Accueil Blog Page 147

Confédération des Etats du Sahel et Fédération de Russie: nouveau partenariat institué entre deux entités

Confédération des Etats du Sahel et Fédération de Russie: nouveau partenariat institué entre deux entités

Moscou, le 03 avril 2025

Les ministres des Affaires étrangères de la Fédération de Russie et de l’AES ont tenu une séance de travail ce 03 avril à Moscou.

Principal objectif de cette consultation diplomatique, formaliser et raffermir les relations de coopération entre la Fédération de Russie et la Confédération des Etats du Sahel, au delà des relations bilatérales qui existent entre ce pays et ceux de l’AES.

Après environ 1h30 d’échanges, les deux parties ont pu poser les jalons d’un partenariat plus dynamique, stratégique et sincère dans les domaines d’intérêt commun, à commencer par la question sécuritaire.

Dans une vision concertée, les trois Chefs de diplomatie de l’AES ont indiqué que la lutte contre le terrorisme est le principal domaine dans lequel l’AES en tant qu’entité veut collaborer avec la Fédération de Russie.

Cela se fera notamment à travers la mise en place de la Force Unifiée, avec comme attentes des facilités d’acquisition d’équipements de guerre et un accompagnement technique pour la formation des forces combattantes de l’espace confédéral.

Hormis la question sécuritaire, la Confédération AES et la Fédération russe veulent désormais une coopération dynamique dans les domaines de la diplomatie à travers une convergence de vues dans les instances internationales, ainsi que dans les domaines de l’économie, de l’énergie nucléaire, de l’enseignement supérieur, des transports, du commerce des télécommunications, des technologies de l’information et de la communication, des médias etc.

A l’issue de la séance de travail, les deux parties ont confié à la presse qu’elles ont eu des échanges fructueux, qui ont permis de poser les bases d’un partenariat stratégique, pragmatique, dynamique et solidaire dans tous les domaines d’intérêt, conformément à la vision éclairée de Leurs Excellences Vladimir POUTINE, le Capitaine Ibrahim TRAORE, le Général d’Armée Assimi GOITA et le Général d’Amée Abdourahamane TIANI.

Selon le Chef de la diplomatie russe SEM Sergueï LAVROV, son pays adhère entièrement à ce nouveau format de coopération et est prêt à contribuer à la Force Unifiée de l’AES et à développer des partenariats dans les autres domaines.

Du côté de la délégation de l’AES c’est une totale satisfaction qui se dégage également à l’issue de la rencontre.

<< La Russie est un allié sincère qui partage la même vision que nous et qui a été le premier à reconnaître et féliciter l’AES des les premières heures de sa création>>, se réjouit SEM Abdoulaye DIOP porte parole de la délégation de l’AES, qui ajoute que la Russie et l’AES ont une vision commune de la lutte contre le terrorisme qui est la principale préoccupation commune aux pays de l’AES.

Pour la suite à donner à cette coopération naissante, le ministre des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur dira <<qu’ il s’agira de travailler à consolider la structuration de l’AES dans le cadre de cette nouvelle forme de coopération avec la Fédération de Russie, en plus des résultats probants qui ont été. engrangés jusque-là dans le cadre bilatéral.

Il indique également que <<la lecture qui consistait à voir chaque pays avec son potentiel, prend de la valeur ajoutée avec ce nouveau type de partenariat>>.

En perspectives, les deux parties s’accordent pour institutionnaliser ce cadre de concertation et à l’organiser de façon alternée dans un pays de l’AES et en Fédération de Russie.

En attendant, les pays de l’AES ont traduit leur gratitude à la Fédération de Russie pour l’initiative de cette rencontre qui a connu un franc succès, et pour le soutien et l’accompagnement que ce pays leur apportent pendant les moments difficiles.

Les deux parties ont affiché leur optimisme quant à la fin du terrorisme au Sahel et un avenir plus radieux et prometteur pour les peuples de cet espace.

Un communiqué conjoint a sanctionné cette première rencontre entre l’entité AES et la Fédération de Russie.

DCRP/MAECR-BE

Burkina/Cybercriminalité : La BCLCC enregistre des plaintes d’un préjudice de 5 milliards FCFA de 2020 à 2024

Burkina-Lutte-Cybercriminalité

Burkina/Cybercriminalité : La BCLCC enregistre des plaintes d’un préjudice de 5 milliards FCFA de 2020 à 2024

Ouagadougou, 3 avr. 2025 (AIB) – La Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité a enregistré de 2020 à 2024 plus de 13 milles plaintes toutes infractions confondues, pour un préjudice de plus de 5 milliards de francs CFA, a indiqué jeudi le responsable de communication de ladite brigade, Guesrima Aimé Ouédraogo.

« De 2020 à 2024, la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité a enregistré 13 432 plaintes toutes infractions confondues avec un préjudice plus de 5 milliards de francs CFA », a déclaré le chargé de communication de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité (BCLCC), Guesrima Aimé Ouédraogo.
Le responsable de la communication de la BCLCC s’exprimait jeudi lors de la première édition du forum des nouveaux médias à Ouagadougou.
Selon M. Ouédraogo, ces plaintes sont liées au piratage de compte, au piratage de pages Facebook et à l’usurpation d’identités.
Elles ont également concerné les escroqueries via les technologies de l’information et de la communication, les diffamations et les injures publiques.
De son avis, 221 personnes ou présumés auteurs d’infractions ont été arrêtés et déférées devant les juridictions à la suite de ces plaintes.
Ces individus malveillants causent de nombreux désagréments à leurs victimes aussi bien sur leur réputation que la crédibilité de leurs plateformes, a déploré le chargé de la communication.
Pour se prémunir contre ces cybers attaques, M. Ouédraogo a invité les utilisateurs des plateformes numériques et des données à caractère personnelle ou autres à mieux sécuriser leurs données par l’utilisation des mots de passe fiables et de pares feux.
Selon lui, les services de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité sont gratuits et libres d’accès par tous les citoyens.
D’où son appel à l’ensemble des citoyens à saisir sa structure pour le besoin de protection des données ou en cas d’attaques, pour récupérer ses données ou plateformes.

