Accueil Blog Page 270

Mémorial Thomas Sankara : Un ancien camarade du président remet des archives au comité

Mémorial Thomas Sankara : Un ancien camarade du président remet des archives au comité

Ouagadougou, 8 mars 2025 (AIB) – L’ancien compagnon du président Thomas Sankara, basé aux États-Unis d’Amérique, Mounoubaï Madnodjé, a remis vendredi aux responsables du mémorial qui porte son nom des archives et des artefacts du père de la révolution burkinabè.

Parmi ces documents, on trouve cinq journaux de Jeune Afrique, onze coupures de presse, des manuscrits et des artefacts. Ce sont, entre autres, les archives sur Thomas Sankara que Mounoubaï Madnodjé a remises au Comité international du Mémorial Thomas Sankara (CIMTS), le vendredi 7 mars 2025 à Ouagadougou.

Selon le donateur, il est de son devoir de mettre à la disposition du mémorial ces documents accumulés pendant des années sur la vie et la personnalité de Thomas Sankara.

Parmi ces archives, il y a, par exemple, un document du Sénat américain datant de l’époque de la Révolution sur la vaccination « opération commando », qui a fait l’éloge du Burkina Faso et de son gouvernement, puisque cette vaccination commando ne s’est jamais réalisée ailleurs dans le monde, a indiqué Mounoubaï Madnodjé.

« Ces documents sont un peu un récapitulatif de la perception de Thomas Sankara et de la révolution démocratique et populaire, surtout aux États-Unis et dans le monde anglophone », a souligné M. Mounoubaï.

À travers cet acte, il a exprimé son souhait de contribuer à faire connaître aux Burkinabè cette perception du monde extérieur sur le capitaine.

Pour lui, le capitaine Sankara a joué un rôle important dans la géopolitique mondiale, mais de nombreux Burkinabè ignorent ces faits.

« Thomas était certes un visionnaire, mais pas un visionnaire naïf. Sa vision, il la transmettait par des actions, et c’est ce qui a attiré beaucoup de gens », a-t-il reconnu.

Pour mieux faire connaître ce révolutionnaire à la jeune génération, Mounoubaï Madnodjé a invité toute personne détenant des archives ou des artefacts à les mettre à la disposition du Comité international du Mémorial Thomas Sankara.

« J’espère surtout que d’autres camarades, à l’intérieur comme à l’extérieur du Burkina, vont mettre à la disposition du projet tout ce qu’ils ont sur Thomas Sankara. Parce que je sais qu’il existe beaucoup de documents qui circulent », a-t-il relevé.

Présent à Ouagadougou dans le cadre du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, Mounoubaï Madnodjé a salué le projet de collecte des archives et artefacts du capitaine Thomas Sankara, visant à sauvegarder les idéaux de la révolution.

Selon M. Mounoubaï, certaines personnes ont dû cacher les documents sur Thomas Sankara pour protéger leur vie.

Cela signifie, d’après ses explications, que la sauvegarde des acquis de la révolution démocratique et populaire et de la vision politique de Sankara s’est faite pendant longtemps en dehors du Burkina Faso.

À l’extérieur du pays, les gens se sont organisés pour faire des colloques, des meetings, écrire des livres, etc., pour perpétuer l’œuvre de Thomas Sankara. Aujourd’hui, nous sommes heureux de constater que cela n’a pas été inutile », s’est réjoui M. Mounoubaï.

Il a rappelé que Mounoubaï Madnodjé est un ancien cadre supérieur des Nations Unies d’origine tchadienne. Il a occupé de hautes fonctions dans son pays d’origine.

C’est Mounoubaï Madnodjé qui a traduit les propos du président Thomas Sankara lorsqu’il s’est rendu à Harlem le 3 octobre 1984 pour visiter les Noirs américains de New York.

Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Solenzo: Les femmes catholiques offrent des vivres aux FDS et VDP comme cadeau du 8 mars

Solenzo: Les femmes catholiques offrent des vivres aux FDS et VDP comme cadeau du 8 mars

Solenzo, 7 mars (AIB) – L’association des femmes catholiques de Solenzo ont offert un cadeau du 8 mars aux Forces de défense et de sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) le vendredi 7 mars 2025 devant la préfecture de la ville.

Selon la porte-parole des donatrices, Yvette Dembélé, leur association a pu rassembler cinq sacs de maïs de 100 kg et un carton de savon SN Citec.

« cn’est le 8 mars, et le seul cadeau qu’une mère ou une femme peut offrir à son enfant, c’est la nourriture. C’est pourquoi nous avons voulu apporter ce que nous avons pour nos enfants qui se battent nuit et jour pour la paix et la sécurité dans la province des Banwa », a déclaré Yvette Dembélé à l’attention du premier responsable des FDS.

Le Secrétaire général de la province des Banwa, Abdoul Kader KongZabré, qui a reçu les dons au nom des FDS, a salué l’initiative de l’association. Il a souligné que ce geste s’inscrit dans la continuité des nombreuses actions de soutien de la population des Banwa en faveur de leurs forces combattantes.

« Nous nous réjouissons que les filles et fils de la province ne soient pas restés en marge de l’appel de Son Excellence le Président du Faso », a renchéri Abdoul Kader KongZabré.

Rappelons que le samedi 1er mars, les femmes déplacées internes (PDI) et les femmes hôtes avaient également offert des savons liquides et du soumbala aux FDS et aux VDP.

SO

« J’ai une pensée spéciale pour toutes ces femmes déplacées internes », Ministre de l’Action humanitaire

𝐌𝐄𝐒𝐒𝐀𝐆𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐇𝐔𝐌𝐀𝐍𝐈𝐓𝐀𝐈𝐑𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐎𝐋𝐈𝐃𝐀𝐑𝐈𝐓𝐄 𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐀𝐋𝐄 𝐀 𝐋’𝐎𝐂𝐂𝐀𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝟏𝟔𝟖è𝐦𝐞 𝐉𝐎𝐔𝐑𝐍𝐄𝐄 𝐈𝐍𝐓𝐄𝐑𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐀𝐋𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐑𝐎𝐈𝐓𝐒 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐄𝐌𝐌E

Le 8 mars de chaque année, la Communauté internationale commémore la Journée internationale des droits de la femme.

Cette journée, faut-il le rappeler trouve ses origines dans les luttes des femmes pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Elle a été instituée en 1977 par la Résolution 32/142 de l’Organisation des Nations Unies.

Je voudrais saisir cette occasion, pour saluer la mémoire des femmes pionnières de la lutte qui a conduit à la consécration de cette journée sans oublier les femmes burkinabè qui se sont illustrées au fil des années par leur dévouement et leur sens de responsabilité pour l’amélioration des conditions de vie des femmes et des filles.

