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Nahouri/Journées de l’exemplarité fiscale : La délégation spéciale de Tiébélé donne l’exemple

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Nahouri/Journées de l’exemplarité fiscale : La délégation spéciale de Tiébélé donne l’exemple

Pô, 20 mars 2025 (AIB)-Le président de la délégation spéciale de la commune de Tiébélé, Aimé Y. Gué, a lancé, ce jeudi 20 mars 2025, les journées de l’exemplarité fiscale dans ladite commune. Les membres de la délégation spéciale et les agents du public se sont acquittés de leurs impôts.

Faisant suite à l’arrêté du ministre de l’Economie et des finances instituait des journées de l’exemplarité fiscale sur toute l’étendue du territoire national, le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Tiébélé, Aimé Y. Gué, s’est acquitté, ce jeudi 20 mars 2025, de la Taxe de résidence (TR) et la Taxe sur les véhicules à moteur (TVM).

Il était accompagné des membres de la délégation spéciale, du personnel de la mairie et des agents publics.
Après avoir reçu ses quittances, le PDS a invité les populations et les agents de l’administration à faire preuve de civisme en s’acquittant de leurs devoirs civiques en payant leurs impôts personnels.
Selon M. Gué, ces journées vont se poursuivre jusqu’au 04 avril 2025 sur toute l’étendue du territoire communal.

Agence d’information du Burkina
HKO/hb/bz

Kossi : 20 tonnes de riz de 30 kg vendues à 10 000 F CFA le sac

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Kossi : 20 tonnes de riz de 30 kg vendues à 10 000 F CFA le sac

Nouna, 20 mars 2025(AIB)-La Société nationale de gestion des stocks de sécurité (SONAGESS), a procédé, ce jeudi 20 mars 2025, à la vente de 20 tonnes de riz de 30 kg à 10 000 F CFA le sac, au profit de la population.
C’est un camion chargé de 20 tonnes de riz de 30 kg, destiné à la vente à prix social de 10 000 F CFA le sac.

Selon le responsable, Amadé Badini, cette vente a pour but de soulager un tant soit peu les besoins de la population et pour bénéficier d’un sac il faut présenter une carte d’identité en cours de validité.
En effet, la crise sécuritaire due à la menace terroriste quasi permanente a impacté négativement les productions agricoles de la province de la Kossi.
En rappel, le président de la délégation spéciale de la commune de Nouna, Souleymane Tiono, a diffusé un communiqué précisant la date et les conditions d’octroi du riz.

Agence d’information du Burkina
AC/hb/bz

Journée mondiale de la météorologie: Le ministre Zerbo appelle à combler les lacunes en matière d’alertes précoces 

Journée mondiale de la météorologie: Le ministre Zerbo appelle à combler les lacunes en matière d’alertes précoces

« Mesdames et messieurs, Chers compatriotes,

 Nous célébrons ce jour, la Journée météorologique mondiale sous le thème ambitieux et porteur : « Combler ensemble les lacunes en matière d’alertes précoces ».

Ce thème nous interpelle tous, face à l’intensification des catastrophes naturelles telles que les inondations, les sécheresses et les tempêtes qui touchent de plus en plus le monde entier et particulièrement notre pays, conséquence directe des changements climatiques.

En effet, les répercussions des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes deviennent de plus en plus importantes. Les vagues de chaleur sont plus fréquentes et plus intenses, les tempêtes et les inondations sont plus dévastatrices.

Les systèmes d’alertes précoces, en nous permettant d’anticiper ces phénomènes et de nous y préparer, jouent un rôle essentiel pour la protection de nos vies, de nos biens et de notre environnement. Cependant, il est urgent de reconnaître que ces systèmes, bien qu’indispensables, présentent encore des défis techniques, institutionnels, financiers et en matière de sensibilisation.

Ces défis constituent des lacunes qui freinent l’efficacité des systèmes d’alertes précoces et leur impact positif, particulièrement pour les communautés les plus vulnérables.

Ainsi, au niveau technique, nos systèmes d’alertes précoces reposent sur la technologie, mais ils présentent encore des insuffisances. Certaines régions de notre pays n’ont pas accès à des outils modernes tels que des radars météorologiques, des stations d’observation automatisées ou des plateformes numériques capables de transmettre des alertes en temps réel. Cela peut provoquer des retards dans l’émission des alertes, réduisant la capacité des populations à se préparer.

Par ailleurs, l’intégration entre différents systèmes météorologiques, hydrologiques et gestion des crises reste incomplète. Il est donc impératif que nous investissions dans des technologies plus avancées tout en assurant leur maintenance pour combler les failles.

Au plan institutionnel, la gestion des catastrophes nécessite une coordination sans faille entre plusieurs acteurs : agences gouvernementales, collectivités locales, partenaires techniques et financiers, et communautés. Il est donc essentiel de conforter les mécanismes de collaboration clairs, renforcés par des plans d’action définis et partagés.

Au niveau des ressources financières, le financement est le nerf de la guerre pour les systèmes d’alertes précoces. Malgré les efforts déployés, nos budgets restent insuffisants pour couvrir les besoins croissants en équipements modernes, en formation de personnel qualifié et en campagnes de sensibilisation.

Nous devons explorer de nouveaux partenariats et mécanismes de financement, notamment par le biais de collaborations avec des organismes internationaux, pour garantir des ressources durables et pérennes. Sans cela, nos ambitions risquent de se heurter à la réalité des contraintes économiques.

Enfin, en matière de sensibilisation et de préparation, il convient de reconnaitre que l’efficacité d’un système d’alertes précoces repose autant sur la technologie que sur la capacité des populations à agir rapidement et de manière adéquate.

