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Niangoloko : La CNAVC/section communale, reconnaissante aux autorités pour la libération totale de la commune

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Niangoloko : La CNAVC/section communale, reconnaissante aux autorités pour la libération totale de la commune

Niangoloko, (AIB) – La Coordination nationale des associations de la veille citoyenne/section communale, a organisé le samedi 25 janvier 2025 à Niangoloko, (la cité de santa), une marche-meeting de soutien et de reconnaissance aux autorités pour la libération totale de la commune de Niangoloko des mains des terroristes et réaffirmer son engagement pour la réussite de leur mission. Ils ont marché à travers plusieurs artères de la cité de Santé.

Cette marche-meeting a permis aux organisateurs de mobiliser 5 tonnes de maïs et une somme d’environ 3 Millions de FCFA pour aider les personnes déplacées internes (PDI).
La marche-meeting a mobilisé la population de la ville de Niangoloko et d’autres venues de plusieurs localités de la région des Cascades, ce samedi 25 janvier 2025, pour manifester et renouveler leur soutien à la Transition et au Capitaine Ibrahim Traoré, dans la lutte contre le terrorisme.

A pieds, à motos et à vélos, les manifestants munis de pancartes, de banderoles et des drapeaux des pays de l’AES et de la Russie, de la place de la mairie, ont sillonné des artères de la ville de Niangoloko, en entonnant des slogans de soutien au Capitaine Ibrahim Traoré et son gouvernement pour les actions de reconquête du territoire national.
Après un tour de la ville, les manifestants se sont retrouvés au point de départ pour le grand meeting de soutien aux autorités.

Le Chargé de mission de la région des Cascades auprès de la présidence, Ibrahim Kobé, a exprimé sa satisfaction pour la mobilisation de la population de niangoloko et celles venues des autres localités pour apporter leur soutien aux autorités. Il a invité les populations de la région à rester toujours mobilisées pour accompagner le Capitaine Ibrahim Traoré et son gouvernement pour que le Burkina Faso retrouve sa souveraineté.

Le Coordonnateur de la CNAVC/section Comoé, Benjamin Ziré, pour sa part, cette marche-meeting a été organisée pour apporter notre soutien aux plus hautes autorités et rendre un vibrant hommage aux Forces de défense et de sécurité (FDS) et aux VDP pour le travail abattu au quotidien pour que les populations puissent regagner leurs localités. Pour ce qui concerne l’organisation de cette marche-meeting, nous avions demandé à ceux qui ont pu cultiver pendant cette saison hivernale d’apporter une contribution en vivre pour soutenir ceux qui viennent de regagner leurs localités et qui n’ont pas pu cultiver. A-t-il ajouté.

Quant au coordonnateur de la CNAVC/section communale, Drissa Ouedraogo, il a salué la mobilisation de la population de la commune de Niangoloko, ce qui témoigne de leur engagement et leur soutien aux autorités. Cette marche-meeting a été organisée pour manifester notre reconnaissance à l’endroit du Capitaine Ibrahim Traoré et son Gouvernement pour le travail remarquable abattu. Ce qui a permis le retour progressif des populations dans les 16 villages de Niangoloko.

Le Parrain, Rachid Soulama, a remercié la CNAVC/section Communale pour le choix porté sur sa modeste personne pour parrainer ce meeting de soutien et de reconnaissance à la Transition. Il a traduit sa reconnaissance à l’endroit des autorités administratives, Coutumières et religieuses pour leur présence à ce meeting.
M. Soulama, a exprimé également toute sa reconnaissance à l’endroit du Capitaine Ibrahim Traoré et son Gouvernement, les FDS et les VDP pour les actions qui ont été menées dans le cadre de la pacification de la Commune de Niangoloko. La place de la mairie ou s’est tenu ce meeting servait de refuge pour les PDI. Grâce donc aux efforts des forces combattantes, ces PDI ont pu retourner dans leurs localités respectives, a-t-il expliqué.

Agence d’information du Burkina
JPY/dnk/ata

Bazèga : La production du blé, une nouvelle culture en expansion avec 39 hectares de superficie emblavée dans la province

Burkina-Bazèga-Agriculture-Production-Blé

Bazèga : La production du blé, une nouvelle culture en expansion avec 39 hectares de superficie emblavée dans la province

Kombissiri, 24 janv. 2025 (AIB) – L’équipe de la direction provinciale en charge de l’agriculture du Bazèga a effectué le 23 janvier 2025 à Wanféré dans la commune de Doulougou, une visite commentée dans un des sites de production de blé. L’objectif était d’apporter un appui conseil aux producteurs, qui se sont lancés dans la culture de cette nouvelle spéculation dans la province.

