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Commune de Ziniaré : La délégation spéciale rend compte de sa gestion

Commune de Ziniaré : La délégation spéciale rend compte de sa gestion

Ziniaré, (AIB)- La délégation spéciale de la commune de Ziniaré a organisé, samedi 28 décembre 2024, une journée de dialogue et d’interpellations citoyennes.

Les autorités communales de Ziniaré ont dressé le bilan des réalisations dans la municipalité lors de cette journée dédiée à la redevabilité et à la participation citoyenne.

Tenu le samedi 28 décembre 2024, l’événement s’est déroulé sous le thème : « Contexte de résilience et mobilisation des ressources financières : quelles stratégies pour un recouvrement optimal au service du budget local ? »

Selon le président de la délégation spéciale, Florent Daboné, il s’est agi de mettre en lumière les défis liés à la mobilisation des ressources, tout en explorant des solutions concrètes pour assurer une gestion optimale du budget communal.

Sur un budget prévisionnel de plus de 141 millions de FCFA, plus de 143 millions ont été recouvrés, a indiqué M. Daboné.

Les investissements de la délégation spéciale de la commune de Ziniaré ont concerné les domaines de la santé, de l’éducation, de l’éclairage des voies publiques, de l’assainissement et de l’hygiène.

Le PDS a réitéré son engagement ainsi que celui de son équipe à répondre aux besoins des citoyens et à améliorer les conditions de vie dans la commune de Ziniaré.

« La délégation a également adopté son budget primitif, gestion 2025, qui est en cours d’approbation par l’autorité de tutelle. Ledit budget s’équilibre en recettes et en dépenses à plus de 473 millions de FCFA, dont plus de 414 millions de FCFA pour le fonctionnement et près de 153 millions de FCFA pour l’investissement », a expliqué Florent Daboné.

La secrétaire générale de la province de l’Oubritenga, Esther Tamalgho, a salué la tenue de cette journée qui a offert un espace propice à l’échange et à la réflexion sur les enjeux de la gestion financière locale.

Agence d’information du Burkina

DS/ata

Mouhoun : La Coordination de la veille citoyenne érige un rondpoint Ibrahim Traoré à Bondokuy

BURKINA-MOUHOUN-VEILLE-CITOYENNE-RENCONTRE

Mouhoun : La Coordination de la veille citoyenne érige un rondpoint Ibrahim Traoré à Bondokuy

Dédougou, (AIB)-La coordination communale des associations de la veille citoyenne de Bondokuy, s’est réunie, le jeudi 2 janvier 2025 à Bondokuy, en assemblée générale, pour se présenter les vœux de nouvel an, de revoir les différentes actions à mener selon les aspirations de la communauté. Elle a posé la première pierre du rondpoint Ibrahim Traoré.

La veille citoyenne de la commune de Bondokuy, était en assemblée générale, le jeudi 2 janvier 2025 à Bondokuy, pour se présenter les vœux, revoir leurs interventions pour plus d’efficacité et répondant aux aspirations de la communauté.

La coordination s’est satisfaite de l’engagement des différents villages aux activités de la veille citoyenne dans la commune de Bondokuy.

Cet engagement s’est traduit par une coopération étroite avec les forces combattantes dans la commune, l’organisation de meetings de soutien aux actions de leur leader Ibrahim Traoré et du gouvernement, aux FDS et VDP dans la commune.

Pour les activités à venir, la coordination compte toujours sur la détermination de chaque habitant de la commune de Bondokuy afin de soutenir les actions des plus hautes autorités du pays et à rester vigilants et coopératifs avec les forces combattantes pour réussir la lutte contre le terrorisme dans la commune.

A la fin de l’assemblée générale qui a mobilisé du monde, la coordination a procédé à la pose de la première pierre du rondpoint Ibrahim Traoré, qui était érigé en pneus.

Pour le coordonnateur communal de la veille citoyenne de Bondokuy, Siméon Tamboé, la veille citoyenne de la commune est engagée et mobilisée pour soutenir les actions des autorités sous la conduite du chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Il a souligné l’esprit qui a prévalu lors des échanges au cours de l’assemblée générale et souhaité que la veille citoyenne puisse continuer à jouer un rôle important dans les actions de reconquête du territoire national.

M. Tamboé a invité tous les jeunes à adhérer favorablement à la vision du Chef de l’Etat et à favoriser les interventions des FDS et VDP.

Sur le chantier de construction du nouveau rondpoint, le coordonnateur communal de la veille citoyenne de Bondokuy, a dit que depuis le lancement des activités de la veille citoyenne le 15 août 2024 à Bondokuy, un rondpoint en pneus avait été érigé.

« Nous avons voulu renouveler notre Rondpoint pour implanter un joyau digne de ce nom à l’image de notre imperturbable chef de guerre, le capitaine Ibrahim TRAORÉ. Nous voulons un rond-point historique en son nom parce qu’il le mérite », a-t-il expliqué.

La construction a été pilotée par l’entrepreneur, Lomboza Tamini, natif de Kèra dans la commune de Bondokuy.

Le conseiller de la coordination, Didier Coulibaly, a invité chacun à cultiver l’esprit de la cohésion sociale dans les actions et à rester toujours résilients.

L’activité a connu la visite du Commissaire de police de Bondokuy, le lieutenant Lieutenant Mamadou Traoré et du représentant du chef du détachement militaire, Sergent Zangré.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

 

Lutte contre le terrorisme : Le président Ibrahim Traoré crée trois nouveaux BIR

Lutte contre le terrorisme : Le président Ibrahim Traoré crée trois nouveaux BIR

Ouagadougou, 3 janv.2025(AIB)-Le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a créé hier jeudi, trois nouveaux Bataillons d’intervention rapide (BIR), basés à Arbinda (Soum, Nord), à Ougarou (Gourma, Est) et à Diapaga (Tapoa, Est).

Dans un autre décret, le chef de l’État a aussi désigné les responsables de ces BIR et un nouveau patron pour le BIR 18 basé à Solenzo.

Ainsi le BIR 26 (Ougarou) sera dirigé par le Capitaine San Salifou Traoré, le 27 BIR (Diapaga) par le Capitaine Sayouba Yannick Sawadogo et le BIR 28 (Arbinda) par le Capitaine Wenceslas Yaméogo.

C’est désormais le Capitaine Papa Parfait Kambou qui va prendre les destinées du BIR 18 (Solenzo).

Dans son message de nouvel an, le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a annoncé une Intensification de la lutte contre les terroristes, notamment par la création de nouvelles unités et l’acquisition de matériels.
Agence d’information du Burkina

Nouvel An : Le Roi Untaanba, 32ᵉ Roi du Gulmu, souhaite le retour de la sécurité

Nouvel An : Le Roi Untaanba, 32ᵉ Roi du Gulmu, souhaite le retour de la sécurité

Fada N’Gourma, 31 décembre 2024 (AIB) – Dans son message de nouvel an, le 32ᵉ Roi du Gulmu a souhaité le retour de la paix et de la sécurité au Burkina Faso.

« Je voudrais, à l’orée de cette nouvelle année, formuler mes vœux les meilleurs à l’endroit de tous, en souhaitant à chacun et chacune une santé parfaite, la longévité, la paix et, surtout, le retour de la sécurité dans notre cher pays », a déclaré le Roi Untaanba.

