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Fin de séjour du Président ghanéen au Burkina Faso

Fin de séjour du Président ghanéen au Burkina Faso

(Ouagadougou, 11 mars 2025). En début de soirée du 10 mars, le Président de la République du Ghana, John Dramani MAHAMA, est reparti à Accra, après 24 heures de visite de travail au Burkina Faso.

Avant de prendre le chemin retour, Son Excellence le Président John Dramani MAHAMA a confié à la presse être venu, dans le cadre du bon voisinage cher à la tradition africaine, parler essentiellement du renforcement de la coopération bilatérale au Président du Faso, Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.

Dans les grandes lignes, la République du Ghana porte le projet d’un gazoduc avec extension sur le territoire burkinabè, une compagnie aérienne ghanéenne prête également à décoller pour desservir Ouagadougou au quotidien. L’augmentation de la fourniture en électricité au Burkina Faso est également dans l’agenda du nouveau président ghanéen, investi officiellement il y a deux mois. Mais la priorité pour les deux Chefs d’État, c’est de mutualiser les efforts pour vaincre cette guerre impérialiste manifestée en actes terroristes et qui met à mal le développement du Sahel et de toute la sous-région ouest-africaine.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Rachid Bouda remporte la 2e édition de « La pédale de la résilience et de la paix »

CYCLISME-BFA-SPORT-FBC-MINES-ESSAKANE

Rachid Bouda remporte la 2e édition de « La pédale de la résilience et de la paix »

Ouagadougou, 9 mars 2025 (AIB) – Le coureur de l’Association des jeunes cyclistes de Koudougou (AJCK) Rachid Bouda a remporté au sprint dimanche sur l’Avenue Thomas Sankara, la 2e édition de « La pédale de la résilience de la paix » de la société minière Iamgold Essakane, a constaté l’AIB.

Rachid Bouda a bouclé les 121,820km en 2h56mn17s, soit une vitesse moyenne de 41,462km/h. Bouda a déposé le sprinteur de l’US Forces armées Arnaud Guiguemdé qui était à ses trousses pour remporter la course.

Les coureurs devaient parcourir Ouaga-Ziniaré en aller-retour soit 70,62km avant d’assurer le spectacle sur l’Avenue Thomas Sankara dans un critérium de 5,100km à parcourir 10 fois. Sur les 82 coureurs au départ, 41 ont abandonné dès que le peloton est revenu à Ouagadougou pour amorcer les 10 tours de piste, tant la concurrence était rude.

A deux tours de la fin c’est Aziz Balboné (AJCK), peu inspiré, qui tente une échappée solitaire. La contre-attaque s’organise entre l’USFA et l’AS BESSEL. Balboné ne bouclera le tour en tête. Son échappée est vite annulée. Le public sorti nombreux a donc assisté à un sprint massif. Rachid Bouda aura le coup de pédale gagnant puisqu’il va franchir le premier, la ligne d’arrivée. Il succède ainsi à son coéquipier Mouni Vincent qui avait remporté le maillot jaune de la première édition.

Cette compétition a été organisée pour rendre hommage aux femmes, à la faveur du 8 mars, leur journée. Les femmes minières se sont essayées au vélo en levée de rideau avant que les habituées ne rentrent en compétition. La course s’est déroulée sur l’Avenue Thomas Sankara. Les coureuses ont parcouru 10 fois le circuit fermé de 5,100km.

C’est un trio de l’AS BESSEL qui est arrivé sur la ligne, avec en tête Adèle Guissou. Elle a profité de la double chute de Awa Bamogo (USFA) et de la panne de Lamoussa Zoungrana (AS BESSEL) pour s’offrir le trophée.

Le vainqueur chez les hommes a remporté le trophée, le maillot et la somme de 500 000FCFA, pendant que chez les dames, la première s’en est sortie avec 200 000FCFA.

La compétition a été organisée par la société minière Iamgold SA et pour le ministre de l’énergie, des mines et des carrières Yacouba Zabré Gouba qui a assisté à la course, « cet exercice va contribuer à préparer nos coureurs pour les échéances futures. Nous avons espoir que cette course perdurera et sera inscrite dans l’agenda du cyclisme burkinabè ».

Pour le directeur pays de Iamgold Essakane Tidiane Barry qui s’est réjoui de la tenue de l’événement «la course a été une réussite à tous les niveaux. Iamgold est une entreprise citoyenne et la course cycliste est un sport qui représente mieux la résilience ».
Agence d’information du Burkina
as/ata

Bientôt  un gazoduc entre le Burkina Faso et le Ghana 

Bientôt  un gazoduc entre le Burkina Faso et le Ghana

(Ouagadougou, 10 mars 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a reçu en audience au Palais de Koulouba, le Président de la République du Ghana, John Dramani MAHAMA, en visite de travail au Burkina Faso. A l’issue de ce conclave, le Président ghanéen a fait un point de presse.

Au Palais de Koulouba, les deux Chefs d’État se sont entretenus en tête-à-tête. Cette séance a été ensuite élargie aux délégations des deux pays et a permis de revisiter l’excellente relation de coopération entre la République du Ghana et le Burkina Faso et de dégager des perspectives pour le renforcement de l’axe Ouagadougou-Accra.

Au cours de son point de presse de fin de séjour, le Président John Dramani MAHAMA a rappelé que la République du Ghana et le Burkina Faso sont unis par la géographie et l’histoire. Il inscrit du reste son voyage dans la tradition africaine qui recommande que les voisins se rendent visite.

Le Président John Dramani MAHAMA a saisi l’occasion pour traduire sa reconnaissance au Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ qui avait fait le déplacement d’Accra pour son investiture en janvier dernier.

Venir ensemble à bout du « cancer » du terrorisme

Au cours de cette séance de travail, plusieurs sujets d’intérêt commun ont été abordés. Au titre des questions sécuritaires, le Président du Ghana a insisté sur la nécessité de mutualiser les efforts pour combattre ensemble le « cancer » du terrorisme.
Les échanges entre les deux Chefs d’État ont aussi porté sur l’accroissement des échanges commerciaux et le renforcement de la coopération économique entre les deux pays. « Notre objectif est de fluidifier la libre circulation des biens et des personnes et de faciliter le transit des biens et marchandises du Burkina Faso à partir du corridor du Ghana », précise le Chef de l’État ghanéen.

