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Boulkiemde/Journées des coutumes et Traditions : Une célébration faite à Ipendo pour raviver les valeurs traditionnelles

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Boulkiemde/Journées des coutumes et Traditions : Une célébration faite à Ipendo pour raviver les valeurs traditionnelles 

Ipendo, 15 mai 2025 (AIB)- Le chef de terre de Ipendo, NEYA Ouango, a rassemblé jeudi, une foule nombreuse autour des « fétiches protecteurs » pour célébrer la Journée des Coutumes et Traditions, en vue de raviver les valeurs traditionnelles des Burkinabè.

Dans le respect des rites ancestraux, de l’eau et des poules ont été offertes en sacrifice aux mânes des ancêtres, en guise de prière pour la protection et la bénédiction de toutes les couches sociales.

Dans son allocution, le chef coutumier a insisté sur le caractère sacré et symbolique de cette journée, instituée par le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré, pour raviver les valeurs traditionnelles du peuple burkinabè.

Il a invité les fils et filles du pays à faire confiance à leurs ancêtres, à cultiver l’esprit de cohésion, le pardon et le vivre-ensemble, autant de vertus nécessaires pour ramener la paix et la stabilité au Faso.

La cérémonie s’est tenue en présence des représentants du chef de canton de Sabou, des autorités communales, ainsi que de nombreux visiteurs venus de Ouagadougou et d’autres localités.

La cérémonie s’est achevée dans un climat de satisfaction et de ferveur collective car les poules sacrifiées et le symbole des « pattes en l’air » est un signe que les participants ont vu leurs vœux exaucer et l’acceptation des offrandes par les ancêtres.

Tous sont repartis chez eux empreints de foi, de reconnaissance et d’espérance renouvelée.

Le village de Ipendo, qui est situé à environ 15 km à l’Ouest de Sabou et traversé d’Est en Ouest par la RN1, fait partie des 14 villages composant la commune.

Agence d’information du Burkina

dpt/BBP

Sanematenga : Des acteurs communautaires renforcent leurs capacités à faire face aux tensions sociales

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Sanematenga : Des acteurs communautaires renforcent leurs capacités à faire face aux tensions sociales

Kaya, 22 mai 2025 (AIB)- SEVE Africa en collaboration avec Oxfam, a organisé, du 20 au 21 mai 2025 à Kaya, une formation au profit des acteurs communautaires de la province du Sanmatenga, sur le thème «Prévention, médiation et résolution des conflits communautaires».

La formation, tenue du 20 au 21 mai 2025 à Kaya, a réuni des femmes et des jeunes, issus de différentes organisations locales, dont des leaders communautaires, des autorités locales, des acteurs locaux et des représentants d’instances traditionnelles.

Elle entre dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcer la résilience et la cohésion sociale des populations affectées par les crises et les impacts du changement climatique dans la région du Centre-Nord », financé par le Ministère fédéral de la coopération économique et du développement d’Allemagne (BMZ).

Le Haut-commissaire de la province du Sanmatenga, Idrissa Gamsonré, a indiqué que le choix des organisations de femmes, de jeunes et des leaders d’opinion, constitue sans doute les meilleurs piliers pour véhiculer des messages sur la cohésion sociale et la consolidation de la paix.

Il a invité ainsi les jeunes, les femmes et les leaders d’opinions ici présents à s’approprier du projet et d’être des modèles pour les communautés.

« Au vu de l’importance qu’accorde les plus hautes autorités du Burkina sur le vivre-ensemble, la cohabitation pacifique et l’atteinte des objectifs de nos interventions, je vous invite, à une participation active aux échanges, à travers un dialogue franc et structuré, afin de dégager des bonnes pratiques endogènes en matière de prévention, médiation et de gestion des conflits communautaires pour la paix et la cohésion sociale », a dit M. Gamsonré.

Selon le Haut-commissaire de la province du Sanmatenga, la formation permettra aux participants de comprendre la notion de conflit et de cerner les différents types de conflits qui existent ou peuvent exister dans la commune de Kaya.

« Elle leur permettra d’avoir une bonne connaissance des techniques et principes de médiation, identifier les mécanismes et outils de prévention et de gestion des conflits et apprendre une culture de dialogue et de cohésion sociale comme vecteur de pacification des conflits », a-t-il ajouté.

Le chargé du projet, Lassogbèhilone Kambiré, a souligné que la formation vise le renforcement des capacités des populations locales à faire face aux tensions sociales, à favoriser le dialogue et à consolider la paix dans un contexte marqué par de multiples crises.

«Elle a permis aux participants d’acquérir des compétences essentielles pour devenir des acteurs de paix dans leurs communautés respectives », a-t-il dit.

La session a été riche en échanges et en apprentissages pratiques, avec des modules interactifs axés sur l’analyse des causes des conflits, les méthodes de prévention, les techniques de médiation et les outils de résolution pacifique.

A travers cette initiative, SEVE Africa réaffirme son engagement à œuvrer pour la résilience communautaire, la cohésion sociale et l’autonomisation des femmes et des jeunes dans les zones touchées par les crises.

Le projet BMZ intervient dans les communes de Kaya, de Kongoussi et de Boulsa.

Son objectif global est de contribuer au renforcement de la résilience de la population et du réseau d’acteurs locaux dans la région du Centre-Nord pour un développement résilient et durable, ainsi qu’au renforcement de la paix et de la cohésion sociale.

Agence d’information du Burkina

HB/yo

Mouhoun/Examen du baccalauréat : 6 693 candidats débutent les épreuves sportives dans la sérénité

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Mouhoun/Examen du baccalauréat : 6 693 candidats débutent les épreuves sportives dans la sérénité

Dédougou, le 23 mai 2025 (AIB)- Les épreuves sportives de l’examen du Baccalauréat, session de 2025, ont commencé, ce jeudi 22 mai 2025, dans les différents centres d’examen de la région de la Boucle du Mouhoun. Ils sont 6 693 candidats de la région de la Boucle du Mouhoun répartis dans 48 commissions.

