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5 directeurs engagés à faire de l’AIB une référence

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5 directeurs engagés à faire de l’AIB une référence

Ouagadougou, 23 juil. 2025 (AIB). Cinq nouveaux directeurs, récemment nommés à des postes stratégiques au sein de l’AIB, ont affirmé ce mercredi lors de leur installation, leur détermination à positionner l’agence parmi les meilleures au niveau régional et à en faire une référence en Afrique de l’Ouest.

L’AIB compte désormais cinq nouveaux responsables à des postes stratégiques. Il s’agit du Directeur de l’Information (DI), Tilado Apollinaire Abga, du Directeur des Ressources Humaines, Imeta Constant Kissou, (DRH), du Directeur du Développement Stratégique, de l’Innovation et de la Coopération (DSIC), Brahima Zongo, du Directeur des Systèmes d’Information (DSI), Lamoussa Frédéric Arsène Bancé et de la Personne Responsable de la Commande Publique (PRCP), Gountanini Boudidano.

La cérémonie d’installation, présidée par le Secrétaire général de l’AIB, Alban Kini, s’est déroulée en présence de collègues, de parents et d’amis des promus.

Ceux-ci se sont dits conscients de l’ampleur des responsabilités qui leur incombent et chacun a exprimé sa détermination à œuvrer dans une dynamique collective pour relever les défis et hisser l’AIB au rang de meilleure agence en Afrique de l’Ouest.

Le Directeur de l’Information, Tilado Apollinaire Abga, a souligné la nécessité de rehausser le niveau des productions en termes de qualité et de quantité, espérant pour cela bénéficier de l’accompagnement et de l’implication de l’ensemble de ses collaborateurs.

« Nous devons nous engager à travailler sans relâche, dans la solidarité, le dialogue permanent, la compréhension, l’ordre et la discipline, afin que, d’ici à cinq ans, l’AIB devienne la meilleure agence de la sous-région ouest-africaine », a-t-il affirmé.
Dans la même veine, le DSI, Lamoussa Frédéric Arsène Bancé, a mesuré l’ampleur de la tâche qui l’attend, tout en appelant à la collaboration de tous, sous le leadership des premiers responsables de l’AIB.

« Je compte sur chacun de vous, pour que l’AIB soit un établissement modèle dans le service public de l’information », a déclaré le nouveau DRH, Imeta Constant Kissou.
Et au nouveau DSIC, Brahima Zongo de renchérir: « nous sommes invités à plus de sacrifices et d’ardeur au travail pour pouvoir relever les défis qui attendent l’AIB. Comme le disait quelqu’un, ensemble nous sommes forts ».

Quant au nouveau PRCP, Gountanini Boudidano a remercié le ministre de la Communication et la Directrice générale de l’AIB pour la confiance placée en sa modeste personne. « C’est ensemble que nous allons réussir les missions et les objectifs qui lui sont assignés », a-t-il assuré.
Le Secrétaire général de l’AIB, Alban Kini a clairement décliné les missions assignées à chaque directeur.

Le DI est chargé, entre autres, d’insuffler une dynamique d’innovation, de rigueur et de crédibilité à la production éditoriale, de renforcer les capacités des équipes rédactionnelles à travers le pays et de promouvoir l’image de l’AIB.
Le DRH aura pour mission d’instaurer une gestion moderne et transparente du personnel, dans un climat de travail motivant et respectueux des droits.

Le DDSIC doit travailler à structurer la vision stratégique de l’AIB, à mobiliser des ressources techniques et partenariales, à favoriser la créativité dans les contenus et à accompagner l’Agence dans sa transition numérique et organisationnelle.

La PRCP veillera à la transparence et à la régularité des procédures de passation de marchés, dans le respect des textes en vigueur.
Le DSI devra garantir un environnement numérique sécurisé et performant, essentiel à la modernisation des outils de production journalistique.

Monsieur Kini a également exhorté les nouveaux directeurs à faire preuve de leadership, d’humilité et d’ouverture tout en misant sur l’intelligence collective pour porter haut les ambitions de l’AIB.

En rappel, l’AIB été érigée en établissement public de l’Etat à caractère administratif (EPA) le 21 août 2024 par le gouvernement burkinabè, afin de lui permettre de mieux remplir ses missions de collecte d’informations pour tous et défendre la souveraineté nationale.

Agence d’Information du Burkina
BAK/no/ata

Mouhoun/Brevet de qualification professionnelle : Le ministre Boubacar Savadogo lance les épreuves à Dédougou

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Mouhoun/Brevet de qualification professionnelle : Le ministre Boubacar Savadogo lance les épreuves à Dédougou

Dédougou, 22 juil. 2025 (AIB) Le ministre en charge de L’enseignement secondaire, Dr Boubacar Savadogo, accompagné de son collègue de L’urbanisme, Mikaïlou Sidibé, a lancé, ce mardi 22 juillet 2025, les épreuves du Brevet de qualification professionnelle (BQP) à Dédougou. Ce geste symbolique met un terme à sa mission de 48 heures dans la région de la Boucle du Mouhoun.

Dans la région de la Boucle du Mouhoun, c’est une première que 133 candidats soient en lice dans plusieurs filières techniques.

Au centre régional de formation professionnelle de Burkina Suudu Bawdè, 84 d’entre eux composent dans trois spécialités : la construction métallique avec 25 candidats, la mécanique automobile avec 20 candidats et le style modéliste avec 39 candidats.

D’autres métiers, comme la plomberie, l’électricité automobile, ou encore l’installation et la maintenance des systèmes informatiques, sont également concernés par le BQP dans d’autres centres du pays.

Au niveau national, environ 3000 jeunes prennent part à cette session.

Le ministre Savadogo les a exhortés à la rigueur, à la confiance et à l’intégrité.

«Cet examen est une étape importante vers votre avenir professionnel. Vous avez été formés pour cela. Soyez fiers de vos acquis et mettez-les en valeur. Vous êtes ici pour montrer vos compétences, pas pour chercher à tricher », a-t-il insisté.

 

Dr Boubacar Savadogo, les a rappelé que « la tricherie est indigne de ceux qui aspirent à servir leur pays avec honnêteté ».

Il a salué la participation de son homologue de L’urbanisme, dont la présence témoigne de la transversalité des enjeux liés aux qualifications professionnelles.

« Nos chantiers manquent souvent de main-d’œuvre qualifiée. Il est temps que nos jeunes soient formés pour répondre aux besoins de nos propres secteurs », a-t-il souligné, en référence à la demande croissante en techniciens et agents qualifiés dans les domaines de la construction, de l’industrie et des services.

Le chef du département de l’enseignement secondaire, a également remercié les autorités régionales pour leur appui constant, malgré les défis sécuritaires et logistiques.

Il a salué le professionnalisme des encadreurs qui, selon lui, jouent un rôle crucial dans la résilience du système éducatif local.

