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Un nombre record d’inscriptions aux universités en Ukraine pour éviter l’enrôlement

SOCIÉTÉ: UKRAINE-INSCRIPTIONS-UNIVERSITÉS-CROISSANCE-MOBILISATION

Un nombre record d’inscriptions aux universités en Ukraine pour éviter l’enrôlement

MOSCOU, 31 mai. /TASS/. La multiplication par près de deux du nombre de personnes souhaitant s’inscrire à des cours de maîtrise et de troisième cycle dans les universités ukrainiennes peut être liée au fait que les hommes en masse veulent éviter d’être mobilisés dans les rangs des forces armées ukrainiennes. C’est ce qu’a reconnu le vice-ministre ukrainien de l’Éducation et des Sciences, Mikhaïl Vinnitski.

« Il y a là quelque chose d’alarmant, car nous nous trouvons dans une situation où les tests d’entrée pour les études de master et de troisième cycle sont unifiés et où, cette année, un nombre record de personnes se sont inscrites. En règle générale, environ de 110.000 à 120.000 personnes s’inscrivent à ce test, et cette année [ce nombre] a déjà dépassé les 200.000, avec un grand nombre d’hommes plus âgés qui ont manifestement leurs propres raisons de s’inscrire et de vouloir suivre des programmes éducatifs », a-t-il déclaré lors du téléthon ukrainien.

Dans le même temps, M. Vinnitski a souligné que l’éducation ne devait pas être « un moyen de se soustraire à une obligation constitutionnelle », de sorte que le système de sélection des futurs étudiants cette année « sera assez difficile ».

Avec TASS

L’ex-commandant de la marine américaine en Europe et en Afrique arrêté pour corruption

 

SÉCURITÉ: ÉTATSUNIS-MARINE-

L’ex-commandant de la marine américaine en Europe et en Afrique arrêté pour corruption

WASHINGTON, 31 mai. /TASS/. L’amiral à la retraite Robert Burke, ancien commandant des forces navales des États-Unis en Europe et en Afrique et ancien chef du Commandement des forces interarmées alliées de l’Otan à Naples, a été arrêté pour soupçon de corruption. C’est ce qu’indique un communiqué publié sur le site internet du ministère américain de la Justice, qui remplit les fonctions du parquet général.

L’amiral à la retraite et deux hommes d’affaires « ont été arrêtés aujourd’hui pour répondre à des accusations criminelles liées à leur rôle dans un schéma de corruption concernant un contrat gouvernemental ».

S’il est reconnu coupable, Burke risque jusqu’à 30 ans de prison, tandis que ses deux complices présumés jusqu’à 20 ans de prison. Tous trois sont accusés de corruption et d’association de malfaiteurs. Burke est également accusé d’avoir agi dans son intérêt financier personnel et d’avoir dissimulé des faits importants aux autorités américaines.

Le ministère américain de la Justice a expliqué que les deux hommes d’affaires new-yorkais étaient à la tête d’une société qui avait fourni « un programme pilote de formation de la main-d’œuvre » pour les forces navales américaines entre août 2018 et juillet 2019 et dont le contrat a été résilié fin 2019.

Bien qu’ils aient reçu l’ordre de ne pas contacter Burke, les deux hommes auraient tenté de « rétablir les relations commerciales de [leur] société avec la marine » en juillet 2021. Lors d’une rencontre avec Burke, ils seraient convenus que ce dernier « utiliserait sa position d’amiral » afin que la société fournisse des services à la marine en échange d’un futur emploi dans cette société.

En décembre 2021, Burke aurait ordonné à ses subordonnés de verser à la société 355.000 dollars dans le cadre d’un contrat de formation du personnel en Italie et en Espagne. Par la suite, il aurait également tenté en vain de confier à la société la prestation de services dans le cadre d’un contrat avec la marine américaine. En octobre 2022, Burke a commencé à travailler pour ladite société, son salaire annuel s’élevant à 500.000 dollars.

Avec TASS

Le Burkina déploie des tracteurs pour labourer gratuitement les champs des producteurs

Burkina-Agriculture-Mécanisation-Soutien

Le Burkina déploie des tracteurs pour labourer gratuitement les champs des producteurs

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB) – le Gouvernement burkinabè a commencé à déployer des tracteurs dans plusieurs régions du pays avec pour mission de labourer, sans frais, les terres au profit des agriculteurs, en vue d’aider la production alimentaire de la saison agricole en cours.

Dans le cadre de l’offensive agropastorale décidée par le président Ibrahim Traoré, 400 tracteurs ont été remis au ministère de l’Agriculture et seront mis à contribution pour accompagner les producteurs dès cette campagne agricole.

«Ces tracteurs ont été entièrement acquis par l’Etat. Ils sont destinée à labourer gratuitement les champs au profit des producteurs, sans distinction, conformément) la volonté du président du Faso», a rappelé le secrétaire général du ministère ne charge de l’Agriculture, Gaoussou Sanou.

Les tractoristes vont opérer sous la supervision de chefs de brigades de mécanisation agricole.

La première phase de déploiement des tracteurs va concerner les régions de la Boucle du Mouhoun, des Hautes Bassins, des Cascades, du Sud-ouest, du Centre-Est et du Centre-Ouest.

L’offensive agropastorale et halieutique est une initiative qui vise à booster les filières riz, maïs, pomme de terre, blé, poissons, bétail…pour combler durablement les déficits alimentaires chroniques du pays et donner de nouvelles perspectives économiques à travers ses filières.