Au nom des cinq Dima du Burkina Faso, il a également adressé des vœux de succès au président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, à son gouvernement, aux Forces de défense et de sécurité (FDS), ainsi qu’aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), dans leur lutte contre l’hydre terroriste.

« J’implore Dieu et nos ancêtres de protéger les FDS et les VDP, qui se battent jour et nuit pour libérer le Burkina Faso, souvent au prix du sacrifice suprême. Je leur souhaite davantage de force afin qu’ils ramènent la sécurité dans notre cher pays », a-t-il ajouté.

Enfin, le Roi Untaanba a exhorté à l’union sacrée de toutes les filles et fils du Burkina Faso autour de la vision du président du Faso, pour mener la nation vers la victoire finale.

« Que 2025 soit une année charnière où notre patrie sera libérée de l’emprise des terroristes ! », a-t-il conclu.

Agence d’Information du Burkina

L’integralité du message du Chef de l’Etat á la Nation le 31 decembre 2024

Message à la Nation de S.E. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État 31 décembre 2024

Camarades combattants pour la liberté, la souveraineté et l’indépendance réelle, C’est un immense plaisir, en ce jour 31 décembre qui marque la fin de l’année 2024, de prendre la parole et de vous faire un bilan synthétique de l’année 2024 et aussi les perspectives pour l’année 2025.Mais avant tout propos, permettez-moi de rendre grâce à Dieu qui couvre le Burkina Faso de sa main bienveillante et qui nous permet de rester debout.

Je rends un vibrant hommage à toutes nos forces combattantes qui se battent jour et nuit jusqu’au sacrifice suprême pour que notre Patrie reste et demeure. Je souhaite un prompt rétablissement à tous ceux qui ont été blessés dans cette barbarie et prie Dieu pour le repos des âmes de tous ceux qui sont tombés dans cette bataille.Je voudrais également rendre hommage au vaillant peuple burkinabè, de l’intérieur comme de l’extérieur, qui continue de contribuer de façon massive pour que nous menions cette guerre et amorcions aussi notre développement réel.

2024 a été une année pleine de défis. Sur le champ de bataille, l’ennemi a essayé de reprendre l’initiative stratégique pour nous empêcher d’atteindre nos objectifs.Grâce à nos vaillantes et résilientes forces combattantes, nous avons pu maintenir le cap et toujours garder l’initiative.

Aujourd’hui, plus que jamais, nous menons des offensives et nous partons où nous souhaitons mener des actions ; et nous traquons ces criminels jusqu’à leur dernier retranchement. Cela a été possible grâce à une dynamique enclenchée depuis 2023 et qui se poursuit toujours.Il s’agit notamment de l’équipement de nos forces combattantes en moyens logistiques, en moyens de manœuvre et en moyens feu. Et nous allons continuer à l’accroître tout au long de l’année 2025, pour que l’armée dont nous rêvons puisse être une réalité et puisse protéger notre Patrie pour des années, des décennies à venir. Nous continuerons le recrutement comme il a été le cas en 2024.

Pour cette seule année, nous avons recruté au sein des Forces armées nationales plus de 15 000 Hommes qui sont toujours en formation dans les centres et qui devront renforcer les rangs des forces combattantes au cours de l’année 2025. Nous poursuivrons également la formation de manière intensive en collaboration avec tous les amis du Burkina Faso, pour que nous puissions avoir l’armée que nous souhaitons.

Sur le volet du maillage du territoire, plusieurs unités ont vu le jour avec une armée qui est la Brigade spéciale et d’intervention rapide ; et nous continuerons de renforcer les capacités de toutes les armées pour faire face à la menace actuelle et les menaces à venir.Dans ce sens, il y aura la création au cours de l’année 2025, d’au moins cinq bataillons d’intervention rapide qui seront placés dans des zones stratégiques.

Au niveau de l’armée de terre, nous procèderons à la création d’un groupement expéditionnaire Sahel. Tout cela dans l’objectif de pouvoir densifier les champs de bataille afin de reconquérir la totalité de notre territoire.

Au niveau des forces de sécurité, le réajustement va se poursuivre de manière stratégique ; et nous souhaitons que ces forces puissent s’adapter de manière intelligente et avec une grande flexibilité à la reconquête du territoire pour pouvoir combler les interstices et les couloirs qui pourront servir à ces criminels pour s’infiltrer.

Nous poursuivrons les efforts dans ce sens avec l’accompagnement du peuple pour mettre à niveau toutes nos forces combattantes afin de mailler et reconquérir l’intégralité de notre territoire. Et pour ce faire, les infrastructures routières sont très importantes pour accompagner la reconquête du territoire.

Au cours de l’année 2024, plusieurs projets ont vu le jour, notamment en matière de construction de routes dans nos villes et dans nos campagnes.Dans ce sens, il a été mis en place l’initiative «  Faso Mêbo» qui devra, à terme, doter chaque région d’une brigade de construction de routes. Déjà, les équipements pour les premières brigades sont en route et dans quelques jours, elles pourront être opérationnelles et devront commencer à agir pour le bonheur de nos forces combattantes dans le cadre de leur mobilité sur les champs de bataille ; et aussi doter certaines zones qui n’ont pas de bonnes routes pour qu’elles puissent communiquer.

Qui parle de routes parle aussi d’écoulement de nos produits. Dans ce sens, nous avons intensifié, en matière d’agriculture, notre production cette année 2024. Les résultats sont très satisfaisants et nous rendons grâce à Dieu qui nous a permis d’avoir une très bonne pluviométrie sur l’ensemble du territoire national. La production a été exceptionnelle et nous allons poursuivre dans ce sens.Plusieurs spéculations ont été introduites ; des spéculations de rentes telles que le cacao, le café, l’avocat, le blé, et bien d’autres qui devront permettre de stopper plus ou moins les importations au Burkina Faso et aussi de transformer ces matières premières, voire les revendre à l’extérieur pour faire entrer les devises dans notre pays.

Tout ceci contribue au développement de notre Patrie que nous sommes en train d’amorcer. Sur le volet de l’élevage, plusieurs projets ont été menés au cours de l’année 2024, notamment le renouvellement du cheptel à travers plusieurs initiatives ; mais nous sommes également en train de mettre en place un système pour l’alimentation du bétail et du poisson.

Plusieurs campagnes de vaccination ont eu lieu, gratuites à certains endroits et subventionnées à d’autres endroits. Nous poursuivrons nos efforts en faveur du monde paysan à travers les intrants et toute la mécanisation qui doit suivre pour l’accompagner à produire en vue d’atteindre notre objectif qui est l’autosuffisance alimentaire et exporter nos excédents.

Dans ce sens, beaucoup d’industries verront le jour pour transformer nos matières premières sur place.2024 a été une année où nous avons pu inaugurer quelques usines, mais beaucoup d’autres usines seront inaugurées en 2025 ; certaines dont vous avez assisté à la pose de la première pierre, mais d’autres également dont la pose de la première pierre n’a pas fait l’objet de communication.

Nous continuerons dans ce sens pour pouvoir transformer nos matières premières sur place pour le bonheur des Burkinabè et exporter ce qui est transformé sur place. C’est dans cette optique que nous pourrons faire tourner notre économie à l’intérieur et éviter les importations de produits alimentaires au profit de nos populations.Sur le volet de l’économie, beaucoup d’efforts ont été consentis et c’est le lieu pour moi de féliciter tous les acteurs qui ont permis au Burkina Faso de toujours garder la tête haute face à l’adversité.

