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L’armée ukrainienne a reconnu les désertions au sein de la brigade formée en France

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L’armée ukrainienne a reconnu les désertions au sein de la brigade formée en France

Ouagadougou, 7 janv. 2025 (AIB) – Le commandant des forces terrestres de l’armée ukrainienne, Mikhaïl Drapaty, a reconnu la désertion de militaires ukrainiens de la 155e brigade, Anne de Kiev, formés en France, mais il n’a pas précisé le nombre de ceux qui ont fui l’unité.

« Plusieurs cas [de désertion] se sont produits. Pour ma part, je porte un regard négatif sur tous ces événements et sur ce qui aurait pu être corrigé sur le terrain à tous les niveaux de commandement. Je veux dire tous les commandants, les commandants en chef », a-t-il déclaré dans un commentaire diffusé lors d’un marathon télévisé ukrainien.

Selon d’autres sources médiatiques, près 1700 soldats de la brigade ont déserté, pour la plupart avant même que leur unité ne soit déployée sur le front, et un grand nombre durant la formation en France.

Agence d’information du Burkina

Burkina : Plusieurs terroristes neutralisés et de la logistique de guerre récupérée

Burkina : Plusieurs terroristes neutralisés et de la logistique de guerre récupérée

Ouagadougou, 7 janv. 2025(AIB) – Les combattants burkinabè ont mené ces derniers jours plusieurs offensives terrestres et aériennes, permettant de détruire des bases terroristes, de neutraliser des criminels et de récupérer de la logistique de guerre dans la région de la Boucle du Mouhoun et au Nord du pays, a appris l’AIB de sources sécuritaires.

Pas de répit en ce début d’année pour les forces de défense et de sécurité, ainsi que pour les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) dans leur mission de sécurisation du Burkina Faso.

Le samedi 28 décembre 2024, à Melou, dans la Boucle du Mouhoun, les combattants du Groupement des unités mobiles d’intervention (GUMI) ont surpris et neutralisé plusieurs criminels en plein festin dans leurs bases en brousse.

Deux jours plus tard, à Bonza, dans la zone de Solenzo, ce sont les vaillants VDP qui ont anéanti un groupe de criminels avant de récupérer leur matériel de guerre.

Pendant ce temps, au Centre-Nord, les unités Guépard et Fantôme ont lancé des offensives sur une base terroriste, neutralisant les criminels et faisant de nombreux prisonniers.

Le 3 janvier 2025, plusieurs bandits ont été mis hors d’état de nuire et du matériel a été récupéré par le 18e BIR à Montionkui.

Le lendemain, des criminels venus s’attaquer à un poste de VDP ont été copieusement matés, les obligeant à abandonner des armes et les corps de leurs anciens compagnons.

Du 31 décembre au 6 janvier, le 7e BIR s’est lancé à la traque de terroristes venus troubler la quiétude des populations de Morlaba, dans le Kénédougou.

La réaction fut sans pitié. Des frappes aériennes se sont abattues sur les véhicules des fuyards, anéantissant ainsi plusieurs dizaines de hors-la-loi. On note également des bases détruites et du matériel récupéré.

Les véhicules de ceux qui quadrillaient la zone ont également été complètement détruits par les frappes.

En outre, les observations ont permis de repérer un grand nombre de criminels évoluant à moto dans la zone de Oursi (Sahel), s’approchant dangereusement d’une unité amie.

Leur progression a été stoppée par un missile, créant un « sauve-qui-peut » dans les rangs de l’ennemi. Ils ont été minutieusement suivis jusqu’à leur base à Goutourou Kiri, où ils ont été détruits dans la matinée du 29 décembre 2024.

Dans la soirée, les vecteurs aériens ont été alertés d’un mouvement de plusieurs motos en provenance du Nord vers Ouahigouya. Les combattants du ciel se sont mis en action, détruisant les deux premiers pickups par des frappes.

Plusieurs autres pickups camouflés ont été découverts et frappés efficacement, avec l’appui d’autres vecteurs aériens.

Le lendemain, 30 décembre, à 06h00, une autre tentative d’incursion de criminels a été signalée à Zimsa. Immédiatement, ils ont été anéantis par deux missiles successifs.

Agence d’information du Burkina

Ouagadougou/ZACA : L’Office du contrôle des constructions constate le début de la démolition des installations anarchiques

Ouagadougou/ZACA : L’Office du contrôle des constructions constate le début de la démolition des installations anarchiques
Ouagadougou, 7 janv. 2025(AIB) – L’Office national de contrôle des aménagements et des constructions (ONC-AC) a constaté mardi le début de la déconstruction des boutiques érigées anarchiquement sur les parcelles 03 et 04 du lot 06 de la section 0005 (AH), situées dans la Zone d’activités commerciales et administratives (ZACA).
Initialement sortie pour une mission de dernière mise en garde, l’équipe de l’ONC-AC a constaté avec satisfaction le démarrage effectif de la démolition des magasins installés illégalement sur les parcelles 03 et 04 du lot 06 de la section 0005 (AH) de la ZACA.
« Nous étions sortis pour une ultime mise en garde à l’intention de ceux qui seraient tentés de ne pas respecter les mesures, mais nous constatons que les commerçants sont en train de libérer progressivement les lieux », a déclaré avec satisfaction le directeur général de l’ONC-AC, Yacouba Siko.
Pour rappel, l’Office de contrôle des constructions avait mis en demeure les populations concernées de démanteler leurs installations au plus tard le vendredi 3 janvier 2025, faute de quoi elle se donnerait les moyens de les détruire.
Tout en saluant l’esprit de collaboration des acteurs, M. Siko a saisi l’occasion pour inviter à accélérer la démolition des boutiques dont la construction ne respecte pas les cahiers des charges de la ZACA.
« Cela permettra d’éviter que notre intervention, qui n’a jamais été de gaieté de cœur, ne fasse beaucoup de dégâts », a-t-il ajouté.
En rappel, les textes indiquent que les parcelles de la ZACA sont exclusivement destinées à abriter des immeubles de R+4 minimum et R+6 maximum (avec la possibilité de dérogations pour la construction d’immeubles de plus de 7 niveaux).
Ces ouvrages sont affectés exclusivement aux sièges sociaux, aux sièges d’institutions, aux hôtels, aux banques et assurances, aux services (bureaux) et aux habitations à partir du R+3.
Agence d’information du Burkina
YOS/ata

