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Burkina/Soutien à l’effort de paix : L’association The Earth Center apporte une contribution de 1 500 000 FCFA

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Burkina/Soutien à l’effort de paix : L’association The Earth Center apporte une contribution de 1 500 000 FCFA

Ouagadougou, 28 mars 2024 (AIB) – Une délégation de l’association The Earth Center conduite par son directeur exécutif, Bassirou Lamoussa Naba, a remis jeudi sa contribution de 1 500 000 FCFA au Fonds de soutien patriotique.

 

L’association The Earth Center a remis son chèque d’une valeur d’un  1 500 000 FCFA au ministre d’Etat, ministre de la fonction publique, du travail et de la protection sociale, Bassolma_Bazié, indique les services de communication dudit ministère.

M.Bazié a salué ce geste de l’association qui, pour lui, traduit la qualité des relations qui existent entre les organisations et l’Etat.

The Earth Center est une association qui a son siège central à Chicago, aux Etats Unis et fait la promotion de la culture et de la spiritualité traditionnelle africaine.

Agence d’information du Burkina

DNK

Burkina : Une usine de transformation de maïs lance ses activités à Tanghin-Dassouri

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Burkina : Une usine de transformation de maïs lance ses activités à Tanghin-Dassouri

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB)-Le Directeur général de la Promotion de l’économie rurale (DGPER) du ministère en charge de l’Agriculture, Ludovic Yigo, a lancé mercredi, à Tanghin-Dassouri, les activités de la Société coopérative des transformateurs de maïs du Centre (SCOOP-CA-TMC).

Selon le Directeur général de la Promotion de l’économie rurale (DGPER) du ministère en charge de l’Agriculture, Ludovic Yigo, la société coopérative est à encourager parce qu’elle s’est engagée dans une activité de promotion et de transformation des produits agricoles nationaux.

Pour lui, l’inauguration de l’unité de transformation coïncide avec les journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne.

Ludovic Yigo s’exprimait mercredi à Tanghin-Dassouri, lors du lancement des activités de la Société coopérative des transformateurs de maïs du Centre (SCOOP-CA-TMC).

« Nous saluons les efforts de cette société coopérative qui vise à créer de la valeur ajoutée, toute chose qui va contribuer à augmenter l’employabilité des femmes et à créer  aussi leur développement économique », a-t-il indiqué.

La présidente de la SCOOP-CA-TMC, Wendlasida Florence Kaboré/Bassono, a expliqué que l’usine transforme le maïs en couscous, en grumeaux de bouillie et de dèguè, en farine potassée pour les diabétiques et en jus.

Elle a précisé que les membres de la coopérative sont déterminés à travailler car, explique-t-elle que la filière maïs fait partie des filières prioritaires.

« Nous allons mettre nos efforts ensemble pour conquérir le marché. Nous allons approcher la SONAGESS, le PAM, la CRS, qui prennent les produits à base de maïs et même ceux importés pour les remplacer avec nos produits», a noté Mme Bassono.

Sur la méthode de commercialisation, la présidente de SCOOP-CA-TMC, a rassuré utiliser les réseaux sociaux pour y parvenir.

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Florence Bassono a également ajouté que la société est en contact direct avec les commerçants  pour son approvisionnement  en maïs.

« Avec le système des VDP, on voit qu’il y a beaucoup de zones qui ont été récupérées, donc c’est facile pour nous d’aller dans ces zones », a-t-elle poursuivi.

Elle a soutenu que la société regroupe 6 unités avec une quinzaine d’employés chacune.

«  Nous avons commencé avec 6 personnes permanentes. Dans 2 mois nous serons à 20 personnes et dans 1 an, nous aurons 40 femmes permanentes », a mentionné Mme Bassono.

Et à la présidente de la SCOOP-CA-TMC de renchérir que « nous allons sortir 10 tonnes de produits finis par jour ».

Le bâtiment de la SCOOP-CA-TMC a été offert par la DGPER et avec l’appui du projet PRECA et ASTM.

Agence d’information du Burkina

HB/no/bz

 

Conseil des ministres et enlèvement de citoyens en couverture des quotidiens burkinabè

Burkina-Revue-Presse

Conseil des ministres et enlèvement de citoyens en couverture des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 28 mars 2024 (AIB)- Les quotidiens de ce jeudi font cas de la déclaration des OSC qui dénoncent les enlèvements des citoyens, du nouveau statut de la CAMEG et la prorogation de la mobilisation générale décidée hier en Conseil des ministres.