Perspectives concrètes : un vol aérien quotidien entre les deux capitales et un gazoduc entre les deux pays

Les deux Chefs d’État ont également saisi l’opportunité des échanges pour aborder le renforcement de la liaison aérienne entre Ouagadougou et Accra. « Il y a une compagnie aérienne locale au Ghana qui envisage ouvrir une ligne directe sur Ouagadougou avec au moins un vol par jour », affirme le Président John Dramani MAHAMA. La construction du gazoduc Accra-Bolgatenga et la possibilité de son extension au Burkina Faso ainsi que la fourniture d’électricité au Burkina Faso ont été des perspectives évoquées, a soutenu le président ghanéen.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Komondjari/8 mars: L’entrepreneuriat agricole des femmes au cœur d’une conférence

Burkina-Komondjari-Célébration-8 Mars

Komondjari/8 mars: L’entrepreneuriat agricole des femmes au cœur d’une conférence

Gayéri, 10 mars 2025 (AIB)- A l’ occasion de la célébration de la journée internationale des droits de la femme de ce 8 mars 2025, le Secrétaire général de la province de la Komondjari, Drissa Ouédraogo a animé une conférence sur l’entrepreneuriat agricole au profit des femmes de la province.

Au cours de cette conférence le Secrétaire général de la province a indiqué que l’engagement des femmes dans l’entrepreneuriat agricole contribuera à la réduction de la pauvreté féminine et permettra la création d’opportunités économiques, l’augmentation des revenus des ménages qui contribuera à un développement inclusif.

Cependant, il a noté que les femmes n’ont pas accès à la terre, encore moins à l’accès aux crédits agricoles et d’accompagnement technique. Il a déploré également leur faible accès aux marchés publics.

Pour juguler ces contraintes au développement de l’entrepreneuriat féminin, le Burkina Faso a mis en place des politiques notamment des fonds de financement de projets, a fait savoir le conférencier

« Je voudrais souhaiter une bonne et joyeuse célébration de la journée internationale des droits de la femme à toutes les femmes de la province. Que cette année soit pour vous une journée tant rétrospective que prospective. Chaque jour est dédié à la femme mais ce jour doit être pour vous un jour à la fois de bilan avant le 8 mars et de fixation des objectifs à atteindre après 8 mars », a déclaré le Haut-Commissaire de la province de la Komondjari, Valentin GNANOU.

Pour sa part, la représentante de la coordination des femmes a remercié les autorités régionales qui a soutenu l’organisation cette conférence ainsi que les Forces de défense et de sécurité qui veillent jour et nuit à la sécurité du Burkina.

Pour manifester leur soutien patriotique, elles ont mobilisé une somme de cent mille au profit des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de la province.

Agence d’information du Burkina

Gnagnan/Effort de Paix : Des VDP et familles de disparus reçoivent des vivres de près de 2 millions

BURKINA-GNAGNA-EFFORT DE PAIX

Gnagnan/Effort de Paix : Des VDP et familles de disparus reçoivent des vivres de près de 2 millions

Bogandé, 10 mars 2025 (AIB) – Une opératrice économique, ayant requis l’anonymat, a offert, samedi 8 mars 2025, des vivres d’une valeur de 1 850 000 francs CFA aux Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) ainsi qu’aux épouses des VDP tombés au front dans la commune de Bogandé, a constaté l’AIB.

Le don, composé de 100 sacs de riz de 25 kg et de 100 bidons d’huile de 5 litres, a été remis officiellement par le préfet et président de la délégation spéciale de la commune de Bogandé, Taugolo Paré, lors d’une cérémonie empreinte de solidarité et de reconnaissance.

À cette occasion, le préfet a salué l’élan de générosité de donatrice, soulignant que ce geste illustre le soutien de la population aux VDP engagés dans la défense du territoire.

Les bénéficiaires, touchés par cet acte de solidarité, ont exprimé leur profonde gratitude et réaffirmé leur détermination à poursuivre leur mission de protection des populations.

Agence d’Information du Burkina

Burkina : Le gouvernement institue une coiffure uniforme pour tous les apprenants filles et garçons de certaines structures éducatives

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Burkina : Le gouvernement institue une coiffure uniforme pour tous les apprenants filles et garçons de certaines structures éducatives

Ouagadougou, 10 mars 2025 (AIB)-Le gouvernement burkinabè dans un arrêté parvenu ce lundi à l’AIB, institue une coiffure uniforme pour tous les apprenants filles et garçons de certaines structures éducatives.

« La coiffure uniforme des apprenants est faite d’une coupe des cheveux à ras, simple et sans embellissement ni fantaisies quelconques. Toutefois, les tresses et les nattes de cheveux naturels et assimilées sont autorisées pour les filles », indique l’arrêté conjoint parvenu ce lundi à l’AIB.

Il est signé conjointement du ministre de l’enseignement de base, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales Jacques Sosthène Dingara et du ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique Boubacar Savadogo.

L’arrêté conjoint précise que le non-respect de la mesure entraine le renvoi de l’apprenant qui ne peut accéder à la cour de la structure éducative.

5 structures éducatives sont concernées notamment les structures publiques et privées d’éducation préscolaire, les écoles publiques et privées d’enseignement primaire, les structures publiques et privées d’éducation non formelle des jeunes et adolescents, les établissements publics et privés d’enseignement post-primaire et secondaire et les centres publics et privés de formation professionnelle initiale.

L’arrêté conjoint entre en vigueur à partir de la reprise des cours du 3ème trimestre de l’année scolaire 2024-2025.

Agence d’information du Burkina

WIS/AZ

Burkina : Lancement officiel de la vente au détail du sucre SOSUCO

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Burkina : Lancement officiel de la vente au détail du sucre SOSUCO

Ouagadougou, 10 mars 2025 (AIB) – Le ministre en charge du commerce, Serge Gnaniodem Poda a officiellement lancé ce lundi à Ouagadougou, la vente au détail du sucre SN SOSUCO qui se fera à travers des points de vente répartis dans toutes les régions du pays.

« Conformément aux instructions des plus hautes autorités, notamment du président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, nous avons instruit la SOSUCO de procéder à des dépôts de stocks dans les différents démembrements du ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat dans les régions » a indiqué le ministre Poda.

Il a mentionné que des points de vente ont été ouverts à Ouagadougou, notamment au siège du SIAO, à l’immeuble UREBA sur l’avenue Kwame Nkrumah, ainsi qu’à la Maison de l’Entreprise du Burkina Faso.

Selon lui, cette initiative vise à faciliter l’accès des consommateurs à ce produit de grande consommation, notamment en cette période de jeûne pour les communautés musulmanes et chrétiennes.

« Le sucre sera vendu à un prix réglementé de 800 francs CFA par kilo pour le sucre en morceaux et 650 francs CFA pour le sucre granulé à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso », a-t-il informé.

Il a ajouté également qu’un différentiel maximal de 25 francs CFA pourrait être appliqué dans d’autres régions en raison des coûts de transport.

Le ministre en charge du Commerce a par ailleurs souligné que chaque consommateur pourra acheter au maximum 10 kilos, sous réserve de présenter sa Carte Nationale d’Identité (CNIB).