Agence d’Information du Burkina
CK/no

Burkina : Plus de 720 mille inscrits aux examens scolaires session 2024

Burkina-Education- Examens- Organisation

Burkina : Plus de 720 mille inscrits aux examens scolaires session 2024

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB) – Les examens scolaires de la session de 2024 enregistrent un total de 728 264 candidats inscrits dont 402 602 filles, selon le ministre en charge de l’Education nationale, Jacques Sosthène Dingara s’exprimant devant la presse ce vendredi à Ouagadougou.

La session 2023 avait enregistré 753 606 candidats inscrits soit un plus de 25 342 inscrits par rapport à l’année 2024.
Pour le ministre en charge de l’Education nationale, Jacques Sosthène Dingara la réussite dans l’organisation des examens scolaires est un «défi de souveraineté nationale» face auquel il a sollicité la mobilisation de toutes les forces vives.

«Nous avons le devoir de relever ce challenge comme chaque année par une bonne organisation des examens, une administration des épreuves, en garantissant l’égalité des chances à tous les candidats, dans des conditions de sécurité qui garantissent la crédibilité des diplômes que nous délivrons».

Le ministre a par ailleurs appelé la communauté éducative, les parents d’élèves, les Forces de défense et de sécurité, les VDP à se mobiliser pour offrir aux enfants de bonnes conditions d’examens scolaires.

«Au regard de ce qui est déjà réalisé et de l’engagement des acteurs à tous les niveaux, nous avons bon espoir que les différents examens et concours scolaires de la présente session se tiendront conformément au calendrier», a-t-il soutenu.

Le premier responsable du département de l’Education nationale et de la promotion des langues nationales a fait cas également de la baisse de l’allocation de 77, 838 millions FCFA soit un taux de 0,33% sur un budget prévisionnel de 23 milliards 243 millions 154 000 F CFA alloué à son ministère.

Pour les détails des effectifs, le CEP enregistre 360 340 candidats soit 198 364 filles et 161 976 garçons contre 376 297 en 2023 soit une baisse de 15 957.
Au BEPC, ils sont au nombre de 220 158 candidats dont 130 497 filles et 89 661 garçons contre 216 253 l’année précédente soit une hausse de 3905 élèves.

«Le total des candidats de l’EFTP fait 26 999 candidats dont 10719 filles et 16 280 garçons contre 23 595 en 2023 soit une hausse des effectifs de 3404 candidats», a relevé le ministre.

Il a noté qu’au Baccalauréat, l’effectif s’élève à 120 767 candidats soit 57 745 garçons et 63 022 filles alors que celui de 2023 comptait 137 461 candidats soit une baisse des effectifs de 16 694 par rapport à 2023.

M. Dingara a enfin signifié que des innovations majeures ont été opérées par son département dans le logiciel de gestion des examens et concours scolaires pour la bonne tenue de session 2024

Agence d’information du Burkina
NO/yos/ck

Burkina : La réussite des examens scolaires est un défi de souveraineté nationale pour tous les acteurs, ministre

Burkina-Education- Examens- Organisation

Burkina : La réussite des examens scolaires est un défi de souveraineté nationale pour tous les acteurs, ministre

Ouagadougou, 31 mai 2024, Le ministre en charge de l’Education nationale, Jacques Sosthène Dingara a indiqué vendredi, que « la réussite des examens scolaires est un défi de souveraineté » c’est pourquoi les forces vives sont sollicitées pour leur bon déroulement.

« La réussite des examens est un défi de souveraineté nationale pour lequel toutes les forces vives sont sollicitées », a déclaré le ministre en charge de l’Education nationale, Jacques Sosthène Dingara.

Le ministre a par ailleurs appelé la communauté éducative, les parents d’élèves, les Forces de défense et de sécurité,  les VDP à se mobiliser pour offrir aux enfants de bonnes conditions d’examens scolaires.

  1. Dingara s’exprimait vendredi face aux journalistes sur l’organisation des examens et concours scolaires du Certificat d’études primaires (CEP), du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) du Baccalauréats et autres de la session 2024.

« Au regard de ce qui est déjà réalisé et de l’engagement des acteurs à tous les niveaux, nous avons bon espoir que les différents examens et concours scolaires de la présente session se tiendront conformément au calendrier », a-t-il soutenu.

De son avis, les examens de la session de 2024 enregistrent un total de 728 264 candidats inscrits dont 402 602 filles et 325 662 garçons contre 753 606 en 2023 soit une baisse de 25 342 par rapport à l’année dernière.

Le premier responsable du département de l’Education nationale et de la promotion des langues nationales a fait cas également de la baisse de l’allocation de 77, 838 millions  FCFA soit un taux  de 0,33%  sur un budget prévisionnel de 23 milliards 243 millions  154 000 F CFA alloué à son ministère.

Selon Jacques Sosthène Dingara,  le CEP enregistre 360 340 candidats soit 198 364 filles et 161 976 garçons contre 376 297 en 2023 soit une  baisse de 15 957.

Au BEPC, ils sont au nombre de 220 158 candidats dont 130 497 filles et 89 661 garçons contre 216 253 l’année précédente soit une hausse de 3905 élèves.

« Le total des candidats de l’EFTP fait 26 999 candidats dont 10719 filles et 16 280 garçons contre 23 595 en 2023 soit une hausse des effectifs de 3404 candidats», a relevé le ministre.

Il a noté qu’au Baccalauréat, l’effectif s’élève à 120 767 candidats soit 57 745 garçons et 63 022 filles alors que celui de 2023 comptait 137 461 candidats soit une baisse des effectifs de 16 694 par rapport à 2023.

