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Burkina : « Il faut d’abord travailler à éliminer les sources de division pour réussir l’unité africaine », Nathalie Yamb

BURKINA–RÉVOLUTION–PROMOTION–IDÉAUX

Burkina : « Il faut d’abord travailler à éliminer les sources de division pour réussir l’unité africaine », Nathalie Yamb

Ouagadougou, 18 mai 2025 (AIB) – La militante panafricaniste Nathalie Yamb a indiqué, hier dimanche, qu’il faut d’abord œuvrer à éliminer les sources de division pour réussir l’unité africaine.

« Je pense que pour réussir l’unité africaine, il faut d’abord travailler à éliminer les sources de division, puisque désunis, nous sommes faibles, mais unis, nous sommes forts », a déclaré la militante.

Selon elle, pour concrétiser cette unité africaine, il est nécessaire que les Africains s’affranchissent au préalable de toutes les sources de désunion, qui profitent aux impérialistes.

Nathalie Yamb s’exprimait dimanche à Ouagadougou, au cours d’une conférence publique sur la promotion des idéaux du capitaine Thomas Sankara.

Cette conférence, consacrée aux idéaux du père de la Révolution burkinabè d’août 1983, a été placée sous le thème : « L’Afrique que nous rêvons selon Thomas Sankara ».

Animant la thématique « Unité africaine : Comment et quand ? », Mme Yamb a précisé que la division est une arme historique de l’impérialisme.

Elle a également expliqué que les guerres, le terrorisme sponsorisé, la corruption des États africains et la manipulation de la jeunesse africaine sont, entre autres, des sources de division.

À son avis, pour parvenir à une véritable unité africaine, il faut instaurer la bonne gouvernance, encourager des interactions équilibrées avec l’extérieur à travers des partenariats gagnant-gagnant, garantir la souveraineté des peuples et éviter la trahison au sein des États africains.

Le président de l’Urgence panafricaine au Niger, Abdouramane Oumarou, co-panéliste avec Nathalie Yamb, a indiqué que le plus important est de faire comprendre aux Africains qu’ils ne pourront rien réussir aujourd’hui sans l’unité.

Selon lui, la Confédération des États du Sahel (AES) peut être considérée comme un embryon des futurs États-Unis d’Afrique.

Le communicateur Abdouramane Oumarou a souligné que les Européens se sont inspirés des idées de l’ancien président ghanéen Kwame Nkrumah pour mettre en place l’Union européenne.

À ses dires, les Africains doivent se réapproprier les idéaux des pères des indépendances, en vue de créer une véritable unité africaine et de recouvrer leur souveraineté.

Il a souhaité que les dirigeants des pays de l’AES s’orientent vers une fédération des États africains pour un réel épanouissement des populations.

Agence d’Information du Burkina
BAK/NO/ata

𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐂𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐃𝐄𝐆𝐂)

𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐂𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐃𝐄𝐆𝐂)

Face à l’urgence écologique et aux défis du changement climatique, il devient essentiel de renforcer les capacités juridiques et stratégiques des acteurs du développement, des ONG, des collectivités, des juristes et des agents publics.

🔎 𝐎𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟
Renforcer les compétences des participants pour comprendre, appliquer et défendre les normes juridiques environnementales et climatiques aux niveaux national, régional et international.

📌 𝐀𝐮 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 (9 modules clés) :
𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟏 : 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐮 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭
– Évolution historique du droit environnemental
– Principes fondamentaux (principe de précaution, pollueur-payeur, etc.)
– Principales conventions internationales (CCNUCC, Convention sur la biodiversité, etc.)
– Déclarations et soft law environnementales

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟐 : 𝐂𝐚𝐝𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐮𝐱
– Accord de Paris : obligations et mécanismes
– Contributions déterminées au niveau national (CDN)
– Mécanismes de transparence et de responsabilité
– Financement climatique international

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟑 : 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐧 𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞
– Cadre normatif de l’Union Africaine
– Mécanismes de la CEDEAO relatifs à l’environnement et au climat
– Convergences et divergences des approches nationales en Afrique de l’Ouest
– Études de cas de litiges environnementaux régionaux

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟒 : 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐮 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭
– Analyse comparative des législations environnementales nationales
– Institutions et autorités environnementales
– Mécanismes d’application et d’exécution
– Études de cas pratiques de conformité et de non-conformité

𝐌𝐎𝐃𝐔𝐋𝐄 𝟓 : 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞
– Définition et piliers de la gouvernance environnementale
– Approches participatives et rôle des parties prenantes
– Redd+ et mécanismes de marché carbone
– Enjeux de transparence, redevabilité et justice climatique

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟔 : 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞
– Intersection entre droits humains et changement climatique
– Défense des droits des communautés vulnérables
– Litige climatique
– Protection des défenseurs de l’environnement

𝐌𝐎𝐃𝐔𝐋𝐄 𝟕 : 𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞
– ODD liés à l’environnement et au climat
– Transition énergétique et économie verte
– Défis du développement minier, agricole et urbain durable
– Politiques publiques environnementales

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟖 : 𝐎𝐮𝐭𝐢𝐥𝐬 𝐣𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐝𝐚𝐩𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥’𝐚𝐭𝐭𝐞́𝐧𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧
– Cadres juridiques pour les énergies renouvelables
– Instruments économiques et fiscaux (taxes carbone, subventions)
– Planification de l’adaptation juridiquement contraignante
– Évaluations d’impact environnemental et climatique

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟗 : 𝐌𝐢𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐥𝐚𝐢𝐝𝐨𝐲𝐞𝐫
– Élaboration de documents juridiques environnementaux
– Stratégies de plaidoyer pour la réforme des politiques
– Mobilisation des mécanismes juridiques pour protéger l’environnement
– Élaboration de plans d’action pour l’intégration juridique et environnementale