Cependant, l’on constate un déficit dans la sensibilisation de certaines communautés, notamment dans les zones rurales où nous devrons redoubler d’efforts pour emmener certains de nos concitoyens à comprendre la signification des alertes et à savoir y répondre. Il est donc important de multiplier les efforts de sensibilisation, à travers des campagnes régulières et des formations pratiques, afin de renforcer les réflexes face aux catastrophes.

Chers compatriotes,

Les statistiques récentes concernant les catastrophes naturelles dans notre pays mettent en évidence des défis importants liés aux impacts climatiques.

Ainsi, en 2022 les inondations ont touché environ 140 000 personnes à travers le pays, causant des pertes en vies humaines et des dégâts matériels considérables. Les régions les plus affectées incluent le Centre-Nord, le Sahel et l’Est.

En 2021, environ 3,5 millions de personnes ont été identifiées comme étant en insécurité alimentaire aiguë consécutive à des sécheresses prolongées auxquelles le Burkina Faso est régulièrement confronté, affectant la sécurité alimentaire de millions de personnes.

En 2023, des vents violents ont détruit des infrastructures dans plusieurs régions, laissant des centaines de familles sans abri. Les catastrophes naturelles, combinées à l’insécurité, ont contribué aux déplacements liés au climat, d’environ 2 millions de personnes à l’intérieur du pays en 2024.

Ces chiffres mettent en évidence la nécessité de redoubler les efforts à faire, ainsi que l’urgence de renforcer les systèmes d’alertes précoces et de résilience face aux catastrophes naturelles.

À propos d’efforts, je voudrais ici, mettre en lumière le rôle crucial que joue l’Agence nationale de la Météorologie (ANAM) dans le cadre des alertes précoces.

En effet, l’ANAM est le pilier central de notre dispositif national de prévision météorologique et de gestion des risques climatiques. Grâce à ses efforts constants, des données essentielles sur les conditions météorologiques sont collectées, analysées et transformées en alertes précoces destinées à informer les autorités, les institutions et les populations. Malgré son rôle prépondérant dans le dispositif, il subsiste des lacunes importantes à combler, notamment en matière de renforcement de ses capacités techniques, institutionnelles et financières.

Nous devons continuer à investir dans l’équipement de cette institution, à former ses experts et à améliorer ses infrastructures. À cet effet, je puis vous rassurer de l’engagement du gouvernement à fournir un soutien accru à cette Agence stratégique, tout en travaillant avec nos partenaires pour mobiliser des ressources complémentaires.

Chers concitoyens, le succès de notre système d’alertes précoces repose non seulement sur l’ANAM et les institutions publiques, mais aussi sur la participation active de chacun de vous. En effet, en comprenant les alertes et en réagissant de manière proactive, vous contribuez à sauver des vies et à réduire les impacts des catastrophes.

C’est pourquoi, en cette journée spéciale, j’appelle à une mobilisation collective des experts, des décideurs, des partenaires techniques et financiers, mais aussi et surtout de vous, chers citoyens. Votre engagement et votre compréhension des enjeux liés aux alertes précoces sont le socle d’une prévention efficace.

Ensemble, nous devons relever les défis suivants : renforcer la précision et la rapidité de nos systèmes d’alertes, améliorer la coordination entre nos institutions, garantir des financements adéquats et enfin, sensibiliser nos populations aux bons réflexes face aux alertes. Nos efforts conjoints permettront non seulement de réduire les pertes en vies humaines et matérielles, mais aussi de bâtir un Burkina Faso résilient et prêt à faire face aux défis climatiques de demain.

À cet effet, je m’engage au nom du gouvernement, à intensifier nos actions pour combler ces lacunes, avec le soutien de nos partenaires pour le bonheur de notre cher peuple.

Ensemble, unissons nos forces pour protéger nos vies et celles des générations futures.

Vive le Burkina Faso ! 

La Patrie ou la Mort, nous Vaincrons !

Emile ZERBO »

#AIB

Magistrat

Officier de l’Ordre de l’Etalon

 

Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central : inauguration d’une cimenterie à Laongo

Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central : inauguration d’une cimenterie à Laongo

(Ziniaré, 20 mars 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a présidé, ce jeudi à Laongo, commune de Ziniaré dans la région du Plateau-Central, la cérémonie d’inauguration d’une cimenterie de la Société industrielle Sino Burkina de Ciments (CISINOB) portée par des investisseurs privés.

D’un coût d’investissement de 26 milliards F CFA, CISINOB est une unité industrielle d’une capacité de production estimée à 2000 tonnes par jour avec 110 salariés permanents et 300 salariés saisonniers.

Le Directeur général de la CISINOB, Zhang BING a salué le leadership et la vision du Chef de l’État pour le développement industriel de notre pays. Il a exprimé son « infinie gratitude » au Président du Faso dont « le soutien indéfectible » a permis la réalisation de cette cimenterie. « Notre cimenterie entend jouer son rôle dans le progrès économique et social du Burkina Faso », soutient-il.

Dans son allocution d’inauguration officielle de la cimenterie prononcée par le ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a soutenu que « la réalisation de ce projet prouve une fois de plus que le Burkina Faso est un pays à fort potentiel d’investissement contrairement aux discours pessimistes et alarmistes tenus dans certaines chapelles ».

Un appel aux investisseurs étrangers respectueux de la souveraineté de notre pays

Selon le Chef de l’État, cette cimenterie, la première dans une ville secondaire de notre pays, vient consolider l’offre existante et s’inscrit parfaitement « dans notre vision d’un développement endogène durable ». Aussi, souligne le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, après les usines dans les communes de Saaba et de Pabré, l’inauguration de la CISINOB illustre à suffisance la dynamique d’industrialisation engagée dans notre pays.

