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Prévention des crises : une association renforce les capacités des comités EDIC

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Prévention des crises : une association renforce les capacités des comités EDIC

Gourcy 27 avr. 2023 (AIB) – L’Association monde rural (AMR) a initié les 27 et 28 avril 2023 à Gourcy, un atelier de renforcement de capacités au profit des membres des comités d’organisation des Espaces de Dialogue et d’Interpellation Communautaires (EDIC) de ses communes partenaires. 

Les 27 et 28 avril 2023 à Gourcy, l’Association Monde Rural (AMR) a organisé une session de renforcement de capacités des membres des comités d’organisation des Espaces de Dialogue et d’Interpellation Communautaire (EDIC) des communes de Korsimoro, Siglé, Soaw et Gourcy.

Pour le facilitateur David Seth Worokuy, cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet ‘’Renforcement des capacités des populations et des gouvernants locaux pour une meilleure appropriation des droits humains, de la cohésion sociale, de la gouvernance locale et de la participation citoyenne dans les régions du Nord, du Centre-Nord, de l’Est et du Centre-Ouest’’ avec l’appui financier de l’ONG Diakonia.

Elle vise selon lui, à outiller les participants sur les notions de redevabilité, de contrôle citoyen et gestion des plaintes dans un contexte d’insécurité marqué par une rencontre entre populations hôtes et déplacés internes.

Deux jours durant, les participants ont échangé sur le concept de l’EDIC, ses fondements, sa démarche, les différentes étapes de son organisation et aussi sa contribution en termes de prévention des conflits et de promotion de la cohésion sociale dans les collectivités.

Des communications sur le contrôle citoyen, la gestion des plaintes et le rôle des Organisations de la société civile (OSC) dans la promotion de la cohésion sociale ont également été abordés avant de passer à une simulation sur la tenue d’un EDIC et l’enregistrement d’une plainte.

« La redevabilité, le contrôle citoyen et une bonne gestion des plaintes et des griefs peuvent contribuer à minimiser les crises au sein des communautés » David Seth Worokuy, Facilitateur.

« Prenant en compte certaines réalités comme le contexte sécuritaire, l’AMR a développé d’autres formes d’outils de redevabilité qui sont diffusés à travers la radio et le net » a relevé le facilitateur David Seth Worokuy.

Au terme des échanges ponctués par des travaux de groupe et des exercices pratiques, les participants issus des comités EDIC ont pris la résolution de jouer leurs partitions dans la prévention des crises et des conflits en s’organisant pour prendre en compte la veille citoyenne dans leurs missions.
Agence d’information du Burkina
AK/as/ata/

 

 

 

Burkina/Sénégal : la directrice de la Pédiatrie Charles De Gaulle s’inspire du potentiel-santé dakarois

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Burkina/Sénégal : la directrice de la Pédiatrie Charles De Gaulle s’inspire du potentiel-santé dakarois

Ouagadougou, 2 mai 2023 (AIB) – Une délégation du Centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles De Gaulle (CHUP-CDG) conduite par la directrice générale (DG), Cyrille Priscille Kaboret/Ouédraogo a séjourné du 23 au 29 avril 2023 à Dakar au Sénégal, pour  découvrir les  potentialités de trois hôpitaux du pays, en matière d’offres et d’organisation de soins au profit du couple mère-enfant.

Dans le cadre de la mise en œuvre de ses missions, le Centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles De Gaulle (CHUP-CDG) a fait du renforcement de la coopération, un axe d’intervention prioritaire dans son projet d’établissement 2020-2024.

La sortie de la délégation du CHUP-CDG du 23 au 29 avril 2023 au Sénégal, conduite par sa première responsable, Cyrille Priscille Kaboret/Ouédraogo consiste à découvrir les  potentialités de trois hôpitaux du pays, en matière d’offres et d’organisation de soins, au profit du couple mère-enfant.

Ainsi,  la délégation a eu des séances de travail pendant son séjour au pays de la « Téranga » avec les équipes des directions de l’hôpital principal de Dakar, de l’hôpital d’enfants de Diamniadio et le Centre hospitalier national d’enfants Albert Royer.

Cette initiative a pour ambition d’ouvrir la pédiatrie Charles De Gaulle  sur un environnement social, institutionnel et économique, lui permettant d’enrichir son dispositif d’offre et de management des soins au profit des enfants malades du Burkina Faso.

Pour le Directeur Général de l’hôpital principal de Dakar, le médecin-général de Brigade, Mame Thierno Dieng, la mission a pour but de tracer les bases d’une future coopération bilatérale entre le CHUP-CDG et les hôpitaux de Dakar.

A l’en croire, cette coopération sanitaire vise à  un partage d’expérience mutuel, en matière de prise en charge des patients  entre les deux pays.

Mame Thierno Dieng a par ailleurs félicité la  DG du CHUP-CDG pour son dynamisme dans la mise en œuvre de ses missions et  lui a remerciée pour son  déplacement au Sénégal.

Il a saisi l’occasion pour rendre hommage au point focal de cette collaboration, Pr. Mahamadou Sanou, avec qui il a fait les études à l’Ecole militaire de santé du Sénégal.

La DG du CHUP-CDG, Cyrille Priscille Kaboret/Ouédraogo a, pour sa part, expliqué  que l’expérience et l’innovation dans le domaine des soins  ont été pendant longtemps l’apanage des pays du Nord.

Mme Kaboré a précisé que force est de reconnaître qu’aujourd’hui, les pays africains ont aussi développé de bonnes pratiques conformément à leurs réalités, qu’ils peuvent partager entre eux.

Elle a remercié les responsables des hôpitaux hôtes en particulier le DG de l’Hôpital principal de Dakar pour l’invitation et les dispositions prises pour que leur séjour soit meilleur.

La  première responsable de la pédiatrie Charles De Gaulle s’est dite impressionnée par l’organisation, en matière d’offre de soins.

Notons que la Directrice Générale du CHUP-CDG a offert un présent en souvenir, en guise de reconnaissance au DG de l’hôpital principal de Dakar pour son hospitalité.
Agence d’information du Burkina
No/ho/as

 

SNC Bobo 2023 : Baba Hama invite les médias à jouer un rôle prépondérant dans la diffusion des expressions culturelles

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SNC Bobo 2023 : Baba Hama invite les médias à jouer un rôle prépondérant dans la diffusion des expressions culturelles

Bobo-Dioulasso, 2 mai 2023 (AIB)-L’ancien ministre de la Culture Baba Hama a animé lundi, à Bobo-Dioulasso, un panel sur le thème « La dynamique des expressions artistiques : espaces de promotion et de diffusion des produits burkinabè dans le contexte de mondialisation ».

A l’entame du panel tenu dans le cadre de la 20è édition de la Semaine nationale de la culture (SNC) Bobo 2023, l’ancien ministre de la Culture Baba Hama a indiqué que les expressions artistiques résultent de la créativité des individus, des groupes ou des sociétés et ses créativités ont des contenus culturels.

Il a expliqué qu’on entend par activité culturelle, toute les activités liées à la création, à la production, à la distribution et à la consommation dans le domaine par exemple des Arts (la musique, la danse, le théâtre, les Arts vivants, les programmes de radio et de télé).