Nous poursuivrons nos efforts et beaucoup de fonds ont été réajustés pour prendre en compte les aspirations de la jeunesse. L’Agence nationale pour la finance inclusive a été créée récemment et l’objectif est d’offrir des prêts aux jeunes et de pouvoir suivre leurs activités.Le ministère en charge de la Jeunesse a été instruit de créer des cellules qui vont suivre les projets que les jeunes vont porter et qui pourront être financés à travers ces institutions que nous avons créées.

Au cours du premier trimestre de l’année 2025, nous allons tout faire pour accélérer la mise en place de ces cellules parce qu’il ne s’agit pas juste de donner un prêt à un jeune et de le laisser à lui-même. Nous voulons donner le prêt et suivre l’exécution du projet pour lequel il a pris le prêt, pour que cela puisse lui profiter ainsi qu’à d’autres Burkinabè et créer des emplois. Nous allons poursuivre les efforts dans le secteur de l’économie et du commerce pour que notre jeunesse puisse s’épanouir pleinement avec les ressources du pays. Dans le domaine des mines, nous avons repris la main sur nos ressources naturelles.

Les métaux comme l’or, l’argent, le cuivre doivent être exploités par les Burkinabè et nous sommes en train de découvrir petit à petit l’expertise nationale qui permet d’exploiter ces ressources sur place pour le bonheur du peuple Burkinabè.Ainsi, nous encourageons les semi-mécanisées et très bientôt des mines industrielles à voir le jour par l’action de Burkinabè et pour le Burkina Faso.

L’État met tout en œuvre pour exploiter cette expertise locale au profit de notre Patrie. Dans le domaine de l’environnement, plusieurs projets verront le jour. Nous escomptons créer dans chaque province un bosquet qui devra comporter des plantes médicinales et des herbes qui pourront être utilisées par les tradipraticiens et même par nos chercheurs.

L’Institut de recherche en sciences de la santé a fait ses preuves à partir de nos plantes locales. J’ai donné des instructions pour qu’on puisse me lister tous les équipements dont cet institut a besoin pour accroître sa capacité et exploiter notre potentiel en matière de plantes et d’herbes pour suppléer certains médicaments importés.

Nous allons poursuivre dans ce sens pour que nous puissions nous soigner nous-mêmes à travers nos plantes. Le ministère en charge de l’Environnement est en train de tout mettre en œuvre pour que ce projet voit le jour en 2025. D’autres projets d’envergure en matière de reverdissement, de plantation d’arbres à travers les institutions et toutes les structures qui pourront être désignées, verront le jour pour que nous puissions reverdir notre cadre de vie, en prendre soin pour que cela profite pleinement aux Burkinabè. Ce qui va améliorer considérablement le plateau en matière de santé.

Nous sommes en train de consentir beaucoup d’efforts pour que les plateaux techniques des différents centres de santé et des hôpitaux puissent être rehaussés. Des dotations ont eu lieu en 2024, notamment en termes de matériel médical. 2025 verra de nouvelles dotations d’équipements médicaux et surtout des centres de santé à travers l’Initiative présidentielle pour la santé.

Des infrastructures sanitaires seront construites dans plusieurs communes, parce que nous voulons transformer nos centres de santé et de promotion sociale en centres communaux qui doivent disposer de plateaux techniques assez fournis, en laboratoire, en imagerie, pour s’approcher des standards des centres médicaux avec antenne chirurgicale.

L’objectif est de rapprocher les soins de santé primaires des populations rurales et faciliter un certain nombre de choses dans ce domaine.En ce qui concerne le secteur de l’éducation, plusieurs réformes ont été entamées.

Elles peuvent paraître lentes pour certains, mais il faut aller lentement et sûrement parce que le système éducatif dans lequel nous nous trouvons est profondément axé sur un modèle qui forme plus des diplômés que des gens capables de travailler et de produire de la richesse. Malheureusement, c’est le constat.

Mais nous sommes à pied d’œuvre pour d’abord, changer les infrastructures scolaires, les adapter et les moderniser. Ensuite, les curricula et les programmes d’enseignement doivent être changés. Nous voulons passer de l’enseignement général à l’enseignement technique et professionnel.

Cette mutation est en cours et va demander un peu de temps pour que nous puissions être dans la norme que nous souhaitons. Tous les secteurs seront visités dans le domaine de l’éducation et c’est pour cela que l’Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous a été mise en place et déjà les premières pierres des centres modernes que nous souhaitons, ont été posées et les constructions vont se poursuivre tout au long de l’année 2025.

Camarades,Dans le domaine de l’administration, comme vous avez été témoins du dernier procès sur le détournement de fonds dans notre administration, cela montre combien notre administration n’est pas en adéquation avec les aspirations du moment.Aussi, les procédures sont obsolètes ; voilà pourquoi beaucoup de mesures sont en train d’être prises pour que cette administration redevienne fonctionnelle comme on le souhaite.

La CRD (Commission de régulation des dysfonctionnements) a été mise en place dans ce sens et nous travaillerons pour que courant le mois de janvier elle soit opérationnelle et que les citoyens puissent dénoncer des cas de dérives, de manquements et de dysfonctionnements dans notre administration. Nous poursuivrons dans cette logique pour redresser mais aussi renforcer la digitalisation dans l’administration afin de lutter efficacement contre la corruption ; parce que, tant que les procédures ne seront pas dématérialisées, les délais de traitement des dossiers seront toujours longs et la corruption va s’inviter.

La fonction publique est donc instruite de changer le RIME (Répertoire interministériel des métiers de l’État) pour pouvoir intégrer un certain nombre d’emplois pour que certaines personnes qui étaient sous contrat au sein de l’administration puissent être intégrées de manière efficace et avoir un plan de carrière. Nous poursuivrons les réformes dans ce domaine jusqu’à ce que notre administration soit celle que le peuple souhaite.Dans le domaine de la justice, beaucoup de réformes ont déjà eu lieu et nous poursuivrons en 2025.

Les tribunaux coutumiers devront voir le jour et dans ces tribunaux coutumiers, des auditeurs de justice d’un nouveau type seront donc recrutés pour animer ces tribunaux coutumiers ; cela pour prendre en compte nos valeurs endogènes de règlement de conflits et avoir une justice réparatrice et non une justice uniquement punitive.En prenant en compte nos valeurs endogènes et en impliquant nos leaders coutumiers et religieux sur les valeurs qui sont les nôtres, nous pourrons transformer notre justice, la rapprocher du justiciable. Ces réformes vont se poursuivre tout au long de l’année 2025 et nous comptons pouvoir atteindre notre objectif avant la fin de l’année. Dans le domaine de l’administration territoriale, comme annoncé par le Premier ministre lors de sa Déclaration de politique générale, un redécoupage du territoire s’impose ; en tenant compte d’un certain nombre d’aspects, superficie certes, mais surtout stratégiques et économiques. Cela sera proposé en 2025.