Ioba : La commune de Ouéssa soutient des élèves et des personnes vulnérables

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Ioba : La commune de Ouéssa soutient des élèves et des personnes vulnérables

Dano, 05 jan. 2025 (AIB) – La délégation spéciale communale de Ouéssa a remis des bourses scolaires à 20 élèves et des vivres à des personnes vulnérables, le lundi 30 décembre 2024 à Ouéssa.

La cour de la mairie de Ouéssa a servi de cadre pour la cérémonie de remise de bourses scolaires et de vivres. C’est le préfet, président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Ouéssa, Ismaël Sanogo, qui a présidé ladite cérémonie.
Au total, 20 élèves issus de trois établissements secondaires à savoir le lycée départemental de Ouéssa, le collège d’enseignement général (CEG) de Hamélé et le CEG de Kolinka. Ils ont reçu chacun une bourse scolaire de 25 000 FCFA. Ce soutien aux élèves orphelins et autres enfants vulnérables (OEV) s’élève au total à 500 000 FCFA.
La délégation spéciale de la commune de Ouéssa a également fait un don de vivres et de l’huile à 20 autres personnes démunies.

En plus de l’assistance de la mairie de Ouéssa, la direction provinciale en charge de l’action humanitaire du Ioba a donné du riz, de l’huile et du sucre à dix personnes déplacées internes de ladite commune. Chaque personne démunie est repartie avec un sac de riz de 25 kilogrammes et au moins un litre et demi d’huile.

Un bénéficiaire, Jean Marie Bamogo, est très satisfait de l’acte de solidarité posé par la délégation spéciale de Ouéssa et la direction provinciale de l’action humanitaire du Ioba .
« Je suis comblé par ce don en cette fin d’année. Je remercie les donateurs », a-t-il dit.
« Cette action de la délégation spéciale représente de façon symbolique, notre engagement à offrir à chaque enfant, la chance de forger son avenir et à chaque personne dans le besoin l’espoir d’une vie meilleure », fait savoir le PDS de Ouéssa.
Cette activité s’inscrit dans le cadre de l’appropriation du principe appelé « Leave No One Bihind » qui signifie ne laissez personne pour compte.

M. Sanogo a affirmé que chaque citoyen doit compter dans le processus socio-économique de la cité. Il a invité les différents acteurs de la commune à apporter également leurs assistances aux personnes vulnérables. « Nous devons tous accompagner la délégation spéciale à soutenir les familles démunies pour les permettre de vivre dans la dignité », a-t-il exhorté.

Le PDS a présenté à l’occasion ses vœux de santé, de prospérité, de cohésion et surtout la sécurité à toute la population de Ouéssa.

Agence d’information du Burkina
SZ/dnk/ata

Loroum/Education : Le directeur provincial veut donner la chance aux enfants de la province de poursuivre leur cursus scolaire

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Loroum/Education : Le directeur provincial veut donner la chance aux enfants de la province de poursuivre leur cursus scolaire

Titao, (AIB)-Le directeur provincial en charge de l’Enseignement de base du Loroum, Sidiki Mandé, installé, le lundi 6 Janvier 2025 à Titao, compte ouvrir les écoles et donner la chance à tous les enfants de reprendre le chemin de l’école.

La cérémonie de passation de service du directeur provincial en charge de l’Enseignement de base du Loroum, Sidiki Mandé, a eu lieu le lundi 6 Janvier 2025 à Titao, sous la présidence du secrétaire général de la province du Loroum, David Ayoro.

«Nous allons demander aux enseignants de prendre du courage et avec l’accompagnement des FDS, à chaque fois qu’une zone est conquise et que les populations y sont réinstallées, nous allons nous donner du courage et ouvrir les écoles pour permettre ainsi à tous les enfants de la province de pouvoir poursuivre leur cursus scolaire », a déclaré M. Mandé.

Il a demandé à tous de s’unir pour la continuité éducative dans la province.

Après plus de quatre ans à la tête de la direction provinciale du Loroum, le directeur sortant, Mahamadi Koudougou, s’est réjoui du niveau de performance atteint par sa direction.

Pour lui, la province a été fortement marquée par la montée de l’insécurité au Loroum contraignant les écoles à fermer, mais avec les efforts conjugués des populations, de l’administration et l’accompagnement des ONG et associations de développement, des initiatives locales ont été développées pour la continuité éducative à Titao et à Ouahigouya.

