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Sourou : Une ONG offre du matériel médico-technique et des médicaments au Centre Médical (CM) de Kiembara

BURKINA-SOUROU-SANTÉ

Sourou : Une ONG offre du matériel médico-technique et des médicaments au Centre Médical (CM) de Kiembara

Tougan, 31 janv. 2025 (AIB) – L’ONG Terre des hommes Lausanne a offert, ce vendredi, du matériel médico-technique et des médicaments d’une valeur de 4 526 962,85 francs CFA au District Sanitaire (DS) de Tougan au profit du Centre Médical (CM) de Kiembara.

L’Organisation non gouvernementale (ONG) Terre des hommes Lausanne (Tdh-L), à travers son projet dénommé Réponse d’urgence pour renforcer l’accès inclusif et qualitatif aux soins de santé et de nutrition des personnes affectées par la crise au Burkina Faso (RASPA), financé par European Civil Protection and Humanitarian Aid Operations (ECHO) en partenariat avec l’ONG Alima et deux ONG nationales, notamment Keoogo et SOS Médecins BF, a remis ce vendredi 31 janvier 2025 du matériel médico-technique, des médicaments et des kits de protection d’une valeur de 4 526 962,85 francs CFA au District Sanitaire (DS) de Tougan, au profit du Centre Médical (CM) de Kiembara.

Ce don est composé de matériel médico-technique d’une valeur de 3 617 800 francs CFA destiné au Centre Médical (CM) de Kiembara, ainsi que de médicaments et de kits de protection d’une valeur de 909 162,85 francs CFA destinés aux accoucheuses volontaires et aux agents de santé à base communautaire (AV/ASBC) de Sissilé et de Gwéré, deux localités situées dans la commune de Kiembara.

Pour le médecin superviseur à Terre des hommes Lausanne (Tdh-L), Olivier Koumsongo, l’objectif de ce don est de renforcer la qualité des soins dans cette commune.

« Tdh-L veut, à travers cette remise, renforcer la qualité des soins de santé et de nutrition au profit des populations de la commune de Kiembara », a-t-il déclaré.

Le représentant du médecin-chef de district (MCD) de Tougan, Emmanuel Lankoandé, également responsable de l’information sanitaire et de la surveillance épidémiologique, a indiqué que ce don allait grandement soulager les agents de santé du Centre Médical (CM) de Kiembara, compte tenu du contexte sécuritaire marqué par de nombreux défis. Il a également souhaité que ce type d’appui soit étendu à d’autres communes.

« Quand on regarde le type de matériel qui a été donné, c’est du matériel très attendu. Au-delà de la commune de Kiembara, nous souhaitons que cela puisse s’étendre à d’autres communes », a-t-il affirmé.

Rappelons que l’ONG Terre des hommes Lausanne avait auparavant renforcé les effectifs du CM de Kiembara en personnel soignant.

Agence d’information du Burkina
SS/ata

Burkina Faso – Côte d’Ivoire : des relations fraternelles et une intégration réussie

Burkina Faso – Côte d’Ivoire : des relations fraternelles et une intégration réussie

Ouagadougou, (AIB) – Les peuples burkinabè et ivoiriens partagent des liens historiques et géographiques indéfectibles, favorisant une cohabitation pacifique et harmonieuse. Contrairement aux discours alarmistes relayés par certains médias, les relations entre les deux communautés restent excellentes et au beau fixe.

Aucune manifestation de xénophobie n’est observée au Burkina Faso à l’encontre des communautés étrangères qui vivent en parfaite entente avec les Burkinabè. Cette intégration s’illustre notamment par la présence significative de la communauté ivoirienne, pleinement intégrée dans le tissu social et économique du pays.

Les chefs d’État de l’Alliance des États du Sahel (AES) ont récemment réaffirmé cette dynamique en déclarant leur espace sans visa pour les ressortissants de la CEDEAO. Une mesure qui renforce davantage la libre circulation et l’unité sous-régionale.

Des témoignages sur le terrain confirment cette réalité : l’intégration des Ivoiriens au Burkina Faso est un fait tangible, illustrant la fraternité entre les deux peuples. Témoignage.

Agence d’Information du Burkina

Culture : l’humoriste ivoirien Michel Gohou fait salle comble à la Maison de la culture de Bobo

Culture : l’humoriste ivoirien Michel Gohou fait salle comble à la Maison de la culture de Bobo

Bobo-Dioulasso, (AIB) – L’humoriste ivoirien Michel Gohou a enflammé la scène de la Maison de la culture Anselme Titianma Sanon de Bobo-Dioulasso lors de son One Man Show le 1er février 2025. Devant une salle comble et un public conquis, il a célébré l’excellence des relations entre les peuples frères du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire.

Pendant un peu plus de 30 minutes, Michel Gohou a tenu en haleine le public venu massivement assister à son spectacle. Il a abordé des thèmes forts tels que la résilience, la cohésion sociale, tout en mettant en garde contre la méchanceté, la médisance et l’hypocrisie.
Ses messages ont trouvé un écho favorable auprès du public que l’artiste a qualifié de « merveilleux, attentif et généreux ». Michel Gohou a salué l’accueil exceptionnel qui lui a été réservé dès son arrivée à Bobo-Dioulasso et a exprimé sa gratitude pour l’engouement suscité par son spectacle. « On savait qu’on n’allait pas jouer devant des chaises vides », a-t-il affirmé avec humour avant de souligner que Bobo-Dioulasso est une ville qui aime les spectacles, le rire, la joie et la vie.