« Mobilisation générale et mise en garde: Le gouvernement décide d’une prorogation de 12 mois », mentionne le quotidien d’Etat Sidwaya, en couverture de journal.

Le journal rapporte qu’à l’issu du conseil de ministres qui s’est tenu hier mercredi, il a été adopté un décret portant prorogation de la mobilisation générale et de la mise en garde pour une période de 12 mois.

Le quotidien privé Le Pays, précise que selon le ministre d’Etat, ministre en charge de la Défense le général Kassoum Coulibaly, cette prorogation qui arrive à terme le 18 avril prochain vise à consolider les acquis de la lutte contre le terrorisme.

Sous un autre angle, L’Observateur Paalga affiche à sa Une : « Conseil des ministres : Nouveau DG de la CAMEG devenu société d’Etat ».

Le doyen des quotidiens informe qu’il a également été adopté au conseil de ministres de ce mercredi, un décret portant approbation des statuts de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG).

Le quotidien d’Etat Sidwaya indique que ce décret vient à la suite de la dissolution de la société CAMEG vendredi dernier par son assemblée générale pour devenir une société d’Etat

De son côté, Le Pays informe qu’Éric Tougouma a été nommé nouveau DG de la CAMEG.

Dans un autre registre, le même quotidien titre à sa manchette : « Transition politique au Burkina : Des OSC dénoncent « la pratique d’enlèvement de citoyens » ».

Le quotidien privé Le Pays indique que dans une déclaration, des organisations de la société civile (OSC) ont dénoncé et condamné « la pratique d‘enlèvement de citoyens » et ont appelé les autorités au respect des dispositions de la constitution.

Le doyen des quotidiens poursuit d’ailleurs que le chef de l’Etat a pris l’engagement lors de sa prestation de serment le 21 octobre 2022 de respecter cette constitution et de procéder à la libération de toute personne illégalement arrêtée et arbitrairement détenue au regard de la loi.

Agence d’information du Burkina

NK/amz/hb/bz

INTERVIEW: L’Afrique doit figurer parmi les membres permanents du CS de l’ONU

 

POLITIQUE: BRICS-AFRIQUE-ONU

INTERVIEW: L’Afrique doit figurer parmi les membres permanents du CS de l’ONU

MOSCOU, 28 mars. /TASS/. L’Afrique doit être représentée dans les rangs des membres du Conseil de sécurité de l’ONU, a déclaré dans un entretien à TASS Leonardo Santos Simao, représentant spécial de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel.

« Intégrer l’Afrique, c’est obligatoire, a-t-il pointé. C’est une nécessité. Pour que l’Afrique, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité, tout comme les autres membres, puisse exprimer son opinion sur ce sujet [concernant les réformes de l’ONU]. »

Selon lui, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’efforce de réformer l’organisation et travaille dans deux directions.

« Premièrement, il s’agit de la nécessité de réformer le système de sécurité de l’ONU, et ils [un certain nombre d’États membres de l’ONU] donnent tous les arguments en faveur du fait que cet accord a été adopté en 1945, mais après ces longues années, la situation dans le monde a changé démographiquement, économiquement et politiquement. Ainsi, les raisons qui ont conduit à l’organe actuel ont déjà été dépassées par les événements et par le temps. Il est donc naturel de s’adapter », a résumé l’interlocuteur de l’agence.

Avec TASS

Nahouri: Le premier budget rectificatif 2024 adopté

BURKINA-NAHOURI-COMMUNE-SESSION

Nahouri: Le premier budget rectificatif 2024 adopté

Pô, (AIB)- Le président de la délégation spéciale de la commune de Pô, Ilassa Dianda, a présidé, ce mercredi 27 mars 2024 à Pô dans la province du Nahouri, la première session ordinaire de l’année 2024 des membres de ladite délégation spéciale. Ils ont adopté le premier budget rectificatif, gestion 2024 qui s’élève à 359 085 955 F CFA.

 

Les membres de la délégation spéciale de la commune de Pô, ont tenu ce mercredi 27 mars 2024 à Pô, leur première session ordinaire de l’année 2024, sous la présidence du président de ladite délégation spéciale, Ilassa Dianda.