  1. Dingara a enfin signifié que des innovations majeures ont été opérées par son département dans le logiciel de gestion des examens et concours scolaires pour la bonne tenue de session 2024

Agence d’information du Burkina

NO/yos/ata

 

 

 

 

 

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Maroc/GITEX Africa 2024 : le Conseil des agences de l’information et des technologies africaines adopte son plan stratégique 2024-2025

 

Burkina-Maroc-Technologie-Plan-Stratégie

Maroc/GITEX Africa 2024 : le Conseil des agences de l’information et des technologies africaines adopte son plan stratégique 2024-2025

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB)–Le Conseil des agences de l’information et des technologies africaines (CAITA) a adopté le jeudi 30 mai 2024 son plan stratégique 2024-2025, en marge de la 2e édition du « GITEX Africa Morroco 2024 » qui s’est tenu dans le royaume chérifien, a-t-on appris des organisateurs.

En marge de la deuxième édition du GITEX Africa Morocco 2024, l’un des événements les plus importants de l’innovation technologique sur le continent africain, s’est tenue le mercredi 29 mai 2024, la 3ème réunion du Conseil Africain des Agences des Technologies de l’Information (CAITA) de l’Alliance Smart Africa avec la participation de 17 agences.

Le CAITA, quatrième organe consultatif de Smart Africa, s’inscrit aux côtés du Conseil des Ministres des TIC (CMICT), du Conseil Africain des Régulateurs (CAR) et du Forum du Secteur Privé. Sa mission principale consiste à élaborer et soumettre des recommandations au Conseil des Ministres sur les normes harmonisées nécessaires à la mise en œuvre des initiatives de Smart Africa.

Ces efforts sont essentiels pour garantir une approche cohérente et intégrée du développement digital à travers le continent.

Le Royaume du Maroc joue un rôle central au sein du CAITA. En juin 2023, le directeur général de l’Agence de développement du digital (ADD), Mohammed Drissi Melyani a été élu à l’unanimité, président du CAITA pour un mandat de deux ans.

Cette élection témoigne de la reconnaissance internationale du leadership du Maroc en matière de transformation numérique et de son engagement envers la promotion de la coopération interafricaine dans le domaine des TIC.

Ainsi, et depuis sa réunion constitutive et jusqu’à présent, le CAITA, a entrepris plusieurs actions dont notamment « l’élaboration du règlement intérieur qui est constitué des dispositions nécessaires ayant pour objet de définir les règles et modalités de bon fonctionnement du Conseil, l’élaboration du plan d’activités qui s’articule autour des principales d’activités devant être réalisées en 2024, en partenariat avec les différents acteurs concernés, à l’échelle continentale et internationale, et ce, dans l’objectif de contribuer dans le développement du digital en Afrique et de favoriser l’émergence économique et sociale ».

« Et l’élaboration du projet de plan stratégique 2024-2025 visant à contribuer dans l’établissement d’une Afrique numériquement connectée, utilisant efficacement et de manière innovante les technologies de l’information pour stimuler la croissance socio-économique ».

Cette 3ème réunion du CAITA, présidée par Sidi Mohammed Drissi Melyani, et Monsieur Lacina Koné, directeur général de l’Alliance smart africa, était une occasion idoine pour les agences membres de faire le point sur les progrès réalisés ainsi que l’état d’avancement d’un certain nombre de projets portés par l’Alliance Smart Africa et dont la consistance s’aligne avec les missions et actions du CAITA.

Egalement cette réunion a permis dans un second temps la définition des priorités pour l’année à venir, et notamment l’adoption du plan d’action stratégique visant à contribuer à mettre les pierres angulaires d’une Afrique numériquement connectée, utilisant efficacement et de manière innovante les technologies de l’information pour stimuler la croissance socio-économique.

La tenue de cette réunion en parallèle de GITEX Africa Morocco 2024 souligne l’importance de cet événement pour le continent africain.

GITEX Africa, avec sa riche programmation et sa capacité à attirer des leaders technologiques, des startups et des investisseurs du monde entier, offre une plateforme idéale pour discuter des défis et des opportunités du secteur numérique en Afrique. Le rôle de l’ADD dans l’organisation de cette manifestation témoigne de son engagement à promouvoir l’usage du digital et à soutenir l’entrepreneuriat innovant au Maroc et au-delà.

Cette réunion du CAITA représente une étape cruciale dans la consolidation de la coopération interafricaine en matière de technologies de l’information. Elle illustre l’engagement continu du Maroc, à travers l’ADD et les autres acteurs concernés, et l’Alliance de Smart Africa, à faire avancer le développement digital sur le continent en favorisant le partage d’expertise et d’expérience et en alignement avec les objectifs de l’Alliance.
Agence d’information du Burkina

Burkina: Les professionnels de la chaîne du médicament se concertent pour un renouveau de l’Industrie pharmaceutique

Burkina- Santé- Pharmacie-Ouverture-Travaux

Burkina: Les professionnels de la chaîne du médicament se concertent pour un renouveau de l’Industrie pharmaceutique

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB)- Les professionnels et les étudiants de la chaîne du médicament ont entamé vendredi, la 2e édition du Salon de la pharmacie et de la parapharmacie (Pharma expo BF) avec des échanges de 72 h sur les défis et les opportunités du secteur pour tracer les sillons du renouveau de l’industrie pharmaceutique au Burkina Faso.

La 2e  édition du Salon de la pharmacie et de la parapharmacie (Pharma expo BF) a ouvert ses portes ce vendredi 31 mai 2024 à Ouagadougou, avec à la clé des réflexions et  diverses activités telles que les expositions, les rencontres B to B et une soirée gala.

