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Burkina : L’élève en journalisme Hassan Nang-Ouldé Malloum dédicace « Les revers d’Amina »

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Burkina : L’élève en journalisme Hassan Nang-Ouldé Malloum dédicace « Les revers d’Amina »

Ouagadougou, 17 mai 2023 (AIB)-L’élève en journalisme de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) Hassan Nang-Ouldé Malloum a dédicacé le samedi 13 mai 2023 à Ouagadougou, son roman « Les revers d’Amina ».

Selon l’auteur le tchadien Hassan Nang-Ouldé Malloum, c’est un roman de 90 pages qui relate la vie d’une jeune fille au destin singulier qui, d’un seul regard fait plonger le monde dans un océan d’amour et de convoitise sans fin.

L’auteur du roman « Les revers d’Amina », Hassan Nang-Ouldé Malloum

Le roman évoque aussi le mariage AMCHILINI, une forme de mariage qui intervient comme une solution pour lutter contre le vagabondage sexuel en donnant la chance aux femmes de choisir un homme dans la société et se marier légalement, a souligné l’auteur, élève de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC).

« C’est un mariage acté par les autorités traditionnelles et religieuses de la place », a-t-il affirmé et précisé que « le roman a été édité fin décembre 2022 au Cameroun ».

« Mon souhait est que le livre touche un grand nombre de lecteurs et les permettent de connaître la culture tchadienne mais aussi et surtout de comprendre la question du mariage AMCHILINI qui, est très mal compris par certaines personnes », a affirmé Hassan Nang-Ouldé Malloum.

La dédicace s’est déroulée en présence de l’ambassadeur du Tchad au Burkina Faso, de la nouvelle Directrice générale (DG) de l’ISTIC, du parrain de l’événement l’ex DG l’ISTIC Zoumana Traoré, de plusieurs enseignants et élèves de l’école de journalisme publique.

Agence d’information du Burkina

WIS/ak 

Houet : Le tableau prévisionnel des emplois et des effectifs adopté

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Houet : Le tableau prévisionnel des emplois et des effectifs adopté

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le ministère des Transports, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière a tenu, le lundi 15 mai 2023 à Bobo-Dioulasso, la première session ordinaire de son conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de l’année 2023.

Le Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) du ministère des Transports, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière était en conclave le lundi 15 mai 2023 à Bobo-Dioulasso.

C’était à l’occasion de sa première session ordinaire de l’année, sous le thème : « Résilience des populations aux chocs sécuritaires et humanitaires : quelles stratégies pour promouvoir et améliorer les services de transport et répondre aux besoins de mobilité et de sécurité des populations ?».

Les travaux ont ainsi permis d’examiner et d’adopter le rapport d’activités de l’année 2022 et le tableau prévisionnel des emplois et des effectifs (TPEE) du ministère.

A cela s’ajoute une présentation de la stratégie nationale de développement de l’aviation civile et celle de la mobilité urbaine qui a éclairé les administrateurs sur la vision de ministère pour le développement de ces deux sous-secteurs.

Pour répondre à l’interrogation du thème principal, trois sous-thèmes ont été abordés durant les travaux.

Il s’agit de « Transport aérien dans un contexte de crise sanitaire, sécuritaire et économique », « Sécurité routière : forces, faiblesses et perspectives pour le système d’enseignement automobile au Burkina Faso », et « Le port de casque : enjeux et stratégies d’adhésion des populations ».

Pour le ministre en charge des Transports, Roland Somda, le choix de Bobo-Dioulasso pour tenir cette session du CASEM, s’inscrit dans la dynamique de relance des activités aéroportuaires, de la promotion de la mobilité urbaine et de la sécurité routière dans les Hauts-Bassins.

« Cette instance nous donne l’occasion de procéder à une évaluation exhaustive de notre intervention au cours de l’année 2022 tout en corrigeant, en améliorant et en innovant pour des résultats plus performants », a affirmé Roland Somda.

Selon le ministre Somda, son département a enregistré au 31 décembre 2022, un taux global de réalisation de ses objectifs de 72,47%.

« Ces résultats sont le fruit de la mise en œuvre des actions inscrites dans le pilier 3 du Plan d’action pour la stabilisation et le développement », a-t-il poursuivi.

Pour une amélioration de cette performance, M. Somda a signifié que la mobilisation de ressources humaines de qualité est nécessaire.

« Pour ce faire, la Direction des ressources humaines a élaboré un projet de Tableau prévisionnel des emplois et des effectifs qui a été adopté », a-t-il renchéri.

Il a en outre reconnu que l’année 2022 a été une année difficile pour le secteur des transports burkinabè qui a subi et continue de subir des ralentissements « majeurs » dus à la double crise sécuritaire et humanitaire et à la guerre russo-ukrainienne.

Selon ses dires, cette situation appelle à plus de concertation, de réflexion et d’initiatives pour une meilleure résilience, d’où le choix du thème de ce CASEM.

« Le thème nous offre un cadre d’échanges et d’orientation de nos actions en vue de relever les défis majeurs et de développer des actions de résilience pour une efficacité plus accrue du secteur des transports », a indiqué M. Somda.

Il a invité les acteurs de s’engager à faire du secteur des transports, un domaine résilient et porteur d’espoir malgré les multiples chocs qu’il subit.

« La mise en œuvre des engagements pris lors de la session, comme l’a indiqué le premier responsable du département des transports, nécessite la mobilisation de l’ensemble des acteurs de développement des transports », a-t-il ajouté.

Pour lui, les conclusions auxquelles nous sommes parvenues se doivent d’être une boussole dans la mise en œuvre efficace des actions futures et des leviers de consolidation des acquis.

Agence d’information du Burkina

ASB/hb/bz

Houet : Des jeunes du quartier Belleville rendent propre leur cadre de vie

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Houet : Des jeunes du quartier Belleville rendent propre leur cadre de vie

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Des jeunes du quartier Belleville de Bobo-Dioulasso ont organisé, le dimanche 14 mai 2023, une journée de salubrité, à la carrière abandonnée située non loin de l’Institut des sciences de santé (INSSA), qui sert de dépotoir d’ordures ménagères pour les riverains.

