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Tenkodogo : Dons de vivres et d’un moulin à grain pour commémorer un décès

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Tenkodogo : Dons de vivres et d’un moulin à grain pour commémorer un décès

Tenkodogo 29 juil. 2021 (AIB)-Le conseil municipal de Béguédo et l’Association Femme Environnement et développement du Burkina (AFEDEB), ont conjointement commémoré, le samedi 17 juillet 2021, le 2e anniversaire du décès de leur ancienne maire, Béatrice Mariam Bara née Sawadogo.

 

La commémoration a été marquée par un doua au domicile conjugal, une journée de plantation d’arbres, des dons de vivres à des personnes vulnérables et un moulin à grain aux femmes de la commune de Béguédo.

Une délégation de la promotion 1995 de l’école nationale des Eaux et forêts, conduite par l’inspecteur des Eaux et forêts et secrétaire à l’information de l’amicale des préposés des eaux et forêts, Koudougou Kaboré, a marqué de sa présence à cette journée commémorative et d’hommage à l’ancienne collègue, Béatrice Bara.

L’objectif global de cette journée vise à rendre hommage à une actrice engagée qui, de son vivant, à lutter pour la promotion de la femme, de la jeune fille et qui a fait du développement de Béguédo, son cheval de batail.

« Commémorer la disparition d’une telle personnalité, n’est pas chose aisée car, Mme le maire était multidimensionnelle. Et tous ceux qui l’ont connu savent qu’elle était très active dans les milieux associatifs. Je voudrais au nom de la famille, remercier toutes les personnes qui ont fait le déplacement de Béguédo pour la circonstance », a indiqué avec soupir, Boukari Khalil Bara, époux de l’ancienne maire.

Le maire Nourou Bara  a aussi salué cette mobilisation de la population qui, pour lui, apporte du réconfort aux cœurs meurtris, mais surtout plus d’énergie pour continuer sur les pas de Béatrice Bara pour le développement de la commune.

« Au-delà de ce triste rappel, l’acte que nous posons en cette journée commémorative, reste comme une marque gravée dans le marbre et soit le fervent de l’engagement qu’elle nous a inspiré pour le développement de notre belle cité », a indiqué Nourou Bara.

Il a aussi précisé que les plans qui seront mis en terre à l’occasion de cette journée, symbolisent la ferme volonté du conseil municipal de perpétuer son œuvre combien immense.

Le porte-parole de la promotion, Koudougou Kaboré a indiqué que depuis 1995, qu’ils se sont retrouvés à l’école des Eaux et forêts pour la formation, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent sur le terrain, Béatrice Bara a été une personne qui a su rassembler.

C’est elle selon lui, qui a eu l’idée de créer un cadre de rencontre. D’où la création de leur amicale. Il a rappelé que jusqu’à sa disparition, elle a tout fait pour les fédérer.

Et que même avec sa disparition, ils ont tout fait pour garder le flambeau qu’elle a allumé au niveau de la promotion.

Selon lui, il était obligatoire pour la promotion d’être là à cette journée pour dire à la famille à tel point la disparition de leur promotionnaire leur peine tous car, elle était le ciment de leur promotion.

« Nous sommes à Béguédo pour témoigner à la famille entière, notre grande douleur parce que c’est nous les promotionnaires qui ressentions plus de douleur que sa famille », a témoigné Koudougou Kaboré.

La secrétaire à l’organisation de l’Association Femmes Environnement et Développement du Burkina (AFEDEB), Martine Zouré a précisé que la particularité de cette journée commémorative du 2e anniversaire du décès de leur présidente Béatrice Bara, est de montrer à la face du monde que les femmes ne l’oublieront car, elle est tout pour elles.

Elle a affirmé que les femmes gardent d’elle en souvenir, une femme battante et elles ne cesseront de la magnifier à travers leurs actes et leur engagement.

Elle a déclaré que Béatrice Bara a été pour les femmes,  une mère et un père des orphelins dont elle a défendu leur cause jusqu’à son dernier souffle.

« Le sens du don de vivres aux personnes vulnérables de Béguédo, vise à perpétuer ses œuvres et rappeler aux orphelins et aux personnes démunies que certes, elle n’est plus physiquement présente, mais nous qui sommes vivantes, nous nous engageons à poursuivre cette œuvre sociale, afin de leur donner la joie de vivre. Elle faisait du reboisement une de ses activités phares », a soutenu martine Zouré.

 

Agence d’information du Burkina

Bougnan NAON

 

 

Burkina : Les acteurs agricoles du Centre en concertation pour une meilleure gestion des retenues d’eau

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Burkina : Les acteurs agricoles du Centre en concertation pour une meilleure gestion des retenues d’eau

Ouagadougou, 28 juil. 2021 (AIB)- Les  acteurs agricoles du Conseil régional  de la sécurité alimentaire (CRSA)  du Centre ont entamé mercredi des échanges,  pour une meilleure gestion des 93 retenues d’eau de la région qui cachent de nombreuses contraintes pour les populations.

Selon le représentant du gouverneur de la région du Centre, le conseiller technique (CT) Dahoura Yala, les échanges initiés par le Conseil régional  de la sécurité alimentaire (CRSA) permettront de mieux échanger sur la gestion des 93 retenues d’eau de la région qui cachent de nombreuses contraintes pour les populations.

De son avis, ces ouvrages d’eau restent le cœur de la vie de certains citoyens dans leur localité et ont un enjeu « incontournable » sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle.

Yala s’exprimait mercredi à Ouagadougou, à l’occasion de la première session de l’Assemblée générale (AG) du Conseil régional de la sécurité alimentaire (CRSA) du Centre placé sous le thème : « Dégradation des retenues d’eau : Enjeux sur la sécurité et nutritionnelle ».

Le CT du gouverneur du Centre a précisé que la rencontre permettra de dégager des solutions sur l’épineuse question de l’eau, afin d’améliorer la situation alimentaire et nutritionnelle de la région.

Pour  Dahoura Yala, il s’agira au cours des discussions, d’analyser et d’évoquer la question de la dégradation des retenues d’eau et d’envisager des perspectives sur la sécurité alimentaire  dans la région du Centre.