« En termes de résultat, le Loroum a réalisé un taux de réussite 95% au CEP session de 2024 », a-t-il ajouté.

M. Koudougou, a félicité son successeur pour la confiance placée en lui et a invité tous les acteurs de l’éducation à une franche collaboration pour la réussite de sa mission.

Sidiki Mandé a dit avoir mesuré la hauteur de la tâche et a félicité son prédécesseur pour les résultats obtenus et placé son mandat sous le signe de la continuité, la confiance et l’engagement à mettre en œuvre la politique éducative du gouvernement burkinabè.

«L’éducation au Loroum est à la phase de relèvement et de stabilisation », a-t-il affirmé.

M. Mandé a invité tous les acteurs à «poursuivre l’œuvre du sortant dans un climat de tolérance, de pardon, de vivre ensemble pour une résilience éducative réussie à Titao».

Il a sollicité l’accompagnement des ONG et associations et celle de la communauté éducative pour le bon fonctionnement de l’école.

Agence d’information du Burkina

ASO/hb/yo

Afrique-France: Entre remerciements et pardon, chacun sa vérité

Afrique-France: Entre remerciements et pardon, chacun sa vérité
Ouagadougou, 7 janv. 2025 (AIB)- La France esclavagiste, colonialiste, néocolonialiste et raciste accuse l’Afrique d’ingratitude. Quelle ironie! C’est l’hôpital qui se moque de la charité. Plutôt que d’exiger des remerciements, Paris devrait plutôt envisager d’implorer le pardon des Africains pour les souffrances infligées depuis plusieurs siècles.
Lundi, devant les diplomates français, le président Emmanuel Macron a de nouveau affiché à la face du monde son arrogance et sa condescendance envers l’Afrique.
Affirmer que sans l’intervention militaire française dans le Sahel, certains chefs d’État ne seraient pas à la tête de pays souverains est une insulte aux milliers de soldats africains qui combattent jour et nuit depuis plus d’une décennie pour protéger les populations et préserver l’intégrité de leurs territoires face à des terroristes armés par des pompiers-pyromanes.
Jupiter peut-il véritablement parler de reconnaissance ou de remerciements envers la France ces dernières années ? La présence militaire française au Mali, au Burkina Faso et au Niger a-t-elle mis fin au terrorisme ?
Assurément non ! Sans l’intervention des chefs d’Etat de ces trois pays, ils seraient probablement sous les contrôles de terroristes et de valets locaux à sa solde.
Pourtant, en décembre 2021, des chefs d’État africains se sont inclinés à Pau devant les tombes de soldats français tombés au Sahel. Que fallait-il faire de plus ? Les hommages aux morts ne valent-ils pas davantage que de simples remerciements ?
Le président Macron avait alors exigé que ces dirigeants justifient la présence des troupes françaises dans leurs pays. N’est-ce pas suffisant pour témoigner de la reconnaissance ?
En 2015, des dirigeants africains s’étaient rendus à Paris pour exprimer leur solidarité après l’attentat contre Charlie Hebdo.
Depuis, aucun responsable français n’a fait le déplacement pour rendre hommage aux victimes africaines des attaques terroristes.
L’histoire témoigne pourtant de l’apport décisif de milliers de soldats africains à la libération de la France lors des deux guerres mondiales.
Un sacrifice que la France a non seulement minimisé, mais souvent ignoré.
Le massacre de Thiaroye, en 1944, où des tirailleurs africains furent abattus pour avoir réclamé leur solde, reste une cicatrice non refermée. Y a-t-il eu, depuis, un début de reconnaissance ?
Par la suite, la France a laissé mourir la plupart de ces anciens combattants avant d’octroyer de maigres pensions aux rares survivants ou à leurs ayants droit.
Que peut-on attendre d’un pays qui a pratiqué l’esclavage, la colonisation, les travaux forcés, le néocolonialisme, les coups d’État, les rébellions, les guerres civiles et maintenant le terrorisme ?
Que peut-on attendre d’un président qui, depuis huit ans, détruit progressivement son propre pays et marginalise une partie de sa population ?
Les promesses de nouveau partenariat bâties sur la vérité, la repentance et le respect mutuel, formulées par Emmanuel Macron au début de sa présidence à la jeunesse africaine, sont restées des vœux pieux.
En lieu et place, La Françafrique, bien que discrète, perdure à travers des institutions infiltrées et des relais locaux de l’impérialisme.
Les présidents Ibrahim Traoré, Assimi Goïta et Abdourahamane Tiani ont pris très tôt la pleine mesure de la situation et ont engagé leurs pays sur le chemin de la souveraineté, du respect et du développement.
Toutefois, ces dirigeants doivent rester vigilants. Une lionne blessée n’en est que plus redoutable, surtout lorsqu’elle prévient qu’elle ne s’est pas retirée, mais qu’elle se réorganise.
Agence d’information du Burkina

Le président Ibrahim Traoré assiste à l’investiture du président ghanéen John Dramani Mahama

Le président Ibrahim Traoré assiste à l’investiture du président ghanéen John Dramani Mahama

(Accra, 7 janvier 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a assisté ce mardi aux côtés de ses pairs africains, à l’investiture du nouveau Président de la République du Ghana, John Dramani MAHAMA, à Black Star Square (la Place de l’Indépendance).