🎯 𝐏𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 𝐜𝐢𝐛𝐥𝐞 : Juristes, ONG, collectivités, ministères, chercheurs, étudiants, responsables environnement et projets.
📅 𝐃𝐮𝐫𝐞́𝐞 : 42 heures – Du 31 Mai au 22 Juin 2025.
𝐇𝐞𝐮𝐫𝐞 : 15h-20h – Chaque Samedi et Dimanche
📍 𝐋𝐢𝐞𝐮 : Ouagadougou ou par visioconférence | 📞 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐬 & 𝐈𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 : +226 76986565 /E-mail : siemana@outlook.be
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WhatsApp : https://wa.me/p/9821857681186756/22676986565
💰 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐞𝐭 𝐢𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 : 100 000 FCFA dont 20 000 FCFA à l’inscription. Possibilité de payer en deux tranches.

🔖 𝐑𝐞𝐣𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞𝐳-𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐮 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭 !

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Kourittenga/Santé : Le CSPS de Gambaga tient une journée de campagne gratuite de sensibilisation et de dépistage

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Kourittenga/Santé : Le CSPS de Gambaga tient une journée de campagne gratuite de sensibilisation et de dépistage

Kourittenga, 15 mai 2025 (AIB)- Le Centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Gambaga, relevant du district sanitaire de Koupéla, a organisé, le mardi 15 mai 2025 dans ses locaux, une journée de campagne gratuite de sensibilisation et de dépistage, sous la présidence du premier vice-président de la délégation spéciale de la commune de Koupéla, François Xavier Nikiéma.

La campagne gratuite de sensibilisation et de dépistage, organisée  le mardi 15 mai 2025 à Koupéla, a été parrainée par sa Majesté Naaba Belemwendé de Gambaga, avec le soutien des fils et filles de la localité.

Plusieurs activités ont été menées, dont le dépistage des lésions précancéreuses du col de l’utérus et des seins, le dépistage de l’hépatite B, de la syphilis et de l’hypertension artérielle, ainsi que la promotion de l’alimentation du nourrisson et du jeune enfant.

Selon l’infirmier chef de poste du CSPS de Gambaga, Diassanou Dayamba, cette journée vise à sensibiliser la population sur l’importance de la prévention et à encourager l’adoption de comportements favorables à la santé.

« Nous avons constaté que dans notre contexte, de nombreuses personnes ignorent encore les gestes simples qui permettent de prévenir des maladies fréquentes telles que l’hypertension artérielle, le diabète ou les infections transmissibles », a-t-il précisé.

Diassanou Dayamba, a indiqué que cette journée constitue une occasion idéale pour proposer des dépistages gratuits, des séances d’information et promouvoir les bonnes pratiques sanitaires.

« C’est également un moyen de rapprocher les services de santé de la communauté et de renforcer les liens entre les professionnels de santé et la population », a précisé l’infirmier chef de poste du CSPS de Gambaga

Sa Majesté Naaba Belemwendé de Gambaga, s’est réjoui du bon déroulement de cette activité et a félicité les agents de santé pour leur dévouement et les a remercié de l’avoir associé en tant que parrain.

« Je leur exprime toute ma gratitude et les encourage vivement pour les efforts qu’ils déploient en faveur de la santé des populations », a-t-il déclaré.

De son côté, le représentant du PDS, François Xavier Nikiéma, a dit que de telles activités pouvaient être répliquées régulièrement dans plusieurs centres, pour permettre à un plus grand nombre de personnes, souvent ignorantes de certaines maladies, d’être informées.

« En effet, il est essentiel de commencer par des séances de sensibilisation avant de procéder aux dépistages. Car, lorsqu’une maladie est détectée à temps, il devient plus facile de prendre en charge les personnes affectées », a-t-il conclu.

Cette journée s’inscrit dans une dynamique de promotion de la santé communautaire, en mettant l’accent sur la prévention et l’information de proximité.

Une initiative salutaire qui mérite d’être pérennisée et étendue à d’autres localités pour un meilleur accès aux soins préventifs.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

 

Burkina-Sahel-Éducation-Non formelle-Évaluation-Certificative

Séno/Éducation Non formelle : 449 inscrits à l’évaluation certificative session 2025 pour l’obtention de l’attestation d’alphabétisé (AA)

Burkina-Sahel-Éducation-Non formelle-Évaluation-Certificative

Dori, 19 mai 2025 (AIB)- Le Haut commissaire de la province du Séno, Wulfran Bamas, a donné lundi à Dori, le top de départ des évaluations certificatives session 2025 pour l’obtention de l’attestation d’alphatisé (AA).

Au total 449 apprenants, dont 356 femmes et 93 hommes sont inscrits et repartis dans 15 salles de composition. Ils ont composé en études de texte, calcul et lecture.

En dépit du contexte sécuritaire difficile que connaît la province du Séno, les acteurs de l’éducation non formelle (ENF) ont réussi le pari de la continuité de l’alphabétisation en ouvrant et en animant des centres à Falagountou, Gorgadji, Sampelga, Seytenga, Bani et Dori.

Les évaluations certificatives pour l’obtention de l’attestation d’alphatisé des apprenants de ces centres ont débuté à Dori le lundi 19 mai 2025.

Selon les responsables des différents centres de composition, les évaluations se sont bien déroulées et les résultats sont attendus au cours de cette semaine.