Très tôt au matin du dimanche 14 mai 2023, des jeunes de Belleville de Bobo-Dioulasso munis de pelles, de balais, de râteaux … ont pris d’assaut l’ancienne carrière du quartier et située non loin de l’Institut des sciences de la santé (INSSA) qui sert aujourd’hui de dépotoir d’ordures ménagères. Leur seul objectif, rendre propre ce lieu.

Selon Florian Ludovic Ouédraogo, riverain, cette opération dénommée « quartier propre » dont il est l’un des initiateurs, est partie du constat qu’il y avait une grande fosse derrière les concessions qui sert à verser les ordures ménagères.

Il a souligné que ces ordures sont incendiées chaque soir. Toute chose qui enfume les riverains et peut leur donner des maladies. D’où la nécessité de mener cette opération.

« Nous demandons aux riverains de ne plus venir verser les ordures sur le site et de se faire enrôler dans les associations de ramassage et de collecte d’ordures », a-t-il fait savoir.

Même son de cloche pour la responsable du service de l’environnement à l’arrondissement 7 de Bobo-Dioulasso, Awa Ouédraogo, qui a invité les riverains à mettre leurs ordures dans des sacs ou dans des récipients et à faire appel aux associations de ramassage d’ordures.

« Des mesures seront prises bientôt pour interdire le versement des ordures sur ce site », a-t-elle affirmé.

Embouchant la même trompette, l’agent au service départemental de l’environnement de Bobo-Dioulasso, Mahamadi Bougoum, a félicité et a encouragé les jeunes pour cette initiative « louable », tout en exhortant les uns et les autres à emboîter leur pas.

Il a également invité la population à arrêter de verser les ordures ménagères sur le site et à passer par les services de collecte, car, toutes les actions polluent l’environnement.

Pour sa part, le président de l’association nationale des personnes âgées à l’arrondissement 7, Konaté Lassina, a salué l’initiative des jeunes.

C’est pourquoi, il s’est engagé à confectionner des panneaux où on pourrait lire « interdit de verser les ordures ici ».

« Nous invitons les habitants à mettre leurs ordures dans les sacs ou dans les barriques et les associations de ramassage d’ordures passerons prendre », a-t-il réitéré.

M. Konaté a enfin appelé chacun à sensibiliser son voisin afin que Belleville soit le quartier le plus propre de Bobo-Dioulasso.

Agence d’information du Burkina

BJMT/hb/bz

Burkina : Le conseil supérieur de la communication annonce la mise en place prochaine d’un organe d’autorégulation de la publicité

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Burkina : Le conseil supérieur de la communication annonce la mise en place prochaine d’un organe d’autorégulation de la publicité

Ouagadougou 16 mai 2023(AIB)-Le président du conseil supérieur de la communication (CSC), Abdoul Aziz Bamogo a annoncé le mardi, la mise en place prochaine d’un organe d’autorégulation de la publicité permettant de vérifier en amont les contenus publicitaires avant la diffusion.

« Pour la mise en place de cet organe, les acteurs vont se concerter mais pour le conseil supérieur de la communication (CSC), il faut y aller rapidement, tout au plus une semaine », a déclaré ce mardi son président Abdoul Aziz Bamogo au cours d’une rencontre.

La rencontre a réunit des représentants de publicitaires, d’annonceurs, de médias et d’associations de défenseurs de consommateurs.

Selon M. Bamogo, l’organe d’autorégulation de la publicité viendra combler les limites du Conseil supérieur de la communication en matière de régulation de la publicité et sa création est autorisé par la loi.

Il a expliqué que le CSC n’intervient qu’après un manquement alors que l’organe d’autorégulation va permettre de vérifier les contenus publicitaires en amont, donner des conseils aux annonceurs et aux publicitaires de sorte que toute publicité qui sera diffusé, le soit sans problème.

L’organe d’autorégulation de la publicité va venir s’ajouter à celui du journalisme qui est l’Observatoire burkinabè des médias (OBM) créé en 2012.

« Cet instrument de régulation par les pairs (OBM) œuvre depuis lors à la consolidation du professionnalisme par le respect de l’éthique et de la déontologie du métier de journaliste », a souligné M. Bamogo.

A l’instar de l’OBM, l’organe d’autorégulation de la publicité sera « un allié pour le CSC dans l’application de la règlementation relative au domaine publicitaire », a-t-il affirmé.

Selon la présidente de publicitaires associés, Aicha Dabré, l’organe d’autorégulation permettra d’assainir leur milieu et ils auront une concurrence saine après son installation.

« C’est un organe que nous avons souhaité parce nous avons travaillé sur ces textes. Il pourra nous aider à faire respecter la loi et les manquements au niveau de la publicité », a-t-elle indiqué.

Depuis sa création en 1995, le CSC travaille à garantir la liberté de la presse, le droit du citoyen à l’information et à veiller à l’application de la législation régissant le secteur de l’information, de la communication et de la publicité au Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

FD/wis

Houet/Concours d’art oratoire : Le Lycée Vinama Thiemounou remporte la première édition

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Houet/Concours d’art oratoire : Le Lycée Vinama Thiemounou remporte la première édition

Bobo-Dioulasso, (AIB)-La finale de la première édition du concours d’art oratoire « Sans tabou » sur la Santé sexuelle et reproductive (SSR) des adolescents et jeunes a eu lieu le samedi 13 mai 2023 à Bobo-Dioulasso. Le Lycée municipal Vinama Thiemounou Djibril s’adjuge la victoire face au Lycée privé Maranatha.

Lancée le samedi 8 avril 2023 à Bobo-Dioulasso, la première édition du concours d’art oratoire « Sans tabou », compétition inter-établissement de la ville de Bobo-Dioulasso consacrée à la Santé sexuelle et reproductive (SSR) des adolescents et jeunes, a connu son épilogue ce samedi 13 mai 2023.

La finale a mis aux prises le Lycée municipal Vinama Thiemounou Djibril et le Lycée privé Maranatha sur le thème : « Le smartphone, principal cause de la dépravation des mœurs au Burkina Faso. Pour ou contre ? ».

Après environ 25 minutes « d’houleux » échanges, c’est le Lycée municipal Vinama Thiemounou Djibril qui a convaincu le jury. Le président du jury, Zakaria Zagré, s’est félicité du niveau des débats.

« Les deux écoles ont mérité de gagner mais il fallait faire un choix », a-t-il affirmé.

