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Nahouri/Règlementation des carrières artisanales : Les exploitants de Pô sensibilisés aux bonnes pratiques règlementaires

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Nahouri/Règlementation des carrières artisanales : Les exploitants de Pô sensibilisés aux bonnes pratiques règlementaires

Pô, (AIB)–Le président de la délégation spéciale de la commune de Pô, province du Nahouri, Ilassa Dianda, a présidé, le vendredi 6 décembre 2024, une session de sensibilisation sur les bonnes pratiques règlementaires, au profit des exploitants de substances de carrières conduite par la direction générale des carrières en partenariat avec la direction régionale en charge des Carrières du Centre-Sud.

Une session de sensibilisation sur les bonnes pratiques règlementaires s’est tenue, le vendredi 6 décembre 2024, au profit des exploitants de substances de carrières conduite par la direction générale des carrières en partenariat avec la direction régionale en charge des Carrières du Centre-Sud.

Selon le directeur de la promotion des substances de carrières par intérim, Christophe Doamba, l’activité vise à promouvoir des pratiques responsables et conformes à la règlementation en vigueur.

Trois communications sur le code minier du Burkina Faso, les impacts négatifs de l’exploitation artisanale des carrières sur l’environnement suivies d’échanges et la nécessité de s’organiser en coopératives et de se formaliser, ont été présentées respectivement par Christophe Doamba, Emmanuel W. Tiemtoré et Safietou Kindo.

Des échanges, les techniciens du ministère en charge des Carrières ont expliqué que l’octroi de l’autorisation offre plusieurs avantages aux exploitants artisanaux notamment l’accompagnement technique du ministère en charge des Mines, l’accès aux établissements et institutions financières, le paiement des taxes sur les substances de carrières ainsi que la possibilité de postuler à des projets.

Les participants ont posé leurs préoccupations pour renforcer leurs capacités.

Les exploitants ont également perçu la nécessité de se regrouper en coopérative pour des conditions d’exploitation et favoriser un développement de leurs activités.

La sortie dans la commune de Pô, a permis à la mission de visiter des sites d’exploitation artisanale de sable, situés dans les localités de Tambolo et Dakola.

Elle a permis à la mission du ministère d’évaluer les conditions de travail des exploitants artisanaux dans une gestion responsable des ressources naturelles.

La direction générale des carrières a bénéficié de l’accompagnement du Projet d’appui au renforcement de la gestion du foncier et des mines (PARGFM), pour l’organisation de l’activité.

Agence d’informationdu Burkina

HKO/hb/yo

Nahouri/Effort de paix : La délégation spéciale offre 200 000 F CFA de carburant aux VDP

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Nahouri/Effort de paix : La délégation spéciale offre 200 000 F CFA de carburant aux VDP

Pô, (AIB)-La délégation spéciale de la commune urbaine de Pô, dans la province du Nahouri, a offert, ce samedi 7 décembre 2024 à Pô, du carburant d’une valeur de 200 000 F CFA, aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de Pô, engagés pour la reconquête du territoire national.  

Les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la commune de Pô ont bénéficié ce samedi 7 décembre 2024, du carburant d’une valeur de 200 000 F CFA de la part de la délégation spéciale de Pô.

Ce soutien a été reçu par le coordonnateur communal des VDP de Pô, l’adjudant Kora Akohoutiogui.

« Ce geste est une façon pour la délégation spéciale  de reconnaitre les efforts et le sacrifice consentis par l’ensemble des forces de défenses et de sécurité et particulièrement les braves VDP afin de permettre aux populations de la commune  de vivre dans la tranquillité et mener leurs activités dans la sérénité », a indiqué le président de la délégation spéciale, Ilassa Dianda.

Pour Kora Akohoutiogui, ce geste vient enlever une grosse épine aux pieds des VDP qui éprouvaient des difficultés pour les patrouilles.

Il a traduit la reconnaissance de l’ensemble des coordonnateurs communaux des VDP de Pô à l’endroit de la délégation spéciale.

Le coordonnateur communal des VDP de Pô, a indiqué que ce carburant permettra aux VDP de faire des patrouilles en cette fin d’année et a promis une gestion rationnelle de ce don.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

Sissili : Les acteurs locaux échangent sur la pratique de la transhumance nationale et transfrontalière

 Burkina- Sissili-Transhumance-Echanges

Sissili : Les acteurs locaux échangent sur la pratique de la transhumance nationale et transfrontalière

Léo,  3 déc. 2024 (AIB)- Le haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a présidé le mardi 3 décembre 2024 à Léo, la première session ordinaire du comité provincial de la transhumance (COPT)) de la province de la Sissili.  Pour l’occasion,  les acteurs locaux ont échangé sur la pratique de la transhumance nationale et transfrontalière.

La première session ordinaire du comité provincial de la transhumance (COPT)) s’est déroulée le mardi 3 décembre 2024 à Léo, chef-lieu de la province de la province de la Sissili, région du Centre-Ouest.

Les acteurs locaux ont mis à profit cette rencontre pour échanger sur la pratique de la transhumance nationale et transfrontalière.

Au cours de cette session, les participants ont eu droit à une communication sur le bilan de la mise en œuvre des activités du projet de gestion consensuelle des ressources naturelles partagées dans les zones frontalières des régions du Centre-Ouest et du Centre-Sud du Burkina- Faso (Projet Dinadané).

Cette présentation a été faite par le responsable suivi évaluation du projet Dinadané, Geoffroy Bationo.

Selon M. Bationo, le bilan fait ressortir un taux d’exécution physique de 20,28% tandis que celui financier est de 24,44%.

Après le bilan du projet, l’occasion a été pour Nabaka Da de la direction provinciale de l’agriculture,des ressources animales et halieutiques de s’entretenir avec les participants sur la situation de la transhumance dans la province de la Sissili.

À l’instar d’autres provinces du Burkina Faso, Il a indiqué que la situation sécuritaire limite le déplacement des pasteurs dans la province de la Sissili.