Aussi, j’ai une pensée spéciale pour toutes ces femmes déplacées internes de notre pays qui, malgré la situation difficile qu’elles vivent, continuent de se battre dignement pour améliorer leurs conditions de vie et renforcer leur résilience face aux chocs.

Cette année, la communauté internationale commémore la journée, sous le thème suivant « Pour toutes les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation ».

Au Burkina Faso, au regard du contexte sécuritaire que traverse notre pays, la célébration est placée sous le thème : 𝐂𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐬é𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐧𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 : 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭é𝐠𝐢𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐞𝐮𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 ? »

Ce choix se justifie par l’importance que les autorités accordent à la contribution importante des vaillantes femmes productrices agricoles du pays, qui en dépit du contexte sécuritaire difficile font preuve de grande résilience.

Il traduit également la volonté du Gouvernement de soutenir et de promouvoir l’entreprenariat agricole des femmes au Burkina Faso.

Ainsi pour répondre de manière intégrée aux fragilités causées par les crises sécuritaire et humanitaire dans notre pays, des actions telles que :

– la formation de 650 femmes et jeunes filles en transformation des produits locaux ;

– la formation de 200 femmes retournées en technique de production maraichère et en aviculture, et leur dotation en kits d’installation d’un montant global de 28 millions de FCFA grâce à l’appui financier du PNUD et du FAO ;

– la remise de matériels et d’équipements de production et de transformation de produits locaux d’une valeur de 50 millions de FCFA à deux coopératives de plus de 30 entreprises individuelles des Hauts-Bassins dans le cadre du Projet d’autonomisation économique dans le domaine du commerce pour la résilience des femmes ;

– la dotation de 300 femmes en technologies de production, de transformation et de conservation selon leurs domaines d’activités d’un montant global de 25 millions de FCFA ;

– la formation de 1000 femmes et jeunes filles (communauté hôte et FDI) en tissage, en teinture et en marketing digital et leur dotation en métiers à tisser d’un montant de 150 millions de FCFA ;

– la formation de 60 femmes en techniques de conservation de produits agricoles et sur la procédure de normalisation des produits ont été développées.

La commémoration de cette journée constitue une occasion pour notre pays d’identifier les stratégies nécessaires pour répondre aux besoins de plus en plus croissants des groupes vulnérables.

A cette occasion, je voudrais adresser mes sincères remerciements à l’ensemble des acteurs publics et privés intervenant dans le domaine de protection des droits de la femme.

Mes remerciements s’adressent également aux partenaires techniques et financiers qui accompagnent le gouvernement dans sa politique de lutte contre les inégalités de genre au Burkina Faso

Ensemble, œuvrons pour une meilleure protection des droits des femmes et des filles.

Que Dieu bénisse le Burkina Faso !

La Patrie ou la mort, nous vaincrons

Commandant Passowendé Pélagie KABORE

Officier de l’Ordre de l’Etalon

Ukraine : Des mercenaires français démasqués par la résistance, (militaire ukrainien)

Ukraine : Des mercenaires français démasqués par la résistance, (militaire ukrainien)

Ouagadougou, 8 mars 2025 (AIB)- Des mercenaires français arrivant clandestinement en Ukraine comme des volontaires ont été démasqués par la résistance, indique l’expert militaire ukrainien, Vitali Kisseliov cité par l’agence TASS.

« Il y a de très nombreux mercenaires français dans les parties sud et sud-ouest de Pokrovsk, dans les gares ferroviaires proches de Pokrovsk. Des points de transbordement y ont été créés. Ils arrivent clandestinement, par l’intermédiaire de groupes de volontaires.
Leur arrivée dans le secteur de Krasnoarmeïsk (Pokrovsk en ukrainien) a été enregistrée par la résistance, a précisé le militaire ukrainien.
En d’autres termes, il ne s’agit pas d’une arrivée ouverte de mercenaires, mais d’une arrivée sous couvert d’aide humanitaire. Ces informations proviennent de la résistance », a expliqué M. Kisseliov.

A en croire l’officier militaire, ces mercenaires arrivent par groupes de cinq à sept personnes. Ils sont rassemblés dans l’ouest de l’Ukraine, puis transportés dans la région de Dniepropetrovsk et répartis le long de la ligne de contact.

Il a précisé que les mercenaires recevaient une rémunération élevée.

Agence d’information du Burkina

Journée internationale de la Femme 2025 : visite surprise du Chef de l’État aux productrices de légumes à Zongo

Journée internationale de la Femme 2025 : visite surprise du Chef de l’État aux productrices de légumes à Zongo

(Ouagadougou, 8 mars 2025). Dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits de la femme, le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a effectué une visite inopinée le jeudi 6 mars 2025, du site de maraîchage d’une coopérative féminine à Zongo, un village situé dans la commune rurale de Loumbila, région du Plateau-Central. Il a encouragé ces braves femmes qui représentent à ses yeux, le symbole de la résilience et de la lutte pour l’émancipation.

Pour une surprise de taille, ç’en est une. En arrivant ce matin du 6 mars 2025 à leur périmètre irrigué, la trentaine de femmes qui exploitent cet espace de production maraîchère du village de Zongo ne se doutaient nullement qu’elles allaient avoir un visiteur de marque.

Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ est venu sans se faire annoncer pour encourager ces femmes et à travers elles, toutes les femmes du Burkina Faso qui œuvrent sans relâche dans la production agricole.

Et cette visite vient à propos puisqu’en lien avec le thème de la Journée internationale des droits de la femme 2025 : « Crise sécuritaire et humanitaire au Burkina Faso : quelles stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes ? ».

Le Président du Faso qui a fait de l’émancipation de la femme burkinabè une priorité, a salué le travail réalisé et recueilli directement les préoccupations de ces femmes engagées dans la production maraîchère, une activité qui permet à ces « amazones » de se prendre en charge et subvenir aux besoins de leurs familles.

Leurs préoccupations exposées au Chef de l’État tournent autour de l’accès à la terre, l’insuffisance des ressources en eau, la divagation des animaux. En dépit de tout, ces femmes produisent l’oignon, le haricot vert et l’aubergine sur 3,6 hectares, avec un rendement global annuel de 85 tonnes.

En échangeant avec ces entrepreneures agricoles, le Président du Faso a profité livrer un message à l’ensemble des femmes du Burkina Faso.