« Le Burkina vit et survivra »

Michel Gohou a saisi cette occasion pour adresser un message à ses compatriotes et au-delà : « quoi qu’on dise, le Burkina vit et le Burkina survivra ». Il a exprimé sa foi en l’avenir du pays, soulignant que les épreuves renforcent et permettent de se reconstruire : « les pays qui n’ont jamais connu de difficultés n’évoluent pas ».
« En Afrique, personne ne peut nous diviser »
Parlant des relations ivoiro-burkinabè, Michel Gohou a insisté sur l’unité africaine en ces termes : « personne ne peut nous diviser en Afrique ». En venant au Burkina Faso, il affirme être venu en pays frère. Pour lui, les artistes n’ont pas de frontières ; ils se côtoient et regardent dans la même direction. C’est ce qu’il demande également aux autorités : « Quand ça dérape, il faut dialoguer immédiatement, car la haine ne mène à rien. »
Un public conquis
Le commandant de la deuxième région militaire, Lassané Porgo, présent à la soirée, a salué la qualité du spectacle, l’émotion messages de cohésion et d’unité transmis par les artistes. Pour lui, la présence de Michel Gohou, venu de Côte d’Ivoire, prouve que la culture n’a pas de frontières et que « le Burkina est vivable ».
Dans le même esprit, Siaka Coulibaly, conseiller technique représentant Mme le Gouverneur des Hauts-Bassins, s’est réjoui du succès de l’événement, soulignant l’importance des messages de paix et de cohésion sociale transmis au public.

Parmi les spectateurs, Rufine Kabré n’a pas caché son enthousiasme : « S’il faut le refaire, je serai encore présente ! »
Pari réussi donc pour les organisateurs. En plus de la prestation magistrale de Gohou Michel, plusieurs artistes burkinabè ont également animé la soirée, rehaussant l’éclat de cet événement culturel.
Agence d’information du Burkina
ES/ata

Bam : Des coopératives formalisées et placées sur le marché de l’emploi par l’ONG Empow’Her

Bam : Des coopératives formalisées et placées sur le marché de l’emploi par l’ONG Empow’Her

Kongoussi, 29 jan. 2025 (AIB) – L’ONG Empow’Her Consulting Burkina a organisé, mercredi à Kongoussi, une foire au financement au profit de deux coopératives qu’elle a mises en place, afin de favoriser leur insertion sur le marché de l’emploi, a constaté l’AIB.

Selon la cheffe de projet à Empow’Her Consulting Burkina, Karine Ouavé/Zongo, une coopérative de tissage composée de 55 membres, ainsi qu’une autre spécialisée dans la teinture, la calligraphie et la sérigraphie, forte de 13 membres, ont été formées par l’ONG.

Pour elle, la foire au financement est une opportunité qu’Empow’Her offre à ces deux coopératives formalisées pour tisser des liens d’affaires. À l’occasion, de nombreux partenaires ont été invités.

« Nous avons invité des structures de financement, des clients, des fournisseurs de matières premières, les fonds nationaux de financement, des organisations de la société civile, comme des ONG, afin de les mettre en relation et leur permettre de connaître les coopératives », a expliqué la cheffe de projet, Mme Ouavé.

La présidente de la coopérative de tissage, Salmata Sawadogo, s’est félicitée de l’organisation de cette foire. Pour elle, la journée a permis à sa structure de nouer des relations avec divers partenaires incontournables dans la chaîne de la fabrication jusqu’à la commercialisation des pagnes tissés. Elle a exprimé sa reconnaissance à l’ONG Empow’Her Consulting Burkina, qui a créé cette opportunité pour sa coopérative.

Le premier vice-président de la délégation spéciale de Kongoussi, Étienne Sawadogo, a formulé des vœux de succès pour la foire et invité les femmes à saisir cette opportunité pour obtenir le maximum d’informations sur les structures de financement dans la commune de Kongoussi.

En rappel, Empow’Her est une organisation féministe dédiée à l’autonomisation sociale et économique des femmes.

Agence d’information du Burkina
AR/ata

Boxe : Napaongo contre Moreno, un combat inédit pour la paix à Ouagadougou

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Boxe : Napaongo contre Moreno, un combat inédit pour la paix à Ouagadougou

Ouagadougou, 1er fév. 2025 (AIB) – Le Burkinabè Mathias Napaongo alias « the fighter » reçoit l’Anglo-Nicaraguayen Jorge Moreno le 7 février prochain au Palais des sports de Ouaga 2000 pour un « Fight for peace » de gala, ont annoncé vendredi à Ouagadougou, les organisateurs de ce combat de boxe, au cours d’une conférence de presse.

Après le lancement du projet Fight for peace le 14 décembre dernier, les initiateurs ont trouvé un « sparing partner » (adversaire) pour le triple champion d’Afrique de boxe, le Burkinabè Mathias Napaongo. Il défiera l’Anglo-Nicaraguayen Jorge Moreno le 7 février prochain au palais des sports de Ouaga 2000 aux environs de 19h.