Le Lycée Sainte marie de Tounouma s’est classé troisième en remportant son débat face au Lycée de Banfora, sur le thème : « Le préservatif, l’unique moyen de lutte contre les grossesses non désirées ».

Le Lycée municipal Vinama Thiemounou Djibril s’en sort avec la somme de 30 000 F CFA et le Lycée privé Maranatha avec 20 000 F CFA.

Les meilleurs orateurs et oratrices ont été primés.

Le promoteur du concours « Sans tabou », Franc Kagoné, s’est dit satisfait de l’organisation de cette première édition.

« Le pari a été gagné au vu de l’engouement et de la mobilisation des élèves », a-t-il dit.

A l’écouter, le concours « Sans tabou » vise à créer une plateforme d’échanges où les adolescents et jeunes pourront s’initier à l’art oratoire et surtout avoir la bonne information en matière de la santé sexuelle et reproductive afin d’être des relais auprès de la majorité.

Agence d’information du Burkina

BJMT/hb/bz

Houet : Les FAMA se tiendront du 18 au 20 mai 2023

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Houet : Les FAMA se tiendront du 18 au 20 mai 2023

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Les organisateurs des Faso music Awards (FAMA) ont présenté lors une conférence de presse, le mercredi 3 mai 2023 à Bobo-Dioulasso, les grandes lignes de la 10e édition de cet événement majeur de la scène musicale burkinabè, qui se tiendra du 18 au 20 mai 2023 à Ouagadougou.

Placée sous le thème : « Les enjeux de la diplomatie culturelle au Burkina Faso », la 10e édition des Faso music Awards (FAMA) aura lieu du 18 au 20 mai prochain à Ouagadougou.

L’information a été donnée au cours d’une conférence de presse, le 3 mai 2023 à Bobo-Dioulasso, en marge de la Semaine nationale de la culture (SNC).

Selon le coordonnateur général des FAMA, Youssef Ouédraogo, cette édition sera marquée par un programme « très alléchant ». Il s’agit d’un panel, du FAMA off et de la cérémonie de remise de trophées.

Les organisateurs ont ensuite présenté les différentes catégories de prix qui seront décernés lors de la cérémonie, parmi lesquelles on retrouve « l’artiste de l’année », « le réalisateur vidéo-clip de l’année », « le manager de l’année » et « le FAMA de l’année ».

Ils ont également indiqué que cette année, des prix spéciaux seront décernés à des personnalités du monde de la musique dans 5 catégories qui sont la plateforme culture, l’album de l’année, le tube de l’année, le prix de l’ambassade du Maroc et le jeune maître de cérémonie.

Les nominées au sacre suprême de l’évènement sont Honoré Bambara (Hono management), Madame Toé Foro (Takoun Production) et Sofiane Coulibaly (Groupe Ebony).

Les journalistes ont ensuite posé plusieurs questions aux organisateurs des FAMA, notamment sur le choix des catégories et des lauréats, sur les critères de sélection et sur la différence entre cet évènement et les Kundé.

Les organisateurs ont répondu qu’ils avaient travaillé à garantir l’équité et la transparence dans la sélection des nominés et des lauréats.

Ils ont rappelé que cet événement était avant tout une célébration de la musique burkinabè et qu’ils espéraient que cette édition contribuerait à la promotion de la culture musicale du Burkina Faso à travers le monde.

Agence d’information du Burkina

NN/hb/bz

Houet : Le premier évêque, Mgr André Dupont repose désormais à la crypte

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Houet : Le premier évêque, Mgr André Dupont repose désormais à la crypte

Bobo-Dioulasso, (AIB)-L’archevêque métropolitain de Bobo-Dioulasso, Mgr Paul Ouédraogo, a présidé le samedi 13 mai 2023, la messe de translation du corps (transfert d’un lieu à un autre) du premier évêque de Bobo-Dioulasso, Mgr André Dupont, du baptistère de la cathédrale Notre Dame de Lourdes au caveau, sis à la crypte de la même cathédrale.

 

Décédé le 21 février 1999 à Bry-sur-Marne en France à l’âge de 97 ans, le corps du premier évêque du diocèse de Bobo-Dioulasso, Mgr André Dupont, avait été transféré au Burkina Faso le 5 mars 1999 puis inhumé le 8 mars 1999 au baptistère de la cathédrale Notre Dame de Lourdes à Bobo-Dioulasso.

A la faveur de la réhabilitation de la cathédrale, huit caveaux ont été aménagés à la crypte de la même cathédrale.

C’est dans l’un de ces caveaux que repose désormais Mgr André Dupont.

La translation du corps a été faite, le samedi 13 mai 2023, après une messe présidée par l’archevêque métropolitain de Bobo-Dioulasso, Mgr Paul Ouédraogo.

Il a dit rendre grâce à Dieu pour le travail apostolique de Mgr Dupont à Bobo-Dioulasso jusqu’au 5 avril 1975 où il a passé le témoin à l’archevêque émérite, Mgr Anselme Titianma Sanon, présent à la messe.

« Ce n’est pas une messe de requiem. Ce n’est pas une messe où nous sommes venus pleurer. Nous sommes venus rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’il a permis à Mgr Dupont de réaliser pour ce diocèse, la ville de Bobo-Dioulasso et la région des Hauts-Bassins où il a servi de 1941 à 1975 », a-t-il précisé.

Le prélat s’est dit heureux d’avoir conduit son prédécesseur dans ce caveau prévu à cet effet.

Il n’a pas caché son émotion d’être le dernier prêtre à avoir été ordonné par Mgr André Dupont, avant de rassurer que la crypte sera ouverte aux fidèles qui voudraient la visiter.

« Mais pour des raisons de sécurité, la visite se fera à la demande », a-t-il affirmé.

Fondateur de l’institut famille des Sœurs de l’Annonciation de Bobo (SAB), Mgr André Dupont est né le 17 janvier 1902 à Saint-André-Liz-Lille, en France, et était considéré comme le père des écoles dans l’Ouest du Burkina Faso.

Il s’est investi dans le domaine de l’éducation pour l’ouverture de plusieurs écoles primaires et secondaires, comme le petit séminaire de Nasso, le collège privé catholique de Toussiana, le collège de Tounouma garçon à Bobo-Dioulasso, le collège sainte Thérèse de Banfora, des centres de formation féminine dont celui d’Hamdallaye devenu lycée Adelaïde de Cicé à Ouagadougou.