« Le 8-mars, c’est la célébration de la journée internationale des droits de la Femme ; mais je pense qu’on devrait dédier tous les jours à la Femme. Quoiqu’il faille célébrer plus cette journée dans le sens de l’émancipation de la Femme. La production agricole est aujourd’hui un domaine que nous encourageons fortement, ainsi que la transformation. Et qui mieux que la Femme pour porter cet entrepreneuriat et aider à transformer à l’échelle locale tout ce que nous produisons ? Je pense qu’à travers l’émancipation de la Femme, les familles vont mieux se porter et notre pays va mieux se porter. Donc, le message à l’endroit de toutes les Femmes du Burkina Faso et du monde entier, est un encouragement à continuer à se battre », déclare le Chef de l’État.

Pour le Président du Faso, les femmes burkinabè en général sont des « femmes battantes et résilientes ». Il a pris l’engagement avec le gouvernement de continuer de les accompagner dans leur quête d’émancipation.

« Je vous soutiens dans votre lutte émancipatrice. Je parle à la Femme productrice agricole, en milieu rural ou péri-urbain, actrice principale de son propre épanouissement et à qui toute autre Femme devrait s’identifier pour sa bravoure », rassure le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.

La Présidente de la Coopérative féminine de Zongo, Elise OUÉDRAOGO, s’est réjouie de cette visite du Président du Faso. « Nous avons été honorées par cette visite du Chef de l’État. Et toute femme devrait l’être avec nous.

Le Président a pu apprécier nos activités sur ce site. Il va nous aider. Nous lui disons merci pour cette visite. Nous sommes vraiment contentes », soutient-elle.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

« Je suis votre premier défenseur », le Président résident Ibrahim Traoré aux femmes du Burkina

08 mars 2025: Message du Chef de l’État aux femmes depuis le périmètre irrigué du village de Zongo

Depuis le périmètre irrigué de Zongo (commune de Loumbila, région du Plateau central) où il rendu une visite surprise aux femmes qui exploitent un périmètre irrigué de la localité, le Président du Faso a adressé un message à l’autre moitié du ciel à l’occasion de la commémoration du 8-Mars 2025

« Je suis votre premier défenseur et je mettrai tout en œuvre pour votre émancipation »

Cette année, le thème du 8-mars traite de l’entrepreneuriat agricole des femmes dans un contexte de crise humanitaire. Ce thème a motivé ma visite inopinée à ces braves et résilientes Femmes productrices de légumes ici à Zongo d’où j’adresse ce message.

Le 8-Mars, c’est la célébration de la Journée internationale des droits de la Femme ; mais je pense qu’on devrait dédier tous les jours à la Femme. Quoiqu’il faille célébrer plus cette journée dans le sens de l’émancipation de la Femme, et il s’agit donc cette année de permettre aux Femmes d’être autonomes par l’agriculture. La production agricole est aujourd’hui un domaine que nous encourageons fortement, ainsi que la transformation.

Et qui mieux que la Femme pour porter cet entrepreneuriat et aider à transformer à l’échelle locale tout ce que nous produisons ? Je pense qu’à travers l’émancipation de la Femme, les familles vont mieux se porter et notre pays va mieux se porter. Donc, le message à l’endroit de toutes les Femmes du Burkina Faso et du monde entier, est un encouragement à continuer à se battre.

Je vous soutiens dans votre lutte émancipatrice. Je parle à la Femme productrice agricole, en milieu rural ou péri-urbain, actrice principale de son propre épanouissement et à qui toute autre Femme devrait s’identifier pour sa bravoure.

Prenez l’exemple sur celles qui produisent des légumes ici à Zongo. Elles sont des battantes. Elles passent des nuits à veiller sur leur périmètre aménagé avec le soutien de leurs époux. Ce n’est pas facile avec toutes les difficultés liées à l’insécurité, au manque d’eau, à la divagation des animaux.

Je souhaite une bonne commémoration à toutes les Femmes et que le combat que vous menez pour votre émancipation puisse aboutir.

Pour ma part, je mettrai tout en œuvre pour vous permettre d’atteindre votre objectif de vous émanciper afin de pouvoir profiter pleinement des fruits de votre dur labeur.

Périmètre irrigué du village de Zongo, le 8 mars 2025

Capitaine Ibrahim TRAORÉ,

Président du Faso, Chef de l’État

8 mars : hommage aux combattantes de l’ombre

8 mars : hommage aux combattantes de l’ombre

Ouagadougou, 8 mars (AIB) – La Journée internationale des droits des femmes, célébrée chaque 8 mars, suscite de nombreux débats et interprétations en fonction des sensibilités et des centres d’intérêt. Au Burkina Faso les femmes jouent un rôle clé dans la société malgré de nombreuses inégalités. Le 8 mars devient ainsi un moment de réflexion sur leur émancipation et les moyens d’améliorer leur existence.

Si le 8 mars est largement connu, son origine historique demeure méconnue pour beaucoup.

Peu de gens se souviennent que cette journée trouve son origine dans les luttes ouvrières et les manifestations de femmes au début du XXe siècle en Amérique du Nord et en Europe.

 

C’est en 1977 que l’ONU a officiellement proclamé cette date comme Journée internationale des droits des femmes, marquant ainsi une reconnaissance mondiale de la nécessité d’agir pour l’égalité.

Au-delà de son aspect historique, le 8 mars reste une occasion de mettre en lumière le rôle central des femmes dans la société. Comparées à « l’autre moitié du ciel », elles incarnent un pilier essentiel de l’humanité, un rôle souvent sous-estimé.

Imaginer un monde sans elles reviendrait à imaginer une vie sans musique, une existence terne, monotone et dépourvue de beauté !

Au Burkina Faso, les femmes sont présentes dans tous les secteurs d’activité, cumulant souvent plusieurs rôles pour subvenir aux besoins de leur famille.

Dès l’aube, on les retrouve à pied, à vélo ou à moto, transportant du bois, du fourrage ou des produits de marché.

Dans les campagnes, elles assurent la survie de leur foyer en transformant les récoltes en repas, s’occupant des enfants et des époux, souvent dans la discrétion et avec un sens du devoir inébranlable.

Lorsqu’elles occupent un emploi rémunéré, elles redoublent d’efforts par rapport à leurs collègues masculins, leurs erreurs étant rarement tolérées au même titre que celles des hommes.

Malgré cette charge de travail, elles assument encore la majorité des tâches domestiques.

Pourtant, elles restent parmi les plus défavorisées.

Leur accès aux ressources et aux droits fondamentaux, tels que la terre, la prise de décision ou la protection en période de conflits, demeure limité.

Elles sont également exposées aux violences et aux pratiques préjudiciables à leur santé.

Des efforts notables ont été réalisés pour améliorer la condition féminine, notamment à travers l’accès aux métiers de leur choix, la scolarisation des filles, les bourses d’études, la lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes, ainsi que l’amélioration de l’accès aux soins de santé et aux crédits.