Créer le 14 février 2020, la BCLCC a pour mission principale de lutter contre les actes de cybercriminalité sur l’étendue du territoire nationale.
Agence d’information du Burkina
ZO/ata/dnk

Burkina : 10% des places au concours de la magistrature réservées aux agents de l’administration publique

Burkina-Concours-Magistrature

Burkina : 10% des places au concours de la magistrature réservées aux agents de l’administration publique

Ouagadougou, 3 avr. 2025 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a indiqué jeudi, à l’issue du Conseil des ministres que 10% des places au concours de la magistrature sont réservés aux agents de l’administration publique, détenteurs d’une maitrise ou d’un master en droit.

« Le quota fixe 10% des places pour le personnel de l’administration publique. Pour postuler, il faut être âgé de moins de 45 ans, être un agent titularisé de l’administration publique d’État ou parlementaire, être titulaire d’une maitrise ou d’un master en droit », a fait savoir le ministre Rodrigue Bayala.

Le Conseil des ministres de ce jeudi 3 avril 2025 a adopté un décret portant conditions et modalités de détermination des quotas réservés au personnel de l’administration publique pour le concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature.

Selon le ministre Bayala, « ce décret s’inscrit dans l’application de la loi du 26 avril 2024, portant modification de la loi d’août 2015 qui porte statut de la magistrature ».

Agence d’information du Burkina
BBP/NO/Dnk

Burkina : La CNLF saisi 880 sacs de cyanure et 18 tonnes de tourteaux estimés à 160 480 000 FCFA

Burkina-CNLF-Saisi-Cyanure

Burkina : La CNLF saisi 880 sacs de cyanure et 18 tonnes de tourteaux estimés à 160 480 000 FCFA

Ouagadougou, 3 avr. 2025 (AIB) – Le coordonnateur de la Coordination nationale de lutte contre la fraude (CNLF), Dr Yves Kafando, a présenté jeudi à la presse une saisie de 880 sacs de cyanure, transvasée dans des sacs ordinaires estampillés aliments pour bétail et 18 tonnes de tourteaux, estimés à 160 480 000 FCFA.

« Les fraudeurs ont-ils précisément transvasé le cyanure dans des sacs ordinaires estampillés aliments pour bétail. Pour parachever leur basse besogne, ils ont choisi de saupoudrer le chargement avec quelques sacs de tourteaux. Au décompte total, la CNLF aurait saisi 880 sacs de 50 kg de de cyanure d’une valeur de 154 millions FCFA et 18 tonnes de tourteaux enfouis d’une valeur de 6 480 000 FCFA », a déploré le coordonnateur de la coordination nationale de lutte contre la fraude, Dr Yves Kafando.

Selon Dr Kafando, la valeur marchande des produits frauduleux extraits des circuits commerciaux est estimé à 160 480 000 FCFA.
De son avis, ces équipes ont déniché la supercherie en cours sur l’axe Bobo-Bama, le 4 mars 2025.

Il a rappelé que le cyanure est un produit chimique dangereux dont l’importation, la distribution et l’utilisation sont strictement encadrées par le décret 𝑵°2023-1416 𝒅𝒖 20 𝒐𝒄𝒕𝒐𝒃𝒓𝒆 2023.

L’article 12 de ce texte, a-t-il poursuivi, toute importation de produits chimiques dangereux doit faire l’objet d’un avis technique du ministère en charge de l’environnement, accompagné d’un registre de traçabilité et d’une déclaration officielle du site de stockage.

Les contrevenants impliqués dans cette affaire ne disposaient d’aucun de ces documents, mettant ainsi en péril la sécurité publique et l’environnement, a-t-il déploré.
La CNLF a rappelé que la manipulation illégale de ces substances expose les populations à des risques sanitaires et environnementaux majeurs.

Selon lui, conformément à l’article 73 du décret en vigueur, les fraudeurs encourent des sanctions allant du paiement d’une amende équivalente au double du montant des autorisations requises jusqu’à la confiscation des produits en cause et d’éventuelles poursuites judiciaires
Le Coordonnateur National a rappelé l’importance de la collaboration entre les pouvoirs publics, la société civile et les populations dans la lutte contre la fraude. Il a appelé à une vigilance accrue et à la dénonciation systématique des actes frauduleux, soulignant que ce combat est essentiel pour préserver l’économie nationale et la sécurité des citoyens.
La saisie de cette cargaison illégale constitue une victoire significative dans la lutte contre la fraude et réaffirme l’engagement de la CNLF à assainir les circuits commerciaux. La coordination reste mobilisée pour contrer les manœuvres de ceux qui, par cupidité, mettent en danger la vie des populations et compromettent l’avenir du pays, a-t-il promis

Agence d’information du Burkina

Burkina : Près de 14 millions de volailles vaccinées pour la campagne 2024-2025

Burkina-Volaille-Vaccination

Burkina : Près de 14 millions de volailles vaccinées pour la campagne 2024-2025

Ouagadougou, 3 avr. 2025 (AIB) – Le gouvernement a annoncé jeudi, à l’issue du Conseil des ministres, la vaccination de près de 14 millions de volailles contre les maladies animales prioritaires pour la campagne 2024-2025 au Burkina Faso.