Après le lancement, les ventes ont aussitôt démarré. Moussa Ouédraogo, un client a affirmé avoir acheté 10Kilos de sucre à 750F au siège du SIAO et salué cette initiative.

M. Poda a rappelé que les pratiques de rétention de stock à des fins spéculatives seront sévèrement sanctionnées et les services de contrôle veilleront à la disponibilité effective du sucre pour les consommateurs.

Agence d’Information du Burkina

DM/BO/yos/wis

Tuy : Une journée des communautés pour commémorer le 8-mars 

Burkina-Tuy-Célébration-8 Mars

Tuy : Une journée des communautés pour commémorer le 8-mars

Houndé, 10 mars 2025, (AIB)- La Coordination provinciale des organisations féminines du Tuy avec le soutien du projet Ouagadougou-Koudougou-Dédougou-Bobo-Dioulasso (OKDB), a organisé, une journée des communautés pour commémorer la 168e journée internationale des droits de la femme le samedi 8 mars 2025.

Pour commémorer la 168e journée internationale des droits de la femme, des femmes réunies au sein de la coordination provinciale des organisations féminines du Tuy ont avec le soutien du projet Ouagadougou-Koudougou-Dédougou-Bobo-Dioulasso (OKDB) de la province organisé le samedi 8 mars 2025 à Houndé une journée des communautés pour promouvoir le vivre-ensemble.

La célébration, marquée par des danses traditionnelles et expositions des mets et produits locaux, a permis de découvrir la diversité ethnique et culturelle de la province à travers les communautés Bwaba, Dafing, Gourounsi, Bissa, Dagara, Lobi, Sénoufo, Peulh, Bobo-madarin, Samo, Mossi .

A cela s’ajoute une représentation théâtrale sur la cohésion sociale afin de renforcer les liens entre ces différentes ethnies. Les femmes ont par ailleurs été sensibilisées sur leur rôle dans la promotion de la paix et la cohésion sociale.

Pour la coordinatrice provinciale des organisations féminines du Tuy, Aminata Lamien, 8 mars est un moment propice à la réflexion et à la recherche de solutions visant à améliorer la situation de la femme. Elle a exhorté ses sœurs à saisir cette occasion pour exprimer leurs aspirations profondes et réfléchir sur leurs responsabilités dans les communautés.

Le Secrétaire général de la province (SGP) du Tuy, Dieudonné Zeida a soutenu que le choix du thème national « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina Faso : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes ? », vise à renforcer les capacités des femmes à mieux relever les défis de la crise sécuritaire et susciter le développement de l’entrepreneuriat agricole.

Il assuré que la journée des communautés contribuera sans doute à l’édification d’une culture de paix et de cohésion sociale dans la province.

Le responsable thématique en gestion des ressources naturelles et cohésion sociale du projet OKDB/Tuy, Prosper Ouattara s’est dit impressionné par la richesse culturelle et la dynamique de cohésion sociale des communautés présentes dans la province du Tuy.

Agence d’Information du Burkina

BEB/yos/ata

Léraba/08 mars 2025 : Les femmes mobilisent plus de 500 000 F CFA pour l’effort de paix

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Léraba/08 mars 2025 : Les femmes mobilisent plus de 500 000 F CFA pour l’effort de paix

Sindou, (AIB)-La coordination des femmes de la province de la Léraba, a remis, le samedi 08 mars 2025 à Sindou, la somme de 542 000 F CFA, pour sa contribution à l’effort de paix, lors de la commémoration de la journée internationale de la femme, présidée par le Haut-commissaire de la province de la Léraba, Yacouba Sawadogo.

Elles étaient nombreuses, les femmes issues des coopératives féminines venues des 08 coordinations départementales de la province de la Léraba, pour célébrer la femme, ce samedi 08 mars 2025 à Sindou.

Ces coordinations ont remis au Haut-commissaire de la province de la Léraba, Yacouba Sawadogo, la somme de 542 000 F CFA pour l’effort de paix.

Selon la coordinatrice provinciale, Delphine Sanou, l’objectif recherché la commémoration de cette année est de conscientiser les femmes sur leur autonomisation à travers la gestion entrepreneuriale.

« Je lance un appel à l’endroit des autorités et aux partenaires volontaires de nous aider par rapport à l’octroi des terres aux femmes mais aussi l’organisation des séances de sensibilisation pour elles », a-t-elle ajouté.

En plus de la conférence portée sur le thème national du 08 mars, ces femmes ont effectué le vendredi 07 mars 2025, une marche et ont remis au Haut-commissaire, un plaidoyer sur la construction du nouveau centre médical qui a été promis par le ministre de la Santé lors de son passage en 2024 à Sindou.

La célébration du 08 mars s’effectue de façon tournante d’un département à un autre dans la province de la Léraba, avec pour partenaire officiel le ‘’projets plurielles’’.

Course cycliste féminine, rue marchande, les femmes entreprenantes ont été magnifiées d’attestation et chacun des partenaires a aussi reçu un tableau de reconnaissance.

« Je suis très contente car la mobilisation est de taille et cela dénote de l’entente qui existe entre les femmes de la Léraba », a déclaré la marraine de la cérémonie, Odile Ouédraogo/Kara.

Tout en signifiant sa satisfaction par rapport à la réussite de cette célébration le Haut-commissaire de la province de la Léraba, Yacouba Sawadogo, a exhorté les femmes de s’approprier le thème de cette célébration afin d’atteindre l’autosuffisance alimentaire comme l’a dit le chef de l’Etat.

Agence d’information du Burkina

MK/hb/yo

 

 

Mouhoun/Fermes Agroécologiques polyvalentes de Noakuy et de Moundasso : Le PNUD/PAMED remet les documents de transfert à la commune 

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Mouhoun/Fermes Agroécologiques polyvalentes de Noakuy et de Moundasso : Le PNUD/PAMED remet les documents de transfert à la commune

Dédougou, le 09 mars 2025 (AIB)-La ministre en charge de l’Action humanitaire, le commandant Passowendé Pélagie Kabré/Kaboré a visité, le vendredi 07 mars 2025, la ferme agroécologique polyvalente de Moundasso, à quelques encablures de Dédougou. Le PNUD/PAMED a remis les documents de transfert de ces fermes au président de la délégation spéciale de la commune de Dédougou, Dieudonné Tougfo.

Cette visite de la ministre en charge de L’action humanitaire, le commandant Passowendé Pélagie Kabré/Kaboré, entre dans le cadre des activités marquant les festivités de la 168e journée internationale de la femme dont Dédougou a abrité la célébration nationale sous le thème : « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina Faso : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes ».

Cette ferme agroécologique polyvalente de Moundasso, s’étend sur une superficie de 02 ha, le tout clôturée et équipée dun forage, dun château deau, dune borne fontaine, dun champ solaire et des bassins piscicoles.