C’est en présence de nombreux Chefs d’État africains, de Présidents d’institutions, de Chefs de Gouvernements étrangers et une population ghanéenne en liesse que le Président de la République du Ghana, John Dramani MAHAMA, a prêté serment. Le nouveau président ghanéen entame ainsi officiellement son deuxième mandat à la tête du Ghana.

Devant le juge en chef Gertrude TORKORNOO, John Dramani MAHAMA a juré de protéger la Constitution, de servir le peuple, de s’investir pour la justice sociale, de protéger et défendre le Ghana.

Membre du Congrès Démocratique National, le nouveau président succède à Nana AKUFO-ADDO du Nouveau Parti Patriotique, qui a fait deux mandats consécutifs à la tête du Ghana.

Le Président John Dramani MAHAMA a dirigé le Ghana de 2012 à 2017.

Cette cérémonie d’investiture a connu également la prestation de serment de la Vice-présidente du Ghana, Pr Naana Jane OPUKU-AGYEMANG.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Ganzourgou : AMS offre un important lot de matériels aux communautés impactées par le projet aurifère de SOMISA

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Ganzourgou : AMS offre un important lot de matériels aux communautés impactées par le projet aurifère de SOMISA

Zorgho, (AIB)- La société African Mining Services (AMS), un sous-traitant de la Société des mines de Sanbrado (SOMISA) dans la cadre du projet aurifère de Sanbrado, a officiellement remis du matériel aux communautés impactées par ce projet. Ce fut sur son site de Sanbrado, commune de Boudry, lundi 30 décembre 2024.

A l’orée de la nouvelle année 2025, AMS a apporté de la joie aux communautés impactées par le projet aurifère de Sanbrado, à travers une remise de cadeaux.

Les dons remis, un container de matériel, comprenaient des vivres (riz, huile, lait, conserves de poissons…), des non-vivres (vélos, chaises, marmites, tables-bancs, craies…), ainsi que des matériaux médicaux déjà livrés à la communauté deux jours auparavant. Ces gestes s’inscrivent dans une démarche annuelle de solidarité qu’AMS mène à l’endroit des populations locales en fin d’année.

« Nous menons ces actions sociales pour partager la joie avec les familles qui nous accueillent sur leurs terres. C’est aussi une façon de cultiver un climat de convivialité avec nos hôtes », a déclaré le directeur de projet adjoint à AMS, Tanoh Léonard Koffi.

Selon lui, à travers ces dons, AMS réaffirme son engagement à maintenir des relations harmonieuses avec les communautés locales. « Nous sommes leurs hôtes, et il est de notre devoir de nous comporter en famille. Ce geste traduit notre volonté de partager les fruits de notre activité avec ceux qui nous accueillent », a précisé M. Koffi.

Le Rons-Naba de Nédogo, représentant les communautés bénéficiaires, a exprimé sa gratitude. « Nous sommes venus au nom du chef de Nédogo pour répondre à l’invitation d’AMS. Nous avons vu les dons et nous en sommes très fiers. Nous remercions AMS et SOMISA, leur entreprise mère, et souhaitons que Dieu renforce leur partenariat », a-t-il déclaré. Ces dons, selon lui, vont aider particulièrement les personnes vulnérables. Il a alors invité les autres entreprises sous-traitantes à suivre cet exemple.

Le représentant du président de la délégation spéciale (PDS) de Boudry, Hamidou Maïga, a également salué ce geste. « Ce don apporte de la joie aux bénéficiaires. Nous souhaitons qu’il inspire les autres entreprises opérant sur le site afin qu’elles posent des actes pour le bonheur des populations », a-t-il souligné.

En activité au Burkina Faso depuis 2011, AMS intervient dans l’extraction minière sur le site de Sanbrado. À travers cette initiative, l’entreprise témoigne de sa volonté de contribuer au développement social et économique des localités qui l’hébergent.

Agence d’information du Burkina

MS/dnk/ata

Banwa : Le nouveau Haut-commissaire de la province appelle la population à faire de la province un havre de paix

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Banwa : Le nouveau Haut-commissaire de la province appelle la population à faire de la province un havre de paix

Solenzo, 6 Jan. 2025 (AIB) – Le nouveau Haut-commissaire de la province des Banwa, Sanfiénalé Sirima, a appelé lundi l’ensemble de la population à faire de la province un havre de paix et de tolérance où il fera bon vivre.

M. Sirima s’exprimait lundi lors de la cérémonie de prise de fonction présidée par la secrétaire générale de la Région de la Boucle du Mouhoun, Adjara Kientega/Ouedraogo.

Il également engagé à accomplir sa fonction avec beaucoup d’humilité, d’abnégation, de probité et de patriotisme.

Il a rendu un hommage mérité aux directeurs et chefs de service à qui il a sollicité de l’accompagnement technique.

Il a aussi salué les autorités coutumières et religieuses dont la sagesse et la notoriété ont toujours permis de transcender tout clivage et maintenir la cohésion et le bon vivre ensemble.

Le Haut-commissaire entré a décidé de faire de la communication son cheval de bataille pour une paix durable dans la province des Banwa.

Le Haut-commissaire sorti, Oumarou Sandwidi, a invité l’ensemble de la population à accompagner le nouveau.

Agence d’information du Burkina

SO/dnk/ata

Banwa : Le nouveau PDS de Tansila s’engage à accomplir sa mission avec efficacité et inclusion 

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Banwa : Le nouveau PDS de Tansila s’engage à accomplir sa mission avec efficacité et inclusion

Solenzo, 6 Jan. 2025 (AIB) – le Nouveau Préfet, Président de la délégation spéciale de Tansila a affirmé lundi conduire sa mission avec efficacité, responsabilité et inclusion lors de la passation de service tenue ce lundi matin dans la salle de réunion de la mairie de Solenzo.