« Ainsi le nombre d’animaux recensés en partance pour la transhumance vers la Ghana a significativement baissé comparativement aux précédentes années », a- t- il relevé.

Et d’ajouter que le cheptel se concentre ainsi dans les zones demeurant accessibles dans les districts de Upper West et Upper East du Ghana)

La responsable en charge de la cohésion sociale du projet Dinadané, Mme Beore Somda a présenté les résultats de la collecte des données avec l’outil transhumance tracking tool (TTT) mis en place dans le cadre du projet.

En rappel,  les deux diapositifs que sont sont mis en place par le projet (le TTT et le Parajuriste)

Aussi les STD, les sentinelles et les para juristes ont été formés sur les outils de suivi de la transhumance, les textes nationaux et sous régionaux règlementant la transhumance nationale et transfrontalière.

Au titre des résultats, on note la réalisation de la cartographie des ressources et infrastructures pastorales des communes de Biéha, Boura et Léo par le projet.

Les résultats ont permis de comprendre les dynamiques liées à la transhumance transfrontalière entre la province de la Sissili et le Ghana.

Le rôle des acteurs locaux dans la gestion de la transhumance et des conflits liés à l’’accès et à la gestion des ressources naturelles partagées a été présenté aux participants.

De ces échanges, les contributions et les suggestions des participants ont eu lieu en vue de créer des conditions favorables pour une mobilité de bétail et de réduire les conflits liés à la transhumance dans la province et au Ghana.

En rappel, le fonctionnement du COPT est nécessaire pour la transhumance pacifique dans la province de la Sissili et dans les zones d’accueil des transhumants au Ghana.

Les participants ont par ailleurs formulé des recommandations pour une gestion apaisée de la transhumance nationale et transfrontalière.

IL s’agit, entre autres, de disposer d’un plan d’action pour le COPT dans la province de la Sissili, de prendre des arrêtés au niveau des départements pour sécuriser les infrastructures pastorales et d’organiser un cadre de dialogue entre le Ghana et le Burkina et d’échanger sur les mécanismes à mettre en place pour une transhumance apaisée entre les deux pays.

Agence d’information du Burkina

OAN/NO/ATA

 

Burkina : Une organisation veut former les étudiants pour qu’ils soient des acteurs de développement

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Burkina : Une organisation veut former les étudiants pour qu’ils soient des acteurs de développement

Ouagadougou, 9 déc. 2024 (AIB)-L’Observatoire panafricain pour l’unité et l’intégration et la souveraineté (OPUIS) a lancé  hier dimanche, ses activités de renforcement des capacités des étudiants de la cité universitaire de Kossodo, dans le domaine du leadership et de l’engagement social, pour qu’ils soient des futurs acteurs de développement du Burkina Faso.

L’Observatoire panafricain pour l’unité et l’intégration et la souveraineté (OPUIS) est une association qui œuvre au renforcement des capacités de la jeunesse estudiantine du Burkina Faso.

Ce dimanche 8 décembre 2024,  l’OPUIS a lancé ses activités de renforcement des compétences, à l’endroit des étudiants de la cité universitaire de Kossodo, située à la périphérie Nord de la ville de Ouagadougou, pour que ces derniers soient des futurs hommes de développement du  pays.

La cérémonie de lancement des activités de l’association suivie d’une conférence de presse a été placée sous le thème « Le leadership et l’engagement social des jeunes ».

« Nous voyons que les jeunes ont besoin d’un renforcement de capacités dans  certains domaines tels que le leadership, l’engagement social, la prise de parole en public. Nous  voulons  par notre acte, qu’ils soient des futurs leaders de demain », a soutenu  le vice-président de l’OPUIS, Donis Ayivi.

M. Ayivi, a expliqué que son association va vers les étudiants qui sont dans les cités universitaires pour les outiller afin qu’ils soient la relève de demain, toute chose qui contribue au développement du Burkina et du continent africain.

«  Nous sommes venus aujourd’hui à la cité universitaire de Kossodo. Hier nous étions à celle de l’IDS et les informer sur les activités du club de l’OPUIS », a-t-il poursuivi.

Selon lui, si les jeunes sont formés, ils pourront défendre le pays et l’Afrique, lors des instances internationales.

Le communicateur et président national 2023 de la de la Jeune  chambre internationale (JCI) Ouaga, Ma-Arouf Nébié, a souligné que la thématique permet de faire un lien entre le besoin des jeunes de s’engager pour le développement de la communauté.

  1. Nébié et entrepreneur a fait remarquer que, de nos jours les jeunes sont majoritaires et que si ces derniers s’engagent, le pays sera développé.

« Il était important pour nous en tant que jeune de venir partager nos expériences de leadership et d’engagement pour les inciter à mieux s’engager pour devenir des futurs bâtisseurs de demain », a-t-il dit.

Le président de l’OPUIS de la cité universitaire de Kossodo, Fidèle Ouédraogo, s’est réjoui, de l’initiative de l’association qui va renforcer leurs compétences relatives au leadership et à l’engagement social.

Pour lui, l’idée de l’observatoire est la bienvenue, car a-t-il expliqué, les étudiants ont souvent des tares et par conséquent ces genres de démarches leur permettent de  mieux se positionner dans la société.

« Nous allons sensibiliser  nos camarades à adhérer massivement aux travaux de renforcement des capacités des étudiants de la part de l’OPUIS », a renchéri M. Ouédraogo.

Il convient de noter qu’au terme de la cérémonie, un bureau de 8 membres a été installé pour coordonner les activités de l’association dans la cité universitaire de Kossodo.

 Agence d’information du Burkina

NO/bh/ata

 

 

 

 

Nahouri/Commune urbaine de Pô : Les membres de la délégation spéciale rendent compte de leur  gestion

BURKINA-NAHOURI-COMMUNE-GESTION

Nahouri/Commune urbaine de Pô : Les membres de la délégation spéciale rendent compte de leur  gestion

Pô, (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Nahouri, Auguste Kinda, a présidé, ce samedi 7 décembre 2024 à Pô, la journée de redevabilité de la délégation spéciale de la commune urbaine de Pô, dans la province du Nahouri. C’était en présence du directeur régional de l’Agence nationale d’appui au développement des collectivités territoriale, Ahamed Sanou.