Pour le ministre délégué chargé des Ressources animales et halieutiques, Amadou Dicko, cette campagne annuelle de vaccination contre les maladies animales prioritaires vise à réduire l’impact de ces maladies sur l’économie nationale et sur la sécurité sanitaire des animaux.
M. Dicko a précisé que cette campagne qui s’est déroulée du 11 octobre 2024 au 15 février 2025 a touché près de 14 millions de volailles.

Le ministre délégué a également soutenu que ladite campagne annuelle a été une occasion pour son département d’introduire des innovations majeures pour plus de résultats probants.

De son avis, il s’agit de la centralisation des opérations de vaccination, du renforcement de la logistique pour la distribution des vaccins, de l’introduction des plateformes numériques pour le suivi des opérations et le paiement électronique des vaccins directement par les éleveurs.
« Ces innovations ont permis au ministère d’atteindre des résultats encourageants avec la vaccination de 2 millions 100 mille bovins, 3 millions 500 mille petits ruminants, 70 000 carnivores et 13 700 000 volailles », a-t-il expliqué.
Amadou Dicko a également fait remarquer que ces résultats s’inscrivent dans le cadre de l’Offensive agropastorale et halieutique.

Agence d’information du Burkina
BBP/NO/DNK

Semaine Culturelle du collège Koirabéré de Pouni : L’hymne national chanté en Langue Nuni par les élèves en présence de la PDS

Burkina-Poni-Culture-Enseignement-Collège-Semaine

Semaine Culturelle du collège Koirabéré de Pouni : L’hymne national chanté en Langue Nuni par les élèves en présence de la PDS

Pouni, 2 avril 2025 (AIB)-Le collège Koirabéré de Pouni a marqué le mardi 1er avril 2025, le début effectif des activités de sa Semaine culturelle par la montée des couleurs accompagnée de l’hymne national entonné en langue Nuni.

Les activités de la Semaine culturelle du collège Koirabéré de Pouni sont prévues du 1er au 6 avril prochain à Pouni. Le lancement a été marqué le mardi 1er avril 2025 dans la ville, par la montée des couleurs accompagnée de l’hymne national entonné en langue Nuni sous le regard attentif, de la présidente de la délégation spéciale de la commune de Pouni (PDS) Nadine Badiel, accompagnée par le commandant de la Brigade territoriale de Gendarmerie Gaoussou Sanou et le commissaire de district de Police du département de Pouni Noumoutiè Lamien.

Après la séance de montée des couleurs nationales, la PDS a livré un message axé sur le civisme et le patriotisme aux élèves. Elle les a invités à être de bons modèles de citoyens pour un avenir meilleur du Burkina Faso.

A la suite, les élèves ont procédé au nettoyage de la mairie, du Centre populaire et de loisirs (CPL) et des rues de la commune de Pouni. Ils ont également approché les sages de Pouni pour apprendre l’histoire du village.

Au programme de la Semaine culturelle du collège Koirabéré de Pouni, il est aussi prévu une conférence demain jeudi centré sur le civisme et le patriotisme en milieu scolaire suivi d’une compétition de mathématique le vendredi et un kermesse le samedi.

Agence d’information du Burkina
WIS

CONSEILS DES MINISTRES DU 3 AVRIL 2025

CONSEILS DES MINISTRES DU 3 AVRIL 2025
– Près de 14 millions de volailles vaccinées
– 10% des places au concours de la magistrature réservées aux agents publics

(Ouagadougou, 03 avril 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a présidé ce jeudi le Conseil des ministres. Cette instance hebdomadaire des ministres autour du Chef de l’État a examiné plusieurs dossiers et pris d’importantes décisions pour la bonne marche de la Nation, selon le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Mathias TRAORÉ, assurant l’intérim du Porte-parole du Gouvernement.

Au titre du ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Conseil a adopté un rapport relatif aux résultats de la campagne nationale de vaccination 2024-2025 contre les maladies animales prioritaires.
Pour le ministre délégué chargé des Ressources animales et halieutiques, Amadou DICKO, cette campagne annuelle de vaccination contre les maladies animales prioritaires vise à réduire l’impact de ces maladies sur l’économie nationale et sur la sécurité sanitaire des animaux.

La campagne 2024-2025, qui s’est déroulée du 11 octobre 2024 au 15 février 2025, a été une occasion pour le ministère d’introduire des innovations majeures pour plus de résultats plus probants, selon le ministre DICKO. Il s’agit de la centralisation des opérations de vaccination, du renforcement de la logistique pour la distribution des vaccins, de l’introduction des plateformes numériques pour le suivi des opérations et le paiement électronique des vaccins directement par les éleveurs.

Ces innovations ont permis au ministère d’atteindre des résultats encourageants avec la vaccination de 2 millions 100 mille bovins, 3 millions 500 mille petits ruminants, 70 000 carnivores et 13 700 000 volailles. Le ministre délégué précise que ces résultats s’inscrivent dans le cadre de l’Offensive agropastorale et halieutique.