Baba Hama

Il a souligné que les activités culturelles sont dotées d’une double valeur économique et culturelle. « Ces deux valeurs sont en réalité interdépendantes et ensemble elles participent à l’essor, à la préservation de la diversité », a-t-il affirmé.

Pour Baba Hama, la diversité culturelle est perçue comme l’existence de différentes cultures au sein d’une organisation ou d’une société. L’ancien ministre a ensuite expliqué la dynamique culturelle qui veut dire que la culture est en mouvement.

« C’est un mouvement qui part de l’intérieur d’un groupe social, un mouvement de prise de conscience de ce groupe, de son potentiel de production de projets et qui fait devenir ce groupe à la fois acteur et sujet », a-t-il fait savoir.

Selon Baba Hama, le potentiel économique du secteur culturel au Burkina Faso, peut lui permettre de devenir un levier de développement. Il a informé qu’une enquête a démontré que le secteur culturel emploie plus que le secteur de la Fonction publique.

Il a cité plusieurs espaces de diffusion et de promotion des expressions culturelles que sont les festivals, les manifestations, les activités culturelles comme la Semaine nationale de la culture.

Selon lui, l’organisation régulière de ces manifestations au Burkina Faso permet de mettre en valeur le patrimoine culturel national.

« Toutes ces espaces sont des cadres de promotion des expressions artistiques ou des expressions culturelles. Le dynamisme culturel au Burkina Faso se traduit par la tenue régulière de ces manifestations », a-t-il affirmé.

Dans le domaine de la diffusion des expressions culturelles, les médias doivent jouer un rôle prépondérant, a fait savoir Baba Hama. Il a déploré que le bouillonnement culturel au Burkina n’est pas suffisamment accompagné par les médias.« Les médias doivent être porteurs de la culture », a-t-il affirmé.

Concernant la diffusion externe, Baba Hama a rappelé que « la politique nationale préconise le développement de stratégies de conquête d’informations sur le marché national et sous régional ».

Agence d’information du Burkina

WIS/ak 

1re étape, Tour du Bénin : Souleymane Koné arrive 3e à 2 secondes du maillot jaune

CYCLISME-BFA-BEN-SPORT-UCI-TOUR

1re étape, Tour du Bénin : Souleymane Koné arrive 3e à 2 secondes du maillot jaune

Ouagadougou, 2 mai 2023 (AIB)-Le coureur burkinabè Souleymane Koné est arrivé 3e mardi lors de la première étape du Tour international cycliste du Bénin, courue entre Parakou et Djougou (132,53 km) et est à 2 secondes du maillot jaune porté par le marocain Achraf Dogmy, a-t-on appris du ministère burkinabè des sports.

La première étape du tour cycliste du Bénin disputé entre Parakou et Djougou très accidentée et longue de 132,53 km, s’est courue ce mardi 2 mai 2023. Le Burkinabè Souleymane Koné arrive 3e à cette étape et pointe déjà à 2 secondes du maillot jaune porté par le marocain Achraf Dogmy.

Paul Daumont

Paul Daumont endosse quant à lui, la tunique du meilleur jeune africain aux récompenses de cette première étape. Côté Etalons la moisson du jour est à saluer.

La 2e étape longue de 156,42 km se dispute ce mercredi 3 mai entre Parakou et Savè.
Agence d’information du Burkina
HO/as

Epreuves sportives des examens scolaires : lancement effectif dans le Passoré

Burkina-Passoré-Yako-Examens-Sport2023

Epreuves sportives des examens scolaires : lancement effectif dans le Passoré

Yako, 2 mai 2023 (AIB) – Le Directeur provincial des enseignements post-primaire et secondaire (DPEPS) du Passoré, Halidou Konfé a effectué mardi à Yako, une tournée de supervision des épreuves physiques et sportives du BEPC, du BEP et CAP session de 2023 prévues du 2 au 11 mai dans la province.

A l’instar des autres villes du pays, les candidats du BEPC, BEP et CAP session de 2023 de la province du Passoré ont entamé ce mardi 1er mai, leurs épreuves physiques et sportives.

En vue de s’assurer de l’effectivité du déroulement desdites épreuves, le directeur en charge des enseignements post-primaire et secondaire (DPEPS) du Passoré, Halidou Konfé s’est rendu dans les  commissions siégeant dans la ville de Yako.

Accompagné du chef de service des examens et concours de la DEPES du Passoré, Hamado Dondassé, le premier des lycées et collèges du Passoré est allé d’abord dans les commissions 1, 2 et 3  siégeant au lycée provincial polyvalent de Yako. 491 candidats y sont pour ces épreuves.

Lesdits candidats et acteurs engagés dans le processus à savoir les professeurs d’éducation physiques et sportives, les forces de défenses et de sécurité et les agents de santé en pleine tâche ont tous reçu  les encouragements du premier responsable de l’éducation de la province.

Après le terrain du lycée provincial polyvalent de Yako, la mission de la direction provinciale a mis le cap sur le lycée municipal Toussaint Louverture de Yako.

Sur le terrain de sport dudit lycée, ce sont 469 candidats repartis  en deux commissions (4 et 5 ) que la délégation a trouvée au lancer de poids.

Dans ces deux lycées visités, les épreuves se déroulent bien et sans incident majeur selon Halidou Konfé.

Aux différents candidats, le  DPEPS du Passoré  a souhaité une très bonne chance pour ces épreuves qui marquent le top de départ des hostilités du BEPC session de 2023.

Très satisfaits des encouragements de leur premier responsable, ces candidats lui ont promis d’offrir de meilleurs résultats à la fin de la session.

En rappel pour la présente session ce sont en tout 5081 candidats au BEPC, BEP et CAP  contre 6446 pour la session précédente, engagés dans la conquête du premier diplôme qui donne accès à l’enseignement secondaire au Burkina Faso et dont les phases écrites sont prévues pour le 1er juin prochain sur toute l’étendue du territoire national.
Agence d’information du Burkina
ZES/as/ata/ak     

 

Le Conseil d’État sensibilise dans le Centre-Ouest

Le Conseil d’État sensibilise dans le Centre-Ouest

Réo, (AIB). Une mission du Conseil d’État a séjourné à Koudougou et à Réo les 27 et 28 avril 2023. Objectif : informer les Forces vives de la région sur les compétences de l’institution.

Le Conseil d’État a, dans le cadre de l’exécution de son programme d’activités, organisé une campagne d’information et de sensibilisation au profit des justiciables de la région du Centre-Ouest et notamment à Koudougou et à Réo.

Cette campagne, a relevé le premier président de l’institution, vise à faire connaître davantage les juridictions administratives et à renforcer les efforts de construction d’un État de droit démocratique.

Il est ainsi ressorti des communications que le Conseil d’État est l’une des quatre hautes juridictions inscrites dans la Constitution burkinabè/

Elle est la juridiction supérieure de l’ordre administratif.

Le Conseil d’État comprend entre autres, un premier président, des chambres du contentieux, des chambres consultatives, un commissariat du gouvernement. Et chaque sous-entité est compétent dans son domaine pour rendre traiter les dossiers.