Agence d’Information du Burkina 

AMM

Kourittenga/Festival FESTRAGOM : Un cadre dédié à l’ancrage des coutumes et traditions

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Kourittenga/Festival FESTRAGOM : Un cadre dédié à l’ancrage des coutumes et traditions

Koupéla, 15 mai 2025 (AIB)- Le village de Gomtenga dans la commune de Dialgaye, province du Kourittenga, a vibré, le jeudi 15 mai 2025, au rythme des activités de la première édition du Festival des traditions et coutumes de Gomtenga (FESTRAGOM), initié par sa Majesté le Nakom-naaba Saaga.

La célébration de la journée des coutumes et traditions dans le village de Gomtenga à travers le festival FESTRAGOM a réuni, le jeudi 15 mai 2025, des autorités régionales, provinciales, communales, des chefs coutumiers et la population locale.

Le gouverneur de la région du Centre-Est, le Colonel Aboudou Karim Lamizana, a salué l’initiative du promoteur et l’a encouragé à œuvrer dans la dynamique impulsée par les plus hautes autorités.

Sa Majesté Naaba Gounbil-Lil-Tanga de Dialgaye a souhaité que ce soit un espace de partage et de transmission des valeurs coutumières et traditionnelles au profit des jeunes générations.

Le promoteur du festival FESTRAGOM, sa majesté le Nakom-naaba Saaga, a déclaré que les traditions et les coutumes occupent toujours une place centrale dans le village de Gomtenga.

« Il est nécessaire que chaque localité dispose d’un espace ou un cadre dédié à l’enseignement et à la transmission de nos valeurs culturelles. », a-t-il ajouté.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

Burkina/Santé : L’ABNORM lance une semaine de vérification gratuite d’instruments biomédicaux pour des soins de qualité

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Burkina/Santé : L’ABNORM lance une semaine de vérification gratuite d’instruments biomédicaux pour des soins de qualité

Ouagadougou, 19 mai 2025 (AIB)-L’Agence Burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM), a lancé, lundi, la semaine de vérification et d’étalonnage gratuits de certains instruments biomédicaux, pour promouvoir la qualité des soins dans les formations sanitaires.

«Ce jour 19 mai 2025, est marqué par le lancement de la semaine de vérification et d’étalonnage gratuits de certains instruments biomédicaux, tels que les balances, les tensiomètres et les thermomètres utilisés dans les centres de santé », a déclaré le directeur général de l’ABNORM, Abraham Somda.

Il s’exprimait lundi à Ouagadougou, lors du lancement de l’opération de vérification des instruments de mesure de santé dans le cadre de la journée mondiale de métrologie célébrée le 20 mai de chaque année.

Pour le directeur général, le choix du thème mondial : « Des mesures à tous les temps et à tous les peuples », met en lumière le caractère universel des systèmes de mesure, mais aussi leur rôle fondamental dans l’amélioration de la qualité de vie de chacun dans le monde.

Abraham Somda a indiqué que la célébration de cette journée au Burkina Faso est orientée sur la promotion de la métrologie dans la santé, au regard de l’importance de la mesure dans les diagnostics sanitaires.

« L’ABNORM réaffirme une fois de plus son engagement en faveur d’une métrologie accessible, fiable et au service du quotidien des Burkinabè », a soutenu M. Somda.

Il a précisé que la métrologie est la science de la mesure qui se base, entre autres, sur le poids, le volume, la distance, la pression, la température.

La directrice de la qualité des soins de santé, Dr Félicité Nana, s’est réjouie de l’accueil de l’ABNORM dans sa structure dont ses initiatives vont améliorer la qualité des soins des populations Burkinabè.

« Dans le domaine de la santé, nous utilisons plusieurs instruments de mesure pour faire le diagnostic, mais également pour ajuster les traitements au niveau des laboratoires, des prestations de soins, dont la fiabilité va déterminer la qualité du diagnostic mais aussi celle du traitement que nous proposons aux malades », a-t-elle ajouté.

Pour Dr Nana, l’étalonnage des équipements de mesure va renforcer les capacités des soins et affiner les décisions thérapeutiques et diagnostiques au profit des malades.

Elle a remercié l’ABNORM pour l’initiative et a invité les formations sanitaires à s’inscrire dans cette démarche.

« Nous souhaitons que cette initiative devienne une habitude. Je demande à tous les acteurs du ministère de la Santé, aux formations sanitaires, de s’inscrire dans cette dynamique et de faire de la métrologie, désormais, un pan essentiel dans l’offre de soins », a dit la directrice.

Selon la promotrice de la clinique de l’Et, Dr Doris Ouoba, le matériel utilisé pour prendre la température, le poids, la taille doivent être aux normes pour assurer la qualité des soins.

« Si vous avez 20 ou 15 de tension, il faut qu’on se rassure que c’est vraiment cela, sinon vous faites un faux diagnostic parce qu’il faut adapter le traitement à la réalité. Cette démarche de  l’ABNORM  est une très bonne chose», a ajouté Dr Ouoba.

L’opération de vérification des instruments de mesure de santé s’étend du 19 au 23 mai 2025.

Agence d’information du Burkina

HB/no/yo

 

Promotion des langues nationales : La session 2025 de l’évaluation certificative des apprenants en alphabétisation officiellement lancée

Burkina-Alphabétisation-Lancement-Examen

Promotion des langues nationales : La session 2025 de l’évaluation certificative des apprenants en alphabétisation officiellement lancée

Ouagadougou le 19 Mai 2025 (AIB)-Le Ministre de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales, Jacques Sosthène Dingara a lancé lundi la session 2025 de l’évaluation certificative des apprenants en alphabétisation sur toute l’étendue du territoire national à Ouagadougou.

Traditionnellement organisée au niveau local, l’évaluation certificative des apprenants en alphabétisation devient désormais un examen national au même titre que le certificat d’études primaires et le concours d’entrée en classe de 6e.