10% des places au concours de la magistrature réservées aux agents de l’administration publique

Pour le compte du ministère de la Justice et des Droits humains chargé des Relations avec les institutions, le Conseil a adopté un décret portant conditions et modalités de détermination des quotas réservés au personnel de l’administration publique pour le concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature.
Le ministre chargé de la Justice Edasso Rodrigue BAYALA, indique que ce décret s’inscrit dans l’application de la loi du 26 avril 2024, portant modification de la loi d’août 2015 qui porte statut de la magistrature. Selon le ministre, cette loi précise qu’il y a un quota qui est déterminé pour les agents de l’administration publique pour le concours d’entrée à l’école nationale de la magistrature.

Le quota fixe 10% des places pour le personnel de l’administration publique et les conditions sont, entre autres, être âgé de moins de 45 ans, être un agent titularisé de l’administration publique d’État ou parlementaire, être titulaire d’une maitrise ou d’un master en droit.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

 

Prière de Ramadan à Sabou : Les fidèles musulmans s’unissent dans leurs vœux à Allah

Burkina/Sabou-Fin-Ramadan

Prière de Ramadan à Sabou : Les fidèles musulmans s’unissent dans leurs vœux à Allah

Sabou, le 31 mars 2025 (AIB) – Dès 8h, les fidèles musulmans de Sabou se sont rassemblés dans la cour de l’École Primaire Publique A pour célébrer, sous la direction de l’imam de la grande mosquée, la prière de Ramadan et exprimer leur gratitude à Allah pour Sa miséricorde tout au long de ce mois sacré.

L’imam de la grande mosquée, a délivré un prêche empreint de sagesse, axé sur des valeurs essentielles telles que l’amour, le pardon et la cohésion entre les croyants, ainsi qu’entre tous les Burkinabè. Il a également imploré le Tout-Puissant de faire régner la paix dans « notre cher Burkina Faso » et a formulé des vœux de santé et de longévité pour le président Ibrahim TRAORE et son gouvernement.
Cet évènement rassemblant au moins mille personnes a été rehaussé par la présence du chef de canton de Sabou, Naaba YEMDÉ II, de ses notables, des chefs de services, ainsi que du curé de la paroisse catholique de Sabou, illustrant ainsi la richesse du dialogue interconfessionnel et le respect mutuel.

Agence d’information du Burkina
dpt/dnk

Burkina : La caisse populaire de la commune de Sabou dans le Boulkiemdé tient sa 14ème assemblée générale ordinaire

Burkina/Sabou-AG

Burkina : La caisse populaire de la commune de Sabou dans le Boulkiemdé tient sa 14ème assemblée générale ordinaire

Sabou, 02 avril 2025 (AIB) – la 14ème assemblée générale ordinaire de la caisse populaire de Sabou s’est tenue, sous l’égide du Président de la délégation spéciale (PDS), dans la salle des fêtes de la mairie. Cet événement visait à présenter le bilan des activités passées et à esquisser les perspectives d’avenir de la caisse aux adhérents.

Le Président de la délégation spéciale (PDS) de Sabou, Abdul Aziz Koara, a exprimé sa reconnaissance envers la directrice de la caisse populaire, Assèta ZARE, et tous les membres de cette institution pour leur engagement indéfectible et leur dévouement à promouvoir l’inclusion financière dans la commune.
Le PDS a réaffirmé l’engagement de la délégation spéciale à soutenir activement toute initiative réaliste et bénéfique émanant de la caisse populaire de Sabou, soulignant l’importance de la collaboration entre la communauté et l’institution pour le bien-être collectif.
La directrice de la caisse populaire de Sabou a rappelé que l’objectif de cette assemblée est de dresser un bilan transparent et d’établir une relation de confiance entre la structure et la population. Actuellement, elle compte 7 427 adhérents, mais elle a invité les habitants de la commune à d’avantage adhérer afin d’accroître les bénéfices, qui pourront ensuite être réinvestis dans des projets visant le développement de la communauté.
M. KOARA a lancé un vibrant appel à toute la population, en particulier aux femmes, pour une plus grande implication et une meilleure participation aux produits de leur caisse, qu’il a décrite comme un « pilier essentiel du développement économique et social de Sabou».

Cette 14ème assemblée générale ordinaire marque une étape cruciale pour renforcer les liens entre la Caisse Populaire et la population, tout en mettant en avant l’importance de l’inclusion financière comme levier de progrès pour la commune de Sabou.
Agence d’information du Burkina
dpt/dnk

Koudougou / Université Norbert Zongo : Pr Windkouni Haoua Eugénie Maiga prend les rênes

Burkina/Koudougou-Installation-Présidente-Université

Koudougou / Université Norbert Zongo : Pr Windkouni Haoua Eugénie Maiga prend les rênes

Koudougou, le 2 avr. 2025 (AIB) – L’Université Norbert Zongo a une nouvelle présidente. Le Pr Windkouni Haoua Eugénie Maiga a été officiellement installée dans ses fonctions, mercredi, lors d’une cérémonie solennelle, marquant une étape historique pour l’institution.

Nommée en conseil des ministres le 26 mars dernier, Pr Windkouni Haoua Eugénie Maiga, devient la première femme à diriger cette université depuis sa création.

Enseignant-chercheur, le Pr Maiga occupait précédemment le poste de directrice générale du conseil d’orientation universitaire et des bourses au sein de l’université. Son installation a été saluée par les autorités, notamment le Secrétaire Général du ministre en charge de l’enseignement supérieur, qui a souligné l’importance de cette nomination.