Agence d’information du Burkina

BP/ata

Festival de Musique Allons à Bobo : «Après cinq jours de festivités, nous sommes très satisfaits », (Promoteur)

BURKINA-HOUET-CULTURE-FESTIVAL-PROMOTEUR-INTERVIEW

Festival de Musique Allons à Bobo : «Après cinq jours de festivités, nous sommes très satisfaits », (Promoteur)

Bobo-Dioulasso, 1er mai 2023 (AIB)-Après cinq jours de festivités, la deuxième édition du Festival de Musique Allons à Bobo (FEMABO) a refermé ses portes. Le promoteur Siaka Coulibaly dit Chako Lombardy fait le point de l’événement au micro de l’AIB.

Agence d’information du Burkina (AIB) : Après cinq jours du festival, quel bilan faites-vous ?

 Siaka Coulibaly dit Chako Lombardy :

Après cinq jours de festivités, nous sommes très satisfaits. Nous avons eu une cérémonie riche en couleurs, qui a mis en exergue la diversité culturelle de notre pays et la parenté à plaisanterie à travers le défilé des ethnies Peul, Bobo et Dioula. Une vingtaine d’artistes sont venus offrir de belles prestations à ce festival.

AIB : Quelles sont les difficultés rencontrées ?

Siaka Coulibaly dit Chako Lombardy :

Les difficultés ne manquent pas. C’est surtout le côté mobilisation. C’est vrai que le public a répondu favorablement mais on s’attendait à beaucoup plus que ça.

Il se trouve qu’il y a beaucoup d’activités organisées pendant la même période et cela pourrait se justifier par la faible mobilisation.

La mobilisation a été un peu mitigée, surtout le troisième jour où le public n’a pas répondu comme on le souhaitait. A part cela, les autres jours le public a répondu présent.

AIB : Quelle comparaison faites-vous de cette édition avec la première ?

Siaka Coulibaly dit Chako Lombardy :

C’est une activité qui grandit. On ne dira pas que c’est la maturité mais en tout cas elle a grandit par rapport à l’année passée. On a essayé de détecter les failles de la première édition et de les corriger.

AIB : Quelles sont les perspectives pour les éditions à venir ?

Siaka Coulibaly dit Chako Lombardy :

Cette année, on a organisé une soirée dédiée aux Forces de défense et de sécurité (FDS) et deux nuits live au cours de l’événement. L’année prochaine, on fera le live les deux derniers jours.

L’un des perspectives, pour les prochaines éditions, c’est d’emmener nos artistes à se produire dans d’autres contrées comme la Côte d’Ivoire, le Mali, le Ghana ou dans d’autres régions du Burkina Faso.

AIB : Quel message avez-vous à l’endroit des parrains, des invités, des artistes et du public à la fin de votre activité ?

Siaka Coulibaly dit Chako Lombardy :

On a qu’un seul mot, merci. On a eu des parrains qui ont été notre épaule, qui nous ont soutenus, qui ont été notre aile auprès de certains partenaires, qui n’ont pas hésité un seul instant à mettre la main dans la poche pour nous soutenir. Nous les invitons à avoir toujours un regard à notre endroit pour les éditions à venir.

Nous remercions particulièrement Maître Yacouba Dembélé, Notaire, qui est un ami personnel, un promotionnaire, qui, malgré son rang social est resté à nos côtés à la conférence de presse et durant les cinq jours, tous les soirs pour suivre les spectacles.

Nous le remercions pour l’apport personnel qu’il a apporté à ce festival.On peut dire que nous sommes sur la bonne voie.

Quand nous regardons des artistes qui ne sont pas connus à Bobo-Dioulasso et qui ont quitté des zones à risques pour venir apporter de la couleur à cette édition, nous sommes très contents.

Nous n’oublions pas nos mères, nos sœurs, nos enfants, les Personnes déplacées internes (PDI) qui vivent une situation sécuritaire difficile à cause du terrorisme.Ces personnes ont tout quitté pour sauver leurs vies. Pour les soutenir, nous leur avons apporté un don de vivres avant l’ouverture du FEMABO.

Agence d’information du Burkina 

Entretien réalisé par

Hawa Baba 

Covid : Une campagne de vaccination prévue du 5 au 19 mai dans le Centre-Ouest

Covid : Une campagne de vaccination prévue du 5 au 19 mai dans le Centre-Ouest

Koudougou, (AIB)-Dans la perspective de réussir la campagne de vaccination contre la COVID-19, prévue du 5 au 19 mai, la direction régionale de la Santé du Centre-Ouest, pilotée par Dr Moussa Sana, a pris langue, le samedi 29 avril 2023, à Koudougou, avec les associations du domaine, au cours d’une rencontre de plaidoyer.

La pandémie de la COVID-19 continue de faire parler d’elle au Burkina Faso. En témoigne le nombre inquiétant de 22 137 cas dont 396 décès à la date du 28 février 2023. Toute chose qui dénote de l’inobservance des mesures barrières et de la réticence vis-à-vis des vaccins proposés.

D’où l’organisation de cette rencontre de plaidoyer à l’endroit d’une soixantaine de membres d’associations de la région du Centre-Ouest.

L’objectif était, faut-il le rappeler, de les sensibiliser sur les mesures barrières, les différentes rumeurs sur la maladie.

Il s’agissait aussi de les engager à informer et à sensibiliser les communautés dans les différentes localités, de la tenue d’une campagne de vaccination contre la COVID-19, prévue pour se dérouler du 5 au 11 mai 2023, dans toutes les formations sanitaires de la région.

À la fin de la rencontre, les participants, venus des quatre coins de la région, ont promis de jouer pleinement leur partition pour une franche adhésion des populations à cette campagne.

Agence d’information du Burkina

PB/ata

Koudougou : Pose de la première pierre d’une unité d’abattage de porcs

Koudougou : Pose de la première pierre d’une unité d’abattage de porcs

 Koudougou, 2 mai 2023(AIB)-L’abattoir municipal de Koudougou s’agrandit avec le lancement ce mardi, des travaux de l’unité d’abattage des porcs, dont le coût est estimé à plus de 200 millions de FCFA.

Le président de la délégation spéciale de la commune de Koudougou, Jonas Mané, a procédé le 2 mai 2023 à la pose de la première pierre de l’unité d’abattage de porcs au sein de l’abattoir municipal de Koudougou.

L’infrastructure est composée d’un grand bâtiment, d’un forage équipé de château d’eau, d’un incinérateur, d’un biodigesteur, d’une aire de compostage, d’une chambre froide et des canaux d’évacuation.

D’un coût global de plus de 200 millions de francs CFA, cette unité d’abattage financée par la coopération suisse, vient apporter un ouf de soulagement aux acteurs de la filière porcine qui du reste, n’avaient de cesse d’appeler de tous leurs vœux sa réalisation.

Agence d’information du Burkina

Photo porcs : Archive lefaso.net

Festival de Musique Allons à Bobo : Ella Nikiema et Rama N’Goni font le show final 

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Festival de Musique Allons à Bobo : Ella Nikiema et Rama N’Goni font le show final 

Bobo-Dioulasso, 1er mai 2023 (AIB)-La deuxième édition du Festival de Musique Allons à Bobo (FEMABO) a refermé ses portes dans la nuit du dimanche, à Bobo-Dioulasso par un concert final qui a mis en scène deux grandes voies de la musique féminines Ella Nikiema et Rama N’Goni.