La journée de redevabilité de la délégation spéciale de la commune urbaine de Pô, dans la province du Nahouri, s’est tenue le samedi 7 décembre 2024 à Pô.

Le Président de la délégation spéciale (PDS), Ilassa Dianda, a fait le bilan de deux ans de gestion à la tête de la délégation de Pô.

Pour lui, cet exercice vise à respecter le principe de la redevabilité sociale dans la gouvernance locale qui implique que les détenteurs de responsabilité de gestion communale rendent compte aux populations du service pour lequel ils ont été investis de cette autorité, à travers l’établissement et la présentation publique du bilan de gestion des affaires publiques.

M. Dianda, a fait le bilan de la gestion administrative, économique et financière, mais aussi les interventions sociales et économiques des partenaires de la collectivité.

« Pour la réalisation de ces activités, la délégation a rencontré quelques difficultés », a souligné Ilassa Dianda.

Ces difficultés sont entre autres, la faible mobilisation des ressources financières, l’incivisme fiscal de la population et la lourdeur dans la procédure des passations des marchés publics.

«  Le bilan que je viens de présenter est celui du président mais aussi pour chacun des membres de la délégation  spéciale »,  a indiqué le PDS.

Après l’exposé du PDS, les populations et les partenaires de la collectivité dans leur ensemble, ont noté des motifs de satisfaction, félicité le conseil pour le travail abattu et soumis des doléances entre autres, la réfection du marché central de Pô, la vente des boissons frelatées et la mauvaise utilisation des cimetières de la ville.

L haut-commissaire de la province du Nahouri, Auguste Kinda et le  directeur régional de l’ADCT du Centre-Sud, ont félicité la délégation spéciale de Pô pour l’exercice et invité les autres communes de la province à emboiter le pas.

Avant l’activité, les autorités coutumières de Pô, ont béni la journée et prié pour les forces combattantes engagées pour la libération du territoire nationale et le retour de la paix.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

 

 

 

 

 

Le Burkina mènera la guerre en actionnant les leviers de son développement, affirme le nouveau Premier ministre

Le Burkina mènera la guerre en actionnant les leviers de son développement, affirme le nouveau Premier ministre

Ouagadougou, 9 décembre 2024 (AIB) – Le nouveau Premier ministre burkinabè, Rimbtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a indiqué lundi que son pays poursuivra sans répit la guerre contre le terrorisme tout en actionnant les leviers de son développement.

« Nous devons mener la guerre en actionnant les leviers du développement socioéconomique du Burkina Faso », a déclaré le chef du gouvernement burkinabè, Rimbtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, lors d’une cérémonie de passation de service avec son prédécesseur, Dr Apollinaire Kyélem de Tambèla.

« J’aborde cette nouvelle fonction avec responsabilité et engagement », a souligné le nouveau patron du gouvernement.

« Les Burkinabè souhaitent revoir leur pays pacifié pour mener à bien leurs activités dans la quiétude. Ils aspirent à vivre dans un pays pleinement souverain et totalement reconquis », a-t-il précisé.

Face à ces défis, « nous devons intensifier les efforts sur tous les fronts pour montrer à la face du monde la résilience, l’attractivité de notre pays et la détermination de notre peuple à triompher du combat engagé contre les forces du mal et pour son indépendance véritable », a fait savoir le Premier ministre.

Il a également affirmé que les Burkinabè attendent la mise en œuvre diligente de grands projets structurants, capables d’améliorer significativement leurs conditions de vie.

Jean Emmanuel Ouédraogo a par ailleurs exprimé sa gratitude au président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, pour la confiance placée en lui avant de s’engager « à ne ménager aucun effort pour mériter cette confiance ».

Malgré l’immensité de la tâche qui lui incombe, le Premier ministre dit espérer qu’avec l’engagement et la détermination de tous, des résultats probants seront obtenus au profit du bien-être des Burkinabè.

Nommé il y a 72 heures par un décret du président du Faso, le Premier ministre a rendu publique, hier dimanche, la composition de son gouvernement, qui compte 24 membres. On y note quatre nouvelles entrées et trois départs.

Agence d’information du Burkina

YOS/ata

Kourittenga : L’Amicale des anciens élèves de l’école de Gounghin célèbre ses noces d’Albâtre

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Kourittenga : L’Amicale des anciens élèves de l’école de Gounghin célèbre ses noces d’Albâtre

Koupéla, (AIB)-L’Amicale des anciens élèves de  l’école de Gounghin, a célébré, le samedi 07 décembre 2024, le 75e anniversaire de l’école de Gounghin sous le thème : « Quelles perspectives pour sauvegarder et perpétuer les acquis dans un environnement en proie à des crises multidimensionnelles». C’était en présence du haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo.

Le 75e anniversaire de l’école de Gounghin a été célébré, le samedi 07 décembre 2024 à l’école ‘’A’’ de Gounghin, par l’Amicale des anciens élèves de la commune de Gounghin.

L’activité s’est déroulée sous la mobilisation des populations de la commune de Gounghin en présence de plusieurs autorités administratives, coutumières, religieuses venues pour la circonstance.

C’est en 1947 que la première école sous paillote a vu le jour à Gounghin, dans le quartier Natenga encore appelé Waapousguin à l’époque par le biais de la mission Catholique.

De nos jours, Gounghin, une des communes de la province du Kourittenga, compte à son actif 43 écoles primaires et 13 établissements post-primaires et secondaires.

Selon le président du comité d’organisation, Bildaogo François Sawadogo, il était bien nécessaire de célébrer une telle réussite pour avancer encore plus et consolider les acquis.

« C’est un grand jour pour nous les fils et filles de la commune de Gounghin qui avons vécu avec l’évolution de notre école qui, depuis les ainés, nous avons enchainé les pas autour des années 1975 et aujourd’hui cette école a grandi. Nous avons organisé l’excellence en 2022 pour regrouper encore plus de gens, constituer l’amicale et aujourd’hui grâce à l’accompagnement de tous, nous avons pu réaliser ce rêve de faire le bilan et de prévoir l’avenir», a-t-il indiqué.