Ces dernières années, la célébration du 8 mars s’oriente davantage vers des activités de réflexion, une évolution à saluer, car les dérives passées n’étaient ni valorisantes pour les femmes ni favorables à la cohésion et à l’harmonie familiale.

Or, l’amélioration de leurs conditions de vie passe nécessairement par celle de leurs familles.

Face aux défis auxquels elles sont confrontées, il devient essentiel de chercher des solutions durables pour alléger leur fardeau, plutôt que d’accorder à cette journée un simple caractère festif. Toutefois, chacune reste libre de marquer cette journée selon ses aspirations.

À toutes les femmes, notamment celles qui luttent au quotidien contre l’adversité dans des conditions précaires, cette journée leur appartient, même si elles en ignorent parfois l’existence et la portée.

Puisse la solidarité de leurs sœurs mieux loties leur apporter espoir et énergie pour poursuivre leur combat.

Agence d’Information du Burkina

 

 

 

 

.

USA : Le président Trump propose une négociation sur le nucléaire l’Iran

USA : Le président Trump propose une négociation sur le nucléaire l’Iran

Ouagadougou, 7 mars 2025 (AIB)- Alors que Téhéran excluait toute négociation directe avec Washington, le président américain Donald Trump a déclaré avoir écrit à l’Iran pour proposer des négociations visant à prévenir le développement par Téhéran d’armes nucléaires, brandissant la menace d’une intervention militaire.

« Je leur ai écrit une lettre en disant que j’espère que vous allez négocier parce que si on doit attaquer militairement, ce sera une chose terrible pour eux », a déclaré le président américain dans un extrait d’interview sur la chaîne Fox Buisness, diffusé vendredi.

« Vous ne pouvez pas les laisser avoir l’arme nucléaire », a-t-il ajouté.

En 2018, lors du premier mandat de Trump, les Etats-Unis s’étaient retirés de l’accord international sur le nucléaire iranien conclu trois ans plus tôt, et qui encadrait les ambitions nucléaires de Téhéran en échange d’un allègement des sanctions à son encontre.

En représailles, Téhéran était revenu sur ses engagements et a fait progresser son programme nucléaire.

Depuis son retour au pouvoir en janvier, le milliardaire républicain a remis au goût du jour la politique dite des « pressions maximales » qu’il avait mise en œuvre lors de son premier mandat (2017-2021), avec le rétablissement de sanctions pour affaiblir le pays économiquement et l’isoler sur la scène internationale.

Le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, a écarté il y a deux semaines toute « négociation directe » avec les Etats-Unis.

« Nous ne négocierons pas sous la pression, la menace ou les sanctions », avait-t-il martelé au lendemain de l’annonce par les Etats-Unis d’une nouvelle salve de sanctions visant spécifiquement les ventes de pétrole iranien.

L’Iran affirme que son programme nucléaire n’existe qu’à des fins civiles, notamment pour l’énergie, et dément vouloir se doter de l’arme nucléaire.
Agence d’information du Burkina

Avec AFP

4ᵉ Région militaire : Le CEMAT exhorte les Forces combattantes à persévérer jusqu’à la victoire

4ᵉ Région militaire : Le CEMAT exhorte les Forces combattantes à persévérer jusqu’à la victoire

Poursuivant sa tournée dans les régions, le Chef d’État-Major de l’Armée de Terre (CEMAT) a procédé, le vendredi 28 février 2025, à l’installation du Chef de Bataillon Amadou SANOU dans ses fonctions de Commandant de la 4ᵉ Région militaire, au cours d’une cérémonie au camp Liptako, à Dori.

À cette occasion, le CEMAT a échangé avec les Forces combattantes de la région, engagées en première ligne depuis les premières attaques sur le sol burkinabè. Il a salué leur endurance exemplaire ainsi que leur résilience qui inspirent l’ensemble des Forces. Il les a exhortés à maintenir leur engagement et à poursuivre le combat avec détermination, jusqu’à la victoire.

Armée de Terre – Sacrifice pour la Patrie !

Namentenga : Le circuit de 10,5 km de la 1re édition du marathon international de Koomtanga identifié 

Burkina-Namentenga-Sport-Marathon

Namentenga : Le circuit de 10,5 km de la 1re édition du marathon international de Koomtanga identifié

Boulsa, 6 mars 2025 (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga, en compagnie d’une délégation de la fédération nationale d’athlétisme conduite par son secrétaire général à l’organisation, Yabré Bernard Kaboré et le staff provincial du marathon international Koomtanga a identifié le mercredi 5 mars 2025, le circuit de la compétition sportive. Cette distance de 10,5km part du flanc sud de la colline, à 400m de l’école du village Lilyala de Boulsa, chef-lieu de la commune au sud.

Le flanc sud de la colline Koomtanga a été identifié comme le lieu de départ et d’arrivée du semi-marathon international Koomtanga, dans la province du Namentenga de la région du Centre-Nord.

Le circuit qui prend sa source au flanc de la colline longe la route Tougouri-Boulsa, en direction du rondpoint du Lion en passant le bar « la Plantation » à gauche à l’ex- aérodrome.

Le circuit franchit la route nationale 15 en passant la pharmacie Sainte Marie à droite pour emprunter la route Boulsa-Tanghin de Zorgho. La limite du circuit de 10,5km est à 400 m de l’école de Lilyala au sud de Boulsa. Le total en aller-retour pour le semi-marathon fait 21km.

Selon le chef de mission de la fédération national d’athlétisme, Yabré Bernard Kaboré, le relief du circuit est bon et il existe moins d’obstacles avec une montée au retour des athlètes.

« Des brassards seront remis aux athlètes qui seront arrivés à Lilyala pour éviter des intrusions au retour », a dit M. Kaboré.

Le semi-marathon de 21 km concerne les personnes âgées de plus de 18 ans. La course sur les 10 km concerne les nationaux de moins de 18 ans et de tout âge pour les ressortissants de la région du Centre-Nord.

La distance de 5 km est consacrée aux scolaires. La pièce d’identification est exigée pour les inscriptions avec une contribution financière de 500 FCFA pour les scolaires et 2000 FCFA pour les nationaux pour la course de 10 km et 2500 FCFA pour les candidats, issus des pays membres de la confédération de l’alliance des Etats du Sahel (AES) et 600O FCFA pour les autres nationalités devant parcourir 21 km.

Des gloires nationales et internationales qui sont, entre autres, Iron Biby, Charles Kaboré, Hugues Fabrice Zongo , les Dozos seront de la partie a fait savoir le promoteur.

Le 1er athlète homme recevra 500 000FCFA et 300 000 FCFA à la 1ère athlète.