Dans son discours, la nouvelle présidente a exprimé sa gratitude envers les plus hautes autorités du pays pour la confiance placée en elle. Elle a également appelé à une collaboration étroite de tous les acteurs de l’université pour relever les défis actuels, exacerbés par le contexte d’insécurité.

Le Pr Issa Abdou Moumoula, président sortant, a passé le relais à sa collègue, lui souhaitant plein succès dans sa mission. Il lui a conseillé d’être à l’écoute des préoccupations des étudiants et du personnel, et de tirer des leçons des difficultés rencontrées pour construire un avenir prometteur pour l’université. Le Pr Moumoula a également dressé un bilan satisfaisant de son mandat, soulignant les acquis (infrastructures et capacité d’accueil) et les innovations qui ont permis d’améliorer l’efficacité de l’institution.

La cérémonie d’installation s’est déroulée en présence de nombreuses personnalités, dont le gouverneur par intérim de la région du Centre-Ouest, le président par intérim de la délégation spéciale régionale du Centre-Ouest, ainsi que des autorités coutumières, religieuses, militaires et paramilitaires de la région.
Le Pr Alkassoum Maiga, ancien ministre de l’enseignement supérieur, et d’autres présidents d’universités publiques et privées du Burkina Faso ont également honoré l’événement de leur présence.
Cette nomination marque un nouveau chapitre pour l’Université Norbert Zongo, qui s’engage à poursuivre sa mission d’excellence académique et de contribution au développement du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina
PB/FGB/dnk

𝐒𝐲𝐬𝐭è𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐪𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭é : 𝐥𝐚 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐠é𝐧é𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐲𝐬𝐭è𝐦𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐜𝐞𝐬𝐬𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 à 𝐥𝐚 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐈𝐒𝐎 𝟗𝟎𝟎𝟏 𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐨𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟓

𝐒𝐲𝐬𝐭è𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐪𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭é : 𝐥𝐚 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐠é𝐧é𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐲𝐬𝐭è𝐦𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐜𝐞𝐬𝐬𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 à 𝐥𝐚 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐈𝐒𝐎 𝟗𝟎𝟎𝟏 𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐨𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟓

(Ouagadougou, le 03 avril 2025). Le Secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, Vieux Abdoul Rachid SOULAMA, a lancé, ce jeudi 03 avril 2025, le processus de certification à la norme ISO 9001 version 2015, de la Direction générale des systèmes d’information (DGSI).

Dans sa quête d’amélioration de ses prestations et services au profit du ministère de l’Économie et des Finances et de ses usagers, la DGSI s’est résolument engagée dans l’adoption d’un cadre organisationnel robuste et innovant qui répond aux standards internationaux. Pour ce faire, elle bénéficie de l’accompagnement de l’Association burkinabè de management de la qualité, afin de mener à bien cette certification.

En choisissant l’ISO 9001 :2015, la DGSI s’engage à structurer son fonctionnement autour des meilleures pratiques internationales en matière de qualité. Ce référentiel permet de mettre en place une approche par processus, garantissant une gestion efficiente et maîtrisée des activités. Il vise également à renforcer l’orientation client, en veillant à répondre aux exigences des différentes parties prenantes avec rigueur et professionnalisme. L’amélioration de la gestion des risques constitue un autre objectif majeur, permettant d’anticiper les défis liés à la transformation numérique et à la gestion des systèmes d’information. Cette démarche ambitionne aussi de favoriser l’implication et la montée en compétence des équipes, en instaurant une culture d’excellence et de performance durable.

Pour atteindre ces objectifs, la DGSI entamera dans les prochains mois une revue de ses processus, afin de mieux comprendre ses activités et leurs interactions. Elle procèdera ensuite à un audit interne qualité et à une revue de direction, pour s’assurer de l’alignement avec les exigences de la norme. Un audit à blanc précèdera l’audit de certification, afin de garantir une amélioration continue des performances. Par ailleurs, une sensibilisation et une formation du personnel seront menées pour assurer une appropriation optimale des principes du Système de Management de la Qualité (SMQ).

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐌𝐄𝐅

Burkina/Sécurité : Le ministère lance la vidéosurveillance des villes pour renforcer quiétude des populations

Burkina-Sécurité-Lancement-Vidéosurveillance

Burkina/Sécurité : Le ministère lance la vidéosurveillance des villes pour renforcer quiétude des populations

Ouagadougou, 3 avril 2025 (AIB) – Le ministre de la sécurité représenté par le secrétaire général, le commandant Ahmed Ouédraogo a lancé jeudi le concept « Sécurité S24/7 », une initiative de vidéosurveillance pour faciliter les interventions de la police de secours et renforcer la mobilisation citoyenne dans les centres urbains.
« C’est un système alliant la vidéoprotection et la police secours. Il permet aux observateurs qui sont dans des salles d’informer, en temps réel, la police secours sur des cas suspects dans un quelconque point de la ville, pour une intervention rapide sur le terrain », a indiqué le commandant Ahmed Ouédraogo.
Grace à un réseau de plusieurs centaines de caméras, tous les actes susceptibles de troubler la sécurité des populations ainsi que les agissements contraires aux valeurs républicaines seront désormais repérés par la police, en vue d’apporter une réponse appropriée.
Le concept « Sécurité S24/7 », vise à terme la vidéoverbalisation des infractions commises par les populations en milieu urbain, a confié le secrétaire général du ministère de la sécurité.
Le lancement de la viédeoprotection intervient dans un contexte des journées d’engagement patriotique et M. Ouédraogo espère que cela va conduire indéniablement vers une autodiscipline parce ajoute-t-il, « on ne peut pas mettre un policier à chaque feu, on ne peut pas mettre un gendarme à chaque carrefour ».