 

Il a invité les membres à des échanges francs et fructueux afin que les défis qui vont se présenter à eux au cours de cette année 2024 soient relevés.

 

Pour lui, ces défis ne peuvent être relevés que dans une franche collaboration et à l’engagement de tous les acteurs. Dianda a souhaité que de façon individuelle et collective chacun ait une pensée pour les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), engagés pour la reconquête du territoire national.

Pour le premier budget rectificatif de l’année 2024, il est équilibré en recettes et en dépenses à la somme de 359 085 955 F CFA dont  123 823 687 F CFA pour le fonctionnement et  236 214 268 F CFA  pour les investissements, que les 19 membres présents ont voté à l’unanimité.

Le président de la délégation spéciale a donc le quitus des membres de la délégation pour aller défendre le budget auprès de la commission technique régionale.

Pour  augmenter les recettes, Ilassa Dianda a invité les membres et tous les acteurs, à une implication effective dans la mobilisation des ressources en sensibilisant les populations.

Les membres ont également examiné et adopté des délibérations à caractère financier et administratif.

Le président de la délégation spéciale a salué l’esprit d’équipe qui a prévalu tout au long de cette session et la contribution des services techniques qui ne ménagent aucun effort pour accompagner la délégation spéciale.

Ils se sont engagés à sensibiliser les contribuables et la population en général sur la participation citoyenne afin de faire de la commune de Pô, une commune résiliente et exemplaire.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/bz

Journées nationales d’engagement patriotique : La Boucle du Mouhoun commence par une montée des couleurs

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Journées nationales d’engagement patriotique : La Boucle du Mouhoun commence par une montée des couleurs

Dédougou, (AIB)-Le gouverneur de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga a lancé, le mardi 26 mars 2024 à Dédougou, les Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC).

C’est parti pour les premières Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC) dans la Boucle du Mouhoun.

Le lancement est intervenu le mardi 26 mars 2024 à Dédougou. C’est le gouverneur de la région, Babo Pierre Bassinga qui a présidé la cérémonie, en présence des corps constitués et des forces vives de la région, tous habillés dans leurs tenues traditionnelles (Faso danfani et kôkôdonda).  Et ce, après avoir monté haut les couleurs nationales.

Plusieurs activités, a annoncé le gouverneur, vont meubler ces journées durant les deux semaines à venir.

Il s’agit entre autres, de journées de salubrité, des conférences publiques en vue d’expliquer les valeurs  prônées par la transition aux populations, des sketchs dans des établissements et des cadres pour promouvoir la consommation des mets locaux, qui selon lui,  sont propres et digestes.

M. Bassinga, à l’occasion, est revenu sur le message du Chef de l’Etat qui invite à des gestes simples, mais pleins de sens.

Il s’agit entre autres de planter un arbre à chaque évènement heureux, de contribuer à l’effort de paix, de s’engager comme Volontaire de la défense de la Patrie (VDP), de payer ses impôts et de consommer des mets et produits locaux.

Aux agents publics, il les a invités à accomplir consciencieusement leurs tâches.

« Nous allons œuvrer à ce que ces gestes soient appliqués dans la région. Ce sont des comportements qu’il faut travailler à préserver et à léguer aux générations futures », a laissé entendre le gouverneur.

Il a souhaité que chaque fils et fille de la région et du pays de se réinvente, amorce un nouveau départ et être plus exigeant vis-à-vis de lui-même avant de l’être pour les autres.

« Ni le hasard, ni la chance n’existe. Il n’y a que le travail qui existe et qui peut véritablement nous conduire vers de lendemains meilleurs et un futur de tous les possibles », a-t-il conclu.

Agence d’information du Burkina

AS/hb/bz

Journées nationales d’engagement patriotique : Les forces vives des Cascades s’engagent

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Journées nationales d’engagement patriotique : Les forces vives des Cascades s’engagent

Banfora, (AIB)-A l’instar des autres régions du pays, la première édition des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC), a été lancée à l’échelle régionale ce 26 mars 2024 à Banfora, par le Gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié.

Dès sept heures, la cour du gouvernorat était bondée de monde. C’est la résidence du Gouverneur qui a finalement servi de parking pour les véhicules à moteur.