Selon les organisateurs, l’édition 2024 du Pharma Expo BF devant regrouper environ 1300 visiteurs et 100 exposants va permettre aux professionnels et étudiants de la chaine du médicament de réfléchir sur les défis et les opportunités pour un renouveau de l’industrie pharmaceutique au Burkina.

L’évènement  placé sous le patronage du président de l’Assemblée législative de Transition, Dr Ousmane Bougouma, se tient du 30 mai au 1er juin 2024 avec pour thème « La pharmacie à l’ère du digital ».

Pour Dr Bougouma, cette rencontre demeure une vitrine pour le monde pharmaceutique de réfléchir sur l’utilisation du numérique pour promouvoir la recherche et le développement des produits de santé.

Le président de l’ALT a précisé qu’il s’agit de faire en sorte que les populations puissent accéder à des produits de qualité aussi bien sur le marché national qu’international.

« Je voudrais encourager les pharmaciens pour leur thématique et surtout leur demander de réfléchir davantage sur le développement de la production  au niveau local », a-t-il soutenu.

La représentante du ministre en charge de la Santé, Nandy Somé/Diallo, a indiqué la pharma Expo BF offre une plaforme unique où tous les acteurs se rencontrent pour façonner l’avenir du secteur pharmaceutique.

A l’en croire, les avancées scientifiques et innovations technologiques et les nouvelles régulations exigent que les professionnels de la chaîne du médicament transforment leurs manières de travailler pour offrir des soins de qualité aux populations.

« Aujourd’hui, l’opportunité nous est donnée de partager nos connaissances actualisées dans le domaine pharmaceutique, de renforcement nos réseaux professionnels et d’explorer ensemble les perspectives de ce secteur », a poursuivi Mme Somé.

Le président de la cérémonie, Nédié Naon, a pour sa part, remercié tous ceux qui ont contribué à la réussite de pharma Expo BF qui est d’envergure nationale et internationale.

M. Naon par ailleurs président de l’Ordre national des pharmaciens du Burkina a souligné que le salon se veut un véritable cadre d’innovation du domaine pharmacie.

Il  a fait remarquer que le numérique a révolutionné le monde de la pharmacie à travers la recherche, le développement de la distribution et la gestion des données des patients.

« Aujourd’hui, le digital révolutionne chaque acteur de notre profession. Dans ce cas, les officines pharmaceutiques, vitrines de notre profession doivent se réinventer pour rester performants et offrir des services de qualité à  une clientèle de plus en plus connectée », a renchéri Nédié Naon.

Quant au président du Comité d’organisation(CO) de pharmacie BF 2024, Pr Rasmané Semdé, la tenue de  cette activité traduit la résilience du peuple burkinabè et du secteur de la pharmacie en particulier.

Pr Semdé a saisi l’occasion pour saluer les forces combattantes engagées dans la reconquête du territoire national au Burkina Faso.

Il  a aussi exprimé  sa gratitude au gouvernement qui n’a cessé depuis la première édition d’apporter son soutien pour la tenue de pharma expo BF.

Plusieurs pays comme le Mali, le Niger, le Benin, la Côte d’ivoire, le Ghana, la Russie, l’Inde, la Chine etc, participent  à cette rencontre de Ouagadougou.

En rappel, l’Algérie est le pays invité d’honneur à cette 2e édition de pharma Expo BF.

Agence d’information du Burkina

NO/yos

Les Burkinabè triompheront du terrorisme, président sénégalais

Burkina-Lutte-Terrorisme

Les Burkinabè triompheront du terrorisme, président sénégalais

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB)- Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a affiché jeudi, sa certitude que les Burkinabè triompheront du terrorisme sous le leadership du président Ibrahim Traoré et avec la solidarité agissante des acteurs de la sous-région.
« J’admire ce peuple burkinabè pour sa vaillance, sa combativité et sa résilience dans la période difficile qu’il traverse», a déclaré le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, au sortir d’un tête-tête avec son homologue du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.
A en croire le président sénégalais, la dignité et l’honneur dont font preuve les Burkinabè, sous le leadership du président Traoré, leur permettront de triompher le terrorisme avec la solidarité agissante des acteurs de la sous-région.

Selon le président sénégalais, la lutte contre l’insécurité est un défi commun, c’est pourquoi, a indiqué M. Faye, le Sénégal et les autres pays africains doivent apporter leur solidarité aux Etats en difficultés.
Agence d’information du Burkina
YOS/ata

Burkina/Offensive agropastorale : Le gouvernement va accompagner les producteurs vulnérables avec 18 000 tonnes de semences améliorées

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Burkina/Offensive agropastorale : Le gouvernement va accompagner les producteurs vulnérables avec 18 000 tonnes de semences améliorées

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB)-Le ministre en charge de l’Agriculture le commandant Ismaël Sombié a déclaré vendredi que dans le cadre de l’offensive agropastorale et halieutique, le gouvernement va accompagner les producteurs vulnérables avec 18000 tonnes de semences améliorées.

L’offensive agropastoral et halieutique, lancée en août dernier par le gouvernement vise à l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire en mettent l’accent sur la production des cultures de grande consommation qui sont déficitaires au Burkina Faso.

Pour l’atteinte de cet objectif, le ministre Sombié a indiqué que le gouvernement va mettre à la disposition des producteurs vulnérables 18 000 tonnes de semences améliorées des diverses spéculations.
Le ministre qui s’exprimait, le vendredi 31 aout 2024 à Ouagadougou lors du lancement de la 15ème édition de la foire aux semences, a montré que ce soutien se fera avec la contribution du secteur de la recherche.