Les rideaux sont tombés dimanche nuit sur la deuxième édition du Festival de musique Allons à Bobo (FEMABO), placée sous le thème : « Musique, facteur de résilience pour une Nation prospère et inclusive ».

Rama N’Goni

C’est un grand concert qui a clôturé cet évènement à la place Gana So de Belle Ville avec la prestation d’une vingtaine d’artistes parmi lesquels, deux grandes voix féminines qui sont, la chantre du Gospel, Ella Nikiema et la talentueuse virtuose du Kora Rama N’Goni.

Au terme de la deuxième édition de la FEMABO, le promoteur Siaka Coulibaly a affirmé que le festival a mis en exergue la diversité cultuelle de notre pays surtout le coté parenté à plaisanterie.

Ella Nikiéma

« Le festival a fait connaître beaucoup d’artistes qui étaient dans l’ombre », a indiqué le promoteur du FEMABO, Siaka Coulibaly, qui a remercié les artistes pour la qualité de leurs prestations depuis l’ouverture du festival.

Sa joie se traduit aussi par le fait d’avoir pu inviter des Burkinabè originaires de la région du Sahel dans un contexte sécuritaire difficile dans le pays.

Le promoteur dit être heureux, car le festival pour lui, a été un véritable succès.

Il a aussi rendu hommage au parrain, Maître Yacouba Dembélé, pour sa disponibilité et parce qu’il n’a ménagé aucun effort à accompagner l’évènement.

Siaka Coulibaly s’est dit heureux d’avoir donné un sourire aux Personnes déplacées internes (PDI) en leur faisant un don de vivres dans une ambiance de communion.

La deuxième édition du FEMABO s’est déroulée pendant cinq jours à Bobo-Dioulasso du mercredi 26 au dimanche 30 avril 2023.

Elle a été marquée par des prestations d’artistes venus d’horizons divers chaque nuit à l’espace Gana So de Belle Ville avec une mobilisation des populations.

Les thèmes abordés dans les chansons portaient sur l’amour, la paix au Burkina Faso, le chômage et les maux qui minent notre société.

La troisième édition du FEMABO est fixée du 24 au 28 avril 2024.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

Civisme : La direction provinciale de l’environnement du Ganzourgou accueille la cérémonie de montée des couleurs

Civisme : La Direction provinciale de l’environnement du Ganzourgou accueille la cérémonie de montée des couleurs

Zorgho, (AIB)- La haut-commissaire du Ganzourgou, Aminata Sorgho/ Gouba a présidé ce 2 mai la cérémonie de montée des couleurs à la Direction provinciale de l’environnement à Zorgho.

Le mardi 2 mai 2023, premier mardi du mois, les directeurs et chefs de services provinciaux du Ganzourgou se sont rendus à la Direction provinciale de l’Environnement, de l’Economie verte et des Changements climatiques pour la traditionnelle montée des couleurs. Sous la présidence de la haut-commissaire, Madame Aminata Sorgho/ Gouba, le cérémonial fut prestement exécuté.

Cette activité, depuis son institution par le gouvernement, a toujours été exécutée au sein du haut-commissariat de Zorgho.

Le respect des couleurs est une obligation pour tout citoyen.

Les autorités provinciales ont décidé de la faire désormais de façon tournante dans les différents services pour non seulement donner l’exemple en matière de civisme, mais aussi permettre de mieux connaitre ces services et renforcer les liens de fraternité entre les différents agents.

Pour le directeur provincial en charge de l’Environnement du Ganzourgou, Pascal Balima, c’est une chance et un honneur pour son service d’accueillir cette cérémonie, première dans sa version tournante.

Il a remercié les initiateurs et profité présenter la direction aux autorités.

Le Directeur provincial de l’environnement a présenté son service aux autorités.

Avec 4 services internes, 8 services départementaux et deux postes forestiers, la direction provinciale en charge de l’Environnement connait quelques difficultés dans l’exercice des missions qui lui sont assignées.

C’est pourquoi M. Balima a plaidé pour la clôture du service et de la pépinière, la dotation en moyens roulant notamment un véhicule quatre roues et la résolution du problème d’eau qui entrave les activités d’entretien de la pépinière.

Madame le haut-commissaire a remercié la direction provinciale en charge de l’Environnement pour avoir accueilli la cérémonie.

Elle a exprimé sa gratitude à tous ceux qui y ont pris part et a promis que cette initiative va se poursuivre dans les autres services les mois à venir.

Agence d’information du Burkina

Moïse SAMANDOULGOU

Kossi/Cadre de concertation 2023 : l’ONG TDH outille les membres statutaires de la province

Burkina-Session-Concertation

Kossi/Cadre de concertation 2023 : l’ONG TDH outille les membres statutaires de la province

Nouna, 27 avr. 2023 (AIB) – Les membres statutaires du cadre de concertation provincial ont bénéficié le lundi 27 avril à Nouna, de trois communications sur les actions de l’ONG Terre des hommes (TDH), dans le cadre de la première session ordinaire  de l’année 2023, a constaté un journaliste de l’AIB.

Ces communications ont porté sur la cohésion sociale, la prévention, la gestion alternative des conflits et la situation des personnes déplacées internes de la province.

La province de la Kossi à l’instar des autres localités en proie à l’hydre terroriste a été durement éprouvée au cours du premier trimestre de l’année 2023. Le haut-commissaire de la province et président du cadre de concertation provincial, Dô Jacques Abel Sanou, a salué la tenue effective de la première session, qui selon lui est le lieu de mieux orienter les actions des ONG et Programme intervenant dans la Kossi au profit des populations.

Dans sa communication, le représentant de l’ONG TDH Sokonou Tasséré s’est réjouit d’être présent pour accompagner les autorités pour l’atteinte des objectifs. Sur le bilan de l’ONG, il a par la suite présenté les résultats atteints de la préservation et de la promotion des moyens d’existence auprès des ménages entre autres et surtout l’amélioration des relations entre les habitants et les représentants des autorités dans les zones d’intervention de TDH.

Pour atteindre ces objectifs TDH a rencontré des difficultés dont l’accès aux bénéficiaires.

L’évaluation, le suivi et la capitalisation sont les prochaines étapes de l’ONG pour impacter positivement le comportement des bénéficiaires.

Les communications portant sur la cohésion sociale et la prévention des conflits et la présentation de la situation des personnes déplacées internes ont été co-animées par le Secrétaire général de la province Firmin Bassolé, et le représentant du directeur provincial de l’action humanitaire Etienne Koaré.

Sur la situation des personnes déplacées internes Etienne Koaré a fait savoir que le répertoire a besoin d’être actualisé. Les données chiffrées depuis novembre 2022 sont de l’ordre de 67824 personnes déplacées internes dans la Kossi et ce cap est largement dépassé vu les récents déplacements des villages situés sur l’axe Nouna-Dembo, Nouna-Dédougou, la zone de Sanaba Doumbala.

Les chefs de circonscriptions administratives sont priés par le président du cadre de concertation provincial de prendre contact avec les services de l’action humanitaires afin que ces services bénéficient de leurs apports.
Agence d’information du Burkina
AC/as/ata/ak

Kaya: Des entrepreneurs offrent des vivres et des charrettes à des personnes vulnérables

La bénéficiaire Francine Ouédraogo recevant un sac de riz de 25 kg des mains du président de l’UDEB, Boubacar Kafando (écharpe).