La décentralisation est aujourd’hui une très bonne chose dans le fond, mais dans la mise en œuvre elle se trouve en souffrance.Une étude a été diligentée actuellement au niveau de l’ANSAL-BF (Académie nationale des sciences, des arts et des lettres du Burkina Faso) et du CAPES (Centre d’analyse des politiques économiques et sociales). L’étude dont les résultats sont attendus ces jours-ci doit nous permettre de faire un diagnostic profond du processus de décentralisation. Dans ce sens, un certain nombre de fonds ont été suspendus en attendant les résultats de ces études pour pouvoir réarticuler et donner de nouvelles missions aux autorités des collectivités territoriales.Dans le domaine de l’urbanisation, au cours de l’année 2025, après une étude effectuée en 2024, il sera proposé à la population burkinabè des choix pour redessiner nos villes. Lorsque ces choix seront présentés, nous espérons avoir une issue qui nous permettra de redéfinir nos villes et de pouvoir faire une urbanisation qui réponde aux normes actuelles.

Cette dynamique va se poursuivre en 2025 et l’initiative  « Faso Mêbo »participera également à cette dynamique d’urbanisation.Dans le domaine du sport, c’est le lieu pour moi de féliciter toute la jeunesse sportive parce que 2024 a été une année sportive. Plusieurs athlètes sont revenus au Burkina Faso avec des médailles et ont porté haut le drapeau du Burkina Faso.

Je les félicite et les encourage à continuer dans cette dynamique pour qu’en 2025 nous ayons encore plus de médailles et que le drapeau du Burkina Faso continue de flotter partout dans le monde. Ils contribuent à faire rayonner l’image du Burkina Faso à l’extérieur.Dans le domaine de la diplomatie, il y a certes l’accompagnement du milieu sportif. Mais nos diplomates sont engagés, depuis 2023 dans une dynamique agressive. Nous poursuivrons dans ce sens en 2025 pour que l’image du Burkina Faso, qui rayonne à travers le monde, puisse continuer de resplendir. Et à travers cela, nous sommes dans une confédération de l’Alliance des États du Sahel.

Plusieurs actions sont en cours actuellement pour pouvoir structurer cette alliance et l’asseoir parce que c’est le début d’une union dans la souveraineté, dans la liberté totale, pour que l’Afrique puisse prendre un exemple sur cette alliance et pouvoir rayonner. L’alliance n’est pas uniquement pour les trois pays. L’alliance appartient à tous les Africains désireux de souveraineté, d’indépendance et de liberté totale. Nous poursuivons notre démarche pour qu’elle soit une union forte dans tous les domaines, que ce soit de la diplomatie, de la défense et la sécurité et surtout du développement.

Notre diplomatie rayonne et nous poursuivrons notre démarche pour qu’elle puisse être encore plus forte et que les représentations du Burkina Faso à l’extérieur puissent prendre en compte notre diaspora et aussi prendre en compte tous les amis du Burkina Faso qui souhaitent visiter le Burkina Faso, participer au développement du Burkina Faso.C’est dans ce sens que nous serons un exemple de souveraineté, un exemple de dignité et une fierté à travers l’Afrique et à travers tout le monde entier. L’Institut des Peuples Noirs devra être un tremplin pour attirer au Burkina Faso tous les Noirs du monde entier qui viendront se ressourcer, revoir les cultures et pouvoir apprendre de nos cultures, les moderniser pour faire développer notre Patrie. Un bâtiment sera érigé au niveau du musée pour prendre en compte certains aspects de notre culture pour que l’institut puisse se baser sur ces valeurs-là et enseigner au monde entier ce que c’est que le peuple noir, ce que c’est que l’Afrique. Je souhaite que 2025 soit une année de parfaite santé, de succès, de prospérité, de victoire pour notre peuple.

La Patrie ou la Mort, nous Vaincrons !

Nouvel An : Le Haut-commissaire du Bam salue la résilience de la population et l’invite à accompagner les actions du gouvernement

Nouvel An : Le Haut-commissaire du Bam salue la résilience de la population et l’invite à accompagner les actions du gouvernement

Kongoussi, 3 janvier 2025 (AIB) – Le Haut-commissaire de la province du Bam, Karim Ouédraogo, a salué, la résilience de la population du Bam en 2024, tout en l’exhortant à continuer d’accompagner les actions du gouvernement en vue d’une libération totale du Burkina Faso.

Le Haut-commissaire a tout d’abord encouragé la population du Bam pour sa capacité de résilience durant l’année 2024, avant d’inviter toutes les couches sociales de la province à soutenir le gouvernement.

« Nous souhaitons que les populations, dans leur ensemble et dans toutes leurs composantes, puissent accompagner d’abord l’effort des Forces de défense et de sécurité, ainsi que le gouvernement dans la mise en œuvre de ses initiatives et de toutes les politiques entrant dans le cadre de la reconquête de notre territoire, de notre souveraineté nationale et des actions communautaires », a-t-il déclaré.

Il a également exprimé le vœu que 2025 soit l’année de la consécration, marquant la pleine souveraineté du Burkina Faso, conformément à la vision du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Le Haut-commissaire a conclu ses vœux en remerciant l’ensemble des partenaires de la province du Bam :

« Je voudrais remercier toutes les personnes qui accompagnent la province et la population dans leur résilience : les partenaires techniques et financiers, les ONG, les associations et les différentes couches sociales qui apportent du réconfort à ces populations éprouvées. Je leur dis merci. »

Il a enfin souhaité : « Une année de paix, une année de sécurité et une année de travail pour l’ensemble des populations de la province du Bam. »

Agence d’Information du Burkina
AR/ata

Kourweogo : Des leaders d’opinions et acteurs économiques souhaitent le retour de la paix au Burkina 

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Kourweogo : Des leaders d’opinions et acteurs économiques souhaitent le retour de la paix au Burkina

Boussé, (AIB)-Des accteurs économiques et leaders d’opinion ont souhaité, le mardi 31 décembre 2024 à Boussé, le retour de la paix au Burkina Faso.

Antoinette Zoungrana, commerçante au grand marché de Boussé, a adressé ce 31 décembre ses vœux pour le nouvel an 2025, marquant son espoir pour un Burkina Faso réconcilié avec la paix et la sécurité.

Elle a prié pour le retour de la paix sur l’ensemble du territoire burkinabè, tout en demandant la protection divine pour les forces de défense et de sécurité ainsi que les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) engagés dans la lutte pour la reconquête nationale.

Mme Zoungrana, a également imploré le Tout-Puissant pour qu’Il accorde le repos éternel aux âmes de tous ceux qui ont perdu la vie à cause de l’insécurité.

La commerçante a exprimé sa compassion envers les familles endeuillées, appelant Dieu à les consoler et à veiller sur les orphelins laissés derrière.

Elle a formulé l’espoir que 2025 soit une année de paix et de sécurité durable pour le Burkina Faso.

Même son de cloche pour le tradipraticien et résident de Mankoula dans la province du Bulkiemdé, Sougrinooma Rassmane Ouédraogo, qui a souhaité le retour de la paix au Burkina Faso.

Son message est empreint d’espoir et de solidarité au peuple burkinabè à l’occasion des festivités de fin d’année.

M. Ouédraogo a exprimé son ardent désir de voir le Burkina Faso retrouver la paix et la stabilité.

« Que Dieu et les mânes de nos ancêtres accordent au Burkina Faso le don précieux de la paix», a-t-il déclaré.