« Le 7 février prochain, le Burkina Faso sera le centre du monde. Nous vous promettons de la magie. Le public va repartir avec des émotions qu’il n’a jamais vécu », a lancé le secrétaire général de Fight for peace Sergio Kaboré. Pour la présidente de Ringo-Burkina Gloria Guissou, promotrice de « Fight for peace » qui a géré la carrière de Mathias Napaongo pendant deux ans, « nous voulons qu’il soit champion international WBA, WBC… ».

Le combat s’annonce épique et le coach du boxeur burkinabè Salifou Bandé, prévient que « quand un KO arrive dans un combat de boxe, c’est par accident mais nous avons confiance à notre boxeur. Le KO peut intervenir dès le premier round ou vers la 8e reprise ».

Il a ajouté que « nous-nous sommes préparés au Burkina et les moyens qui ont été mis à la disposition de Napaongo lui permettent de relever le défi ».

« Ça sera la performance face à l’expérience » selon Gloria Guissou car Mathias Napaongo a à son actif 8 combats pour 8 victoires dont 7 par KO et 1 aux points, contre l’expérimenté Moréno qui a 10 combats dont 7 victoires, 2 défaites et 1 nul.

5 combats de levé de rideau alimenteront cette soirée de gala international de boxe. Il y aura un combat Côte d’Ivoire # Mali, Ghana # Nigeria, des combats d’exhibition et une démonstration de karaté au féminin.

Pour donner une visibilité internationale à l’événement les organisateurs comptent atteindre 5000 entrées au palais des sports et 100 000 spectateurs en ligne. Le prix d’entrée est fixé à 2000F, 5000F et 10000F.

L’événement est patronné par le ministre en charge des sports Roland Somda et sous le parrainage de sa Majesté le Mogho-Naba Baongo. C’est la directrice générale des sports et des loisirs madame Valérie Badolo/Tapsoba. Elle s’est dite convaincue par le projet car cela fait 10 ans qu’un gala international de boxe ne s’est tenu au Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina
as/ata

Festival WAABO 1re édition : une célébration sous le sceau de la découverte, du partage et de l’unité

Festival WAABO 1re édition : une célébration sous le sceau de la découverte, du partage et de l’unité

Le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO a présidé la première édition du festival WAABO, le samedi 1er février 2025, au Musée National du Burkina Faso.

« WAABO » qui signifie littéralement « Viens » en langue mooré, est né de la volonté de préserver et de valoriser nos cultures face aux nombreuses menaces qui pèsent sur elles, explique le porte-parole du Comité d’organisation, Youssef OUEDRAOGO. Pour lui, cette première édition qui a pour thème <<Jeunesse et identité culturelle>> est une invitation, un appel à la conscience de la jeunesse face aux enjeux culturels, sociaux et politiques auxquels nos pays sont confrontés.

Selon le Ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, WAABO se positionne comme un puissant symbole de résilience, dans le contexte où notre Nation fait preuve de courage et de détermination face aux épreuves car dit-il « cet évènement démontre que le Burkina Faso demeure une terre de culture, de créativité et d’espoir ».

De son avis, cette initiative est un appel à l’engagement collectif, pour faire rayonner notre Culture bien au delà de nos frontières.

Pour ce faire, le Chef du département en charge de la Culture a invité tous les acteurs culturels à continuer de célébrer notre culture, à l’honorer et à la transmettre aux générations futures.

Durant deux jours, les acteurs culturels vont mener des réflexions à travers des panels, des contes, des concerts, un marché de création, …

DCRP/MCCAT

Assainissement et accès à l’eau potable à l’Ouest : des forages profonds qui ouvrent « une nouvelle ère pour la recherche »

Assainissement et accès à l’eau potable à l’Ouest : des forages profonds qui ouvrent « une nouvelle ère pour la recherche »

(Bobo-Dioulasso, 1er février 2025). Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH, a procédé, ce samedi, au lancement des travaux de réalisation de forages profonds à Souroukoudougou dans la commune de Bama, région des Hauts-Bassins.

La réalisation de ces travaux revêt une importance capitale car ils permettront au monde scientifique de disposer d’informations géologiques et hydrogéologiques plus fiables et de proposer un modèle de gestion du bassin sédimentaire aquifère de l’Ouest du Burkina.

En effet, ces travaux entrent dans le cadre du Programme d’Approvisionnement en Eau et d’Assainissement (PAEA) du ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement.

Ainsi, il est prévu la réalisation de seize (16) ouvrages composés de huit (08) forages profonds et huit (08) piézomètres dans plusieurs localités des régions des Cascades et des Hauts-Bassins.

« Son Excellence Monsieur le Président du Faso accorde une place importante à la recherche et à la découverte des potentialités qui se trouvent sur notre territoire. Le lancement des travaux aujourd’hui répond de cette recherche, parce qu’elle va au-delà de cette question d’eau », précise le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine MEDAH.
Avec des profondeurs allant de 500 à 1000 mètres, et un débit minimal attendu de 500 m3/h, ces forages marquent un tournant décisif dans la recherche et l’exploitation des ressources hydriques et géologiques du sous-sol burkinabè.
Dans le discours du Président du Faso, prononcé par le ministre chargé de l’Environnement, Roger BARO, il est ressorti que ces forages ouvrent « une nouvelle ère pour la recherche dans les domaines de l’hydrogéologie et de la géologie avec des retombées durables pour les générations futures ».

« En effet, les forages profonds et les piézomètres permettront non seulement de mieux comprendre les dynamiques des sédimentaires aquifères mais aussi d’avoir une longueur d’avance sur les défis croissants liés à la gestion des ressources en eau dans le contexte actuel de changement climatique », souligne le ministre BARO.