Kaya: Des entrepreneurs offrent des vivres et des charrettes à des personnes vulnérables

 Kaya, le 1er mai 2023 (AIB)-L’Union des entrepreneurs du Burkina (UDEB) a offert, à l’occasion de la fête du travail, 80 sacs de 25 kg de riz et 41 charrettes ‘’pousse-pousse’’ au profit de 120 personnes vulnérables.  

 L’Union des entrepreneures du Burkina (UDEB) a célébré, le 1er mai 2023 à Kaya, la fête du travail à travers le don de vivres et de matériel aux personnes déplacées internes (PDI).

Selon le président de l’UDEB, Boubacar Kafando, le geste est constitué de 41 charrettes pousse-pousse et de 80 sacs de 25 kg de riz au profit de 120 bénéficiaires.

Pour lui, la célébration de la fête du travail auprès des PDI vise à répondre à l’appel des hautes autorités à une solidarité nationale et à l’entraide envers les personnes en situation de détresse.

A entendre M. Kanfando, le choix de Kaya pour célébrer la fête du travail s’explique par le fait que la ville est une localité référentielle en matière d’économie locale, notamment l’artisanat, la maraichère culture.

2. 41 charrettes et 80 sacs de 25 kg de riz ont été offerts aux déplacés internes de Kaya.

Ainsi, le matériel offert permettra aux bénéficiaires d’entreprendre des activités génératrices de revenus afin de redynamiser la croissance économique endogène, corporative et communautaire.

C’est pourquoi, il les a invités à en faire bon usage des charrettes reçues afin d’améliorer leurs conditions de vie et de travail.

Pour la présidente de la Délégation spéciale de Kaya, Solange Kiema a salué l’action de compassion et de solidarité de l’UDEB.

Pour elle, cet acte contribue à l’effort de guerre dans la lutte contre l’hydre terroriste à travers le renforcement de la résilience des communautés affectées par la crise humanitaire.

«Ce matériel offert permettra à ces personnes vulnérables de s’auto prendre en charge donc de relancer l’économie nationale », a-t-elle fait savoir.

Le ban-nakièma du chef de canton du Sanmatenga a salué le geste de l’UDEB qui vise à renforcer la résilience des communautés affectées par la crise sécuritaire et humanitaire.

De ce fait, il a rassuré de la disponibilité du chef de canton du Sanmatenga à accompagner toute action de développement de l’UDEB dans son canton.

Les bénéficiaires ont aussi traduit leur reconnaissance à l’endroit de la donatrice, l’UDEB.

L’éleveuse Honorine Ouédraogo est bénéficiaire d’une charrette (pousse-pousse).

Pour elle, ce matériel lui permettra de facilité son activité d’élevage. «Cette charrette facilitera le transport des aliments à bétail et l’eau pour mes animaux», s’est-elle réjouie.

De ce fait, elle a promis d’en faire bon usage.

Joseph Bamogo, bénéficiaire d’un sac de riz de 25 kg a remercié l’UDEB pour ce geste qui soulagera un tant soit peu sa famille en matière de nourriture.

Agence d’information du Burkina

EARS/ata

 

Revue de presse: la fête du travail et la SNC au menu des quotidiens burkinabè

Burkina-Presse-Revue

Revue de presse: la fête du travail et la SNC au menu des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 2 mai 2023 (AIB) – Les quotidiens de ce mardi évoquent la célébration de la fête du travail au Burkina Faso et l’ouverture la Semaine nationale de la culture (SNC).

« SNC 2023 : Trois coups de tambour pour lancer l’acte 20 », titre à sa Une le quotidien public Sidwaya.

Le journal informe que le Président de la Transition, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, par trois coups de tambour, a officiellement ouvert la 20e édition de la Semaine nationale de la culture (SNC), le samedi 29 avril 2023, à Bobo-Dioulasso.

Le Quotidien d’Etat ajoute qu’une parade des communautés et des délégations, une chorégraphie et un concert d’artistes-musiciens ont meublé la cérémonie.

A ce même sujet, le doyen des quotidiens privé L’Observateur Paalga affiche à sa manchette, « SNC Bobo 2023 : La biennale au rythme de la résilience ».

Le journal indique que la ville de Sya est en train de vibrer depuis samedi 29 avril 2023 au rythme de la Semaine nationale de la culture (SNC) Bobo 2023.

Après la grandiose cérémonie d’ouverture présidée par le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, le comité d’organisation ne cesse de dérouler son programme d’activités marqué surtout par les compétitions du Grand prix national des arts et de la culture (GPNAL).

« SNC Bobo 2023 : Le coup d’envoi donné par le président Ibrahim Traoré », titre à sa Une le quotidien privé Le Pays.

Dans les colonnes de Le Pays, le confrère rappelle que la SNC est placée sous le thème « Diversité culturelle, ferment de l’unité nationale » et que selon le selon le ministre en charge de la Culture, Jean Emmanuel Ouédraogo, cette 20e édition de la SNC s’ouvre dans un contexte particulièrement difficile pour le Burkina Faso, au regard de la situation sécuritaire et humanitaire  difficile.

« SNC 2023 : Les coups de gong de IB qui lancent officiellement les activités », titre à sa manchette le journal privé L’Express du Faso, édité à Bobo Dioulasso.

Sous un autre angle, « Fête du travail : Les travailleurs soumettent leurs doléances au gouvernement », titre à sa Une le quotidien public Sidwaya.

Le journal relate que l’Unité d’action syndicat (UAS) a organisé, le lundi 1er mai 2023 à Ouagadougou, une marche suivie d’une remise de plate-forme revendicative au Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla. L’évènement entre dans le cadre des activités de la fête du travail 2023.

A ce même sujet, Le Pays affiche à sa manchette « Fête du travail au Burkina : La plateforme en 5 points de l’UAS ».

Le journal informe qu’à l’appel de plusieurs syndicats du public et du privé, les travailleurs ont battu le pavé et tenu un meeting à la Bourse du travail, à Ouagadougou, pour commémorer la journée internationale du travail, célébrée tous les 1er mai de l’année.

Le journal poursuit que cette année encore, l’UAS (Unité d’action syndicale) s’est préoccupée par la situation sécuritaire et a remis sa plateforme en cinq points au ministre en charge de la Fonction publique, Bassolma Bazié, en présence du Premier ministre, Apollinaire Kyélem de Tambèla, à l’immeuble de la modernisation, le 1er mai 2023.

« 1er mai : l’UAS sacrifie à la tradition », titre à sa Une le doyen des quotidiens privé L’Observateur Paalga.

Le journal indique que l’Unité d’action syndicale (UAS) a sacrifié à la tradition de la marche- meeting du 1er mai. Partis de la Bourse du travail, les marcheurs ont gagné le ministère de la Fonction publique où ils ont remis leur plateforme revendicative au Premier ministre qui y attendait avec d’autres membres du gouvernement.