Portée par des investisseurs chinois, la CISINOB est le témoin de l’excellence des relations de coopération entre notre pays et la République populaire de Chine. Et face à la presse à l’issue de la cérémonie d’inauguration, le Président du Faso, a déclaré que « c’est un message fort que nous envoyons aux investisseurs étrangers qui souhaitent venir au Burkina Faso, que le paysage est bien ouvert pour peu qu’on respecte nos règles, nos lois et notre souveraineté ».

En perspective, le Chef de l’État entend échanger avec toutes les cimenteries pour une baisse du prix du ciment dans notre pays.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Burkina : Le capitaine Traoré inaugure une cimenterie d’une capacité de 750 000 tonnes de ciment par an

Burkina : Le capitaine Traoré inaugure une cimenterie d’une capacité de 750 000 tonnes de ciment par an

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a inauguré jeudi à Laongo, dans la province de l’Oubritenga, commune de Ziniaré, dans le Plateau central, la société industrielle Sino Burkina de ciments (CISINOB), d’une capacité de 750 000 tonnes par an.

« La réalisation de ce projet prouve une fois de plus que le Burkina Faso est un pays à fort potentiel d’investissement, contrairement aux discours pessimistes et alarmistes tenus dans certaines chapelles », a indiqué le ministre en charge du Commerce, Serges Poda, qui livrait le discours du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

Selon M. Poda, cette usine, dont la production viendra consolider l’offre existante, s’inscrit parfaitement dans la vision d’un développement endogène et durable.

« Elle offre des opportunités d’emploi tout en contribuant significativement à la dynamisation de l’économie nationale », a-t-il ajouté.

Il a invité les acteurs industriels du secteur cimentier à s’investir pleinement afin d’offrir aux consommateurs des produits de qualité à des prix accessibles.

« Nous attendons donc d’eux une baisse généralisée des prix du ciment, ce qui contribuera à la réalisation d’infrastructures de qualité et de logements décents pour les populations », a-t-il plaidé.

« L’inauguration de cette usine moderne marque une étape importante dans le développement de notre entreprise. En effet, ce projet, né d’une vision ambitieuse et porteur d’espoir, est aujourd’hui une réalité », a indiqué le directeur adjoint de la société industrielle Sino Burkina de ciments (CISINOB), Zhang Bing.

Selon lui, cette usine, fruit d’un investissement conséquent et du travail acharné de leurs équipes durant plusieurs mois, est bien plus qu’un simple bâtiment industriel.
« Elle est le symbole de notre engagement à contribuer au développement économique et social du Burkina Faso », a-t-il souligné.

Avec un investissement de 26 milliards de F CFA sur une prévision de 75 milliards de F CFA à terme, la société CISINOB emploie actuellement 110 salariés permanents et 300 salariés saisonniers. Ce nombre sera porté à plus de 1 300 emplois directs et indirects dans les années à venir, assurent les promoteurs.

Elle a une capacité de production initiale de 750 000 tonnes de ciment de qualité supérieure par an, extensible à 1 200 000 tonnes.

Bâtie sur une superficie de 12,5 hectares, la cimenterie CISINOB commercialise ses produits sous la marque CIM PANGA.

Agence d’information du Burkina
DNK/ata

FESPACO_BOBO 2025 : clap de lancement pour les populations de Sya

#FESPACO_BOBO 2025 : clap de lancement pour les populations de Sya

Le ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme, Porte-parole du Gouvernement Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO a procédé le 20 mars 2025 à Bobo-Dioulasso au lancement du FESPACO BOBO 2025.

Cette cérémonie a connu la participation du Gouverneur des Hauts-Bassins et ceux de Koutiala et Sikasso de la République du Mali ainsi que des autorités administratives, religieuses et coutumières de la région des Hauts-Bassins.
Après un succès éclatant de la 29e édition du FESPACO, Bobo-Dioulasso accueille à son tour du 20 au 23 mars 2025 le mini festival dédié aux acteurs du cinéma africain et à la population de la ville de Sya. Pendant quatre (04) jours, les meilleures productions cinématographiques primées lors de la biennale du cinéma africain de Ouagadougou seront projetées.

Pour le président de la délégation spéciale de la ville de Bobo-Dioulasso, Laurent K. KONTOGOM, « le FESPACO BOBO 2025 est un projet majeur de l’animation de la vie sociale car il permettra de cultiver la bonne gouvernance, la cohésion sociale et le vivre-ensemble harmonieux dans un contexte difficile marqué par la crise sécuritaire. »

Ville de culture et de tradition par excellence, selon le ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, Bobo-Dioulasso est une affirmation des racines, un acte de promotion et de consolidation de notre patrimoine culturel. « Le cinéma n’est pas un art pour l’art. Notre objectif est de faire de cet outil un vecteur d’apprentissage, porteur de messages et de réflexions pour façonner des hommes et des femmes dignes des héritages laissés par des figures emblématiques qui ont marqué l’histoire de notre pays », a indiqué le ministre OUEDRAOGO.

Dans ce contexte sécuritaire difficile, le FESPACO BOBO 2025 veut incarner la vision d’un Burkina Faso qui se relève et qui prend son destin en main. Le département en charge de la culture veut à travers l’édition 2025 promouvoir une industrie cinématographique en phase avec les défis contemporains tout en honorant l’héritage des grandes figures de notre pays et du continent.

Deux films dans la catégorie série fiction, primés à la 29e édition du FESPACO ont été projetés pour le public présent à la cérémonie d’ouverture. Il s’agit des courts métrages « Foulsaré » et « Soixante-quinze mille », des réalisateurs burkinabè Ismaël COMPAORE et Jean Claude Kiswendsida OUEDRAOGO. Plus d’une trentaine de films nationaux et internationaux seront donnés à voir aux cinéphiles bobolais à la Maison de la Culture Anselme Titianma SANON, au ciné SANYON et à l’espace Morène, lieux choisis pour les différentes projections. Parmi ces œuvres cinématographiques, il y aura le film « Katanga, la danse du scorpion » du Burkinabè Dani KOUYATE, Etalon d’or de cette 29e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou.