Les anciens élèves de la commune de Gounghin ont marqué leur satisfaction de se retrouver pour commémorer le 75e anniversaire.

Le parrain de l’activité, Jean Luc Kima, un des anciens élèves, s’est réjoui de la mobilisation et a lancé un appel à l’endroit des filles et fils de ladite commune pour plus d’effort.

« Quand il s’agit du développement de la commune il faut que chacun met sa main. C’est dans ce cadre que j’ai accepté de parrainer cette activité. J’invite tous les fils et filles de Gounghin à prioriser l’entente et la solidarité pour qu’ensemble on puisse développer le village », a ajouté M. Kima.

Le haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a, au nom du ministre en charge de l’Enseignement de base, félicité et encouragé les efforts de l’amical des anciens élèves de la commune de Gounghin.

«Cette commémoration a été une occasion pour nous de rendre hommage aux hommes et femmes qui ont porté l’école sur les fonts baptismaux il y a 77 ans dans cette partie du Burkina », a-t-il dit.

Il a salué l’église catholique, les filles et des fils de la commune, le comité d’organisation, qui ont contribué pour le développement du pays.

La cérémonie a pris fin par une plantation d’arbres et la pose de première pierre d’une salle de classe.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

 

Kossi : La journée internationale des personnes vivant avec un handicap célébrée à Nouna

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Kossi : La journée internationale des personnes vivant avec un handicap célébrée à Nouna

Nouna, (AIB)-La journée internationale des personnes vivant avec un handicap, a été célébrée, en différé, le samedi 7 décembre 2024 à Nouna, en présence des autorités administratives, coutumières et religieuses.

En prélude à la célébration en différé de la journée internationale des personnes vivant avec un handicap, l’association provinciale regroupant les personnes en situation de handicap, a organisé une marche sportive de la place du haut-commissariat au rond-point Daniel Ouezzin Coulibaly, ce samedi 7 décembre 2024 à Nouna.

Une conférence s’est tenue au Centre d’apprentissage et de promotion artisanale (CAPA), sur le rôle des personnes vivant avec un handicap dans la promotion de la cohésion sociale.

Ces activités ont connu l’accompagnement de la Congrégation des filles de la charité Saint Vincent de Paul à travers Mesear Cara.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Election présidentielle au Ghana : Le Capitaine Ibrahim TRAORE félicite le Président nouvellement élu

Election présidentielle au Ghana : Le Capitaine Ibrahim TRAORE félicite le Président nouvellement élu

« J’adresse mes vives félicitations au Président John Dramani MAHAMA, pour sa victoire éclatante à l’élection présidentielle, ce samedi 7 décembre 2024.

Je formule le vœu que son mandat à la tête de la République sœur du Ghana voit le raffermissement des relations séculaires de bon voisinage entre nos deux pays et qu’ensemble nous construisions un espace sous-régional plus fort, mieux intégré et résilient pour le bonheur de nos peuples. »

Capitaine Ibrahim TRAORE
Président du Faso, Chef de l’Etat

Burkina : trois départs et quatre entrées dans le gouvernement Rimtalba Ouédraogo

Burkina : trois départs et quatre entrées dans le gouvernement Rimtalba Ouédraogo

Ouagadougou, 8 nov. 2024 (AIB) – Le gouvernement du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, dévoilé dimanche soir et composé de 24 membres, est marqué par l’entrée de quatre nouveaux ministres et le départ de trois autres.

Vingt-quatre heures après la nomination du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, la liste de son gouvernement est désormais connue.

On note le départ du ministre d’État à la Fonction publique, Bassolma Bazié, remplacé par Mathias Traoré, jusque-là secrétaire général du gouvernement et du Conseil des ministres.

M. Traoré cède son poste à Ousmane Ouattara.

Le chef d’état-major général des armées, le général Célestin Simporé, succède au général de brigade Kassoum Coulibaly au ministère de la Défense et des Anciens Combattants.

La ministre de l’Action humanitaire, Nandy Somé/Diallo, passe le relais au commandant Pélagie Kabré/Kaboré.

Gilbert Pengwendé Ouédraogo prend la place vacante laissée par le nouveau Premier ministre.

Jusque-là directeur de la Communication et des Relations publiques de la Présidence du Faso, il est nommé au ministère de la Communication, de la Culture, du Tourisme et des Arts.

Précisons que le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le commandant Ismaël Sombié, accède au rang de ministre d’État.

Agence d’information du Burkina
ATA/as

Un écrivain appelle les Burkinabè à se mobiliser contre la radicalisation et l’extrémisme violent en ligne

Burkina-Dédicace-Œuvre-Extrémisme-Lutte

Un écrivain appelle les Burkinabè à se mobiliser contre la radicalisation et l’extrémisme violent en ligne

Ouagadougou, 6 déc. 2024 (AIB) – L’écrivain Rodrigue Jean Martial Sekoné a dédicacé, jeudi, son œuvre intitulée « Radicalisation et extrémisme violent en ligne : Analyse et prévention », où il appelle les citoyens à se mobiliser contre l’ampleur de ce phénomène.

« J’ai constaté que l’extrémisme violent prend de plus en plus d’ampleur au Burkina Faso et dans la région du Sahel en particulier. L’une des principales voies de diffusion de cette idéologie demeure Internet », a déclaré Rodrigue Jean Martial Sekoné.

Journaliste et consultant en communication, l’auteur a exhorté les Burkinabè à se mobiliser contre ce fléau qui affecte profondément le pays. Il s’exprimait lors de la cérémonie de dédicace de son ouvrage, tenue jeudi à Ouagadougou.

Selon lui, son livre établit un lien entre la radicalisation et l’extrémisme violent, en mettant en lumière comment les réseaux sociaux et les plateformes numériques servent à diffuser des messages de haine et à encourager la radicalisation.