Montée des couleurs soutenue par le Dytanié chanté en cœur et à l’unisson, reprise de l’adresse du Chef de l’Etat et des informations données par l’Agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC) ont été les temps forts de la cérémonie de lancement des Journées nationales d’engagement patriotiques et de participation citoyenne (JEPPC).

Dans son message, le Gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié a rappelé l’objectif de ces journées  qui de consolider la nation burkinabé et de raffermir le tissu social et le vivre ensemble.

Ces journées ont lieu du 26 mars au 02 octobre de chaque année pendant quinze jours.

Le Président a invité chaque burkinabè à poser des actes simples tels que planter un arbre à chaque évènement heureux, contribuer à l’effort de paix, s’engager comme VDP, payer ses impôts, protéger et respecter les biens publics, respecter le code de la route et consommer des mets et produits locaux.

« Le choix de la première date fait référence à l’engagement politique de notre héros de la nation, le Président Thomas Sankara, alors Premier ministre, lorsqu’il prononça l’un de ses discours historiques, « Qui sont les ennemis du peuple ?», le 26 mars 1983.

Quant à la deuxième, le 02 octobre 1983, c’est le jour où il prononça le Discours d’orientation politique (DOP) de la Révolution démocratique et populaire », a-t-il indiqué.

Le premier responsable de la région des Cascades a estimé que les forces vives de la région ont « compris le message et sont engagées » au regard de la « forte mobilisation » dont elles ont fait montre.

Florent Badabouè Bazié a invité les populations à poser des actes qui concourent à l’affirmation de notre souveraineté notamment « à consommer ce que nous produisons et produisons ce que nous consommons ; à souscrire massivement à l’APEC et enfin à sortir massivement durant ces journées pour nettoyer notre cadre de vie.

Une opération mama-mama est prévue le week-end prochain dans toutes communes de la région », a déclaré le Gouverneur.

Agence d’information du Burkina

MY/hb/bz

Veille citoyenne : Un Chargé de mission rend visite aux  <<wayiyans »

BURKINA-KENEDOUGOU-VEILLE-CITOYENNE-VISITE

Veille citoyenne : Un Chargé de mission rend visite aux  »wayiyans »

Orodara, (AIB)-Le Chargé de mission de la région des Hauts-Bassins à la présidence du Faso, Télé Oumar Traoré, a rendu une visite de courtoisie dans la nuit du vendredi 22 Mars 2024, aux acteurs de la veille citoyenne du Kénédougou, afin de leur transmettre le message d’encouragements et de félicitations du capitaine Ibrahim Traoré.

Le Quartier général (QG) du Mouvement pour la veille citoyenne patriotique du Kénédougou, a reçu dans la nuit du vendredi 22 Mars 2024, la visite du Chargé de mission de la région des Hauts-Bassins à la Présidence du Faso, Télé Oumar Traoré.

Il a dit être porteur du message de félicitations et d’encouragements de son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré, président du Faso.

  1. Traoré a fait savoir aux acteurs de la veille citoyenne de cette partie du pays que les premières autorités de la Transition suivent avec intérêt les actions qu’ils mènent au quotidien pour soutenir la Transition.

Cette visite a beaucoup marqué les ‘’Wayiyans » de la capitale fruitière du Burkina.

Les représentants des jeunes et des femmes ainsi que le président du Mouvement pour la veille Citoyenne du Kénédougou, Hermann Konaté, ont tour à tour pris la parole pour saluer la visite du  chargé de mission.

Ils ont exprimé leurs soutiens indétectables aux autorités de la  Transition.

Agence d’information du Burkina

AK/hb/bz

L’association CAMEG devient une société d’Etat pour consacrer la souveraine du Burkina dans le secteur du médicament

L’association CAMEG devient une société d’Etat pour consacrer la souveraine du Burkina dans le secteur du médicament

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB)- Le gouvernement burkinabè a annoncé mercredi, la création dune nouvelle société d’État dénommée Centrale d’achat de médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG), d’un capital social de 5 milliards FCFA, suite à la dissolution de l’Association CAMEG.

Le premier rapport porte sur la création d’une société d’État dénommée la Centrale d’achat de médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG), a déclaré le ministre en charge de la Santé, Dr Robert Lucien Jean-Claude Kargougou, à sa sortie du Conseil des ministres.