« Ce qui est attendu de vous est d’émettre des avis et des recommandations pertinentes, en vue d’améliorer la gestion des retenues d’eau par ricochet la situation alimentaire et nutritionnelle dans notre région », a-t-il soutenu.

Il a aussi demandé aux participants de s’impliquer « activement »  dans les   échanges pour une reussite de l’activité du  CRSA du Centre.

Pour la directrice régionale en charge de l’Agriculture du Centre, Kadidia Doro, le choix du thème se justifie du fait que l’eau constitue un élément essentiel dans la production agricole.

A l’en croire, son ministère constate depuis plus de 2 ans, une  dégradation des points d’eau ce qui impacte sur les productions des agriculteurs.

« Nous nous sommes rendu compte avec la direction régionale de l’eau que la capacité de rétention des eaux au niveau des ouvrages diminue d’année en année », a-t-elle noté.

Mme Doro a  expliqué que hormis cette dégradation des digues des différents points d’eau, l’on remarque également une évaporation des eaux et un envasement des différents ouvrages d’eau de la région.

Elle a  également signalé que la plupart des retenues d’eau ont plus de trente ans d’existence et leur restauration demeure l’une des priorités du CRSA.

Notons que  le CRSA du Centre, à travers ses  différentes concertations sur  l’agriculture veut assurer une sécurité et alimentaire  aux populations.

Agence d’information du Burkina

NO/Wis

Photo d’archives pour illustration

Burkina/Côte d’Ivoire : Le Traité d’amitié et de coopération se tiendra désormais tous les deux ans (ministre ivoirien)

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Burkina/Côte d’Ivoire : Le Traité d’amitié et de coopération se tiendra désormais tous les deux ans (ministre ivoirien)

Ouagadougou, 28 juil. 2021, (AIB)-Le sommet du Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso se tiendra désormais tous les deux ans, a appris l’AIB mardi de source officielle au terme de la 9è édition.

« Le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire ont décidé de tenir le Traité d’amitié et de coopération tous les deux ans après la tenue de l’assemblée générale et la conférence au sommet du TAC en 2021 », a déclaré la ministre ivoirienne des Affaires étrangères Kandia Kamissoko/Camara.

La 10è édition est donc prévue en 2023 à Ouagadougou au Burkina Faso. En marge, il est prévu des rencontres sectorielles en vue du suivi de la mise en œuvre des conclusions des travaux de la session de 2021, a indiqué Mme Kamissoko/Camara.

La ministre ivoirienne qui donnait les grandes recommandations du Conseil conjoint de gouvernement avec à ses côtés le ministre burkinabè des Affaires étrangères Alpha Barry, a évoqué la réouverture des frontières terrestres et la libre circulation des personnes et des biens.

Sur cette question, madame Kamissoko/Camara a laissé entendre que les deux pays ont proposé la tenue d’une réunion des ministres en charge de la santé, de la sécurité et des transports.

Cela afin d’analyser les modalités de mise en œuvre des décisions relatives à la réouverture des frontières pour mieux préserver la sécurité de nos deux pays et la santé de nos populations.

S’agissant de la lutte contre la vie chère et l’approvisionnement régulier de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, les deux pays ont  prévu de mutualiser leurs efforts par la signature d’un accord sur la facilitation de la circulation des produits locaux et l’approvisionnement des marchés des deux pays.

Sur la question du terrorisme, la ministre ivoirienne a affirmé que les gouvernements burkinabè et ivoirien ont appelé à trouver des solutions durables en vue de préserver la sécurité, la paix, la cohésion sociale et la stabilité dans les deux pays voisins.

Elle a conclu en annonçant que des travaux d’accords portant sur des questions d’éducation, d’urbanisme, du foncier rural, d’artisanat ont été soumis pour étude pour la prochaine conférence du traité d’amitié et de coopération.

Agence d’information du Burkina

KAR/Wis

Source : Primature du Burkina Faso

Photo : Primature du Burkina Faso

Bogandé : 536 candidats composent l’examen du Certificat d’aptitude pédagogique (CAP) session de 2021

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Bogandé : 536 candidats composent l’examen du Certificat d’aptitude pédagogique (CAP) session de 2021

Bogandé, 28 juillet 2021 (AIB)-536 candidats issus de 10 circonscriptions d’éducation de base de la province de la Gnagna prennent part, ce mercredi, à la phase écrite de l’examen professionnel du Certificat d’aptitude pédagogique (CAP), session de 2021.

Avant  l’ouverture de la première enveloppe, celle de la pédagogie générale, le secrétaire général de la province de la Gnagna, Pégo Abdoul Moumouni Sondé et le  directeur provincial de l’éducation préscolaire primaire et non formelle de la Gnagna, Salam Ouédraogo ont tenu à encourager les candidats et leur souhaiter bonne chance.

L’ouverture de la première enveloppe est  intervenue exactement à 7h25 mn. « L’affectivité et l’intelligence entretiennent entre elles une relation d’interdépendance.

A partir de quatre arguments, justifiez ce propos et tirez-en quatre implications pédagogiques » c’est le sujet soumis à la réflexion des candidats, pour une durée de 3 heures.

La province de la Gnagna abrite en cette session de 2021, un centre unique regroupant 11 salles de composition, logées dans les écoles « Bantia et Tambousgou ».

25 surveillants et secrétaires ont été mobilisés pour l’administration des épreuves.

A cette phase écrite, les candidats sont soumis à deux épreuves, l’une en  pédagogie générale et l’autre en pédagogie appliquée.

Après admission, les candidats passeront un examen pratique dans une classe afin de valider le diplôme de Certificat d’aptitude pédagogique.

 

Agence d’information du Burkina      

Oyé Ardjima Yempabou TINDANO

La route Bobo-Ouaga menace de se rompre, une cellule de crise mise en place

La route Bobo-Ouaga menace de se rompre, une cellule de crise mise en place

Ouagadougou, 28 juillet 2021(AIB)-Les autorités envisagent de créer urgemment une déviation à la sortie de Bobo-Dioulasso en allant vers Ouagadougou, parce que la nationale n°1 menace de s’effondrer, après des travaux de fonçage pour faire passer la fibre optique.