« Nos rapports et nos interactions en ligne deviennent de plus en plus violents. Ce phénomène est banalisé, comme si c’était normal, ce qui est à la fois dangereux et risqué, car cela ne favorise pas le retour à la paix », a-t-il expliqué.

Rodrigue Sekoné a précisé que son livre de 170 pages est structuré en trois parties.

La première partie est consacrée à la compréhension du phénomène, analysant les causes et les manifestations de la radicalisation et de l’extrémisme violent.

La deuxième partie décrit la dynamique de la radicalisation en ligne, en montrant comment les réseaux sociaux et Internet sont utilisés pour propager des idées extrémistes.

Enfin, la troisième partie met en évidence la manière dont le phénomène se manifeste au niveau local, dans le contexte sécuritaire burkinabè.

L’écrivain a souligné que son œuvre propose des solutions concrètes pour lutter contre la radicalisation et l’extrémisme violent, en vue de restaurer la paix au Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina
NO/ata

Réseaux sociaux : 400 élèves du CEG de Falagountou sensibilisés sur la polarisation en ligne et les discours haineux

Réseaux sociaux : 400 élèves du CEG de Falagountou sensibilisés sur la polarisation en ligne et les discours haineux

Dori, (AIB)- 400 élèves du Collège d’enseignement général (CEG) de Falagountou ont été sensibilisés, le samedi 7 décembre 2024, sur l’utilisation responsable des réseaux sociaux, la polarisation en ligne et les discours haineux, dans l’optique de renforcer et de consolider la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Cette sensibilisation a eu lieu au cours d’une conférence publique organisée à Falagountou par l’Association pour la Promotion de la Paix et du Développement Local (APPDL).

Cette conférence, qui s’est tenue dans les locaux du Collège d’enseignement général (CEG) de la localité, était placée sous le thème : « Vers une citoyenneté numérique éclairée : lutter contre la désinformation et promouvoir le fact-checking dans l’ère des réseaux sociaux ».

Selon le président de l’APPDL, M. Yacouba Maïga, cette activité visait à sensibiliser les élèves sur une utilisation responsable des réseaux sociaux.

À l’écouter, l’objectif de la conférence était de les outiller avec des stratégies pratiques pour contrer la mésinformation, la désinformation et la malinformation (MDM).

M. Maïga a également expliqué que cette initiative permet de lutter contre la polarisation en ligne et les discours haineux, contribuant ainsi à renforcer et à consolider la cohésion sociale et le vivre-ensemble.

Le Directeur du CEG de Falagountou, M. Abdoul Kader Aimé Boro, a salué cette initiative et exhorté les élèves à mettre en pratique les conseils prodigués et les connaissances acquises au cours de la conférence.

Le président de l’Association des parents d’élèves (APE) du CEG, M. Mamoudou Karimoun Maïga, a invité les élèves à être attentifs, studieux et disciplinés, car ils seront les futurs bâtisseurs de la commune de Falagountou.

Le premier vice-président de la délégation spéciale de la commune de Falagountou, M. Victor Maïga, a, pour sa part, remercié l’administration et le corps professoral de l’établissement pour cette séance de sensibilisation qui, à l’entendre, contribuera sans nul doute à la formation intégrale des élèves.
Agence d’information du Burkina
MAM/ata

Zoundwéogo/Éducation : 2 enseignants et 16 élèves du primaire primés pour leurs bons résultats

Zoundwéogo/Éducation : 2 enseignants et 16 élèves du primaire primés pour leurs bons résultats

Manga, 8 déc. 2024 (AIB) – La direction provinciale de l’Éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) du Zoundwéogo a primé, hier samedi, deux enseignants et 16 élèves du primaire qui se sont distingués par leurs bons résultats obtenus à l’issue des examens scolaires de la session 2024, lors de la Journée d’excellence scolaire provinciale.

Yacouba Dipama, de l’école de Médiga B de la Circonscription d’Éducation de Base (CEB) de Gon-Boussougou, et Alizeta Kiemdé, de l’école du secteur 5 de Manga, désignés meilleurs enseignants pour leurs bons résultats durant l’année scolaire 2023-2024, ont été honorés au cours de cette journée, a constaté l’AIB.

Ils ont reçu, à l’occasion, des primes en numéraire et des attestations de félicitations, lors d’une cérémonie marquée par la présence d’autorités locales, notamment le Haut-commissaire du Zoundwéogo, Julien Ouédraogo.

Lors de cette même cérémonie, 16 élèves de la province ont été récompensés par des moyens roulants et des fournitures scolaires, pour leurs performances à l’examen de la session 2024 du Certificat d’Études Primaires (CEP).

Le directeur provincial de l’Éducation préscolaire, primaire et non formelle du Zoundwéogo, Yves Placide Nana, a salué le travail « satisfaisant » de l’ensemble de ses collaborateurs.

Il a rappelé que lors de l’examen du CEP session 2024, la DPEPPNF du Zoundwéogo a obtenu des « résultats très exceptionnels jamais égalés », avec un taux de succès provincial de 91,30 %.

« Sur 6 739 candidats régulièrement inscrits, dont 3 724 filles et 3 015 garçons, 6 153 ont été admis, hissant la province à la première place dans la région du Centre-Sud », a-t-il confié, ajoutant que plus de 50 écoles de la province ont également obtenu un taux de réussite « honorable » de 100 %.

« Le meilleur élève et le meilleur élève en situation de handicap de notre pays viennent du Zoundwéogo », a également souligné M. Nana, au titre des bonnes performances réalisées par la province.

Avec ces résultats, il estime que cela prouve qu’en dépit des difficultés que traverse le pays, les acteurs de l’éducation persévèrent dans « l’assiduité, le dévouement, la résilience et la quête permanente du travail bien fait ».