Pour ce faire, une invite a été faite aux équipes techniques, chercheurs et à tous les acteurs à se mobiliser, à consentir des efforts et à rester engagés pour garantir une mise en œuvre réussie des travaux.

Le Programme d’Approvisionnement en Eau et d’Assainissement (PAEA) né de la volonté du Gouvernement burkinabè, vise à faire du droit d’accès à l’eau potable et à l’assainissement une réalité pour tous les burkinabè.

 

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Ecoles A et B de Péni : les promesses du Chef de l’État tenues

Ecoles A et B de Péni : les promesses du Chef de l’État tenues

(Bobo-Dioulasso, 31 janvier 2025). Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH a visité vendredi dans la soirée les écoles A et B de Péni. Il a constaté la réalisation des promesses faites par le Chef de l’État lors de son passage en avril 2024.

De retour de Bérégadougou, où il a procédé au lancement des travaux de construction des centres médicaux communaux, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH a marqué une halte sur le site des écoles A et B de Péni (région des Hauts-Bassins).

Il a exprimé sa fierté de voir que cette école présente un nouveau visage moins d’un an après la visite du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.

En effet le Chef de l’État avait pris l’engagement d’améliorer ce cadre d’éducation et d’apprentissage. Aujourd’hui c’est chose faite. Les écoles ont bénéficié d’une rénovation et d’une clôture.

« Nous souhaitons que les infrastructures soient modernes pour garantir davantage un meilleur enseignement aux élèves et permettre au corps enseignant de mieux transmettre leur savoir », a soutenu le Directeur de Cabinet du Président du Faso.

Le Capitaine MEDAH a encouragé le personnel enseignant de ces écoles de la commune rurale de Péni. Il a demandé aux enseignants d’inculquer les valeurs de la société burkinabè aux élèves afin de faire d’eux des hommes qui œuvreront pour le développement de notre pays.

A l’endroit des élèves, il a formulé des vœux de succès. Pour ce faire, il a invité les écoliers au travail, à la persévérance, à la promotion des valeurs de solidarité, de fraternité et de respect des aînés.

La venue du Directeur de Cabinet du Président du Faso dans ces écoles, est très bien perçue par les élèves, les enseignants et la délégation spéciale de la commune de Péni. Elle est un signe d’encouragement pour le monde éducatif.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Musée National du Burkina Faso : la réalisatrice Burkinabè Appoline TRAORE fait dons d’œuvres artistiques

Musée National du Burkina Faso : la réalisatrice Burkinabè Appoline TRAORE fait dons d’œuvres artistiques

Le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO a assisté à la remise officielle de dons d’œuvres artistiques au Musée National du Burkina Faso, ce vendredi 31 janvier 2025 à Ouagadougou.

Ces œuvres offertes gracieusement par l’Ambassadrice du Musée National grâce a l’accompagnement des partenaires et des artistes sont composées d’un Habitat du Faso représentant les communautés ethniques du Faso, un espace Bibliobus pour Enfants et des œuvres d’Arts.
L’ambassadrice Appoline TRAORE a témoigné sa gratitude à ses partenaires pour avoir cru à la culture burkinabè et au Musée National.
“Etant artiste, c’est notre devoir d’embellir la cour du Musée National qui est par ailleurs notre maison commune”, a-t-elle indiqué.

Le Directeur Général du Musée National, Christian Sabari DAO a remercié l’Ambassadrice pour son engagement et sa détermination à contribuer à la valorisation du patrimoine culturel burkinabè.
Pour lui, sa vision est de faire du Musée National une institution de référence.

Le Ministre en charge de la Culture Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, quant à lui, a traduit toute sa satisfaction pour ce don au Musée National. Le Ministre Pingdwendé est convaincu que « ce temple culturel restera vivant et resplendissant tant qu’il sera animé ».

DCRP/MCCAT

FESPACO 2025: le Comité d’organisation de la 29e édition sollicite les bénédictions du Moogho Naaba

FESPACO 2025: le Comité d’organisation de la 29e édition sollicite les bénédictions du Moogho Naaba

Dans le cadre des préparatifs de la 29e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO), prévue pour se tenir du 22 février au 1er mars prochain, le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, accompagné des membres du Comité national d’organisation a rendu visite à Sa Majesté le Moogho Naaba Baongo le vendredi 31 janvier 2025 à son Palais, afin de lui présenter les membres du Comité et aussi solliciter ses bénédictions pour la bonne marche de l’événement.

Selon le Ministre en charge de la Culture, à trois semaines de la date prévue pour la tenue de la biennale du cinéma, il est de bon ton pour le Comité d’organisation, de venir se présenter à Sa Majesté et solliciter ses bénédictions car dit-il « le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ accorde une grande importance à la chefferie traditionnelle ».

Pour la présente édition du Fespaco, 235 films de 48 pays ont été sélectionnés.

Sa Majesté s’est dit honoré par cette visite, qui montre une fois de plus, la volonté du Gouvernement à travailler d’arrache-pied afin que la stabilité revienne dans notre chère patrie.

Pour ce faire, il a traduit toutes ses bénédictions au Comité d’organisation tout en souhaitant que le festival se passe dans la paix, la sécurité et la quiétude totale.