Après un fonçage pour faire passer la fibre optique, les eaux de pluie ont chargé le remblai sous la chaussée, créant une cavité qui menace de rompre la route, à  environ 500m après le péage, en quittant Bobo-Dioulasso pour Ouagadougou.

Selon nos sources, le trafic de poids lourds est d’ores et déjà suspendu ce mercredi soir.

Les services du ministère des Infrastructures qui sont déjà sur le terrain, envisagent de créer urgemment une déviation en attendant la réparation de la chaussée.

Une cellule de crise réunissant les ministères des Infrastructures, des Postes, de la Sécurité et des Transports a vu le jour ce mercredi soir pour se plancher sur l’urgence, a appris l’AIB.

Agence d’information du Burkina

NB: Photo d’illustration

 

 

Burkina : Un mort et trois blessés dans une attaque armée à Titao

Burkina-Sécurité-Terrorisme-Attaque

Burkina : Un mort et trois blessés dans une attaque armée à Titao

Titao, 28 juil. 2021 (AIB)-Une femme a perdu la vie dans une attaque perpétrée par des hommes armés dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 juillet 2021 à Titao, province du Lorum, région du Nord.

Selon des témoignages, des individus ont fait irruption dans une cour à Zipélé, secteur 5 de Titao aux environs de 20 heures et ont fait usage de leurs armes.

Une femme qui avait dans ses bras son bébé a été mortellement touchée. Le bébé et son père et grand-père ont été grièvement blessés.

La situation sécuritaire de la province s’est fortement dégradée ces derniers mois avec une recrudescence des attaques contre les positions des volontaires pour la défense de la patrie et les populations civiles.

Agence d’information du Burkina

Coopération Burkina-Côte d’Ivoire : Le président Ouattara demande des actions concrètes  (Premier ministre Dabiré)

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Coopération Burkina-Côte d’Ivoire : Le président Ouattara demande des actions concrètes  (Premier ministre Dabiré)

Ouagadougou, 28 juil. 2021 (AIB)-Au sortir d’une audience mardi avec le président ivoirien Alassane Ouattara, le Premier ministre Christophe Joseph Marie Dabiré a déclaré que ce dernier a demandé des actions concrètes sur le terrain concernant la coopération entre les deux pays.

« Le président Ouattara a demandé que nous fassions qu’il ait des actions concrètes sur le terrain  qui montre que le TAC aide à réaliser le développement au profit de l’ensemble des populations de notre zone », a déclaré le Premier ministre Dabiré.

Le chef du gouvernement burkinabè s’exprimait mardi au sortir d’une audience avec le chef de l’Etat ivoirien.

Une audience qui est intervenue quelques heures après la clôture du Conseil conjoint de gouvernement de la 9è conférence au sommet du Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso qu’il a co-présidé avec le Premier ministre ivoirien Patrick Achi.

Selon Christophe Joseph Marie Dabiré, le président Ouattara « tient à ce que chaque fois que les deux gouvernements se rencontrent, « que ce ne soit pas une redite qui fait que les populations ont le sentiment de ne pas voir avancer les choses ».

« Le président Ouattara nous a prodigué des conseils en rapport avec les points examiné. Il a exposé la nécessité de faire avancer les dossiers du TAC qui est un traité fondateur de la solidarité, de l’amitié et de la coopération entre nos deux pays ».

Le Premier ministre Dabiré a expliqué que le président ivoirien Ouattara compte faire de la sécurité un point important de cette coopération entre nos deux pays.

 

« Avec ce qui se développe aujourd’hui au Burkina Faso, il y a des risques que ça s’étende à l’ensemble de la sous-région et particulièrement au niveau de la Côte d’Ivoire. Donc, la solidarité doit s’étendre à la question sécuritaire dans les deux pays », a indiqué M. Dabiré.

 

Par ailleurs, la question de l’ouverture des frontières entre les deux pays et celle de la lutte contre la Covid-19, figuraient à l’ordre du jour de cette audience.

 

Concernant l’ouverture des frontières entre les deux pays, le président ivoirien a donné des conseils, selon le chef du gouvernement burkinabè.

 

Il s’agit notamment de travailler à faire en sorte que la lutte contre la Covid-19 soit une lutte partagée, pour que les frontières puissent s’ouvrir dans les meilleurs délais possibles, entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.

 

« Il a également indiqué que la lutte contre la pandémie du coronavirus, doit être intimement associée à la lutte contre le terrorisme (…) de manière à ce que la traversée des frontières soit sécurisée, tant du point de vue sanitaire, que du point de vue de la sécurité des personnes et des biens », a conclu le Premier ministre Dabiré.

 

Agence d’information du Burkina

OA/Wis

Source : DCRP/Primature

Photo : DCRP/Primature

Zondoma : Un candidat arrêté pour avoir triché à l’examen du CAP

Zondoma : Un candidat arrêté pour avoir triché à l’examen du CAP

Gourcy, 28 juillet 2021(AIB)-Un candidat au Certificat d’Aptitude Pédagogique (CAP),  a été interpellé jeudi, après avoir été pris en flagrant délit de tricherie, a appris l’AIB.

Un enseignant a été pris en flagrant délit de tricherie pendant la composition de l’épreuve de pédagogie générale comptant pour l’obtention du Certificat d’Aptitude Pédagogique (CAP), à  l’école centre A de Gourcy ce mercredi 28 juillet 2021.

Il a été surpris par un des surveillants en possession d’un téléphone portable dont l’accès à la salle était pourtant interdit.

A la vérification, on aurait découvert le sujet de pédagogie générale traité et envoyé  dans ledit portable.

Son complice serait un Instituteur Principal de la même circonscription que lui,  à qui il aurait pris soin de balancer le sujet par Watshapp.

En attendant de mettre la main sur ce dernier, le présumé fraudeur a été aussitôt embarqué par la police pour la suite de l’enquête.

Il serait à sa deuxième tentative pour la conquête de ce précieux diplôme qui donne droit au grade d’Instituteur Certifié.