Environ 38 000 candidats dont 75 % de femmes prennent part la présente session, parmi lesquels nous avons toutes les couches sociales notamment des commerçants, des diplômés, des cadres d’administration.

Selon le ministre en charge de la promotion des langues nationales, Jacques Sosthène Dingara, cette initiative qui vise la promotion des langues nationales va permettre aux concernés de pouvoir lire, parler et écrire dans sa langue maternelle.
Tout en invitant l’ensemble des fonctionnaires et les autres couches sociales à s’inscrire au cours d’alphabétisation, le ministre a souligné que son département réfléchit à un programme qui va permettre aux fonctionnaires de pouvoir apprendre à lire et à écrire dans leurs langues.

M. Dingara a rassuré que les années à venir, les diplômes obtenus à l’issue de ces formations devraient permettre à leurs titulaires d’avoir de l’emploi et trouver de quoi vivre de ce parchemin.

Agence d’information du Burkina
MZ/YOS

Kadiogo/Veille citoyenne : Le réseau des jeunes patriotes érige un rond-point au secteur 32

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Kadiogo/Veille citoyenne : Le réseau des jeunes patriotes érige un rond-point au secteur 32

Ouagadougou, 18 mai 2025 (AIB)- Le Réseau des jeunes patriotes pour la souveraineté africaine (RJPSA) a inauguré dimanche, un rond-point de la veille citoyenne au secteur 32 dans l’arrondissement n°7 pour manifester son soutien au Président Ibrahim Traoré, chef de l’État.

« Le rond-point est aujourd’hui un symbole de résistance, de résilience et de dignité africaine retrouvée », a déclaré le Coordonnateur national du RJPSA, Larba Yaméogo.

Pour lui, ériger un rond-point, c’est une manière d’affirmer son soutien au Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso.

M. Yaméogo s’exprimait samedi à l’occasion de la cérémonie officielle d’inauguration du rond-point du secteur 32 dans l’arrondissement 7 de la ville de Ouagadougou.

Le parrain de la cérémonie, Samuel Ouédraogo, a salué l’initiative tout en félicitant et encourageant les donateurs et les a invités à garder le cap jusqu’à la victoire finale sur le terrorisme.

« Penser à ériger un rond-point dans ce quartier est une chose à saluer. C’est une manière d’affirmer leur patriotisme. Nous les appelons surtout à être soudés pour mener à bien leur travail de veille citoyenne », a affirmé le président du RJPSA, Adama Kontiébo.

Le représentant du chef de Boassa, le Samande Naaba, a imploré les bénédictions de Dieu à l’endroit des autorités du pays.
Afin d’unir davantage les jeunes du quartier, une compétition de pétanque a été organisée pour la circonstance.
Au-delà de la construction de ce rond-point, le Réseau des jeunes patriotes pour la souveraineté africaine prévoit des actions citoyennes dans le quartier comme le curage des caniveaux, le nettoyage des lieux publics ainsi que des sensibilisations.

Agence d’information du Burkina

Sourou/OSCLEP : L’école Alwata Diawara B remporte le trophée de la finale provinciale

Sourou/OSCLEP : L’école Alwata Diawara B remporte le trophée de la finale provinciale

Tougan, 17 mai 2025 (AIB)- L’école Alwata Diawara B a remporté, le samedi 17 mai, le trophée de la finale provinciale de l’Organisation du Sport, de la Culture et des Loisirs à l’École primaire (OSCLEP).

La Direction provinciale de l’Éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) du Sourou a renoué avec les compétitions provinciales de l’Organisation du Sport, de la Culture et des Loisirs à l’École primaire (OSCLEP) après onze ans d’arrêt.
Le thème de cette édition est « Sport, culture et loisirs, creuset de résilience et de cohésion sociale en milieu scolaire. »

Pour l’édition 2025, c’est l’école Alwata Diawara B de la circonscription d’éducation de base (CEB) de Tougan I qui l’a remportée, ce samedi 17 mai 2025 face à l’école Alwata Diawara C de la CEB de Tougan II aux tirs aux buts par 4 à 2.

Le directeur provincial de la DPEPPNF du Sourou, Aldjouma Soro, a exprimé sa satisfaction pour la tenue de l’édition et remercié tous les partenaires pour leur accompagnement.

Le représentant du parrain, Dieudonné Yaro, également Directeur Provincial des Sports et des Loisirs du Sourou a indiqué que le Commandant Karim Souabo, Directeur Général du Fonds national pour la promotion du sport et des loisirs est prêt à accompagner les initiatives visant le développement de l’enfant.

« En tant que fils de la province et convaincu des bienfaits du sport, de la culture et des loisirs sur l’éducation des enfants, j’ai toujours soutenu de telles activités. C’est pour moi ma façon d’apporter ma pierre à la construction de l’édifice », a-t-il dit.

Pour le Haut-commissaire, Désiré Badolo, le choix du thème est interpellateur parce qu’il engage tous les acteurs à développer des initiatives de résilience.

« En dépit de l’adversité, nous devons tenir haut le flambeau de l’éducation dans notre province », a-t-il affirmé.

Il a par ailleurs exhorté les enseignants, à davantage vulgariser les activités sportives, culturelles et de loisirs en milieu scolaire.

Cette édition est placée sous la présidence du Haut-Commissaire de la province du Sourou, Désiré Badolo et le parrainage du Commandant Karim Souabo, Directeur Général du Fonds National pour la promotion du Sport et des Loisirs.

