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Le Burkina plaide pour une «réforme approfondie» des institutions financières internationales pour l’atteinte des ODM

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Le Burkina plaide pour une «réforme approfondie» des institutions financières internationales pour l’atteinte des ODM

Ouagadougou, 27 sept. 2024 (AIB) – Le Burkina Faso a jugé «prioritaire» la «réforme approfondie» de l’architecture financière internationale et appelé à une plus grande représentativité des pays en développement au sein des institutions financières internationales pour surmonter les obstacles qui entravent l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODM)

Au cours de la réunion des ministres des Affaires étrangères du Groupe des 77 et la Chine, en marge de la 79e Assemblée nationale de l’Onu, le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Karamoko Jean Marie Traoré s’est exprimé sur les défis de financement du développement durable dans un monde marqué par de multiples crises.

«Il serait bénéfique de renforcer la représentativité des pays en développement au sein des institutions financières internationales. Cette évolution est essentielle pour restaurer la confiance dans le système multilatéral.

Parallèlement, il faudrait intensifier la mobilisation des ressources pour le développement durable. Dans ce sens, les banques multilatérales doivent accroître leur capacité à offrir des financements favorables aux pays en développement» a déclaré le ministre Traoré.

Il a ajouté que l’utilisation stratégique des Droits de Tirage Spéciaux pourrait également consolider la stabilité financière mondiale tout en demandant d’aligner les solutions retenues sur l’agenda du développement durable à l’horizon 2030.

Pour le chef de la diplomatie burkinabè, le financement de l’action climatique devrait aussi être accru et aux pays en développement qui sont les plus vulnérables au changement climatique.

Il a en outre plaidé pour une gestion optimisée de la dette qui passe par la consolidation des mécanismes internationaux pour prévenir les crises d’endettement, faciliter la restructuration de la dette et offrir des allègements en cas de besoin.

De plus, ajouté le ministre Traoré, la lutte contre les flux financiers illicites doit être intensifiée. Dans cette perspective, il est impératif de renforcer la coopération internationale pour combattre l’évasion fiscale et la corruption.

«Le Burkina Faso est convaincu qu’une réforme de la gouvernance mondiale est indispensable pour permettre aux pays en développement de bénéficier de la mondialisation. Le G77 doit intensifier sa coopération pour promouvoir un ordre mondial plus équitable, de sorte à ne laisser personne de côté», a souligné la patron de la diplomatie burkinabè

Créé en 1964, le Groupe 77 est une coalition de pays qui compte aujourd’hui 134 Etats issus en majorité du Sud global, engagés à promouvoir les intérêts économiques et politiques communs des membres aux Nations Unies.

Le groupe 77 est dirigé cette année 2024 par l’Ouganda envers qui le Burkina a tenu à exprimer sa gratitude pour l’exemplarité de son leadership.

Agence d’Information du Burkina

« L’AIB sera ce que nous voulons qu’elle soit » selon la nouvelle DG Séraphine Somé

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« L’AIB sera ce que nous voulons qu’elle soit » selon la nouvelle DG Séraphine Somé

Ouagadougou, 27 sept. 2024 (AIB)-La Directrice générale (DG) de l’Agence d’information du Burkina (AIB) nouvellement installée vendredi à Ouagadougou, a déclaré que le grossiste de l’information publique « sera ce que nous voulons qu’elle soit ».

« L’AIB sera ce que nous voulons qu’elle soit : la référence en matière d’information de première source, en matière d’information vraie, fiable et crédible, utile et efficace », a déclaré la nouvelle directrice générale de l’AIB Séraphine Somé, à l’issue de son installation par le Secrétaire général du ministère en charge de la communication Fidèle Tamini.

La nouvelle directrice générale explique que cette vision de faire de l’AIB le véritable grossiste de l’information va engager davantage à tous les niveaux politique et opérationnel. « Cette volonté politique affichée de voir la nouvelle AIB endosser intégralement son rôle et ses attributions, toute chose qui facilitera la mise à disposition de moyens conséquents pour la réalisation de sa mission de collecte de traitement et de mise à disposition d’informations au profit des institutions et des médias, et partant d’être en phase avec les droits des citoyens burkinabés à l’information ».

Pour elle le volet opérationnel « nous revient à nous, travailleurs de l’agence, journalistes et correspondants, de savoir porter la camisole qui nous a été confectionnée ».

« Le réseau de correspondants AIB que nous avons contribué à mettre en place alors que nous étions à la direction commerciale de Sidwaya, servira de socle à notre nouvelle mission et nous serons amenés à le densifier certainement par le recrutement de nouvelles compétences », a ajouté la DG Somé.

La patronne de l’Agence a rendu un vibrant « hommage à tous les correspondants, à tous les responsables qui se sont succédés à la tête des Editions Sidwaya, à tous les responsables de l’AIB qui ont apporté individuellement et collectivement de la terre à la terre comme dirait maître Pacéré Titenga, à notre tour nous apporterons notre part de terre pour faire de la nouvelle AIB un instrument de reconquête du territoire national, un instrument de développement et d’expression d’une souveraineté nationale ».

La DG a rassuré au SG du ministère en charge de la communication de son engagement à travailler, à mériter cette confiance et celle de tous les acteurs avec qui elle va désormais à travailler. « Je sais aussi compter sur l’appui et l’accompagnement de toute ma hiérarchie pour réussir cette mission combien exaltante et prenante.

Retour en famille

La nouvelle directrice générale de l’AIB dit renouer avec le monde des médias. « Par cette prise de fonction, je renoue avec beaucoup d’émotion avec la famille des médias après près d’une décennie de ruptures partagées entre la communication et la presse ministérielle à laquelle j’ai consacré quatre bonnes années, puis la promotion de la culture et du tourisme à la Direction régionale de la culture des arts et du tourisme du Sud-Ouest, où j’ai passé quatre ans et huit mois ».

« C’est donc un autre challenge qui se présente à moi en termes de collecte, de traitement et de diffusion de la bonne information dans un contexte national marqué par la double crise sécuritaire et humanitaire », a-t-elle ajouté.

Pour elle, « dans un monde globalisé où l’information est générée par diverses sources et des acteurs aussi diversifiés, l’offre d’informations crédibles et professionnelles constitue un défi que je m’efforcerai de relever. Pour avoir travaillé aux Editions Sidwaya, la maison-mère voir la maison commune, de 2005 à 2014, soit neuf ans dont deux ans passés à la Direction commerciale et marketing, je ne suis pas étrangère en tant que telle à l’AIB, en tant que démembrement de ce groupe de presse, donc les éditions Sidwaya ».

Créée le 27 mai 1964, l’AIB a été érigée en un établissement public de l’Etat à caractère administratif à la faveur du Conseil des ministres du 21 août 2024. C’est le Conseil des ministres du 19 septembre 2024 qui a porté à la tête de l’Agence Séraphine Somé en tant que directrice générale, une première dans l’histoire de ce grossiste de l’information.
Agence d’information du Burkina
as/ak

 

Burkina : La CARFO offre 1000 bourses scolaires et des vivres aux orphelins de ses retraités

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Burkina : La CARFO offre 1000 bourses scolaires et des vivres aux orphelins de ses retraités

 Ouagadougou 27 Sept. 2024(AIB)- La Caisse autonome de retraite des fonctionnaires (CARFO) a remis vendredi à Ouagadougou 1000 bourses scolaires et des vivres aux enfants de ses pensionnés, a constaté l’AIB au siège de l’institution de prévoyance.