En rappel, 329 candidats dont 173 femmes et 156 hommes sont en lice dans le centre unique de la province du Zondoma (Nord), logé à à  l’école centre A de Gourcy.

Agence d’information du Burkina

ATTENTION: La photo montre quelques candidats au moment du contrôle des identités mais en aucun cas un présumé tricheur.

Burkina/Forum africain : L’Afrique invité à gérer son identité numérique (ministre)

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Burkina/Forum africain : L’Afrique invité à gérer son identité numérique (ministre)

 

Ouagadougou 28 juil. 2021 (AIB)-La ministre en charge de l’Economie numérique, Hadja Fatimata Ouattara/Sanon a invité mardi, l’Afrique à gérer son identité numérique à l’ouverture du 9eme forum africain sur le système des noms de domaine.

 

« L’Afrique fait face à plusieurs défis en même temps et elle doit gérer son identité numérique et ne pas compromettre la souveraineté numérique de ses futurs internautes », a déclaré mardi la ministre en charge de l’Economie numérique, Hadja Fatimata Ouattara/Sanon.

 

La ministre s’exprimait mardi au cours de la cérémonie d’ouverture du 9eme forum africain sur le système des noms de domaine (DNS) qu’elle a présidé en ligne.

 

Selon Hadja Fatimata Ouattara/Sanon « le Burkina Faso contribue chaque année à la formation des formateurs sur la gouvernance de l’Internet, à la formation d’ingénieurs et des cadres africains afin de constituer progressivement une masse critique d’experts africains capables de porter le développement du numérique en Afrique ».

 

Elle a aussi ajouté que « le système des noms de domaine est crucial et nous devons donc travailler à faciliter l’accès à Internet ».

Le président de l’association africaine des noms de domaine (AFTLD) Ali Hadji Mmadi,  a déclaré que l’internet est « l’outil de communication le plus puissant qui puisse maintenir l’équilibre économique, développer le renforcement des capacités et maintenir l’éducation des enfants ».

 

Le vice-président chargé des engagements de ICANN Pierre Dandjinou a lui, mis l’accent sur l’importance de la sécurité de l’environnement numérique surtout dans le contexte actuel sanitaire.

 

La Société pour l’attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet (ICANN) est une autorité de régulation d’internet.

 

Agence d’information du Burkina

KAM/Wis

Source : ministère de l’Economie numérique

Photo : ministère de l’Economie numérique  

Burkina/Orientation des nouveaux bacheliers : Le ministre Maïga conseille de passer par des structures officielles

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Burkina/Orientation des nouveaux bacheliers : Le ministre Maïga conseille de passer par des structures officielles

 

Ouagadougou, 28 juil. 2021 (AIB)-Le ministre en charge de l’Enseignement supérieur Pr Alkassoum Maïga a conseillé mardi aux parents des nouveaux bacheliers de passer par des structures officiellement reconnues par l’Etat  pour l’orientation de leurs enfants.

 

Selon lui, cela permettra  d’éviter des situations fâcheuses similaires à celles que vivent une cinquantaine d’étudiants frauduleusement inscrits dans des universités marocaines.

 

Le ministre s’exprimait mardi à l’occasion du lancement de la 6ème édition de la  semaine de l’information et de l’orientation (SIO) post-bac 2021.

 

Le lancement a enregistré la présence d’un public nombreux notamment les nouveaux bacheliers, venus pour mieux se renseigner sur les différentes opportunités qu’offrent les institutions d’enseignement supérieur qu’elles soient nationales ou étrangères.

 

 

Le Pr Alkassoum Maïga s’est réjoui du fait que la semaine nationale de l’information et de l’orientation prenne les allures d’une semaine internationale vu la participation d’universités étrangères.

Le ministre en charge de l’Economie numérique porte-parole des parrains Hadja Fatimata Sanon/Ouattara a loué l’organisation de la semaine qu’elle a jugé bénéfique aux enfants bacheliers burkinabè.

 

Elle a par ailleurs annoncé que son département ministériel va accompagner celui du Pr Alkassoum Maïga dans le domaine de la connectivité pour un enseignement supérieur de qualité au Burkina.

 

Environ 80 institutions d’enseignement supérieur exposeront au Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO), lieu de la semaine, leur savoir-faire en matière d’enseignement supérieur au profit des nouveaux bacheliers jusqu’au 31 juillet 2021.

 

Agence d’information du Burkina

SJK/Wis

Source : DCPM/MESRSI

Photo : DCPM/MESRSI

Burkina : Coopération, sortie de promotion et rencontre Ouattara-Gbagbo à la Une des quotidiens

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Burkina : Coopération, sortie de promotion et rencontre Ouattara-Gbagbo à la Une des quotidiens

Ouagadougou, 28 juil. 2021 (AIB)-Les quotidiens burkinabé de ce mercredi évoquent toujours le Traité d’amitié et de coopération Burkina Faso/ Côte d’Ivoire, la sortie de promotion de nouveaux cadres de police et la rencontre entre le président Ouattara et son prédécesseur Gbagbo.

« 9e Traité d’amitié et de coopération Burkina/Côte d’Ivoire : conseil de gouvernements sous pression Covid et djihadiste » affiche le doyen des quotidiens, L’Observateur Paalga.

Le journal informe que la conférence qui s’est ouverte le samedi 24 juillet dernier à Abidjan, s’est achevée hier mardi par le conseil conjoint de gouvernements.

Il rapporte également que coprésidée par les Premiers ministres, Christophe Joseph Marie Dabiré et Patrick Achi, cette rencontre bilatérale a examiné la conclusion des travaux des experts.

Sur le même sujet, le quotidien public Sidwaya titre « réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou : Ivoiriens et Burkinabé menacent de changer d’opérateur si… ».

Selon le quotidien public, concernant la réhabilitation du chemin de fer, les gouvernements ivoirien et  burkinabé ont souhaité de nouveaux préalables à l’entrée en vigueur de la convention de concession révisée impactant lourdement le démarrage dudit projet.

Ainsi, les deux Etats se réservent le droit de dénoncer la convention initiale et de confier la réhabilitation du chemin de fer en PPP à un nouvel opérateur.