Mgr André Dupont est également le fondateur de plusieurs paroisses dans l’Ouest du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

BJMT/hb/bz

Sissily/Sport : Le directeur provincial sortant honoré par ses anciens collaborateurs

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Sissily/Sport : Le directeur provincial sortant honoré par ses anciens collaborateurs

Léo, (AIB)- Le personnel de la direction provinciale des sports et loisirs de la Sissili a organisé le vendredi 12 mai 2023 à Léo, une cérémonie d’hommage au directeur provincial sortant, Madou Coulibaly.

Après sept années passées à la tête de la direction provinciale des sports et loisirs de Léo, Madou Coulibaly, quitte la province de la Sissili pour le Centre-Nord. Cette journée d’hommage découle de la volonté du personnel de la direction provinciale des sports et loisirs de la Sissili de témoigner toute sa gratitude et reconnaissance à l’ex-directeur provincial, Madou Coulibaly, pour les bons et loyaux services accomplis durant son séjour à la tête de cette structure.

Le représentant du personnel et celui du club des sportifs ont successivement salué l’engagement sans faille d’un homme qui a œuvré pour la bonne marche et la conduite des activités de la direction.

Le représentant du personnel a également félicité l’ex-directeur provincial en charge du sport pour sa nomination à la tête de la direction régionale des sports et loisirs de Kaya, chef-lieu de la région du centre-Nord.

Il a enfin imploré le tout puissant pour qu’il l’accompagne dans sa nouvelle charge.

L’ex-directeur provincial des sports et loisirs de la Sissili, Madou Coulibaly, a d’abord fait le point des activités réalisées sous son leadership.

M. Coulibaly a ensuite salué les plus hautes autorités du pays pour la confiance à lui renouveler en le nommant directeur régional des sports et loisirs du centre-Nord.

«  Je suis au soir de mon séjour mais l’habitude que je vais rompre brutalement me fait très mal au cœur », a-t-il indiqué.

Il a attribué les résultats satisfaisants à la tête de la structure provinciale à l’engagement de l’ensemble du personnel de ladite structure.

L’ex-directeur a enfin réitéré sa reconnaissance aux autorités locales, à l’ensemble des corps constitués et à toutes les bonnes volontés pour l’accompagnement constant durant son mandat.

Le haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewendé Isaac Sia, a félicité le directeur sortant pour le travail abattu.

Agence d’information du Burkina                                  OAN/dnk

 

 

Burkina : Notre vision est de faire de nos centres, de véritables creusets de formations (ministre)

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Burkina : Notre vision est de faire de nos centres, de véritables creusets de formations (ministre)

Ouagadougou, 16 mai 2023 (AIB)-Le ministre en charge des Arts, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a indiqué ce mardi à Ouagadougou, à l’occasion de la remise d’attestations de masters-classes à des stagiaires en fin de formation que la vision du gouvernement « est de faire de nos centres, de véritables creusets de formations de ressources humaines de qualité ».

« Dans un monde en pleine mutation, la formation est un axe central de toute politique ambitieuse et notre vision est de faire de nos centres, de véritables creusets de formations de ressources humaines de qualité capables de répondre à nos ambitions », a indiqué le ministre en charge de la Culture et des arts, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le ministre de la Communication, de la Culture, des arts et du tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo (à droite) remettant une attestation de masters-classes 

Le ministre de la Communication, de la Culture, des arts et du tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, s’exprimait mardi à Ouagadougou à l’occasion de la remise d’attestations de masters-classes à 29 stagiaires de l’Institut national de formation artistiques et culturelle (INAFAC).

Pour M. Ouédraogo, les productions de l’Institut national de formation artistique et culturelle (INAFAC) lui confortent dans sa conviction qu’il est animé par de grands professionnels sur « qui nous pouvons compter ». Il leur a rendu hommage et les a encouragés dans leur « noble mission ».

Monsieur Ouédraogo s’est dit impressionné par les réalisations des stagiaires au terme de ces deux semaines de formations qu’ils ont reçus. Il les a encouragé à continuer à se faire former à l’INAFAC.

Selon lui, « lorsqu’on voit les réalisations, cela montre vraiment la qualité et le sérieux qui est mis dans la formation, que ce soit en art plastique, que ce soit au niveau de la musique, on a déjà vu des résultats concrets en deux semaines de formations ».

Cependant, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a reconnu que malgré ces multiples efforts consentis, les défis restent énormes à savoir le renforcement des capacités techniques et pédagogiques des formateurs.

Egalement, le recrutement de formateurs en musique, en arts plastiques et danses, en maintenance des équipements, en construction et en équipement d’infrastructures. Il a rassuré que ces efforts consentis seront poursuivis et intensifiés en tenant compte des réalités du moment.

Le ministre Ouédraogo a souligné qu’aucun sacrifice, ne sera de trop pour travailler à hisser l’INAFAC au rang d’une école artistique d’expérience et de référence.

Crée par Zatu du 10 septembre 1985 sous l’appellation, Académie populaire des arts, la structure a plusieurs fois changé de nom et s’appelle depuis le 5 décembre 2000, « Institut national de formation artistique et culturelle » (INAFAC). La formation se fait pendant trois ans à l’INAFAC pour obtenir la licence à la fin.

Agence d’information du Burkina

BA/wis

Burkina-SNC-Lauréat-Province Kénedougou/SNC 2023 : Les lauréats présentent leurs prix au Haut-Commissaire              

Burkina-SNC-Lauréat-Province

Kénedougou/SNC 2023 : Les lauréats présentent leurs prix au Haut-Commissaire              

 Orodara, 16 mai 2023 (AIB)-Les troupes lauréates de la province du Kénedougou à la 20e édition de la semaine nationale de la culture ont présenté leurs prix au Haut-commissaire de la province, Saïdou Sakira.

Les troupes lauréates de la province du Kénedougou à la 20e édition de la semaine nationale de la culture ont présenté les différents prix engrangés au premier responsable de la province.

Le porte- parole des artistes, Yacouba Coulibaly dit ‘’Vieux père Choc’’, a remercié les autorités communales et provinciales pour le soutien qu’ils ont bénéficié.