Le directeur régional en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, Raoul Sanon, en compagnie de la directrice provinciale, a lancé, ce jeudi 22 mai 2025, les épreuves sportives du baccalauréat, session 2025, au lycée scientifique de Dédougou.

Les différentes commissions mises en place sont à pied d’œuvre pour l’administration des épreuves pour la période du 22 au 31 mai.

Avant le lancement, M. Sanon a salué la détermination des commissions d’examens des épreuves sportives pour leur disponibilité qui a permis le bon déroulement des épreuves du BEPC.

Il les a encouragés à garder ces mêmes dispositions pour permettre une réussite des épreuves sportives.

Le directeur régional en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, a encouragé et soutenu les candidats.

« Les épreuves du BAC commencent ce matin par les épreuves sportives. Prenez au sérieux cette épreuve. Restez concentrés et déterminés afin de réussir cette épreuve qui ouvrira la porte aux autres épreuves afin d’aboutir au succès. Courage à vous et bonne chance pour la suite », a dit M. Sanon.

Après le lancement officiel, la délégation a mis le cap sur le lycée professionnel régional Nazi Boni, pour constater l’effectivité des épreuves et encourager les différents acteurs.

Sur chaque site, elle a noté avec satisfaction la présence effective des agents de sécurité qui ont reçu des encouragements.

Agence d’information du Burkina

 SB/hb/yo

 

Léraba/Journée de l’arbre : 2 000 espèces de plantes médicinales prévues pour un bosquet

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Léraba/Journée de l’arbre : 2 000 espèces de plantes médicinales prévues pour un bosquet

Sindou, 22 mai 2025 (AIB)- Le Haut-commissaire de la province de la Léraba, Yacouba Sawadogo, a présidé, le jeudi 22 mai 2025, la rencontre préparatoire de la journée de l’arbre prévue pour le 21 juin prochain. 2 000 espèces de plantes médicinales seront mises en terre pour un bosquet au profit de la population.

Afin de répondre à l’initiative annoncée par le chef de l’Etat en fin 2024 « Une province, un bosquet à plantes médicinales », la direction provinciale en charge des Eaux et forêts de la Léraba, a organisé une rencontre préparatoire le jeudi 22 mai 2025.

Sur 5 ha de superficie prévus à Bougoula, département de Kankalaba, situé à 30 km de Sindou, 2 000 plantes médicinales sont annoncées pour le reboisement du site.

Cette activité contribue au reverdissement de l’environnement tout en promouvant la médecine traditionnelle par la création d’un bosquet à plantes médicinales dans la province de la Léraba.

Elle renforce ainsi la biodiversité et l’accès aux ressources médicinales pour les communautés locales.

Pour le directeur provincial en charge des Eaux et forêts de la Léraba, Arouna Sandwidi, cette activité prévue le 21 juin 2025, sera le lancement des activités de reboisement dans la province en cette année.

Il a indiqué qu’aucun financement n’a été reçu dans le cadre de la mise en œuvre de cette activité.

Le Haut-commissaire de la province de la Léraba, Yacouba Sawadogo, a remercié les membres du comité d’organisation par rapport à leur engagement à relever ce défi.

Agence d’information du Burkina

MK/hb/yo

 

Bazèga : Les communautés renforcent la cohésion sociale à travers une journée culturelle à Ipelcé

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Bazèga : Les communautés renforcent la cohésion sociale à travers une journée culturelle à Ipelcé

Kombissiri, 21 mais 2025 (AIB) – Les populations de la commune rurale de Ipelcé se sont fortement mobilisées à la faveur de leur journée culturelle, tenue le 17 mai 2025, pour promouvoir la paix et la cohésion sociale à travers la culture.

Ipelcé, commune rurale située à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Kombissiri, chef-lieu de la province du Bazèga, a connu une ambiance festive le samedi 17 mai 2025.

Et pour cause, les fils et filles et les forces vives de la commune ont à l’unisson, célébré le vivre-ensemble harmonieux à travers l’organisation de leur journée culturelle sous le thème : « Pour une paix et une cohésion sociale durable dans la commune de Ipelcé, valorisons la culture burkinabè ».

Selon la présidente de la délégation spéciale de la commune de Ipelcé, Émeline Kiemtoré/Bonkoungou, cette activité entre dans le cadre du mois du patrimoine culturel burkinabè allant du 18 avril au 18 mai.

À cette occasion, plusieurs activités ont été organisées, notamment une nuit dédiée aux contes traditionnels, l’exposition d’objets traditionnels en voie de disparition, l’enseignement des salutations royales aux jeunes générations au palais royal de Naba Sonré, Chef de canton de Ipelcé, une conférence publique, une rue marchande, des prestations d’artistes, entre autres.
Outre ces activités, les organisateurs ont fait un don d’une tonne de riz, soit 40 sacs de 25 kg et des nattes à des personnes vulnérables de la localité.

Cette journée a servi de tribune pour Mme Kiemtoré d’inviter l’ensemble des fils et filles et des forces vives sans distinction, à toujours promouvoir les valeurs culturelles et renforcer la cohésion sociale pour une paix durable et un développement harmonieux de la commune de Ipelcé.

Agence d’information du Burkina
TPT/dnk/ata

Zondoma : Une association offre des kits pour lutter contre les infections dans les centres de santé et les écoles.

Burkina/Zondoma-Remise-Kits

Zondoma : Une association offre des kits pour lutter contre les infections dans les centres de santé et les écoles.