« Célébration de la fête du travail à Ouaga : Les syndicalistes plaident pour une garantie de la sécurité des populations et de leurs biens », titre à sa Une le journal privé Le Quotidien.
Agence d’information du Burkina
MAO/as/ata/ak

Burkina/examens scolaires : le ministre Joseph André Ouédraogo donne le top de départ des épreuves sportives

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Burkina/examens scolaires : le ministre Joseph André Ouédraogo donne le top de départ des épreuves sportives

Ouagadougou, 2 mai 2023 (AIB)-Le ministre en charge de l’Education nationale, Joseph André Ouedraogo a donné mardi, au Lycée professionnel régional Guimbi Ouattara de Bobo-Dioulasso, le top de départ des épreuves sportives des examens, session 2023.

Le ministre de l’Education nationale, de l’ Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales, Joseph André Ouedraogo a lancé le mardi 2 mai 2023  l’administration des épreuves sportives des examens, session 2023.

C’est parti pour les épreuves d’Education physique et sportive (EPS) du BEP, BEPC et du CAP session 2023 au Lycée professionnel régional Guimbi Ouattara  de Bobo-Dioulasso, sis ausecteur 22, quartier Yeguéré.

Plot rouge au poing, la main bien levée, candidats sur la ligne de départ  pour la course de vitesse sur 80 m, Joseph André Ouedraogo donne ainsi  le top de départ des épreuves physiques et sportives (EPS) sur le territoire burkinabé. A l’arrivée, les performances sont livrées : 11.6 pour le 1er et 12.2 pour le 2ème.

« Son arrivée peut nous motiver de pouvoir bien  courir,  surtout à faire la gymnastique. Je suis contente qu’il soit venu  nous soutenir. Je suis prête. « , s’est réjouie la  candidate libre au CAP moto-électricien, Faîza Ouattara.

Encourageant les candidats tout en se projetant sur les épreuves écrites à venir, il n’a pas manqué de féliciter l’ensemble des examinateurs, les braves enseignants qui malgré la difficulté de la tâche, jouent leur partition.

Enfin, Joseph André Ouedraogo  a tenu à rassurer l’opinion nationale que son département a pris des dispositions  pour avoir une tenue exemplaire des examens.  Une pensée spéciale a été portée à l’endroit des apprenants qui sont dans une situation difficile obligeant le gouvernement dans certains cas, à les déployer dans des endroits plus sécurisés pour qu’ils  puissent  prendre part aux examens.

Au niveau de la région des Hauts Bassins , ils sont au total  35.005 candidats dont 31.207 aptes qui prendront part à ces épreuves physiques et sportives.

Agence d’information du Burkina

HO/as

Source : DCRP / MENAPLN

Le parlement ougandais amende à la marge une loi anti-LGBT+ controversée   

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Le parlement ougandais amende à la marge une loi anti-LGBT+ controversée

KAMPALA, 2 mai 2023 – Le parlement ougandais a adopté mardi une version amendée d’une loi anti-LGBT+ qui avait suscité l’indignation de nombreuses ONG et gouvernements occidentaux dans laquelle il a maintenu de lourdes peines pour les relations homosexuelles et la « promotion » de l’homosexualité.

 

Face au tollé international, le président Yoweri Museveni avait demandé le 26 avril aux parlementaires de « réexaminer » le texte, les enjoignant notamment à préciser que le « fait d’être homosexuel » n’était pas un crime mais que seules les relations sexuelles l’étaient.

 

Les élus l’ont entendu sur cette disposition. La nouvelle version du texte, consultée par l’AFP, stipule qu' »une personne qui est présumée ou soupçonnée d’être homosexuelle, qui n’a pas commis d’acte sexuel avec une autre personne de même sexe, ne commet pas le délit d’homosexualité ».

 

Dans ce pays où l’homosexualité est illégale, les « actes d’homosexualité » restent passibles de prison à perpétuité. Cette peine existe depuis une loi datant de la colonisation britannique.

 

Les parlementaires ont également maintenu, contre l’avis du chef de l’Etat, une disposition faisant de « l’homosexualité aggravée » un crime capital, ce qui signifie que les récidivistes pourront être condamnés à mort. Incluse dans la législation ougandaise, la peine capitale n’est plus appliquée depuis des années.

 

Une disposition sur la « promotion » de l’homosexualité inquiète également les organisations de défense des droits des homosexuels.

 

Selon le texte, quiconque – particulier ou organisation – « promeut sciemment l’homosexualité » encourt jusqu’à 20 ans de prison. S’il s’agit d’une organisation, elle risque dix ans d’interdiction.

 

– « Culture à protéger » –

Les parlementaires ont également modifié une disposition sur « le devoir de signaler les actes d’homosexualité » qui, selon Yoweri Museveni, présentait « des défis constitutionnels et pourrait être une source de conflits dans la société ».

 

Cette obligation de déclaration, passible de cinq ans de prison, ne concerne désormais que les infractions sexuelles présumées contre des enfants et des personnes vulnérables.

« Nous avons une culture à protéger. Le monde occidental ne viendra pas gouverner l’Ouganda », a déclaré la présidente du Parlement, Annet Anita Among, après le vote du texte, approuvé à l’unanimité moins une voix.

Le projet de loi doit désormais revenir au président, qui peut le promulguer ou non. S’il devait le renvoyer au parlement une nouvelle fois, une « super-majorité » des deux-tiers permettrait aux législateurs de valider le texte définitivement.

Cette version amendée ne rassure pas Frank Mugisha, directeur exécutif de Sexual Minorities Uganda, une organisation de défense des droits des homosexuels dont les activités ont été suspendues par les autorités l’année dernière.

« Il y a une contradiction parce que la législation dit qu’on peut être gay mais qu’il ne faut rien dire à ce sujet », a-t-il déclaré à l’AFP.

Le vote unanime du texte « montre à quel point les députés sont extrêmes et homophobes et met les personnes LGBTQ encore plus en danger », a-t-il souligné.

 

Cette loi bénéficie d’un large soutien populaire et les réactions d’opposition ont été rares dans ce pays dirigé d’une main de fer depuis 1986 par Yoweri Museveni, où la répression contre la société civile, avocats et militants s’est accrue ces dernières années, selon de nombreuses organisations de défense des droits humains.

 

– « Conséquences » économiques –

L’homophobie est répandue en Ouganda, comme à travers l’Afrique de l’Est.

 

S’il n’y a pas eu de poursuite pour des actes homosexuels ces dernières années, harcèlement et intimidations sont le quotidien des homosexuels en Ouganda, où s’est développé un christianisme évangélique particulièrement véhément à l’égard du mouvement LGBT+.

 

Après le vote de la première version de cette loi le 21 mars, l’ONU, Amnesty International, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’UE avaient notamment exhorté Museveni à ne pas promulguer ce texte.

 

La Maison Blanche avait mis en garde l’Ouganda contre de potentielles « conséquences » économiques.

 

Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Volker Türk, avait dénoncé un « texte discriminatoire – probablement le pire au monde en son genre ».

 

Dans une résolution le 20 avril, les Eurodéputés avaient déploré « la contribution du président Museveni à la rhétorique de haine envers les personnes » LGBT+, ajoutant que « les relations entre l’UE et l’Ouganda seront menacées si le président promulgue le projet de loi ».