Le haut-commissaire de la province du Namentenga Adama Conseiga, satisfait du consensus qui s’est dégagé sur l’identification du circuit a remercié le chef coutumier et Naaba Sonré du canton de Boulsa pour leurs bénédictions.

M. Conseiga a salué les membres de la fédération, le promoteur Issouf Youma et le directeur provincial des sports et loisirs, président national du semi-marathon, Moussa Ilboudo pour leur engagement pour la réussite de l’évènement sportif.

IL a souhaité bonne suite des travaux et aux membres des différentes commissions mises en place à cet effet.

En rappel, cette 1re édition qui se tiendra du 14 au 16 mars 2025 à Boulsa est placée sous le haut patronage du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Agence d’information du Burkina

JBD/NO/ATA

Université Joseph Ki Zerbo : 388 doctorants de quatre écoles doctorales effectuent leur rentrée

Burkina-Formation-Université-Doctorants-Rentrée

Université Joseph Ki Zerbo : 388 doctorants de quatre écoles doctorales effectuent leur rentrée

Ouaga, 7 mars 2025 (AIB)-L’université Joseph Ki Zerbo a organisé le jeudi matin en son sein, la deuxième édition de la rentrée solennelle 2024-2025 de 388 doctorants de quatre écoles doctorales. L’activité vise, selon le président de l’université, Pr Jean François Silas Kobiané à permettre aux doctorants d’apprendre un certain nombre de principes et de valeurs qui vont faciliter leurs formations.

« C’est une activité très importante puisqu’elle permet de marquer au niveau institutionnel, le démarrage du parcours doctoral mais surtout de permettre à ces doctorants de pouvoir apprendre, un certain nombre de principes et de valeurs qui vont faciliter leurs formations », a affirmé le président de l’université Joseph Ki Zerbo, Pr Jean François Silas Kobiané.

Le Pr Kobiané s’exprimait le jeudi à l’occasion de la deuxième édition de la rentrée solennelle 2024-2025 de 388 doctorants repartis dans les quatre écoles doctorales de son université. Il a indiqué que cette rentrée est aussi « l’occasion pour les doctorants de pouvoir interagir entres eux, d’aller au-delà de leurs passerelles pour interagir avec des doctorants d’autres disciplines et d’autres laboratoires ».

Le président de l’université a félicité « le collège des écoles doctorales pour toutes les innovations qui ont été entreprises ces dernières années et qui contribuent à l’amélioration de la qualité des recherches ».

Selon le président du collège des écoles doctorales Pr Bolé Bayala, leurs attentes, « c’est d’avoir des thèses de qualité qui puissent résoudre des problèmes concrets de notre société » avec l’appui de l’université. Il a souhaité que les doctorants puissent soutenir dans des délais impartis. « Une thèse dure 3 ans mais elle peut aller á 5 ans et l’humilité peut aider les doctorants à arriver au bout », a-t-il préconisé.

La marraine des 388 doctorants est l’ancienne ministre de la Santé et ancienne doyenne de l’Unité de formation et de recherche (UFR) en Sciences de la Santé (SDS) de l’université Joseph Ki-Zerbo, Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho.

La marraine a conseillé à ses filleuls, « l’assiduité, l’humilité, la résilience, le travail ». Elle les a invités à cultiver l’esprit de recherche, l’esprit d’aller toujours à la découverte et surtout de s’armer de courages pour supporter tous les coups difficiles qui se présenteront sur leurs chemins afin de fournir au bout de leurs formations, des résultats de bonne qualité qui vont enrichir l’enseignement.

« L’intérêt de cette rentrée solennelle est de permettre à ces doctorants des quatre écoles doctorales de se frotter, de se connaitre et de savoir qu’aucune discipline n’est cloisonnée. Il faut une démarche interdisciplinaire pour enrichir la recherche », a fait savoir Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho.

Le porte-parole des doctorants Abdoulaye Antarou Mogobiri a salué les différents intervenants pour les conseils précieuses qui leurs ont été donnés. L’un des conseils qui l’a marqué, est que la thèse de doctorat, est un projet de vie, qui nécessite beaucoup de sacrifices pour son aboutissement au bout des quatre ans de travail, a-t-il précisé.

Les 388 doctorants ont été recrutés dans les quatre écoles doctorales de l’Université Joseph Ki-Zerbo. Il s’agit de l’École Doctorale Informatique et Changement Climatique qui comprend 7 doctorants, l’École Doctorale Lettres, Sciences Humaines et Communication qui comprend 173 doctorants. Il y a également l’École Doctorale Sciences et Santé fort de 24 doctorants et l’École Doctorale Sciences et Technologies avec 184 doctorants.

La cérémonie de rentrée a été suivie par une conférence sur l’éthique et la déontologie dans le domaine de la recherche scientifique au profit des doctorants.

Agence d’information du Burkina

WIS

Burkina : Lancement officiel du système d’archivage électronique des documents des archives nationales 

Burkina-Archives

Burkina : Lancement officiel du système d’archivage électronique des documents des archives nationales

Ouagadougou, 6 mars 2025 (AIB) – La ministre de la Transition Digitale, des Postes et des Communications Électroniques Aminata Zerbo/Sabane a présidé ce jeudi matin à Ouagadougou, la cérémonie de lancement du système d’archivage électronique des documents des archives nationales. La plateforme selon ses dires, va faciliter la consultation des archives par les usagers.

« La plateforme va améliorer l’efficacité des archives nationales mais aussi faciliter la consultation des archives par les usagers », a affirmé ce jeudi matin, la ministre de la Transition Digitale, des Postes et des Communications Électroniques Aminata Zerbo/Sabane, à la cérémonie de lancement du système d’archivage électronique des documents des archives nationales.

Elle a indiqué que ce lancement, est « un moment important pour les archives nationales parce que les archives constituent la mémoire de notre État et de notre administration ». Il est donc important, de son avis « que sa gestion soit efficace si nous voulons pouvoir tirer le meilleur parti de cette mémoire pour pouvoir avancer ».

Ce lancement rentre en droite ligne de la vision du gouvernement qui est engagé dans un processus de dématérialisation des procédures en vue d’une « administration plus efficace, plus efficiente, plus productive qui puisse offrir des services de qualité dans les délais raisonnables aux usagers qui sont de plus en plus exigeants », a souligné Mme Aminata Zerbo/Sabane.

« Nous avons aussi besoin de traçabilité dans tout ce que nous faisons pour pouvoir avoir une administration moderne. Le fonctionnement manuel est non seulement difficile pour les agents des archives mais aussi pour les usagers parce qu’il faut parcourir les instruments de recherche pour retrouver manuellement la cote », a relevé Mme la ministre.