Longtemps considérée comme une culture spécifiquement réservée aux pays du nord, la production du blé semble avoir de beaux jours dans la province du Bazèga, région du Centre-sud. Nouvellement introduite dans la province, la culture du blé est expérimentée par plusieurs producteurs à travers les sept communes du Bazèga avec une superficie totale emblavée de 39 hectares.
Selon la directrice provinciale en charge de l’agriculture du Bazèga Alimata Ibrango, le blé est une filière cible de l’offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025, portée par le ministère en charge de l’agriculture du Burkina Faso.

Pour plus de visibilité et en vue de l’adoption de la culture du blé par les acteurs, une série de visites commentées a été organisée par l’équipe de la direction provinciale de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques du Bazèga conduite par la directrice provinciale. Pour le cas spécifique de ce 23 janvier 2025, les producteurs ont été conviés sur le site de production de Abdoul-Salam Ouédraogo à wanféré dans la commune de Doulougou. L’objectif de cette visite commentée est d’amener les producteurs à s’approprier cette nouvelle culture dans la province en vue de sa vulgarisation et sa production à grande échelle.

Le site visité du sieur Ouédraogo d’une superficie d’un hectare, a été progressivement emblavée en 4 séquences, les 18, 24, 27 novembre et le 5 décembre 2024. Le blé produit est au stade de floraison et la récolte prévue en fin février 2025. Tout comme les autres producteurs, Abdoul-Salam Ouédraogo a bénéficié gracieusement des semences et des intrants et équipements agricoles à prix subventionnés, outre la formation et l’appui-conseil des techniciens.

Selon les techniciens de la direction provinciale de l’agriculture du Bazèga, la production du blé se fait en saison sèche froide de novembre en février pour un cycle de 90 jours. Sur l’ensemble des sites de production à l’échelle de la province, « le stade de développement actuel est satisfaisant », selon madame Ibrango.

Quelques difficultés évoquées par les producteurs font état du tarissement précoce de certains points d’eau autour desquels se mène l’activité.

Quant à l’écoulement de la production du blé, madame Alimata Ibrango rassure : « Au regard de l’importance qu’accorde l’autorité à cette culture stratégique, nous avons espoir que les inquiétudes y relatives seront levées les prochains jours. »

Agence d’information du Burkina
TPT

Soutien à l’AES : « Nous sommes mobilisés ce matin pour montrer que la sortie de la CEDEAO n’est pas une simple décision des trois chefs d’Etat. Les peuples de l’AES soutiennent leurs présidents », soutient un militant

Soutien à l’AES :
« Nous sommes mobilisés ce matin pour montrer que la sortie de la CEDEAO n’est pas une simple décision des trois chefs d’Etat. Les peuples de l’AES soutiennent leurs présidents », soutient un militant
Agence d’information du Burkina

Sortie de la CEDEAO: Le chef de la diplomatie burkinabè salue le courage et la prise en compte des aspirations des populations de l’AES par les présidents Traoré, Goïta et Tiana.

Sortie de la CEDEAO: Le chef de la diplomatie burkinabè salue le courage et la prise en compte des aspirations des populations de l’AES par les présidents Traoré, Goïta et Tiana.
Agence d’information du Burkina

Burkina: La sortie de la CEDEAO actée ce matin par la montée des couleurs du Burkina Faso, du Mali, du Niger et de l’AES.

Burkina: La sortie de la CEDEAO actée ce matin par la montée des couleurs du Burkina Faso, du Mali, du Niger et de l’AES.
Agence d’information du Burkina

Thèse de doctorat : Jean Noël Bonkoungou démontre brillamment la corrélation entre inclusion financière et croissance économique

Thèse de doctorat : Jean Noël Bonkoungou démontre brillamment la corrélation entre inclusion financière et croissance économique

Ouagadougou, 27 janv. 2025 (AIB) – Jean Noël Bonkoungou a décroché, lundi, le grade de docteur en Économie du développement de l’Université Thomas Sankara, grâce à une thèse novatrice qui met en lumière les effets de l’inclusion financière et de la finance technologique sur le développement économique en Afrique de l’Ouest.

Face un jury international de cinq membres, Jean Noël Bonkoungou a brillamment défendu sa thèse sur les interactions entre l’inclusion financière, la finance technologique et la qualité des institutions dans le développement économique et social des pays d’Afrique de l’Ouest.

Selon ses conclusions, l’inclusion financière a un impact positif et significatif sur la croissance économique à long terme. Elle favorise la mobilisation de l’épargne et facilite l’accès aux prêts considérés comme des moteurs essentiels du développement.