A l’occasion de la 17e édition de ses actions de solidarité,  la Caisse autonome de retraite des fonctionnaires(CARFO) avec l’appui de ses partenaires, a remis 1000 bourses scolaires et vivres aux orphelins de ses retraités.

Selon le directeur général (DG) de la CARFO, Hyacinthe Tamalgo, ce geste vise à faciliter un tant soit peu l’accès à l’éducation des orphelins des pensionnés de la CARFO et des Forces de Défense et de Sécurité tombées sur le champ de bataille.

« Cette année, nous avons porté le nombre de bourses à 1000 parce que le taux de réussite des enfants que nous avons soutenus en 2023 a connu une augmentation », a expliqué M. Tamalgo.

A en croire le directeur général, le taux de réussite des enfants était de 44,37% en 2023 contre 75% en 2024.

Pour, le ministre en charge de la protection sociale, Bassolma Bazié, cette activité interpelle la population sur le fait que « les orphelins sont les enfants de tous et méritent l’aide de tout le monde».

« Que ce soit une école professionnelle de l’Etat, une maternelle, les universités ou n’importe quel niveau d’école, il faudrait que les gestionnaires soient très vigilants », a-t-il suggéré.

Outre les bourses,  plus de 900 sacs de riz de 50 kg ont été offerts aux enfants.

Depuis 2008, la Caisse autonome de retraite des fonctionnaires a offert 7161 bourses estimées à plus de 716 millions FCFA.

Créée en 1986, la CARFO a pour mission de gérer le régime de sécurité sociale applicable aux agents publics de l’Etat au Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina
AB/YOS/AS/ATA

Burkina : 29 ingénieurs de conception prêts à relever les défis de développement

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Burkina : 29 ingénieurs de conception prêts à relever les défis de développement

Ouagadougou, 27 sept. 2024 (AIB)- La première promotion d’ingénieurs de l’Ecole polytechnique de Ouagadougou, s’est engagée vendredi à être un acteur au développement en apportant sa touche à l’édification d’un Burkina Faso prospère, a constaté l’AIB.

Baptisée « Faso Djigui » (espoir du peuple), la première promotion des ingénieurs l’Ecole polytechnique de Ouagadougou,  fort de 29 ingénieurs burkinabè de profils diverses, s’est dite prête à relever les défis de développement du pays.

« Nous avons le devoir de rendre à la société ce qu’elle nous a donné et nous avons la certitude que notre génération va relever les défis qui se présenteront à elle », a déclaré le représentant des ingénieurs, Zoungrana Aurèle, avant d’indiquer que lui et ses camarades s’engagent à être des acteurs de développement.

Après 3 années de formation au cycle d’ingénieur, 9 ingénieurs en génie industriel, 8 en génie textile, 6 en génie informatique et 6 en génie des télécommunications ont obtenu leurs parchemins au cours d’une cérémonie de sortie de promotion.

Selon le président du Faso représenté par le président l’Assemblée législative de Transition, Dr Ousmane Bougouma, par cette sortie de promotion, l’Ecole polytechnique de Ouagadougou offre des ressources humaines qualifiées qui vont aider le pays dans son combat pour l’industrialisation, gage de son développement endogène.

« Le développement endogène consiste à produire et à transformer au Burkina Faso pour les Burkinabè », a rappelé le chef du parlement avant d’expliquer que ces ingénieurs formés sur place répondent à cette vision du président du Faso, le capitaine Traoré.

Pour le ministre en charge de l’enseignement supérieur, Adjima Thombiano, le Burkina Faso a décidé désormais de rentrer dans la chaîne de production, mais aussi de transformation pour donner une valeur ajoutée à toutes nos ressources en mettant l’accent sur la formation de la ressource humaine.

Selon lui, c’est cette vision qui a expliqué la création de l’Ecole polytechnique de Ouagadougou (EPO) en 2018.

Aussi, a poursuivi le ministre Thiombiano,  « dans l’initiative présidentielle pour une éducation de qualité, le gouvernement va ériger l’EPO en Université  polytechnique (l’UPO), pour lui donner plus de commodités de vie et d’études.
Agence d’information du Burkina
yos/as

Balé : L’association des femmes du secteur minier aide des coopératives de Bagassi à se formaliser

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Balé : L’association des femmes du secteur minier aide des coopératives de Bagassi à se formaliser

Boromo, (AIB) – L’Association des femmes du secteur minier du Burkina Faso (AFEMIB) a tenu du 18 au 19 septembre 2024 à Bagassi un atelier de formalisation des associations SANOUSSAN et YIBANSAN de Bagassi en coopératives et de validation des spécifications techniques des équipements des bénéficiaires. Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet dénommé : « Renforcement des capacités de 500 femmes et jeunes des sites miniers sur les activités génératrices de revenus ».

L’Association des femmes du secteur minier du Burkina Faso (AFEMIB) poursuit le processus d’autonomisation socioéconomique des femmes et des jeunes dans dix localités impactées par des activités minières.

Après la phase d’étude diagnostique qui a permis d’identifier les bénéficiaires et le recensement des potentialités économiques des localités puis la phase de formation en entrepreneuriat et éducation financière, l’AFEMIB a procédé à la phase trois du projet de renforcement des capacités de 500 femmes et jeunes des sites miniers sur les activités génératrices de revenus.
Dans cette phase, l’AFEMIB est dans la dynamique de formalisation des associations bénéficiaires du projet en coopératives.

Selon la chargée à l’organisation et à la formation, Rachelle YE, après deux jours d’information et de sensibilisation des bénéficiaires sur les étapes et les avantages de la formalisation, le processus de collecte et d’établissement de documents administratifs a été possible pour obtenir un récépissé de reconnaissance.

Ainsi, l’association Sanoussan et Yibansan de Bagassi ont amorcé le processus de formalisation en statut de coopérative.
La nouvelle coopérative SANOUSSAN va exercer dans l’extraction de l’or et la coopérative YIBANSAN dans la transformation du beurre de Karité. La rencontre a également permis la validation des spécifications techniques des équipements.

Pour l’obtention des récépissés et l’opérationnalisation des coopératives l’AFEEMIB est accompagnée par les services techniques locaux de l’environnement et de l’agriculture et des ressources animales et what you need.
De l’avis des responsables de l’AFEMIB, la prochaine étape reste l’acquisition des équipements et l’installation des entreprises afin de débuter les activités dans les mois à venir.

L’AFEMIB et le PARGFM place un grand espoir à ces coopératives pour impactées le développement communautaire tout en assurant l’autonomisation des membres.
Pour ce faire madame YE a rappelé aux acteurs les responsabilités individuelles et collectives et les valeurs nécessaires à promouvoir entre les membres.

La coopérative est une mini entreprise, elle doit se faire des bénéfices à distribuer entre les membres chaque année a-t-elle précisé.