Elle est exploitée par 103 petits producteurs issus de 05 coopératives dont 34 hommes, 69 femmes parmi lesquelles figurent 29 Personnes déplacées internes (PDI).

Les objectifs de cette ferme est la production maraichère bio avec des bonnes pratiques agricoles promues à travers entre autres, la production et l’utilisation de fertilisants, intrants et pesticides biologiques et la production de plans en pépinière.

Le commandant Passowendé Pélagie Kabré/Kaboré, accompagnée des membres du gouvernement, a traduit sa reconnaissance au PNUD/PAMED qui offre des outils de production aux couches les plus vulnérables.

Elle a apprécié le dynamisme des exploitants du site pour le travail abattu qui entre dans le cadre de leur autonomisation et de l’amélioration de leurs conditions de vie.

La ministre les a encouragés dans leurs travaux agricoles qui participent à la vision des premières autorités du pays à travers l’offensive agro pastorale.

Pour la représentante des bénéficiaires, Kombelem Pauline, a témoigné sa gratitude au PNUD/PAMED qui les accompagne en aménageant cette ferme pour nous.

« Maintenant, nous arrivons à travailler et chacun de nous arrive à sen sortir financièrement. Vu notre détermination, nous trouvons que ce site est devenu petit et nous sollicitons un autre aménagement pour nous permettre de produire plus », s’est-elle exprimée.

De lavis du représentant-résident adjoint du PNUD par intérim, par ailleurs Team Leader Gouvernance, Dieudonné Kini, les fermes de Moundasso et de Noakuy ont été réalisés dans le cadre du Programme d’amélioration des moyens d’existence durables en milieu rural (PAMED).

Il a indiqué que l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des populations, particulièrement des femmes rurales et les personnes déplacées internes, en renforçant leur résilience face aux défis environnementaux, économiques et sécuritaires.

« Ces fermes agroécologiques, en particulier celle de Moundasso, a permis à plus de 100 producteurs, dont une majorité de femmes déplacées internes, de se réapproprier des savoir-faire agricoles durables, de développer des activités génératrices de revenus et de contribuer à la sécurité alimentaire de leurs familles et de leur communauté », a dit M. Kini.

Le représentant-résident adjoint du PNUD par intérim, a expliqué quà travers ces fermes, les déplacées internes, ont trouvé un espace d’expression, d’innovation, de leadership économique et social et de vivre ensemble.

Il a ajouté que le transfert officiel de ces infrastructures à la commune de Dédougou marque une étape décisive vers la pérennisation des acquis du PAMED.

« En confiant ces infrastructures à la commune de Dédougou, le PNUD réaffirme sa confiance en la capacité des collectivités territoriales à promouvoir un développement inclusif et participatif », a-t-il poursuivi.

Le président de la délégation spéciale communale, Dieudonné Tougfo, a remercié la ministre pour son engagement et sa disponibilité.

Il a rassuré le représentant du PNUD des bonnes dispositions prises pour le bon fonctionnement des dites fermes.

Les fermes agroécologiques polyvalentes de Moundasso et Noakuy restent un échantillon des actions du PNUD en faveur de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Burkina Faso.

Quatre fermes du même genre sont fonctionnelles dans quatre autres communes, ainsi qu’une dizaine de périmètres maraichers conventionnels à travers le pays.

 

Agence dinformation du Burkina

SB/hb/yo

Mouhoun/5e région militaire : 822 soldats VDP pour renforcer les effectifs des forces armées nationales

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Mouhoun/5e région militaire : 822 soldats VDP pour renforcer les effectifs des forces armées nationales

Dédougou, le 09 mars 2025 (AIB)-Le Centre régional d’instruction (CRI) de la 5e région militaire, basé à Dédougou, a organisé le vendredi 07 mars 2025, la sortie de la deuxième vague du contingent exceptionnel 2024, forte de 822 soldats issus des rangs des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la région de la Boucle du Mouhoun. C’était en présence des autorités administratives, coutumières et religieuses, militaires et paramilitaires de la région.

Les effectifs des forces armées nationales du Burkina Faso ont augmenté avec 822 soldats issus de la deuxième vague du contingent spécial de 2024.

Ils sont tous issus des rangs des VDP de la région de la Boucle du Mouhoun dont 116 VDP communaux de la province des Balé, 78 VDP communaux des Banwa, 104 de la Kossi, 156 du Sourou, 223 du Nayala et 145 VDP nationaux issus du bataillon mixte de marche de Dédougou.

Ces soldats formés au Centre régional d’instruction (CRI) de la 5e région militaire ont bénéficié de connaissances et de savoir et savoir être militaires conformes aux objectifs de la formation du soldat.

Cette formation avait pour but de leur inculquer des connaissances et des aptitudes militaires qui leur permettront d’être efficaces et opérationnels sur le terrain.

Ils ont aussi bénéficié de modules dispensés sur le civisme, l’entraînement et l’éducation physique militaire et sportive, la tactique, la topographie, le sauvetage au combat, la sensibilisation sur les engins explosifs improvisés et bien d’autres modules sur la tactique militaire.

Pour le Commandant du Centre régional d’instruction de la 5e région militaire, le lieutenant Ado Denis Ganemtoré, ces 822 soldats ont franchi avec succès les modules de formation et ont tous validé le rallye final avec une moyenne de promotion de 14,63/20 ce qui constitue un engagement fort pour la sécurité et la souveraineté nationale.

Il a salué l’excellent état de discipline, de moral et de cohésion qui a animé cette vague durant toute la formation.

S’adressant aux jeunes soldats, le lieutenant Ganemtoré, les a invités à porter toujours haut les valeurs de discipline, d’abnégation, de courage et de persévérance dans leurs différentes unités.

« La formation qui vient de s’achever nest pas une fin en soi. Elle constitue le piédestal de votre carrière. Aussi, je voudrais que vous sachiez quelle est continue et quelle doit être perfectionnée en tout temps et en tout lieu à travers des entrainements répétitifs », a-t-il dit.

Le chargé de l’expédition des affaires courantes de la 5e région militaire, le lieutenant-colonel Sosthène Coulibaly, après avoir accepté le serment des nouveaux soldats, les a invités à servir avec loyauté, honneur et fidélité larmée du Burkina Faso.

« Désormais, vous êtes dignes d’être considérés non plus comme des recrus, mais comme des soldats aptes pour le métier des armes. Le drapeau auquel vous avez l’honneur d’être présentés, incarne à lui seul, ce que vous aimez et ce que vous défendez. C’est le patrimoine de sueur et de sang que nous ont légué nos ancêtres. Il constitue pour tous, le signe de ralliement dans l’unité pour le meilleur comme pour le pire », a-t-il dit.