Dr Kargougou a expliqué que la création de cette société d’État fait suite à la dissolution de l’Association CAMEG par son Assemblée générale le vendredi 22 mars 2024.

Il a également soutenu que la création de cette société d’État consacre l’autorité souveraine de l’État dans le secteur stratégique du médicament.

« La création de cette société d’État devrait renforcer la gouvernance de la CAMEG et améliorer l’accès des médicaments aux populations », a ajouté le ministre en charge de la Santé.

Le dudit Conseil des ministres a par ailleurs adopté les statuts de la nouvelle société d’État.

La société d’État CAMEG a un capital social de 5 milliards FCFA entièrement détenus par l’État, précise le premier responsable du département en charge de la Santé.
Agence dinformation du Burkina
NO-DNK/ata

Les enjeux de l’émergence de l’AES au cœur des débats au premier CASEM du ministère des Affaires étrangères

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Les enjeux de l’émergence de l’AES au cœur des débats au premier CASEM du ministère des Affaires étrangères

Ouagadougou, le 27 mars 2024 (AIB) – Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, Karamoko Jean Marie Traoré a présidé ce mercredi à Ouagadougou la première session de 2024 du conseil d’administration du secteur ministériel CASEM 2024 du département placée sous le thème: « Enjeux de l’émergence de l’Alliance des Etats du Sahel dans le contexte de la lutte contre le terrorisme: Rôle de la diplomatie».

De l’avis du ministre Traoré, ce thème donne l’occasion d’examiner et d’appréhender les enjeux de la nouvelle organisation qu’est l’Alliance des Etats du Sahel (AES) et de «dégager la place et le rôle que doit jouer notre diplomatie pour son opérationnalisation effective».

Par ailleurs, la session a été le lieu pour les participants, d’examiner et adopter le rapport annuel d’activités 2023, celui de l’évaluation de la performance des structures du département, et plancher sur les activités de 2024.

Au titre des performances du département pour le compte de l’année 2023, l’on note un score de 83% enregistré par le ministère des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur.
Le président du Conseil a salué l’effort de l’ensemble des collaborateurs pour les résultats engrangés, rappelant toutefois que défis restent à relever.

Le ministre Traoré a invité les acteurs de son ministère à redoubler d’efforts à différents niveau, dans l’optique de faire rayonner davantage la diplomatie burkinabè.

Agence d’Information du Burkina
Avec DCRP/MAECR-BE

Installation du nouveau conseil d’administration du Fonds national de Solidarité et de Résilience Sociale

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Installation du nouveau conseil d’administration du Fonds national de Solidarité et de Résilience Sociale

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB) – Le Secrétaire général du ministère de la Solidarité, de l’Action humanitaire, de la Réconciliation nationale, du Genre et de la Famille, Karim Zina a procédé, ce mercredi 27 mars 2024, à l’installation des nouveaux membres du conseil d’administration du Fonds National de Solidarité et de Résilience Sociale (FNS-RS), avec désormais à sa tête Alphonse Tougouma.
Nommé en conseil des ministres le 20 mars 2024, Monsieur Alphonse Tougouma remplace madame Fatoumata Traoré présidente sortie après deux mandats successifs de Trois(03) ans.

Madame Traoré a remercié le directeur général et l’ensemble du personnel pour la franche collaboration et la grande disponibilité qui ont contribué à l’atteinte des résultats appréciables, dans la prise en charge sociale des personnes vulnérables. Elle a , à cet effet, rassuré que son équipe est disposée à accompagner la nouvelle équipe pour la réussite de sa mission.

Le président entrant a ,au nom de tous les administrateurs, traduit sa reconnaissance envers les autorités pour la confiance . Tout en reconnaissant la portée de leur mission, monsieur Alphonse Tougouma a laissé entendre que son équipe a un héritage précieux à perpétuer et à valoriser pour que les burkinabè reconnaissent à travers ce fonds un élan de solidarité les uns envers les autres.

Le Secrétaire Général a, au nom de la ministre, félicité et adressé ses vœux de réussite à la nouvelle équipe, tout en l’invitant à donner le meilleur pour l’atteinte des objectifs de la structure.

Quant aux administrateurs sortis, monsieur Karim Zina leur a adressé ses félicitations pour le travail abattu qui a permis d’atteindre des résultats appréciables.