Pour y parvenir vous devez promouvoir l’entente, la solidarité, avoir des objectifs pour faire des bénéfices a précis dame YE.
Aussi la chargée de la formation de l’AFEMIB s’est réjoui de l’engagement des femmes et des jeunes tout au long et des échanges ce qui démontre de son avis de leur volonté à comprendre et à réussir.

Les représentants des bénéficiaires ont également traduit leur satisfaction et reconnaissance à l’AFEMIB et ses partenaires. Selon madame Christine Siéza de la coopérative YIBANSAN compte 27 femmes les conseils et encouragements des formatrices les ont encore galvanisés davantage pour leur coopérative.

Agence information du Burkina
OM/dnk/ata

Université d’été des jeunes de l’AES : le Président du Faso invite la jeunesse à faire échec à la manipulation

Université d’été des jeunes de l’AES : le Président du Faso invite la jeunesse à faire échec à la manipulation

(Ouagadougou, 27 septembre 2024). Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a reçu, en audience ce vendredi matin, une délégation des organisateurs de la première édition de l’université d’été des jeunes des pays membres de la Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES).

Conduite par les ministres en charge de la Jeunesse et des Sports du Burkina Faso, du Mali et du Niger, la délégation a fait le point des travaux au Capitaine Ibrahim TRAORE et recueilli ses orientations.

Selon le ministre de la Jeunesse et des Sports chargé de l’Instruction civique et de la Construction citoyenne du Mali, Abdoul Kassim Ibrahim FOMBA, porte-parole de la délégation, cette première édition de l’université d’été des jeunes de l’AES, organisée par les structures de volontariat des trois pays, a été une occasion de sonner la mobilisation et susciter plus d’engagement chez les jeunes de l’espace AES autour de la question du volontariat.

Au cours de l’audience, le Chef de l’Etat a prodigué des conseils et donné des orientations aux organisateurs. « Le Président du Faso a d’abord rappelé l’importance de la jeunesse dans le cadre de la mission qui est assignée à chacun de nos départements, surtout dans les grands défis de nos pays », a indiqué le porte-parole.

A cette occasion, le Capitaine Ibrahim TRAORE a aussi appelé à un engagement volontaire des jeunes des trois Etats membres de l’AES. « Nous avons besoin d’une jeunesse qui est présente, une jeunesse engagée et qui apporte des changements, des solutions. Dans ce cadre, le rôle du volontariat est important », a souligné le ministre malien en charge de la Jeunesse et des Sports.

Selon le ministre FOMBA, le Président Ibrahim TRAORE a invité les jeunes de l’AES à avoir un esprit de discernement et à se départir des messages de manipulation propagés sur les réseaux sociaux par des acteurs qui veulent déstabiliser nos Etats.

Aux cours des travaux de l’université d’été, les trois pays ont décidé de capitaliser les acquis et les expériences en matière de jeunesse et de volontariat. A travers une motion, les participants ont apporté leur soutien ferme au Président du Faso.

La première édition de l’université d’été des jeunes de l’AES s’est tenue du 25 au 27 septembre 2024 à Ziniaré dans la région du Plateau central.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Burkina : Les participants satisfaits de l’université d’été de la jeunesse de l’AES

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Burkina : Les participants satisfaits de l’université d’été de la jeunesse de l’AES

Ouagadougou, 27 sept. 2024 (AIB) – Des participants à la première université d’été de la jeunesse de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) tenue du 25 au 27 septembre 2024 à Ziniaré, ont apprécié cette initiative, tout en réitérant leur soutien aux chefs d’Etats de l’alliance.

Durant 72 heures, 251 jeunes venus du Burkina Faso, du Mali et du Niger, formant l’Alliance des Etats du Sahel (AES) pour participer à la première université d’été de ladite alliance ont montré leur satisfaction par rapport à cet évènement.

« J’ai trouvé cette activité vraiment très intéressante. Cela nous a permis de nous frotter entre jeunes et de créer ainsi la cohésion. Cela nous a également permis de découvrir les valeurs culturelles du Burkina, du Mali et du Niger », a apprécié l’étudiants, Mohamed Lawali, chargé de la délégation nigérienne durant l’activité.

Pour M. Lawali, cette initiative permet de briser les barrières frontalières fictives dans lesquelles le colon avait « barricadé nos frères » et de retrouver « l’histoire commune » que l’AES partageait avant la colonisation.

Aussi, il a invité les organisateurs à multiplier ces genres d’initiatives qui permettront d’aller « au-delà de ces frontières pour être vraiment des frères et sœurs afin de concevoir quelque chose de très grand dans l’avenir ».

« C’est une initiative salutaire parce que c’est une dynamique qui va aider et galvaniser la jeunesse de sorte à ce qu’elle soit vraiment mobilisée dans le cadre de l’AES », s’est réjoui Seydou Diarra, le secrétaire à l’organisation de l’Association des étudiants, élèves et stagiaires maliens de Ouagadougou (ASMO).

Pour M. Diarra l’université d’été lui a permis de comprendre les fondements du volontariat et « ça motive également les participants à se départir des mauvaises choses et d’aller dans le sens vraiment des volontaires ».  Il a souhaité du courage aux chefs d’Etats de l’AES avant de leur assurer le soutien de la population notamment la frange jeune.

La volontaire, Aminata Rosalie Sabba, s’est faite des contacts au cours de ces 72 heures, avec lesquels elle compte continuer à approfondir les réflexions autour des questions communes.

« L’initiative est louable en ce sens que ça crée une vraie intégration de la jeunesse de l’AES pour surmonter les défis auxquels nous traversons. Donc, cette initiative des responsables de la structure est la bienvenue pour améliorer la fraternité entre la jeunesse de l’AES », a indiqué l’agent à la direction provinciale de l’action humanitaire à Ziniaré, Issa Ouédraogo.

« Je demande à nos trois leaders de toujours travailler pour le bien-être des populations de l’AES », a-t-il appelé.

Force à l’AES

L’initiative de la création de l’AES, « c’est le feu qui va embraser toute l’Afrique et qui va forcément prendre de l’ampleur au-delà du continent », pense le Volontaire au Programme national de volontariat du Burkina (PNVB), Thierry Arsène Noël Guigma.

Pour lui, l’Occident n’a jamais pensé au fait que l’Africain pouvait devenir un être conscient, un être capable de prendre ses responsabilités, un être vraiment indépendant.

« Et aujourd’hui, ils se rendent compte que ceux qu’ils avaient considéré comme étant des êtres inférieurs, prouvent qu’ils ont du cran et qu’ils sont appelés à dominer le monde demain », a ajouté M. Guigma, soulignant que l’AES sera l’une des initiatives les plus importantes de ces dernières années.

De son avis, les panels animés par les différentes personnalités lui ont permis de comprendre beaucoup de chose.

Guigma a souhaité que l’initiative se poursuive l’année prochaine dans un autre pays de l’AES et que d’autres « nations se joignent à nous ».