Le représentant de la promotion, le soldat de 2e classe Soumaïla Bationo, a témoigné sa gratitude aux responsables du CIR 5e région militaire, pour la qualité de la formation qui fait deux des hommes aguerris, conscients du défi à relever au regard du contexte sécuritaire que connait le Burkina Faso.

Il a pris l’engagement de travailler à mettre en pratique les formations reçues afin d’éradiquer le terrorisme hors de nos frontières.

Le port des épaulettes, des démonstrations de combats, de défense et le défilé ont constitué les parties où les jeunes soldats ont fait preuve de discipline, de savoir-faire, d’harmonie et de cohésion qui sont les valeurs qu’ils ont reçues durant leur formation.

 

Agence dinformation du Burkina

SB/hb/yo

 

Gourma : Des fadalais s’expriment sur la commémoration du 08 mars dans un contexte sécuritaire difficile

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Gourma : Des fadalais s’expriment sur la commémoration du 08 mars dans un contexte sécuritaire difficile

Fada N’Gourma, 09 mars 2025 (AIB)-Les fadalais se sont exprimés, le 08 mars 2025, sur la célébration de la journée internationale de la femme qui s’est déroulée dans un contexte marqué par l’hydre terroriste.

A l’instar des autres villes, Fada N’Gourma a célébré la journée internationale de la femme le 08 mars 2025. Les Fadalais se sont exprimé sur cette commémoration, marquée par le contexte sécuritaire difficile.

La déplacée interne de Pama à Fada N’Gourma, Bibata Sangli, s’est réjouit de la célébration de la journée de la femme car il y a longtemps qu’elle n’a pas eu cette opportunité.

« Je suis satisfaite quand je vois mes sœurs malgré l’adversité se battent quotidiennement font preuve de résilience », a-t-elle indiqué.

Mme Sangli, a déclaré être heureuse de se retrouver avec ses sœurs déplacées internes pour commémorer cette journée qui a eu lieu grâce aux efforts des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP).

« Avec mes sœurs, nous avons fait un rappel sur tout ce que nous faisions au village pendant les moments de paix qu’elles attendent impatiemment à l’occasion de la journée de la femme », a fait savoir Bibata Sangli.

Son cri de cœur c’est l’appel à la tolérance, à l’acceptation de l’autre pour retour de paix au Burkina Faso.

Amsétou Doussa/Kouadima du centre d’innovation et d’expertise Yanfoadana, la journée de la femme est une journée de réflexion, pour bien nourrir l’esprit de la femme afin qu’elle puisse se prendre en charge pour son propre épanouissement.

« Quand la femme est épanouie, c’est toute la famille qui en profite. Célébrer la journée de la femme ne se limite à des réjouissances, c’est plutôt une opportunité pou elle de réfléchir sur ce qu’elle peut entreprendre pour être libre », a dit Mme Doussa.

Pour elle, la femme était déjà confrontée à des multiples difficultés dans la région de l’Est.

« De nos jours, avec la crise multidimensionnelle, la femme paie le plus de tribu. Avec ce contexte actuel, soutient-elle, la femme doit entreprendre pour surmonter les défis qui se présentent à elle», a-t-elle laissé entendre.

Dramame Ludovic Thiombiano de l’Association pour le développement des communautés villageoises (ADCV), a souligné que les femmes et les enfants sont les grandes victimes dans la crise qui sévit le Burkina Faso depuis près de 10 ans en général et la région de l’Est en particulier.

« La femme est notre mère, notre épouse et notre sœur. Des associations et ONG travaillent pour donner du sourire à la femme qui est le plus souvent en première ligne en cas de conflit ou de désastre », a laissé entendre M. Thiombiano.

Selon lui, avec ce contexte particulier, les femmes avec l’aide des ONG, associations et l’Etat, bénéficient de plusieurs dont on pourrait citer entre autres la mariculture, les micros crédits et la formation.

« Nous voulons dire aux femmes qu’elles ne sont pas seules, a-t-il souligné. Nous vivons avec elles leur souffrance et nous essayons comme nous pouvons à les accompagner », a ajouté Dramame Ludovic Thiombiano.

Pour l’élève du lycée scientifique régional de Fada N’Gourma, Lorena Bassolé, le 08 mars est la plus belle journée de la femme.

« Nous devrons la vivre nous filles, femmes, nos épouses dans la joie et l’amour. La femme, c’est la mère de l’humanité », a-t-elle poursuivi.

Pour cela, a-t-elle estimé, la femme doit être courageuse car sans elle le monde ne peut pas connaitre de développement.

Lorena Bassolé a soutenu que pour que la femme devienne actrice de développement il faudrait que la jeune fille aille à l’école et ait à accès à un emploi décent.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

Kourittenga/Journée de la femme : Plan Burkina s’engage à soutenir l’entreprenariat agricole des femmes du Kourittenga

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Kourittenga/Journée de la femme : Plan Burkina s’engage à soutenir l’entreprenariat agricole des femmes du Kourittenga

Koupéla, 08 mars 2025 (AIB)-L’ONG Plan international bureau du Centre-Est et de l’Est à Koupèla, s’est engagé, le samedi 08 mars 2025, à soutenir l’entreprenariat agricole des femmes de la province du Kourittenga, lors de la commémoration de la 168e journée internationale des droits de la femme à Koupèla.

Placée sous le thème « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricoles des femmes ? », la 168e journée internationale de la femme, a été présidée par le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo.

Plan International Burkina Faso a encore réaffirmer son engagement à toujours accompagner la femme surtout dans le volet de l’entrepreneuriat en mettant l’accent sur les métiers porteurs.

Selon la coordonnatrice provinciale des femmes du Kourittenga, Marie Thérèse Sandwidi/Yamba, la mobilisation des femmes pour suivre la conférence sur le thème de l’année témoigne leur volonté à s’attacher à l’entrepreneuriat agricole.

« Nous avons eu la chance d’avoir Plan International Bureau de Koupèla qui a accepté de nous accompagner cette année. C’est grâce à son appui que nous avons eu la conférence de ce matin. Il y a eu d’abord d’autres activités avant la journée d’aujourd’hui », a-t-elle indiqué.

Pour Mme Sandwidi, l’importance de la conférence d’arriver ensemble avec les différentes couches sociales à réfléchir sur le comment mettre en pratique le thème de cette année.

Le chargé du programme de Plan, Paul Doyigbé, a trouvé que la thématique est sensible car la structure mène déjà pas mal d’activités en vue de permettre aux femmes de s’autodéterminer.

« Avec les engagements du gouvernement en parlant de l’offensive agricole sylvopastorale, nous déroulons également des activités en lien avec ce secteur entre autres, le renforcement des capacités des femmes en culture maraîchère, la formation au tissage, la formation sur les activités génératrices de revenus», a dit M. Doyibé.