Gourcy, 19 mai 2025 (AIB) – L’Association Monde Rural (AMR) en partenariat avec IRC a procédé à une remise de 40 kits d’hygiène et de prévention contre les infections, le lundi 19 mai 2025 à Gourcy au profit des formations sanitaires et des écoles de la commune de Gourcy.

Au total, 20 kits de prévention contre les infections et 20 kits d’hygiène ont été remis aux formations sanitaires et aux écoles de la commune de Gourcy ce lundi 19 mai 2025. Selon le responsable Wash de l’AMR, Armel Oubda, ce don qui entre dans le cadre du projet intitulé : « Santé, droit sexuel et reproductif, protection et autonomisation socioéconomique des femmes dans un contexte de crise dans le Nord du Burkina » vise à renforcer la protection des agents et des usagers des formations sanitaires contre les infections et à améliorer les conditions d’hygiène dans les écoles primaires afin de lutter contre certaines maladies.

S’exprimant au nom du médecin chef du district sanitaire de Gourcy, Soguiri Yacouba, Responsable de la promotion de la santé au district sanitaire de Gourcy, a rassuré sur le bon usage du matériel reçu qui selon lui sera reparti entre le CMA, les CSPS et certaines cliniques de la place. Tout en remerciant les donateurs pour leur geste, l’Inspecteur général Tido Sogoba représentant les structures éducatives, a plaidé pour la dotation d’un plus grand nombre d’écoles en kits au regard de leur utilité pour la santé des élèves.
« Je vous invite à prendre soin des kits et à en faire un bon usage », a indiqué le directeur à la vie associative de l’AMR Abdoulaye Sawadogo avant la remise symbolique des kits aux bénéficiaires. D’une durée de trois ans, le projet mis en œuvre par l’AMR en partenariat avec IRC avec l’appui financier de la Fondation IREINE intervient dans les communes de Gourcy et de Ouahigouya dans la Région du Nord.
Agence d’Information du Burkina
AK/dnk/ata

Gourcy : Les occupants illégaux et anarchiques de la voie publique invités à libérer les lieux.

Burkina/Zondoma-Occupation-Anarchiques

Gourcy : Les occupants illégaux et anarchiques de la voie publique invités à libérer les lieux.

Gourcy, 21 mai 2025 (AIB) – Dans un communiqué en date du 20 mai 2025, le président de la délégation spéciale de la commune de Gourcy, Bosso Toé Kaba Téré, a invité les occupants illégaux et anarchiques des voies publiques à libérer les lieux sans délai.
Selon les termes du communiqué, cette mesure vise à réduire les accidents de la circulation et à éviter la dégradation des infrastructures routières dont la réalisation et l’entretien coûtent beaucoup au budget de l’Etat.

Les occupants des abords de la route nationale numéro 2 qui traverse la ville de Gourcy sont particulièrement concernés. Selon la réglementation, les emprises des voies publiques doivent être libérer sur une distance d’au moins deux mètres de part et d’autre.
Agence d’information du Burkina
AK/dnk/ata

Ganzourgou : Finale coupe du directeur provincial de l’enseignement secondaire et de la formation professionnelle et technique

Burkina-Ganzourgou-Sport-Football-Compétition

Ganzourgou : Finale coupe du directeur provincial de l’enseignement secondaire et de la formation professionnelle et technique

Zorgho, 21 mai 2025 (AIB) – Le lycée départemental de Boudry a remporté, mercredi au stade omnisports de Zorgho, la finale de la deuxième édition de la coupe du directeur provincial de l’enseignement secondaire et de la formation professionnelle et technique du Ganzourgou, en battant le lycée provincial de Zorgho par le score de 3 buts à 2.

Lancée le 9 avril dernier, la deuxième édition de la coupe de football du directeur provincial de l’enseignement secondaire, a connu son épilogue ce 21 mai 2025.

Treize équipes venues des différents établissements de la province ont pris part à cette compétition qui a connu un engouement certain jusqu’à la finale.
Le match final a opposé le lycée départemental de Boudry au lycée provincial de Zorgho devant un public enthousiaste. À moins de 10 minutes de jeu, Boudry ouvre le score sur penalty, avant que Zorgho ne réagisse rapidement pour égaliser. Le match s’intensifie avec de nombreuses offensives des deux côtés. Peu avant la pause, le lycée provincial de Zorgho marque un second but, portant le score à 2-1 à la mi-temps.

De retour des vestiaires, Boudry revient déterminé et égalise sur un coup franc. En fin de partie, les joueurs de Boudry trouvent à nouveau le chemin des filets, scellant ainsi leur victoire sur le score de 3-2. Ils repartent avec le trophée, la somme de 65 000 FCFA, quatre ballons et des médailles en or.

Le lycée provincial de Zorgho, finaliste malheureux, reçoit quant à lui 50 000 FCFA, trois ballons et des médailles en argent.
Le lycée Saint Pierre de Zorgho et le lycée départemental de Mogtédo, tous deux classés troisièmes, reçoivent chacun 25 000 FCFA, deux ballons et des médailles de bronze. Le lycée de Mankarga V6 a été distingué par le prix de l’engagement (10 000 FCFA et deux ballons) tandis que le prix de l’équipe fair-play est revenu au lycée de Rapadama V4.

En plus des récompenses sportives, la direction provinciale de l’environnement a promis 15 plants ombrageux à l’équipe vainqueur et 10 plants au finaliste.

Parrain de cette édition, M. Ilias Ouédraogo a salué la noble initiative. Il s’est dit heureux d’être associé à cette activité qui, selon lui, constitue un puissant vecteur de cohésion, d’intégration et de fraternité entre les élèves.

Le Directeur provincial en charge de l’enseignement secondaire, Barthélémy Boudaoné, a pour sa part exprimé sa satisfaction pour le bon déroulement de la compétition. Il a rappelé que cette coupe va au-delà du sport, en ce qu’elle participe à l’épanouissement physique et mental des élèves. Il a annoncé des innovations dans les éditions à venir, avec l’introduction de disciplines comme la course, le slam ou encore l’athlétisme.