Service d’information du Gouvernement

 

« Le Burkina mène une guerre d’indépendance » Président Ibrahim Traoré

« Le Burkina mène une guerre d’indépendance » Président Ibrahim Traoré

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a affirmé jeudi à Ziniaré que le Burkina Faso ne mène plus une simple guerre contre le terrorisme, mais une véritable guerre d’indépendance face aux forces impérialistes. Il a ainsi appelé ses compatriotes à s’engager pleinement pour sortir de cette situation.

« J’espère que chacun a pris conscience que nous ne sommes plus dans une guerre contre le terrorisme, mais dans une guerre d’indépendance. Il faut comprendre que cette guerre nous a été imposée par une logique impérialiste », a déclaré le chef de l’État.

S’exprimant devant les forces vives de la Région du Plateau Central, en marge de l’inauguration d’une cimenterie, le capitaine Traoré a souligné la nécessité pour chaque dirigeant de défendre les intérêts de son pays.

« Normalement, chaque leader, chaque dirigeant devrait se battre pour son pays. Ils se battent pour leurs intérêts, et nous devons faire de même pour les nôtres », a-t-il insisté.

Chaque État oeuvre à son développement, et les États développés se battront afin de continuer à exploiter les matières premières bon marché pour faire fonctionner leurs industries, sources d’emplois.

« Il est donc logique qu’ils veuillent nous dominer et nous maintenir dans un état de guerre permanent, afin de nous empêcher de réfléchir et de nous développer », a-t-il déploré.

Face à cette situation, le président du Faso a exhorté les Burkinabè à s’engager résolument dans la lutte pour leur souveraineté.

« Ils défendent leurs intérêts, de la mauvaise façon, certes, mais nous devons nous battre pour nous affranchir et sortir de cette situation », a-t-il insisté.

Agence d’Information du Burkina
DNK/ata

Terrorisme : Le président Traoré exhorte les leaders religieux à prêcher la paix et la réconciliation

Terrorisme : Le président Traoré exhorte les leaders religieux à prêcher la paix et la réconciliation

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a exhorté jeudi les leaders religieux à intensifier leurs prêches afin d’amener ceux qui ont pris les armes à renoncer à la violence. Il a averti que s’ils persistent sur cette voie ils seraient neutralisés.

« Je souhaite que les leaders religieux profitent de ce mois (de jeûne Ramadan et Carême chrétien) pour prêcher la bonne parole à ceux qui se sont égarés et qui pensent, à tort, tuer au nom de la religion », a déclaré le chef de l’État.

S’exprimant devant les Forces vives de Ziniaré, le capitaine Traoré a insisté sur la nécessité d’une mobilisation des autorités religieuses afin de faire comprendre aux adeptes du mal qu’ils sont manipulés par des groupes poursuivant des objectifs inavoués.

« Il faut qu’ils comprennent que la religion, c’est de paix et la cohésion. Aucune religion ne prêche la violence contre son prochain, ni les tueries » a t-il poursuivi. En tout état de cause, a prévenu le Président, s’ils refusent de déposer les armes, ils seront neutralisés.

Depuis son arrivée au pouvoir en septembre 2022, le président Ibrahim Traoré a placé la lutte contre le terrorisme, le développement endogène et la souveraineté nationale au cœur de ses priorités.

Agence d’Information du Burkina
DNK/ata

Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central : Échanges directs avec les Forces vives

Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central : Échanges directs avec les Forces vives

(Ziniaré, 20 mars 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a eu des échanges directs avec les Forces vives de la région du Plateau-Central, ce jeudi en mi-journée.

A cette rencontre, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a annoncé des actions fortes en réponse aux préoccupations exposées par les différentes composantes des forces vives de la région. Des actions qui seront mises en œuvre, selon le Chef de l’État pour l’indépendance de notre pays et la reconquête de l’intégralité de notre territoire.

D’abord, le Président du Faso prône un changement de paradigme. Il s’agit d’un effort de changement de mentalité pour lutter contre le terrorisme, phénomène ourdi par les impérialistes qui s’appuient sur la religion pour manipuler et enrôler les populations. Il invite de ce fait les leaders religieux à prêcher la bonne parole pour amener les égarés à déposer les armes, tout en insistant : « Nous allons récupérer la totalité de notre territoire ».

Cultiver l’amour de la patrie à travers les actes

Le Président du Faso invite également les populations à se départir de certains médias dits internationaux, en réalité à la solde de l’impérialisme dont le but est de manipuler l’information, diviser pour mieux régner. Le Chef de l’État appelle les personnes âgées à conseiller les jeunes pour que ces derniers cultivent l’amour de la patrie dans leurs actes.

Le Président du Faso a aussi orienté son discours sur l’union entre les opérateurs économiques afin de réaliser de grands chantiers pour le développement du Burkina Faso. Sur ce sujet, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ déplore le manque de volonté des opérateurs économiques à former de grands groupes, chacun préférant faire cavalier seul avec souvent des moyens limités, pour exécuter les marchés publics. « Il faut pouvoir s’unir, former de grandes entreprises », appelle le Président du Faso.

Le paiement de la dette intérieure

Dans un autre registre, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a annoncé le paiement de la dette intérieure. Il appelle les banques à mettre à la disposition de l’État, les 25% sur les dépôts à termes faits par les sociétés d’État afin de permettre le paiement de la dette intérieure. Elles ont jusqu’à la fin de ce mois de mars 2025 pour s’exécuter. Dans la même veine, le Président du Faso a évoqué des actions en cours qui vont permettre à la masse populaire de bénéficier des fruits de la croissance, et la baisse des prix des produits de grande consommation.