Selon lui, cela leur a permis de représenter dignement la province à cette biennale.

Le Haut-commissaire de la province du Kénedougou, Saïdou Sakira, a félicité l’ensemble des troupes pour avoir honoré la province à travers l’obtention de ces prix.

Il a exhorté les artistes à continuer le travail pour « les prochaines batailles culturelles ».

En rappel, la province du Kénedougou était représentée à la Semaine nationale de la culture (SNC) par six troupes qui ont engrangées deux prix dans la catégorie musique traditionnelle instrumentale et celle création chorégraphique.

 

Agence d’Information du Burkina.

AK/dnk

Burkina : «Les populations de Karma rassurent leur ferme engagement à soutenir la Transition et les Forces combattantes», porte-parole

Burkina : «Les populations de Karma rassurent leur ferme engagement à soutenir la Transition et les Forces combattantes», porte-parole

 Ouahigouya, 16 mai 2023(AIB)-Près d’un mois après les évènements malheureux qui ont touché Karma, ses populations de par leur porte-parole Saïdou Belem, ont assuré de leur ferme engagement à soutenir la Transition, les FDS et les VDP dans leur élan de reconquête du territoire national.

En marge d’une visite de courtoisie aux Forces vives du Yatenga, une délégation de l’Assemblée législative de Transition s’est rendue ce mardi 16 mai 2023 au secteur 1 de Ouahigouya pour présenter ses condoléances et traduire sa solidarité aux familles des victimes de Karma, a constaté un journaliste de l’AIB.

«Nous sommes venus apporter notre soutien, notre solidarité et nos compassion aux familles éplorées.

Nous avons voulu par  cet acte, attester l’engagement des autorités de la Transition, du peuple burkinabè d’être aux côtés de nos populations meurtries pour la recherche  de la cohésion sociale et le vivre-ensemble et pour le retour de la paix au Burkina Faso», a souligné le président de l’ALT, Dr Ousmane Bougouma.

Le porte-parole des ressortissants de Karma, Saïdou Belem, a relevé cette «initiative très salutaire».

Saidou Belem, porte-parole des ressortissants de Karma : «Nous rassurons notre ferme engagement à soutenir les autorités de la Transition, les FDS et les VDP dans leur élan de reconquête du territoire national».

«La présence de cette délégation du Parlement à nos côtés ce matin, montre que tout le peuple burkinabè est  touché par ce qui nous ait arrivé et merci pour la marque de compassion.

Nous populations de Karma, nous rassurons notre ferme engagement à soutenir  les autorités de la Transition, les FDS et les VDP dans leur élan de reconquête du territoire national»,  a dit Saïdou Belem.

En rappel, la justice a ouvert une enquête à la suite de l’assassinat le 20 avril 2023, d’une centaine de personnes à Karma, par des hommes armés qui porteraient des tenues assimilables à celles de l’armée burkinabè.

Saidou Belem a demandé aux autorités de tout faire pour que les populations puissent entrer en possession de leurs biens restés dans ce village, situé à un jet de pierre de Ouahigouya.

Avant l’étape des condoléances, la délégation parlementaire a fait le tour des Forces vives du Yatenga.

De la chefferie coutumière chez le roi du Yatenga (Naab Kiiba),  au siège de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), en passant chez l’Evêque, au centre administratif de la Fédération des églises et missions évangéliques (FEME), le message était unique.

Il s’agit de remercier d’abord les leaders communautaires pour tous les efforts déjà consentis pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, le vivre-ensemble.

Dans un second temps, l’autorité  les exhorter à ne pas baisser les bras, à rester toujours mobilisés pour la réussite de la Transition, au bonheur des populations du Burkina Faso dans ce contexte de crise sécuritaire et humanitaire.

«Nous sommes venus témoigner notre reconnaissance à ces personnes morales pour leur engagement aux côtés des autorités de la Transition, leur accompagnement à nos combattants (FDS et VDP) qui se battent jour et nuit dans la reconquête du territoire national», a laissé entendre Dr Ousmane Bougouma.

Cette sortie, a-t-il dit, vise à demander aux leaders de nos religions et coutumes à rester toujours mobilisés aux côtés des autorités de la Transition pour qu’ensemble, nous puissions mettre fin à cette guerre qui nous ait imposée.

Enfin le président de l’ALT déclare être  venu demander conseils et bénédictions afin de mieux améliorer les actions pour la réussite de la Transition.

Le président Bougouma à  rassurer que la délégation parlementaire repart à Ouagadougou avec une note de satisfaction totale.

Tous les leaders communautaires rencontrés ont rassuré à Dr Ousmane de leur accompagnement sans faille à la Transition.

«Nous avons accueilli la visite avec une grande satisfaction d’autant plus que les parlementaires sont venus dans le cadre de la promotion de la cohésion sociale et le vivre-ensemble, chose que la FAIB prônait déjà dans la région.

Nous étions déjà engagés aux côtés de la Transition, mais nous allons renforcer davantage cet engagement à l’issue de cette visite par des prières et plaider auprès du bon Dieu pour le retour de la paix dans notre pays», a fait savoir Boureima Ouédraogo, chargé de communication FAIB /Nord.

Tout en remerciant la forte mobilisation des forces vives   qui témoigne de l’intérêt porté à  la visite  de la délégation parlementaire, Dr Ousmane Bougouma a invité tous les fils et filles de la région du Nord   épris de paix à  rester toujours mobilisés aux côtés des autorités de la Transition, à s’unir autour de nos  forces combattants FDS et VDP jusqu’à la victoire finale.

Agence d’information du Burkina

BD/fb/ata

Tunisie: 5 ans de prison pour un journaliste pour divulgation d’informations sécuritaires

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Tunisie: 5 ans de prison pour un journaliste pour divulgation d’informations sécuritaires

 

 TUNIS, 16 mai 2023- Un journaliste d’une radio privée tunisienne a été condamné en appel à cinq ans de prison pour avoir divulgué des informations sur les services de sécurité, a indiqué mardi à l’AFP son avocat.

La justice l’avait condamné en novembre à un an de prison en première instance, mais le journaliste Khalifa Guesmi avait fait appel.