Présidant la cérémonie, le haut-commissaire de la province du Ganzourgou, Aminata Sorgho/Gouba, a exprimé sa fierté pour la tenue effective de cette activité malgré les difficultés. Elle a encouragé la mobilisation continue autour de cette initiative, qu’elle a qualifiée de moment de réjouissance et de communion pour les élèves.

La compétition s’est achevée dans une ambiance festive et fraternelle, témoignant de la vitalité de la jeunesse scolaire du Ganzourgou.

Agence d’information du Burkina
MS/dnk/ata

Koudougou accueille la phase finale nationale U15 de l’USSU-BF

BURKINA – SPORT – USSU-BF – PHASE – FINALE – KOUDOUGOU

Koudougou accueille la phase finale nationale U15 de l’USSU-BF

Koudougou, le 22 mai 2025 (AIB) – La phase finale nationale des moins de quinze ans (U15) de l’Union des Sports Scolaires et Universitaires du Burkina Faso (USSU-BF) a officiellement débuté ce mercredi, à Koudougou.

Le coup d’envoi a été donné par le gouverneur par intérim du Centre-Ouest, Adama Jean Yves Béré, sur le plateau de la direction régionale des sports et des loisirs.

Organisée par le ministère en charge des Sports et des Loisirs, la cérémonie d’ouverture a rassemblé des personnalités des corps constitués de la région, des passionnés de sport, ainsi que des délégations venues des quatre coins du Burkina Faso. Pour marquer l’importance de l’événement, une montée solennelle des couleurs nationales a eu lieu, visant à inculquer aux jeunes athlètes les valeurs fondamentales de l’État.

Le gouverneur Béré a souligné l’importance de ce geste. « Monter solennellement les couleurs en entonnant l’hymne national est une marque de notre attachement aux valeurs de la république », a-t-il dit. Il a également rappelé le rôle crucial du sport en tant que pilier de la cohésion sociale et du vivre-ensemble, exhortant les participants à faire preuve de discipline, de fair-play et à respecter les consignes des encadreurs. « Il n’y aura pas de perdant à la fin des compétitions, c’est le sport burkinabè dans son ensemble qui gagnera », a-t-il affirmé.

Ces compétitions qui se dérouleront du 21 au 25 mai 2025, mettront à l’honneur plusieurs disciplines sportives. Au programme : le football masculin, le handball féminin, l’athlétisme pour les filles et les garçons, ainsi que la lutte traditionnelle, également ouverte aux deux sexes.

Agence d’information du Burkina

FGB/PB/AS/ATA

Burkina : L’Office national du contrôle des aménagements et des constructions poursuit ses sensibilisations contre les occupations illégales

Burkina : L’Office national du contrôle des aménagements et des constructions poursuit ses sensibilisations contre les occupations illégales

Ouagadougou, le 22 mai 2025 (AIB) – L’Office national du contrôle des aménagements et des constructions (ONC-AC) a poursuivi, jeudi 22 mai 2025 à Ouagadougou, ses actions de sensibilisation dans les quartiers Larlé et Hamdalaye contre les occupations illégales de magasins construits sur des parcelles à usage d’habitation.

« C’est une opération coup de poing, mais également une campagne de sensibilisation sur les occupations illégales de magasins érigés sur des parcelles à usage d’habitation », a déclaré le directeur général de l’ONC-AC, Yacouba Siko.

Selon lui, ces anciens quartiers de la ville présentent une mutation urbaine non autorisée, et les magasins construits illégalement constituent des sources potentielles d’insécurité pour l’ensemble de la population.

« Ce qu’on construit comme magasin peut éventuellement abriter des marchandises de tout ordre, et nul ne peut prétendre savoir ce qui peut y être entreposé », a déploré M. Siko.

Il a expliqué que ces magasins peuvent être des sources d’explosion et, pire encore, pourraient être utilisés par des individus mal intentionnés pour menacer la sécurité nationale.

Le directeur général a également rappelé aux contrevenants qu’après cette première phase de sensibilisation, des mises en demeure seront adressées aux occupants des magasins illégaux afin qu’ils se conforment à la réglementation. À défaut, une phase de démolition sera engagée. « Nous allons nous assumer », a-t-il assuré.
M. Yacouba Siko s’exprimait jeudi à l’occasion d’une sortie de constat et de sensibilisation menée dans les quartiers Larlé et Hamdalaye contre les occupations illégales.

« Cette sensibilisation nous apporte de l’espoir. Nous espérons sincèrement qu’elle portera ses fruits et que des actions concrètes suivront, car trop, c’est trop », a indiqué le porte-parole de l’association de la brigade anti-magasin de la cellule inter-zone de Larlé, Ousmane Ouédraogo.
Il a invité les autorités à passer à l’action : « La démolition de ces magasins serait un signal fort, montrant qu’aucun bailleur, aussi puissant soit-il, ne pourra plus agir impunément. »

Agence d’information du Burkina

Burkina : Deux permis restitués et sept suspendus lors de la première session foraine de la Commission technique de retrait de permis

Burkina : Deux permis restitués et sept suspendus lors de la première session foraine de la Commission technique de retrait de permis