Agence d’Information du Burkina
Avec DCRP/MSAHRNGF

Le Burkina adopte un décret pour finaliser un contrat de 124,68 milliards FCFA destiné à renforcer les capacités opérationnelles des FDS

Le Burkina adopte un décret pour finaliser un contrat de 124,68 milliards FCFA destiné à renforcer les capacités opérationnelles des FDS

Agence d Information du Burkina

Le Burkina retire un marché de 183 millions FCFA à une entreprise qui exige par avance l’intégralité du montant de la commande

Le Burkina retire un marché de 183 millions FCFA à une entreprise qui exige par avance l’intégralité du montant de la commande

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB) – Le gouvernement vient de réattribuer un marché de trieuse optique d’un montant de 183 millions FCFA a une autre entreprise, après avoir annulé la commande qu’il avait passée avec l’entreprise Anhui Wentao Intelligent Photoelectronic Technology, qui exige, selon le gouvernement, «le paiement par avance de l’intégralité du montant de la commande avant tout début d’exécution»

Le conseil des ministres, réuni ce mercredi sous la présidence du capitaine Ibrahim Traora, a rappelé que «dans le cadre de la mise en œuvre de cette initiative, il est prévu l’acquisition de trieuses optiques pour l’atteinte des objectifs de la composante ‘‘Initiative d’urgence pour l’intensification de la riziculture au Burkina Faso sur 4000 hectares’’.

Pour ce faire, un marché d’un montant total de cent quatre-vingt-trois millions soixante-huit mille neuf cent sept (183 068 907) F CFA TTC a été attribué à l’entreprise ANHUI Wentao Intelligent Photoelectronic Technology Co. Ltd. qui a exigé le paiement par avance de l’intégralité du montant de la commande avant tout début d’exécution».

«Cependant, poursuit le gouvernement, cette procédure de déblocage des ressources telle que souhaitée par l’attributaire ne respecte pas la règlementation des marchés publics et des délégations de service public».

Le gouvernement burkinabè a donc décidé du retrait le marché pour le réattribuer à l’entreprise Nema Agricole du Faso (NAFASO) pour un montant de cent quatre-vingt-trois millions soixante-huit mille trois cent quatre-vingts (183 068 380) F CFA TTC, avec un délai d’exécution de quatre-vingt-dix (90) jours.

Agence d’Information du Burkina

Le gouvernement valide le dossier d’un officier général pressenti comme le futur ambassadeur du Pakistan au Burkina Faso

Burkina-Pakistan-Diplomatie-Nomination

Le gouvernement valide le dossier d’un officier général pressenti comme le futur ambassadeur du Pakistan au Burkina Faso

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB) – Le gouvernement a donné un avis favorable à une demande d’agrément pour la nomination du Général Major de l’armée pakistanaise, Anjum Anayat, comme futur ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Pakistan auprès du Burkina Faso.

«Le Conseil a marqué son accord pour la nomination du Général Major Anjum Anayat, en qualité d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République islamique du Pakistan auprès du Burkina Faso, avec résidence à Tripoli, en Libye», peut-on lire dans le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi.

L’officier général pakistanais, actuellement admis à la retraite, a pris fonction comme ambassadeur en Lybie en novembre 2023.
Agence d’Information du Burkina

Une montée des couleurs pour célébrer le patriotisme à Djibo

Une montée des couleurs pour célébrer le patriotisme à Djibo

Djibo, 26 mars 2024(AIB)-Les journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne ont débuté le 26 mars 2024 à Djibo, avec la montée des couleurs au Haut-commissariat de Djibo.

La cérémonie de montée des couleurs a été suivie par la lecture du discours du Président de la Transition, lu par Monsieur Sidiki Tamboura, deuxième vice-président de la délégation spéciale de Djibo.

Les personnalités conviées étaient les autorités militaires et paramilitaires, les autorités administratives, les agents publics et des collectivités territoriales.

Les FDS étaient composées du 14e Régiment inter armées, la police nationale, la gendarmerie, la police municipale, les GSP et les VDP.