La ministre de la Transition Digitale a rappelé que la plateforme a été d’abord développé au sein de son département ministériel pour la direction des archives et de la documentation et exprimé sa satisfaction qu’elle soit aujourd’hui utilisée par les archives nationales.

Selon le représentant du président du Faso Samuel Kalkoumdo, cette solution numérique mise à la disposition des archives nationales, « facilitera l’accessibilité des documents au public utilisateur et permettra d’assurer la pérennité des archives et des documents ainsi qu’une meilleure organisation de la qualité de service tout en favorisant un gain d’espace dans les locaux des archives nationales ».

Le directeur général des archives nationales Kouna Jean Bertrand Kamboulé a affirmé que « la digitalisation va s’accentuer au niveau de la mise en place du système d’archivage électronique et de la création d’une bibliothèque numérique ».

Les assises nationales sur la dématérialisation des procédures administratives se sont tenues les 11 et 12 avril 2023 à Ouagadougou sous la présidence du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

Agence d’information du Burkina

WIS

Centre-est : Lancement des projets de structuration des filières prioritaires et des produits forestiers non ligneux 

Centre-est : Lancement des projets de structuration des filières prioritaires et des produits forestiers non ligneux

Tenkodogo, 06 Mars 2025 (AIB)- Le gouverneur de la région du centre-est, a présidé jeudi l’atelier de lancement des projets de structuration des filières prioritaires riz, arachides, maraîchage et les Produits Forestiers non ligneux a tenkodogo dans la région du centre-est.

le projet d’un montant de 32,5 millions d’euros environ 20 milliards de francs CFA sera mis en œuvre dans le centre-est et la région du plateau central, elle vise essentiellement a atteindre trois résultats majeures qui sont, l’intégration des producteurs agricoles dans des chaînes de valeurs inclusives et résilientes, les micro-entrepreneurs urbains et les personnes déplacées internes bénéficient d’un renforcement de l’écosystème entrepreneurial, et enfin offrir des formations thecniques, professionnelles et entrepreneuriales aux jeunes, femmes et personnes vulnérables.

L’ensemble des six projets lancés entendent répondre aux défis majeurs du développement dans le Centre-Est et le Plateau Central.

À travers cet atelier de lancement, les parties prenantes, bénéficiaires et autorités locales ont pu prendre connaissance des différents projets qui seront mis en œuvre.

Le Projet qui court jusqu’en octobre 2027, est portée par le consortium PPI, Rikolto,INADES, ENABEL et les partenaires de mise en œuvre.

Dans son allocution, le Gouverneur de la région du centre-est le Colonel Aboudou Karim Lamizana a déclaré << j’exprime ma gratitude envers le consortium PPI, RiKOLTO, INADES, Enabel et les partenaires de mises en œuvre pour leur engagement en faveur du développement des régions concernées.

la synergie et la collaboration entre les acteurs locaux va permettre de pérenniser les actions entreprises.

La mise en œuvre de ces projets contribuera sans aucun doute à dynamiser notre économie locale et à renforcer les capacités des acteurs engagés dans le développement de nos régions>>.

Pour le représentant du consortium Brice M’BEMBA M’BEMBA

<<Le rôle du consortium dans ce projet est de renforcer les coopératives parce que comme vous le savez si les coopératives ne sont pas bien organisées, il peut y avoir des problèmes qui impactent la production et la commercialisation.

L’objectif est de donner les outils nécessaires au coopératives pour la réussite de leur activité afin de répondre aux besoins,

dans le cadre de ce projet,nous intervenons dans trois provinces dans cette région et près d’une dizaine de commune>>

La conseillère pays de ENABEL au Burkina Faso Edwige Zongo Koudougou

<<Le projet lancé fait partie d’un groupe de six projets dans le pilier résilience et développement socio-économique

Ce pilier s’insère dans une coopération bilatérale entre le Burkina Faso et le royaume de Belgique

Le projet lancé va permettre d’appuyer la population dans l’agro- ecologie, dans l’entrepreneuriat et l’accès aux services financiers et non financiers.

Le projet couvre trois régions mais pour ce projet deux régions sont concernés

Nous visons plus d’une centaine de personnes bénéficiaires directes mais il’y a également les bénéficiaires indirectes.

Le lancement officiel de ces projets symbolise l’engagement du Burkina Faso et du Royaume de Belgique à œuvrer ensemble pour un avenir plus résilient, inclusif et prospère.

AGENCE D’INFORMATIONS DU BURKINA

SM/ata

Gnagna: Les forces combattantes assurent le ravitaillement de Manni avec succès

Gnagna: Les forces combattantes assurent le ravitaillement de Manni avec succès

Bogandé, 5 mars 2025 (AIB) – Un important convoi de ravitaillement, composé de plus de cinquante camions chargés de vivres et de diverses marchandises, a été escorté avec succès le 4 mars 2025 jusqu’à Manni, dans la province de la Gnagna, région de l’Est.

L’opération d’escorte a été menée sous la coordination des hommes du capitaine Thor, le « Dieu nordique du feu et de la foudre », qui ont assuré la sécurité du convoi aussi bien à l’aller qu’au retour.
Selon des sources sécuritaires, le convoi est arrivé à destination sans incident majeur, permettant ainsi d’approvisionner les populations en denrées essentielles.
Cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts continus visant à garantir l’acheminement de l’aide humanitaire dans les localités confrontées à des défis sécuritaires.
Les forces engagées dans l’escorte ont réaffirmé leur détermination à poursuivre leurs missions afin d’assurer la libre circulation des biens et des personnes.
De nombreux habitants ont exprimé leur soulagement et leur gratitude envers les forces de défense et de sécurité, saluant leur engagement pour la protection des populations.
En rappel, le dernier convoi de ravitaillement à destination de la commune de Manni avait été effectué le 28 janvier 2025.

Agence d’Information du Burkina

Coopération sous régionale : l’Autorité du Liptako Gourma, prête à accompagner la Confédération des Etat du Sahel

Coopération sous régionale : l’Autorité du Liptako Gourma, prête à accompagner la Confédération des Etat du Sahel

(Ouagadougou, le 7 mars 2025)

Le ministre des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur SEM Karamoko Jean Marie TRAORE, a reçu en audience, le jeudi 6 mars 2025, une délégation de l’Autorité du Liptako Gourma (ALG), conduite par la Secrétaire exécutive Mme Hawa AW.

L’équipe de l’ALG est venue manifester aux premiers responsables du département en charge des Affaires étrangères, sa disponibilité à appuyer les trois Etats de l’Alliance des Etats du Sahel, pour bâtir une Confédération forte et souveraine.