« Je dirai à nos trois leaders que la jeunesse n’est pas seulement motivée, elle est surmotivée. Ce qu’on attend d’eux actuellement, qu’ils accélèrent le processus de l’AES. Parce que la jeunesse, elle, est prête. Nous, on vous fait confiance, on vous suit, on attend juste que vous preniez des initiatives, peu importe les conséquences, nous allons les endurer », a-t-il dit.

La première université d’été des leaders de la jeunesse de l’Alliance des Etats du Sahel s’est achevée vendredi à Ziniaré dans la région du plateau central par une plantation d’arbre pour matérialiser le premier bosquet de l’AES.
Agence d’information du Burkina
DNK

Burkina-ATAD/PCRSS : une association organise des activités pour promouvoir le vivre-ensemble et la cohésion sociale

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Burkina-ATAD/PCRSS : une association organise des activités pour promouvoir le vivre-ensemble et la cohésion sociale

Kaya, (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Sanmatenga, Idrissa Gansonré, a lancé jeudi à Kaya, une série d’activités sur la cohésion sociale (fora et maracana) et des journées communales de la jeunesse des 09 communes de la région du Centre-Nord.

Afin de consolider le dialogue régional, la coordination et le renforcement des données et des capacités, l’Alliance Technique d’Assistance au Développement (ATAD) dans le cadre de la mise en œuvre du  Projet communautaire pour le relèvement et de stabilisation du Sahel au Burkina (PCRSS-Burkina), a initié une série d’activités pour renforcer la cohésion sociale et le vivre-ensemble entre les Personnes déplacées internes (PDI) et les populations hôtes, dans 09 communes bénéficiaires de la région du Centre-Nord.

Selon le haut-commissaire de la province du Sanmatenga, Idrissa Gansonré, représentant le gouverneur de la région du Centre-Nord, à l’instar d’autres régions de notre pays, le Centre-Nord a été fortement éprouvée par la crise sécuritaire et humanitaire.

« Cette crise a aussi entamé le vivre-ensemble et la cohésion sociale. C’est fort de ce constat que les autorités de notre pays ont voulu bien initier le PCRSS afin d’apporter un réconfort à notre population », a-t-il indiqué.

Aujourd’hui nous sommes là, a expliqué M. Gansonré, pour lancer une série d’activités qui auront lieu dans les 9 communes d’intervention du projet.

« Ces activités seront constituées de fora, des compétitions de maracana qui visent à permettre à la population de se frotter, de se fréquenter et c’est ainsi que nous pourrons renforcer la cohésion sociale qui est indispensable à la recherche du développement », a-t-il dit.

Le coordonnateur national du PCRSS-Burkina,  Boulaye Sanogo, a félicité la mise en œuvre de ces activités pour permettre à l’ensemble des couches sociales de la région du Centre-Nord de se retrouver pour échanger afin de jeter les bases du vivre ensemble.

« Je me réjouis également du fait qu’à l’issue de ce lancement régional, les 9 communes bénéficiaires prendront le relai pour animer ces cadres d’échange et de promotion de la solidarité et du vivre ensemble », a soutenu M. Sanogo.

S’agissant des compétitions maracana et des journées communales de la jeunesse, le coordonnateur a ajouté qu’elles permettront de mettre en lumière les talents, les idées et les initiatives des jeunes.

A l’en croire, ces compétitions et les journées communales de la jeunesse offrent également une opportunité aux jeunes, qu’ils soient des PDI ou des hôtes, de se rencontrer, d’échanger et de tisser des liens entre eux et avec leurs communautés respectives ».

Le PCRSS-Burkina est une initiative du gouvernement financé par la banque mondiale, avec pour objectif de contribuer au redressement des communautés dans les zones cibles de la région du Liptako-Gourma au Burkina Faso, au Mali et au Niger.

Dans la région du Centre-Nord, ATAD a été retenu comme partenaire facilitateur pour intervenir dans 09 communes qui sont Kaya, Pissila, Korsimoro, Boussouma, Tougouri, Barsalogho, Yalgo, Kongoussi, Sabcé.

D’une durée de 5 ans 6 mois, ses bénéficiaires prioritaires sont les personnes déplacées internes et les populations hôtes vulnérables. Le Projet s’achèvera le 31 décembre 2026.

Agence d’information du Burkina

HB/yo

Cascades : Lancement des épreuves écrites des agents techniques de l’élevage et en santé animale à Banfora

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Cascades : Lancement des épreuves écrites des agents techniques de l’élevage et en santé animale à Banfora

Banfora, (AIB)- Le gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié, a lancé le jeudi 26 septembre 2024 à Banfora, les épreuves écrites des agents techniques de l’élevage en santé animale session 2024, avec 16 candidats inscrits.
C’est le centre d’examen logé dans l’enceinte de l’école privée de l’élevage et de la santé animale (EPESA- Lumière) de Banfora située à Kirbina, un village rattaché à la commune de Banfora qui a été choisi pour le lancement officiel des épreuves écrites.

Le gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié, accompagné des autorités administratives et sécuritaires de la région a procédé à l’ouverture de l’enveloppe. Le premier sujet a porté sur l’alimentation générale.

A cette session de 2024, ils sont au total 16 candidats à la conquête du diplôme des agents techniques de l’élevage et en santé animale pour le compte de la région des Cascades.

M. Bazié a souhaité bonne chance et beaucoup d’inspiration aux candidats. Il a également encouragé les acteurs déployés sur le terrain pour le bon déroulement de l’examen.

La fondatrice de l’école privée de l’élevage et de la santé animale (EPESA- Lumière) de Banfora, Salimata Konaté/Ouattara, a exprimé sa joie et toute sa gratitude à l’endroit du gouverneur de la région des Cascades et tout à l’ensemble des autorités administratives venues pour le lancement officiel de cet examen.
Il s’agit d’un examen national qui se passe à la fin de chaque formation de deux années.

« L’établissement, EPESA- Lumière est ouverte depuis 2017 et est à sa 5ème promotion. Nous avons toujours eu la chance d’avoir un effectif assez élevé parce que le cahier de charge nous permet de recruter jusqu’à 50 élèves », a expliqué la promotrice, Mme Konaté/Ouattara.

Agence d’information du Burkina
JPY/dnk/ata

Cascades : La SCOOP Balokognouma offre 1 tonne de farine infantile d’une valeur de plus de 3 millions aux orphelins de la région.

Burkina-Cascades-SCOOP-Remise-Don-Orphelins

Cascades : La SCOOP Balokognouma offre 1 tonne de farine infantile d’une valeur de plus de 3 millions aux orphelins de la région.

Banfora, (AIB) – La Société coopérative simplifiée (SCOOP Balokognouma) a remis à Banfora le mercredi 25 septembre 2024, une tonne de farine infantile aux veuves et aux orphelins des Forces combattantes de la région des Cascades.

Le don est composé de farine enrichie de maïs simple et de farine de potasse d’une valeur de 3 250 000 F CFA.

Pour la Présidente de la SCOOP Balokognouma, Karidja Koné, c’est une contribution à l’effort de paix en volant aux secours des enfants dont les parents sont tombés aux fronts pour la défense de la patrie. « Nous prions Dieu le tout puissant pour que la paix et la sécurité revienne dans notre pays le Burkina Faso », a-t-elle ajouté.