« La mobilisation de cette quantité de semences au profit des producteurs, ne pourra pas être possible sans l’apport de la recherche», a-t-il soutenu.

Pour cela, le commandant Ismaël Sombié, a félicité les acteurs de la recherche burkinabè pour les nombreuses actions posées dans l’optique de parvenir à l’autosuffisance alimentaire.

Conscient du rôle capital de la recherche dans l’atteinte de la souveraineté alimentaire, M. Sombié a par ailleurs, promis de travailler au côté de son collègue de l’enseignement supérieur pour répondre aux besoins des producteurs.
D’un coût global de 592 milliards de FCFA, la mise en œuvre de l’Offensive agropastorale et halieutique couvre la période 2023-2025.

L’Offensive qui vise à réduire la dépendance du pays vis-à-vis des importations des produits de grande consommation ambitionne, entre autres, produire un million de tonnes de riz et deux millions de tonnes de maïs pour couvrir des besoins de consommations des Burkinabè.

Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Bazèga/CEP session 2024 : L’ ONG Convoy of Hope remet des vivres dans 8 centres d’examen pour les candidats

Burkina-ONG-Remise-Vivres-Candidats-CEP
Bazèga/CEP session 2024 : L’ ONG Convoy of Hope remet des vivres dans 8 centres d’examen pour les candidats

Kombissiri, (AIB) – L’ONG Convoy of Hope a remis le vendredi 31 mai 2024 à Kombissiri des vivres divers à 8 centres d’examen au profit des candidats au certificat d’études primaires (CEP) session de 2024 pour les accompagner pendant la composition.

À quelques jours du début de l’examen du certificat d’études primaires (CEP) session de 2024 sur toute l’étendue du Burkina Faso, l’ONG Convoy of Hope a procédé à une remise de vivres aux élèves candidats de la commune de Kombissiri.

Les vivres remis sont composés de riz, de la sauce précuite, des lentilles, du couscous de maïs jaune, des pâtes alimentaires, de l’huile végétale, de la bouillie à base de blé et du lait concentré sucré. En plus des vivres destinés aux élèves, du nescafé, du thé et du sucre ont été également remis pour les examinateurs.

Ce sont au total plus de 1 430 élèves de 42 écoles réparties dans 8 centres d’examen de la commune qui ont bénéficié de ces vivres.

Pour la responsable nutrition de l’ONG Convoy of Hope, Olivia Dimtoumda/Ilboudo, cette action vise à mettre les candidats des écoles bénéficiaires dans de meilleures conditions de travail pendant le déroulement de l’examen.

Dans la commune de Kombissiri, 18 écoles sont parrainées par l’ONG. Ces vivres remis dans les centres d’examen où sont réparties ces écoles parrainées, profiteront aussi aux 24 autres écoles se trouvant dans ces centres.

Le secrétaire général de la mairie de Kombissiri, Edmond Nikièma, a salué cette initiative de Convoy of Hope.
Selon M. Nikièma, ce don permettra aux élèves d’être dans de bonnes conditions durant l’examen.

Pour rappel, Convoy of Hope est une ONG partenaire de l’éducation dans la province du Bazèga. Elle intervient dans le domaine de la cantine scolaire en offrant des vivres toute l’année scolaire à certaines écoles qu’elle parraine.
Agence d’information du Burkina
TPT/dnk/ata

Inde : un tribunal appelle à décréter l’urgence nationale face à la canicule

Inde : un tribunal appelle à décréter l’urgence nationale face à la canicule

New Delhi, Inde

Un tribunal indien a exhorté le gouvernement à décréter l’urgence nationale face à la vague de chaleur que subit depuis plusieurs jours l’Inde, avec des températures bien au-dessus des 45°C dans de nombreuses villes, et qui a, selon cette juridiction, fait des « centaines » de morts.

Le seul Etat indien du Bihar, dans le nord-est, a annoncé vendredi qu’au moins 14 personnes avaient péri en une seule journée, la veille, du fait de cette canicule.

Dans ce contexte, la Haute cour du Rajasthan, dans le nord-ouest, estime que l’Inde devrait qualifier de « calamités nationales » les futures périodes de très forte chaleur, ce qui permettrait de mobiliser les services de sécurité de la même manière que pour d’autres catastrophes naturelles comme les inondations et les cyclones.

Cette juridiction a conclu que les autorités n’avaient pas réussi à prendre les mesures appropriées pour protéger la population face à la situation météorologique actuelle.

Elle a en outre ordonné au gouvernement de l’Etat du Rajasthan de mettre en place des fonds d’indemnisation pour les proches des personnes mortes à cause de la canicule.

« En raison des températures extrêmes (…), des centaines de personnes ont perdu la vie au cours du mois », a déploré la cour dans une ordonnance rendue jeudi.

« Nous n’avons pas de planète B sur laquelle nous pourrions nous installer (…). Si nous ne prenons pas des mesures strictes maintenant, nous perdrons pour toujours la chance de voir nos enfants s’épanouir », est-il écrit dans ce document.

C’est au Rajasthan, à Phalodi, en bordure du désert du Thar, que l’actuel record indien, 51°C, avait été enregistré en 2016.

– Le changement climatique en cause –
A New Delhi, une cité d’environ 30 millions d’habitants, où la température a augmenté cette semaine, la consommation d’électricité a atteint un sommet mercredi du fait notamment d’un recours massif à la climatisation.