Le nouveau PDS de Tansila Amadou Coulibaly nommé le 18 décembre 2024 a été installé dans ses fonctions par le Secrétaire Général de la province des Banwa, Abdoul Kader KongZabré, devant ses amis, ses parents et une délégation des forces vives de Tansila.

« Je prends service au moment où le pays a besoin de ses filles et fils pour booster le développement et cultiver la paix et la cohésion afin de lutter contre l’hydre terroriste », a laissé entendre Amadou Coulibaly dans son message.

Selon lui, les filles et fils de Tansila et de la province des Banwa en général doivent s’unir pour relever les défis sécuritaires et de développement.

Pour ce faire, il a affirmé bâtir sa vision de gouvernance autour de quelques principes que sont l’impartialité, la loyauté, l’intégrité, l’inclusion, la lutte contre le terrorisme et le vivre ensemble pour une commune de Tansila développée et prospère.

M. Coulibaly a remplacé à ce poste Joseph Ouédraogo

Agence d’information du Burkina

SO/dnk/ata

Burkina : Le Professeur Abdoulaye Diabaté nominé parmi les 100 africains les plus influents de 2024

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Burkina : Le Professeur Abdoulaye Diabaté nominé parmi les 100 africains les plus influents de 2024

Ouagadougou, 7 janv. 2025 (AIB)-Le Professeur Abdoulaye Diabaté a été nominé parmi les 100 africains les plus influents de l’année 2024, a annoncé le magazine New African, rapporté sur le site de Target Malaria. Il a été distingué dans la catégorie science et enseignement.

Le Professeur Abdoulaye Diabaté a été nominé parmi les 100 africains les plus influents de l’année 2024 par le magazine New African, dans la catégorie science et enseignement.

Selon le magazine, Pr Diabaté demeure comme un combattant infatigable contre le paludisme au Burkina Faso et en Afrique.

La liste célèbre les réalisations et les contributions de personnalités africaines de divers domaines et secteurs qui ont eu un impact positif sur le continent et le monde au cours de l’année écoulée.

Le Professeur Abdoulaye Diabaté est considéré comme la figure de proue de la recherche sur le paludisme et de l’application des approches génétiques à la lutte contre la maladie en Afrique.

Il dirige le département d’entomologie médicale et de parasitologie à l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS/DRO, Bobo-Dioulasso), au Burkina Faso.

Le Professeur Diabaté est également le chercheur principal de Target Malaria Burkina Faso, un rôle qu’il occupe depuis qu’il a rejoint l’initiative en 2012.

En tant que membre de l’Académie africaine des sciences, il a donné des conférences dans des institutions prestigieuses, notamment à l’Université de Harvard qui encourage la collaboration entre l’IRSS et les centres de recherche internationaux.

Abdoulaye Diabaté a reçu le prix Pfizer de la Royal Society en 2013 et a été décoré du titre de Chevalier des palmes académiques par au Burkina Faso pour ses contributions exceptionnelles à la recherche scientifique.

En 2019, Pr Diabaté et son équipe de huit chercheurs des États-Unis et du Burkina Faso ont reçu le prix Newcomb Cleveland de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS).

En 2024, le scientifique burkinabè a donné une conférence intitulée «Comment mettre fin au paludisme une fois pour toutes», lors de la conférence annuelle TED à Vancouver.

Sa présentation a mis en évidence le potentiel de transformation que représentent la modification génétique des moustiques et la progression de la lutte contre le paludisme sur le continent.

Le classement New African est une référence dans le monde médiatique africain et mondial et concerne les secteurs de service public, les affaires, la société civile ainsi que la technologie, la culture, les sciences et la politique.

Fondé en 1966 et publié sans interruption depuis, ‘‘New African’’ est devenu aujourd’hui le mensuel panafricain, le plus vendu en Afrique anglophone. Il se distingue par son analyse pointue de l’actualité africaine.

Véritable référence pour les africains et la diaspora, le magazine met en lumière les mutations et les développements essentiels survenus ces dernières années en Afrique. Il est distribué dans plus de 100 pays.

Agence d’information du Burkina

HB/no/yo

Le Tchad s’indigne des propos méprisants du président français à l’égard des Africains

Le Tchad s’indigne des propos méprisants du président français à l’égard des Africains

Ouagadougou, 7 janv. 2025 (AIB)- Le Tchad a exprimé son indignation hier, lundi face aux propos tenus par le président français, Emmanuel Macron devant les ambassadeurs français. Selon un communiqué de presse parvenu à l’AIB, ces déclarations reflètent une attitude méprisante envers l’Afrique et les Africains.

« Le gouvernement de la République du Tchad exprime sa vive préoccupation suite aux propos tenus récemment par le président de la République française, Emmanuel Macron, qui témoignent d’un mépris envers l’Afrique et les Africains », indique le document de l’État tchadien.

Cette indignation fait suite à des propos tenus hier, lundi, devant les ambassadeurs français sur le départ des bases militaires françaises du territoire sénégalais.

La même source rappelle que l’Histoire que l’Afrique, y compris le Tchad, a joué un rôle déterminant dans la libération de la France lors des deux guerres mondiales, un fait que Paris n’a jamais véritablement reconnu.