Le directeur provincial en charge de l’action humanitaire, Bakary Sosso, a remercié la présidente de la SCOOP Balokognouma pour ce don à l’endroit des orphelins, des enfants malnutris. « Ce don va contribuer énormément à l’amélioration des conditions de vie et de santé de ces orphelins et enfants malnutris dans notre région, a-t-il martelé.

Le premier responsable de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié, a exprimé ses sentiments de satisfactions et de joie après avoir reçu cette quantité de farine enrichie pour les enfants malnutris et orphelins, mais aussi les femmes enceintes de la région des Cascades.

Il a saisi l’occasion pour remercier la présidente et tous les membres de la SCOOP Balokognouma pour ce geste qui rentre dans le cadre de l’appel général à la mobilisation pour aider surtout les veuves et les orphelins des forces combattantes.
M. Bazié a invité également les autres SCOOP et toute la population à s’inscrire dans cette dynamique d’aide à cette frange de la population qui s’est engagée sur le théâtre des opérations « pour que nous puissions produire et nous consacrer à nos activités ».

Il a remis le don à la direction régionale en charge de l’action humanitaire avec instructions que cela parvienne aux destinataires dans un bref délai.
Agence d’information du Burkina
JPY/dnk/ata

Trois cas d’accident mortels recensés en l’espace de 48 heures à Kombissiri sur la route nationale.

Burkina-Accidents-Circulation

Trois cas d’accident mortels recensés en l’espace de 48 heures à Kombissiri sur la route nationale.

Kombissiri, (AIB) – Trois cas d’accident mortels ont été recensés en l’espace de 48 heures à Kombissiri sur la route nationale N° 5 à des endroits différents, entre le 23 et le 24 septembre 2024, a appris l’AIB.

Les cas d’accident sur la route nationale N°5 Ouagadougou-Pô sont récurrents ces derniers temps. Au nombre de ces accidents enregistrés, trois cas mortels ont été constatés dont une femme.

En effet, selon les informations recueillies, le premier cas d’accident est survenu dans la mi-journée du lundi 23 septembre 2024 aux environs de 14 heures à la sortie sud à une dizaine de kilomètres de Kombissiri près du village de Sabraogo en direction Pô. Selon les témoignages, c’est un camion qui a causé la mort d’une femme sur sa moto suite à un accrochage.

Le lendemain 24 septembre, le second accident s’est produit à l’entrée de Kombissiri dans le village de Koupel-Yargo au niveau du poste de douane aux environs de 19 heures 30 minutes. Là également selon les témoignages, c’est une collision frontale entre deux camions de transport de marchandises qui a causée la mort du chauffeur de l’un des camions qui allait en direction de Kombissiri.

Le troisième cas d’accident mortel impliquant une moto, un tricycle et un camion benne est survenu au niveau de la ville de Kombissiri, tard dans la nuit autour de 23 heures, entre la direction provinciale de la police nationale et la direction provinciale des impôts.

Tous ces cas malheureux ont été en l’espace de 48 heures, selon les témoignages recueillis par l’AIB.
Pour les témoins, seule la prudence dans la circulation et le respect du code de la route restent une solution pour une réduction des cas d’accident de la circulation routière.
Agence d’information du Burkina
TPT/dnk/ata

Le budget réajusté pour les besoins du moment

Commune de Bobo

Le budget réajusté pour les besoins du moment

La délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso a tenu du 23 au 24 septembre 2024 sa troisième session ordinaire de l’année 2024. Elle a été consacrée à l’examen et à l’adoption de  plusieurs délibérations et à des communications.

Les membres de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso ont examiné et adopté une vingtaine de délibérations à l’occasion de la 3e session tenue du 23 au 24 septembre 2024. Les délibérations portent entre autres sur la devise et les armoiries de la ville de Bobo, le transfert des boutiques de rue dans le patrimoine communal et sur le 2e budget rectificatif de la commune, gestion 2024.

En outre des communications relatives notamment à la situation de la dengue et du paludisme ont été livrées aux délégués. A  l’ouverture de la session, le lundi 23 septembre 2024, le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Bobo-Dioulasso, Laurent Kontogom, a souligné que la 3e session ordinaire est consacrée notamment à l’adoption du budget rectificatif qui est une exigence du code de la collectivité territoriale. « Elle vise à réajuster la planification budgétaire pour pouvoir terminer l’année avec des lignes et des prescriptions qui vont nous permettre d’être plus opérationnelles.

Nous avons aussi des délibérations à caractère financier que nous allons examiner et adopter, et une délibération qui se rapporte aux armoiries de la commune de Bobo-Dioulasso », a précisé le PDS de Bobo. S’agissant des armoiries, le PDS a ajouté que des réflexions se poursuivent, après celles d’une commission ad hoc qui avait été mise en place à cet effet pour proposer une devise qui reflète les réalités socioculturelles de Bobo-Dioulasso.

Laurent Kontogom a invité la population bobolaise à être aux côtés des autorités pour impulser un véritable développement de la ville de Sya. « Nous demandons à la population de Bobo-Dioulasso d’être à nos côtés au quotidien pour que nous puissions relever ensemble les défis du développement qui sont nombreux à tout point de vue surtout en matière de satisfaction des acteurs sociaux », a souhaité le président de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso.

AD/FS

L’Association Yawagoulé soutient les FDS et VDP de Yaba

Reconquête du territoire national

L’Association Yawagoulé soutient les FDS et VDP de Yaba

L’Association Yawagoulé a remis, le samedi 21 septembre 2024, à Toma, dans la province du Nayala, région de la Boucle du Mouhoun, un bon de carburant de 200 000 F CFA, du sucre et du nescafé au profit des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) de la commune de Yaba, dans la province du Nayala. A l’occasion, des équipements médicaux ont été remis au centre de santé et des vivres aux déplacés internes de la même commune.

L’Association Yawagoulé est reconnaissante des efforts des Forces de défense et sécurité (FDS) et les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) basés dans la commune de Yaba. Pour leur permettre de mener à bien leur mission de sécurisation du territoire, elle a offert ce samedi 21 septembre 2024 à Toma, un bon de carburant d’une valeur de 200 000 F CFA, du sucre et du nescafé à leur profit.

A l’occasion, le Centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de la commune a été doté de matériel médical composé de dix chaises de visiteurs, des bureaux, un pèse-bébé, un chariot pour le transport des malades, une table d’accouchement. Les donateurs ont estimé que ce don viendra contribuer à améliorer les conditions de travail des agents de santé. Également, deux tonnes de riz ont été également remises au président de la délégation spéciale de ladite commune pour les personnes déplacées internes.

Le président de l’association, Daouda Go, a souligné l’importance de cet acte de solidarité envers les forces de sécurité, car pour lui ces dernières font face à de nombreux défis sur le terrain, dont la finalité est de reconquérir totalement le territoire. M. Go a invité les bonnes volontés à toujours soutenir les FDS et les VDP dans leurs efforts de sécurisation de la commune, et partant de toute la province. Il a enfin dit sa gratitude à un des partenaires belge qui s’investit pour le bonheur de la population de la commune de Yaba.