Les journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne sont prévues du 26 mars au 09 avril 2024.
Agence d’information du Burkina
EB/ata

Burkina : la 4e édition de l’eau et de l’environnement prévue du 22 au 24 avril 2024 à Ouagadougou

Burkina : la 4e édition de l’eau et de l’environnement prévue du 22 au 24 avril 2024 à Ouagadougou

Ouagadougou, 27 mars 2027 (AIB) – La 4e édition de l’eau et de l’assainissement se tiendra du 22 au 24 avril 2024 à Ouagadougou sous le thème «Eau: facteur de résilience, de paix et de développement», selon des sources gouvernementales.

Placé sous le Très haut patronage du Président de la Transition, l’édition 2024 de ce forum national de l’eau et de l’assainissement «a pour ambition d’assurer la mobilisation citoyenne et populaire ainsi que le dialogue multi-acteurs autour des enjeux de l’eau et de l’assainissement», indique le compte rendu du Conseil des ministres de ce mercredi.

«Cette 4ème édition offre une opportunité aux acteurs du sous-secteur de l’eau de se concerter, de partager leurs préoccupations et de définir les actions à mettre en œuvre pour assurer un accès durable à l’eau et à l’assainissement conformément aux engagements du Chef de l’Etat inscrits dans le Plan d’actions pour la stabilisation et le développement» indique le porte-parole du gouvernement dans le compte rendu de la rencontre.

Agence d’information du Burkina

Burkina : Le parlement ratifie un accord de 71,73 milliards FCFA de la FIDA, en faveur des petits exploitants

Burkina-ALT-Accord-Financement-Exploitants-Pauvres

Burkina : Le parlement ratifie un accord de 71,73 milliards FCFA de la FIDA, en faveur des petits exploitants

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB) – L’Assemblée législative de Transition (ALT) a ratifié mardi un accord de crédit de 71,73 milliards FCFA, signé entre le gouvernement et le Fonds international de développement (FIDA), pour le financement du Programme pour le renforcement de la résilience des petits producteurs (RESI-2P), intervenant dans les régions du Nord et du Centre-Ouest pour une durée de huit ans.
Selon le rapporteur de la Commission des finances et du budget (COMFIB) de l’Assemblée législative de Transition (ALT), Daaga Nassouri, le projet vise à renforcer la résilience des petits exploitants pauvres, en particulier des femmes, des jeunes, des personnes en situation de handicap et des personnes déplacées internes.

Et ce, par des investissements durables visant la sécurité alimentaire et nutritionnelle et l’augmentation des revenus, rapporte le quotidien d’Etat Sidwaya de ce mercredi.
M. Nassouri a confié que le projet est structuré en trois composantes que sont : le «renforcement de la résilience des systèmes de production», la «valorisation et compétitivité des filières» et la «coordination, gestion, suivi-évaluation et gestion des savoirs». Il va intervenir dans le Nord et le Centre-Ouest, pour une durée de huit ans.

Le 11 octobre 2023, le Burkina et le Fonds international de développement agricole (FIDA) ont signé un accord de financement du Programme pour le renforcement de la résilience des petits producteurs (RESI-2P).

Dans la région du Nord, le programme prévoit 50 500 bénéficiaires directs, répartis entre 37 956 femmes, 47 445 jeunes, 438 personnes vivant avec un handicap et 12 336 Personnes déplacées internes (PDI). Quant à la région du Centre-Ouest, ils sont 58 500 personnes, constituées de 45 498 femmes, 56 873 jeunes, 658 personnes vivant avec un handicap et 760 PDI.

Les filières cibles du projet sont les cultures maraîchères (tomate, oignon, piment), les céréales sèches (maïs, sorgho, mil), le niébé, le riz, les tubercules (manioc et Patate douce à chair orange (PDCO)). L’aviculture, la porciculture, ainsi que les Produits forestiers non ligneux (PFNL) tels que le baobab et le moringa sont aussi concernés.

Selon la même source, au terme de l’examen du projet de loi, la Commission des finances et du budget (COMFIB) a estimé que la ratification de l’accord de crédit, contribuera à améliorer la productivité des filières ciblées, faciliter l’accès au marché à travers le développement des infrastructures et des partenariats productifs avec les opérateurs de marché.

Ce programme va aussi renforcer les capacités des acteurs dans les filières-cibles, incluant les connaissances en matière de pratiques nutritionnelles, faciliter l’accès aux informations agro-climatiques, le suivi de la nappe phréatique et une meilleure sécurisation foncière. Toutefois, la COMFIB a exhorté le gouvernement à plus de rigueur dans la mise en œuvre des projets et programmes pour plus d’impacts aux bénéfices des populations du Burkina, conclu la source.