Agence d’Information du Burkina

Ziro : Clôture en beauté des activités culturelles, sportives et de loisirs à Sapouy

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Ziro : Clôture en beauté des activités culturelles, sportives et de loisirs à Sapouy

Sapouy, 16 mai 2025 (AIB)- Après plus de trois mois d’intenses compétitions et d’activités festives, la Circonscription d’Éducation de Base (CEB) de Sapouy a officiellement clôturé vendredi, à l’école Sapouy A, ses activités sportives, culturelles et de loisirs placés sous le thème : « Le sport et la culture à l’école primaire : facteur de cohésion et d’espérance ».

La matinée a été marquée par la finale de handball féminin, opposant les écoles de Tiabien-Kasso et de Lou et au terme d’un match engagé, les filles de Tiabien-Kasso se sont imposées par 5 buts à 3, décrochant le trophée tant convoité.

Par la suite, à 11h30, s’en est suivie les activités culturelles avec de magnifiques prestations de danses traditionnelles exécutées par les écoles, sous les applaudissements nourris du public.

Le clou du spectacle fut la grande finale de football, disputée entre les écoles de Poun et de Kation et après un match âprement disputé, c’est aux tirs aux buts que l’école de Poun a triomphé avec un score sans appel de l’équipe adverse par 3 tirs à 0.

Les 53 écoles participantes ont été récompensées avec des lots composés de brouettes, balais, râteaux et autres matériels d’hygiène, témoignant de l’importance accordée à l’éducation, à la propreté et à la citoyenneté.

Les équipes finalistes ont reçu des trophées, jeux de maillots, ballons et enveloppes financières.

L’école victorieuse de Tiabien-Kasso en handball féminin ainsi que Poun en football ont été particulièrement honorées.

Les vainqueurs des différentes zones de l’OSCEP et les maîtres titulaires des classes de CM2 dont le taux de succès au Certificat d’Études Primaire supérieur ou égal à 80% de l’année scolaire écoulée ont également reçu chacun un ballon en guise de récompense pour les uns et des lettres de félicitation pour les autres.

Pour le Chef de la CEB de Sapouy, Camille Diasso, cette édition est un franc succès.

« Les objectifs sont atteints. Les enfants se sont exprimés, se sont épanouis et ont montré leurs talents. L’innovation majeure, cette année, c’est l’introduction du handball féminin dans nos écoles, et ce fut une véritable réussite », a-t-il déclaré.

La cérémonie s’est déroulée sous la présidence du Préfet, Président de la délégation spéciale de la Commune de Sapouy, sous le parrainage de Sakandé Oumarou dit M’Bolo et sous le co-parrainage de Sakandé Saïdou.

Agence d’information du Burkina
AK/BBP

Zondoma/Mois du patrimoine burkinabè : Les autorités provinciales en immersion sur les sites touristiques de Kindibo

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Zondoma/Mois du patrimoine burkinabè : Les autorités provinciales en immersion sur les sites touristiques de Kindibo

Gourcy, 15 mai 2025 (AIB) – Sous le leadership du haut-commissaire de la province du Zondoma, Aboubacar Sidiki Nabé, les directeurs et chefs de service ont visité ce 15 mai 2025, les hauts fourneaux de Kindibo, un site de métallurgie ancien classé patrimoine de l’UNESCO.

Dans le cadre du mois du patrimoine burkinabè institué par le gouvernement du Burkina, le haut-commissaire de la province du Zondoma invitait les forces vives a visiter les sites touristiques dont regorge la localité. Comme pour donner l’exemple, les autorités provinciales ont initié une sortie sur le site métallurgique ancien du village de Kindibo situé dans la commune de Tougo à environ 20 kilomètres de Gourcy.

L’attraction sur ce site, ce sont les hauts fourneaux qui matérialisent la maîtrise de l’industrie du fer par les anciens habitants de la localité qui sont à n’en point douter une communauté de forgerons encore appelés maîtres du feu et du fer. Guidés par Ylassa Kindo les visiteurs ont pu admirer les fourneaux et aussi les carrières d’extraction du minerais de fer.

Le site qui s’étend sur plusieurs hectares a été classé patrimoine mondial de l’UNESCO selon le directeur provincial en charge de la culture Kassoum Sawadogo qui souhaite que des mesures soient prises pour la sauvegarde de ce patrimoine.

En marge de la visite du site, le haut- commissaire et son équipe ont eu un entretien avec les gardiens des lieux qui, à l’occasion ont fait une démonstration de leur savoir faire dans le cadre de la célébration de la journée des coutumes et des traditions. En plus des hauts fourneaux, la province regorge de nombreux autres sites touristiques comme le musée Birigui Julien Ouédraogo, le Bosquet Naaba Baongo, le mausolée Naaba Yadega, la place Naaba Warma etc. En rappel le mois du patrimoine burkinabè qui est à sa troisième édition est prévu du 18 avril au 18 mai 2025 sous le thème ’’ patrimoine culturel et développement économique’’.

Agence d’Information du Burkina
AK/dnk/ata

Namentenga/ Journée des coutumes et traditions: La colline sacrée de Tan Yiillé accepte les offrandes du chef de Boulsa

Burkina-Namentenga-Coutumes-Journées-Célébration

Namentenga/ Journée des coutumes et traditions: La colline sacrée de Tan Yiillé accepte les offrandes du chef de Boulsa

Boulsa, 15 mai 2025 (AIB)- Le Naaba Sonré, le chef de canton de Boulsa a marqué le jeudi 15 mai 2025, la journée nationale des coutumes et des traditions par des offrandes effectuées à la colline sacrée de Tan Yiillé pour demander la paix, la santé et la prospérité pour son canton et le Burkina Faso. Pour l’occasion, le coq qui a été égorgé est tombé sur le dos prouvant que les offrandes ont été acceptées par les ancêtres.