Ouagadougou, 22 mai 2025 (AIB) – La Commission technique spéciale de retrait de permis de conduire a tenu, ce jeudi à la gare de l’Est de Ouagadougou, sa première session foraine de l’année 2025. À l’issue de l’examen de neuf dossiers liés à des accidents mortels de la circulation, deux permis ont été restitués et sept autres suspendus avec sursis pour des durées allant d’un à cinq mois.
Selon les responsables, les deux conducteurs ayant retrouvé leur permis n’ont pas été reconnus responsables des accidents impliquant des pertes en vies humaines. Quant aux sept autres, leur responsabilité a été établie, mais la Commission a opté pour des suspensions avec sursis, assorties de recommandations strictes.
Présidant la cérémonie d’ouverture, le Directeur général des Transports terrestres et maritimes, Sibidi Vincent Tougri, a souligné que cette session foraine vise à rapprocher l’administration des usagers tout en garantissant un traitement transparent et efficace des cas de retrait de permis. Il a rappelé que cette démarche s’inscrit dans une stratégie globale de réduction des accidents de la route au Burkina Faso
Au terme des travaux, la Commission a exhorté les conducteurs impliqués à faire preuve de plus de responsabilité et à respecter rigoureusement le Code de la route.
Deux autres sessions foraines de la Commission sont prévues au cours de l’année 2025.
Agence d’information du Burkina (AIB)
Source : SCOM/ONASER

Falangountou : La Gendarmerie soutient l’ouverture d’une cantine scolaire

 

Falangountou : La Gendarmerie soutient l’ouverture d’une cantine scolaire

 

Dans le cadre de son engagement en faveur du développement communautaire, le détachement de gendarmerie de Falangountou a procédé, le lundi 19 mai 2025, à une remise de vivres au profit du Lycée de la localité.

Composée de sacs de riz, des pâtes alimentaires, des conserves de tomate et des légumes, cette donation vise à soutenir l’ouverture d’une cantine scolaire, afin de favoriser de meilleures conditions d’apprentissage pour les élèves.

Par cette initiative, la Gendarmerie nationale réaffirme sa volonté d’accompagner le secteur éducatif, véritable socle du développement d’une nation.

Elle invite également les autres acteurs à s’inscrire dans cette dynamique de solidarité et de soutien au système éducatif, notamment en milieu rural.

Gendarmerie Nationale

Sourou : 574 candidats aptes pour les épreuves sportives du baccalauréat, session de 2025

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Sourou : 574 candidats aptes pour les épreuves sportives du baccalauréat, session de 2025

Tougan, 22 mai 2025 (AIB)- Le Directeur provincial de l’Enseignement secondaire, de la Formation professionnelle et technique a donné jeudi, le coup d’envoi des épreuves sportives du baccalauréat avec 574 candidats aptes pour la session de 2025.

Le Directeur Provincial de l’Enseignement Secondaire, de la Formation Professionnelle et Technique (DPESFPT) du Sourou, Joseph Karambiri, a officiellement lancé, ce jeudi 22 mai 2025, à Tougan dans le Sourou, les épreuves sportives du baccalauréat, session de 2025 avec 574 candidats déterminés à réussir.

Le lancement a eu lieu au second site du lycée provincial de Tougan en présence de plusieurs examinateurs et d’un encadreur des épreuves physiques et sportives.

Le Directeur provincial a encouragé les candidats et a notifié aux impétrants que les épreuves sportives constituent le début de leur succès au Baccalauréat et qui donne du même coup accès aux différentes universités du pays.

M. Karambiri a remercié les forces de l’ordre et les agents de santé pour leur mobilisation et il a invité les examinateurs aux respect des modalités de l’évaluation tout en exhortant les candidats au respect des consignes.

Pour cette session de 2025, au total 574 candidats, dont 302 garçons et 272 filles sont aptes pour les épreuves sportives.
Les candidats sont repartis en trois commissions sur deux terrains différents.

Fatao Sabo, l’un des candidats s’est dit confiant et psychologiquement prêt pour les épreuves et a promis réaliser une belle performance.

« Je n’ai pas peur. Je me suis beaucoup exercé et je fais confiance en mes capacités », a-t-il confié.

Notons que les épreuves sportives du baccalauréat session de 2025 dans le Sourou, se déroulent du 22 au 25 mai.

Agence d’information du Burkina.

Burkina : Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, lance la construction d’une usine de transformation de la pomme de cajou

Burkina : Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, lance la construction d’une usine de transformation de la pomme de cajou

Bobo-Dioulasso, 22 mai 2025 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a posé jeudi dans la commune de Péni, dans la province du Houet, région des Hauts-Bassins, la première pierre de construction d’une usine de transformation de la pomme de cajou, d’un coût de 6,6 milliards FCFA, en vue de valoriser la transformation locale afin de créer de nouveaux débouchés économiques et des emplois décents.

A termes, l’usine va permettre par an, la transformation de 5000 tonnes de la pomme de cajou en 3750 tonnes de concentré de jus, de 3 937 500 litres de jus de pomme de cajou de, de 540 000 litres d’ethanol de pomme de cajou, 2 700 000 litres de vin de pomme de cajou et de 1 350 000 litres de vinaigre de pomme de cajou.

D’un cout global de 6,6 milliards FCFA, l’usine va générer 112 emplois directs et 1050 emplois indirects.
La construction de l’usine vise à créer une chaine de valeur locale durable, inclusive et rentable et surtout de contribuer à l’autosuffisance agro-industrielle du pays.

Agence d’information du Burkina

Ipelcé : Les communautés renforcent la cohésion sociale à travers l’organisation d’une journée culturelle

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Ipelcé : Les communautés renforcent la cohésion sociale à travers l’organisation d’une journée culturelle

Kombissiri, 21 mai 2025 (AIB)- Les populations de la commune rurale de Ipelcé ont célébré mercredi, leur journée culturelle sous le thème « Pour une paix et une cohésion sociale durable dans la commune de Ipelcé, valorisons la culture burkinabè ».

Ipelcé, a connu une ambiance festive ce samedi 17 mai 2025, et pour cause, les fils, filles et les forces vives de la commune ont à l’unisson, célébré le vivre-ensemble harmonieux à travers l’organisation de leur journée culturelle.