Le tradipraticien a encouragé les Forces de défense et de sécurité (FDS) ainsi que les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et souhaité que l’année nouvelle, soit une nation qui n’est plus à déplorer la disparition de jeunes combattants à la fleur de l’âge du fait du terrorisme.

Rasmané Ouédraogo a en outre encouragé le président Ibrahim Traoré et son gouvernement à rester dans leur dynamique de loyauté, d’engagement pour la reconquête de l’intégrité et de la souveraineté nationale, que c’est en cela qu’ils vont bénéficier de la protection divine et celle des ancêtres.

Pour le président de l’association des personnes déplacées internes résident à Boussé, Ousmane Sawadogo, le retour de la paix et le retour des déplacés internes, est son vœu le plus cher.

Il a salué les efforts déployés par le gouvernement et particulièrement par le président Ibrahim Traoré dans la quête de la paix et de la sécurité nationale.

M. Sawadogo, a également formulé des prières pour que Dieu accompagne les autorités ainsi que les forces de défense et de sécurité (FDS) dans leur mission de sécurisation et de reconquête du territoire.

Le président des déplacés internes de Boussé, a souligné que la paix et la sécurité soient des conditions essentielles pour permettre aux PDI de reprendre une vie normale et de contribuer à la reconstruction nationale et au développement économique du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

DB/hb/yo

Nahouri/Effort de paix : Une bonne volonté solidaire des VDP de Pô

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Nahouri/Effort de paix : Une bonne volonté solidaire des VDP de Pô

Pô, (AIB)-Albertine Yaguibou, a offert ce jeudi 2 janvier 2025 à Pô, du carburant et des vivres aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la commune de Pô. C’est le président de la délégation spéciale de Pô, Ilassa Dianda qui a réceptionné le don en présence d’une délégation des VDP.

Les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la commune de Pô, ont bénéficié le jeudi 2 janvier 2025, du carburant et des vivres de la part d’une bonne volonté, Albertine Yaguibou, fille de ladite commune.

Composé de 20 litres de carburant, deux sacs de riz de 25 kg et une enveloppe de 10 000 F CFA, le don a été réceptionné par le premier responsable de la commune en présence du coordonnateur communal des VDP, l’adjudant Kora Akohoutiogui.

« Ces VDP sont nos enfants, nos frères, nos maris, ils ont abandonné, leur famille pour défendre notre patrie, je voulais été sur le terrain avec eux, tenir l’arme, mais vu mon âge je ne peux plus le faire. C’est pour cette raison que j’ai leur remets ce petit don qui est pour moi, une façon de reconnaître les efforts et le sacrifice consenti au quotidien par ces derniers », a justifié Mme Yaguibou en remettant le don au PDS de Pô.

Le président de la délégation spéciale de Pô, Ilassa Dianda, a remercié la donatrice et a invité les filles et fils de la commune à suivre l’exemple de Albertine Yaguibou.

Le coordonnateur communal des VDP, l’adjudant Kora Akohoutiogui quant à lui, a salué le geste de Mme Yaguibou.

Il a traduit toute la reconnaissance des VDP à l’endroit de la donatrice et a rassuré que le don sera utilisé de façon rationnelle.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

Mouhoun/Réveillon 2024 : Le commandant des opérations galvanise les hommes du détachement de Bondokuy

BURKINA-MOUHOUN-VŒUX

Mouhoun/Réveillon 2024 : Le commandant des opérations galvanise les hommes du détachement de Bondokuy

Dédougou, (AIB)-Le Commandant du groupement des opérations de sécurisation de la Boucle du Mouhoun, le Lieutenant-Colonel Sosthène Coulibaly, accompagné du Directeur régional de la police nationale de la Boucle du Mouhoun, Abdoulaye Sidibé et du responsable du 10e Bataillon d’intervention rapide (BIR 10), ont passé le réveillon du 31 décembre 2024 auprès des hommes du détachement militaire de Bondokuy afin de les galvaniser dans leur travail en ces périodes de fête.

C’est dans la joie que le détachement militaire de la commune de Bondokuy dans la province du Mouhoun a accueilli dans la nuit du mardi 31 décembre 2024, le Commandant du groupement des opérations de sécurisation de la Boucle du Mouhoun, le Lieutenant-Colonel Sosthène Coulibaly.

Il est venu encourager les hommes du détachement qui se battent au quotidien pour la paix dans cette partie du Burkina.

Pour cette sortie, le commandant était accompagné du directeur régional de la police nationale et du commandant du BIR 10.

En recevant le commandement des opérations de sécurisation de la région de la Boucle du Mouhoun à Bondokuy, le chef du détachement l’Adjudant-Chef Abdoulaye Dianou, s’est réjoui de l’honneur fait à ses hommes en cette nuit du réveillon.

Pour le Commandant des théâtres d’opérations de la région de la Boucle du Mouhoun, le choix d’être à Bondoukuy pour le réveillon, est l’occasion pour lui de venir encourager les hommes sur le terrain et les inviter à garder le moral haut pour relever les défis de l’heure.

Le Lieutenant-Colonel Sosthène Coulibaly, a traduit ses vives félicitations pour le travail qui se mène au quotidien avant de leur dire que les défis pour la sécurisation sont nombreux et chacun doit contribuer par la discipline, la volonté et l’engagement.

Il a invité les acteurs de la veille citoyenne de la commune à continuer leurs actions de sensibilisation auprès des populations et a demandé à coopérer avec les forces combattantes afin de venir à bout du terrorisme.

Présents à cette soirée, les autorités administratives, coutumières et religieuses de la commune de Bondokuy ont traduit leur reconnaissance aux forces combattantes qui abattent un travail efficace et qui permettent aux populations de vaquer librement à leurs activités.

Le président de la délégation spéciale de la commune, Lazare Bado, a remercié la résilience des populations face à la crise sécuritaire qui a beaucoup affecté la commune.

Tout en adressant ses vifs remerciements à toutes les parties prenantes pour les efforts consentis dans cette lutte contre le terrorisme, M. Bado a souhaité que la nouvelle année soit pleine de sécurité, de paix, de santé et d’engagement pour le développement de notre cher pays.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

 

Tenkodogo : Les festivités de la Nabasga s’achèvent sur une note de satisfaction générale

Tenkodogo : Les festivités de la Nabasga s’achèvent sur une note de satisfaction générale

Tenkodogo, 29 déc. 2024 (AIB) – Après trois jours d’hommages aux ancêtres, de réjouissances et d’activités sportives, la 924e Basga de sa Majesté Naaba Guiguempolé Dima de Zoungrantenga a pris fin dimanche soir sur le terrain de football situé devant la cour royale de Tenkodogo.

Malgré le contexte économique et sécuritaire difficile, le comité d’organisation a exprimé une satisfaction générale quant au bon déroulement de cette fête coutumière, qui s’est tenue du vendredi 27 au dimanche 29 décembre 2024.

Selon sa Majesté, les mânes des ancêtres ont accompagné les festivités, permettant ainsi leur bon déroulement.

Cette édition a battu le record de participation des enfants de Tenkodogo résidant à Ouagadougou et dans d’autres villes du Burkina Faso.

L’innovation majeure de cette année fut l’organisation d’une compétition de pétanque, qui a réuni une quarantaine de clubs venus de Fada N’Gourma, Koupéla, Zorgho, Garango, et Tenkodogo. Les joueurs de Sable, représentant Fada N’Gourma, ont remporté cette première édition.