En insistant sur la mobilisation nécessaire de l’ensemble des acteurs de la région pour accompagner les populations vulnérables, le haut-commissaire de la province du Nayala, Honoré Frédéric Paré, a salué l’initiative de l’association. « Cette action de l’association Yawagoulé témoigne de la solidarité et de l’engagement des citoyens à soutenir les efforts de l’État dans un contexte difficile », a-t-il indiqué. Et de rappeler que l’association n’est pas à son premier geste, car ayant déjà offert de par le passé, des vivres, des motos et des talkies-walkies aux VDP et FDS.

TAK

 

Gaoua: La Veille citoyenne nettoie le gouvernorat

Burkina-Gaoua-Salubrité-Veille-Citoyenne

Gaoua: La Veille citoyenne nettoie le gouvernorat

Gaoua 21 sept. 2024 (AIB)-La coordination communale de la Veille citoyenne de Gaoua a organisé le samedi 21 septembre 2024 une journée de salubrité dans l’enceinte du gouvernorat de la région du Sud-ouest.

Munis de pelles, de machettes, de dabas, de balais et de râteaux, les membres de la coordination communale de la Veille citoyenne de Gaoua ont investi l’enceinte du gouvernorat avec un seul objectif, rendre l’endroit propre.

Selon le président de la coordination communale de Gaoua, Banignè Youl, cette opération vise à encourager chaque citoyen à prendre l’initiative d’assainir son cadre de vie.

Pour lui, l’intérêt d’une telle activité n’est plus à démontrer, car elle constitue avant tout un acte éco-citoyen et patriotique.

Banignè Youl a souligné qu’il est crucial de redoubler d’efforts pour que la propreté et l’assainissement de l’environnement deviennent une habitude quotidienne pour tous.

Il a précisé que l’assainissement du gouvernorat s’inscrit dans la mise en œuvre du programme d’activités de la coordination, qui inclura dans les prochains jours d’autres actions dans divers domaines.

Le personnel du gouvernorat et celui du Conseil régional du Sud-Ouest, avec à leur tête le gouverneur de la région, Boureima Savadogo, se sont associés à cette belle initiative afin de rendre leur cadre de travail plus sain.

Le gouverneur Boureima Savadogo a, pour sa part, félicité et encouragé la coordination pour cette initiative « louable », soulignant qu’elle s’inscrit dans la droite ligne de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire.

Il a exhorté la population à suivre cet exemple. « C’est une initiative louable, d’autant plus que, bien avant le gouvernorat, cette coordination a mené des actions similaires dans d’autres structures de la ville. »

Pour lui, maintenir un cadre de vie propre et sain contribue à la prévention des maladies et à la promotion du bien-être.

Le gouverneur a également invité chaque structure à réfléchir à ce qu’elle peut apporter au pays, plutôt que d’attendre systématiquement l’aide de l’Etat.

Il a rappelé que si chaque citoyen nettoyait sa cour et curait le caniveau devant chez lui, les problèmes d’insalubrité dans la ville seraient grandement réduits.

C’est pourquoi Boureima Savadogo a encouragé la population à poursuivre ses efforts pour assainir son cadre de vie, tout en exhortant la coordination à maintenir cet élan.
Agence d’information du Burkina
BT/AS/ATA

Le processus de retour à la culture du coton Bt expliqué aux producteurs

Biotechnologie agricole au Burkina Faso

Le processus de retour à la culture du coton Bt expliqué aux producteurs

L’Association interprofessionnelle du coton du Burkina (AICB) a organisé un atelier d’information sur le processus de retour à la culture du Coton génétiquement modifié (CGM) au Burkina Faso à l’attention des producteurs de coton, le mardi 24 septembre 2024 à Bobo-Dioulasso.

Après la suspension de la production de coton génétiquement modifié (CGM) en 2016, principalement pour des raisons commerciales, le coton Bt pourrait faire son retour dans les champs des producteurs burkinabè. Afin de synchroniser les actions des différents acteurs impliqués dans ce processus, l’Association interprofessionnelle du coton du Burkina (AICB) a organisé un atelier d’information à l’intention des producteurs de coton.

Cette rencontre qui s’est tenue le mardi 24 septembre 2024 à Bobo-Dioulasso a rassemblé plus de 300 acteurs de la filière cotonnière burkinabè. L’objectif de cet atelier était d’informer les participants sur le processus de retour à la culture du coton Bt en fonction des besoins de production pour l’agriculture commerciale au Burkina Faso. Durant cette journée, plusieurs sujets ont été abordés, notamment les actions entreprises par l’AICB avec les firmes biotechnologiques telles que Bayer et d’autres partenaires. L’évolution des technologies disponibles en matière de CGM, les résultats des tests menés par la recherche cotonnière burkinabè, ainsi que les avantages et inconvénients du retour au coton Bt et au coton hybride Bt ont également été discutés.

Les perspectives pour un retour consensuel du CGM au Burkina Faso ont également fait l’objet de débats. Selon le président national des producteurs de coton du Burkina et président de l’AICB, Nikiébo N’kambi, cet atelier d’information était nécessaire afin de fournir aux responsables des producteurs de coton toutes les informations utiles sur les démarches et actions entreprises pour le retour du CGM.

 

Résoudre les problèmes pour un retour rapide à la biotechnologie

 

Pour Nikiébo N’kambi, il est indispensable de résoudre les problèmes qui avaient conduit à la suspension de la culture du coton génétiquement modifié. « Nous avons bien identifié les problèmes qui nous ont conduits à abandonner les OGM dans le passé. Nous avons demandé aux chercheurs de collaborer avec les entreprises pour identifier celles qui seront capables de corriger les déficits observés dans la production », a-t-il expliqué. Aujourd’hui, de nombreux producteurs souhaitent cultiver à nouveau le coton Bt en raison de ses avantages.

Le secrétaire permanent de la filière coton au ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, Jean Pierre Guinko, a rappelé que, depuis la suspension en 2016, des actions ont été menées au niveau interprofessionnel, avec l’appui de l’État, afin d’identifier une nouvelle biotechnologie répondant aux aspirations des producteurs et des sociétés cotonnières. Selon lui, la biotechnologie n’est pas un domaine où il faut se précipiter, il y a des étapes à franchir en termes de recherche, d’évaluation et de création de richesse. « Au vu des échanges d’aujourd’hui, nous pouvons assurer que les acteurs avancent prudemment, mais sûrement vers une technologie qui permettra aux sociétés cotonnières et aux producteurs d’améliorer la production de coton au Burkina Faso », a-t-il ajouté.

Il a également précisé que des recherches sont en cours sur les nouvelles potentialités du coton génétiquement modifié, notamment dans des pays asiatiques tels que la Chine. Pour l’entomologiste spécialisé en coton, Dr Omer Sacamba Aimé Héma, l’INERA développe actuellement des variétés contenant des gènes permettant de lutter contre les insectes ravageurs du cotonnier.