Avec cette technologie, chaque Burkinabè devra devrait savoir qu’à tout moment, tout ce qu’il pourra commettre comme délit peut être vu et qu’il pourra répondre de son forfait, prévient le commandant Ahmed Ouédraogo.
La vidéoprotection qui s’inscrit dans le cadre du projet SMART du ministère de la sécurité couvre toutes les activités de la police gérées la police et la gendarmerie nationale.
En fonction de la nature de l’incident, l’équipe de vidéosurveillance alerte ces unités pour qu’ils puissent donner une solution rapide et efficace.

Ainsi, en cas d’accident de circulation par exemples la brigade nationale des sapeurs-pompiers est informée pour permettre une prise en charge rapide des victimes.

Agence d’information du Burkina
YOS/dnk

Burkina : L’union des minoteries s’engage à acquérir toute la production nationale de blé à 500 FCFA le kilogramme

Burkina-Signature-Convention-Prix-Blé

Burkina : L’union des minoteries s’engage à acquérir toute la production nationale de blé à 500 FCFA le kilogramme

Ouagadougou, 3 avr. 2025 (AIB) – L’union des minoteries du Burkina Faso s’est engagée vendredi à acquérir toute la production nationale de blé de la campagne 2024-2025, à un prix incitatif de 500 FCFA le kilogramme, au cours d’un contrat signé à Ouagadougou, avec l’Association nationale des producteurs de blé du Burkina Faso (UNPBB).

C’est le directeur général de la promotion de l’économie rurale, Ludovic Yigo, qui a présidé la rencontre de signature du contrat d’achat de la production de blé en grain de la campagne 2024-2025, entre l’Association nationale des producteurs de blé du Burkina Faso (UNPBB) et l’Union nationale des minoteries du Burkina Faso (UMBF).

Selon le président de l’Association nationale des producteurs de blé du Burkina Faso (ANPBB), Honoré Tankoana, cette signature représente une grande satisfaction pour les producteurs. « C’est la concrétisation d’une coopération fructueuse, savamment orchestrée par le ministère en charge de l’agriculture.

Elle représente les bases d’une collaboration de long terme, et nous nous engageons à fournir du blé de bonne qualité afin de mériter la confiance placée en l’association par l’Union », a-t-il affirmé.
Pour le président de l’UMBF, Rimon Hajjar, la signature de ce contrat de commercialisation du blé constitue un premier pas vers une production plus importante. « Nous souhaitons à l’avenir que nos braves agriculteurs intensifient la production afin que nous n’ayons plus à importer du blé », a-t-il ajouté.

Le directeur général de la promotion de l’économie rurale, Ludovic Yigo, a félicité les acteurs pour la signature de cette convention. Il a par ailleurs exhorté chacune des parties contractantes à respecter les termes de l’accord afin de promouvoir la filière blé au Burkina Faso. Cette signature de contrat s’inscrit dans la dynamique de la vision du gouvernement à travers l’offensive agropastorale et halieutique pour l’atteinte de la souveraineté alimentaire.

En effet, l’une des initiatives phares de l’Offensive agropastorale et halieutique 2023-2025 est la relance de la production de blé, une filière stratégique pour le pays, afin de combler les besoins de consommation de la population et réduire la forte dépendance du pays vis-à-vis des importations de cette denrée.

Pour mener à bien cette initiative et garantir un développement durable de la production de blé, les producteurs et les transformateurs ont jugé opportun de travailler en synergie d’actions.

Agence d’information du Burkina
DNK/BZ

Kaya/JEPPC : Les étudiants du centre universitaire à l’école de l’ordre et de la discipline

Burkina/Kaya-Conférence-Etudiants

Kaya/JEPPC : Les étudiants du centre universitaire à l’école de l’ordre et de la discipline

Kaya, 1er avril 2025 (AIB) – Le centre universitaire de Kaya a organisé le mardi 1er avril 2025 une conférence sur le thème « Pour l’ordre et la discipline, je m’engage : quelles attentes vis-à-vis de l’étudiant ? »

Cette conférence s’est tenue dans le cadre des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC),

Sous la modération de Sankara Hamado, secrétaire principal dudit centre, le conférencier dans une approche alliant des anecdotes et des histoires vécues a su retenir l’attention de la jeunesse estudiantine de Kaya.

, Le directeur régional des droits humains, de la promotion civique et de la paix du Centre-Nord, Zakaria Bayoulou, a bâti sa communication autour de quatre points à savoir, le sens de l’ordre et de la discipline, la manifestation de la crise de l’ordre et de la discipline avant de s’appesantir sur comment rétablir l’ordre.

Pour le conférencier, la crise de l’ordre et de la discipline se ressentent dans les familles à travers la fuite de responsabilité des parents, dans les structures d’enseignement et de formation, dans les administrations publique et privée.
Les domaines du commerce, de l’environnement, de la politique, du civisme et de la lutte contre le terrorisme ne sont pas épargnés par cette crise qui perdure. Selon lui, l’ordre et la discipline ne se négocient pas et tout contrevenant encoure des sanctions sociales, morale et/ou pénales. Il a fini par inviter l’assistance à s’engager réellement pour l’ordre et la discipline.

Cette conférence organisée par l’administration du centre universitaire de Kaya, a mobilisé l’ensemble des étudiants et a enregistré la participation effective des autorités administrative avec en tête le gouverneur de la région, de Dr Adama Ouédraogo, chargé de mission du centre universitaire, Hien/Traoré Nida Blanche, directrice en charge de la jeunesse et le personnel de l’administration du centre-universitaire.