Dr Savadogo a par ailleurs rappelé les directives du Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré : « Il ne faut pas que l’université soit une fatalité. La formation professionnelle doit devenir une voie d’excellence, permettant à notre jeunesse de contribuer activement au développement du pays ».

Revenant sur les précédentes évaluations, il sest dit satisfait des taux de réussite enregistrés au BEPC, CAP, BEP et BAC 2025.

« Nous avons atteint 48 % pour les examens de base et 56,45 % au baccalauréat. C’est encourageant, mais notre ambition est daller encore plus loin », a-t-il déclaré, avant de souhaiter bonne chance à tous les candidats du BQP.

En effet, dans un environnement socio-économique marqué par le chômage des jeunes, le Brevet de Qualification Professionnelle (BQP) s’inscrit comme une réponse stratégique à la demande de main-d’œuvre qualifiée.

Il vise à certifier les compétences techniques et professionnelles des jeunes issus de la formation professionnelle formelle ou de l’apprentissage. Le lancement du BQP symbolise la volonté de l’État burkinabè de renforcer la formation qualifiante, de promouvoir l’excellence professionnelle et de stimuler l’insertion économique des jeunes.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

Mouhoun/Situation humanitaire : Le groupe EBOMAF remet un don de plus d’un milliard aux populations déplacées et vulnérables

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Mouhoun/Situation humanitaire : Le groupe EBOMAF remet un don de plus d’un milliard aux populations déplacées et vulnérables

Dédougou, 21 juil. 2025 (AIB) Le groupe EBOMAF, a remis ce lundi 21 juillet 2025 à Dédougou, un don dune valeur de plus d’un milliard de F CFA, en faveur des personnes déplacées internes (PDI) et des populations hôtes vulnérables de la commune. La cérémonie sest tenue sur la Place des Martyrs, en présence des autorités administratives, coutumières et religieuses, ainsi que dune foule nombreuse.

Les personnes déplacées internes (PDI) et les populations hôtes vulnérables de la commune de Dédougou, ont reçu de la part du groupe EBOMAF, un don d’une valeur de plus d’un milliard de F CFA.

Ce don est composé de 120 tonnes de riz, dont 70% destinées aux PDI et 30% aux populations vulnérables hôtes, 500 toilettes mobiles équipées de panneaux solaires, de douches, de lavabos et de WC, 400 tentes de 20 places chacune, 100 forages pour l’accès à leau potable des PDI et le fonctionnement des installations sanitaires et 20 forages supplémentaires à l’intention des communautés hôtes.

Le Haut-commissaire de la province du Mouhoun, Souleymane Nakanabo, représentant le gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, a salué ce geste de portée humanitaire.

« La chèvre dit qu’il faut toujours remercier le vent, car sans lui le karité ne serait pas tombé », a-t-il cité en guise de reconnaissance au donateur.

L’ancien ministre de l’ Education nationale, Pr Stanislas Ouaro, représentant du Président directeur général (PDG) du Groupe EBOMAF, Mahamadou Bonkoungou, a rappelé que le geste s’inscrit dans un élan de solidarité patriotique en réponse à l’appel du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré.

« C’est avec le cur que le PDG agit. Pour lui, tendre la main à ceux qui souffrent est un devoir, non une faveur », a-t-il souligné.

Pr Ouaro, a réaffirmé l’engagement du donateur, natif de Dédougou, à oeuvrer pour le bien-être des populations, en particulier celles de sa région d’origine.

« Ce don est l’expression dun attachement profond à la terre natale et dun engagement constant à accompagner les efforts de L’état et des collectivités dans l’amélioration des conditions de vie des citoyens », a-t-il déclaré.

Le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Dédougou, Dieudonné Tougfo, a exprimé sa profonde gratitude à l’endroit du donateur et a invité d’autres acteurs économiques à suivre cet exemple, car a-t-il dit, « Il ne suffit pas de compatir, il faut agir ».

Le représentant du chef de canton de Dédougou a déclaré que le mot ‘’merci’’ semble petit, mais c’est celui qui convient, car “même les intestins ne finiront pas de dire merci quand ils seront pleins”.

Ce don vient répondre à une situation humanitaire préoccupante dans la région de la Boucle du Mouhoun, confrontée depuis plusieurs années à la crise sécuritaire et à ses conséquences sociales.

La commune de Dédougou accueille aujourdhui un nombre croissant de déplacés internes, vivant dans des conditions précaires, souvent sans abris décents ni accès régulier à la nourriture et à l’hygiène de base.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

Mouhoun : Le ministre en charge de l’Enseignement secondaire échange avec les acteurs autour des réformes éducatives

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Mouhoun : Le ministre en charge de l’Enseignement secondaire échange avec les acteurs autour des réformes éducatives

Dédougou, 21 juil. 2025 (AIB) En marge de sa tournée de terrain dans la Boucle du Mouhoun, le ministre en charge de L’enseignement secondaire, Dr Boubacar Savadogo, a rencontré ce lundi 21 juillet 2025 à Dédougou, les responsables et agents du ministère dans la région. Une rencontre d’échanges, d’écoute et de remobilisation autour des défis et réformes en cours dans le secteur éducatif.

Avant la réunion ce lundi 21 juillet 2025 à Dédougou, les responsables et agents du ministère dans la région, le ministre en charge de l’Enseignement secondaire, Dr Boubacar Savadogo, sest rendu dans les locaux de la direction régionale à Dédougou, où il a pu constater le dynamisme du personnel malgré les conditions souvent difficiles, notamment liées à l’insécurité.

Il a salué la résilience des équipes et a réaffirmé la volonté du gouvernement de soutenir les acteurs de terrain.

Au cur de la rencontre, une communication de fond a été présentée par le secrétaire général du ministère en charge de l’Enseignement secondaire, Henri Prosper Paré.

Il a retracé la genèse du ministère, né de la volonté des plus hautes autorités de donner une impulsion forte à la formation professionnelle et technique.

M. Paré, a mis en lumière les principales réformes engagées depuis sa création, notamment l’élargissement de loffre de formation, l’adéquation des curricula aux besoins du marché du travail, et la promotion de l’alternance école-entreprise.

Henri Prosper Paré, a également insisté sur l’importance de la gouvernance locale des établissements et du partenariat avec les collectivités et les secteurs productifs.

Les participants, issus des inspections de l’enseignement secondaire, établissements secondaires et centres de formation, ont saisi l’occasion pour partager leurs préoccupations.

Par la voix du directeur régional en charge de L’enseignement secondaire, Raoul Sanon, les défis se résument au déficit d’infrastructures, manque de ressources humaines qualifiées, difficultés liées à l’encadrement des apprenants et aux dispositifs d’insertion professionnelle.

Des initiatives locales porteuses, telles que louverture de nouvelles filières techniques ou des programmes d’entrepreneuriat jeunes, ont aussi été présentées comme des motifs d’espoir.