Dans la soirée du jeudi 15 mai2025, les notables de la cour après des échanges avec le Naaba Sonré, le chef de canton de Boulsa se sont rendus à la colline sacrée de Tan Yiillé avec un coq et une chèvre pour exécuter les sacrifices relatifs à la journée des coutumes et traditions.
Sur les lieux, face aux fétiches, le Dapornaaba, chargé de faire le rituel a prononcé des incantations tout en égorgeant d’abord le coq et par la suite la chèvre.

Le coq, sans se débattre est tombé sur le dos, toute chose qui signifie les ancêtres ont accepté les offrandes faites à leur égard.
« Nos vœux sont agrées », a confié le Dapornaaba avec le sourire aux lèvres tout en se tournant vers les notables témoins privilégiés de la scène.

«Mission bien accomplie. Nous avons exécuté les sacrifices conformément aux instructions souhaitées. Nous avons demandé la paix pour le Burkina Faso. Longue vie au président du Faso, santé, bonheur et prospérité à la population du canton et du pays », a-t-il soutenu.
Pour l’occasion, le Naaba Sonré, le chef de canton de Boulsa a rendu un vibrant hommage aux autorités pour la dignité retrouvée tout en notant que l’espoir est permis pour cette année.

« Je remercie le président du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré pour avoir institué cette journée pour nous », s’est-il réjoui.
Les autorités provinciales avec à leur tête, le haut-commissaire, Adama Conseiga ont souhaité une bonne fête du 15 mai au chef de canton et à ses notables mobilisés pour la circonstance.
Cette journée des coutumes et traditions a été soutenue par l’association Talents Amendé par des troupes danimation culturelles dans la cour royale de Boulsa.

Agence d’information du Burkina
jBD/NO/ATA

« La famille est fondée sur l’union stable entre l’homme et la femme », Pape Léon XIV

« La famille est fondée sur l’union stable entre l’homme et la femme », Pape Léon XIV

Ouagadougou, 18 mai 2025 (AIB) – Le Pape Léon XIV a réaffirmé, vendredi, la doctrine de l’Église stipulant que « la famille est fondée sur l’union stable entre l’homme et la femme ».

Le vendredi 16 mai 2025, le Pape Léon a reçu les diplomates accrédités auprès du Saint-Siège.

Il a saisi l’occasion pour exhorter les gouvernements à « travailler dur pour construire des sociétés civiles harmonieuses et pacifiques ».

Mais de l’avis du Souverain Pontife, cela ne peut être réalisé qu’en investissant dans la « famille, fondée sur l’union stable entre l’homme et la femme ».

Agence d’information du Burkina

Hadj 2025 : 342 pèlerins ont décollé de Bobo-Dioulasso pour l’Arabie Saoudite

Hadj 2025 : 342 pèlerins ont décollé de Bobo-Dioulasso pour l’Arabie Saoudite

Bobo-Dioulasso, 18 mai 2025 (AIB) – Le premier vol du Hadj 2025 en provenance de l’aéroport international de Bobo-Dioulasso a eu lieu dans la matinée de ce dimanche 18 mai. Au total, 342 pèlerins burkinabè ont embarqué à bord d’un appareil de la compagnie Ethiopian Airlines à destination de Médine, en Arabie Saoudite.

Ce départ marque le lancement officiel des vols du Hadj 2025 depuis la capitale économique du Burkina Faso, après ceux déjà enregistrés à Ouagadougou.

La cérémonie de départ s’est déroulée en présence de la gouverneure de la région des Hauts-Bassins, Mme Mariama Konaté, venue encourager les pèlerins. Elle les a exhortés à prier pour la paix, la cohésion sociale et la stabilité au Burkina Faso, tout en les invitant à représenter dignement le pays des Hommes intègres en terre sainte.

Pour cette édition 2025, 8 143 fidèles musulmans burkinabè sont inscrits pour effectuer le pèlerinage à La Mecque.

Agence d’Information du Burkina

Gayeri: Des tireurs démasqués et neutralisés

Gayeri: Des tireurs démasqués et neutralisés

Ouagadougou, 18 mai 2025(AIB)-Le 29 avril 2025, des criminels tentent de harceler un convoi de ravitaillement entre Foutouri et Gayeri, en tirant depuis des hauteurs.

Mais les vecteurs aériens les repèrent, verrouillent leurs positions et les neutralisent. Les unités au sol interviennent ensuite pour achever l’opération.
Agence d’information du Burkina

Djibo: Les Forces combattantes reprennent le contrôle de la situation après de violents affrontements

Djibo: Les Forces combattantes reprennent le contrôle de la situation après de violents affrontements

Ouagadougou, 18 mai 2025(AIB)- Il est environ 5h40mn ce 11 mai 2025 lorsque les premiers rapports d’affrontements à Djibo parviennent aux centres de commandement.

Les vecteurs aériens sont immédiatement mis en alerte et dépêchés dans la zone. Depuis les airs, les pilotes observent une situation critique : la base de Djibo est encerclée par une horde de terroristes arrivés par centaines, voire par milliers, qui progressent dans un assaut coordonné.

Le premier vecteur aérien engage les premières frappes, ciblant les assaillants les plus proches des fortifications.

Mais face à l’ampleur de l’attaque, des renforts aériens sont appelés en urgence.

Tandis que la bataille fait rage autour de la base, un blindé appartenant aux Forces de défense et de sécurité (FDS), préalablement dérobé par les assaillants, est aperçu quittant les lieux. Il est suivi avec précision jusqu’à Nassoumbou, où il est camouflé.

Plusieurs vecteurs rejoignent alors le théâtre des opérations. Une véritable bataille aérienne s’engage au-dessus de Djibo.