La municipalité a par ailleurs averti d’une « très forte probabilité de contracter des maladies liées à la chaleur » et d’être victime d’un « coup de chaud à tous les âges », ainsi que d’un risque de pénurie d’eau.

Un pic de 52,9°C, un possible nouveau record national, y a été enregistré ce jour-là, même si les autorités s’interrogent sur une possible « erreur de capteur ».

En 2022 déjà, le thermomètre dan la capitale était monté à 49,2°C.

L’Inde est coutumière des fortes chaleurs estivales mais des années de recherches scientifiques ont montré que le changement climatique rendait ces épisodes plus longs, plus fréquents et plus intenses.

Les chercheurs soulignent que cette modification du climat induite par l’homme doit être considérée comme un avertissement.

– La place des combustibles –
Les vagues de chaleur constituent « la plus grande menace pour le bien-être de l’Inde aujourd’hui », a à cet égard expliqué à l’AFP Aarti Khosla, la directrice de l’institut de recherche Climate Trends.

Les températures extrêmes dans la région de New Delhi sont, selon elle, « la preuve que la question qui se pose aujourd’hui est celle de la survie ».

Le pays le plus peuplé du monde, avec 1,45 milliard d’habitants, est le troisième émetteur de gaz à effet de serre de la planète mais s’est engagé à atteindre une économie à zéro émission nette d’ici à 2070, soit deux décennies après la plupart des nations occidentales industrialisées.

Pour l’instant, le charbon assure l’essentiel de la production d’électricité en Inde.

Le gouvernement dirigé par le Premier ministre Narendra Modi, qui brigue un troisième mandat aux élections législatives en cours, affirme que les combustibles fossiles restent primordiaux pour répondre aux besoins énergétiques croissants de son pays et sortir des millions de personnes de la pauvreté.

Avec AFP

Diamond League : Fabrice Zango décroche l’or au meeting d’Oslo (Norvège)

ATHLETISME-BFA-SPORT-SAUT-LEAGUE-DIAMOND

Diamond League : Fabrice Zango décroche l’or au meeting d’Oslo (Norvège)

Ouagadougou, 31 mai 2024 (AIB) – Le triple sauteur burkinabè Hugues Fabrice Zango a remporté le jeudi 30 mai, la médaille d’or au meeting d’Oslo en Norvège avec un bond de 17,27m, dans le cadre de la compétition de la Diamond League, réservée aux meilleurs athlètes.

Après s’être réservé de prendre part au meeting de Marrakech au Maroc, le champion du monde du triple saut Hugues Fabrice Zango (17,27m) a remporté la médaille d’or devant l’Algérien Mohamed Yasser Triki (17,25m) et du Cubain Lazaro Martinez (16,97m).

Lors du meeting de Xiamen (Chine) Hugues Fabrice Zango s’était offerte la médaille d’argent derrière le Portugais Pedro Pichardo avec un bon de 17m12.
Agence d’information du Burkina
as/ata

96 heures du stagiaire de l’ISTIC : «un cadre pour apprendre autrement», délégué

96 heures du stagiaire de l’ISTIC : «un cadre pour apprendre autrement», délégué

Ouagadougou, 30 mai 2024 (AIB)- Le délégué général des stagiaires de l’Institut des sciences et techniques de l’information (ISTIC) a indiqué jeudi que les 96 heures de l’étudiant constituent un cadre pour apprendre autrement.

«Les 96 heures des stagiaires de l’ISTIC est une pause pour permettre aux étudiants d’apprendre autrement après 8 mois de cours», a déclaré le délégué des stagiaires Rufin Paré, jeudi, lors du lancement des activités.

Pour lui, cette activité qui entre dans le cadre des activités du bureau des étudiants, est un instant de récréation, de découverte de la riche culture burkinabè et de partage d’expériences à travers des panels et des communications.

Au programme de ces 4 jours dédiés aux apprenants de l’école de formation de référence des journalistes et communicateurs au Burkina, des formations, une rue marchande, une participation au « faux départ du Mogho Naaba » et une visite du musée de l’armée.

Selon la directrice générale de l’institut, docteur Alizèta Ouoba/Compaoré, les 96 heures de l’étudiant sont des activités socioculturelles qui entre dans la formation du stagiaire.

L’enseignante-chercheure a saisi l’occasion pour féliciter le bureau des stagiaires pour la tenue effective de cette activité avant d’inviter les étudiants à y participer massivement.
Agence d’information du Burkina
YOS/ata

L’AFEMIB veut accompagner 500 femmes et jeunes de 10 communes burkinabè dans la création des AGRs

L’AFEMIB veut accompagner 500 femmes et jeunes de 10 communes burkinabè dans la création des AGRs

Boromo, (AIB)-L’Association des femmes du secteur minier du Burkina Faso (AFEMIB) a restitué, le vendredi 24 mai 2024 à Poura, l’étude diagnostique du projet de renforcement des capacités de 500 femmes et jeunes des sites miniers sur les activités génératrices de revenus (AGRs) dans dix communes.

Selon la secrétaire générale de l’AFEMIB Traoré Binta, l’étude diagnostique a permis d’identifier les potentiels bénéficiaires et de recenser les potentialités économiques des communes concernées.

Cela dans le but de spécifier les types d’AGR en lien avec ces potentialités économiques de la commune, a indiqué Mme Traoré.

Les principales AGR retenues, selon l’étude, sont la production pluviale et maraicher, l’élevage de volailles et de petits ruminants, l’extraction et le lavage de l’or.

Pour elle, l’enquête terrain a été menée par le cabinet What You Need avec l’appui financier du Projet d’appui au renforcement de la gestion du foncier et des mines (PARGFM).