Dans son intervention, le ministre Savadogo a réaffirmé sa conviction que l’enseignement technique et la formation professionnelle constituent des leviers stratégiques pour le développement économique du Burkina Faso.

Il a encouragé les acteurs à plus de créativité et d’engagement, malgré les contraintes sécuritaires et logistiques.

Dr Boubacar Savadogo, sest engagé à porter les doléances aux niveaux de décision concernés, tout en appelant à une mobilisation collective pour renforcer la résilience du système éducatif.

Il a lancé un appel à l’unité d:action et à l’innovation pédagogique et sest dit convaincu que, malgré les défis, les fondations dune éducation de qualité, inclusive et adaptée aux réalités du pays peuvent être posées grâce à la détermination des acteurs de terrain.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

Ganzourgou : La société Orezone Bomboré tient une session du COCODIAS sur la gestion des titres miniers

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Ganzourgou : La société Orezone Bomboré tient une session du COCODIAS sur la gestion des titres miniers

Zorgho, 22 juillet 2025 (AIB) – La salle de réunions de la mairie de Mogtédo a abrité, le mardi 22 juillet 2025, la deuxième session de l’année du Comité de communication et de dialogue social (COCODIAS) de la société minière Orezone Bomboré SA. Présidée par le haut-commissaire de la province du Ganzourgou, Aminata Sorgho/Gouba, la rencontre a porté sur la gestion des titres miniers.

À l’ouverture des travaux, le directeur général de la société Orezone Bomboré SA, Ousseni Derra a salué la mobilisation des participants et souhaité que les échanges contribuent à une meilleure compréhension de la réglementation minière. Il a également remercié les autorités pour leur accompagnement dans la mise en œuvre du projet.

Prenant la parole, la présidente du COCODIAS, Aminata Sorgho/Gouba, a rappelé l’importance de ce cadre de concertation instauré pour faciliter le dialogue entre la société minière, l’État, les collectivités territoriales, les communautés locales et les organisations de la société civile. « Le COCODIAS constitue un levier de collaboration locale, de transparence et de construction d’une relation harmonieuse entre les acteurs », a-t-elle souligné, invitant les participants à faire preuve d’ouverture, d’objectivité et de responsabilité.

Le thème retenu pour cette session portait sur « La gestion des titres miniers ». Selon le directeur de l’environnement et des relations communautaires de la mine, Alira Analira, ce choix s’explique par les difficultés rencontrées par la société dans la conduite de ses activités d’exploration. « Nous avons voulu partager des informations fiables, justes et transparentes venant du ministère de tutelle, sur les droits et devoirs liés aux permis de recherche, afin que les communautés soient convaincues de la légalité des travaux d’exploration sur leur terre », a-t-il déclaré.

Un exposé technique a été présenté par le chef de service technique et financier du Secrétariat permanent de la commission technique nationale des mines et du fonds minier de développement (SP/CTNM-FMD), Boukary Wobgo. Il a expliqué que les permis de recherche et d’exploitation sont encadrés par la loi n°016-2024/ALT du 18 juillet 2024, et a détaillé les procédures d’attribution, les droits et les obligations des titulaires. Il a insisté sur le respect des communautés, la transparence dans les opérations et la nécessité pour l’administration de faciliter le dialogue.

Un représentant de Mogtédo V4, Seydou Passeré, s’est réjoui de la tenue de cette session. Il a appelé les populations à faire confiance aux autorités, car, pour lui, « leurs décisions vont toujours dans l’intérêt général ».

Cette session du COCODIAS a ainsi permis de renforcer la compréhension mutuelle et de consolider le dialogue entre la mine et ses parties prenantes.

Agence d’information du Burkina

MS/dnk/ata

Zondoma/Direction provinciale de la jeunesse : Le nouveau directeur Augustin Ouédraogo invite les jeunes de ne pas marchander leur engagement pour la patrie

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Zondoma/Direction provinciale de la jeunesse : Le nouveau directeur Augustin Ouédraogo invite les jeunes de ne pas marchander leur engagement pour la patrie

Gourcy, 22 juillet 2025 (AIB)-Le nouveau directeur provincial (DP) de la jeunesse et de l’emploi du Zondoma, Augustin Ouédraogo a officiellement pris service, le mardi 22 juillet 2025. A cette occasion, il a invité les jeunes à ne pas marchander leur engagement pour la patrie.

Porté à la tête de la direction provinciale de la jeunesse et de l’emploi du Zondoma, Augustin Ouédraogo, a été officiellement installé dans ses fonctions, le mardi 22 juillet 2025.

Il a reçu dans la salle de réunion du haut-commissariat de Gourcy, les félicitations et les encouragements des corps constitués et des forces vives de la province qui ont pris l’engagement de l’accompagner pour le succès de sa mission.

À son tour, le Directeur entrant Augustin Ouédraogo s’est engagé à être un serviteur de l’intérêt général et de travailler avec l’implication de tous. « Nous sommes à un moment critique de notre histoire où l’engagement de tout un chacun est demandé. Je demanderai à la jeunesse de ne pas marchander son engagement et de se donner à fond car notre patrie ne sera bâtie que par vous », a déclaré M. Ouédraogo à l’adresse des jeunes.

Pour la hiérarchie, représentée par le Secrétaire général de la province Anatole Pengdwendé Kaboré, président de la cérémonie, le nouveau DP peut se considérer comme dans une famille qui l’a adopté et disponible à l’accompagner pour la réussite de sa mission.

Le directeur entrant, précédemment en poste au Passoré voisin succède à Abdoul Karim Sawadogo qui a passé 10 ans, 5 mois et 6 jours à ce poste. Avant de prendre la direction du Loroum pour occuper les mêmes fonctions, M. Sawadogo a traduit sa reconnaissance à tous ses collaborateurs qui ont facilité sa mission durant son passage dans le Zondoma.

Agence d’Information du Burkina

AK/dnk/ata

Zondoma : Plus de 1 000 plantes médicinales mobilisées pour le reboisement à Gourcy à l’occasion de la 7ème édition de la Journée nationale de l’arbre

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Zondoma : Plus de 1 000 plantes médicinales mobilisées pour le reboisement à Gourcy à l’occasion de la 7ème édition de la Journée nationale de l’arbre

Gourcy, 22 juillet 2025 (AIB) – Le comité provincial d’organisation de la 7ème édition de la Journée nationale de l’arbre (JNA) pour la Région du Nord s’est réuni, le mardi 22 juillet 2025 au haut-commissariat de Gourcy pour les préparatifs de l’événement.

La province du Zondoma accueillera le 26 juillet prochain le lancement régional de la 7e édition de la journée nationale de l’arbre placée sous la présidence du Gouverneur de la Région du Nord Thomas Yampa. En prélude à cette activité, le comité d’organisation s’est réuni, le mardi 22 juillet 2025 au haut-commissariat de Gourcy.