Sur la sortie de promotion de nouveaux agents de la police, Sidwaya publie un article intitulé « Lutte contre le terrorisme : 110 nouveaux cadres de police opérationnels ».

A cet titre le journal annonce que l’Académie de police a organisé une cérémonie officielle de fin de formation de la 5e promotion des éleves commissaires et officiers de police, le mardi 27 juillet 2021 à Pabré.

L’Observateur Paalga reprend la même information dans une  production dénommée « Sortie de promotion Académie de police : unité dans la lutte contre l’insécurité ».

Le journal ajoute que la promotion a été baptisée « unité » par le chef de l’Etat, Roch Marc Christian Kaboré.

Au titre de l’actualité sous régionale, le doyen des quotidiens privé parle de la rencontre entre le président ivoirien Alassane Ouattara et l’ancien président Laurent Gbagbo en titrant « Ouattara/Gbagbo : au-delà des salamalecs… » .

Agence d’information du Burkina

EY/Wis

 

Yako : Un agent municipal en prison pour avoir vendu la parcelle de son frère

Yako : Un agent municipal en prison pour avoir vendu la parcelle de son frère

Yako, 28 juil. 2021(AIB)-Un agent du service domanial de la mairie de Yako a été déposé mercredi à la prison civile de Yako, car soupçonné d’avoir vendu la parcelle de son frère qui réside aux Etats-Unis.

Selon des sources de premières mains parvenues à l’AIB, un agent des domaines de la mairie de Yako a vendu la parcelle de son frère, résident aux États unis d’Amérique.

C’est lors de son passage au bercail que celui-cis’est rendu compte que sa parcelle  a été ‘’dealée’’.

Le présumé fautif a été déposé ce jour 28 juillet 2021 à la maison d’arrêt et de correction de Yako, en attendant éventuellement son procès.

Agence d’information du Burkina

Zezouma Élie SANOU

( AIB- Passoré)

ATTENTION: Photo d’archive et d’illustration

Côte d’Ivoire : Le président Ouattara se félicite de sa rencontre avec l’ancien président Gbagbo

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Côte d’Ivoire : Le président Ouattara se félicite de sa rencontre avec l’ancien président Gbagbo

Ouagadougou, 28 juil. 2021 (AIB)-Le président ivoirien Alassane Ouattara s’est réjoui mardi de sa rencontre avec l’ancien président Laurent Gbagbo qu’il a jugé « cordiale et fraternelle ».

 

« Je voudrais que nous puissions nous féliciter d’avoir eu cette rencontre qui a été cordiale et fraternelle » a indiqué mardi le chef de l’Etat ivoirien à la presse avec l’ancien président Laurent Gbagbo, à ses côtés.

Cette rencontre est la première entre les deux hommes depuis la crise post-électorale de 2010-2011 qui avait occasionné plus de 3000 morts dans le pays.

Selon Alassane Ouattara, ces événements ont été douloureux, il y a eu trop de morts et nous devons avoir, tout ça derrière nous, et travailler sur l’avenir, sur la cohésion, sur la réconciliation nationale.

Il a expliqué que « ce qui importe aujourd’hui, c’est la Côte d’Ivoire, c’est la paix pour notre pays et cela c’est pour les prochaines générations ».

Alassane Ouattara a affirmé qu’il a parlé de la paix avec l’ancien président Laurent Gbagbo, de « la nécessité de renforcer la cohésion nationale, de continuer de renforcer la réconciliation ».

« Nous sommes convenus aussi de nous revoir, de temps en temps, certainement après le mois d’août pour continuer ces entretiens et associer le moment venu, d’autres personnes », a-t-il souligné.

L’ancien président Laurent Gbagbo s’est aussi félicité de la rencontre et il a plaidé auprès du président Ouattara pour la libération de ses partisans toujours en détention.

Agence d’information du Burkina

Wis/Az

Photo : Présidence de la république de Côte d’Ivoire  

Gourcy : Le député Soumaïla Ouédraogo rend compte à sa base

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Gourcy : Le député Soumaïla Ouédraogo rend compte à sa base

Gourcy, (AIB)-Le député Soumaïla Ouédraogo du Mouvement du Peuple pour le Progrès MPP était face ses électeurs ce samedi 24 juillet 2021 à Gourcy. Les échanges ont porté sur le bilan de l’Assemblée Nationale et d’autres préoccupations recensées au Zondoma.

A la suite des journées de redevabilité tenues par l’Assemblée nationale à Bobo du 30 juin au 5 juillet dernier, le député Soumaïla Ouédraogo a rencontré à son tour les militants de son parti et d’autres sympathisants venus de toutes les cinq communes de la province du Zondoma.

Il était accompagné à cette occasion par le secrétaire général provincial du parti Dominique Ouédraogo et de El Adj  Hamadé Belem, directeur de campagne du MPP aux élections passées.

Cet exercice de redevabilité a consisté à présenter les activités menées par le parlement au cours de l’année 2020 et à expliquer aux participants le rôle dévolu au député.

La journée a également servi de cadre pour des échanges entre militants sur les préoccupations du moment.

« En plus de voter les lois, de consentir l’impôt et de contrôler l’action du gouvernement, il est recommandé à  chaque député,  dans la mesure du possible de mener des actions de développement au profit des populations » a indiqué le député à l’entame de son propos.

A l’en croire, 31 lois ont été votées dont les plus importantes ont trait à la retraite des travailleurs, aux élections municipales à venir, à l’utilisation des drones civils, à la circulation des armes légères etc.

Il citera également les lois portant conventions de financement qui ont été ratifiées au profit des secteurs de l’énergie, la santé, la sécurité, l’agriculture, l’eau et l’enseignement.

« Environ 900 milliards de francs CFA ont été mobilisés à cet effet » a précisé le député, toutes choses qui le fonde à dire que notre pays bénéficie toujours de la confiance de ses partenaires.

« Il y a eu beaucoup de réalisations dans divers domaines certes, mais nous sommes conscients qu’il reste encore du travail à faire » a-t-il conclu tout en invitant la population à l’union sacrée et à la solidarité afin de relever les multiples défis.