Ce reporter pour la radio Mosaïque FM –la plus écoutée de Tunisie– a été reconnu coupable d’avoir « participé à la divulgation intentionnelle d’informations relatives aux opérations d’interception, d’infiltration, de surveillance audiovisuelle ou des données qui y sont collectées », a précisé Me Rahal Jallali.

M.Guesmi a déposé un recours en cassation et est pour le moment maintenu en liberté provisoire, selon son avocat.

« C’est la plus lourde condamnation prononcée par la justice tunisienne contre un journaliste », a souligné auprès de l’AFP Amira Mohamed, vice-présidente du SNJT, le syndicat des journalistes tunisiens.

« C’est une dérive autoritaire dangereuse et une atteinte flagrante à la liberté de la presse », a-t-elle déploré.

Un policier, poursuivi dans la même affaire et accusé d’avoir fourni des informations au journaliste, a été condamné à 10 ans de prison en appel. Il avait été condamné à trois ans de réclusion en première instance.

M.Guesmi avait été arrêté et détenu pendant une semaine en mars 2022, après la publication sur le site de Radio Mosaïque d’une information portant sur le démantèlement d’une « cellule terroriste » et l’arrestation de ses membres.

Les peines du policier et du journaliste ont été alourdies en vertu d’une loi antiterroriste.

Plusieurs ONG locales et internationales — dont la Ligue tunisienne des droits de l’Homme, I Watch et l’Union internationale de la presse francophone–, ont dénoncé mardi dans un communiqué commun « un verdict mascarade » et « un revers majeur pour le système judiciaire ».

Elles ont mis en garde « contre la gravité de l’orientation répressive du pouvoir actuel » et appelé les militants et la société civile « à se mobiliser pour défendre les libertés et les droits de l’Homme ».

 

Ces ONG ont critiqué à plusieurs reprises un « recul » des libertés en Tunisie depuis que le président Kais Saied s’est arrogé les pleins pouvoirs le 25 juillet 2021.

 

Dans un rapport publié début mai, le SNJT a alerté sur des « menaces sérieuses » pesant sur la liberté de la presse dans le pays.

Avec l’AFP

Kénédougou/Réhabilitation de la RN8 : Un mouvement monte au créneau

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Kénédougou/Réhabilitation de la RN8 : Un mouvement monte au créneau

Orodara, le 15 Mai 2023 ( AIB)-Le Mouvement Citoyen pour la Réhabilitation de la Route nationale N°8 ( MCR- RN8 ) a animé dans la matinée du Samedi 13 Mai 2023 à Orodara une conférence de presse pour dresser l’état d’avancement du dossier de bitumage de la RN8.

Il s’est agi pour le Mouvement citoyen pour la réhabilitation de la RN8 (MCR- RN8), au cours de ce point de presse, de donner des informations aux hommes de médias sur l’état d’avancement du dossier de bitumage de la Route nationale N°8 (RN8).

Selon le coordonnateur du MCR-RN8, Ousmane Traoré, la lutte engagée depuis bientôt un an connait à ce jour des avancées significatives car elle a permis l’obtention de la réhabilitation du tronçon Bobo-Orodara long de 76 km.

A cela s’ajoute, a-t-il souligné, également l’attribution du marché au groupement de sociétés SOGEDIM SARL BTP / SOBATRAP pour une enveloppe financière de plus de 12 milliards avec un délai d’exécution de 18 mois hors saison pluvieuse.

Il a aussi laissé entendre que les dernières informations en leur possession révèlent que l’entreprise a reçu la notification de l’ordre de service le 26 avril.

Un autre point évoqué est le recrutement du bureau de contrôle.

Le MCR- RN°8 a salué la résilience des populations riveraines qui mènent des actions pour boucher les nids de poules mais a constaté que l’effectivité de l’attribution n’est intervenue que le 26 avril 2023.

 

Ainsi, il ambitionne dans les jours à venir de lancer un plaidoyer pour la mise en route du dossier de ce tronçon par les nouvelles autorités du pays.

Pour les responsables du MCR-RN8, malgré la lenteur qui entoure l’avancement du dossier, ils en sont conscients que le bout de tunnel est proche.

Le mouvement veut également renforcer les capacités de ses points focaux en termes de veille citoyenne et de sensibilisation des populations.

 

Agence d’information du Burkina

AK/dnk

Gourma : Sidiki Ouédraogo aux commandes de la direction régionale en charge de l’Agriculture

Burkina- Installation

Gourma : Sidiki Ouédraogo aux commandes de la direction régionale en charge de l’Agriculture

Fada N’Gourma (AIB)- Le directeur régional de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques de l’Est, Sidiki Ouédraogo a été officiellement installé le vendredi 5 mai 2023 dans ses fonctions.

Le Secrétaire général (SG) de la région de l’Est, Siaka Ouattara a installé officiellement Sidiki Ouédraogo dans ses nouvelles fonctions de directeur régional de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques de l’Est.

Le directeur entrant remplace à ce poste le directeur sortant, Hamidou Zoungrana qui a passé cinq ans et neuf mois à la tête de la direction provinciale.

Le porte-parole du personnel, Moussa Ouédraogo, a salué la qualité du directeur régional sortant et fait de ses multiples acquis engrangés.

Il a noté la vaccination de deux millions de bovins, de douze millions de volailles, la réalisation de nombreuses d’infrastructures telles que la construction de 239 parcs de vaccination et 7 marchés à bétail.

Moussa Ouédraogo a par ailleurs souhaité bon vent au directeur entrant tout en lui rappelant que les défis sont nombreux à relever.

«  Je puis vous rassurer que le personnel est prêt à relever avec vous ces multiples défis », a-t-il soutenu.

Le directeur sortant Hamidou Zoungrana a saisi l’opportunité pour remercier tous ses anciens collaborateurs, avant de leur demander d’accompagner son successeur afin qu’il réussisse ses nouvelles fonctions.

Le nouveau directeur régional en charge de l’Agriculture de l’Est, Sidiki Ouédraogo a félicité les plus hautes autorités du pays pour la confiance placée à sa modeste personne pour piloter cette direction.

Sidiki Ouédraogo a invité ses proches collaborateurs, les responsables de projets/ programmes, les ONG et associations, les responsable d’organisations paysannes et l’ensemble des producteurs à faire preuve de résilience, d’anticipation et de créativité pour atteindre leurs objectifs fixés.