Selon la présidente de la délégation spéciale de la commune de Ipelcé, Émeline Kiemtoré/Bonkoungou, cette activité entre dans le cadre du mois du patrimoine culturel burkinabè allant du 18 avril au 18 mai.

À cette occasion, plusieurs activités ont été organisées, notamment une nuit dédiée aux contes traditionnels, l’exposition d’objets traditionnels en voie de disparition, l’enseignement des salutations royales aux jeunes générations au palais royal de Naaba Sonré, Chef de canton de Ipelcé, une conférence publique, une rue marchande et des prestations d’artistes, entre autres.

Outre ces activités, les organisateurs ont fait un don d’une tonne de riz, soit 40 sacs de 25 kg et des nattes à des personnes vulnérables de la localité.

Cette journée a servi de tribune pour madame Kiemtoré d’inviter l’ensemble des fils et filles et des forces vives sans distinction, à toujours promouvoir les valeurs culturelles et renforcer la cohésion sociale pour une paix durable et un développement harmonieux de la commune de Ipelcé.

Agence d’information du Burkina
TPT/BBP

Burkina : Signature d’un aide-mémoire entre les acteurs de l’éducation pour améliorer le niveau de l’enseignement

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Burkina : Signature d’un aide-mémoire entre les acteurs de l’éducation pour améliorer le niveau de l’enseignement

Ouagadougou, 22 mai 2025 (AIB)- Les acteurs du système éducatif ont signé jeudi, un aide-mémoire, qui est un document récapitulatif du bilan des activités du plan stratégique de développement de l’Education de base et de l’Enseignement secondaire (PSDEBS) visant à améliorer la qualité de l’enseignement.

Le gouvernement, les partenaires techniques et financiers et les organisations de la société civile ont signé ce jeudi 22 mai 2025 un aide-mémoire devant améliorer la qualité de l’éducation au Burkina Faso.

Le contenu du document est constitué des travaux du bilan technique et financier des activités et des financements de 2024, des recommandations pour une mise en œuvre efficiente du PSDEBS au cours de l’année 2025 et l’identification d’un thème prioritaire de réflexion pour les groupes thématiques.

Pour le ministre en charge de l’Education de base, Jacques Sosthène Dingara, la signature de l’aide-mémoire consacre les grandes lignes et les points consensuels de l’ensemble des acteurs de l’éducation pour l’année 2025 afin que des efforts soient conjugués pour améliorer davantage les indicateurs de système éducatif burkinabè.

M. Dingara a expliqué que le bilan de la mise en œuvre du PSDEBS en 2024 est assez positif avec un taux d’exécution financière de 91,39% pour un taux d’exécution physique de 84,72%.

« En 2024, plus de 1 900 structures éducatives ont été rouvertes dans les zones reconquises, permettant la réinstallation de plus de 432 390 élèves », a indiqué le ministre.

Le représentant du chef fil des partenaires techniques et financiers (PTF), James Mugaju, a encouragé le gouvernement burkinabè à poursuivre ses efforts en faveur d’une éducation de qualité au profit des enfants.

Il a réaffirmé l’engagement des PTF à accompagner l’Etat dans ses efforts déployés pour la réalisation des objectifs nationaux en matière d’éducation.

James Mugaju a, par ailleurs, apprécié la signature de cet aide-mémoire qui va renforcer la volonté d’améliorer, de rechercher l’efficacité et l’efficience dans la transformation des ressources en résultats pour les enfants.

La représentante des organisations de la société civile, Aminata Hien/Fofana s’est dite satisfaite de tout ce qui a été consigné dans l’aide-mémoire.

Elle a reconnu que de nombreux défis restent à relever dans le domaine de l’éducation au Burkina Faso.

Agence d’Information du Burkina
BAK/BPP/NO

FITO 2025 : Sembla et Bwaba à l’honneur à la 3e édition prévue du 29 mai au 1er juin

BURKINA-CULTURE-VALORISATION-INTRUMENTS

FITO 2025 : Sembla et Bwaba à l’honneur à la 3e édition prévue du 29 mai au 1er juin

Ouagadougou, 22 mai 2025 (AIB)- Le promoteur du Festival international des instruments et danses traditionnels de Ouagadougou (FITO), Marc Koussoubé a annoncé jeudi, lors d’une conférence, que la participation des communautés Sembla et Bwaba à la troisième édition de l’évènement culturel vise à promouvoir la culture du Burkina Faso.

Selon le promoteur du Festival international des instruments et danses traditionnels de Ouagadougou (FITO), Marc Koussoubé, l’innovation majeure de l’édition 2025 est la participation de deux communautés invités d’honneur que sont les Sembla et Bwaba.
M. Koussoubé par ailleurs président du comité d’organisation de l’évènement a précisé que 20 troupes de danses traditionnelles prendront part au festival qui se tiendra du 29 mai au 1er 2025 au musée national de Ouagadougou.

Le promoteur du festival qui était jeudi devant les journalistes a souligné que la 3e édition du FITO qui se tiendra sous le thème, « Jeunesse et culture : quels repères pour notre société de demain », se veut un espace de transmission et de promotion des valeurs culturelles africaines positives.

A l’écouter, après deux éditions couronnées de succès, malgré un contexte sécuritaire et socio-économique difficile, le FITO veut faire de la sauvegarde du patrimoine culturel, son cheval de bataille pour un Burkina prospère.

« A l’heure de la refondation nationale, il est plus que jamais nécessaire de s’intéresser aux repères culturels que nous transmettons à notre jeunesse, socle de toute société », a-t-il soutenu.

Marc Koussoubé également noté que les Sambla, originaires des régions des Hauts-Bassins et les Bwaba, majoritairement installés dans la Boucle du Mouhoun possèdent un patrimoine culturel riche et varié.