Ce face-à-face était tant attendu par les Forces vives du Plateau-Central, selon le Gouverneur de la région, Sy Assetou BARRY/TRAORÉ. Ainsi, elle a traduit sa reconnaissance et sa gratitude au Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ pour l’attention accordée à la région. Elle a réaffirmé l’engagement sans faille des Forces vives de la région du Plateau-Central aux côtés du Chef de l’État pour écrire une nouvelle page de l’histoire du Burkina Faso.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central : les autorités religieuses félicitent et remercient le Chef de l’État pour les résultats engrangés dans la reconquête du territoire

Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central : les autorités religieuses félicitent et remercient le Chef de l’État pour les résultats engrangés dans la reconquête du territoire

(Ziniaré, 20 mars 2025). Présent à Ziniaré dans le cadre d’une visite officielle, le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a accordé une audience aux autorités religieuses de la région du Plateau-Central.

A l’issue de l’audience le porte-parole de la délégation Cheikh Seydou TAPSOBA a traduit la reconnaissance des leaders religieux au Chef de l’État, au regard des actions mises en œuvre pour la reconquête de l’intégrité du territoire.

Les religieux, dit-il, ont également soumis des doléances au Président du Faso, à savoir le renforcement de la prise en charge des blessés, des veuves et orphelins, victimes de la crise sécuritaire. Ils ont également évoqué la réconciliation des filles et fils, vivant aussi bien au Burkina Faso, qu’à l’extérieur.

Cheikh Seydou TAPSOBA a, par ailleurs, renouvelé les engagements des autorités religieuses du Plateau-Central à prier pour la paix, la concorde et la cohésion nationale.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Sank Finance signe un partenariat avec l’APEC et la SCOOP-Ca/BA

Sank Finance signe un partenariat avec l’APEC et la SCOOP-Ca/BA

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – L’entreprise Sank Finance a officialisé jeudi matin un partenariat avec l’Agence pour la Promotion de l’Entreprenariat Communautaire (APEC) et son bras technique, la Société Coopérative avec Conseil d’Administration / Bâtir l’Avenir (SCOOP-Ca/BA). Cette signature marque l’étape d’un engagement commun pour le développement économique du Burkina Faso.

« L’inclusion financière est un levier fondamental de croissance et de transformation économique », a déclaré Rodrigue Zabsonré, Directeur Général de Sank Finance.

Pour lui, un partenariat entre Sank Finance, l’APEC et la SCOOP-Ca/BA pose les bases d’un écosystème solide et inclusif.

M. Zabsonré s’exprimait jeudi matin lors de la cérémonie de signature de partenariat entre l’entreprise Sank Finance, l’Agence pour la Promotion de l’Entreprenariat Communautaire (APEC) et la coopérative engagée dans le développement endogène, SCOOP-Ca/BA.

« Nous sommes fiers d’affirmer notre ADN 100% burkinabè, une solution africaine. Nous souhaitons ainsi être un partenaire financier à même d’accompagner efficacement les initiatives, au plus haut sommet de l’État, portées par l’APEC », relève le Directeur Général de Sank Finance.

Selon Rodrigue Zabsonré, ce partenariat tripartite repose sur des valeurs communes telles que la confiance et la transparence, l’innovation financière ainsi que l’impact social et économique.

Le DG de Sank Finance invite le peuple burkinabè à donner la main à Sank Finance pour, ensemble, accompagner et faire briller, au-delà du Burkina, l’entreprenariat communautaire.

« Nous attendons beaucoup de ce partenariat parce que Sank Finance a un grand réseau et inspire confiance. Depuis les premières heures de notre activité, nous avons souhaité nouer un partenariat avec ce partenaire », a affirmé Karim Traoré, Directeur Général de l’APEC.

« L’objectif est de faire de Sank Finance, non pas seulement une solution de paiement, mais un véritable partenaire stratégique capable de porter la vision du chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré, qui est de mobiliser l’ensemble des citoyens burkinabè pour épargner et investir dans des projets structurants capables de créer des emplois pour la jeunesse et les femmes », précise Karim Traoré.

Notons que la SCOOP-Ca/BA est le partenaire technique de l’APEC.

« À travers Sank Finance, nous attendons plus de souscripteurs. Nous appelons chaque Burkinabè à souscrire massivement », renchérit Aziz Nignan, Président de la SCOOP-Ca/BA.

Avec Sank Finance, il est désormais possible de souscrire à l’APEC en tapant 3518310415243*Montant#.

Séance tenante, Sada Zougmoré, Administrateur de Sank Finance, a ouvert la voie en souscrivant à hauteur d’un million de francs CFA.

Agence d’Information du Burkina

Eliminatoires Coupe du monde 2026: Les Etalons confiants avant d’affronter le Djibouti

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Eliminatoires Coupe du monde 2026: Les Etalons confiants avant d’affronter le Djibouti

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – Les Etalons du Burkina Faso qui affrontent demain vendredi au Maroc, les Requins de la mer rouge de Djibouti dans le cadre des éliminatoires de la coupe du monde de 2026, sont confiants à 24 heures du coup d’envoie de la rencontre.

Les Etalons veulent tout de suite rattraper leur retard au classement dans leur groupe A, à l’issue des deux matchs que l’équipe va livrer contre le Djibouti et la Guinée Bissau respectivement.