Pour le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, les communications sur le thème national témoigne la reconnaissance du gouvernement de la part contributive de la femme dans l’agriculture du pays et les a invités à s’engager davantage en louant leur bravoure.

« Je voudrais profiter de cette occasion pour saluer toutes les femmes du Kourittenga, saluer leur courage, leur résilience et les invités à rester mobiliser autour notre gouvernement afin que nous puissions très prochainement en finir avec l’hydre terroriste dans notre pays », a ajouté M. Ilboudo.

Les autorités ont visité les stands d’expositions des femmes de la province.

Plan International a remis du matériel de tissage et de maraichage aux femmes et filles vulnérables.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

Zondoma : Le cimetière du secteur 1 débarrassé de ses ordures

Burkina/Zondoma-Nettoyage-Cimetière

Zondoma : Le cimetière du secteur 1 débarrassé de ses ordures

Gourcy, 9 mars 2025 (AIB) – La veille citoyenne du secteur 1 de Gourcy a initié une opération de nettoyage du cimetière du quartier, le dimanche 9 mars 2025.

Rendre propre le cimetière de leur quartier, c’est l’objectif qui a mobilisé les jeunes du secteur 1 de Courcy le dimanche 9 mars 2025. Armés de râteaux, de machettes, de brouettes, ils ont nettoyé le cimetière en le débarrassant des sachets, des herbes, des arbustes et autres immondices qui l’envahissaient.

Pour le coordonnateur provincial des organisations de veille citoyenne du Zondoma, Oumarou Ouédraogo, présent sur les lieux, cette initiative des jeunes du secteur 1 s’inscrit dans le cadre du mot d’ordre du président du Faso invitant les citoyens à promouvoir le développement communautaire notamment par l’assainissement de leur cadre de vie. « Je suis venu les soutenir et les encourager à poursuivre avec d’autres activités communautaires », a indiqué le coordonnateur.

« Le cimetière est situé au milieu des concessions, et en tant que jeunes, nous ne pouvons pas le regarder dans un tel état, sans rien faire. C’est pourquoi nous sommes sortis aujourd’hui pour le rendre propre », a expliqué Abdoulaye Ouédraogo.

Les femmes du quartier ont également marqué leur présence à cette activité communautaire. Par la voie de Awa Ouédraogo elles entendent contribuer à assainir leur cadre de vie. « Nous allons tous finir ici, il faut donc que nous gardions ces lieux propres par respect pour ceux qui y sont déjà et pour nous aussi », a déclaré Mme Ouédraogo.

« Nous voulons saisir cette occasion pour témoigner notre soutien au Président du Faso et lui demander de poursuivre le travail jusqu’à la libération totale du pays », a-elle ajouté.

Il faut noter que les jeunes du secteur 1 sont en pleine organisation pour l’installation de leur cellule de veille citoyenne. À cet effet ils ont déjà fini l’aménagement du rond-point qui leur servira de quartier général.

Agence d’Information du Burkina

AK/dnk/ata

𝐂𝐨𝐨𝐩é𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐛𝐢𝐥𝐚𝐭é𝐫𝐚𝐥𝐞 : 𝐧𝐨𝐜𝐞𝐬 𝐝’𝐨𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐱𝐞 𝐎𝐮𝐚𝐠𝐚𝐝𝐨𝐮𝐠𝐨𝐮 – 𝐋𝐚 𝐇𝐚𝐯𝐚𝐧𝐞

𝐂𝐨𝐨𝐩é𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐛𝐢𝐥𝐚𝐭é𝐫𝐚𝐥𝐞 : 𝐧𝐨𝐜𝐞𝐬 𝐝’𝐨𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐱𝐞 𝐎𝐮𝐚𝐠𝐚𝐝𝐨𝐮𝐠𝐨𝐮 – 𝐋𝐚 𝐇𝐚𝐯𝐚𝐧𝐞

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé une audience, ce lundi 10 mars 2025, à l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Cuba au Burkina Faso, Nadieska Navarro Barro. Cette rencontre a été marquée par des échanges autour des relations bilatérales entre les deux nations vieilles de 50 ans et des perspectives de renforcement de la coopération.

En poste au Burkina Faso depuis septembre 2020, l’ambassadeur de la République de Cuba au Burkina Faso, Nadieska Navarro Barro, a fait le déplacement de la Primature pour adresser ses félicitations et vœux de succès au Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

La diplomate cubaine a également annoncé la visite prochaine du ministre cubain des Affaires étrangères, prévue pour le vendredi 14 mars 2025. Cette visite officielle s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations diplomatiques entre les deux pays.

Depuis l’établissement officiel de leurs relations diplomatiques, le 11 décembre 1975, le Burkina Faso et la République de Cuba ont développé une coopération dynamique, notamment dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’agriculture.

« La brigade médicale cubaine est présente au Burkina Faso depuis près de 40 ans. Cuba octroie aussi régulièrement des bourses de médecine aux étudiants burkinabè », a expliqué Nadieska Navarro Barro.

Outre ces secteurs traditionnels de coopération, l’ambassadeur a évoqué l’intérêt de son pays pour un partenariat accru dans le domaine agricole.

« L’agriculture est un secteur très important pour les autorités burkinabè. Nous allons explorer les possibilités d’une assistance technique cubaine », a-t-elle indiqué.

Les célébrations du 50ᵉ anniversaire des relations diplomatiques entre Cuba et le Burkina Faso, prévues pour le 11 décembre 2025, seront une occasion de mettre en lumière les avancées et les perspectives d’avenir entre les deux pays amis.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

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#SIGBurkina
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Alerte: CM2026: « toutes la nation veut la qualification pour une première fois en coupe du monde », selon Brama Traoré

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Alerte: CM2026: « toutes la nation veut la qualification pour une première fois en coupe du monde », selon Brama Traoré

Ouagadougou, 10 mars 2025 (AIB) – L’entraineur des Etalons du Burkina Faso Brama Traoré a déclaré lundi que toute la nation attend d’une qualification historique de l’équipe à la Coupe du monde, lors de la conférence de presse qu’il a animée à Ouagadougou pour dévoiler les 25 joueurs convoqués pour les éliminatoires du mondial 2026.

« Toutes la nation veut la qualification pour une première fois en coupe du monde. L’encadrement travaillera à engranger les six points qui compteront pour la qualification. Même si on n’est pas premier de notre groupe, on va jouer les matchs de barrage », a déclaré l’entraineur des Etalons Brama Traoré qu’il voulait donner les objectifs des Etalons pour ces deux matchs des 4e et 5e journées des éliminatoires de la coupe du monde 2026.
L’entraineur des Etalons du Burkina Faso Brama Traoré a dévoilé une liste de 25 Etalons avec la présence des principaux cadres de l’équipe et de nouvelles têtes. C’est le cas du seul joueur local, Memel Dao, sociétaire de l’AS SONABEL, de Guy Arsène Kouassi (AC Ajaccio, France), Mohamed Zoungrana (Mouloudia Club, Algérie), et de Cyriaque Kalou Bi Irié (Troyes, France). Il y a également le retour de Ismaïla Ouédraogo dit NGolo Kanté (Atromitos FC, Grèce).