De l’avis du président du comité d’organisation du festival, chacune des deux communes sera représentée avec deux troupes de danse traditionnelle, une exposition d’objets culturels et de mets locaux.

« Le FITO est une initiative de l’association La Source, dédié à la promotion, la valorisation et la sauvegarde des instruments et danses traditionnels, patrimoine matériel et immatériel de notre pays et du continent africain », a-t-il fait remarquer.

Plusieurs activités sont au programme des quatre jours de l’évènement. Il s’agit, entre autres, des prestations de troupes et d’artistes instrumentistes traditionnels, des conférences publiques, d’une rue marchande, des ateliers d’initiation aux instruments traditionnels et d’une formation en entrepreneuriat relatif à l’élevage et au montage de projet.

M. Koussoubé a appelé la population de Ouagadougou à participer massivement au festival afin qu’il soit une réussite.

En rappel, la 3e édition du FITO 2025 est placée sous le patronage du ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo.

Agence d’information du Burkina
NO/YOS/ATA

Partenariat public-privé : Le gouverneur du Centre-Est invite les acteurs à des concertations franches

Burkina-Concertations-Public-Privé

Partenariat public-privé : Le gouverneur du Centre-Est invite les acteurs à des concertations franches

Tenkodogo,20 mai 2025 (AIB)- Le Gouverneur de la région du centre-Est, Colonel Aboudou Karim Lamizana, a présidé mardi, dans la salle des commerçants à Tenkodogo, la cérémonie d’ouverture du cadre de concertation régionale public-privé sous le thème « Développement des infrastructures : enjeux, défis et engagement patriotique pour une économie durable. »

Ces concertations visent à créer des cadres d’échanges au niveau régional pour préparer les rencontres sectorielles.

Elles permettent également de créer une synergie d’actions entre les autorités publiques et les acteurs économiques autour des défis de développement.

Le Gouverneur a salué la résilience et l’engagement des opérateurs économiques face aux défis sécuritaires.

« Je vous invite donc à mener des échanges constructifs, marqués par la sincérité et empreint de courtoisie, afin que les recommandations issues de nos travaux puissent répondre efficacement aux défis à relever », a-t-il déclaré.

Il a par ailleurs engager les administrations locales à veiller au suivi et à la mise en œuvre des recommandations issues de cette instance.
« Je lance un appel à tous les acteurs locaux du monde des affaires à s’approprier pleinement ce cadre régional de dialogue », a indiqué le colonel Lamizana.

Selon le directeur régional du commerce du Centre-Est, Alidou Ouédraogo, il s’agit de faire le point de la mise en œuvre des recommandations de 2024.

« Les services concernés vont apprécier les recommandations et proposer des solutions. Les points qui ne feront pas objet de consensus seront reversés aux rencontres sectorielles à Ouagadougou », a affirmé M. Ouédraogo.

La représentante de la chambre de commerce, Larba Odette Ilboudo a, quant-à elle, relevé que les préoccupations de la région du Centre-Est sont au nombre de trente qui sont, entre autres, l’accès aux financements, les marchés publics, l’apurement de la dette, etc.

Agence d’information du Burkina
SM/BBP

𝐂𝐨𝐧𝐟é𝐝é𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐀𝐄𝐒 : 𝐥𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 é𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬𝐬𝐞

𝐂𝐨𝐧𝐟é𝐝é𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐀𝐄𝐒 : 𝐥𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 é𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬𝐬𝐞

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a reçu en audience, ce jeudi 22 mai 2025, à Ouagadougou, les ministres en charge de la Jeunesse des pays membres de la Confédération des États du Sahel. Accompagnés par leur homologue burkinabè, ils ont échangé avec le Chef du Gouvernement burkinabè sur les grands défis liés à la jeunesse des pays de l’AES.

Dans un esprit de fraternité et de solidarité entre pays de la confédération AES, les ministres en charge de la Jeunesse du Mali, Abdoul Kassim Ibrahim Fomba, et celui du Niger, Sidi Mohamed, séjournent dans la capitale burkinabè, sur invitation de leur homologue burkinabè, Roland Somda. Ils ont été conviés au grand panel organisé par le « Mouvement Jeunesse réveille-toi « , avec l’appui du ministère en charge de la Jeunesse burkinabè, pour traiter du rôle des élèves et des étudiants dans la Révolution populaire progressiste.

Le Chef du Gouvernement, tout en saluant l’initiative, a invité les trois ministres en charge de la Jeunesse à conjuguer leurs énergies pour positionner les jeunes en fer de lance de la dynamique actuelle de libération impulsée par les trois leaders de la confédération AES. « La jeunesse est le socle du futur », a affirmé le Premier ministre. Poursuivant, il a déclaré à ses hôtes : « Vous êtes porteurs d’une matière stratégique. Il vous faudra travailler à inculquer à la jeunesse l’amour de la patrie, l’ordre et la discipline, afin qu’elle puisse être la solution et non le problème de la nation ».

Pour ce faire, quoi de plus adapté qu’un travail de déconstruction des modèles de pensée imposés par les influences extérieures ?

« Et dans ce cadre-là, il est important de ramener les acteurs jeunes à leur source, de comprendre que tout ce qu’on nous a dit, dans le passé, sur nous-mêmes, n’est pas forcément ce qui est réel, et que c’est à nous de construire notre narratif, aujourd’hui, par rapport à l’évolution de notre nation, par rapport à ce que nous attendons de nos peuples et de notre jeunesse, et de notre pays, de façon globale », a déclaré Abdoul Kassim Ibrahim Fomba, ministre en charge de la Jeunesse du Mali.

« Nous devons travailler à pouvoir changer la donne au niveau de nos écoles, au niveau de nos universités, pour que cette jeunesse abondante, au lieu d’être vue comme un danger, comme certains le pensent, puisse constituer véritablement un levier pour le développement de notre espace commun », a expliqué Roland Somda, ministre en charge de la Jeunesse du Burkina Faso.