Avec l’AFP

L’éthique de la Cour suprême des Etats-Unis examinée au Congrès

This US Supreme Court handout photo shows members of the Supreme Court with the President in the Justices’ Conference Room at a courtesy visit prior to the investiture ceremony on June 15, 2017 in Washington,DC. From left to right: Associate Justices Elena Kagan, Samuel A. Alito, Jr., Ruth Bader Ginsburg, and Anthony M. Kennedy, Chief Justice John G. Roberts, Jr., President Donald J. Trump, and Associate Justices Neil M. Gorsuch, Clarence Thomas, Stephen G. Breyer, and Sonia Sotomayor. / AFP PHOTO / Supreme Court of the United States / Fred SCHILLING / RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO / SUPREME COURT OF THE UNITED STATES/FRED SCHILLING" - NO MARKETING NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS

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L’éthique de la Cour suprême des Etats-Unis examinée au Congrès

 

Par Chris Lefkow

 

 WASHINGTON, 2 mai 2023 – La Cour suprême des Etats-Unis, naguère l’une des institutions les plus respectées du pays, voit son étoile pâlir, notamment à cause de récentes controverses liées à l’éthique de ses juges, que le Sénat va examiner mardi dans le détail.

L’audience se déroule à un moment où la popularité de la haute cour, à majorité conservatrice, atteint un plus bas: 58% des Américains considèrent qu’elle fait mal son travail.

La commission judiciaire du Sénat, contrôlée par les démocrates, a organisé cette audition après des polémiques concernant deux juges conservateurs dont l’un, Clarence Thomas, a accepté des largesses d’un homme d’affaires.

Le chef de la Cour suprême John Roberts, également conservateur, a refusé de témoigner devant le Congrès, avançant « des préoccupations liées à la séparation des pouvoirs et à l’importance de préserver l’indépendance de la justice ».

La plus haute instance judiciaire américaine, dont la mission première est de veiller à la constitutionnalité des lois, tranche les importants débats de société aux Etats-Unis. En particulier sur des questions sensibles: avortement, mariage homosexuel, discriminations raciales, peine de mort, litiges électoraux, port d’arme, etc. Ses neuf juges, nommés à vie, bénéficient d’une inamovibilité de fait.

Ces derniers ne seront donc pas présents lors de l’audience, qui débutera à 10H00 (14H00 GMT). Mais la liste des cinq témoins appelés comprend d’anciens juges fédéraux — dont l’un a été ministre de la justice du président George W. Bush –, un professeur de droit ou encore un spécialiste de l’éthique.

Clarence Thomas, juge le plus conservateur de la Cour, s’est retrouvé dans la tempête quand le média ProPublica a révélé qu’il avait accepté, sans les déclarer, des cadeaux coûteux, dont des vols en jet privé ou des croisières sur un méga-yacht, de la part du milliardaire républicain Harlan Crow.

Il s’est défendu en assurant que les règles encadrant les déclarations autour de ce type de séjours avaient changé et que M. Crow n’avait aucune affaire en cours devant la Cour suprême.

Harlan Crow a donné plus de 10 millions de dollars à des organisations républicaines, selon ProPublica, dont 500.000 à un groupe conservateur fondé par la femme du juge, Ginni Thomas.

Cette dernière, lobbyiste et militante, avait déjà fait polémique à cause de son implication dans la croisade de Donald Trump pour prouver – à tort – que la présidentielle de 2020 lui avait été volée.

Et Clarence Thomas n’est pas le seul juge à avoir attiré l’attention.

Son collègue conservateur Neil Gorsuch a vendu, juste après sa confirmation à la Cour suprême en 2017, une grande propriété dans le Colorado au directeur du cabinet d’avocats Greenberg Traurig qui plaide régulièrement des affaires devant la haute cour, selon Politico.

– Fuite et tumultes –

Toute cette agitation survient après une année tumultueuse pour la Cour suprême.

Elle a annulé la protection constitutionnelle de l’avortement, limité les moyens de l’Etat fédéral pour lutter contre le réchauffement climatique ou encore renforcé le droit à porter une arme.

L’institution a aussi subi une fuite inédite. Sa décision sur l’avortement, qui a permis à une quinzaine d’Etats de l’interdire, avait été obtenue par Politico avant sa publication.

Si une audition parlementaire sur l’éthique de la Cour suprême est inhabituelle, il est aussi rare qu’elle soit au coeur de polémiques sur « tant de juges et tant de sujets », explique Steven Schwinn, professeur de droit à l’université de l’Illinois à Chicago.

Cela tire encore davantage vers le bas les « niveaux de confiance et de popularité » déjà historiquement faibles et mine l’image d’une cour censée être « spéciale » et « indépendante », affirme-t-il à l’AFP.

Dans sa lettre invitant le chef de la Cour suprême à témoigner, le chef de la commission judiciaire du Sénat Dick Durbin avait noté que « les révélations concernant des juges qui ne respectent pas les règles éthiques attendues (n’avaient) cessé de se multiplier ».

John Roberts avait joint à sa réponse une copie des directives éthiques de la Cour suprême et une déclaration signée par les neuf sages dans laquelle ils réaffirmaient « les principes et pratiques éthiques fondamentaux ».

Les juges de la haute cour sont les seuls juges fédéraux qui échappent à un code de conduite explicite. Selon le professeur Steven Schwinn, les récentes controverses illustrent les limites de leur « auto-supervision ».

Avec l’AFP

Retraites: les syndicats maintiennent la pression, nouvelle journée d’action le 6 juin

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Retraites: les syndicats maintiennent la pression, nouvelle journée d’action le 6 juin

Par Fabrice RANDOUX, Lucie PEYTERMANN

 

PARIS, 2 mai 2023  – Les syndicats en France ont appelé mardi à une quatorzième journée d’action le 6 juin, pour « se faire entendre » des députés qui examineront le 8 juin une proposition de loi visant à abroger la réforme des retraites qui suscite toujours une vive colère sociale, au lendemain d’une forte mobilisation lors des manifestations du 1er mai.

« Nous appelons unitairement nos organisations à aller rencontrer les députés partout pour les appeler à voter cette proposition de loi. Dans ce cadre, l’intersyndicale appelle à multiplier les initiatives avec notamment une nouvelle journée d’action commune, de grèves et de manifestions le 6 juin », écrivent les syndicats dans un communiqué.

Cette proposition de loi déposée par un petit groupe centriste « permettra pour la première fois à la représentation nationale de se prononcer par un vote sur la réforme des retraites », soulignent-ils.

La décision du gouvernement français de recourir mi-mars à l’article 49-3 de la Constitution –qui permet d’adopter un texte sans vote au Parlement– pour faire passer cette réforme controversée a entraîné un net durcissement de la contestation.

L’essentiel de la réforme a ensuite été validée par le Conseil constitutionnel et elle a été promulguée.

La colère se cristallise sur le report de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite, mesure phare que syndicats et manifestants jugent « injuste », en particulier pour les femmes et ceux qui exercent des métiers pénibles.

Un éventuel vote favorable de la proposition de loi le 8 juin ne serait que le début d’un parcours parlementaire, mais constituerait une claque pour l’exécutif français.

« Il y a forcément un risque parce que nous sommes dans une majorité relative », a reconnu lundi soir le ministre du Travail, Olivier Dussopt.