La Journée de l’excellence scolaire du Zoundwéogo de l’année 2024 a été célébrée sous le thème : « L’excellence à l’école primaire, gage d’une résilience et d’un engagement des acteurs pour une éducation de qualité ».
Agence d’information du Burkina
MZ/ata

Passoré : Des communicateurs formés sur la gestion des émissions interactives dans un contexte d’insécurité

Burkina-Passoré-Formation-Acteurs

Passoré : Des communicateurs formés sur la gestion des émissions interactives dans un contexte d’insécurité

Yako, 6 déc. 2024 (AIB)-La Direction régionale de la communication et des médias du Nord a organisé, du 3 au 5 décembre 2024 à Yako, un atelier de formation sur la gestion des émissions interactives dans un contexte d’insécurité, à l’intention des acteurs de l’information et des animateurs de radios de la région du Nord.

Les animateurs, journalistes et communicateurs de cette région ont ainsi participé à une session de formation axée sur la collecte, le traitement et la diffusion de l’information en période d’insécurité.

L’atelier, initié par la Direction régionale de la communication et des médias du Nord, visait à renforcer les capacités des professionnels des médias dans la conduite des émissions interactives.

La cérémonie d’ouverture des travaux a été présidée par le directeur provincial en charge de la Culture du Passoré, Gombila Koala.

Durant trois jours, les participants ont bénéficié de quatre communications dispensées par le directeur régional de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB) du Nord, Xavier Bélemgnégré.

La première communication portait sur le journalisme et ses notions de base, avec un accent sur les différences fondamentales entre le journaliste et le communicateur.

Selon M. Bélemgnégré, le rôle du journaliste est d’informer sans faire de commentaires, tandis que celui du communicateur consiste à préserver l’image de la structure à laquelle il appartient.

Le deuxième module abordait les émissions radiophoniques interactives.

M. Bélemgnégré a expliqué que le journaliste, pour animer efficacement une émission, doit faire des recherches préalables et disposer d’un minimum d’informations sur le sujet.

« Il doit être courtois, capable de recadrer les auditeurs, les amener à défendre leurs idées de manière intelligente et polie, et se faire assister par des personnes compétentes maîtrisant le thème abordé », a-t-il ajouté.

Le troisième module s’intitulait « Les papiers d’opinion en contexte d’insécurité ».

M. Bélemgnégré a souligné que, dans une période de crise, les enjeux sont considérables et reposent principalement sur la vision politique et stratégique de l’État ainsi que sur la gestion de la crise sécuritaire, en tenant compte du niveau de culture des citoyens.

Enfin, le dernier module portait sur le reportage, un genre journalistique majeur. Le formateur a rappelé que le reportage est l’acte fondamental du journaliste, qui doit aller chercher l’information là où elle se trouve.

« Le journaliste doit faire preuve d’initiative, maîtriser le sujet, préparer ses interlocuteurs et respecter les grands principes de la radio : respect des personnes, exactitude, équilibre et clarté », a-t-il précisé.

Les participants, à l’instar du chargé de communication de la mairie de Ouahigouya, Amadé Ouédraogo, ont salué cette initiative.

M. Ouédraogo a exprimé sa gratitude à la Direction régionale de la communication et des médias du Nord pour l’organisation de cette formation bénéfique aux journalistes et communicateurs de la région.

En marge des modules théoriques, les participants ont réalisé des exercices pratiques, notamment des émissions interactives diffusées sur les ondes de la Radio Natigm-b-zanga de Yako.

Ces émissions ont porté sur le thème : « Mobilisation des ressources pour les communes en contexte de défis sécuritaires ».
Agence d’information du Burkina
ZES/no/ata

Cadre de concertation provincial du Sanguié : le bilan du PUDTR est très positif

Cadre de concertation provincial du Sanguié : le bilan du PUDTR est très positif

Réo (AIB)-La deuxième session ordinaire de 2024 du Cadre de concertation provincial (CCP) du Sanguié s’est tenue le 3 décembre 2024 au Haut-commissariat de Réo, sous la présidence du locataire des lieux.

Outre les divers qui ont porté sur des informations d’ordre administratif, une communication sur le Projet d’urgence de développement territorial et de résilience (PUDTR), en deux volets, a captivé l’attention des membres du CCP.

Il ressort que le PUDTR est un projet né de la volonté de l’État burkinabè et de la Banque mondiale pour atténuer les conséquences de la crise sécuritaire à laquelle le Burkina Faso fait face depuis 2015.

L’objectif principal du projet est d’améliorer l’accès inclusif des communautés, y compris les personnes déplacées internes (PDI), aux services sociaux essentiels, aux infrastructures et à l’alimentation.

Pour ce faire, le programme a commencé la mise en œuvre de ses activités dans quinze communes pilotes des régions de la Boucle du Mouhoun et de l’Est, en prenant en charge les investissements résiduels du projet Pôle de Bagré.

Après cette phase pilote, le programme s’est étendu à cinq autres communes, à savoir Pouytenga, Yargo et Koupéla dans le Centre-Est, ainsi que Koudougou et Réo dans le Centre-Ouest.

Les principaux bénéficiaires sont les ménages et les groupes vulnérables, les personnes déplacées, les jeunes, les associations de femmes et les collectivités territoriales abritant le projet.

Les personnes déplacées, ayant quitté des zones instables, bénéficieront de services essentiels tels que les écoles et les services de santé, mais aussi d’opportunités économiques grâce à des activités génératrices de revenus et au travail rémunéré en espèces.

La présence de l’État sera également renforcée grâce à l’amélioration de la capacité des communes à répondre aux besoins de la population et à gérer les conflits.

À noter que le projet est exécuté entre 2021 et 2025, avec un budget global de plus de 262 milliards de FCFA, dont environ 193 milliards financés par l’État burkinabè.

Au 30 septembre 2024, dans le cadre de la mise en œuvre du PTBA dans la région du Centre-Ouest, de nombreuses réalisations ont été enregistrées.

Il s’agit, entre autres, de l’appui aux associations pour des Activités génératrices de revenus (AGR), de la construction de 250 km de pistes rurales, de la construction et de la normalisation de 25 infrastructures sociales, notamment des écoles et des Centres de santé et de promotion sociale (CSPS), dont certaines sont déjà achevées, et du curage des caniveaux à Réo et Koudougou.

Par ailleurs, la construction de trois dalots est en cours à Réo, sur un total de six ouvrages de franchissement prévus dans la région.