Le communiqué souligne également que les sacrifices immenses consentis par les soldats africains pour défendre de la liberté ont été minimisés, et qu’aucun remerciement digne de ce nom n’a été exprimé jusqu’à ce jour.

« Le Tchad tient à rappeler qu’il n’a aucun problème avec la France en tant que nation ni avec le peuple français, avec lequel il partage une histoire marquée par des relations humaines et culturelles », a-t-il soutenu.

Pour les autorités tchadiennes, les dirigeants français doivent apprendre à respecter le peuple africain et reconnaître la valeur de ses sacrifices, au lieu de s’en prendre aux Africains. Le président Macron devrait concentrer ses efforts sur la résolution des problèmes qui préoccupent ses concitoyens.

Le texte indique également que la France n’a jamais doté l’armée tchadienne de manière significative ni contribué à son développement structurel. Il précise que la construction de son armée n’est pas l’œuvre de la France, mais le fruit de la bravoure tchadienne, de ses sacrifices et de moyens modestes.

« Le peuple tchadien aspire à une souveraineté pleine et entière, à une véritable indépendance, et à la construction d’un État fort et autonome, acquis au prix de sacrifices inestimables », a-t-il fait remarquer.

Le Tchad invite par ailleurs ses partenaires, y compris la France, à intégrer cette aspiration légitime dans leur approche des relations avec l’Afrique, et précise que la contribution française a souvent été limitée à des intérêts stratégiques propres, sans véritable impact durable sur son développement.

Agence d’information du Burkina
NO/HB/ATA

Sissili: Le haut-commissaire invite les communautés à renforcer  la solidarité et la cohésion sociale

 Burkina-Sissili-Promotion-Cohésion

Sissili: Le haut-commissaire invite les communautés à renforcer  la solidarité et la cohésion sociale

Léo, 7 janv. 2025 (AIB)- Le haut- commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a invité le mardi  7 janvier 2024, lors  de la montée tournante des couleurs, les communautés à renforcer l’union, la solidarité et la cohésion sociale pour un développement harmonieux de la province.

La montée tournante des couleurs qui a lieu tous les premiers mardi du mois, s’est déroulée ce mardi 7 janvier 2025 au haut- commissariat de Léo. Cette montée du drapeau a été accompagnée par l’hymne national.

Pour l’occasion, le haut- commissaire de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a une fois de plus adressé ses vœux pour l’année 2025 à la population résiliente de la province de la Sissili.

«  Dans notre marche radieuse vers la paix au Burkina- Faso, je salue l’engagement et la détermination des différentes couches sociales, des forces de défenses et de sécurité et les volontaires pour la défense de la patrie pour toutes les actions conjugués de consolidation et de l’accalmie sécuritaire, dans notre province au cours de l’année 2024 », a déclaré M. Sia.

Le premier responsable de la province a indiqué que cette accalmie s’est traduite par la réinstallation des populations dans les zones déguerpies dans la province de la Sissili.

Aussi a- t- elle permis la mise en œuvre efficace des plans d’actions sectoriels et de développement locaux boostant ainsi les indicateurs de performances a- t- il relevé.

Tewindé Isaac Sia a remercié et félicité les forces vives de la province pour les meilleurs résultats enregistrés dans la mise en œuvre des engagements du gouvernement et des politiques publiques dans la Sissili.

Le  haut-commissaire a également fait une mention spéciale au monde rural  dont la production céréalière excédentaire fait de la province de la Sissili, le grenier de la région du Centre-Ouest et du Burkina.

M. Sia a par ailleurs invité les populations de la Sissili à se mobiliser autour des grands défis à relever dans la province de la Sissili.

Agence d’information du Burkina

OAN/NO/ATA 

Nahouri/Montée des couleurs : Les élèves invités à respecter le drapeau symbole de l’unité du Burkina

BURKINA-NAHOURI-MONTEE-COULEURS

Nahouri/Montée des couleurs : Les élèves invités à respecter le drapeau symbole de l’unité du Burkina

Pô, (AIB)-Le président de la délégation spéciale de la commune de Pô, Ilassa Dianda, a invité, les élèves du lycée municipal de Pô, le mardi 7 janvier 2025, lors de la montée traditionnelle des couleurs, à respecter le drapeau symbole de l’unité du Burkina. C’était en présence des forces vives de ladite commune.

Initiée par les autorités communales tous les premiers mardi du mois, la montée des couleurs a eu lieu au lycée municipal de Pô, le mardi 7 janvier 2025, sous la présidence du Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Pô, Ilassa Dianda et des forces vives de la commune.

«Vous devriez  respecter et écouter  les conseils  de  vos parents et vos enseignants. Ce sont ces valeurs qui feront de vous des hommes de qualité», a indiqué le PDS.

Ilassa Dianda a salué l’engagement des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la partie (VDP) qui se sacrifient au quotidien pour maintenir le Burkina debout.

L’autorité communale a félicité et encouragé les acteurs de l’éducation pour les bons résultats de l’année écoulée et les a invités à garder le cap pour l’année 2025.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

 Nahouri/Maracana de la jeunesse de Toungou : L’équipe «A» remporte la 11e édition

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 Nahouri/Maracana de la jeunesse de Toungou : L’équipe «A» remporte la 11e édition

 Pô, (AIB)-Le président de la délégation spéciale de la commune de Ziou, Salam Marané, a présidé, le samedi 04 janvier 2025, la finale de la 11e édition du tournoi maracana de la jeunesse de Toungou, dans la commune de Ziou, par le sacre de l’équipe «A» par un 1 but à zéro.  