Sous la direction du secrétaire général de la province, Anatole Pengdwendé Kaboré, Il s’est agi pour le comité de faire l’état des lieux des préparatifs et d’envisager des perspectives pour la réussite de l’activité d’envergure régionale.

Selon le Directeur provincial de l’environnement du Zondoma, Abdoul Kader Zongo, beaucoup d’activités ont déjà été réalisées à savoir, l’identification et l’aménagement du site, la mobilisation des plants et la prise de contact de certains partenaires pour accompagner l’activité.

Toutefois, les différentes commissions ont été invitées à s’activer afin de relever le défi de l’organisation avec l’implication de l’ensemble des forces vives du Zondoma. Au total, 1 000 plants d’au moins 15 espèces seront mis en terre, sur un site de 2 hectares situé à Bouli à quelques kilomètres de Gourcy.

En rappel, cette édition a pour thème : « Plantes médicinales, source de résilience sanitaire et climatique des communautés ». Elle se tiendra sous le parrainage de sa Majesté Naaba Baongo, chef de Gourcy. Le taux de survie des plantes de la précédente édition a été évalué à plus de 90%.

Agence d’Information du Burkina

AK/dnk/ata

Ouagadougou : Un étudiant conçoit un logiciel de dimensionnement des installations de climatisation pour améliorer l’efficacité énergétique

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Ouagadougou : Un étudiant conçoit un logiciel de dimensionnement des installations de climatisation pour améliorer l’efficacité énergétique

Ouagadougou, 22 juil. 2025 (AIB) – L’étudiant Wendwaogo Armel Régis SAWADOGO, de l’École doctorale en informatique appliquée au changement climatique de l’Université Joseph KI-ZERBO, programme de recherche soutenu par WASCAL, a soutenu lundi son mémoire de master portant sur la conception d’un logiciel de dimensionnement des installations de climatisation.

Face à la montée des températures causée par le changement climatique, conjuguée à l’urbanisation galopante et à l’amélioration des conditions de vie, la demande en climatisation connaît une forte hausse au Burkina Faso. Pour répondre à cette problématique, Wendwaogo Armel Régis Sawadogo, a développé un logiciel baptisé « Heat Calculation », permettant de calculer le bilan thermique des bâtiments résidentiels de façon scientifique et adaptée au contexte climatique national.

Selon l’impétrant, le secteur du bâtiment s’appuie encore sur des méthodes souvent inadaptées au contexte local pour le dimensionnement des installations de climatisation. Son outil, basé sur la méthode « IEPF », se veut accessible, simple et adapté aux réalités climatiques du pays.

« Cette innovation va être utile aux professionnels du bâtiment, notamment les architectes et les ingénieurs, pour effectuer des dimensionnements plus précis », a indiqué le directeur de mémoire, Pr Ousmane COULIBALY.

Le logiciel a été testé dans trois villes représentatives des différentes zones climatiques du Burkina Faso : Dori (zone sahélienne), Ouagadougou (zone soudano-sahélienne) et Bobo-Dioulasso (zone soudanienne), avec des résultats jugés concluants.

Pour Pr COULIBALY, les décideurs gagneraient à s’approprier ce logiciel pour une diffusion plus large, en vue de contribuer significativement à la réduction de la facture énergétique nationale.

Le jury, composé de Dr Didier BASSOLE (président), Pr Ousmane COULIBALY (directeur de mémoire), Dr Kisito KABORE (Co-directeur de mémoire) et Dr Tubreoumya Guy (Examinateur), a salué l’innovation pour son potentiel à renforcer l’efficacité énergétique au Burkina Faso, en pleine mutation urbaine et climatique et lui a attribué la note de 18/20.

Agence d’information du Burkina

Dnk-ata

Coaching: Kamou Malo pose ses valises au Kamsar de Guinée (club)

Coaching: Kamou Malo pose ses valises au Kamsar de Guinée (club)

Ouagadougou, 23 Juil. 2025 (AIB)-L’entraineur Burkinabè Kamou Malo a signé avec le club industriel du Kamsar de Guinée (D1), a-t-on appris mercredi de sources proches du club.

Le dossier de Kamou Malo, ancien entraîneur des Etalons du Burkina Faso et de l’AS Douanes du Burkina Faso a été retenus parmis 32 autres dossiers sur la table des dirigeants du club guinéen, a précisé la sources.
Agence d’information du Burkina
As/ata

Burkina/Soutenance de thèse : Sibiri Omar Compaoré explore les motivations des entreprises à adopter la certification ISO 9001

Burkina/Soutenance de thèse : Sibiri Omar Compaoré explore les motivations des entreprises à adopter la certification ISO 9001

Ouagadougou 23 juillet 2025 (AIB) – Le directeur général du Fonds national d’Appui aux Travailleurs déflatés et Retraités (FONA-DR), Sibiri Omar Compaoré, a soutenu, mercredi, à l’Université Thomas Sankara (UTS), une thèse de doctorat unique en Sciences de Gestion consacrée aux motivations des entreprises burkinabè à adopter la certification ISO 9001.