Un marché est en construction à Koudougou, ainsi qu’une gare routière à Réo, avec des boutiques de rue à construire ou à réhabiliter.

Quinze points d’eau autonomes (PEA) sont également en cours de réalisation à Réo, après validation des avant-projets.

D’autres actions comprennent l’acquisition de tables-bancs pour les écoles de Koudougou et de Réo, la fourniture d’équipements informatiques et de motos pour renforcer les administrations locales, l’appui à la numérisation des actes civils, la construction d’une maison des jeunes et de la femme, ainsi que l’aménagement des sites maraîchers dans le Sanguié.

Après cette communication, les bénéficiaires (collectivités territoriales, services déconcentrés de l’État, associations, etc.) ont eu l’occasion d’exprimer leurs ressentis sur l’intervention du programme.

Ils ont principalement exprimé leurs remerciements et leur gratitude envers le programme, tout en souhaitant que ces accompagnements se poursuivent pour le bien-être des populations.

C’est sur une note de satisfaction que le Haut-Commissaire de la province, Talari Germaine Ouoba, a clôturé la session, en remerciant non seulement l’ensemble des membres du CCP, mais aussi et surtout le PUDTR pour la qualité de son intervention dans la province et sa contribution à la tenue de cette deuxième session du CCP.
Agence d’information du Burkina
PB/ata

Burkina : Plus de 200 ambassadeurs de la paix du Burkina et de la sous-région décorés par la FOARD

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Burkina : Plus de 200 ambassadeurs de la paix du Burkina et de la sous-région décorés par la FOARD

Ouagadougou, 7 déc. 2024 (AIB) – La Fédération ouest africaine pour la réconciliation et le développement (FOARD) a décoré samedi à Ouagadougou, plus de 200 ambassadeurs, issus de toutes les couches socio-professionnelles du Burkina et de la sous-région, chargés de promouvoir la paix et la cohésion sociale au Burkina et dans la sous-région.

Pour le secrétaire général de la Fédération ouest africaine pour la réconciliation et le développement (FOARD), Seydou Timité, ces personnalités ont été choisies sur la base de leur engagement dans la promotion de la paix et de la cohésion sociale dans leur communauté. De son avis, ces leaders seront des points focaux de l’organisation dans leurs communautés respectives, pour la mise en œuvre de ses activités.Pour le coordonnateur général de la Fédération ouest africaine pour la réconciliation et le développement (FOARD) au Burkina, Yaméogo B. Camille, ces distinctions visent à encourager ces récipiendaires à continuer apporter leur contribution pour la promotion de la paix au Burkina.

Pour lui, dans ce sens, son organisation a mis en place des bureaux dans chaque démembrement chargés de travailler pour la cohésion sociale. « Nous avons mis en place un vaste programme notamment des théâtres foras en vue de sensibiliser la population à la paix et la cohésion sociale. Nous entendons emboiter les pas des plus hautes autorités du pays pour unir la population », a-t-il ajouté.

La représentante pays de la FOARD, Marie Joëlle Astrid Ouiya, également décorée, a déjà marqué sa disponibilité à tout mettre en œuvre pour l’atteinte des objectifs de l’ONG.« Avec le soutien de mes collaborateurs, je promets de réussir la mission qui m’a été confiée », a-t-elle dit.

Selon elle, cette mission se décline, entre autres, à la sensibilisation, la promotion de la cohésion sociale et la formations sur le développement. Aussi, a-t-elle invité tout le monde à l’union car l’union fait la force. « Sans union on ne pourra pas y arriver. La main dans la main, nous bâtirons un Faso émergent, dynamique où il fait bon de vivre », a exhorté Mme Ouiya.

La chargée de mission au ministère de la sécurité, Irène Coulibaly, a félicité la FOARD pour le travail abattu sur le terrain, utile dans le contexte que traverse le pays. « Nous saluons et encourageons cette reconnaissance des efforts de tout ceux qui travaillent dans le domaine de la cohésion sociale.

J’adresse également mes vives félicitations à tous ceux qui travaillent nuits et jours pour le retour de la paix dans notre pays », a-t-elle dit. Elle a également exhorté l’ensemble des Burkinabè à travailler pour bâtir le pays et à s’investir dans la promotion de la paix et de la cohésion sociale.« Je promets d’accompagner l’association à atteindre ses objectifs, en continuant à œuvrer pour la paix car c’est la base de tout développement », a promis la présidente de l’association Wend pasgnadé, Haoua Bikienga/Yamba, nommée ambassadrice.

Au total, plus de 200 leaders communautaires notamment des chefs traditionnels, des présidents d’associations et ONG, ont reçu des distinctions pour leur contribution à la promotion de la paix et de la cohésion sociale.La Fédération Ouest africaine pour la réconciliation et le développement (FOARD), est une organisation internationale. Son bureau est composé des différents représentants des pays de l’Afrique.

Elle se fixe pour objectif principal la promotion de la paix et de la cohésion sociale à travers des sensibilisations contre l’incivisme et promotion des activités de développement.

Elle est aux côtés des gouvernements en collaboration avec les ambassades des pays de l’Afrique pour contribuer à la lutte contre l’incivisme et l’insécurité à l’intérieur et entre les pays.Elle entend également œuvrer pour la facilitation de la libre circulation des personnes et des biens dans les régions frontalières, la sensibilisation sur la bonne organisation, la cohésion sociale des communautés de base, l’amélioration des conditions de vie.

Elle est présente dans cinq villes du Burkina à savoir Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Ouahigouya et Kaya. Pour la présente cérémonie de décoration les lauréats sont venus de la Cote d’Ivoire, le Togo, le Benin, le Mali, le Niger et le Nigeria, la Guinée Bissau.