Pour la secrétaire exécutive, l’ALG pourrait apporter un soutien majeur dans la dynamique de l’édification de la Confédération des Etas du Sahel.

L’ALG pourrait à travers son expertise et son expérience, aider à la prise de décision et à la mise œuvre des projets de l’AES, notamment dans le volet développement, selon la première responsable de l’institution.

SEM Karamoko Jean Marie TRAORE a salué la démarche et l’engagement de cette organisation transfrontalière au service des peuples du Sahel.

Le Chef de la diplomatie burkinabè reconnait le rôle de l’ALG en tant qu’outil sur lequel l’AES peut effectivement compter pour relever des défis en matière de développement.

Tout en rappelant à ses hôtes la vision et les valeurs prônées par la Confédération des Etats du Sahel, le ministre en charge des Affaires étrangères a encouragé l’ALG à faire des propositions en termes de conseils et d’orientations, dans le sens d’aider à la construction de l’architecture confédérale de l’AES.

En rappel, l’Autorité de développement intégré du Liptako Gourma a été mise en place en décembre 1970 par les trois Etats, à savoir le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

L ’ALG est une initiative à vocation transfrontalière, pour faire face aux défis de sécurité et de développement dans la zone commune du Liptako Gourma.

DCRP/MAECR-BE

Burkina : Des acteurs réfléchissent sur le rôle de la femme en temps de crise sécuritaire

BURKINA-GENRE-CELLULE-PRESIDENCE-CONFERENCE

Burkina : Des acteurs réfléchissent sur le rôle de la femme en temps de crise sécuritaire

Ouagadougou, 6 mars 2025 (AIB)- En prélude à la 168e Journée des droits de la femme, la cellule pour la promotion du genre de la présidence du Faso, a organisé hier jeudi, une conférence pour appréhender le rôle de la femme en contexte de crise.

«Nous sommes réunis pour réfléchir sur la contribution de la femme, mais aussi pour trouver des réponses face aux problèmes que connaissent les femmes dans cette situation de crise sécuritaire », a indiqué le secrétaire général de la présidence du Faso, Zakaria Soré.


Selon lui, c’est une reconnaissance inestimable de la femme dans la vie de la société mais aussi pour saluer la femme qui est la pierre angulaire et la résilience dans ce contexte difficile.

Dr Soré s’exprimait jeudi, à Ouagadougou, à la cérémonie d’ouverture de la conférence de la cellule pour la promotion du genre de la présidence du Faso, dont le thème est « Humanitaire et genre au Burkina Faso en temps de crise : défis et perspectives ».


«L’objectif est d’arriver à trouver des pistes, à partir desquelles on peut résoudre les problèmes que vivent les femmes aujourd’hui», a-t-il ajouté.

Il a précisé que les différentes propositions qui vont sortir des communications seront mises en œuvre par la présidence pour un épanouissement de l’autre moitié du ciel.
La présidente de la cellule pour la promotion du genre de la présidence du Faso, Albertine Ouattara, a poursuivi que la conférence a pour but de sensibiliser les participants sur l’importance de la prise en compte du genre dans les actions de développement.

Elle a demandé aux femmes de ne pas baisser les bras et de rester résilientes « parce qu’elles sont l’avenir de la nation ».
Pour la marraine, Pr Valérie Rouamba, les femmes font face à des défis sans précédent.

« Elles sont non seulement victimes de la violence et de la déstabilisation de leurs communautés, mais supportent également le poids des responsabilités familiales », a-t-elle noté.

Aux dires de Pr Rouamba, les femmes deviennent les principales pourvoyeuses de soins, de nourriture et d’éducation pour leurs enfants, tout en luttant pour leur propre survie.

Elle a demandé aux femmes de s’engager sans faille par des actions fortes pour l’augmentation des fonds spécifiquement destinés à l’autonomisation des femmes et à la protection des filles dans les contextes de crise.

« Pour dynamiser cette cellule, vous devez adopter une approche stratégique et collaborative », a préconisé la marraine.
Pr Valérie Rouamba, s’est engagée à soutenir les initiatives de la cellule qui mettront en avant le leadership féminin.
« Nous devons être les architectes d’un changement durable où l’humanité et l’égalité de genre sont au cœur de notre action », a-t-elle conclu.
Quatre communications seront animées par d’éminents experts sur la question de crise humanitaire.

Créée en 2024, la cellule pour la promotion du genre de la présidence du Faso, a pour missions de promouvoir la prise en compte effective du genre dans les politiques, plans, programmes, projets, actions et activités de la présidence du Faso.
Elle comprend 12 membres dont 6 hommes et 6 femmes.

Agence d’information du Burkina
HB/yos/bz

Léraba/Montée des couleurs : La population appelée au respect des symboles de l’Etat

BURKINA-LERABA-MONTEE-DRAPEAU

Léraba/Montée des couleurs : La population appelée au respect des symboles de l’Etat

Sindou, 6 mars 2025 (AIB)- Le Haut-commissaire de la province de la Léraba, Yacouba Sawadogo, a appelé, le jeudi 6 mars 2025 à Sindou, la population de la province, à respecter les symboles de l’Etat, lors de la 18e étape de la traditionnelle montée des couleurs nationales.

Depuis le 9 juin 2022, est organisée la cérémonie tournante de montée des couleurs nationales dans les services et structures publics et parapublics dans la Léraba, deuxième province de la région des Cascades.

Ce jeudi 6 mars 2025, la cérémonie a été organisée par la direction en charge de la Jeunesse dans l’enceinte du centre de formation professionnel de Sindou.

Selon le Haut-commissaire de la Léraba, Yacouba Sawadogo, a indiqué que l’objectif de la cérémonie est de consolider l’esprit de civisme et de patriotisme en chacun de nous et d’assurer l’ancrage du respect systématique des symboles de l’Etat.

Il a invité la population de la province de la Léraba, au respect de ces symboles.

L’occasion a permis à l’ensemble des participants de procéder à une visite guidée de ce centre de formation.

A l’issue de cette commémoration le flambeau a été remis à l’agence de l’ONEA de Sindou, pour abriter la 19e étape, prévue le jeudi 03 avril prochain.

Agence d’information du Burkina

MK/hb/yo

 

𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 : 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗶𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗹é𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗶𝗻𝘁é𝗴𝗿𝗶𝘁é 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗼𝗹𝗶𝗰𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗶𝘀 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁è𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝘂𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲

𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 : 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗶𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗹é𝗴𝗮𝗹 𝗲𝘁 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗶𝗻𝘁é𝗴𝗿𝗶𝘁é 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗼𝗹𝗶𝗰𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗶𝘀 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁è𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝘂𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲

Le Conseiller Technique du Ministre de la Sécurité, l’Inspecteur Général de Police Dofizouho Thierry TUINA, a présidé, le jeudi 6 mars 2025 à Ouagadougou, la cérémonie de remise officielle d’une compilation du cadre légal et d’un manuel de formation sur l’intégrité de la Police nationale.