A l’issue de la présentation et de la défense de ses résultats de recherche devant le jury présidé par le Pr Seydou Sané de l’Université Gaston Berger de Saint Louis au Sénégal, Sibiri Omar Compaoré a été déclaré digne du grade de docteur en Sciences de Gestion, avec la mention « très honorable ».
Intitulé « Certificat ISO 9001 au Burkina Faso : entre contraintes, mimétismes et opportunités », le travail de recherche de M. Compaoré a porté sur l’attrait des entreprises burkinabè pour la certification ISO 9001.
Cette certification constitue une norme internationale qui définit les exigences nécessaires à la mise en place d’un Système de management de la qualité (SMQ) au sein d’une organisation. Celle-ci vise à aider les entreprises à mieux organiser leur fonctionnement, à satisfaire leurs clients et à améliorer continuellement leurs produits ou services.
Sous la direction du Pr Florent Song-Naba et la codirection du Pr Serge Bayala, tous deux professeurs titulaires à l’UTS, le nouveau docteur est parti du constat que contrairement aux entreprises internationales qui tendent à se décertifier, celles du Burkina Faso manifestent un engouement croissant pour la certification, avec même une augmentation de l’ordre de 29% entre 2022 et 2023.
« J’ai voulu comprendre ce paradoxe à travers cette recherche doctorale », a indiqué Sibiri Omar Compaoré.
Dans les résultats présentés au jury, il ressort que les motivations des entreprises nationales s’expliquent à la fois par des contraintes, des phénomènes de mimétisme et des opportunités, chaque entreprise poursuivant ses propres objectifs et stratégies.
Toutefois, le processus de la certification nécessitant une forte mobilisation notamment en ressources financières et humaines, M. Compaoré a recommandé aux dirigeants d’entreprises de bien se préparer avant de s’y engager. « Quand on décide d’aller à la certification, il faut au préalable clarifier tout ce qui relève de la stratégie, des objectifs recherchés et poser clairement les bases. Faute de quoi, ce sera difficile ou alors on aura la certification sans contenu réel ni changement fondamental pour l’entreprise », a souligné le nouveau docteur en Sciences de Gestion.
Le Pr Florent Song-naba a félicité Sibiri Omar Compaoré pour la qualité de son travail mais aussi pour avoir fait preuve de ténacité et d’abnégation tout au long de ce processus entamé depuis 2017-2018. « Sur le plan théorique, managérial comme méthodologique, c’est un travail de qualité », a-t-il déclaré, à propos des résultats présentés et défendus par l’impétrant.
Le jury a également salué la richesse documentaire et l’intérêt du travail de M. Compaoré. Même s’il reste perfectible, a souligné le président, Pr Seydou Sané, il constitue « un apport utile et un travail intéressant qui permet de porter un regard particulier sur la certification en Afrique », a-t-il affirmé.
Pour le rapporteur Pr Mamadou Toé, professeur titulaire à l’UTS, l’intérêt de la thèse réside aussi dans le fait qu’elle traite d’un sujet d’actualité pour les entreprises burkinabè. « C’est un travail fort utile pour les entreprises mais il l’est aussi pour les chercheurs et pour les décideurs politiques », a estimé le Pr Toé.
Ce dernier a par ailleurs encouragé Sibiri Omar Compaoré à valoriser davantage son travail afin de faire découvrir les résultats de ses recherches et favoriser leur mise en œuvre.
Son directeur de thèse, le Pr Florent Song-Naba, l’a également exhorté dans ce sens et l’a appelé à « poursuivre les recherches dans le domaine de la certification des entreprises, publier régulièrement des articles et diffuser les résultats en vue de progresser dans la carrière d’enseignant-chercheur et accéder rapidement aux grades de maitre-assistant, maitre de conférences puis professeur titulaire ».
Des recommandations que le nouveau docteur a dit bien notées, tout en exprimant son souhait d’approfondir son travail en explorant d’autres aspects liés à la certification ISO 9001 des entreprises, comme suggéré par le jury.
MZ/

Insertion professionnelle : Les étudiants miniers misent sur la technologie

Insertion professionnelle : Les étudiants miniers misent sur la technologie

Ouagadougou, 23 juillet 2025(AIB)- À l’occasion de la 4e édition du Forum national des étudiants miniers (FONEM-BF), ouverte ce mercredi à Ouagadougou, les jeunes diplômés du secteur minier explorent les opportunités offertes par l’intelligence artificielle et le développement durable pour faciliter leur insertion professionnelle dans un secteur en mutation.

Organisée autour du thème « Intelligence artificielle et durabilité : catalyseurs de l’employabilité des jeunes diplômés dans le secteur minier », cette édition vise à offrir une plateforme d’échanges entre étudiants, professionnels et décideurs politiques sur les enjeux de l’innovation et de l’insertion professionnelle dans le domaine minier, selon les organisateurs.

Représentant le ministre Yacouba Zabré Gouba, patron de la cérémonie, M. Boussim a exhorté les étudiants à tirer pleinement profit de ce cadre de réflexion. « Ce forum est le vôtre, mais il engage notre avenir commun », a-t-il déclaré.

Quant à la représentante du président de la Chambre des mines, Priscille Payidwendé Zongo, elle a encouragé les jeunes à s’approprier les outils numériques, estimant que « nous comptons sur une jeunesse qui sort du carcan, une jeunesse qui innove ».

Le co-parrain du forum, Moïse Ouédraogo, président-directeur général de LOUDA GROUP, a salué l’initiative, soulignant l’importance du facteur humain dans l’exploitation des technologies avancées. « Ce ne sont pas les machines qui vont faire vivre une entreprise, mais plutôt le capital humain », a-t-il affirmé.

Pendant deux jours, les participants prendront part à des conférences, panels thématiques, formations et partages d’expériences portant sur l’usage de l’intelligence artificielle dans les métiers du secteur minier.

Le forum se tient du 23 au 24 juillet 2025 à Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina (AIB)
MZ/LN/ATA

Bobo-Dioulasso : Le maxi single « Mon talent pour Christ 2024 » lancé à Sarfalao

Bobo-Dioulasso : Le maxi single « Mon talent pour Christ 2024 » lancé à Sarfalao

Bobo-Dioulasso, 20 juillet 2025 (AIB) – Le maxi single intitulé « Mon talent pour Christ 2024 » a été officiellement présenté au cours d’une conférence de presse tenue ce dimanche 20 juillet à l’église Temple Eben-ezer de Sarfalao, à Bobo-Dioulasso.

Le présidium de la conférence était composé de Mme Zoungrana Pauline, promotrice et productrice du projet, ainsi que des quatre artistes ayant contribué au maxi : Evan (Yesu ne bi ifo), Ophélie Nébié (Ma reconnaissance), Melithia (Mon allié dans le combat) et Evodie Kambou (L’ami fidèle).

Les différents intervenants ont partagé avec les journalistes leur processus créatif, leur parcours spirituel et les conditions de production du projet. Ils ont unanimement salué l’accompagnement du studio, grâce auquel ce projet a pu voir le jour.

À l’issue des échanges, les fidèles et invités ont assisté à des prestations live des quatre chantres, qui ont fait vibrer le Temple Eben-ezer dans une atmosphère de louange et de reconnaissance.

L’événement a rassemblé de nombreux acteurs du gospel local venus soutenir les artistes, considérés comme des talents prometteurs de la musique chrétienne.

D’après la représentante des chantres, la musique est un vecteur d’encouragement, de motivation et de cohésion sociale, contribuant ainsi au vivre-ensemble tant souhaité par le peuple burkinabè.

Agence d’information du Burkina

AB/ata

Faso Mêbo : Les femmes du Centre offrent 30 sacs de ciment

Faso Mêbo : Les femmes du Centre offrent 30 sacs de ciment

Ouagadougou le 23 juillet 2025 (AIB)- La coordination régionale des organisations féminines de la région du centre a apporté mercredi sa contribution à l’initiative présidentielle Faso Mêbo avec 30 sacs de ciments.

« Nous sommes très heureuses d’être présente sur le site de Faso Mêbo et de voir nos vaillants fils sur le terrain » a lancé la coordonnatrice régionale des organisations féminines de la région du centre Marceline Soalla.
Elle a indiqué que la coordination a jugé bon d’apporter sa contribution à l’initiative présidentielle pour contribuer au développement du Burkina.
Madame Soalla a invité toutes les organisations de la société civile du Burkina à faire comme elles, car c’est une initiative très noble.