Agence d’information du Burkina

PREMIER MINISTRE JEAN EMMANUEL OUEDRAOGO : LE CHOIX DE LA JEUNESSE ET DE LA PERFORMANCE

PREMIER MINISTRE JEAN EMMANUEL OUEDRAOGO : LE CHOIX DE LA JEUNESSE ET DE LA PERFORMANCE

Ouagadougou, 8 dec. 2024(AIB)-Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré a placé sa confiance à son Ministre d’Etat, Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Monsieur Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, pour conduire l’action du Gouvernement du Burkina Faso ce samedi 07 décembre 2024. Surprise générale pour certains, mais pour les observateurs avisés cette nomination faisait partie des pronostics émis sur l’homme providentiel qui pourrait succéder à Me Apollinaire Kyélem de Tambèla relevé de ses fonctions la veille. Cela, au regard de l’engagement du nouveau Premier Ministre, de ses performances et de son charisme .

L’homme a pris des galons depuis son arrivée dans le gouvernement le 27 octobre 2022, en tant que Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme.

En effet, en seulement deux ans dans ce département ministériel, Monsieur Jean Emmanuel Ouédraogo a donné une nouvelle dimension à la Communication et à la Culture en mettant la communication gouvernementale au cœur de la lutte contre le terrorisme avec comme sous- bassement le patrimoine culturel.

Il a donné le ton, à sa prise des charges, en exhortant ses collaborateurs à un dépassement de soi et surtout au patriotisme.

«La nation nous appelle tous et nous devons répondre », avait-il insisté.
Le Ministre Ouédraogo s’est impliqué personnellement dans la guerre communicationnelle.

Son leadership a permis de démonter les mensonges et manipulations de certains médias occidentaux. L’on a encore en mémoire le matraquage médiatique orchestré par ces derniers annonçant le Président Traoré pour blessé et en fuite au mois de juin 2024 ainsi que les mutineries imaginaires dont ils ont fait cas.

Une seule sortie du Chef de l’Etat, notamment pour un don de sang et une visite à la Radio-télévision du Burkina (RTB) a suffi à faire tomber les masques et à montrer les vraies intensions des uns et des autres. Que dire des informations du front suivies avec beaucoup d’intérêt par les Burkinabè ?

Les images de combats et d’offensives pour la reconquête du territoire national ont permis à nombre d’entre eux de découvrir les réalités du front et surtout les sacrifices des soldats et des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP).

Ceux-ci n’ont jamais été aussi bien valorisés et honorés que sous la Transition. Les messages de galvanisation, les témoignages, les appels à la paix sont suivis avec émotion et compassion.

La fierté nationale et le patriotisme sont des valeurs désormais partagées, en tout cas pour les Burkinabè soucieux du devenir de leur pays.

Le mois du Patrimoine a d’ailleurs été institué pour appeler au retour aux sources et aux valeurs culturelles de référence. L’arme culturelle fait partie intégrante de la stratégie de guerre. Les rendez-vous culturels (SNC, FESPACO, SITHO, etc.) et informationnelles (UACO, GALIAN, etc.) ont été respectés car la lutte se mène sur tous les fronts.

L’on ne saurait occulter la décision courageuse de suspension de Radio France internationale accueillie avec beaucoup de ferveur par les Burkinabè et la réponse tonitruante que M Rimtalba Jean Emmanuel OUEDRAOGO a donnée au Président Emmanuel Macron, à propos du départ annoncé de l’armée française du Burkina Faso, en janvier 2023.

« Il n’y a pas autre clarification à faire. Au stade actuel, nous ne voyons pas comment faire plus clair », avait-il dit sans détour.

Journaliste de profession et de carrière, il faut dire que le nouveau Premier Ministre a assuré de main de maître le rôle de Porte-parole du Gouvernement. Normal dirait-on pour ce communicateur chevronné, deux fois major de sa promotion en 2007 pour le cycle B et en 2015 pour le cycle A de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) et titulaire d’un Master en Médiation et management des conflits, obtenu en 2022 au département de Philosophie de l’Université Joseph KI-ZERBO et par ailleurs titulaire d’une Licence en Sociologie rurale et sociologie du développement.

Devrait-on en attendre moins de lui pour qui l’excellence et la performance sont des boussoles.

Pour le moins qu’on puisse dire, sa profession l’y aura aidé. Après avoir été journaliste, présentateur et occupé les postes de Rédacteur en chef et de directeur de la télévision nationale du Burkina, la communication n’a aucun secret pour lui.

Ces émissions à succès : « Techno Inno », « Zoommine » « Vision environnement » « Priorité environnement » « Sur la brèche » lui ont permis de renforcer ses connaissances sur l’environnement économique et politique du pays.

Son élévation au rang de ministre d’Etat à la faveur du remaniement ministériel du 17 décembre 2023 témoignait du poids qu’il occupait au sein du gouvernement et de la confiance dont il bénéficiait auprès du Président.

Il n’est pas besoin d’avoir les cheveux gris pour être une éminence grise ou apporter une contribution significative au développement de son pays.

Cette nomination au poste de Premier Ministre, à 42 ans, de Monsieur Rimtalba Jean Emmanuel OUEDRAOGO conforte l’idée que le Chef de l’Etat est engagé avec la jeunesse dans sa mission de reconquête du territoire et de pacification du pays.

Cela n’est-il pas de bonne guerre pour cette Jeunesse qui constitue le premier rempart du Président Ibrahim TRAORE depuis son accession au pouvoir et qui se reconnait en lui ?

Monsieur le Premier Ministre n’a donc d’autre choix que de réussir cette mission. Le gouvernement de combat dans lequel il s’est pleinement investi a remporté certes de nombreuses victoires mais à présent, la victoire finale incombe au nouveau gouvernement qu’il est appelé à conduire .
Bonne chance M. le Premier Ministre ! Que Dieu et les mânes des ancêtres vous accompagnent.

Agence d’Information du Burkina

Jean Emmanuel Ouédraogo nommé Premier ministre

Jean Emmanuel Ouédraogo nommé Premier ministre

Ouagadougou, 7 déc. 2024(AIB)- Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a nommé samedi, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo au poste de Premier ministre.

L’ex ministre d’État de la Communication, de la Culture, du Tourisme et des Arts remplace Dr Apollinaire Kyelem de Tambèla.
Agence d’information du Burkina

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