 Placé sous le thème « La cohésion sociale et la fraternité de la jeunesse de Toungou et les villages environnants », la 11e édition du tournoi maracana de football des jeunes de Toungou, dans la commune de Ziou, a refermé ses portes ce samedi 4 janvier 2025 avec la finale.

Au total, 8 équipes des cinq villages de Toungou et du Ghana voisin, ont rivalisé durant deux semaines dans un esprit de fraternité et de fairplay.

Selon le représentant des jeunes, Gouma Felix Sia, l’activité vise à unir  davantage les jeunes et de consolider le vivre ensemble entre les jeunes de Toungou et villages environnants afin que chacun apporte sa contribution  pour un retour de la paix au Burkina Faso.

M. Sia a indiqué que durant la compétition, les populations ont été sensibilisées sur la cohésion sociale, le vivre ensemble et la collaboration étroite avec les forces de défenses et de sécurité et à soutenir les VDP.

La finale qui a opposé les équipes «A» et «E», a vu le sacre de l’équipe «A» par le score de 1 but à 0.

L’équipe gagnante a remporté le trophée, une enveloppe de 40 000 F CFA, un jeu de maillots, un ballon.

L’équipe «E» a empoché 30 000 F CFA, un jeu de maillots et un ballon.

Les équipes classées 3e et 4e ont été également récompensées.

Avant le coup d’envoi, une minute de silence a été observée en mémoire des Forces de défense et de sécurité (FDS) tombées pour la défense de la patrie.

Les autorités coutumières et religieuses ont aussi prié pour les FDS et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP).

Le président de la délégation spéciale de la commune de Ziou, Salam Marané, a félicité la jeunesse de Toungou pour son engagement.

Elle a réalisé un ouvrage de franchissement entre les villages à hauteur de 3 500 000 F CFA grâce à ce tournoi et a comme perspective de renforcer le matériel sanitaire du CSPS de leur localité.

« Je tiens à leur témoigner ma gratitude et les encourager à poursuivre dans cette dynamique », a conclu l’autorité communale.

Cette édition a été parrainée par Nathanaël Sagha Sia, fils de ladite localité.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

Nahouri : Une fondation donne du sourire à 400 enfants vulnérables de Guélwongo

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Nahouri : Une fondation donne du sourire à 400 enfants vulnérables de Guélwongo

Pô, (AIB)-Le président de la délégation spéciale de la commune de Ziou, Salam Marané, a présidé, le samedi 4 janvier 2025 à Guelwongo, la 2e édition d’une journée festive de la Fondation Togkongué Lydia pour l’aide aux veuves et aux orphelins «FONTOLYAVO», au profit de 400 enfants vulnérables de Guélwongo, dans la commune de Ziou.

Permettre aux enfants vulnérables de Guélwongo dont l’âge est compris entre 2 à 13 ans, de communier ensemble et de passer des instants dans la convivialité, la Fondation Togkongué Lydia pour l’aide aux veuves et aux orphelins «FONTOLYAVO», a organisé la journée festive le samedi 4 janvier 2025 à Guelwongo.

Prestation d’artistes, récitals, playbacks, repas communautaire et remise de jouets et de cadeaux, ont été les temps forts de la journée.

Pour la présidente de la fondation FONTOLYAVO, Stéphanie Sya, les fêtes de fin d’année sont des moments magiques, des moments où chaque enfant mérite de ressentir la joie et l’amour qui l’entoure.

« Nous savons que pour beaucoup d’enfants, cette période peut être difficile mais notre mission est de leur offrir des instants de bonheur, de souvenir inoubliable et une chaleur humaine qui les réconforte », a indiqué Mme Sya.

Aussi, a-t-elle ajouté, cette activité vise à créer une atmosphère festive où chaque enfant peut sourire, jouer et se sentir aimer.

Les intervenants ont salué la fondation pour l’initiative qui est le symbole de bonheur et d’espoir pour ces centaines d’enfants qui sentiront aussi le goût des fêtes de fin d’année.

Le président de la délégation spéciale de la commune Ziou, Salam Marané, tout en saluant l’initiative, a invité les filles et fils des communes de Zecco et Ziou, à  soutenir la fondation.

Car, selon lui, chaque geste compte pour ces enfants vulnérables qui ont besoin de faire les  fêtes de fin d’année comme les autres.

Avant le début de la cérémonie, les autorités religieuses ont béni la journée et prié pour les forces combattantes engagées sur les théâtres des opérations pour la reconquête du territoire national.

Il faut rappeler que la fondation FONTOLYAVO, a été créée pour perpétuer la mémoire de Lydia Togkongué Sya, décédée en décembre 2015.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

Investiture du Président du Ghana : le Capitaine Ibrahim TRAORÉ est arrivé à Accra

Investiture du Président du Ghana : le Capitaine Ibrahim TRAORÉ est arrivé à Accra

(Accra, 7 janvier 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ est arrivé ce mardi dans la matinée à Accra au Ghana, pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président John Dramani MAHAMA.

Le Chef de l’État a été accueilli à l’Aéroport international Kotoka d’Accra par les autorités ghanéennes et une communauté burkinabè fortement mobilisée. Avec à sa tête l’ambassadeur du Burkina Faso au Ghana, le Colonel-major David KABRÉ, la communauté burkinabè a réservé un accueil chaleureux à son Président pour sa première sortie officielle en terre ghanéenne.

