ouest-africaine        

NIGER-COUP-ARMÉE-CONFLIT-DIPLOMATIE

Niger: le régime militaire dit ne pas pouvoir accueillir une délégation ouest-africaine        

 NIAMEY (Niger), 8 août 2023  – Le régime militaire issu d’un coup d’Etat au Niger a informé la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) dont une délégation voulait se rendre à Niamey, qu’elle ne pouvait pour l’instant pas venir pour des raisons « de sécurité », indique une lettre officielle dont l’AFP a obtenu copie mardi.

« Le contexte actuel de colère et de révolte des populations suite aux sanctions imposées par la Cedeao ne permet pas d’accueillir la dite délégation dans la sérénité et la sécurité requises », indique cette lettre du ministère nigérien des Affaires étrangères, adressée à la représentation de la Cedeao à Niamey.

La Cédeao a menacé d’intervenir militairement au Niger pour rétablir dans ses fonctions le président Mohamed Bazoum, renversé par un coup d’Etat le 26 juillet.

Cette menace, sous forme d’un ultimatum de sept jours fixé au militaires nigériens le 30 juillet par les dirigeants de la Cedeao, n’a pas été mise à exécution à son expiration dimanche soir, l’organisation souhaitant visiblement privilégier la voie du dialogue.

Un nouveau sommet des chefs d’Etat de la Cedeao sur la situation au Niger est prévu jeudi à Abuja, capitale du Nigeria qui assure actuellement la présidence tournante de l’organisation régionale.

Avec l’AFP

Niger: Ali Mahamane Lamine Zeine nommé Premier ministre par le Général de brigade Abdourahamane Tchiani.

#Niger: Ali Mahamane Lamine Zeine nommé Premier ministre par le Général de brigade Abdourahamane Tchiani.

 

Niamey,07 Août (ANP)-Le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), le général Abdourahamane Tiani a nommé, ce lundi 07 Août 2023, M. Lamine Zeine Ali Mahamane, Premier ministre du Niger.

 

Né en 1965 à Zinder, le nouveau Premier Ministre du Niger est un économiste de formation.

 

A ce titre, il a été Ministre des finances de l’ancien Président Mahamadou Tandja avant de se retrouver à la banque Africaine de Développement (BAD) dont il est jusqu’à sa nomination le représentant au Tchad.

Agence nigérienne de presse

Agence d’information du Burkina

Opération vente sur camion : La SONAGESS soulage les PDI de Kaya

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Opération vente sur camion : La SONAGESS soulage les PDI de Kaya

Kaya, 7 août 2023 (AIB)-La société Nationale de Gestion du Stock de Sécurité alimentaire (SONAGESS) a procédé le lundi 7 août 2023 à Kaya, à la vente à prix sociale du maïs au profit des personnes déplacées internes (PDI).

La société Nationale de Gestion du Stock de Sécurité alimentaire (SONAGESS) a offert une opportunité d’achat de maïs aux personnes déplacées internes (PDI) de Kaya, le lundi 7 août 2023 sur le site de Tiwèga 1 sis au secteur 5 de la commune de Kaya.

A la tête d’une longue file d’attente, Sougrémanegdé Sawadogo a présenté sa CNIB à la commission de vente, s’est acquittée des frais d’achat et s’est fait servir un sac de 50 Kg de maïs sur présentation de la quittance.

« Je suis satisfaite car j’ai pu acheter un sac de maïs à un prix vraiment abordable. Nous n’avons pas les moyens de nous offrir un sac de maïs dans le marché en ville » nous confie-t-elle l’air contente.

Un autre client Adama Sawadogo a exprimé son soulagement en découvrant selon lui « que la boîte de maïs se vend actuellement à 500F ».

« Nous rendons grâce à Dieu et nous remercions le gouvernement qui nous accompagne toujours. Nous prions pour que la paix revienne », a-t-il expliqué.

Ce sont au total 800 PDI qui pourront s’acheter un sac de maïs de 50 Kg au prix social de 6000 FCFA à la faveur de l’opération « vente sur camion » organisée à Kaya par la SONAGESS.

« Malgré les 4 points de vente habituels dans la ville de Kaya, nous avons décidé d’appuyer particulièrement les PDI dont les conditions de vie sont difficiles en cette période de soudure par une opération vente sur camion de 40 tonnes de maïs » a confié à l’AIB, le directeur de gestion des stocks alimentaires, directeur général par intérim de la SONAGES Dr Diakalia Son, présent sur le site.

Selon le chargé du projet d’appui à la gestion des stocks d’intervention de la SONAGESS, Jacob Ouédraogo, l’opération « vente sur camion » est une nouvelle initiative qui vise à rendre accessible les céréales au profit des populations vulnérables et à renforcer davantage les actions de la SONAGESS sur le terrain surtout en cette période de soudure.

« Pour sortir de cette période de soudure, il y a la nécessité d’accompagner les populations en général et les PDI en particulier » a-t-il expliqué.

A croire les responsables de la nationale de gestion des stocks de sécurité alimentaire, cette opération en phase d’essai, pourrait être faite à grande échelle à travers le pays au regard de l’engouement.

La vente des céréales de la SONAGESS se fait sur la présentation d’une pièce d’identification ou d’un livret de famille.

« Des dispositions sécuritaires sont prises afin d’éviter que ces céréales ne se retrouvent sur la place du marché » a rassuré le DG par intérim qui avertit que tout contrevenant s’expose à la rigueur de la Loi.

Agence d’information du Burkina

AIO/wis

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