Les manifestations du 1er mai ont rassemblé en France près de 800.000 personnes selon la police (2,3 millions selon le syndicat CGT).

Si elle était loin des niveaux record de fin janvier –près de 1,3 million de manifestants selon le ministère de l’Intérieur–, la mobilisation est restée forte après 12 journées de défilés, et bien au-delà d’un 1er mai classique.

– « Pas de retour à la normale » –

Les défilés ont été marqués par des heurts parfois violents dans plusieurs villes dont Paris, Nantes (Ouest) et Lyon (Est).

Dans son communiqué, l’intersyndicale prend note du fait que « le gouvernement a annoncé l’ouverture d’un cycle de concertations sans que l’objet ni le cadre ne soient précisément fixés ».

« La défiance est profonde et le dialogue ne pourra être rétabli que si le gouvernement prouve sa volonté de prendre enfin en compte les propositions des organisations syndicales », concluent-elles.

A plus court terme, les syndicats attendent la décision du Conseil constitutionnel qui doit se prononcer mercredi sur une deuxième demande de référendum d’initiative partagée (RIP).

De son côté, la cheffe de file des députés LFI (La France Insoumise – gauche radicale), Mathilde Panot, a martelé mardi qu’il n’y aurait « pas de retour à la normale » à l’Assemblée nationale et dans le pays, tant que la réforme des retraites est maintenue.

« Nous n’allons pas tourner la page », a-t-elle assuré devant la presse, à la reprise des travaux parlementaires après quinze jours de pause.

« Manifestations: Mai après? », a titré mardi le quotidien de gauche Libération, notant que « la colère ne faiblit pas » et qu' »opposition et syndicats étudient de nouvelles pistes de riposte ».

« Les jours d’après », titrait dans son éditorial le journal Le Figaro (droite). « Parlement bloqué, opinion à vif, corps intermédiaires rétifs… Les cortèges auront beau s’étioler avec l’été, l’adversité s’est installée ».

Après plus de trois mois de conflit, les manifestants se sont dits toujours autant déterminés à obtenir le retrait de la réforme.

« Je ressens de la colère, de la révolte même contre le mépris de ce gouvernement », a déclaré lundi à Strasbourg (Est) à l’AFP Lucie Acker, 42 ans, cadre en collectivité territoriale. « Je suis vraiment écoeurée par l’entrée en vigueur de la réforme des retraites. J’ai même ressenti une forme d’humiliation d’être à ce point ignorée ».

Alors que la France est l’un des pays européens où l’âge de départ à la retraite est le plus bas, mais avec des systèmes très différents, l’exécutif a justifié son projet par la nécessité de répondre à la dégradation financière des caisses de retraite et au vieillissement de la population.

Avec l’AFP

 

Burkina: Les Editions Sidwaya lancent son imprimérie régionale de l’Ouest

Burkina: Les Editions Sidwaya lancent son imprimérie régionale de l’Ouest

Bobo-Dioulasso, 2 mai 2023(AIB)-L’entreprise publique de presse au Burkina, Les Editions Sidwaya, a lancé mardi à Bobo-Dioulasso, son imprimerie régionale de l’Ouest, en présence du ministre en charge de la Communication Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo et de sa première responsable Assétou Badoh/Guiré.

Agence d’Information du Burkina (AIB)

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Marché des arts à la SNC : Une occasion de découvrir des trésors artistiques

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Marché des arts à la SNC : Une occasion de découvrir des trésors artistiques

Bobo-Dioulasso, 1er mai 2023 (AIB)-A l’occasion de la 20e édition de la semaine nationale de la culture (SNC), le ministre de l’Economie, des Finances et de la Prospective, Aboubacar Nacanabo, a procédé à l’ouverture du Marché des arts, le lundi 1er mai 2023 à la maison de la Culture Mgr Anselme Titianma Sanon.

Une occasion particulière de célébrer la richesse et la diversité de l’art dans le pays, ainsi que d’encourager les artistes à poursuivre leur travail créatif.

L’art est à l’honneur à cette 20e édition de la Semaine nationale de la culture (SNC). A cet effet, le Marché des arts a ouvert ses portes au public le lundi 1er mai 2023 à la maison de la Culture Mgr Anselme Titianma Sanon.

Le ministre en charge de l’Economie, Aboubacar Nacanabo

Le top de départ dudit marché a été donné par le ministre de l’Economie, des Finances et de la Prospective, Aboubacar Nacanabo, en compagnie de ses homologues en charge de l’Action humanitaire, Nandy Somé et de l’Economie numérique, Aminata Zerbo.

Ce marché rassemble des artistes et des amateurs d’art de tout le pays. Le ministre a souligné l’importance de la culture et de l’art dans le développement économique et social du pays.

Il a également souligné l’engagement du gouvernement à soutenir les artistes et à promouvoir leur travail. Pour lui, le marché des arts est une opportunité donné aux artistes d’exprimer leur talent.

« Ce talent peut être transformé en énergie positive pour le développement économique et social du Burkina Faso », a-t-il laissé entendre.

A l’écouter, les artistes sont à féliciter et à encourager car ils occupent une place importante dans le développement du Burkina Faso.

L’artiste plasticien, peintre sculpteur, Diangané Seydou Rogé Malogam espère remporter le premier prix avec sa sculpture

« Nous pensons que la contribution des artistes est vraiment très importante et nous voyons comment ils font preuve d’innovations, de créativité et comment ils laissent voyager leurs esprits pour nous sortir des œuvres qui sont vraiment très belles », a ajouté le ministre.

Après le discours du ministre, la cérémonie a été marquée par la coupure du ruban symbolique pour inaugurer le Marché des arts et l’exposition des œuvres en compétition.

28 œuvres en compétition dans trois catégories

Des dizaines d’artistes ont soumis leurs œuvres pour être examinées par un jury, qui détermineront les gagnants dans les trois différentes catégories.

Nous avons 7 œuvres dans la catégorie Batik, 9 en sculpture et 12 œuvres en peinture. Les œuvres en compétition sont exposées dans une galerie spécialement aménagée pour l’occasion.

La visite guidée des œuvres en compétition a été menée par un membre du jury, qui a expliqué les différents critères utilisés pour évaluer les œuvres.

Les visiteurs ont eu l’occasion de découvrir des œuvres d’art exceptionnelles, allant des peintures et des sculptures, en passant par le batik.

28 œuvres sont en compétition dans trois catégories (Batik, sculpture et peinture)

Le peintre et sculpteur Diangané Seydou Rogé Malogam y est présent avec une sculpture composée de plusieurs sujets tels que la cohésion sociale, la conservation de la tradition et la culture, l’emblème sacré du Burkina Faso et le flambeau de la liberté.

Il n’est pas à sa première participation. Il a déjà remporté deux fois le 3e prix et un prix spécial. Cette année, il espère remporter le premier prix avec sa sculpture.

Les visiteurs ont été impressionnés par la qualité et la diversité des œuvres exposées, qui reflètent la richesse de l’art dans le pays.

L’événement a suscité l’enthousiasme des artistes et des visiteurs, qui ont salué cette initiative de promotion de l’art dans le pays.

La SNC est une occasion unique pour les artistes de se connecter avec un public plus large et de partager leur vision créative avec le monde entier.

Agence d’information du Burkina

NN/wis 

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