NN

Chicago FC sacré champion 2024

IIe  édition du tournoi Maracana « Lêkê foot »

Chicago FC sacré champion 2024

La deuxième édition du tournoi Maracana « Lêkê foot » a connu son apothéose dans la soirée du samedi 21 septembre 2024 sur le terrain de l’école « Kuinima C » de Bobo-Dioulasso. L’édition a été consacrée à la paix et la cohésion sociale.

« Sport, facteur de cohésion social et de bien-être », c’est autour de ce thème qu’a rythmé la deuxième édition du tournoi Maracana « Lêkê foot ». Il s’agit d’une compétition de football qui se joue la nuit. Cette édition a connu la participation de 40 équipes, toutes de la ville de Bobo-Dioulasso. En effet, c’est sur le terrain de l’école « Kuinima C » de l’arrondissement n°5 de Bobo-Dioulasso, que s’est tenu ladite compétition. La compétition a débuté le 03 septembre 2024.

Après plusieurs matchs joués, la grande finale s’est tenue dans la nuit du samedi 21 septembre 2024. Elle a opposé l’équipe Chicago FC à FC Talent. A l’issue d’un match très serré en deux fois 15 minutes, Chicago FC est sortie vainqueur sur un score de un but à Zéro. Elle a repart ainsi avec la somme de 100 000mille F CFA, un jeu de maillot, un ballon et le trophée. Quant au finaliste malheureux, FC Talent, il empoche la somme de 75 000mille FCFA, un jeu de maillot et un ballon.

Le promoteur du tournoi, Moussa Son s’est dit satisfait du bilan de cette édition. « C’est un pari réussi pour nous parce que l’objectif est atteint. Malgré les difficultés que nous avons rencontrées, la compétition s’est déroulée dans un esprit de fairplay », a-t-il indiqué. Pour lui, le thème de cette édition a été inspiré par le contexte actuel que traverse le Burkina Faso. « L’objectif de cette compétition est de créer un cadre de rencontre et d’union de la jeunesse de la ville de Bobo-Dioulasso », a-t-il ajouté.

Quant au parrain de cette édition, Daouda Ouédraogo, c’est un honneur pour lui de voir son image associé à une telle initiative. « Je suis très heureux et je demande aux différents partenaires de toujours accompagner ces genres d’initiatives », a-t-il poursuivi. Pour le capitaine de l’équipe vainqueur, Raymon Jonathan Zakané, c’est une immense joie pour lui d’être vainqueur de cette compétition. « Je tiens à féliciter les organisateurs pour cette initiative qui nous unit davantage », a-t-il conclu.

JBS

Coupe de la jeunesse du Zondoma : ‘’Future étoile’’ sur la plus haute marche du podium

FOOT-BURKINA-GOURCY-SPORT-JEUNESSE-COUPE

Coupe de la jeunesse du Zondoma : ‘’Future étoile’’ sur la plus haute marche du podium

Gourcy, 23 sept. 2024 (AIB)-La finale de la VIème édition de la coupe de la jeunesse du Zondoma, organisée par l’Association jeunesse tilgrè (AJT) s’est jouée ce dimanche 22 septembre 2024 à la place de la nation de Gourcy et a été remportée par « Future étoile » de Gourcy devant « Miche d’or de Ouahigouya » aux tirs au but (3-2).

La VIème édition de la coupe de la jeunesse du Zondoma a connu son dénouement ce dimanche 22 septembre 2024 sur le terrain de la place de la nation de Gourcy. Cette édition placée sous le parrainage du PDG de « Kindo Auto et Services International (K.A.S.I) » représenté par Jean Arnaud Sawadogo avec la présidence du haut-commissaire de la province du Zondoma Aboubacar Sidiki Nabé.

12 équipes de Gourcy et Ouahigouya  ont rivalisé de talent tout au long du tournoi qui a pris son envol le 17 août 2024. Aux termes des phases éliminatoires, c’est « Future étoile » et « Miche d’or de Ouahigouya » qui parviendront à se hisser en finale. Après le coup d’envoi, les deux équipes afficheront leurs ambitions en multipliant les tentatives.

C’est finalement aux tirs au but que Future étoile qui est parvenu à remporter la partie en réussissant 3 tirs contre 2 pour son adversaire. Elle sera récompensée d’une enveloppe de 125 000 francs CFA, de deux ballons, d’un jeu de maillots, d’un trophée et des médailles.

Son adversaire s’en est tiré avec 75 000 francs, deux ballons, un jeu de maillots et des médailles. Pour le président de l’Association Jeunesse Tilgré Boukary Ouédraogo, cette édition dont le thème est : « défi sécuritaire, quelle contribution de la jeunesse pour le retour de la paix » est dédiée aux forces combattantes qui se sacrifient pour protéger la population.

« A la même période de l’année passée nous étions dans la panique totale, mais aujourd’hui, grâce à ces combattants, Gourcy respire mieux » a-t-il indiqué en invitant la jeunesse de la région à se donner la main et à s’inscrire dans les voix de la paix et la cohésion sociale.

Cette activité de la jeunesse du Zondoma a été saluée par le haut-commissaire de la province Aboubacar Sidiki Nabé qui a traduit son engagement à ne ménager aucun effort pour accompagner toute initiative allant dans le sens de la promotion de la paix et la cohésion sociale.

Les regards sont désormais tournés vers la prochaine édition du tournoi qui mobilise la jeunesse dans la région du Nord.
Agence d’Information du Burkina
AK/AS/ATA

 

 

Les prix des fournitures relativement stables à Bobo-Dioulasso

Rentrée scolaire 2024-2025

Les prix des fournitures relativement stables à Bobo-Dioulasso

A quelques jours de la rentrée scolaire 2024-2025, les parents d’élèves se bousculent dans les librairies et lieux de ventes de manuels scolaires afin d’apprêter leurs enfants pour le début des cours. Après un tour dans quelques librairies de la ville de Bobo-Dioulasso dans la journée du mercredi 25 septembre 2024, contrairement aux années précédentes, les prix des fournitures scolaires sont restés relativement stables à écouter les uns et les autres.

Située au centre-ville, la « librairie Balaira » est l’un des commerces de manuels scolaires des plus importants  de Bobo-Dioulasso. A l’orée de la rentrée scolaire 2024-2025, les parents se bousculent à cet établissement d’approvisionnement d’articles scolaires. Il est 9 heures 20 minutes ce mercredi 25 septembre 2024, lorsque nous franchissions l’entrée de la librairie.

L’affluence est déjà palpable même si elle n’est pas au rendez-vous, à six jours de la rentrée des classes au préscolaire, au primaire et au secondaire conformément au calendrier établi par le ministère en charge de l’Education. Les employés sont présents.  Et sont au service des clients venus s’approvisionner. Séni Nikiéma est venu chercher les fournitures de son enfant,  un livre de lecture du Cour moyen première année (CM1) et quelques stylos. Il se réjouit d’emblée de la stabilité des prix des articles comparativement à la dernière rentrée scolaire. « Concernant les prix des fournitures scolaires, je n’ai pas remarqué de changement, même s’il y a une légère augmentation sur certains articles », déclare-t-il.