A l’issue de la communication, les participants ont dans un premier temps salué cette initiative de leur représentant qui selon eux, est une première dans la province.

Ils ont par ailleurs posé des préoccupations relatives à la vie chère, la campagne agricole, la disponibilité des vivres à prix sociaux, l’eau potable, le financement des activités génératrices de revenus des femmes, la fermeture des frontières etc.

Des réponses ont été données à toutes ces questions et promesse a été faite de transmettre les doléances formulées à qui de droit.

Avant de se séparer, le secrétaire général du parti a invité les participants, en particulier les responsables locaux du parti à relayer les informations justes dès leur retour.

A l’hémicycle, le député Ouédraogo est membre de la Commission des Affaires étrangères et des burkinabè de l’extérieur et aussi de la Haute cour de justice.

En marge de la journée de redevabilité 500 plants d’espèces diversifiées ont été remis aux participants pour être plantés dans les familles.

Aziz KIEMDE (AIB-Zondoma)

Les agences publiques de presse burkinabè et ivoirienne sollicitent davantage les appuis de leurs Etats

Monsieur Alban KINI, Directeur de l'AIB.

Burkina-CôteDIvoire-Coopération-Tac-Médias-Agences

Les agences publiques de presse burkinabè et ivoirienne sollicitent davantage les appuis de leurs Etats

 Abidjan, 28 juillet 2021(AIB)-L’Agence d’information du Burkina (AIB) et l’Agence ivoirienne de presse (AIP) ont sollicité davantage mardi, les appuis de leurs Etats respectifs, afin de mieux servir les populations.

 «L’Agence d’information du Burkina (AIB) et l’Agence ivoirienne de presse (AIP) sollicitent davantage l’appui de leurs Etats, à travers le Traité d’amitié et de coopération (TAC), pour se développer afin de mieux répondre aux attentes des populations», lit-on dans la liste des recommandations, formulées mardi à Abidjan par les deux agences, à l’issue d’une séance de travail portant sur la relecture de leur accord de partenariat  du 15 janvier 2009.

Pour la Directrice centrale de l’AIP Oumou Sana née Barry, après plus de dix ans de mise en œuvre, il était temps de réviser le partenariat, afin de tenir compte du caractère «mouvant» du monde de la presse.

Madame Oumou SANA-BARRY, Directrice centrale de l’AIP.

Oumou Sana/Barry et son homologue de l’AIB Alban Kini, assistés de leurs collaborateurs, ont d’abord passé en revue les forces et les faiblesses de l’accord de 2009 avant de proposer un projet de nouvel accord qui sera soumis aux plus hautes autorités.

Ainsi, les deux agences s’engagent à mieux exploiter les informations de l’une et de l’autre par tous les moyens de communication diligents (mails, téléphones, WhatsApp, …).

Elles comptent aussi développer davantage la coopération sud-sud pour donner une image objective de leurs pays.

Pour les sessions de renforcement des capacités, les deux agences ont convenu en plus des journalistes, d’impliquer les autres cadres (techniciens, administratifs, financiers).

Alban Kini et Oumou Sana/Barry ont réaffirmé la nécessité d’accorder la préférence aux informations  fournies par l’une ou l’autre agence, en ce qui concerne les évènements qui se produisent respectivement au Burkina Faso et en République de Côte d’Ivoire.

Le Rédacteur en chef de l’AIB Tilado Apollinaire et le sous-Directeur de l’information de l’AIP Pascal Kouao se sont engagés à suivre les recommandations de leurs responsables.

En rappel, cette rencontre entre l’AIB et l’AIP se tient en marge des activités de la 9e session du Traité d’amitié et de coopération (TAC) qui unit le Burkina Faso à la République de Côte d’Ivoire, depuis le 29 juillet 2008.

A l’occasion, les deux gouvernements ont évalué la possibilité de rouvrir leurs frontières terrestres, fermées depuis avril 2020 à cause du Coronavirus.

Ils entendent également renforcer la coopération au plan sécuritaire pour contrer les groupes armés terroristes qui menacent leurs stabilités.

Agence d’information du Burkina

ata/aka

 

 

 

 

LE MONDE EN BREF DU MERCREDI 28 JUILLET 2021

LE MONDE EN BREF DU MERCREDI 28 JUILLET 2021

 

SEOUL – Les relations entre Corée du Nord et Corée du Sud se sont contre toute attente réchauffées avec le rétablissement mardi des canaux de communication entre Pyongyang et Séoul plus d’un an après leur suspension, ainsi que des échanges de lettres entre leurs dirigeants.

 

TUNIS – La principale formation politique du Parlement tunisien a appelé au dialogue mardi, indiquant être prête à des élections anticipées après le coup de force du président Kais Saied, qui a notamment suspendu l’assemblée et limogé le Premier ministre.

 

WASHINGTON – Des policiers américains ont décrit mardi avec émotion la violence physique et verbale de l’assaut du 6 janvier contre le Capitole, racontant à une commission d’enquête du Congrès comment ils ont craint pour leur vie face aux partisans de l’ex-président Donald Trump.

 

LONDRES – Viols, agressions sexuelles, racisme, culture du silence: un rapport publié mardi a mis en évidence le calvaire subi pendant des décennies depuis les années 1960 par des enfants au sein des services sociaux de Lambeth, dans le sud de Londres.

 

WASHINGTON – La reprise devrait être plus rapide qu’attendu dans les économies développées, mais plus lente pour les pays émergents, en raison notamment de l’accès inégal aux vaccins anti-Covid 19, prévient le FMI, qui maintient sa prévision de croissance mondiale de 6% en 2021.

 

PARIS – Jeudi, l’humanité aura consommé l’ensemble des ressources planétaires: le « jour du dépassement » est revenu au niveau de 2019, après une brève accalmie en 2020 liée à la crise sanitaire, avertit l’ONG américaine Global Footprint Network.

 

PARIS – La société de capital-investissement basée à Londres Novalpina, propriétaire de la société israélienne NSO au centre d’un scandale d’écoutes, va être dissoute, indique mardi le quotidien Les Echos.