DCRP/MCCAT

Cinéma burkinabè : le Ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO prend langue avec les acteurs

Cinéma burkinabè : le Ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO prend langue avec les acteurs

Le Ministre de la Communication, de la Culture des Arts et du Tourisme Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO a échangé avec les cinéastes burkinabè en compétition officielle pour le FESPACO (Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou) prochain, le vendredi 31 janvier 2025 à Ouagadougou.

Au cours de ce face-à-face, le Chef du département des arts a félicité les acteurs du cinéma pour la prouesse accomplie en amont de cette 29ᵉ édition de la fête du cinéma africain.
En effet, sur près de 1331 films soumis pour la sélection, 235 films ont été sélectionnés et le Burkina Faso sera représenté par une quarantaine de films, signe d’un travail sans complaisance. Cette performance qui est à mettre à l’actif des cinéastes burkinabè mérite, selon le Ministre, d’être reconnue et saluée.

Aussi, le Ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO pense-t-il déjà à l’après FESPACO. Il a rassuré ses hôtes du jour que son département est en chantier pour donner au cinéma burkinabè ses lettres de noblesse. « Le ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme travaille à mieux structurer le secteur du cinéma. Cela est sans encombre du côté de l’Etat qui a fait voter une loi en décembre à l’ALT (Assemblée Nationale de Transition) et qui prévoit un certain nombre de réformes ». S’agissant du projet d’opérationnalisation de l’Agence Burkinabè de la Cinématographie, le Ministre s’est dit disposé à travailler de façon concertée avec tous les acteurs.

Les participants, quant à eux, ont remercié le Gouvernement pour son soutien au cinéma burkinabè et ont émis le vœu que cet accompagnement se poursuive davantage pour mettre le Burkina Faso en orbite. Ils ont par ailleurs souhaité la présence des membres du Gouvernement aux projections des films burkinabè en compétition au FESPACO.
En attendant, le Comité d’organisation de la 29ᵉ édition de cette biennale s’attelle depuis des mois, à la réussite de l’organisation de cet événement qui se tiendra du 22 février au 1ᵉʳ mars 2025.

DCRP-MCCAT

Burkina : Un couple équato-guinéen apporte 200 000 FCFA de contribution au Fonds de soutien patriotique

Burkina : Un couple équato-guinéen apporte 200 000 FCFA de contribution au Fonds de soutien patriotique

Ouagadougou, 31 janv. 2025 (AIB) – Un couple équato-guinéen, Felipe Nkua et son épouse, a apporté jeudi à Malabo la somme de 200 000 FCFA au Fonds de soutien patriotique pour encourager la dynamique enclenchée par le Burkina Faso en vue de retrouver sa souveraineté pleine et entière, rapportent les services de communication du ministère en charge des Affaires étrangères.

Pour exprimer leur soutien à l’ensemble des initiatives conduites par le gouvernement, Felipe Nkua et son épouse ont remis une contribution de deux cent mille francs CFA au Fonds de soutien patriotique, indique la source.

Le Consul général du Burkina Faso à Malabo, Filatiéni Coulibaly, a reçu la contribution du couple au cours d’une audience. Ce dernier est venu « saluer et encourager la dynamique enclenchée par le Burkina Faso pour retrouver sa souveraineté pleine et entière ».

Il a salué la démarche du couple Nkua, soulignant qu’au-delà de la contribution financière, c’est surtout l’élan de solidarité qui mérite d’être salué.

Il a également expliqué au couple l’importance du Fonds de soutien patriotique dans la lutte contre le terrorisme et dans la prise en charge des besoins humanitaires, d’où son renouvellement par le gouvernement pour l’année 2025.

Agence d’information du Burkina
DNK/ata

Initiative présidentielle pour la santé : la construction de centres médicaux communaux lancée à Bérégadougou

Initiative présidentielle pour la santé : la construction de centres médicaux communaux lancée à Bérégadougou

(Bérégadougou, 31 janvier 2025). Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH représentant le Chef de l’État, a procédé ce vendredi, au lancement des travaux de construction des centres médicaux communaux dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour la santé (IPS).

A Bérégadougou, commune située à une dizaine de kilomètre de Banfora (région des Cascades) sortira de terre bientôt un centre médical communal, doté de services d’urgences médicales, d’imagerie, d’une pharmacie, d’un bloc opératoire, d’un service d’hospitalisation, d’un laboratoire, d’une banque de sang, et d’un bloc administratif.

La pose de la première pierre de ces infrastructures marque le lancement de la construction de centres médicaux communaux et de blocs de réanimation et d’anesthésie dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour la santé (IPS), avec pour objectif l’amélioration de l’accès aux soins de santé et la qualité des prestations offertes aux populations.

Il s’agit de réaliser 55 centres médicaux communaux sur les cinq prochaines années sur toute l’étendue du territoire national et 5 blocs de réanimation et d’anesthésie dans les hôpitaux du pays.

Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH précise que pour l’année 2025, une vingtaine de centres médicaux communaux, 2 unités d’hémodialyses, 5 blocs de réanimation et 1 institut de cœur seront réalisés ainsi que la mise à disposition de produits innovants pour permettre le diagnostic moléculaire du cancer du sein.

Le Capitaine MEDAH souligne que cette initiative vise à « moderniser les infrastructures de santé tout en renforçant l’offre et la qualité des soins au Burkina Faso pour tous les burkinabè où qu’ils soient (…) et à offrir un meilleur cadre de travail aux agents de santé ». Il invite donc les bénéficiaires à s’approprier cette initiative et à mobiliser les savoirs et les ressources pour sa meilleure mise en œuvre.