« On est 3e de notre groupe. On a pris un peu de retard. Maintenant on veut faire carton plein lors de ces deux matchs, c’est-à-dire, aller chercher les six points. Ça commence déjà par le match de vendredi. On va aller chercher les 3 points avant de se préparer pour le 2e match », s’est exprimé le capitaine des Etalons Bertrand Traoré.

L’entraîneur de l’équipe Brama Traoré qui a entamé un stage de prération pour ces deux rencontres depuis le 17 mars dans le Royaume Chérifien affiche une certaine sérénité. « On est prêt pour le match. On a beaucoup travailler sur l’organisation défensive, les transitions et les sorties de balles », a-t-il dit ajoutant que « l’ambiance est bon enfant. Les joueurs sont en forme. Je suis satisfait parce qu’ils ont un bon état d’esprit. Ils sont physiquement bons et c’est ce qui est important ».

Le nouvel arrivant Arsène Kouassi qui fait ses premiers pas dans l’écurie Etalons laisse percevoir sa joie. « Pour le moment ça se passe bien. Le groupe vit bien. On a répondu présent à l’appel du coach. On espère que ça va bien se passer pour gagner les matchs à venir », dit-il.
Les Etalons joueront demain 21 mars à El Jadida (Maroc) contre le Djibouti avant d’effectuer le déplacement de Bissau pour y affronter les Djurtus.

Le Burkina Faso (3e avec 5 points+2) est logé dans le groupe A avec l’Egypte (1re avec 10 points+9), la Guinée Bissau (2e avec 6 points+1), la Sierra Leone (4e avec 5 points – 1), l’Ethiopie (5e, avec 3 points – 3) et le Djibouti (6e avec 1 point – 8).
La Coupe du monde 2026 se joue du 11 juin au 19 juillet aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada.

Agence d’information du Burkina
as/ata

Burkina : L’AIB reçoit une attestation de reconnaissance pour son engagement révolutionnaire

Burkina-Médias-AIB-Reconnaissance

Burkina : L’AIB reçoit une attestation de reconnaissance pour son engagement révolutionnaire

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – Le directeur de publication du magazine culturel et politique trimestriel « Le Devenir Africain », Kelgwendé André Sawadogo, a décerné, ce jeudi, une attestation de reconnaissance à l’Agence d’Information du Burkina (AIB) pour son engagement révolutionnaire et son accompagnement patriotique audit magazine.

« L’AIB est l’un des médias qui a couvert toutes les cérémonies de dédicace des numéros de notre magazine trimestriel Le Devenir Africain. C’est pourquoi nous sommes venus exprimer notre gratitude à ce média », a indiqué Kelgwendé André Sawadogo.

Le directeur de publication s’exprimait, jeudi 20 mars 2025, à l’issue d’une audience à lui accordée par la Directrice générale de l’Agence, Séraphine Somé/Millogo.

M. Sawadogo a par ailleurs souligné qu’il envisage un partenariat avec l’AIB afin que « la lutte pour la renaissance culturelle africaine » devienne une réalité au Burkina Faso.

Agence d’Information du Burkina
YOS/ata

Passoré : La sécurité alimentaire au cœur des échanges à Yako

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Passoré : La sécurité alimentaire au cœur des échanges à Yako

Yako, 18 mars 2025 (AIB)-Le Comité technique du Conseil provincial de sécurité alimentaire (CT-CPSA) du Passoré a tenu le mardi 18 mars 2025 à Yako, sa première session ordinaire de l’année 2025 sous le thème : « Situation alimentaire et nutritionnelle des ménages du Passoré : Etats des lieux et Perspectives ».
Le premier rendez-vous statutaire du Comité technique du Conseil provincial de sécurité alimentaire (CT-CPSA) du Passoré s’est tenu le mardi 2025 à Yako pour examiner la situation agro-sylvo pastorale, alimentaire, nutritionnelle et humanitaire au Passoré.

Les travaux ont été présidés par le haut-commissaire du Passoré Daouda Sangaré.
Le cadre d’échanges avait également pour objectif principal de faire l’état des lieux de la campagne agro-sylvo pastorale sèche 2025.

Les communications ont porté la situation alimentaire et nutritionnelle des ménages, celle des enfants, l’eau potable et l’assainissement ainsi que la situation humanitaire.

Dans son exposé, la cheffe de service chargé des études statistiques et sectorielles à la direction provinciale en charge de l’agriculture du Passoré, Odile Bonou a indiqué que la campagne agricole 2024-2025 se caractérise par un démarrage précoce et anormal des pluies dans la province.

Mme Bonou a relevé que les prix des denrées alimentaires sont en hausse du fait de la crise sécuritaire.

S’agissant de la situation nutritionnelle des ménages dans la province, le point focal en charge de la nutrition dans le district sanitaire de Yako, Léa Ouoba a souligné qu’avec l’accompagnement des ONG et associations partenaires (UNICEF, TDH et SEMUS), la situation alimentaire et nutritionnelle des ménages a connu des avancées très significatives.

Sur le plan humanitaire, plusieurs actions ont été menées par l’Etat et ses partenaires comme réponse humanitaire en faveur des personnes déplacées internes, des personnes hôtes vulnérables et des familles d’accueils courant 2ème semestre 2024 a informé la direction provinciale de l’action humanitaire.

La dernière communication a fait cas de la réhabilitation des ouvrages d’eau au profit des ménages tels que les Adductions d’eau portable simplifiée (AEPS), les forages équipés à gros débit et 5 blocs de latrines.
Le directeur provincial en charge de l’eau du Passoré, Ignace Nebié a fait le point de certaines réalisations en cours des échanges.

Le président du CT-CPSA du Passoré, Gilbert Ouédraogo a apprécié le déroulement des travaux et les échanges sur les différentes présentations tout en remerciant les partenaires financiers pour leur accompagnement.