La célèbre Pédale de Naaba Guiguempolé, une compétition cycliste, placée sous le parrainage de Kogl Buud Naaba de Loanga,  disputée dimanche matin, a vu la participation de huit clubs. Namalgzanga Vélo Club de Tenkodogo a remporté la course.

En football, l’Union Sportive de Tenkodogo (UST), présidée par Elhadj Ali Tranquil Sorgho, s’est imposée face aux Aigles Blancs du secteur 5 sur le score d’un but à zéro.

Le comité d’organisation a adressé ses remerciements aux autorités pour leur présence, qui a honoré sa Majesté. Il a également promis une Basga 2025 placée sous le signe de la paix.

Agence d’information du Burkina

Tanghin-Dassouri : La présidente de la délégation spéciale invite à l’engagement commun pour une commune prospère et harmonieuse

 

 

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Tanghin-Dassouri : La présidente de la délégation spéciale invite à l’engagement commun pour une commune prospère et harmonieuse

Ouagadougou, 2 janv. 2025 (AIB)- La présidente de la délégation spéciale de la commune (PDS) de Tanghin-Dassouri, Mme Rabiata Sawadogo a exhorté mardi, à l’occasion de son message du nouvel an, la population à renouveler son engagement commun pour bâtir une commune plus sûre, prospère et harmonieuse.

« Votre participation active et votre engagement sont essentiels pour atteindre les objectifs escomptés. Je vous invite à renouveler notre engagement commun pour bâtir une commune plus sûre, plus prospère et plus harmonieuse », a affirmé la présidente de la délégation spéciale de la commune (PDS) de Tanghin-Dassouri, Mme Rabiata Sawadogo.

La première responsable de la commune qui s’exprimait le mardi 31 décembre 2024, lors de son message du nouvel an a également souhaité que 2025 soit porteuse d’espoir et de renouveau pour chacun de nous.

Saisissant l’occasion, elle a aussi présenté ses vœux de paix, de santé et de prospérité à la population et l’ensemble des Burkinabè.

Mme Rabiata Sawadogo a par ailleurs expliqué que sa commune et le pays ont été marqués par des défis majeurs notamment le contexte sécuritaire, toute chose selon elle, qui a bouleversé les vies, les communautés et le développement.

A l’écouter, malgré ces épreuves, la résilience et la détermination du peuple burkinabè à surmonter les obstacles n’ont jamais faibli dans la lutte contre le terrorisme.

« Ensemble, nous avons démontré notre capacité à rester unis et solidaires, face à l’adversité. En cette nouvelle année, je souhaite que nous puissions continuer à renforcer ces liens qui nous unissent et à œuvrer ensemble pour un avenir meilleur », a-t- elle dit.

La PDS s’est dite convaincue que, malgré les défis, la population de Tanghin-Dassouri peut transformer sa « commune en un lieu où il fait bon vivre, où chacun peut s’épanouir et contribuer au bien-être collectif ».

Mme Sawadogo a appelé la population à garder la même dynamique en 2025 pour bâtir une commune dynamique, solidaire et tournée vers l’avenir.

« Que cette nouvelle année soit synonyme de projets innovants, de rencontres enrichissantes et de réussites collectives », a exhorté Mme Rabiata Sawadogo.

Agence d’information du Burkina

NO/BO/TA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Namentenga/Hausse des prix de céréales : Le haut-commissaire appelle les commerçants à l’esprit patriotique 

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Namentenga/Hausse des prix de céréales : Le haut-commissaire appelle les commerçants à l’esprit patriotique

Namentenga le 29 déc 2024 (AIB) Les populations de la province du Namentenga observent contrairement aux autres années à la même période, une hausse des prix des céréales dans les marchés. Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga demande aux commerçants d’avoir un sens patriotique, face à cette flambée des prix des céréales sur la place du marché.

« Je demande le sens patriotique des commerçants de participer à leur manière à la lutte contre le terrorisme en n’abusant pas sur les prix des céréales », a déclaré le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga.

M. Conseiga qui s’adressait le dimanche 29 décembre 2024 à Boulsa, aux commerçants à travers son message de fin d’année à la population.

Avec le respect des mesures de préventions sécuritaires, les populations de la province dans leur majorité ont cultivé des spéculations telles que le niébé, le sésame, le voandzou le petit poids au détriment du mil, du maïs, du sorgho qui sont leurs habitudes alimentaires.

Comme conséquences, les paysans n’ont pas de stocks de céréales suffisantes et leurs prix sur la place du marché grippent du jour au jour.

Selon l’un des commerçants de céréales au marché de Boulsa, Robert Damiba, le prix du sorgho à la récolte était de 750 FCFA le plat de 3,5kg et se négocie actuellement à 1000 FCFA.

Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga, à travers son adresse à la population a apprécié à sa juste valeur l’apport considérable du programme de l’offensive agropastorale et halieutique.

Il a également salué la vaccination des animaux domestiques , l’interdiction de sortie des céréales sans autorisation avant de solliciter le sens patriotique des opérateurs économiques qui sont, entre autres, les commerçants, les transporteurs tout en exhortant ces derniers à ne pas vendre des produits dangereux à la consommation.

«Si tu exerces dignement ton activité, tu participes à la lutte contre le terrorisme. Dans le cas contraire, tu participes aux côtés des terroristes », a fait remarquer Adama Conseiga

Agence d’information du Burkina

JBD/NO/ATA

 

Koudougou : Avec un taux d’exécution de 93%, le projet MODHEM+/DDC pourrait être reconduit pour non seulement consolider les acquis mais aussi pour relever les défis persistants

Le coordonnateur du projet, Kassoum Ouedraogo, : "Nous pouvons être fiers des acquis et des transformations opérées dans la vie des agropasteurs grâce au projet MODHEM+/DDC''.

Koudougou : Avec un taux d’exécution de 93%, le projet MODHEM+/DDC pourrait être reconduit pour non seulement consolider les acquis mais aussi pour relever les défis persistants

Koudougou, 30 déc. 2024 (AIB)- La 2ème session de 2024 du comité de pilotage du projet MODHEM+/DDC s’est penchée, lundi, à Koudougou, sur l’achèvement dudit projet.

Le Projet d’amélioration de la mobilité du bétail et des revenus des agropasteurs par l’utilisation de la téléphonie mobile et l’imagerie satellitaire/composante infrastructures pastorales (MODHEM+/DDC) arrive à son terme le 31 décembre 2024.

Aussi, la 2ème session de 2024 du comité de pilotage (CoPil), tenue le 30 décembre 2024 à Koudougou, a servi de cadre pour examiner et adopter le rapport d’achèvement du projet.

Le représentant du président du CoPil, Mamadou Diallo, livrant le mot d’ouverture de la session.

Il a été également question de formuler des recommandations à l’attention de l’unité de gestion et des différents partenaires d’intervention.

Dans son mot, le président du CoPil, représenté par Mamadou Diallo, a laissé entendre que si le projet MODHEM+DDC n’existait pas, il fallait le créer. En ce sens que le projet a apporté un appui significatif dans le domaine du pastoralisme, a-t-il précisé.