Le Coordonnateur national de l’Initiative présidentielle pour la Santé, Drissa TRAORÉ rappelle que le Chef de l’État fait de la santé une priorité nationale. L’IPS s’inscrit donc dans une vision du progrès et pose les bases d’un système sanitaire performant.

Revenant sur la vision du Président du Faso pour le secteur de la santé, le ministre de la Santé Robert Lucien Jean-Claude KARGOUGOU, indique que des réformes audacieuses ont été engagées. Parmi celles-ci, l’allocation de 12% du budget de l’État au ministère de la Santé, l’amélioration des plateaux techniques des hôpitaux, la réduction drastique des coûts de certains examens médicaux, l’acquisition de matériel performant au profit des structures sanitaires du Burkina Faso et l’Initiative présidentielle pour la santé.

Adopté en Conseil des ministres le 3 juillet 2024, l’IPS vise à réformer notre système de santé à travers l’amélioration de l’offre de santé et de l’accessibilité des Burkinabè aux soins de santé, l’amélioration du cadre de travail du personnel.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Groupement Central des Armées : Le colonel BASSINGA Bapio Narcisse prend les rênes

Groupement Central des Armées : Le colonel BASSINGA Bapio Narcisse prend les rênes

Ce vendredi 31 Janvier 2025, le Colonel BASSINGA Bapio Kouaye Narcisse a pris le Commandement du Groupement Central des Armées (GCA) au Camp Guillaume OUEDRAOGO de Ouagadougou, au cours d’une cérémonie solennelle et pleine d’émotions, placée sous la présidence du Général de Brigade Moussa DIALLO, CEMGA. Succédant au colonel OUEDRAOGO Nestor décédé le 22 Décembre 2024, il lui a rendu un vibrant hommage dans son discours.

Il a ensuite présenté les axes essentiels pour l’avenir du GCA. Il s’agit entre autres de mettre l’accent sur le renforcement des capacités opérationnelles, le commandement de proximité, ainsi que l’équité et l’impartialité dans sa gestion, dans le strict respect des règlements militaires.

Armées

Commande publique : L’ARCOOP présente son rapport d’activités 2023 à la presse

𝐂𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 : 𝐋’𝐀𝐑𝐂𝐎𝐏 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐝’𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝟐𝟎𝟐𝟑 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞

L’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP) a présenté à la presse son rapport d’activités 2023, ce vendredi 31 janvier 2025, à Ouagadougou.

L’ARCOP, en tant qu’autorité administrative indépendante rattachée à la Primature, assure la régulation des marchés publics et des partenariats public-privé à travers diverses missions, notamment la définition des politiques, la formation et l’information des acteurs, le maintien du système d’information, la conduite des audits et l’évaluation du système, la discipline et le règlement des différends.

Après la remise du rapport d’activités comptant pour l’année 2023 au Premier ministre le 17 janvier 2025, il ne restait que sa présentation au public, d’où la présente conférence de presse qui a été présidée par le président du conseil de régulation, Abdallah Youssef Chahine Traoré.

Dans sa liminaire, le président du conseil de régulation, a fait savoir qu’en 2023, 4 164 marchés publics ont été conclus par les ministères, institutions et autres structures centrales de l’État, pour un montant total de 206 109 333 881 F CFA. En 2022, ces statistiques étaient de 3 142 marchés conclus pour une valeur de 162 165 475 575 F CFA.

L’ARCOP a poursuivi ses efforts de modernisation du système de gestion de la commande publique, notamment par la relecture de la loi n°039-2016/AN du 02 décembre 2016 et de ses décrets d’application, ainsi que par l’adoption de plusieurs arrêtés. 23 sessions de formation ont également été organisées au profit de 643 participants, dont 226 dans le cadre de formations certifiantes, en collaboration avec l’Université Thomas Sankara.

Concernant le règlement des différends, 118 sessions ont été tenues en 2023, traitant 1 064 dossiers, dont 867 plaintes, 104 demandes de conciliation et 93 dossiers disciplinaires.

Les secteurs ayant enregistré le plus de commandes publiques en 2023 sont ceux des fournitures (52,12 %), des prestations (9,27 %) et des services courants (29 %). Ces commandes ont principalement concerné l’appui aux populations déplacées et le renforcement de la sécurité.

Le rapport 2023 met également en lumière quelques faiblesses à corriger pour une meilleure action de la structure : La faible participation des femmes aux sessions de certification, l’absence de données sur l’exécution technique et financière des marchés publics, des difficultés dans le recouvrement de la redevance de régulation pour certains marchés, la persistance du non-respect des décisions de l’Organe de règlement des différends (ORD).

Face à ces défis, le Secrétaire permanent, Modeste Yaméogo, et son équipe s’engagent à poursuivre les efforts pour garantir une gestion saine et efficace des marchés publics au Burkina Faso. L’autorité entend renforcer les mesures suivantes : promouvoir l’accès des femmes aux formations sur la commande publique, améliorer le suivi de l’intégrité des marchés publics, renforcer la transparence et la traçabilité des marchés publics et revoir le système d’élaboration de la mercuriale des prix.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

Soutenance Master II : Karidia Kaboré/Traoré pose la problématique de la mortalité néonatale et infantile à l’hôpital Yalgado  

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Soutenance Master II : Karidia Kaboré/Traoré pose la problématique de la mortalité néonatale et infantile à l’hôpital Yalgado  

Ouagadougou, 31 janv. 2025 (AIB)-L’attaché de santé en pédiatrie, Karidia Kaboré/Traoré, en service à la néonatalogie du centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles de Gaulle, a soutenu jeudi, son Master II, qui aborde la problématique de la mortalité néonatale et infantile à l’hôpital Yalgado.