Agence d’Information du Burkina
ZAF/ata

Ouagadougou : Une étudiante développe une solution intelligente pour améliorer la gestion des déchets urbains

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Ouagadougou : Une étudiante développe une solution intelligente pour améliorer la gestion des déchets urbains

Ouagadougou, 21 juil. 2025 (AIB) – L’étudiante, Rasmata Simporé, de l’École doctorale informatique appliquée au changement climatique l’Université Joseph KI-ZERBO, programme de recherche activement soutenu par WASCAL, a présenté une solution technologique innovante baptisée « Trash App », destinée à moderniser la gestion des déchets urbains et à contribuer à la salubrité des villes du Burkina Faso en vue de lutter notamment contre les maladies.

« Nous avons mis au point un système intégré composé « d’une application mobile appelé ‘’Trash App’’, d’une application web, ainsi que d’un capteur intelligent qui envoie la localisation et le niveau de remplissage des poubelles au niveau central, pour que les collecteurs puissent venir collecter les déchets », a indiqué l’étudiante, Rasmata SIMPORE.

De son avis, la gestion des déchets demeure une préoccupation majeure dans les différentes villes du Burkina Faso.

C’est, pourquoi a-t-elle ajouté, « j’ai proposé une solution innovante qui va être utile à ma ville, mais également pour le reste du pays ».

Cet outil « va permettre une interaction entre les différents acteurs de la collecte des déchets, depuis la production jusqu’à la valorisation, a confié Mme SIMPORE.

« Cette solution permettra aux collecteurs de planifier efficacement leurs tournées, en fonction des besoins réels sur le terrain », a insisté Rasmata SIMPORE, soulignant que son objectif est de proposer une réponse concrète au problème persistant de gestion des déchets dans les villes burkinabè.

Selon elle, l’innovation va aussi permettre aux citoyens de pouvoir donner leur avis, de signaler les violations et de pouvoir demander des prestations et connaître les structures qui collectent les déchets.

L’application va également permettre aux décideurs du pays de disposer de statistiques, des informations sur la gestion des déchets, a confié l’impétrante.

Le jury, impressionné par la qualité technique et l’utilité pratique de la solution, a attribué la note de 18/20 à l’impétrante, saluant une « approche innovante, scientifique et prometteuse ».

Son directeur de mémoire, Dr Belko Abdoul Aziz DIALLO, chercheur principal et chef du département de Gestion de Données du Centre de Compétences de WASCAL sis à Ouaga 2000, a qualifié l’initiative de « véritable écosystème de solutions intelligentes », soulignant qu’elle pourrait grandement améliorer la régularité de la collecte des déchets et réduire les problèmes d’insalubrité dans les quartiers.

Pour Dr DIALLO, la plateforme va également permettre d’optimiser la collecte des déchets et de renforcer la participation communautaire à la préservation de l’environnement.

Du côté de la mairie de Ouagadougou, le chef du service de collecte et tri des déchets à la direction de la salubrité et de l’hygiène publique, M. SIENOU Adama, a salué l’initiative.

Il a indiqué que la commune envisage un projet pilote pour tester la solution dans une zone ciblée de la ville, en vue d’évaluer son efficacité et d’éventuellement l’étendre à plus grande échelle.

Cette innovation s’inscrit dans la dynamique de modernisation des services urbains et pourrait représenter un tournant important dans la lutte contre les maladies liées à l’insalubrité, a confié M. SIENOU.

La jeune chercheure, Rasmata Simopré, a soutenu son master à l’École doctorale informatique appliquée au changement climatique de l’Université Joseph KI-Zerbo avec un financement de WASCAL, sous le thème : « Système intelligent intégrant les technologies de l’information et de la communication et l’internet des objets pour la gestion de la collecte des déchets solides et l’engagement des citoyens à Ouagadougou ».

Le jury était composé du président, Pr Alfa Oumar DISSA, du directeur de mémoire, Dr Belko Abdoul Aziz DIALLO, du rapporteur, Dr Kisito KABORE et du superviseur, Dr Didier BASSOLE.

Agence d’information du Burkina

DNK-yos-ata

AUDIENCE DU PRÉSIDENT DU FASO « L’Égypte est prête à renforcer toutes sortes de coopération avec le Burkina Faso », dixit l’Envoyé spécial du Président égyptien à sa sortie d’audience

AUDIENCE DU PRÉSIDENT DU FASO
« L’Égypte est prête à renforcer toutes sortes de coopération avec le Burkina Faso », dixit l’Envoyé spécial du Président égyptien à sa sortie d’audience

(Ouagadougou, 22 juillet 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a reçu en audience ce mardi après-midi, le ministre des Affaires étrangères, de l’Immigration et des Expatriés de la République Arabe d’Égypte, Dr Badr ABDELATY, porteur d’un message du Président égyptien, Abdel Fattah AL-SISSI à son homologue burkinabè.

« J’ai transmis les salutations et le soutien du Président de la République Arabe d’Égypte au Président le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Je lui ai aussi remis un message écrit concernant notre coopération bilatérale et l’engagement de l’Égypte de continuer à renforcer cette coopération », déclare Dr Badr ABDELATY à sa sortie d’audience.

Le Président du Faso et son hôte ont échangé sur plusieurs sujets d’intérêt commun comme les investissements, le commerce, la sécurité et la défense notamment la lutte contre le terrorisme. « L’Égypte s’engage à soutenir les trois pays de l’AES (le Burkina Faso, le Niger et le Mali ) dans leur combat commun contre le terrorisme et nous continuerons à leur fournir tout type d’aide. Dans le cadre du renforcement de nos relations, nous sommes prêts à toutes sortes de coopération avec le Burkina Faso et l’ensemble des pays frères de l’AES », souligne Dr Badr ABDELATY.

« Nous remercions profondément le Président TRAORÉ pour son soutien à l’unité africaine et sa lutte pour la souveraineté du Burkina Faso », affirme le ministre égyptien pour qui, le renforcement de la coopération entre les deux pays peut aussi porter sur des secteurs comme l’agriculture, la fabrication des produits pharmaceutiques, les infrastructures pour le bonheur des deux peuples.

Au cours de cette audience, l’émissaire égyptien a traduit toute sa reconnaissance au Capitaine Ibrahim TRAORÉ pour son soutien à la candidature de l’ancien ministre égyptien chargé du Tourisme, Dr Khaled El-ENANY, pour le poste de Directeur général de l’UNESCO.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Boulgou : Les commerçants remportent la deuxième édition de la coupe Maracana inter-service

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Boulgou : Les commerçants remportent la deuxième édition de la coupe Maracana inter-service

Bittou, le 20 juillet 2025 (AIB) – Le président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Bittou, Mohamed Lamine Diabaté, a donné le coup d’envoi de la deuxième édition de la finale de coupe de Maracana inter service, le samedi, 19 juillet2025 sur le terrain de la salle polyvalente de Bittou.

La coupe Maracana inter-service est l’initiative du président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Bittou, en collaboration avec la jeunesse de ladite commune.