 

BRUXELLES – Les inondations historiques qui ont frappé la Belgique ont fait 41 morts, selon un dernier bilan revu à la hausse, a déclaré mardi le chef du gouvernement de Wallonie, région francophone du sud qui a subi l’essentiel de la catastrophe.

 

ABIDJAN – Une accolade et des sourires: le président ivoirien Alassane Ouattara a reçu son prédécesseur Laurent Gbagbo mardi dans une atmosphère de réconciliation, pour leur première rencontre depuis leur duel à l’élection de 2010 qui avait débouché sur une crise meurtrière.

 

BENGHAZI (Libye) – Le chef de la milice libyenne Kaniyat, Mohamed al-Kani, accusé de violations graves des droits humains, a été tué mardi à Benghazi (est) après avoir « résisté » à des membres de l’armée de l’Est venue l’arrêter, a appris l’AFP de source militaire.

 

WASHINGTON – L’auteur de tueries dans des salons de massage asiatiques à Atlanta et dans sa banlieue a été condamné mardi à la rétention à perpétuité pour le premier volet de son attaque, mais reste passible de la peine capitale pour la suite de sa virée meurtrière.

 

BRASILIA (Brésil) – Le président brésilien Jair Bolsonaro, dont la cote de popularité est au plus bas, a nommé mardi à un ministère clé Ciro Nogueira, chef de file d’un groupe de parlementaires centristes censé lui donner plus de marge de manoeuvre au Parlement.

 

STOCKHOLM – Un ancien responsable iranien va être jugé en Suède pour son rôle présumé dans une partie des exécutions de masse d’opposants ordonnées par l’ayatollah Khomeini durant l’été 1988, a annoncé mardi la justice suédoise après une rare inculpation dans ce dossier très sensible.

 

GENEVE (Suisse) – La cigarette électronique et d’autres produits semblables sont dangereux pour la santé et doivent être réglementés pour tuer dans l’oeuf les tactiques de l’industrie du tabac pour recruter des clients, a mis en garde l’OMS mardi.

 

LEVERKUSEN (Allemagne) – Deux morts, cinq disparus, trente-et-un blessés dont trois graves: l’explosion survenue mardi à Leverkusen, dans l’ouest de l’Allemagne, sur un site de traitement de déchets, a ébranlé ce fief de l’industrie chimique où la population s’est calfeutrée par crainte de vapeurs nocives.

 

DIONYSOS (Grèce) – Un incendie de forêt attisé par des vents forts a endommagé de nombreuses habitations, dans une pinède du mont Penteli près d’Athènes, souvent touché par le feu en période estivale.

 

TOKYO – La superstar de la gymnastique Simone Biles a avoué combattre « des démons dans (sa) tête », jetant le doute sur sa participation à la suite des épreuves des Jeux olympiques de Tokyo, lors d’une journée marquée par l’élimination de Naomi Osaka, devant son public.

 

WASHINGTON – Les Etats-Unis comptent restituer à l’Irak une tablette cunéiforme vieille de 3.500 ans considérée comme « un bien culturel volé » introduit frauduleusement sur le marché de l’art américain, a annoncé mardi le ministère de la Justice.

 

PARIS – Un homme se déplaçant en trottinette a braqué mardi après-midi une boutique du joaillier Chaumet, près des Champs-Elysées à Paris, faisant main basse sur un butin évalué entre 2 et 3 millions d’euros, a-t-on appris de source proche du dossier.

 

NICE (France) – La ville française de Nice (sud) a été classée mardi au Patrimoine mondial de l’Unesco au titre de « ville de la villégiature d’hiver de Riviera » pour son patrimoine architectural, paysager et urbanistique façonné par 200 ans d’histoire cosmopolite à partir de la fin du XVIIIe siècle.

(afp)

Migration au Sahel : La Welthungerhilfe œuvre pour une meilleure protection des migrants au Centre-Nord

2. Les représentants identifiés ont fait le déplacement de Kongoussi pour participer à l'atelier.

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Migration au  Sahel : La Welthungerhilfe œuvre pour une meilleure protection des migrants au Centre-Nord

Kongoussi, (AIB)-L’ONG  Welthungerhilfe ( WHH) a organisé le 16 juillet 2021 à Kongoussi, un atelier d’échange avec les acteurs de protection pour une définition des besoins en matière de protection dans le cadre de la mise en œuvre de son projet d’appui à la protection des migrants les plus vulnérables sur les routes migratoires du Sahel ( PROMISA).

 Le projet d’appui à la protection des migrants les plus vulnérables sur les routes migratoires du Sahel ( PROMISA)  est mis en œuvre   par la Welthungerhilfe en collaboration avec Caritas Suisse sur financement de l’Union Européenne. Il a été initié suite à la crise sécuritaire qui secoue la zone du Sahel et qui rend les migrants plus  vulnérables.   Le projet  est exécuté dans les communes de Sabcé, Tikaré, Rouko, Guibaré et Kongoussi dans la province du Bam et Kaya dans la province du  Sanmatenga.

1. Le maire de la commune de Guibaré Karim Sawadogo et le deuxième adjoint au maire de Kongoussi Maxime Sawadogo participant aux travaux.

Selon le chef  de projet PROMISA à WHH Aimée Sanon,  L’objectif de l’ONG welthungerhilfe à travers le projet PROMISA est d’assurer la protection des migrants les plus vulnérables et leur accès aux services de base pour une meilleure gestion de la migration.

3. Le chef de projet PROMISA Aimée Sanon a apprécié la qualité des échanges.

Les principaux acteurs identifiés dans sa mise en œuvre sont les maires des communes d’intervention, les préfets de départements, les agents sociaux des communes, la coordinatrice provinciale des femmes du Bam,  les leaders communautaires (religieux, coutumiers, personnes ressources), les conseillers villageois de développement, les associations et ONG partenaires intervenant dans le domaine de la protection et la direction provinciale en charge de l’action humanitaire.

« Après l’identification des acteurs et des partenaires œuvrant dans le domaine de la protection, nous avons jugé nécessaire de les réunir autour d’un atelier pour prendre en compte leurs propositions de besoins en matière de protection des migrants pour la bonne exécution de notre projet» a précisé la chargée de projet Aimée Sanon.