« Mon étude est basée sur un constat ou des bébés prématurés souffrent par manque de couveuses », a indiqué l’attaché de santé en pédiatrie, Karidia Kaboré/Traoré, en fin de formation en Master II de sociologie à l’Université Joseph Ki-Zerbo (UJKZ).

Son étude a porté sur le thème : « Les représentations sociales de la prématurité par les parturientes au Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) de Ouagadougou ».

Selon elle, les conditions dans lesquelles les bébés prématurés sont gérés sont souvent la cause de leurs décès.

Mme Kaboré, qui s’exprimait jeudi à l’UJKZ de Ouagadougou, lors de sa soutenance, a précisé que la mortalité néonatale et infantile à l’Hôpital Yalgado est due à l’insuffisance des couveuses.

« En tant que sociologue, je me suis posée la question à savoir, pourquoi ne pas mener une recherche pour mieux comprendre la cause de ces décès. J’ai constaté qu’au Burkina Faso, sur 759 084 naissances vivantes 16 940 sont des prématurés soit 2,2% avec un taux de décès de 5% », a-t-elle ajouté.

Karidia Kaboré, dit avoir réalisé son étude socio-anthropologique en centre urbain à Ouagadougou à travers des entretiens individuels semi-structurés.

Elle s’est entretenue avec des parents des prématurés, des personnels de santé, avec des hommes et des femmes en communautés sur les représentations et les pratiques sociales liées à la prise en charge ainsi qu’à la gestion des enfants prématurés en milieu urbain à Ouagadougou.

Selon l’impétrante Kaboré, les normes sociales et culturelles interfèrent dans la participation de l’homme et de l’entourage dans la gestion et la prise en charge des enfants prématurés dans nos sociétés.

Elle a fait remarquer que des observations ont été faites à domicile et à l’hôpital Yalgado Ouédraogo pour mieux comprendre les pratiques, au-delà des discours.

Pour Karidia Kaboré/Traoré, l’insuffisance du personnel qualifié et du matériel, sont des facteurs qui influencent la bonne prise en charge des nouveaux nés prématurés au sein du CHU-YO.

Au terme de sa soutenance de Master II en sociologie, sa thématique, qualifiée d’intéressante et d’actualité, a été jugée recevable par le jury.

Le travail de Karidia Kaboré/Traoré a été sanctionné par la mention bien.

Agence d’information du Burkina

HB/no/yo

𝐀𝐯𝐚𝐧𝐭-𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐨𝐢 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐫é𝐠𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐢𝐜𝐫𝐨𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 : 𝐥𝐚 𝐂𝐎𝐌𝐅𝐈𝐁 𝐚𝐝𝐨𝐩𝐭𝐞 𝐥𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐚𝐩𝐫è𝐬 𝐚𝐮𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭

𝐀𝐯𝐚𝐧𝐭-𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐨𝐢 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐫é𝐠𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐢𝐜𝐫𝐨𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 : 𝐥𝐚 𝐂𝐎𝐌𝐅𝐈𝐁 𝐚𝐝𝐨𝐩𝐭𝐞 𝐥𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐚𝐩𝐫è𝐬 𝐚𝐮𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭

(Ouagadougou, le 31 janvier 2025). Après l’examen de l’avant-projet de loi portant réglementation de la microfinance, présenté aux députés de la Commission des Finances et du Budget (COMFIB) par le ministre délégué chargé du Budget, Fatoumata BAKO/TRAORE, le 27 janvier 2025, les deux parties ont adopté, ce vendredi 31 janvier 2025, le projet de rapport y relatif.

Ledit rapport sera soumis à l’appréciation des députés de l’Assemblée législative de Transition. La révision de la loi sur la microfinance offre l’opportunité de prendre en compte les réformes menées dans le secteur financier de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA) au cours des dernières années, ainsi que les évolutions intervenues dans l’environnement du secteur de la microfinance aussi bien en termes d’opportunités que de risques inhérents.

Les innovations majeures découlant de cette révision portent notamment sur le renforcement de la gouvernance des institutions de microfinance (IMF); la clarification des rôles et responsabilités des Autorités de supervision; l’instauration d’un capital social minimum pour les IMF; l’application du principe de proportionnalité; l’élargissement des activités autorisées aux IMF et la rationalisation des formes juridiques.

La mise en œuvre de ces innovations devrait permettre de doter le Burkina Faso d’un secteur de la microfinance à même de répondre aux enjeux et défis de résilience, d’inclusion financière et de financement de l’économie.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐌𝐄𝐅

Burkina : Une soixantaine d’entrepreneurs outillés pour booster la production avicole locale

Burkina-Formation-Aviculture-Entrepreneures

Burkina : Une soixantaine d’entrepreneurs outillés pour booster la production avicole locale

Ouagadougou, 31 Janv. 2025 (AIB) – Dans le cadre de l’offensive agropastorale et halieutique, le directeur général du Fonds Dumu Ka Fa (FDKF), Oula Damien Ouattara, a présidé lundi à Ouagadougou, la cérémonie de fin de formation, de la première cohorte d’une soixantaine d’entrepreneurs avicoles.
Durant une semaine, ils ont été formés au Centre de promotion de l’aviculture et de multiplication des animaux performants (CPAMAP), aux techniques d’engraissement des poussins jusqu’à leur écoulement sur le marché, rapporte les services de communication dudit fonds.