Le blindé volé est rapidement localisé et neutralisé. Dans le même temps, des groupes de criminels blessés ou retranchés tentent de se dissimuler dans les fortifications et les bâtiments abandonnés autour de la base. Ils sont repérés, suivis, puis éliminés par des frappes chirurgicales.

En déroute, les terroristes cherchent à exfiltrer leurs blessés. Mais leur tentative est anticipée : alors qu’ils traversent la ville pour rejoindre la zone du barrage en vue d’une fuite, une embuscade aérienne leur est tendue.

Un puissant missile est largué sur le convoi, provoquant de lourdes pertes. Les survivants changent de direction, mais sont à nouveau interceptés par un autre missile.

Plutôt que de poursuivre les rescapés dans leur fuite désorganisée, les forces aériennes optent pour une stratégie de surveillance.

Ils laissent les combattants ennemis regagner leurs bases dans les zones de Nassoumbou, Filio, Kereboule, Taouremba, Bouro, Damba et plusieurs hameaux environnants.

Une fois les caches identifiées, une vaste campagne de frappes aériennes est déclenchée en parallèle de l’arrivée de renforts au sol.

L’après-midi du 11 mai, la contre-offensive commence par Taouremba, frappée avec précision.

Suivent ensuite Filio, où la forte concentration de combattants nécessite plusieurs bombardements successifs, puis Belehedé, où des éléments terroristes s’étaient réfugiés dans un verger. Tous seront « traités » selon la terminologie militaire.

À Kereboule, les positions ennemies sont verrouillées et immédiatement détruites. Les villages de Bouro et Noussoumbou, transformés en bastions terroristes, subissent plusieurs vagues de frappes ciblées.

Alors que les vecteurs survolent encore la zone, des mouvements suspects sont repérés : des groupes ennemis tentent de déplacer de la logistique et de se réorganiser dans les environs de Nassoumbou. Ils seront immédiatement frappés à leur tour.
Agence d’information du Burkina

Sahel: Des orpailleurs affrontent des terroristes mains nues

Sahel: Des orpailleurs affrontent des terroristes mains nues

Ouagadougou, 18 mai 2025 (AIB)-Le 6 mai 2025, dans la région du Sahel, des criminels s’en prennent à un site d’orpaillage. Mais les orpailleurs, malgré leur désarmément, parviennent à les repousser à mains nues et avec des moyens rudimentaires, récupérant leurs armes avant l’arrivée des forces combattantes.
Agence d’information du Burkina

Des terroristes tués par l’armée burkinabè près de la frontière ivoirienne

Des terroristes tués par l’armée burkinabè près de la frontière ivoirienne

Ouagadougou, 17 mai 2025 (AIB)-Le 13 mai 2025, une opération d’envergure est déclenchée dans la forêt de Dida, à la frontière ivoirienne, sur renseignement d’une menace planifiée contre Banfora et ses environs.

Appuyées par les vecteurs aériens, les unités du 2e Groupement d’intervention rapide et du 7e BIR lancent l’opération « Tourbillon vert 3 ».

Une première frappe engage le combat à 14h 26, suivie d’une offensive au sol. Les criminels qui tentent de fuir, sont poursuivis et frappés jusque dans leurs cachettes, subissant des pertes toute la nuit. Plusieurs dizaines d’assaillants sont neutralisés et une importante logistique récupérée.
Agence d’information du Burkina

Burkina Faso : montée en puissance des forces combattantes contre les groupes armés terroristes

Burkina Faso : montée en puissance des forces combattantes contre les groupes armés terroristes

 

Ouagadougou, 18 mai 2025 (AIB) – Au cours des dernières semaines, les forces armées burkinabè, appuyées par les vecteurs aériens, ont mené une série d’opérations offensives d’envergure contre les groupes armés terroristes dans plusieurs zones du pays. Ces opérations coordonnées ont permis d’importants succès tactiques, à la fois au sol et dans les airs.

 

Tout commence le 29 avril, lorsque des criminels tentent de harceler un convoi de ravitaillement entre Foutouri et Gayeri, en tirant depuis des hauteurs. Mais les vecteurs aériens les repèrent, verrouillent leurs positions et les neutralisent. Les unités au sol interviennent ensuite pour achever l’opération.

Le 2 mai, sur la base de renseignements faisant état d’une forte concentration ennemie sous les bois à Sawenga, dans le Centre-est, une frappe aérienne décisive pulvérise une première position. Lorsque les survivants tentent de revenir sur les lieux, ils sont surpris par une seconde bombe.

Ceux qui s’étaient enfuis sont suivis jusqu’à leur base de repli. Là, ils ont été aussi neutralisés.

Le même jour, à Boulsa, une colonne terroriste est prise en chasse et frappée alors qu’elle rejoint un autre groupe. À Diabo, une autre tentative d’approche ennemie est également stoppée net par une frappe.

Le 3 mai, dans le parc W, une importante position terroriste est repérée puis bombardée. Les rescapés, en fuite vers le sud, se réfugient dans un poste forestier abandonné où ils subissent une nouvelle frappe. Ce jour-là encore, les forces au sol mènent une embuscade à Tissé, dans la zone de Nouna, neutralisant plusieurs éléments ennemis et saisissant du matériel.

Par ailleurs, lors de l’arrivée du convoi de Foutouri à Yamba, des terroristes en observation sont anéantis alors qu’ils tentaient de localiser le bivouac. Le lendemain matin, leurs corps sont visibles depuis les airs.

 

Le 5 mai, les unités du BIR 21 tendent une embuscade réussie contre des guetteurs ennemis à Titao. Le même jour, une reconnaissance offensive dans la zone de Tougan permet aux troupes de neutraliser plusieurs criminels et de récupérer du matériel logistique.