Agence d’information du Burkina
ZES/NO/ATA

Tapoa : la Circonscription d’éducation de base de Diapaga lance ses activités de l’OSCEP

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Tapoa : la Circonscription d’éducation de base de Diapaga lance ses activités de l’OSCEP

Diapaga, 19 mars 2025 (AIB)- la Circonscription d’éducation de base (CEB) de Diapaga a lancé mercredi ses activités de l’Organisation du sport et de la culture à l’école primaire (OSCEP), a constaté l’AIB.

C’est par un cross populaire et une séance d’aérobic que la CEB de Diapaga a procédé au lancement de ses activités de l’OSCEP. Partis du lycée Untaani de Diapaga, enseignants, FDS, autorités administratives, coutumières et religieuses de la ville ont arpenté les artères de la ville avant de rallier l’école centre B pour une séance d’aérobic.

L’apothéose a été l’opposition qui a mis aux prises l’école centre A à son homologue l’école centre B pour le match d’ouverture. Une rencontre qui s’est soldée par la victoire sans partage de l’école centre B, plus volontaire et plus réaliste, par le score de deux buts à zéro.

Lors de la cérémonie de lancement le Chef de la circonscription d’éducation de base de Diapaga Diassibo François d’Assise Gnoula, après les civilités a expliqué pourquoi après une trêve de 3 ans due au contexte sécuritaire, la CEB de Diapaga renoue avec la reprise des activités sportives et culturelles.

Il a donné l’importance du sport, et de la culture dans la formation intégrale de l’enfant, futur citoyen, avant de s’appesantir sur l’exigence de la pratique du sport pour tous, en paraphrasant Socrate selon lequel, « aucun homme n’a le droit d’être amateur en matière d’entrainement physique. C’est une honte de vieillir, sans savoir la force dont son corps est capable ».

Parlant de la culture le CCEB a rappelé que l’homme sans culture, est un arbre sans fruits, un zèbre sans rayures. Et de poursuivre que c’est la culture qui a fait de l’homme autre chose qu’un accident de la nature. Il a conclu en disant que le sport et la culture concourent à l’atteinte des finalités de l’éducation et constituent des catalyseurs de performances scolaires.

Trois mois durant, douze équipes vont dans un combat fraternel, se disputer dame coupe de la CEB de Diapaga. Même si l’édition 2025 se tient dans un contexte éprouvé par la crise humanitaire et par des attaques perturbant le déroulement des activités éducatives, l’école à Diapaga est restée debout et les activités sportives et culturelles reprendront leur droit dans la cité.

Aux acteurs engagés dans la compétition, il a demandé la tolérance, le fair-play et le respect mutuel. A l’endroit des encadreurs, même si le sport déchaîne des passions, il faut privilégier l’esprit de jeu pour ne pas perdre de vue la dimension éducationnelle de l’OSCEP.

Au-delà de l’enjeu il faut voir plutôt le jeu. Les élèves de l’école B ont, dans un poème et une chanson de bienvenue, rendu hommes aux FDS, VDP, enseignants, parents d’élèves, acteurs et partenaires de l’éducation.

La cérémonie riche en couleur était présidée par le préfet de Diapaga et placée sous le parrainage du Chef de Corps du 63e RIC de Diapaga, le Capitaine Yannick Sawadogo. Les activités de l’OSCEP de Diapaga sont placées sous le thème : « Sport et Culture à l’école primaire face aux défis sécuritaires et Humanitaires: un levier de résilience pour les communautés éducatives.
Agence d’information du Burkina
lbk/as/ata

Soum : un particulier offre des motos aux Forces combattantes de Djibo

Soum : un particulier offre des motos aux Forces combattantes de Djibo

Ouagadougou, (AIB)- Un particulier a offert le mercredi 19 mars 2025, à Ouagadougou, 15 motos de type ALOBA aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ainsi qu’aux Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de Djibo. Ce don vise à contribuer à l’effort de maintien de la sécurité dans la région.

Les motos ont été réceptionnées par les préfets de Baraboulé, T. Félix Zoehinga, et de Tongomayel, Idrissa Koumtoubré en présence des autorités locales.

Au nom du Haut-Commissaire de la province du Soum, Wend Néré Wilfried Tougma, les préfets ont exprimé leur profonde gratitude envers le donateur pour cette action généreuse qui vient soutenir le travail quotidien des FDS et des VDP dans un contexte de sécurité difficile.

Les motos seront utilisées pour faciliter les déplacements et les interventions des forces de sécurité sur le terrain.

Ce don, porteur de solidarité, incarne l’engagement des fils et filles du Soum à participer activement à la lutte pour la paix et la sécurité dans la région.

Cet acte de générosité s’inscrit dans une dynamique collective visant à renforcer la cohésion sociale et la stabilité, tout en soutenant ceux qui se battent pour la sécurité et le bien-être de la population.

Agence d’information du Burkina

EB/ata

 

Préparatifs CAN U17 : le Maroc bat le Burkina Faso par 1 but à 0

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Préparatifs CAN U17 : le Maroc bat le Burkina Faso par 1 but à 0

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB) – Les Lionceaux de l’Atlas marocains (U17) ont battu mercredi soir au Complexe Mohamed VI de Casablanca (Maroc), leurs homologues les Etalons cadets du Burkina Faso par le score étriqué de 1 but à 0, comptant pour les préparatifs de la CAN de leur catégorie prévue pour se dérouler du 30 mars au 19 avril dans le royaume chérifien.

Après une première période équilibrée, le Maroc a eu le gain du match en seconde période du jeu. Ce mini tournoi se dispute entre le Burkina Faso, le Maroc, l’Angola et la Zambie dans le cadre des préparatifs de la CAN U17, Maroc 2025.