« Président Ibrahim TRAORÉ, un homme, une vision pour le développement du Burkina et de l’Afrique », « The Nation Builder » (le bâtisseur de la Nation), « Communauté burkinabè vivant au Ghana : unissons-nous et engageons-nous pour le développement de notre patrie le Burkina Faso », sont entre autres les slogans sur les banderoles brandies.

Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ va échanger, dans l’après-midi, avec la communauté burkinabè vivant au Ghana.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Départ de l’armée française : « Aucune négociation n’a été faite entre Dakar et la France », Ousmane Sonko

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Départ de l’armée française : « Aucune négociation n’a été faite entre Dakar et la France », Ousmane Sonko

Ouagadougou, 07 janv. 2025 (AIB)-Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a affirmé hier lundi, qu’aucune discussion ou négociation n’a été faite entre le Sénégal et la France, sur le départ annoncé des bases militaires françaises.

« Aucune discussion ou négociation n’a eu lieu à ce jour et la décision prise par le Sénégal découle de sa seule volonté, en tant que pays libre, indépendant et souverain », a soutenu le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, lundi sur sa page Facebook.

Le lundi 6 janvier 2025 devant des diplomates français, le président Emmanuel Macron a affirmé que le départ annoncé des bases militaires françaises aurait été négocié entre les pays africains et que la France a permis à ces pays d’annoncer ces départs par politesse.
Pour le chef du gouvernement sénégalais, cette affirmation dans le cas du Sénégal, est totalement erronée.

Il a également soutenu que la France n’a ni la capacité ni la légitimité pour assurer à l’Afrique sa sécurité et sa souveraineté.
« Bien au contraire, elle a souvent contribué à déstabiliser certains pays africains comme la Libye avec des conséquences désastreuses notées sur la stabilité et la sécurité du Sahel », a précisé Ousmane Sonko.

« C’est enfin le lieu de rappeler au président Macron que si les soldats africains, quelquefois mobilisés de force, maltraités et finalement trahis, ne s’étaient pas déployés lors la deuxième guerre mondiale pour défendre la France, celle-ci serait, peut être aujourd’hui encore, allemande », a assuré le Premier ministre sénégalais.

En rappel, Après le Mali, le Burkina Faso, le Tchad, le Sénégal et la Côte d’Ivoire ont annoncé le désengagement des troupes françaises de leurs territoires.

Agence d’information du Burkina
HB/ata

Macron aux abois face à la détermination des États de l’AES (point de vue)

Macron aux abois face à la détermination des États de l’AES (point de vue)

Ouagadougou, 6 janvier 2025 (AIB)-Le président Macron, fragilisé, tente coûte que coûte de refaire surface lors d’une rencontre avec ses diplomates.

Acculé de toutes parts, le chef de file de l’impérialisme européen, Emmanuel Macron, cherche à reprendre pied après plusieurs revers diplomatiques, politiques et sociaux, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de son pays , la France.

En effet, depuis le rejet catégorique de la politique française ces dernières années par les pays de l’AES et les dénonciations des accords néocoloniaux, la France peine à s’en remettre.

Comme à son habitude, et par des pratiques dilatoires, Paris essaie vaille que vaille de revenir ou de reprendre la main.

Mais c’est peine perdue face au réveil révolutionnaire d’une jeunesse décidée à prendre son destin en main et à assumer pleinement son rôle de défenseur des valeurs de dignité, d’intégrité et de souveraineté non négociable face à un président qui se croit roitelet qui tient des propos condescendants et méprisants à l’égard des africains, y compris ceux qui lui font allégeance .

Emmanuel Macron, à travers ses services secrets et des valets locaux tapis dans l’ombre, semble ignorer que les temps ont drastiquement changé.

Les nouvelles générations ont capitalisé les événements antérieurs et se projettent désormais dans l’avenir pour être libres à jamais.

Ainsi, les pays de l’AES, portés par des populations mobilisées et solidaires de leurs leaders – Goïta, Traoré et Tiani – vont démontrer à l’ancienne puissance coloniale l’amateurisme de sa politique dans un monde libre, auquel aspirent les peuples.

Considérant certains États et chefs d’État africains, notamment ceux de la CEDEAO, comme de simples sous-préfectures et préfets de la France, Paris a mis en place une machine de déstabilisation monstrueuse.

Cette stratégie pourrait bien coûter à la CEDEAO son existence, en même temps qu’elle ridiculise certains chefs d’État africains, désavoués lorsque le président Tiani a révélé la présence de forces étrangères (bases françaises) aux frontières du Niger dans une tentative de déstabilisation sans précédent.

Paris, fidèle à ses habitudes, ne tire jamais les leçons de ses erreurs passées. Le Sahel reste et demeure une forteresse incontrôlable grâce à sa jeunesse plus déterminée que jamais à assumer sa révolte contre la confiscation de sa liberté et de sa souveraineté.
Et ce n’est pas la junte française qui pourra changer la situation.

Agence d’Information du Burkina
Brahima ZONGO

Le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, est attendu demain mardi à Accra au Ghana où il participera à l’investiture de son homologue ghanéen, John Dramani Mahama.

Le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, est attendu demain mardi à Accra au Ghana où il participera à l’investiture de son homologue ghanéen, John Dramani Mahama.
Agence d’information du Burkina

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