Lassané Somandé, également parent d’élève et client de ladite librairie, partage le même sentiment. « Les prix ne sont pas exorbitants, c’est la qualité qui m’intéresse plus. Mieux vaut prendre un bon cahier même si c’est un peu cher », affirme celui qui dit avoir à sa charge 5 de ses enfants et 5 autres  de proches.

Pas de hausse chez les libraires

 Le premier responsable de la « Librairie Balaira », Cheick Omar Balaira, confirme les dires des clients sur la stabilité des prix des articles de son commerce. « Ce sont toujours les mêmes prix que l’année passée. Les clients ne se plaignent pas non plus, mais il y a une variation du prix au niveau des cahiers en fonction de la qualité », explique ce chef d’entreprise.

Mieux, insiste-t-il, sa librairie consent une réduction sur les prix pour soutenir les parents en cette période de rentrée scolaire. « Nous offrons à nos clients une remise à partir d’un achat de 5 000 francs CFA », indique M. Balaira. Un autre lieu, même constat. A la « Librairie du Progrès », le promoteur Salia Traoré dit observer une légère hausse des prix chez ses fournisseurs. Néanmoins, rassure-t-il, cette hausse est sans impact majeur chez les consommateurs. « En réalité, il y a bien eu augmentation de prix pour certains produits, notamment le papier, mais chez nous, nous avons décidé de maintenir les prix habituels pour nos clients. Nous faisons une réduction de 10% sur les prix, même si cela réduit nos marges pour soutenir les parents en cette situation difficile du pays », laisse attendre Salia Traoré.

Par ailleurs, M. Traoré souhaite la production locale des fournitures, notamment les cahiers afin de rendre ces produits plus accessibles. « La légère augmentation chez les fournisseurs due au fait que les fournitures scolaires sont importées doit nous inspirer à songer à la production de certains manuels au Burkina Faso. Aujourd’hui, beaucoup de fournitures sont importées ce qui entraine les coûts supplémentaires liées au transport et au dédouanement », ajoute M. Traoré. Des efforts selon lui, sont faits par le Centre national des manuels et fournitures scolaires (CENAMAFS), mais la quantité de production reste insuffisante.

SO

La veille citoyenne «s’attaque» aux ordures du gouvernorat de Gaoua

Opération salubrité

La veille citoyenne «s’attaque» aux ordures du gouvernorat de Gaoua

La coordination communale de la veille citoyenne de Gaoua a organisé, le samedi 21 septembre 2024, une journée de salubrité dans l’enceinte du gouvernorat.

Munis de pelles, machettes, dabas, balais et râteaux, les membres de la coordination communale de la veille citoyenne de Gaoua ont investi l’enceinte du gouvernorat avec un seul objectif : rendre les lieux propres. Selon le président de la coordination communale de Gaoua, Banignè Youl, cette opération vise à encourager chaque citoyen à prendre l’initiative d’assainir son cadre de vie.

Pour lui, l’intérêt d’une telle activité n’est plus à démontrer, car elle constitue avant tout un acte éco-citoyen et patriotique. Bagninè Youl a souligné qu’il est crucial de redoubler d’efforts pour que la propreté et l’assainissement de l’environnement deviennent une habitude quotidienne pour tous. Avant de préciser que l’assainissement du gouvernorat s’inscrit dans la mise en œuvre du programme d’activités de la coordination qui inclura dans les prochains jours d’autres actions dans divers domaines.

Le personnel du gouvernorat et celui du Conseil régional du Sud-Ouest, avec à leur tête le gouverneur de la région du Sud-Ouest, Boureima Savadogo, se sont associés à cette initiative afin de rendre leur cadre de travail plus sain. Le gouverneur a ainsi félicité et encouragé la coordination pour cette initiative « louable », soulignant qu’elle s’inscrit dans la ligne droite de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire.

Il a exhorté la population à suivre cet exemple. « C’est une initiative louable, d’autant plus que, bien avant le gouvernorat, cette coordination a mené des actions similaires dans d’autres structures de la ville », a soutenu Boureima Sawadogo. Pour lui, maintenir un cadre de vie propre et sain, contribue à la prévention des maladies et à la promotion du bien-être. Le gouverneur a également invité chaque structure à réfléchir à ce qu’elle peut apporter au pays, plutôt que d’attendre systématiquement l’aide de l’État.

Le gouverneur a rappelé que si chaque citoyen nettoyait sa cour et curait le caniveau devant chez lui, les problèmes d’insalubrité dans la ville seraient grandement réduits. C’est pourquoi Boureima Savadogo a encouragé la population à poursuivre ses efforts pour assainir son cadre de vie, tout en exhortant la coordination à maintenir cet élan.

BJM T

Bam: un collectif de jeunes veut unir la population par le sport

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Bam: un collectif de jeunes veut unir la population par le sport

Kongoussi 21 sept. 2024 (AIB)-Le Collectif de jeunes actifs pour le développement du Bam (CJADB)  a organisé le  samedi 21 septembre 2024 à Kongoussi, la finale en football de son tornoi dénommé BamFoot, a constaté l’AIB.

Le tournoi a débuté le 3 août 2024 et regroupait 14 équipes issues des différentes communes de la province du Bam et des secteurs de la ville de Kongoussi. Pour le président du collectif Boureima Somtoré, l’objectif poursuivi par le CJADB est de promouvoir la paix et la cohésion sociale.

«Nous sommes des jeunes de la province du Bam. Et suite à la dégradation de la  situation sécuritaire que nous vivons, nous avons initié ce tournoi afin de fédérer les populations et diffuser des messages de paix et de cohésion sociale. Aujourd’hui nous sommes à la 4e édition, et les populations se sont appropriées la compétition » a expliqué le président du collectif Boureima Somtoré.

La finale a opposé l’équipe du secteur 4 de Kongoussi à celle de Sabcé.  Les deux finalistes se sont départagées aux tirs au but à l’issue du temps réglementaire.  Kongoussi a remporté avec 3 tirs réussis contre 2 pour Sabcé. Elle a remporté le trophée, un ballon, un jeu de maillots, 200 000 Fcfa (prix officiel) et 48 000fcfa de prix spéciaux.

Quant à Sabcé, elle est repartie avec une enveloppe de 150 000Fcfa (prix officiel), 48 000 Fcfa de prix spéciaux, un ballon et un jeu de maillots.

Le représentant du haut-commissaire de la province du Bam Halhoussein Sawadogo, par ailleurs directeur provincial des sports et des loisirs du Bam a félicité les organisateurs pour leur  initiative. Pour lui, BamFoot a atteint un niveau de réussite dans la province qu’il faut travailler à le pérenniser. Il a invité tous les jeunes du Bam à soutenir l’activité.

Quant au representant des co-parrains El hadj Yacouba Guigma, il s’est dit émerveillé par la qualité de l’organisation et le niveau d’adhésion des populations au tournoi. Il a rassuré le collectif de la disponibilité des parrains à l’accompagner, les années à venir.

La cérémonie de clôture a été présidée par le directeur provincial des sports et de loisirs Halhoussein Sawadogo représentant le haut commissaire du Bam et co-parrainée par les EL Adj Hamidou Birba et Yacouba Guigma.
Agence d’information du Burkina
Asmado RABO

 

 

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