C’est dans le cadre de son programme « Renforcer la redevabilité du secteur de la sécurité 2023-2027 », avec l’appui financier de la coopération suisse, que le Centre de Genève pour la Gouvernance du secteur de la sécurité (DCAF) a développé une boîte à outils pour l’intégrité de la Police. Ce manuel de formation vise à renforcer les dispositifs existants et à assurer des formations aux personnels de police sur l’intégrité, afin d’améliorer l’efficacité dans la lutte contre la criminalité tout en rejetant fermement les actes de corruption.

En complément du manuel, le DCAF s’est engagé dans la compilation des textes régissant le secteur de la sécurité et de la défense nationale au Burkina Faso, de 1960 à nos jours, afin de pallier le manque ou la méconnaissance des textes en la matière. Selon la cheffe de la division Afrique subsaharienne du DCAF, Anne Bennett, ces deux documents représentent l’aboutissement d’un long processus marquant l’engagement du centre à renforcer la gouvernance sécuritaire et à promouvoir une culture d’intégrité au sein des institutions de défense et de sécurité. Elle a précisé que la compilation des textes prendra la forme d’une base de données numérique, qui sera hébergée sur le site web de l’Académie de police et régulièrement mise à jour.

Avant de recevoir officiellement ces documents au nom du Ministre de la Sécurité, le Conseiller Technique Dofizouho Thierry TUINA a remercié l’équipe du DCAF qui, depuis 2019, accompagne l’État burkinabè dans le renforcement de la gouvernance du secteur de la sécurité. « Cet outil, qui vient compléter le dispositif en vigueur, pourra certainement améliorer la sécurité publique et renforcer l’État de droit ainsi que la confiance du public envers l’institution policière », a-t-il souligné.

Le Conseiller Technique a également rappelé qu’après cette remise officielle, l’étape suivante consistera à diffuser le manuel, d’abord dans trois régions pilotes — la Boucle du Mouhoun, le Centre-Nord et l’Est — avant son déploiement progressif à l’échelle nationale.

DCRP/MSECU

Nahouri/Communication : Hermann Ouédraogo s’engage à œuvrer à la valorisation du patrimoine culturel

BURKINA-NAHOURI-COMMUNICATION-DIRECTION-PASSATION

Nahouri/Communication : Hermann Ouédraogo s’engage à œuvrer à la valorisation du patrimoine culturel

Pô, 7 mars 2025 (AIB)-Le Haut-commissaire de la province du Nahouri, Sié Aristide Mohamed Kam, a officiellement installé, ce jeudi 6 mars 2025 à Pô, dans la province du Nahouri, le conseiller des affaires culturelles, Hermann Leidi Ouédraogo, dans ses fonctions de directeur provincial de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme du Nahouri. Il s’est engagé à œuvrer à la valorisation du patrimoine culturel, touristique et communicationnel.

Nommé en conseil des ministres du 19 février 2025, le conseiller des affaires culturelles, Hermann Leidi Ouédraogo, a officiellement pris les rênes de la direction provinciale en charge de la Communication du Nahouri, ce jeudi 6 mars 2025, en présence du directeur régional en charge de la Communication et des directeurs et chefs de service provinciaux.

« Je m’engage à ne ménager aucun effort pour œuvrer à la valorisation du patrimoine culturel, touristique et communicationnel », a déclaré Hermann Leidi Ouédraogo.

Après avoir rendu hommage à son prédécesseur pour le travail abattu, le nouveau directeur provincial a affirmé que les sillons tracés par son prédécesseur seront  suivis et élargis.

Le directeur sorti, Noé Bado, qui a passé  plus de 8 ans à la tête de la direction, a témoigné sa gratitude pour tout le soutien qu’il a bénéficié durant son séjour dans le Nahouri.

Le directeur régional en charge de la Communication et le Haut- commissaire de la province du Nahouri, ont félicité le sorti pour les efforts déployés pour valoriser le patrimoine culturel local, les talents artistiques et la visibilité des actions de développement à travers des canaux de communication institutionnelle.

Au nouveau directeur provincial, les deux responsables l’ont invité à insuffler une nouvelle dynamique pour poursuivre et renforcer les acquis.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

Kénédougou/Montée des couleurs : Le Haut-commissaire félicite les forces de défense et de sécurité

BURKINA-KENEDOUGOU-COULEURS-MONTEE

Kénédougou/Montée des couleurs : Le Haut-commissaire félicite les forces de défense et de sécurité

Orodara, 6 mars 2025 (AIB)-Le Haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a félicité, le mardi 4 mars 2025 à Orodara, les Forces de défense et de sécurité (FDS), pour le travail qu’elles abattent au quotidien pour  la sécurisation de la province. C’était lors de la  cérémonie tournante de montée des couleurs à la direction provinciale de la police nationale.

L’enceinte de la direction provinciale de la police nationale du Kénédougou, a servi de cadre  le mardi 4 mars 2025, à la traditionnelle cérémonie de montée des couleurs.

Face au drapeau et l’hymne nationale chantée en chœur, les forces vives ont manifesté leur amour et leur appartenance à la mère patrie.

Le  Haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a rendu un vibrant hommage aux FDS.

« Je voudrais tout d’abord renouveler mes félicitations aux Forces de défense et de sécurité (FDS) pour le travail qu’elles abattent au quotidien pour  la sécurisation de la province », a-t-il indiqué.

Il a aussi félicité et encouragé l’ensemble des travailleurs  relevant de son ressort territorial qui, malgré le contexte difficile se battent  chacun dans son domaine pour atteindre l’objectif qui lui est assigné.

Dans la même veine, M. Sakira, a également invité chaque travailleur à s’assumer lors des  contrôles de présence des agents publics et aux directeurs et chefs de service à s’y impliquer pleinement.

Le premier responsable de la province du Kénédougou, a exhorté les uns et les autres à parler les langues  nationales avec leurs enfants.

Cette invite, a-t-il fait savoir s’inscrit en droite ligne de la semaine des langues célébrée du 21  au 28  février 2025.

Le directeur provincial de la police nationale du Kénédougou, Boureima Ouédraogo,  s’est réjoui du choix de son service pour abriter cette cérémonie solennelle.

Au sujet de la journée de l’exemplarité, il leur a demandé de sensibiliser leurs agents respectifs au paiement des impôts en donnant eux-mêmes l’exemple de civisme fiscal.

Agence d’information du Burkina

AK/hb/yo

Dernières publications