L’objectif est de promouvoir la cohésion sociale, la solidarité, le vivre ensemble entre les fonctionnaires et le secteur privé. La finale a opposé l’équipe des commerçants à celle des orpailleurs. La première s’est imposée sur le score de 3 buts à 2.

L’équipe championne remporte un trophée, la somme de 75000 FCFA et un ballon. L’équipe des orpailleurs se console avec la somme de 50 000 FCFA, un ballon et des médailles.

Le troisième repart avec 25000 FCFA, un ballon, des médailles et le quatrième prix est de 10000 FCFA et un ballon.

Le parrain de la coupe inter-service, le PDS de la commune de Bittou, Mohamed Lamine Diabaté a exprimé sa satisfaction à l’endroit de la jeunesse de Bittou.

Il a salué également l’ensemble de la population, les corps constitués, les directeurs de services, les forces de défense et de sécurités pour leur constante mobilisation.

Le capitaine de l’équipe des orpailleurs, Soumaila Kaboré, a apprécié le match, malgré leur deuxième place. Il a invité la jeunesse au vivre ensemble.

Agence d’information du Burkina

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Ziniaré : Des journées d’orientation pour aider les nouveaux bacheliers à faire des choix éclairés

Ziniaré : Des journées d’orientation pour aider les nouveaux bacheliers à faire des choix éclairés

Ziniaré, 22 juillet 2025 (AIB)-La salle polyvalente de 1000 places de Ziniaré a refusé du monde les 21 et 22 juillet 2025 à l’occasion des premières journées d’orientation organisées dans la province du Bassitenga. Une initiative de la direction provinciale de l’enseignement secondaire, professionnelle et technique de Bassitenga, qui a permis aux nouveaux bacheliers, aux élèves et aux parents de s’informer sur les filières de formation et leurs débouchés.

« Ces journées représentent beaucoup pour moi parce que je doutais sur mes choix de filières. Maintenant je pense que je saurai bien choisir ma filière quoi », s’est réjoui Wendgoudi Fabrice Tondé, nouveau bachelier de la série D. « Il y a MPCI, marketing et gestion, finances et comptabilité, aménagement du territoire… trop d’opportunités », a-t-il énuméré avec enthousiasme.

Même son de cloche chez Carole Nongbzanga Ouédraogo, également nouvelle bachelière. « Cette journée nous permet à chacun de pouvoir choisir la filière qui nous convient à l’université. Ainsi, nous ne ferons pas d’erreurs », a-t-elle confié.

La cérémonie d’ouverture a été présidée par le haut-commissaire de Bassitenga, Sahabani Zeba. « C’est un évènement capital pour notre province. Comme vous le savez, les journées d’orientation, avant nous les suivions à la télé. Cette année, grâce à l’inspiration géniale de la directrice provinciale, nous abritons ces journées qui vont permettre à nos élèves de faire le bon choix. Ce qui conduit à la réussite des études, c’est le choix. Si vous faites un mauvais choix, après vous regrettez », a-t-il souligné.

Naaba Sanem, chef de Ziniaré, est le parrain de ces journées d’orientation. Il salue l’initiative : « En tant que parents, nous avons vu beaucoup de choses. J’invite les parents eux-mêmes à passer voir. Là, ils comprendront mieux. Aujourd’hui, on ne peut pas compter sur les universités publiques seulement. Certaines filières ne s’y trouvent pas. Que cette initiative se perpétue les années à venir. »

Pour la directrice provinciale , l’inspectrice Léocadie Traoré, l’objectif est clair : « comme le thème le dit : ‘S’orienter aujourd’hui pour réussir demain, nous avons le souci que nos jeunes puissent réussir leur vie, et cela commence par un meilleur choix. Après l’obtention du bac, ce qui hante les bacheliers et les parents, c’est la filière d’études. C’est pour cela que nous avons organisé ces journées pour leur donner plus d’informations. »

Au programme, des panels sur les filières universitaires, les procédures d’inscription, l’utilisation de la plateforme CampusFaso, l’accès aux œuvres sociales (bourses, FONER), ainsi que la communication des universités publiques et privées invitées.

Des techniciens du Service de l’orientation, des bourses et du CROU ont animé des sessions d’information sur les prestations en matière de santé et d’alimentation.

Par ailleurs, les participants ont pu suivre des témoignages de professionnels sur la formation professionnelle. Mme Régina Kadio, promotrice du centre de formation Séduction Coiffure, a insisté sur l’importance de cette voie : « On n’est pas obligé d’aller jusqu’au doctorat. On peut choisir un métier, réussir et s’épanouir. »

En plus des échanges en sous-groupes avec les lauréats du BEPC et du BAC, les élèves et parents ont visité les stands des instituts et écoles invités pour mieux s’imprégner de l’offre de formation disponible au Burkina Faso.

Notons que l’objectif du Burkina est d’aller vers un taux d’orientation de 60% vers l’enseignement technique et la formation professionnelle.

Agence d’information du Burkina 

LO/ata

Dori : Le Conseil régional pour la nutrition du Sahel en quête d’une meilleure gouvernance nutritionnelle

Burkina-Sahel – Nutrition – Gouvernance – Santé

Dori : Le Conseil régional pour la nutrition du Sahel en quête d’une meilleure gouvernance nutritionnelle

Dori, 22 juillet 2025 (AIB) – Le Conseil régional pour la nutrition (CRN) du Sahel a tenu, ce mardi à Dori, sa première session de l’année. Une rencontre multisectorielle présidée par le gouverneur Abdoul Karim Zongo, visant à faire le point sur la situation nutritionnelle dans la région et à définir des pistes pour renforcer la lutte contre la malnutrition.

C’est en présence des responsables des services techniques, des projets, ONG et associations que la première session 2025 du CRN s’est ouverte dans la capitale régionale du Sahel. L’objectif principal était d’évaluer les performances du plan stratégique nutritionnel mis en œuvre dans la région. À l’ordre du jour figuraient également l’analyse des plans de résolution des problèmes identifiés par le comité technique et l’élaboration de recommandations pour une meilleure gouvernance de la nutrition.

Dans son intervention, le directeur régional de la santé, M. Djibrila Alou Maïga, a rappelé que la malnutrition est une problématique complexe aux causes multiples, nécessitant une approche intégrée. Il a insisté sur la dimension multisectorielle de la lutte contre la malnutrition, qui doit mobiliser l’ensemble des acteurs : santé, éducation, agriculture, protection sociale, eau, hygiène et assainissement.

Prenant la parole, le gouverneur de la région du Sahel, M. Abdoul Karim Zongo, a salué la forte implication des partenaires techniques et financiers qui accompagnent les efforts du gouvernement dans ce domaine. Il a encouragé la poursuite des actions coordonnées et soutenues afin d’améliorer durablement les indicateurs nutritionnels dans la région.