« Nous ferons du patriotisme, de l’intégrité, de la dignité, du civisme, de la solidarité, de la vérité et la bonne gouvernance, des valeurs cardinales sur lesquelles se fondent nos actions », a-t-il ajouté.

Conseiller d’agriculture avec 15 ans de service dans la même localité, Sidiki Ouédraogo dirige désormais la direction régionale de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques de l’Est est un conseiller d’agriculture.

Agence d’information du Burkina

KAC/ft/no/

ata

 

Burkina: Le timbre fiscal de 200FCFA ne se sera plus valable à compter du 1er juin

Burkina: Le timbre fiscal de 200FCFA ne se sera plus valable à compter du 1er juin

 

Ouagadougou, 16 mai 2023(AIB)-Le timbre fiscal de 200FCFA initialement utilisé, ne sera plus valable à compter du 1er juin 2023, a indiqué mardi la Direction générale des Impôts qui annonce également, la sortie d’un nouveau timbre du même montant dès le 25 mai 2023.

Agence d’information du Burkina

(Voir détails sur le communiqué)

 

 

Une influenceuse ghanéenne extradée aux Etats-Unis, soupçonnée d’escroquerie sentimentale

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Une influenceuse ghanéenne extradée aux Etats-Unis, soupçonnée d’escroquerie sentimentale

 

NEW YORK, 16 mai 2023 – L’influenceuse ghanéenne « Mona 4Reall », arrêtée en novembre au Royaume-Uni, a été extradée aux Etats-Unis et inculpée lundi pour avoir participé à un réseau d’escroqueries sentimentales via les réseaux sociaux auprès de victimes âgées américaines, a annoncé la justice de New York.

Connue sous les pseudos « Mona 4Reall » ou « Hajia4Reall », l’influenceuse de 30 ans, qui a compté jusqu’à environ « 3.4 millions » d’abonnés sur Instagram, a plaidé non coupable des charges de blanchiment d’argent, fraude électronique et recel de vol notamment, lors d’une audience lundi au tribunal fédéral de Manhattan, selon des documents judiciaires.

D’après l’acte d’inculpation, la jeune femme, Mona Faiz Montrage de son vrai nom, présente dans les secteurs de la mode et de la musique, aurait participé entre 2013 et 2019 à une « entreprise criminelle » basée en Afrique de l’Ouest, qui visait à arnaquer des victimes américaines en leur faisant miroiter des histoires d’amour.

Les victimes, pour la plupart « des hommes et des femmes vulnérables et âgés vivant seuls », recevaient « courriels », « SMS » ou « messages sur les réseaux sociaux leur faisant croire qu’elles entretenaient une relation amoureuse » avec l’un des escrocs, explique un communiqué du parquet fédéral de Manhattan.

Une fois leur confiance gagnée, ils leur demandaient « sous de faux prétextes de transférer de l’argent sur des comptes bancaires » contrôlés par les escrocs, poursuit la justice américaine.

L’avocat de Mona Faiz Montrage, sollicité par l’AFP, n’a pas donné suite.

L’influenceuse est soupçonnée d’avoir même fait croire à un faux mariage à une victime, à qui elle aurait soutiré 89.000 dollars. Au total, elle est soupçonnée d’avoir reçu 2 millions de dollars sur ses comptes bancaires grâce aux escroqueries.

Avec AFP

Nahouri/CCP : La situation sécuritaire au menu des débats 

Burkina- Cadre-Concertations

Nahouri/CCP : La situation sécuritaire au menu des débats 

 

Pô, (AIB) -Les membres du Cadre de concertation provincial (CCP) du Nahouri ont échangé sur la situation sécuritaire, au cours de leur première ordinaire au titre de l’année 2023, le jeudi 11 mai 2023 à Pô, sous la présidence du haut-commissaire, Auguste Kinda.

Depuis 2019, la province du Nahouri a été la cible des groupes terroristes et de braquages dans presque toutes les communes de la province.

C’est dans cette optique, que les membres du Cadre de concertation provincial (CCP) du Nahouri ont initié le jeudi 11 mai 2023, à Pô leur première session ordinaire de l’année 2023, à travers des thèmes relatifs à la crise sécuritaire pour un retour de la paix au Burkina Faso.

Pour le haut-commissaire de la province et président du CCP, Auguste Kinda, les rencontres sont des espaces propices d’échanges et d’expériences entre acteurs du développement rural décentralisés, en vue d’une harmonisation des actions quotidiennes sur le terrain.

Le responsable du suivi-évaluation de l’ONG, les anges gardiens de la nature (AGN), Aimé Ouédraogo a présenté les activités de sa structure.

M. Ouédraogo a noté que les activités de l’ONG sont, entre autres le renforcement des bases de sécurisation, de la gestion durable et concertée du complexe PONASI2 (Pô-Nazinga-Sissili).

Le directeur provincial de la police nationale, Valentin Kaboré, a pour sa part, fait le point de la situation sécuritaire dans la province du Nahouri.

Le Trésorier principal, Augustin Yabré s’est appesanti sur les mécanismes de soutien aux efforts de sécurisation du territoire national  relatif aux Fonds de soutien patriotique (FSP).

Selon M. Kaboré, la proximité de la province avec la république sœur du Ghana rend difficile les interventions des Forces de défense et de sécurité (FDS) surtout au niveau des frontières.

D’après le directeur provincial de la police nationale, ces difficultés favorisent la contre bande et l’insécurité transfrontalière.

Valentin Kaboré a soutenu que les FDS travaillent en symbiose et bénéficient d’une bonne collaboration avec les populations et les initiatives locales de sécurité.

Les participants se sont engagés lors des échanges, à être des relais pour sensibiliser les populations à la co-production de la sécurité.

Ils ont aussi souhaité le renforcement des cadres de concertation avec le Ghana avec l’implication des autorités coutumières et religieuses.

Le haut-commissaire du Nahouri s’est dit satisfait des échanges, des contributions et des engagements pris par les participants.

Pour lui, leur initiative montre que les uns et les autres sont conscients de la nécessité d’un retour de la paix au Burkina.

Cette première session a été rendu possible grâce à l’appui de l’ONG, les Anges gardiens de la nature (AGN).