Pour le gouverneur de la région, le colonel-Major, Z. Blaise Ouédraogo, les participants devraient mettre en exergue le « JE » du thème qui est le mot le plus important. L’engagement étant d’abord individuel, il estime que c’est à chacun individuellement d’œuvrer à changer la société.

Il invité ceux qui ont déjà les réflexes de l’ordre et de la discipline à la persévérance et à la dénonciation des indisciplinés en vue de circonscrire leurs dégâts au bonheur de la Nation toute entière.
En appui au conférencier, les autorités présentes ont tour à tour apporté des contributions aux préoccupations posées par les étudiants.

Agence d’information du Burkina
AIO/dnk/ata

Burkina : Les entrepreneurs touristiques sensibilisés sur la responsabilité sociétale pour une industrie plus compétitive

Burkina-Tourisme-Sensibilisation-Entrepreneurs

Burkina : Les entrepreneurs touristiques sensibilisés sur la responsabilité sociétale pour une industrie plus compétitive

Ouagadougou, 4 avr. 2025 (AIB) – Le ministère en charge du Tourisme a sensibilisé jeudi à Ouagadougou, les entrepreneurs touristiques sur la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) pour une industrie plus compétitive sur le marché national et international.
« Ces échanges avec les entrepreneurs consistent à les outiller sur la RSE pour qu’ils soient plus performants au niveau national et international », a indiqué la directrice générale, Monique Ouédraogo/Ilboudo.

Selon elle, la Direction générale du tourisme (DGT) a initié cet atelier de sensibilisation sur la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) au profit des entrepreneurs touristiques, dans le cadre des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC).

Mme Ouédraogo s’exprimait jeudi à Ouagadougou, à l’ouverture d’un atelier de sensibilisation des entrepreneurs touristiques sur la RSE.

Elle a par ailleurs expliqué que le Burkina Faso traverse une période difficile et il était nécessaire d’échanger avec les promoteurs d’hébergement, de restauration, d’agences de voyage, les opérateurs économiques et les guides touristiques pour améliorer la qualité de leurs prestations.

« Lorsque nous parlons de RSE, nous parlons aussi de la qualité des services. A travers cet atelier, nous arrivons à améliorer les conditions de travail du personnel et la productivité des entreprises », a soutenu Monique Ouédraogo/Ilboudo.
Selon l’un des communicateurs, Nelson Congo, les échanges vont être axés sur deux thématiques dont la première porte sur la « Nomenclature des entreprises touristiques » et la deuxième concerne « L’intérêt et les processus de mise en œuvre de la RSE au sein des entreprises touristiques ».

M. Congo par ailleurs expert en communication de la RSE a précisé que le secteur du tourisme sur le plan économique occupe la 3e place au niveau mondial, après les hydrocarbures et les industries de la chimie.

Il a également noté que ce secteur emploie beaucoup travailleurs qui ne demandent pas un certain niveau de « background ».
« Tous les risques, tous les problèmes du secteur du tourisme peuvent être réglés dans le cadre de la RSE. C’est pourquoi, l’administration touristique burkinabè a bien choisi cette thématique qui rime avec celle des JEPPC », a-t-il fait savoir.
La 1re phase de l’édition 2025 des JEPPC se tient du 26 mars au 9 avril avec pour thème « Pour l’ordre et la discipline : je m’engage ! ».

Nelson Congo a aussi relevé que l’atelier de sensibilisation porte sur les enjeux de la démarche de management des entreprises touristiques.

Agence d’Information du Burkina
BBP/NO/YOS/DNK

Qualité et efficacité des documents de planification du MAECR-BE : une séance de travail pour s’approprier les normes d’élaboration des rapports

Qualité et efficacité des documents de planification du MAECR-BE : une séance de travail pour s’approprier les normes d’élaboration des rapports

(Ouagadougou, le 02 avril 2025)

L’Ambassadeur, Secrétaire général, M. Hermann Yirigouin TOE a présidé une séance de travail, ce mercredi 02 avril, consacrée à l’élaboration des rapports périodiques des documents de planification au niveau de l’administration centrale et dans les Missions des diplomatiques et Postes consulaires.

L’objectif de cette séance est d’harmoniser les compréhensions sur les canevas de rapportage et les délais de transmission des documents de planification.

Lesdits documents regroupent les programmes d’activités, les contrats d’objectifs des chefs de Mission diplomatiques et postes consulaires, les contrats de performance, et les lettres de missions et doivent faire l’objet d’un suivi et d’une évaluation, conformément à la loi 0 73 -2015 CNT du 6 novembre 2015 relative à la loi de finance. Une disposition adoptée en vue de moderniser l’administration publique et la rendre plus efficace.

« Cette loi marque un tournant dans la gestion publique en plaçant l’accent sur une approche axée sur les résultats et la redevabilité » a souligné le Secrétaire Général.

La séance de travail, a été organisée en deux étapes, une première phase avec les responsables de structures centrales, et une seconde phase en visio conférence à l’attention des représentants des Missions diplomatiques et Postes consulaires en vue d’une mise à niveau de l’ensemble des acteurs et d’assurer l’atteinte des objectifs assignés aux acteurs du département en charge des Affaires étrangères.

« Nous devons nous assurer que tous les acteurs impliqués partagent une même vision et une même méthodologie pour garantir la cohérence et la qualité de nos rapports », a indiqué l’Ambassadeur Secrétaire général Hermann Yirigouin TOE.