La Coupe du monde 2026 va se jouer au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis.
Gardiens
Hervé Koffi (RC Lens, France), Kylian Nikiéma (ADO La Haye, Pays-Bas), Farid Ouédraogo (AS Vita Club, RD Congo)
Défenseurs
Issa Kaboré (Werder Brême, Allemagne), Edmond Tapsoba (Bayer Leverkusen, Allemagne), Issoufou Dayo (RS Berkane, Maroc), Nasser Djiga (Wolves, Angleterre), Steeve F. Yago (Aris Limassol, Chypre), Adamo Nagalo (PSV Eindhoven, Pays-Bas), Mohamed Yabré (ASEC d’Abidjan, Côte d’Ivoire), Guy A. Kouassi (AC Ajaccio, France)

Milieux
Memel Dao (AS SONABEL, Burkina Faso), Cédric Badolo (Spartak Trnava, Slovaquie), Mohamed Zoungrana (Mouloudia Club, Algérie), Blati Touré (Pyramide FC, Egypte), Josué Tiendrébéogo (FC Annecy, France), Saidou Simporé (National Bank of Egypt SC, Egypte), Dramane Salou (FK Sloutsk, Biélorussie), Ismaïla Ouédraogo (Atromitos FC, Grèce)
Attaquants
Franck Lassina Traoré (Shakhtar Donetsk, Ukraine), Dango Ouattara (Bournemouth, Angleterre), Bertrand Traoré (Ajax Amsterdam, Pays-Bas), Hassane Bandé (HJK Helsinki, Finlande), Mohamed Konaté (Al-Riyadh FC, Arabie Saoudite), Cyriaque Kalou Bi Irié (Troyes, France).
Agence d’information du Burkina
as/ata

Burkina : Le Temple évangélique Grâce et Victoire (TEGV) éveille la conscience des chrétiens

Burkina : Le Temple évangélique Grâce et Victoire (TEGV) éveille la conscience des chrétiens

Ouagadougou, le 10 mars 2025 – (AIB) – Le pasteur Elie Koumbem a clôturé, le 9 mars 2025 à Ouagadougou, la 12ᵉ édition du SION 2025 du Temple évangélique Grâce et Victoire (TEGV). Durant trois jours, des leaders religieux ont travaillé à l’éveil des consciences des fidèles chrétiens.

« Nous avons œuvré à éveiller la conscience des chrétiens, pour que l’Église africaine, qui sera bientôt la plus grande au monde, puisse répondre aux défis et marquer son époque », a laissé entendre le pasteur Eli Koumbem.

Il a expliqué que le christianisme est perçu de différentes manières : « une conviction en Palestine, une philosophie en Grèce, une civilisation en Europe, une entreprise aux États-Unis. Mais en Afrique, il est vu comme un “espoir” pour les optimistes et une “confusion” pour les pessimistes. »

« Face à cette diversité de perceptions, nous voulons qu’ensemble, nous puissions conjuguer nos efforts pour impacter notre société », a-t-il renchéri.

L’orateur Martin Kabré a affirmé que tout chrétien est appelé à mener des batailles pour la gloire de Dieu et pour refléter l’image de l’Église africaine.

Ainsi, durant ces trois jours de réflexion, il a eu pour mission de ramener le peuple de Dieu à vivre selon la Parole, à reconnaître son identité et à marcher dans la sanctification.

Le président du comité d’organisation, Armand Ouédraogo, a exprimé sa satisfaction : « Le SION 2025 a été une réussite. Il a regroupé plus de 1 000 participants venus de diverses églises du Burkina Faso. »

Il a précisé que l’événement a été couronné par une évangélisation dans la zone de Ouaga 2000, où plus de 100 personnes ont reçu des enseignements et 18 ont donné leur vie à Jésus-Christ.

Agence d’information du Burkina

Coopération Burkina Faso-République du Ghana : John Dramani MAHAMA en visite à Ouagadougou

Coopération Burkina Faso-République du Ghana : John Dramani MAHAMA en visite à Ouagadougou

(Ouagadougou, le 10 mars 2025). Le Président de la République du Ghana, Son Excellence John Dramani MAHAMA, est arrivé ce lundi matin à Ouagadougou pour une visite de travail au Burkina Faso. Il a été accueilli à l’aéroport international de Ouagadougou par le Président du Faso, Chef de l’État, Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. A sa descente d’avion, le président ghanéen a eu droit aux honneurs militaires. Il a également reçu des mains du Capitaine Ibrahim TRAORÉ le traditionnel chapeau de Saponé avant d’être acclamé par la forte communauté ghanéenne vivant à Ouagadougou.
Les deux Chefs d’État se sont entretenus en privé au salon d’honneur avant de se rendre au Palais présidentiel de Koulouba. Là, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ aura une séance de travail avec son hôte. Au menu des échanges : le renforcement de la coopération bilatérale entre les deux pays, la situation sécuritaire au Sahel, ainsi que la géopolitique sous-régionale et internationale.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Mouhoun/08 mars 2025 : L’importance d’une mobilisation collective pour améliorer les conditions des femmes

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Mouhoun/08 mars 2025 : L’importance d’une mobilisation collective pour améliorer les conditions des femmes

Dédougou, le 08 mars 2025 (AIB)-Le ministre en charge de l’Action humanitaire, le commandant Passowendé Pélagie Kaboré, a présidé, le 08 mars 2025 à Dédougou, la 168e journée internationale de la femme. Elle a souligné l’importance d’une mobilisation collective pour améliorer les conditions des femmes dans un contexte de crise sécuritaire et humanitaire

Placée sous le thème poignant : « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina Faso : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes », la communauté internationale a célébréé en ce 08 mars 2025, la 168e journée internationale de la femme.

La célébration nationale de cette grande fête en honneur de l’autre moitié du ciel dans notre pays a été placée sous le thème : « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina Faso : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes».

Cette cérémonie nationale a été présidée par le ministre en charge de L’action humanitaire, le commandant Passowendé Pélagie Kaboré et sous le parrainage des ministres en charge de l’Urbanisme, Mickaïlou Sidibé, de la Transition digitale, Aminata Zerbo/Sabané et du chef d’Etat-major général des armées, le général de brigade Moussa Diallo.

Les différentes interventions ont souligné l’importance d’une mobilisation collective pour améliorer la condition des femmes, surtout dans un contexte de crise sécuritaire et humanitaire.