A écouté, la secrétaire générale, son association vise à favoriser l’autonomisation financière des femmes et des jeunes dans des communes impactées par des activités minières.

Les femmes et les jeunes bénéficiaires du projet, ont manifesté beaucoup d’intérêt, lors de l’atelier de restitution de l’étude, du fait des opportunités économiques qui leur sont offertes dans le cadre de ces activités, a soutenu Mme Traoré.

Le 2e vice-président de la délégation spéciale de la comme de Poura Silvain Bayé a déclaré que les autorités placent un grand espoir au projet pour l’accompagnement des femmes.

Il a de même, invité les bénéficiaires à plus de motivation et de solidarité dans la réalisation de leurs activités génératrices de revenus.

De l’avis du représentant du PARGFM, Émile Nikièma, les bénéficiaires doivent relever le défi de se mettre en coopérative pour bénéficier de l’accompagnement.

A ce niveau, les autorités locales doivent les organiser et les accompagner dans l’établissement des documents nécessaires, a déclaré M. Nikiéma.
Le projet intervient les localités de Bagassi, Bouda, Boudry, Boussé, Korsimoro, Mogtédo, Poura, Réo, Sabcé et Zabré.

Dans la province des Balé, la commune de Bagassi et de Poura sont les deux bénéficiaires.
Agence d’information du Burkina
OM/oz/ata

Le président sénégalais Faye veut renouer le fil du dialogue entre la CEDEAO et l’AES

 

Le président sénégalais Faye veut renouer le fil du dialogue entre la CEDEAO et l’AES

Ouagadougou, 30 mai 2024(AIB)-Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a dit jeudi, sa disponibilité à travailler pour qu’il ait «des plages de convergences» entre la CEDEAO et les pays de l’AES qui ont annoncé leur départ de l’institution sous-régionale en début d’année.

«Au niveau de la CEDEAO, on le constate aujourd’hui, que certes les portes du dialogue sont fermées, mais qu’il ne nous faut pas non plus fermer les fenêtres et tirer les rideaux ; qu’il faut laisser des espaces (…) Nous disputer s’il le faut, mais vider ce qui est en nous», a affirmé jeudi soir à Ouagadougou, le président Faye au terme d’un court séjour auprès de son homologue burkinabè Ibrahim Traoré.

Le président Bassirou Diomaye Faye qui est arrivé du Mali, a affiché sa «disponibilité à travailler de part et d’autre, pour qu’il ait des plages de convergences» qui permettent «quand même de discuter de ce qui ne marche pas et de voir comment changer ce qui ne marche pas».

En rappel, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, formant désormais l’Alliance des Etats du Sahel (AES), ont annoncé leur départ de la CEDEAO, en fin janvier 2024, pour protester contre la non-assistance de l’institution dans la lutte contre le terrorisme et son inféodation à des puissances étrangères.

Selon la CEDEAO, ces sorties ne seront effectives qu’en fin janvier 2025 si ces trois pays ne se rétractent pas.

Le président Bassirou Diomaye Faye élu en mars 2024, qui appelle à des réformes profondes de la CEDEAO et de la monnaie, a promis de faire tout son possible, pour ramener l’AES dans l’organisation sous-régionale.

«Nous avons la responsabilité historique et l’héritage de nos pères fondateurs de nous battre au sein de la CEDEAO et ensemble pour que la CEDEAO reste ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. A savoir un organe d’intégration qui a été cité en exemple que nous devons pérenniser, que nous devons renforcer, et que nous devons protéger contre toutes les velléités qui vont dans le sens de détourner la CEDEAO de son objectif d’intégration africaine et de sa nature, à savoir la CEDEAO des peuples», a conclu M. Faye.
Agence d’information du Burkina
ATA/ck

Coopération Burkina Faso-République du Sénégal : fin de séjour du Président Bassirou Diomaye FAYE à Ouagadougou

Burkina-Sénégal-Coopération

Coopération Burkina Faso-République du Sénégal : fin de séjour du Président Bassirou Diomaye FAYE à Ouagadougou

Ouagadougou, 30 mai 2024(AIB). Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye FAYE a quitté Ouagadougou, dans la soirée à l’issue d’une visite d’amitié et de travail dans notre pays.

Au cours de son séjour, le Président de la République du Sénégal Bassirou Diomaye FAYE a eu un tête-à-tête au palais de Koulouba avec son homologue le Capitaine Ibrahim TRAORE.

Les délégations des deux pays ont eu une séance de travail au cours de laquelle elles ont examiné des sujets d’intérêt commun.

La République du Sénégal et le Burkina Faso entretiennent des relations d’amitié séculaires.

Agence d’Information du Burkina avec la

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Coopération Burkina-Sénégal : le Président FAYE réaffirme l’engagement de son pays aux côtés du peuple burkinabè

 

Burkina-Sénégal-Cooperation

Coopération Burkina-Sénégal : le Président FAYE réaffirme l’engagement de son pays aux côtés du peuple burkinabè

Ouagadougou, 30 mai 2024.(AIB)- Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE a reçu en audience en fin d’après-midi, le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye FAYE accompagné d’une forte délégation dans le cadre d’une visite d’amitié et de travail au Burkina Faso.

Les deux Chefs d’Etat ont eu un tête-à-tête sur des sujets d’intérêt commun aux deux peuples. Cette visite du Chef d’Etat sénégalais au Burkina Faso s’inscrit dans une dynamique de renforcement des liens historiques, de bon voisinage, d’amitié fraternelle, de solidarité et de coopération multiforme.