DCRP/MAECR-BE

𝗜𝗻𝗳𝗿𝗮𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗿𝗿𝗼𝘃𝗶𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 : 𝗟𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗜𝗻𝗳𝗿𝗮𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗳𝗲𝗿𝗿𝗼𝘃𝗶𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 en cours 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 E𝘁𝗿𝗮𝗻𝗴è𝗿𝗲𝘀, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗗éf𝗲𝗻𝘀𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗟𝗧

𝗜𝗻𝗳𝗿𝗮𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗿𝗿𝗼𝘃𝗶𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 : 𝗟𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗜𝗻𝗳𝗿𝗮𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗳𝗲𝗿𝗿𝗼𝘃𝗶𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 en cours 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗔𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 E𝘁𝗿𝗮𝗻𝗴è𝗿𝗲𝘀, 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗗éf𝗲𝗻𝘀𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗟𝗧

Le ministre des Infrastructures et du Désenclavement a été auditionné le mercredi 02 avril 2025 par la Commission des Affaires Étrangères, de la Défense et de la Sécurité (CAEDS) de l’Assemblée Législative de Transition. L’objet principal de cette session d’échange portait sur l’évaluation des mesures de prévention et de gestion des risques d’incendie dans les centres urbains du Burkina Faso ainsi que le suivi des recommandations liées à la mise en œuvre de la convention de concession pour l’exploitation des transports ferroviaires du pays.

L’un des points majeurs abordés lors de cette séance concerne la gestion et la réhabilitation du réseau ferroviaire burkinabè, un dossier crucial pour le désenclavement du pays. Le ministre a rappelé que des travaux d’urgence sont prévus sur la voie ferrée pour un coût estimé à 32 milliards de FCFA, avec un démarrage attendu au premier semestre de 2026. Ce projet s’inscrit dans le cadre des négociations du projet SKBo, dont l’accord avec les bailleurs a été finalisé le 27 mars 2025.

En complément de ces actions urgentes, le programme de réhabilitation intégrale du réseau ferroviaire suit son cours. Après une première phase d’études de diligence menée entre 2023 et 2024, les autorités prévoient le lancement des travaux de réhabilitation de fond sur l’axe Abidjan-Kaya d’ici 2028, avec un budget colossal estimé à 853 milliards de FCFA.

Malgré ces perspectives prometteuses, le ministre a souligné plusieurs difficultés entravant la mise en œuvre de cette réhabilitation ferroviaire. La principale contrainte demeure la mobilisation des financements, étant donné le coût élevé des infrastructures ferroviaires. Il a également mis en exergue le manque d’attractivité financière du secteur ferroviaire burkinabè, qui dissuade les investisseurs. Toutefois, il a mentionné que l’exploitation du chemin de fer pourrait devenir rentable si elle était directement liée à une exploitation minière.

Un autre obstacle de taille est le contexte sécuritaire préoccupant que traverse le Burkina Faso. L’insécurité pourrait compliquer davantage la réhabilitation et la gestion des infrastructures ferroviaires, nécessitant ainsi une vigilance accrue des autorités.

Face à ces défis, le ministre des Infrastructures a réaffirmé la volonté du gouvernement de mener à bien la réhabilitation ferroviaire. Une régénération progressive de la voie ferrée est envisagée, avec un budget annuel financé sur fonds propres. Cette approche vise à garantir une amélioration continue du réseau ferroviaire, malgré les contraintes.
#MID
#ferroviaire
#audition
#ALT

DCRP/MID

Ouagadougou : La gendarmerie saisie du cyanure et des cigarettes prohibées

Ouagadougou : La gendarmerie saisie du cyanure et des cigarettes prohibées

Ouagadougou, 3 avril 2025(AIB)- La Brigade de recherche de la gendarmerie nationale a saisi courant mars, une importante quantité de cyanure et de cigarettes prohibées dans la ville de Ouagadougou, estimée à une valeur de cinq millions de FCFA.
Agence d’information du Burkina
Lire le communiqué intégral

« Lutte contre la fraude et la propagation de produits toxiques : une importante quantité de cyanure et de cigarettes prohibées saisie par la brigade de Recherches de Gendarmerie de Ouagadougou

La Brigade de Recherches de la Gendarmerie Nationale a procédé le 11 mars 2025, à la saisie d’une importante quantité de cyanure et de cigarettes prohibées dans la ville de Ouagadougou.

En effet, suite à une dénonciation faite par des honnêtes citoyens, la Brigade de Recherches a procédé à une enquête ayant abouti à la saisie de produits prohibés essentiellement constitués de Cyanure et de cigarettes de marque GOLD SEAL. D’une valeur estimée à plus cinq millions (5 000 000) FCFA, ces produits, pourraient être acheminés dans différentes régions du pays, avec de sérieux risques sanitaires et environnementaux.

Le présumé détenteur de ces marchandises illicites a été identifié, interpellé et présenté au Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Ouaga I pour répondre de ses actes.

Face à la persistance de l’insécurité et des trafics illicites, la Gendarmerie nationale exhorte la population à redoubler de vigilance et à signaler tout comportement suspect aux forces de l’ordre via les numéros d’urgence suivants :
✓1010 : Centre National de Veille et d’Alerte
✓16 : Gendarmerie Nationale
✓17 : Police Nationale
La sécurité est l’affaire de tous. Ensemble, œuvrons pour un Burkina Faso plus sûr ! »

Dernières publications