Ces entrepreneurs avicoles ont été sélectionnés dans le cadre de l’appel à projets visant à soutenir la filière avicole par le financement de 500 micro-projets d’élevage de poulets de souche locale améliorée.

Ce plan envisage une augmentation substantielle de la production dans les filières stratégiques parmi lesquelles, la filière avicole afin de combler les 70% de besoins de consommation de la population et de lever la dépendance à l’importation.

Cette opération s’inscrivant dans le cadre de la politique de l’offensive agropastorale et halieutique, vise à renforcer la filière avicole, avec pour objectif d’accroître la production annuelle à 18 millions de têtes de volaille.

Le Directeur général du FDKF, Oula Damien Ouattara, a salué l’engagement des participants et les a ensuite invités à un dévouement sans faille quant à l’atteinte des résultats escomptés.

De leur côté, les participants ont traduit leurs remerciements au ministre d’État, ministre en charge de l’Agriculture, le commandant Ismaël Sombié pour l’initiative et partant, le directeur général du Fonds pour l’accompagnement technique et financier.
Agence d’information du Burkina
Dnk/ata

Ganzourgou : Plus de 268 000 enfants vaccinés contre la fièvre typhoïde à Zorgho

Burkina/Zorgho-Santé-Vaccination-Bilan

Ganzourgou : Plus de 268 000 enfants vaccinés contre la fièvre typhoïde à Zorgho

Zorgho, 31 janv. 2025 (AIB) – La campagne nationale de vaccination contre la fièvre typhoïde, menée du 23 au 29 janvier 2025, a enregistré un taux de couverture de 107,91 % dans le district sanitaire de Zorgho, avec 268 747 enfants vaccinés sur une cible initiale de 249 032 enfants, âgés de 9 mois à 14 ans.

Selon le Médecin-chef du district (MCD), Dr Delphin Kaboré, ce résultat exceptionnel est le fruit d’une forte mobilisation des agents de santé, des autorités locales, des enseignants, des volontaires et des parents.

Il a félicité tous les acteurs impliqués et les a exhortés à maintenir cette dynamique pour les prochaines campagnes de vaccination en vue de l’éradication des maladies ciblées dans la province.

Cette campagne, la première du genre contre la fièvre typhoïde au Burkina Faso, s’inscrit dans la stratégie nationale de lutte contre les maladies évitables par la vaccination.

Agence d’information du Burkina
MS/dnk/ata

Zondoma: Le Cadre de concertation du Zondoma apporte sa contribution dans l’élaboration du Plan régional de développement du Nord

Burkina/Zondoma-CCP

Zondoma: Le Cadre de concertation du Zondoma apporte sa contribution dans l’élaboration du Plan régional de développement du Nord

Gourcy, 30 janv. 2025 (AIB) – Le Cadre de concertation provincial (CCP) du Zondoma a tenu sa première session de 2025, le 30 janvier 2025 à Gourcy. Le Plan régional de développement (PRD) du Nord en cours d’élaboration a été examiné.

Afin de se doter la région d’un référentiel de développement en phase avec les réalités du moment, la Délégation spéciale régionale du Nord a initié la relecture de son Plan régional de développement (PRD), arrivé à terme depuis 2022.

C’est dans cette perspective que le Cadre de concertation provincial (CCP) du Zondoma s’est réuni à Gourcy pour apporter sa contribution à cet instrument de planification des actions de développement de la région en prenant en compte les réalités du moment liées particulièrement au contexte sécuritaire.

Pour le haut-commissaire de la province Zondoma, Aboubacar Sidiki Nabé, présidant de la session, cette rencontre vise d’une part à présenter le rapport diagnostic élaboré par la délégation spéciale régionale et d’autre part à recueillir les besoins et les préoccupations des populations.

« Je vous invite à participer activement aux travaux afin de faciliter l’identification des besoins réels des populations à inscrire dans le document final », a indiqué M. Nabé.
C’est par une présentation du rapport diagnostic avec le secrétaire général (SG) du Conseil régional du Nord, Brehima Savadogo, que les travaux proprement dits ont commencé.

Après les échanges, les forces vives de la province ont à l’issue des travaux de groupe fait le point des besoins prioritaires de la province dans les secteurs de l’éducation, la santé, l’agriculture et l’élevage, la culture.

Entre autres, on peut retenir la construction d’infrastructures éducatives, de salles de spectacles, l’ouverture d’une filière universitaire, la formation professionnelle des jeunes et des femmes.

Tout en saluant la contribution des participants, le SG du conseil régional du Nord a rassuré qu’elles seront prises en compte dans le document final.

Selon lui, des rencontres similaires ont été organisées dans les autres provinces de la région à savoir le Yatenga, le Loroum et le Passoré. Le Plan régional de développement de la région du Nord couvrira la période 2025-2029.

Agence d’Information du Burkina
AK/dnk/ata

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