Agence d’information du Burkina
DNK/ck

Le CSC sollicite le soutien du ministère de la Justice dans l’organisation des états généraux de la communication

Burkina-CSC-Justice-Communication-Régulation

Le CSC sollicite le soutien du ministère de la Justice dans l’organisation des états généraux de la communication

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB) – Le président du Conseil supérieur de la communication (CSC), Idrissa Ouédraogo, a sollicité l’accompagnement du ministère de la Justice, également chargé des relations avec les institutions, pour relever les défis de l’organisation prochaine des états généraux de la communication et réussir aussi la modernisation de l’institution qu’il dirige.

Le ministre en charge de la Justice, Me Edasso Rodrigue Bayala, a salué la démarche du président du CSC et réaffirmé sa disponibilité et son engagement à accompagner l’institution qui en plus de la régulation des médias, a désormais en charge la régulation des réseaux sociaux.

Agence d’Information du Burkina

L’édition 2024 des journées économiques du Burkina à l’extérieur se tiendra en Russie

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L’édition 2024 des journées économiques du Burkina à l’extérieur se tiendra en Russie

Ouagadougou, 24 mars 2024 (AIB) – Les journées de promotion de l’économie burkinabè se tiendront cette année en Russie, a annoncé le gouvernement mercredi en conseil des ministres.

«L’édition 2024 des Journées économiques du Burkina Faso à l’extérieur (JEB) (…) auront lieu en Russie, indique le rapport du Conseil des ministres tenu ce mercredi à Ouagadougou.

«Les Journées économiques du Burkina Faso à l’extérieur organisées depuis 2001 visent à favoriser l’émergence du secteur privé et consolider les relations politiques, économiques et commerciales du Burkina Faso avec le reste du monde.

L’organisation de ces journées constitue également un cadre d’exploration des possibilités de partenariat avec de potentiels investisseurs étrangers en vue de soutenir le développement de notre pays», rappelle dans son compte-rendu du conseil des ministres, le ministre d’Etat, ministre en charge de la Communication, Jean Emmanuel Ouédraogo.

La date et la ville d’accueil n’ont pas encore été précisées mais l’événement a fait l’objet d’une communication orale du ministre du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des petites et moyennes entreprises au conseil des ministres présidé par le chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Les journées économiques du Burkina à l’extérieur ont été organisés dans plusieurs pays du monde parmi lesquels le Ghana, le Sénégal, le Bénin, la France, le Canada, la Corée du Sud ou l’Autriche.

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Le CSC et le ministère de l’Intérieur veulent fédérer leurs énergies pour une saine utilisation des réseaux sociaux

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Le CSC et le ministère de l’Intérieur veulent fédérer leurs énergies pour une saine utilisation des réseaux sociaux

Ouagadougou, 27 mars 2024 (AIB) – Le président du Conseil supérieur de la communication (CSC) Idrissa Ouédraogo et le ministère de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, Emile Zerbo, ont souligné le besoin de fédérer leurs énergies pour contrer la cybercriminalité et promouvoir le bon usage des réseaux sociaux au Burkina Faso.

«Les deux autorités ont exprimé la nécessité de fédérer les énergies pour lutter contre la cybercriminalité et promouvoir la saine utilisation des réseaux sociaux, surtout dans ce contexte de crise sécuritaire. Ensemble, elles ont aussi affiché leur détermination à promouvoir un bon usage des réseaux sociaux afin d’accompagner les efforts de lutte contre le terrorisme», rapporte le service de communication du CSC.

C’est au cours d’une visite de courtoisie, lundi dernier à Ouagadougou que les deux personnalités se sont rencontrées pour aborder le sujet de la modernisation du CSC et l’organisation prochaine des états généraux de la communication, un événement majeur pour le secteur médiatique burkinabè et porté par le président du CSC.

La cybercriminalité est une préoccupation pour le Burkina Faso. En 2021, la Commission de l’informatique et des libertés (CIL) avait égrené les infractions les plus courants commises en ligne parmi lesquelles l’arnaque en ligne, le piratage des équipements informatiques, l’usurpation d’identités, le piratage de comptes, la diffamation sur les réseaux sociaux, le chantage à la webcam et la manipulation de l’information en sus.

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