Le séjour des ministres malien et nigérien en charge de la Jeunesse au Burkina Faso démontre une fois de plus la dynamique de co-construction d’un espace solide et prospère impulsée par les autorités de la Confédération des États du Sahel.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

31ème journée internationale de la diversité biologique : le ministre Roger BARO appelle à plus ‘‘d’engagement et de synergie dans la préservation de la nature’’

31ème journée internationale de la diversité biologique : le ministre Roger BARO appelle à plus ‘‘d’engagement et de synergie dans la préservation de la nature’’

<< La Journée Internationale de la Diversité Biologique (JIDB) est célébrée le 22 mai de chaque année pour commémorer l’adoption du texte de la Convention sur la Diversité Biologique. Cette manifestation internationale vise à améliorer la compréhension et la sensibilisation aux questions relatives à la diversité biologique y compris les aspects relatifs à la biosécurité et au partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques.

La diversité biologique est par définition, la variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celles des écosystèmes. Elle recouvre toutes les formes de la vie sur terre y compris les caractéristiques naturelles. Elle est essentielle au bien-être humain, à la santé de la planète et à la prospérité économique de tous les peuples, notamment à la réalisation de modes de vie équilibrés et en harmonie avec la terre nourricière.
Afin de mener des actions coordonnées de conservation et de restauration, le Cadre Mondial pour la diversité biologique de Kunming-Montréal a été adopté comme référentiel mondial.

Notre pays participe à la mise en œuvre du cadre mondial à travers l’adoption de la Stratégie nationale de la diversité biologique 2025-2030 assortie de son plan d’action triennal 2025-2027. Cette stratégie ambitieuse qui prend en compte les défis nouveaux devra permettre à notre pays d’inverser les tendances de dégradation des écosystèmes, la perte de la diversité biologique et promouvoir le développement socio-économique de nos populations.

La 31ème journée internationale de la diversité biologique est commémorée cette année sous le thème « Harmonie avec la nature et développement durable ». Il fait appel à l’action collective pour prendre soin de notre nature tout comme elle prend soin de nous. Il est évident la satisfaction de nos besoins sociaux, environnementaux et économiques ne peut se faire en marge d’une nature en déséquilibre d’où la pertinence du thème.
Être en harmonie avec la nature est essentielle pour l’atteinte des objectifs de l’Agenda 2030, les Objectifs de Développement Durable (ODD), les Objectifs et cibles du Cadre Mondial.

𝗟𝗲 𝗚𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗲𝘀𝘁 déjà 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗵𝗮𝗿𝗺𝗼𝗻𝗶𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗮 𝗻𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲. C’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶, 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲 𝗹𝗲𝗮𝗱𝗲𝗿𝘀𝗵𝗶𝗽 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗘𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗲 𝗖𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗜𝗯𝗿𝗮𝗵𝗶𝗺 𝗧𝗥𝗔𝗢𝗥𝗘, 𝗣𝗿é𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝗙𝗮𝘀𝗼 𝗽𝗹𝘂𝘀𝗶𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 lancée 𝗽𝗼𝘂𝗿 améliorer 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 𝗲𝘁 𝗹’𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁.
𝗢𝗻 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝗰𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 :
– 𝗟𝗮 𝗯𝗮𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 végétale ;
– 𝗟𝗮 𝗯𝗮𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗮𝘂 ;
– 𝗟’aménagement 𝗽𝗮𝘆𝘀𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲𝘀 ;
– 𝗟𝗮 journée 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗿𝗯𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 année ;
– 𝗟𝗮 𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗷𝗮𝗿𝗱𝗶𝗻𝘀 à 𝗽𝗹𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀 médicinales à 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 ;
– La 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 péril 𝗽𝗹𝗮𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹’𝗮𝗱𝗼𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗹𝗼𝗶 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗱𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁 𝗹’𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗮𝗰𝗵𝗲𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗲𝗺𝗯𝗮𝗹𝗹𝗮𝗴𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝗮𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲.

Réussir le pari d’une «harmonie avec la nature» nécessite des cadres institutionnels efficaces mais également des outils adéquats de mise en œuvre. Fort de cela, notre pays a mis en place une plateforme nationale de concertation des acteurs de la biodiversité, un cadre national sur l’accès et le partage juste et équitables des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques (APA).
Les rapports sur l’état de l’environnement au Burkina Faso, la stratégie nationale en matière d’éducation environnementale et d’écocitoyenneté 2024-2028 et bien d’autres documents de politiques constituent des bases pour promouvoir la conservation et l’utilisation durable des ressources biologiques dans notre pays.

Au regard de la place de la biodiversité dans le développement socio-économique des populations, j’invite tous les acteurs et particulièrement les femmes, les jeunes à plus d’engagement et de synergie dans la préservation de la nature.
J’en appelle à plus de solidarité agissante auprès des communautés locales, des organisations de la société civile, du secteur privé et des partenaires techniques et financiers pour des actions fortes et un financement durable en faveur de la biodiversité.

Travaillons davantage à stopper la destruction de la diversité biologique qui demeure indispensable à une vie harmonieuse avec la nature, donc pour un Développement Durable. Chacun dans la communauté a un rôle à jouer afin que notre responsabilité historique et collective envers les générations futures soit réelle et surtout utile.
Bonne célébration de la Journée Internationale de la Diversité Biologique !
Que Dieu bénisse le Burkina Faso
La Patrie ou la Mort, nous Vaincrons
Je vous remercie ! >>

𝗥𝗼𝗴𝗲𝗿 𝗕𝗔𝗥𝗢
𝗢𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝘁𝗮𝗹𝗼𝗻
𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁,
𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗮𝘂 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝘀𝘀𝗮𝗶𝗻𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁

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