Aussi, elles ont mis en lumière le rôle essentiel des femmes dans le développement économique et social du Burkina Faso.

Elles ont reconnu que malgré les défis sécuritaires et humanitaires, les femmes demeurent des actrices clés dans l’agriculture et l’entrepreneuriat d’où l’appel des différents intervenants à mettre en place de stratégies concrètes pour renforcer leur autonomie et leur accès aux ressources.

Pour le commandant Kaboré, le thème est le fruit dune réflexion profonde et engagée et poursuit deux objectifs majeurs que sont l’autonomisation des femmes et la contribution de la femme à la sécurité alimentaire du Burkina Faso.

 

« Cela s’inscrit dans la dynamique de l« Offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025 », lancée par son Excellence Monsieur le Président du Faso et dont l’ambition est d’assurer la souveraineté alimentaire du Burkina Faso et partant, créer au moins 100 000 emplois décents dans le secteur agropastoral », a-t-elle indiqué.

Pour elle, l’entrepreneuriat agricole des femmes demeure une problématique majeure qui s’impose à notre pays et constitue un frein à sa croissance économique et sociale sans laquelle il sera difficile d’atteindre de façon irréversible les objectifs de développement durable.

Le ministre en charge de l’Action humanitaire, le commandant Passowendé Pélagie Kaboré, a ajouté qu’il est plus que nécessaire de soutenir les efforts des femmes en matière d’entreprise agricole afin de permettre de créer entre autres, des opportunités économiques, d’augmenter les revenus des ménages et d’améliorer la sécurité alimentaire.

« La réflexion autour de ce thème permettra de trouver sans nul doute les voies et moyens pour continuer d’assurer la production agricole, d’adopter des pratiques agricoles plus adaptées au contexte de changement climatique mais aussi de proposer des stratégies pertinentes qui permettront d’accroître la résilience des femmes et d’assurer la relance économique », a-t-elle expliqué.

De même, les parrains, par la voix du ministre Mickaïlou Sidibé, ont reconnu que les femmes sont confrontées à des nombreux défis tels que l’accès à la terre, aux crédits, aux intrants et aux nouvelles technologies.

Pour cela, ils ont plaidé auprès des autorités administratives et coutumières afin de faciliter l’accès des femmes à la terre.

« En tant que marraine et co-parrains, nous vous rassurons de notre entière disponibilité à vous accompagner dans toutes vos actions de promotion de l’entrepreneuriat agricole », a-t-il dit.

Les femmes de Dédougou, tout en reconnaissant les multiples efforts consentis par le gouvernement pour l’amélioration des conditions de vie des femmes, ont plaidé pour la finalisation et louverture du nouveau centre hospitalier universitaire régional de Dédougou.

Le chantier de cet hôpital démarré il y a environ huit ans est en souffrance rendant l’opérationnalisation de certains services hospitaliers difficiles.

En reconnaissance des efforts déployés pour la promotion des activités des femmes, une trentaine de personnes, tant physiques que morales, ont reçu des distinctions.

Ces récompenses soulignent l’importance de l’engagement communautaire dans la lutte pour l’égalité des sexes et le soutien à l’entrepreneuriat féminin.

Un moment fort de la cérémonie a été la remise de matériel aux femmes formées en transformation de produits agropastoraux. Cet équipement, offert par le gouvernement, vise à améliorer leur capacité de production et à les soutenir dans leurs initiatives entrepreneuriales.

Cette action symbolise l’engagement du gouvernement à promouvoir l’entrepreneuriat des femmes, essentiel pour la résilience et la sécurité alimentaire du pays.

La célébration de la Journée internationale de la femme à Dédougou a été un moment fort d’engagement et de réflexion.

Elle a mis en exergue les défis auxquels les femmes font face dans un contexte de crise, tout en affirmant leur rôle crucial pour le développement économique du Burkina Faso.

Les initiatives prises lors de cette journée sont une promesse d’un avenir où les femmes seront pleinement intégrées dans le tissu économique et social du pays.

Agence dinformation du Burkina

SB/hb/yo

Gourma/Journée de la femme : Un forum régional féminin pour fortifier la résilience des femmes

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Gourma/Journée de la femme : Un forum régional féminin pour fortifier la résilience des femmes

Fada N’Gourma, 08 mars 2025 (AIB)-Dans le cadre de la célébration de la 168e Journée international de la femme, le centre pour le genre, la gouvernance et le développement, a organisé, ce samedi 08 mars 2025 à Fada N’Gourma, un forum régional « Féminin CRACK Fada 2025 », pour fortifier la résilience de la fille et de la femme.

Au regard du contexte actuel du Burkina Faso en général et celui de la région de l’Est en particulier, les femmes ont beaucoup de préoccupations dont entre autres, celles liées à la scolarisation à la santé, à l’agriculture et à la nutrition.

Dans le cadre de la commémoration de la 168e journée internationale de la femme, le genre, la gouvernance et le développement a organisé un forum régional féminin, ce samedi 08 mars 2025 à Fada N’Gourma.

Le président du comité d’organisation du forum, Alassane Lompo, a laissé entendre que les activités menées dans le cadre de cette journée visent à fortifier la résilience de la fille et de la femme.

Pour lui, si les filles et les femmes sont fortes, ce sont les familles qui sont fortes par ricochet ce sont les communautés qui sont fortes.

M. Lompo, a ajouté que la force de la nation résulte de la force des communautés.

« Fortifier la résilience de la jeune fille et de la femme pourrait passer par l’accompagnement des structures associatives dans l’offre éducative, dans les équipements médico-sanitaires et les actions de changements de comportements », a affirmé le président du comité d’organisation.

Le parrain de cette journée par ailleurs directeur des affaires financières de l’Université Joseph Ki-Zerbo, Amidou Lompo, a trouvé que le thème du présent forum est pertinent et interpellateur, loin des activités de réjouissance.

« Chacun peut apporter sa contribution à la présente réflexion pour le bonheur de la femme dans cette crise multidimensionnelle », a-t-il estimé.

« Bien qu’éprouvée par la crise sécuritaire, la femme de la région de l’Est continue de jouer son rôle de mère éducatrice, d’apporter son soutien économique. Donc, investir dans une femme, c’est investir dans un foyer », a soutenu Amidou Lompo.

Le parrain a demandé aux femmes d’être plus résilientes en apportant le soutien à leurs maris qui sont au front pour la reconquête du territoire, qui affrontent quotidiennement l’adversité car l’homme est assuré lorsqu’il sait qu’une femme est derrière pour prendre soins de leurs enfants.

Avant la tenue du forum régional, une course cycliste a mis en compétition plus de 100 femmes déplacées internes. Les 15 premières femmes ont reçu chacune un prix.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

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