Le Burkina Faso dans cette CAN est logé dans la poule B avec le Cameroun, l’Egypte et l’Afrique du sud. La CAN U17 se déroule au Maroc du 30 mars au 19 avril 2025.
Agence d’information du Burkina
as/ata

Politique : Les États-Unis devraient faire des affaires avec la Russie, dit Trump

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Politique : Les États-Unis devraient faire des affaires avec la Russie, dit Trump

Ouagadougou, 20 mars 2025 (AIB)- Les États-Unis devraient faire des affaires avec la Russie, qui dispose de ressources économiques précieuses, a déclaré le président américain Donald Trump.

Au cours d’un appel téléphonique le 18 mars 2025, le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain, Donald Trump, se sont entretenus sur un certain nombre de sujets internationaux tels que les conditions permettant d’éviter une escalade en Ukraine.

Selon le service de presse du Kremlin, les deux hommes avaient évoqué un large éventail de domaines où Moscou et Washington pourraient coopérer, dont l’économie et l’énergie.

« Nous devrions faire des affaires avec la Russie. Elle possède de loin le plus grand territoire, plus grand que la Chine. Elle compte onze fuseaux horaires. Vous pouvez traverser ces onze fuseaux horaires d’un côté à l’autre. Elle possèdent des terres très précieuses », a indiqué Donald Trump  dans une interview au site d’actualités Breitbart News.

Agence d’information du Burkina
Avec TASS

La mairie de Djibo offre du matériel de couture et de kits de ménage à 320 bénéficiaires

La mairie de Djibo offre du matériel de couture et de kits de ménage à 320 bénéficiaires

Djibo, le 17 mars 2025 – Dans le cadre de ses actions de soutien aux populations, la mairie de Djibo, à travers l’Action humanitaire, a procédé à la distribution de matériel de couture et de kits de ménage au profit de 320 bénéficiaires. Cette initiative s’inscrit dans un programme visant à améliorer les conditions de vie des personnes déplacées internes (PDI) et des familles vulnérables dans la commune.

Ce 17 mars 2025, l’événement s’est déroulé en présence du directeur provincial de l’Action humanitaire Benjamin Hieet du président de la délégation spéciale de la commune de Djibo, qui ont pris part à la cérémonie symbolique de remise des dons.

Lors de cette cérémonie, 20 machines à coudre ont été remises à des bénéficiaires afin de leur permettre d’acquérir une compétence génératrice de revenus, dans une commune où la mobilité et l’accès à l’emploi peuvent être limités. Ces machines ont été acquises grâce au financement du Projet communautaire de relèvement et de stabilisation pour le Sahel (PCRSS).

En plus des machines à coudre, 300 kits de ménage ont été distribués aux ménages vulnérables.

Chaque kit contenait un grand seau de 200 L, un petit seau, des marmites, des assiettes, des louches, un fourneau, des nattes, un imperméable, un plateau, une bouilloire et d’autres ustensiles essentiels.

Parmi ces bénéficiaires, 50 kits ont été spécifiquement offerts aux veuves des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) tombés dans l’accomplissement de leur devoir pour la défense de la nation. Ces kits ont été offerts grâce à l’appui du projet Trois Frontières.
Agence d’information du Burkina

Littérature: Pr André Jules Ilboudo se questionne sur « la viande que nous mangeons »

Littérature: Pr André Jules Ilboudo se questionne sur « la viande que nous mangeons »

Ouagadougou, 19 mars 2025-(AIB)-André Jules Ilboudo, professeur au département de biochimie et microbiologie de l’UFR/SVT, a dédicacé, mercredi,  son premier ouvrage intitulé « La viande que nous mangeons ? ». Cette œuvre est le fruit d’une expertise approfondie visant à proposer des solutions durables pour la protection de la santé publique.

L’ouvrage met en lumière les pratiques déplorables en matière de manipulation, de conservation et de transport de la viande, et propose des recommandations pour améliorer la qualité de la viande consommée, a laissé entendre le Pr André Jules Ilboudo.

« Le choix des photos sur la page de couverture de l’œuvre n’est pas un hasard : elles prennent en compte la définition de la viande », a-t-il précisé.

Selon lui, le livre aborde plusieurs thématiques, notamment les opérations de première transformation des viandes, la qualité organoleptique, nutritionnelle et technologique de la viande, ainsi que les dangers et risques sanitaires liés à sa consommation.

Il traite également des aspects architecturaux, des aménagements et de l’hygiène des centres d’abattage, du processus technologique de transformation de la viande fraîche et de l’état de l’industrie de la viande au Burkina Faso.

M. Ilboudo a indiqué que son œuvre s’adresse aux étudiants des centres universitaires et des universités proposant des filières telles que la production animale, la production et santé animale, la technologie alimentaire et nutrition humaine, ainsi que la technologie alimentaire.

Le professeur a également mis en avant, dans son ouvrage, les conditions nécessaires pour obtenir une viande de qualité.

« Il faut s’assurer de la bonne santé de l’animal, procéder à l’inspection de la viande par les services vétérinaires et enfin refroidir la viande à 7°C pour éliminer les germes », a-t-il insisté.

Le Pr André Jules Ilboudo a averti que « si ces conditions ne sont pas réunies et qu’une mauvaise cuisson s’ajoute, le consommateur sera exposé à des problèmes alimentaires ».

Cet ouvrage de 300 pages est structuré en trois grandes parties traitées en neuf chapitres.

Il sera bientôt disponible au prix unitaire de 20 000 FCFA chez le Pr André Jules Ilboudo, à la librairie universitaire de l’université Joseph Ki-Zerbo, à la Librairie Presse Universitaire et à la Librairie Jeunesse Afrique.

Agence d’Information du Burkina

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