Agence d’information du Burkina

HKO/FT/no/ata

Burkina/Sécurité : des FDS radiés contribuent pour l’effort de paix

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Burkina/Sécurité : des FDS radiés contribuent pour l’effort de paix

Ouagadougou, 16 mai 2023 (AIB)- Les militaires, gendarmes et policiers radiés suite à la mutinerie de 2011, ont remis mardi à Ouagadougou au ministre en charge de la fonction publique Bassolma Bazié, la somme de 127.000 FCFA comme contribution à l’effort de paix, tout en sollicitant leur réintégration dans les rangs des Forces de défense et de sécurité, a rapporté la page Facebook du ministère de la fonction publique.

Selon la même source, Farma Tiéba et ses camarades ont profité de l’occasion pour solliciter l’aide du ministre Bassolma afin qu’il plaide auprès des plus hautes autorités pour qu’ils puissent rejoindre leurs frères d’armes engagés dans la lutte contre le terrorisme.

«Nous attendons des gouvernants qu’un décret soit pris en faveur des militaires, gendarmes et policiers radiés de 2011 pour nous permettre d’aller avec nos frères qui sont toujours dans les rangs pour défendre notre nation », s’est exprimé M.Tiéba

« Quant à leur plaidoyer pour rejoindre les fronts du combat, Bassolma Bazié a dit avoir pris bonne note et rendra fidèlement compte cette doléance à qui de droit », conclu la même source.
Agence d’information du Burkina
Dnk/as/ata

 

 

Affaire Flavien Nébié : 23 ans après, la reconstitution des faits a débuté, AIB

Affaire Flavien Nébié : 23 ans après, la reconstitution des faits a débuté, AIB

Boussé, 16 mai 2023 (AIB)- Le Tribunal de grande instance (TGI) de Ziniaré a débuté hier lundi à Boussé, la reconstitution des faits de l’affaire Flavien Nébié, du nom de cet élève en classe de CM2, mort par balle, en marge d’une manifestation réprimée le 6 décembre 2000 à Boussé.

Le Tribunal de grande instance de Ziniaré a débuté la  reconstitution des faits de l’affaire Flavien Nébié.

Pour ce faire, les agents de police mis en cause, les témoins, la famille et leurs conseils se sont retrouvés le 15 mai 2023 à Boussé, a appris l’AIB auprès d’une source proche de la famille.

Joint au téléphone ce mardi par l’AIB, l’avocat de la famille Nébié, Me Bénéwendé Stanislas Sankara, a confirmé l’acte diligenté par le juge d’instruction.

Selon Me Sankara, la reconstitution des faits se déroule sur les lieux où l’infraction a été commise, en présence des mis en examen et de la partie civile, afin que chacun donne sa version des faits de ce qui s’est passé.

L’avocat a affirmé que la reconstitution a été faite lundi avec la police et sera effectuée demain mercredi avec la gendarmerie.

Me Bénéwendé Stanislas Sankara s’est réjoui car cela prouve, d’après lui, que le dossier ne dort pas dans les tiroirs.

En rappel, Flavien Nébié, alors en classe de CM2, a été mortellement touché par une balle le 6 décembre 2000 à Boussé (Kourwéogo, Plateau-central), lors d’une manifestation réprimée par les Forces de l’ordre.

Presque chaque 6 décembre, les cours sont perturbés dans plusieurs établissements du Burkina Faso par des scolaires qui demandent vérité et justice pour Flavien Nébié.

Agence d’information du Burkina

DB-ATA/ak

Photo d’archive et d’illustration : burkina24.com

 

 

 

Burkina : Patrimoine et visite du Premier ministre au menu des quotidiens burkinabè

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Burkina : Patrimoine et visite du Premier ministre au menu des quotidiens burkinabè 

Ouagadougou, 16 mai 2023 (AIB)- Les quotidiens burkinabè de ce mardi traitent du mois du patrimoine national et de la visite du Premier ministre Me Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambèla au Venezuela.

Le journal privé Le Pays relate que le Premier ministre Me Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambèla a effectué une visite d’amitié et de travail à Caracas, au Venezuela.

Le journal ajoute qu’il a échangé avec de nombreux ministres sur les possibilités de coopération entre nos deux pays, dans divers domaines, pour le bien-être des populations.

Le journal poursuit que les échanges entre le Premier ministre et les autorités vénézuéliennes ont porté sur la situation interne de chacun des deux pays et sur des questions bilatérales, régionales et internationales.

Sur le même sujet, Le quotidien privé, L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso, affiche à sa Une « Qu’est-ce que le Premier ministre Joachimson est allé chercher au Venezuela ? ».

Le journal citant la Direction de la communication et des relations publiques du Premier ministère, informe que le chef du gouvernement a échangé au Venezuela sur beaucoup de points avec la partie vénézuélienne.

Le quotidien ajoute que Me Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambèla et ses interlocuteurs ont parlé de questions majeures comme l’agriculture, la santé,  l’énergie, les mines, l’éducation, la sécurité des citoyens, le pétrole, la culture, le transport aérien.

Les deux parties, continue L’Express du Faso, ont également parlé de communication et de l’informatique, des questions électorales, des droits de l’homme, et de tous les secteurs d’intérêts majeurs partagés.

Sous un autre angle, le quotidien national Sidwaya titre à sa manchette: « Valorisation du patrimoine culturel du Centre : Les activités lancées ».

Le journal renseigne que le gouverneur de la région du Centre, Abdoulaye Bassinga a lancé le mois du patrimoine burkinabè le lundi 15 mai 2023 à Ouagadougou.

L’objectif de cette initiative, selon le journal, est de renforcer le rôle social de notre patrimoine culturel et inciter la population à une forte fréquentation des expositions muséales, des monuments, des sites et lieux de mémoire et des espaces patrimoniaux.

Sur le même sujet, le quotidien privé L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso affiche à sa Une « Mois du patrimoine : Les activités ont débuté dans la région du Centre ».

Le journal précise que c’est au musée des armées que la région du Centre a débuté ses activités en rapport avec la célébration du mois du patrimoine.

Le quotidien ajoute que pour cette première édition, au regard de la situation sécuritaire nationale, la région du centre a choisi d’entamer ses activités au musée de l’Armée en soutien aux Forces armées nationales (FDS) et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP).

Agence d’information du Burkina

MAO/wis/ak

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