Selon toujours ses éclairages, il existe une nuance entre un migrant et un déplacé interne.  « Pour nous, un migrant est une personne qui a traversé une frontière internationalement reconnu. Cette personne peut être en situation de transit ou en situation d’accueil. Mais le projet s’adresse aux personnes en situation de transit» a-t-elle précisée.

4. La directrice provinciale par intérim en charge de l’Action humanitaire du Bam Martine Bancé donnant une communication.

La directrice provinciale par intérim de la Femme de la Solidarité nationale de la Famille et de l’Action humanitaire du Bam Martine  Bancé  a remercié l’ONG  WHH pour les  efforts consentis dans la province du Bam pour la prise en charge des migrants, des personnes déplacées internes et des populations hôtes.

Elle a invité les participants de l’atelier à une participation active aux échanges pour qu’au sortir des travaux, les véritables préoccupations des migrants puissent être prises en compte dans le déroulement du projet.

Agence d’information du Burkina

Asmado RABO

Burkina/Universités africaines de la communication : Installation du Comité national d’organisation et du Conseil scientifique

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Burkina/Universités africaines de la communication : Installation du Comité national d’organisation et du Conseil scientifique

Ouagadougou, 27 juil. 2021 (AIB)-Le ministre en charge de la Communication Ousséni Tamboura a installé ce mardi à Ouagadougou, le Comité national d’organisation et le Conseil scientifique des universités africaines de la communication de Ouagadougou (UACO).

Le comité national d’organisation des universités africaines de la communication de Ouagadougou (UACO) est dirigé par le directeur général de la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB) Pascal Thiombiano et le Conseil scientifique est dirigé par le Pr Serge Théophile Balima.

Au cours de la cérémonie d’installation, le chef du département de la communication Ousséni Tamboura a dit attendre de ces acteurs, des réflexions innovantes pour la réussite des prochaines UACO.

Selon lui,  les Universités africaines de la communication (UACO) constituent un champ d’école où les professionnels du monde de la  communication et de l’information repartent avec des richesses dans leur secteur respectif.

Le porte-parole du gouvernement Tamboura a expliqué que le comité scientifique doit bâtir des échanges, à travers des thématiques pour enrichir les journalistes et communicateurs burkinabè, du continent africain et du monde entier.

Pour lui, son département doit être au rendez-vous de l’évènement avec de bonnes décisions malgré les défis sécuritaires et sanitaires,  qui selon lui, sont deux  contraintes  pouvant impacter sur l’organisation des UACO.

Les Universités africaines de la communication de Ouagadougou sont un cadre d’échanges et de partage d’expériences entre experts, étudiants et grand public, qui a vu le jour en 2004.

Agence d’information du Burkina

NO/Wis

Photo : Ministère de la communication

Burkina : « La sécurité, c’est l’affaire de tout le monde » (ambassadeur ivoirien)

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Burkina : « La sécurité, c’est l’affaire de tout le monde » (ambassadeur ivoirien)

Ouagadougou, 27 juil. 2021 (AIB)-L’ambassadeur de la Côte d’Ivoire au  Burkina Faso et au Niger, Kapieletien  Soro  a annoncé  dans une interview publié mardi  par le quotidien Sidwaya que « la sécurité, c’est l’affaire de tout le monde ».

« La sécurité, c’est l’affaire de tout le monde parce que pour paraphraser quelqu’un, la sécurité est trop sérieuse pour qu’on la laisse seulement à la charge des agents de sécurité », a affirmé l’ambassadeur Kapieletien Soro ce mardi dans les colonnes du quotidien public Sidwaya.

L’entretien de l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire au Burkina Faso et au Niger intervient à la faveur de la tenue du 9è Traité d’amitié et de coopération (TAC).

Il a confié dans son interview qu’à la faveur du TAC, « la coopération va se renforcer davantage » dans le domaine sécuritaire.

Ainsi pour faire face aux menaces sécuritaires  dues  aux groupes terroristes, M. Soro a laissé entendre, « qu’il  y a eu beaucoup de réunions entre les autorités compétente en la matière ».

Agence d’information du Burkina                           

EY/Wis

Photo: Sidwaya 

Burkina/ Société burkinabè de télédiffusion : Le nouveau DG Tamini compte revisiter le modèle économique

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Burkina/ Société burkinabè de télédiffusion : Le nouveau DG Tamini compte revisiter le modèle économique

Ouagadougou, 27 juil. 2021 (AIB)-Le nouveau directeur général de la Société burkinabè de télédiffusion (SBT) Fidel Tamini a été installé ce mardi à Ouagadougou et il compte revisiter le modèle économique pour réorienter les questions de rentabilité de la société.

Nommé en Conseil des ministres le jeudi 22 juillet dernier, Fidèle Tamini a été officiellement installé ce mardi, dans ses nouvelles fonctions de directeur général de la Société burkinabè de télédiffusion (SBT) par le directeur de cabinet du ministre en charge de la communication Jean Noël Bonkoungou.

Il  a reconnu le mérite de son prédécesseur Kadidia Savadogo qui a conduit le projet depuis le début jusqu’aujourd’hui et qui a relevé selon lui, de grands acquis.

Cependant, le nouveau DG Tamini estime qu’« il y a nécessité de revoir le modèle économique pour réorienter les questions de rentabilités et autres ».

Il a indiqué « que le plan stratégique en cours de rédaction ou de finalisation va servir de boussole à la réalisation de la mission » qui lui a été confié.

La directrice générale sortante Kadidia Savadogo a remercié ses anciens collaborateurs et a marqué sa disponibilité à accompagner le nouveau directeur général.

La Société burkinabè de télédiffusion (SBT), est une société d’Etat chargée de la diffusion en numérique des programmes télévisuels et radiophoniques au Burkina Faso qui a été créé en juillet 2013.

Elle est l’opérateur public de la télévision numérique terrestre lancée en décembre 2017 et qui permet aux téléspectateurs burkinabè de recevoir une dizaine de chaînes nationales gratuites.

Agence d’information du Burkina

SJK/MSS/Wis

Photo : Société burkinabè de télédiffusion

 

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