Le Conseil régional pour la nutrition (CRN), instance de concertation et de pilotage décentralisée, a été institué pour améliorer la gouvernance locale des questions nutritionnelles. À l’issue des travaux, les participants ont formulé plusieurs recommandations visant à renforcer les synergies intersectorielles, améliorer la coordination des interventions et renforcer le suivi-évaluation des activités sur le terrain.

La tenue de cette première session du CRN 2025 témoigne de la volonté des autorités régionales et de leurs partenaires de faire de la nutrition une priorité stratégique. La mobilisation collective reste indispensable pour répondre efficacement aux défis nutritionnels du Sahel et garantir un avenir sain aux populations vulnérables.

Ali Mamoudou Maiga 

Aib/ Séno

CHAN 2024 : la novice Centrafrique, 2e adversaire du Burkina Faso, entre ambition et apprentissage

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CHAN 2024 : la novice Centrafrique, 2e adversaire du Burkina Faso, entre ambition et apprentissage

Ouagadougou, 22 juil. 2025 (AIB)-Les Fauves du Bas-Oubangui A’ de la République Centrafricaine qui participent pour la première fois au CHAN, affrontent les Etalons A’ du Burkina Faso le 6 Août à Dar-es-Salaam. Découvrez les forces et les faiblesses de cette formation. 

La République centrafricaine s’apprête à écrire une page historique de son football avec sa première participation au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN 2024). Qualifiée de manière surprenante en éliminant le Cameroun lors des barrages, la sélection A’ centrafricaine a déjà montré une grande force mentale et une organisation défensive solide.

Encadrée par un encadrement technique déterminé à bâtir un groupe discipliné, l’équipe mise avant tout, sur la cohésion de ses joueurs locaux. Cette unité, combinée à une motivation exceptionnelle pour représenter dignement le pays, constitue l’une des plus grandes forces des Fauves.

La Centrafrique peut également compter sur des individualités prometteuses comme Bertillon Arnold Yangana (Red Star de Bangui), auteur d’un but décisif en qualifications, ou encore sur des jeunes talents en pleine progression. Ces éléments offrent des solutions offensives intéressantes, notamment sur contre-attaque, un secteur où l’équipe a déjà prouvé son efficacité. L’enthousiasme collectif, l’envie de prouver leur valeur et l’aspect de « petit outsider » pourraient jouer en faveur des Centrafricains dans un groupe B relevé.

Les faiblesses que les Etalons pourraient exploiter

Les Fauves n’ont pas que des qualités. Plusieurs faiblesses pourraient freiner leur élan. Le manque d’expérience à ce niveau de compétition se fait cruellement sentir. La Centrafrique n’a jamais disputé de tournoi continental majeur, et son championnat reste en développement, avec un niveau d’intensité et de rigueur tactique loin de celui des adversaires comme le Burkina Faso (qui sera à sa 4e participation) ou la Tanzanie. De plus, l’équipe pourrait souffrir physiquement dans des matchs de haut niveau, en particulier sur la durée.

Face à des formations plus aguerries, les Fauves devront donc miser sur leur discipline, leur combativité et leur capacité à exploiter les moindres occasions. Si la Centrafrique ne part pas favorite, elle peut surprendre, à condition de rester fidèle à ses principes de solidarité et d’abnégation. Cette première aventure au CHAN constitue surtout une opportunité d’apprentissage, mais aussi une chance réelle de marquer les esprits en Afrique.

Agence d’information du Burkina

as/ata

Yatenga : les détenus s’engagent à apporter leur pierre à l’initiative présidentielle pour la construction de la nation.

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Yatenga : les détenus s’engagent à apporter leur pierre à l’initiative présidentielle pour la construction de la nation.

Ouahigouya, 21 juillet 2025 (AIB)- Les pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction (MAC) en collaboration avec le Tribunal de grande Instance (TGI) de Ouahigouya ont commémoré les 16, 17 et 18 juillet 2025 la première édition de la journée internationale Nelson Mandela ou « Mandela Day » à Ouahigouya.

La première édition de la journée internationale Nelson Mandela ou « Mandela Day » a été célébrée dans la cité de Naaba Kango. L’initiative est de la Maison d’arrêt et de correction de Ouahigouya en collaboration le Tribunal de grande Instance TGI de la même ville. Une journée pour rendre hommage à Nelson Mandela qui après 27 années passées derrière les barreaux a consacré toute sa vie pour la justice sociale.

Elle s’est tenue sous le thème « Initiative présidentielle et travail d’intérêt général pour une insertion sociale réussie de la personne détenue et le développement socioéconomique de la nation »

Durant 72 heures, les pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction de Ouahigouya, FDS, civils et forces vives de la ville de Ouahigouya ont mutualisé leurs forces en menant plusieurs activités.

Pour le président du comité d’organisation, le magistrat Arnaud Maré, « C’est un bilan très satisfaisant pour une première édition. Durant ces 72h, de nombreuses activités ont été réalisées. Elles ont drainé du monde et enfanté une communion sincère et intense entre les détenus et les nombreuses personnes venues y prendre part. Elles ont permis de créer des instants de proximité soutenue, de fraternité, de convivialité avec les détenus. Elles ont surtout permis de mettre en lumière, pour rappeler avec fracas ou pour révéler avec force, combien les détenus, en vérité, sont avant tout, des humains. Des humains qui sont juste privés de liberté, largement pour un temps déterminé, mais conservent la plénitude de leur humanité vivant ».

Prenant la parole au nom des détenus, Nouhoun Ouédraogo, détenu à la MAC de Ouahigouya a dans un premier temps salué la maison d’arrêt et de correction ainsi que le Tribunal de grande instance pour l’initiative.

« Nous les détenus de la maison d’arrêt et de correction de Ouahigouya attendons la mise en œuvre des dispositions sur le travail d’intérêt général et l’engagement de tous les acteurs de l’appareil judiciaire et le comité d’application des termes afin que nous puissions apporter notre pierre à l’édifice de la nation » a-t-il soutenu.

La cérémonie était placée sous la présidence du gouverneur de la région de Yaadga. Le secrétaire général, Kouilga Albert Zongo, prenant la parole au nom du gouverneur a salué le comité d’organisation et l’ensemble des acteurs pour les sacrifices consentis pour la tenue de l’activité.

En marge de cette cérémonie, l’amicale des femmes FDS de la région de Yaadga a offert des kits sanitaires composés de savons, d’insecticides et autres produits aux pensionnaires de la MAC de Ouahigouya.

Pour rappel, la journée internationale Nelson Mandela ou « Mandela Day », a été instituée par les Nations Unies en 2009 et se tient le 18 juillet de chaque année. Elle vise à célébrer et à perpétuer la mémoire et surtout l’héritage de Nelson Mandela qui, après 27 ans de prison, est devenu une icône universelle de paix, de justice sociale, de dignité humaine et de la liberté.

Agence d’information du Burkina
BB/BBP

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