« Je suis venu dire merci au président TRAORE et au peuple burkinabè pour avoir dépêché une délégation à Dakar lors de ma prestation de serment. Je suis surtout venu lui réaffirmer mon engagement, l’engagement du Sénégal aux côtés du peuple frère du Burkina Faso », a indiqué le Président Bassirou Diomaye FAYE à l’issue de son tête-à-tête avec son homologue burkinabè.

Les Présidents FAYE et TRAORE ont réaffirmé, au cours de cette rencontre, leur détermination à travailler dans le sens de raffermir les relations entre les deux pays sur le plan commercial, de la libre circulation des personnes et des biens en vue d’une meilleure intégration africaine.

« Je suis venu aussi lui dire toute ma solidarité et ma fraternité avec le peuple burkinabè frère dans la période difficile qu’il traverse et lui dire aussi mon admiration pour la vaillance de ce peuple, sa combativité et sa résilience », a soutenu le Président Bassirou Diomaye FAYE.

Il a salué la dignité et l’honneur du peuple burkinabè, sous le leadership du Président TRAORE qui « permettra avec la solidarité agissante de certains pays comme le Sénégal et d’autres pays africains, de triompher » face aux défis sécuritaires.

Le Président FAYE a rappelé que les deux peuples, ainsi que d’autres pays africains, partagent plusieurs défis communs à savoir l’insécurité, la migration irrégulière, la lutte contre le trafic d’êtres humains et de substances illicites.

Pour ce faire, le Chef d’Etat sénégalais est convaincu que c’est dans la concertation, les échanges de renseignements, les opérations conjointes que ces pays réussiront ensemble à prendre le dessus sur ces fléaux des temps modernes.

« Nous avons aussi abordé le sujet de la CEDEAO ; je comprends aujourd’hui que les positions soient quelque peu figées, mais je perçois dans chacune de ces positions une fenêtre d’ouverture qui permet de nouer un fil de dialogue », a ajouté le Président FAYE.

L’hôte du Président du Faso dit repartir du Burkina Faso très réconforté de l’ouverture d’esprit et de la disponibilité du Président Ibrahim TRAORE « à renforcer avec nous l’axe Dakar-Ouaga pour développer davantage les échanges et la coopération ».

Agence d’Information du Burkina avec la

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Accueil chaleureux de Diomaye Faye à Ouagadougou

Burkina-Sénégal-Coopération

Accueil chaleureux de Diomaye Faye à Ouagadougou

Ouagadougou, 30 mai 2024 (AIB) – Le président sénégalais, Bassirou Diomaye fayte, arrivé cet après-midi à Ouagadougou en provenance de Bamako, a été chaleureusement accueilli par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, accompagné du président de l’Assemblée nationale et de plusieurs hautes personnalités du Pays des hommes intègres.

Dans un costume-cravate noir, le jeune président sénégalais (44 ans) qui prône la rupture et la souveraineté du Sénégal, a été accueilli par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré (36 ans) avec un chapeau de Saponé, un cadeau symbolique de grande valeur au Burkina Faso remis aux hôtes de valeur ou encore aux lauréats du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou, depuis un certain moment.

Avant d’arriver au Burkina Faso, le président sénégalais s’est arrêté au Mali où il a échangé avec le chef de l’Etat malien, le colonel Assimi Goïta, sur les questions de partenariat et d’intégration.
Agence d’Information du Burkina

Ibrahim Traoré et Diomaye Faye au palais de Koulouba pour une séance de travail

Burkina-Sénégal-Coopération

Ibrahim Traoré et Diomaye Faye au palais de Koulouba pour une séance de travail

Ouagadougou, 30 mai 2024 (AIB) – Le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré et le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Fayé, arrivé cet après-midi à Ouagadougou, se retrouvent au Palais présidentiel pour des échanges autour de la coopération bilatériel et des sujets d’intérêt commun.

«Au cours de cette première visite du nouveau Chef d’Etat sénégalais au Pays des Hommes intègres, les deux Présidents auront une séance de travail au palais présidentiel de Koulouba, au cours de laquelle, ils vont examiner des dossiers d’intérêt commun », précise le service de communication de la présidence du Faso.

Avant l’étape du Burkina Faso, le président sénégalais s’est arrêté au Mali où il a échangé avec le chef de l’Etat malien, le colonel Assimi Goïta, sur les questions de partenariat et d’intégration

Son voyage au Mali et au Burkina viennent après des sorties dans les pays voisins de la Mauritanie, de la Gambie, de la Guinée, de la Guinée Bissau, du Ghana ou encore au Nigeria en vue de renforcement les liens fraternels et stratégiques avec les pays de la sous-région.
Agence d’Information du Burkina

Diomaye Faye accueilli à l’aéroport de Ouagadougou par le capitaine Ibrahim Traoré

Burkina-Sénégal-Diplomatie
Diomaye Faye accueilli à l’aéroport de Ouagadougou par le capitaine Ibrahim Traoré

Ouagadougou, 30 mai 2024 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a accueilli son homologue sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, qui vient d’arriver, ce jeudi, à l’aéroport de Ouagadougou  en provenance de Bamako
Le président Faye est présent à Ouagadougou pour une visite d’amitié et de travail, selon l’APS.
Diomaye Faye a soutenu lors de sa campagne électorale qu’en cas de victoire il allait se battre pour l’avènement d’une monnaie commune et indépendante pour les pays de la Cédéao ou une monnaie nationale sénégalaise, le cas échéant.
Agence d’Information du Burkina

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