 

Le 6 mai, dans la région du Sahel, des criminels s’en prennent à un site d’orpaillage. Mais les orpailleurs, malgré leur désarmement, parviennent à les repousser à mains nues et avec des moyens rudimentaires, récupérant leurs armes avant l’arrivée des forces combattantes.

Le même jour, à Nagare, à l’Est, une frappe élimine un groupe terroriste repéré à proximité du village. Par ailleurs, une importante position ennemie est détectée dans la vallée du Sourou, où un intense bombardement est mené avec succès.

 

Le 8 mai à 5h30, les VDP de Kouri, engagés dans de violents combats dans la zone de Bogandé, tiennent leur position contre une attaque. Les vecteurs aériens prennent en chasse les assaillants en déroute et procèdent à plusieurs frappes.

Les 8 et 10 mai, dans la zone de Djibasso, des reconnaissances offensives permettent de neutraliser d’autres criminels et de récupérer du matériel.

 

Il est environ 5h 40 lorsque les premiers rapports d’affrontements à Djibo parviennent aux centres de commandement. Les vecteurs aériens sont immédiatement mis en alerte et dépêchés dans la zone. Depuis les airs, les pilotes observent une situation critique : la base de Djibo est encerclée par une horde de terroristes arrivés par centaines, voire par milliers, qui progressent dans un assaut coordonné.

 

Le premier vecteur aérien engage les premières frappes, ciblant les assaillants les plus proches des fortifications. Mais face à l’ampleur de l’attaque, des renforts aériens sont appelés en urgence. Tandis que la bataille fait rage autour de la base, un blindé appartenant aux Forces de défense et de sécurité (FDS), préalablement dérobé par les assaillants, est aperçu quittant les lieux. Il est suivi avec précision jusqu’à Nassoumbou, où il est camouflé.

 

Plusieurs vecteurs rejoignent alors le théâtre des opérations. Une véritable bataille aérienne s’engage au-dessus de Djibo. Le blindé volé est rapidement localisé et neutralisé. Dans le même temps, des groupes de criminels blessés ou retranchés tentent de se dissimuler dans les fortifications et les bâtiments abandonnés autour de la base. Ils sont repérés, suivis, puis éliminés par des frappes chirurgicales.

 

En déroute, les terroristes cherchent à exfiltrer leurs blessés. Mais leur tentative est anticipée : alors qu’ils traversent la ville pour rejoindre la zone du barrage en vue d’une fuite, une embuscade aérienne leur est tendue. Un puissant missile est largué sur le convoi, provoquant de lourdes pertes. Les survivants changent de direction, mais sont à nouveau interceptés par un autre missile.

 

Plutôt que de poursuivre les rescapés dans leur fuite désorganisée, les forces aériennes optent pour une stratégie de surveillance : ils laissent les combattants ennemis regagner leurs bases dans les zones de Nassoumbou, Filio, Kereboule, Taouremba, Bouro, Damba et plusieurs hameaux environnants. Une fois les caches identifiées, une vaste campagne de frappes aériennes est déclenchée en parallèle de l’arrivée de renforts au sol.

 

L’après-midi du 11 mai, la contre-offensive commence par Taouremba, frappée avec précision. Suivent ensuite Filio, où la forte concentration de combattants nécessite plusieurs bombardements successifs, puis Belehedé, où des éléments terroristes s’étaient réfugiés dans un verger. Tous seront « traités » selon la terminologie militaire.

 

À Kereboule, les positions ennemies sont verrouillées et immédiatement détruites. Les villages de Bouro et Noussoumbou, transformés en bastions terroristes, subissent plusieurs vagues de frappes ciblées. Alors que les vecteurs survolent encore la zone, des mouvements suspects sont repérés : des groupes ennemis tentent de déplacer de la logistique et de se réorganiser dans les environs de Nassoumbou. Ils seront immédiatement frappés à leur tour.

 

Le 13 mai, dans la zone de Pama, les unités du 25e BIR, en reconnaissance offensive, prennent contact avec l’ennemi, neutralisent plusieurs combattants et saisissent du matériel.

 

Ce même jour à Sollé, des éléments ennemis préparant une embuscade sont détectés par des observateurs avancés. Un chef terroriste est suivi jusqu’à une base, qui est ensuite ciblée et détruite par des frappes coordonnées avec les unités au sol.

 

Le 13 mai encore, une opération d’envergure est déclenchée dans la forêt de Dida, à la frontière ivoirienne, sur renseignement d’une menace planifiée contre Banfora et ses environs.

Appuyées par les vecteurs aériens, les unités du 2e Groupement d’intervention rapide et du 7e BIR lancent l’opération « Tourbillon vert 3 ».

Une première frappe engage le combat à 14h 26, suivie d’une offensive au sol. Les criminels qui tentent de fuir, sont poursuivis et frappés jusque dans leurs cachettes, subissant des pertes toute la nuit. Plusieurs dizaines d’assaillants sont neutralisés et une importante logistique récupérée.

 

Le 14 mai, dans la zone de Silmangue, des criminels dissimulés sous des arbres à Kossogué sont repérés, frappés, puis traqués dans leur fuite. Croyant avoir échappé à la surveillance, ils sont finalement éliminés par un puissant missile. Les hommes du 9e BIR se déploient pour sécuriser définitivement la zone.

 

Enfin, le 15 mai, les hommes du 20e BIR tendent une embuscade à une équipe de guetteurs ennemis, les neutralisent et saisissent du matériel.

Le même jour, d’autres positions ennemies dans la zone de Nassoumbou font l’objet de nouvelles frappes. Les derniers rescapés sont poursuivis en petits groupes et systématiquement traités.

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