En effet, le bilan des investissements fait ressortir moult réalisations. L’on compte des ressources et des infrastructures pastorales avec plus de 217 km de pistes à bétail, plus de 27 210 hectares d’espaces pastoraux aménagés et récemment la sécurisation de la zone pastorale de Sondré, de plus de 14 000 hectares.

La valorisation des chaînes de valeurs pastorales avec la mise en place d’un modèle d’investissement viable et intéressant pour la production fourragère (476 000 tonnes de fourrages produits); sans oublier la prévention et la résolution pacifique des conflits tout le long de sa mise en œuvre.

On note aussi l’appui à la gouvernance des instances de transhumance avec l’accompagnement du processus de relecture de la loi d’orientation sur le pastoralisme qui a été une aubaine pour les acteurs et un succès.

Selon le coordonnateur du projet, Kassoum Ouédraogo, les résultats ont atteint un taux d’exécution physique comme financier de 93%. Ce qui lui fait dire que le projet a atteint ses objectifs aussi bien dans les résultats tangibles que dans l’efficacité de la mise en œuvre.

Quoi de plus logique que le président du CoPil exprime sa profonde gratitude au Bureau de la coopération suisse ,(DDC) pour avoir permis la mise en œuvre de ce projet avec un financement à hauteur de 3 milliards 300 millions de FCFA et pour sa présence continue aux côtés des acteurs de mise en œuvre. Il a également remercié l’organisation néerlandaise de développement (SNV) pour la conduite du projet de janvier 2021 à décembre 2024.

A l’en croire, les différentes réalisations méritent d’être consolidées et pérennisées. D’où la formulation de recommandations réalistes en vue de viser une éventuelle seconde phase du projet.

Selon Salifou Sare, le Bureau de la coopération suisse est entièrement satisfait de la mise en œuvre du projet

Le représentant des acteurs de mise œuvre, lui, appelle de ses vœux cette seconde phase dans la mesure où, selon lui, le projet MODHEM+/ DDC a abattu un travail conséquent qui soulage beaucoup les bénéficiaires.

Quant au représentant du Bureau de la coopération suisse, Salifou Saré, il a salué l’engagement et la résilience des acteurs qui ont permis des résultats très satisfaisants. Il a rassuré que des pourparlers avec le gouvernement peuvent aboutir à la reconduite du projet.

Agence d’information du Burkina
Pascal BAKO

 

Tapao/Est: Paix et stabilité, souhait des autorités pour 2025

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Tapao/Est: Paix et stabilité, souhait des autorités pour 2025
Diapaga, 31 déc. 2024 (AIB)-A l’orée de la nouvelle année 2025 les autorités administratives coutumières et religieuses de la province de la Tapoa ont souhaité le retour de la paix, de la stabilité, le vivre-ensemble et la cohésion sociale.
Le 31 décembre un journaliste de l’AIB a pris le pool de la citée pour voir l’ambiance des fêtes de fin d’année malgré la pénurie des denrées alimentaires.
Les fêtes de fin d’année battent leur plein à Diapaga. Alors que la Noël a déjà tiré sa révérence tout le monde a les yeux rivés sur la toute dernière célébration de l’année : le nouvel an.
Face à la crise sécuritaire que traverse le Burkina, les pensées sont pour la paix et la stabilité.

Les voeux et les prières du haut-commissaire René Karambiri, du président de la communauté musulmane, du pasteur Ouali d’un VDP d’un déplace interne d un menuisier d un coutumier et d’un catéchiste de l’église catholique, sont pour la paix et la stabilité du Burkina Faso.
Ils ont tous prié Dieu afin qu’Il remplisse cette année nouvelle d’amour, de miséricorde afin qu’on vive ensemble dans la paix la cohésion sociale, et que l’année 2025 consacre la victoire du bien sur le mal.
Le haut-commissaire a demandé de s’engager pour « réussir ensemble les voeux que nous adressons aux proches ». Plus que des mots il a souhaité que les voeux soient un comportement tout au long de cette année 2025. Il a souhaité que dieu nous permette de progresser sur le chemin de la réconciliation des coeurs et le pardon.
Les autorités coutumières comme religieuses ont prôné l’acceptation malgré la différence. Elles souhaitent la fin des conflits pour que l’amour et l’entraide reprennent leur droit dans la cité.
Ils ont souhaité bon vent aux autorités du pays et ont dit avoir une pensée aux FDS et VDP qui mènent un combat acharné sur le terrain pour la survie de la nation.
Agence d’information du Burkina
LKB/AS/ATA

Burkina/Éducation : Le capitaine Anderson Médah lance la construction d’une quarantaine d’amphithéâtres pour désengorger les universités

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Burkina/Éducation : Le capitaine Anderson Médah lance la construction d’une quarantaine d’amphithéâtres pour désengorger les universités

Ouagadougou, 2 janv. 2025 (AIB)-Le Directeur de cabinet du président du Faso, le capitaine Céleste Anderson Médah, a lancé jeudi les travaux de construction d’une quarantaine d’amphithéâtres, de salles de cours et de bureaux dans les universités et centres universitaires du Burkina Faso. Cette initiative vise à pallier l’insuffisance d’infrastructures éducatives dans le pays.

Le Directeur de cabinet du président du Faso, le capitaine Céleste Anderson Médah a posé la première pierre d’un amphithéâtre de 1 000 places à l’Université Thomas Sankara (UTS) le jeudi 2 janvier 2025.

Selon le Dircab, représentant le président du Faso, cet amphithéâtre, qui comprendra 15 salles de travaux dirigés, 2 salles modulables de 200 places, 20 bureaux pour enseignants et une salle de vidéosurveillance, s’inscrit dans le cadre de l’initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous.

Logée au Bureau national des Grands projets du Burkina, cette initiative ambitionne de moderniser le système éducatif et de l’adapter aux besoins croissants des étudiants, a expliqué le capitaine Médah.

D’après lui, sur une période de cinq ans, l’initiative permettra de construire une quarantaine d’amphithéâtres de 1 000 et 500 places, afin de désengorger les universités confrontées à une pénurie d’infrastructures.

Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Pr Adjim Thiombiano, a déclaré que ces infrastructures éducatives contribueront à résorber les retards académiques dans les universités.

Il a également souligné que le projet inclut la construction de laboratoires équipés de matériel de dernière génération, destinés aux doctorants, aux enseignants-chercheurs et aux chercheurs, afin de leur offrir un environnement propice à la recherche et à l’innovation.

« Le lancement de ces amphithéâtres s’inscrit dans la première composante de cette initiative, consacrée à la construction, à la modernisation et à la sécurisation des infrastructures éducatives », a précisé le ministre Thiombiano.

Selon lui, ces infrastructures témoignent de la volonté du gouvernement de doter les universités et centres de recherche du Burkina Faso des moyens nécessaires pour répondre aux défis d’un monde en constante évolution, où l’éducation et la recherche sont les piliers d’un développement durable et inclusif.
Zakaria Soré, coordonnateur national de l’initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous, a affirmé que les travaux de construction seront réalisés par des architectes burkinabè.
Ces derniers ont intégré des principes de durabilité environnementale dans leurs plans, a-t-il précisé.

Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Province des Banwa : Didier Macaire Coulibaly alias Mako produit 18 tonnes de coton et plus de 400 sacs de maïs

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Province des Banwa : Didier Macaire Coulibaly alias Mako produit 18 tonnes de coton et plus de 400 sacs de maïs

Solenzo, 29 déc. (AIB) – L’un des meilleurs producteurs de la province des Banwa Didier Macaire Coulibaly alias Mako, a récolté plus de 400 sacs de 100 kg de maïs à la campagne agricole 2024, a constaté l’AIB.

Décoré le 11 décembre dernier à Dédougou, Didier Macaire Coulibaly alias Mako, grand producteur agricole de la province des Banwa, a reçu ce samedi 28 décembre dans la soirée, la visite de l’AIB dans son champ d’un hectare d’oignons.
Le sourire aux lèvres, il a cité les différentes spéculations qu’il a produit cette année. Selon ses dires, il a emblavé sur une superficie de 30 hectares du maïs, du coton, du sorgho, du soja et bien d’autres cultures de rente. Il a ainsi récolté 18 tonnes de coton et 400 sacs de 100kg de maïs malgré les inondations.

Didier Macaire Coulibaly alias Mako comptait mieux faire si le bas-fonds était aménagé : « vraiment si le bas-fonds était aménagé et aussi on pouvait avoir beaucoup d’engrais au service de l’agriculture, j’allais dépasser cette production. Je dépense un million et demi dans l’achat de l’engrais chaque année chez les commerçants car au service de l’agriculture on ne gagne qu’une tonne ou une demie tonne, ce qui ne peut rien faire pour nous ».

Après la vente du coton, Didier Macaire Coulibaly alias Mako dit attendre un bénéfice de 2 millions de francs et la vente d’une partie du maïs pourrait lui rapporter 4 millions de francs mais selon ses explications, la location de la main d’œuvre, la réparation de son vieux tracteur et les besoins de la famille, l’empêchent de faire d’autres réalisations avec son argent.
« Si j’avais eu un tracteur neuf et de l’engrais au prix fixé par le gouvernement, chaque année je pourrais faire beaucoup de choses car les gens qui travaillent dans mon champ dépassent 40 personnes » : a-t-il ajouté.

C’est au vu de ses efforts que le service de l’agriculture lui a proposé pour la décoration qui s’est tenue le 11 décembre à Dédougou dans le rang des médailles spécifiques avec agrafe agriculture.
« Avec cette décoration, je pense que je vais redoubler d’efforts et aller à une production de 1000 sacs de maïs chaque année. Si mes 30 hectares étaient aménagés, je pouvais faire 5 à 10 hectares d’oignons et le reste dans le maïs ou le riz pendant la saison sèche en attendant la saison des pluies  » : a conclu Didier Macaire Coulibaly alias Mako.

Agence d’information du Burkina

 

Kossi : Le haut-commissaire Noufo Dembelé exprime sa solidarité à la population résiliente

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Kossi : Le haut-commissaire Noufo Dembelé exprime sa solidarité à la population résiliente

Nouna, (AIB)-A l’orée de la nouvelle année, le haut-commissaire de la province de la Kossi, Noufo Dembelé, a formulé ses vœux ce mardi 31 décembre 2024, à toute la population résiliente de la Kossi.

« Braves et population résiliente de la Kossi, recevez mes salutations fraternelles. Nous sommes à l’orée d’une nouvelle année, je voudrais adresser mes félicitations à toutes et tous pour les multiples acquis engrangés au cours de l’année 2024, qui a été immense en termes de défis », a déclaré le haut-commissaire de la province de la Kossi, Noufo Dembelé.

Selon lui, la situation sécuritaire et humanitaire a été marquée par certaines difficultés qui ont nécessité à plusieurs reprises un sursaut patriotique pour les affronter.

« A tous les niveaux de l’administration publique, privée et du secteur informel, d’énormes sacrifices ont été consentis pour maintenir la dynamique de sécurisation et de développement dans la  province », a-t-il indiqué.

Il a salué les efforts de tous les acteurs qui n’ont ménagé aucun effort pour jouer leur partition.

« Hommage également à toutes les victimes de la crise. Nous laissons derrière nous une année où nos autorités nationales, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré à leur tête, nos FDS et VDP ont fait preuve de combativité pour nous garantir la quiétude. Je fais donc une mention spéciale à nos forces combattantes pour les différentes victoires engrangées », a précisé Noufo Dembelé.

La fin de cette année 2024, a-t-il dit, a été particulièrement marquée par un prestigieux cadeau offert par l’ensemble de nos populations à nos soldats.

Le haut-commissaire a remercié la population de la province pour l’acquisition du drone qui est d’une importance capitale dans la lutte contre l’insécurité.

« L’année 2025 que nous abordons est une année de défis, mais surtout d’espoir. Je voudrais renouveler l’engagement de l’administration à œuvrer pour le bien-être de la population. Je voudrais aussi inviter tous les Kossilais à se donner davantage la main afin qu’ensemble nous travaillons à la reconquête du territoire et à favoriser la solidarité et le vivre ensemble », a soutenu M. Dembélé.

Il a souhaité ses vœux les meilleurs à toutes et à tous et a invité de fêter avec dans la sobriété.

« Bonne et heureuse nouvelle année 2025. Que la paix revienne au Faso », a-t-il conclu.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Kourittenga/Message de nouvel an : Le haut-commissaire appelle les populations à soutenir les initiatives du gouvernement

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Kourittenga/Message de nouvel an : Le haut-commissaire appelle les populations à soutenir les initiatives du gouvernement

Koupéla, (AIB)-Le mardi 31 décembre 2024 0 Koupéla, le haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a salué l’effort des corps constitués et l’ensemble des acteurs de développement et à présenter ses vœux les meilleurs pour l’an 2025. Il a également invité la population à soutenir les initiatives du gouvernement. 

« J’invite la population du Kourittenga à adhérer aux actions et à soutenir les initiatives du gouvernement afin que nous puissions réaffirmer véritablement notre souveraineté et reconstruire les bases de notre Nation pour stabiliser notre pays et promouvoir un développement économique et social durable pour tous », a indiqué le haut-commissaire du Kourittenga, Mocatr Ilboudo.

Il s’est exprimé le mardi 31 décembre 2024 à Koupéla, lors de son message de nouvel an.

« Je voudrais à ces dernières heures de l’année 2024, reconnaitre et saluer l’image et la belle contribution des corps constitués de notre province qui ont permis la circonscription administrative du Kourittenga de se tenir débout et de rayonner tout au long de l’année 2024 », a indiqué le haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo.

Pour lui, les actions diverses et conjuguées des corps constitués, ont permis à la province du Kourittenga de consolider la paix, d’être stable sur le plan sécuritaire et d’initier des actions à fort impact de développement économique et sociale.

« Je voudrais donc les remercier et leur traduire toute la reconnaissance de la vaillante population de notre province », a-t-il ajouté.

Pour l’année 2025, il a formulé ses vœux de bonne et heureuse année 2025 à tous les Burkinabè et particulièrement aux populations de la province du Kourittenga.

M. Ilboudo a souhaité que l’année 2025 soit une année de stabilisation, de sécurité et du développement économique et sociale dans la province, la région et dans l’ensemble du pays.

« Puisse 2025 connaitre la fin du terrorisme dans notre pays et cela est bien possible et est voulu par le Président du Faso, son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré qui a initié beaucoup de reformes dans ce sens », a-t-il précisé.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

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