Toutefois, Dr Bonkoungou a souligné que les crédits accordés aux entreprises, souvent de court terme, sont majoritairement utilisés pour l’acquisition de biens de consommation, notamment importés. Cela peut engendrer des difficultés de remboursement, créant un « effet boule de neige » pour les emprunteurs.

« Les innovations financières réduisent les inégalités de revenus entre les riches et les pauvres du premier quartile de l’ordre de 6,7 % », a-t-il affirmé, avant d’inviter les gouvernants ouest-africains à investir dans ce domaine.

Cependant, Dr Bonkoungou a prévenu que si la digitalisation de la finance est orientée vers les populations aisées, elle risque d’aggraver les inégalités. À l’inverse, une attention particulière aux populations vulnérables peut contribuer à réduire ces disparités.

Enfin, l’expert a insisté sur l’importance d’institutions financières solides, soutenues par des réglementations claires, une supervision efficace, une bonne gouvernance et des mécanismes de résolution des litiges. Ces éléments, de son avis, renforcent l’inclusion financière et accélèrent le développement économique.
Le jury, qui a jugé le thème actuel et pertinent, a décerné à Dr Jean Noël Bonkoungou la mention très honorable.

Agence d’information du Burkina
YOS/ata

AES : une rupture avec la CEDEAO pour une souveraineté pleine et entière

AES : une rupture avec la CEDEAO pour une souveraineté pleine et entière

Ouagadougou, 28 janvier 2025 (AIB) – Ce 28 janvier 2025 marque officiellement la sortie de l’Alliance des États du Sahel (AES), composée du Burkina Faso, du Mali et du Niger, de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ouvrant une ère nouvelle pour ces trois pays.

C’est acté ! Le départ de l’AES de la CEDEAO n’est plus une utopie, mais un choix délibéré et mûrement réfléchi des trois pays à travers leurs présidents : Ibrahim Traoré du Burkina Faso, Assimi Goïta du Mali et Abdourahamane Tiani du Niger, avec le soutien de leurs peuples. Ce 28 janvier 2025 marque officiellement la fin du préavis d’un an prévu par le traité de la CEDEAO et par conséquent, le retrait définitif des trois pays de cette organisation.

Pour les observateurs avertis, cette décision ne constitue aucunement une surprise. Les dirigeants concernés ont toujours affirmé son caractère irrévocable. À cette étape, l’histoire de ces deux organisations s’écrit avec une encre indélébile et restera gravée à jamais en lettre d’or dans les annales de l’Afrique et de la planète.

Ces trois pays tournent résolument le dos à une CEDEAO qui, en cinquante années d’existence, n’a pas su incarner une organisation défendant les intérêts de ses peuples. Au contraire, elle s’est révélée être un syndicat des chefs d’État, soutenant un système étranger aux peuples africains qui sert d’instrument de domination, d’exploitation et de pillage des ressources de l’Afrique.

Ni le spectre du chaos et des désastres agités comme un épouvantail par des experts mentalement et intellectuellement aliénés, totalement aux intérêts occidentaux, ni les complots à ciel ouvert, ni les menaces n’ont réussi à infléchir la position de l’AES. Ces pressions ont plutôt renforcé la détermination des peuples des trois pays à quitter une CEDEAO largement instrumentalisée par l’impérialisme à travers son représentant désigné qu’est Paris pour ses propres intérêts.

Le temps supplémentaire de six mois accordés pour un éventuel retour à la table des négociations a plutôt confirmé la justesse de leur décision. En regardant dans le rétroviseur, les conséquences annoncées comme catastrophiques se révèlent avoir été largement exagérées face aux bénéfices engrangés. Si ces prédictions étaient fondées, pourquoi autant de médiations, de prorogations du préavis et de complots non déguisés ? Les faits auraient dû suffire à ramener les États à la raison.

Les scénarios alarmistes prédits, notamment l’effondrement des économies, l’inflation exponentielle, les révoltes populaires n’ont été que des mirages. Et ce, malgré les sanctions inhumaines et les restrictions imposées par la CEDEAO. La résilience réussie des peuples de l’AES montre à souhait leur capacité et leur volonté à consentir le sacrifice nécessaire pour la conquête de leur souveraineté.

L’accompagnement attendu de la CEDEAO pour les pays confrontés au terrorisme n’a jamais été effectif, alors qu’elle était prompte à envoyer une force en attente pour bombarder le Niger et rétablir au pouvoir le valet attitré de leur maître.  Au contraire, cette organisation s’est révélée être un obstacle, voire une menace, face à des dirigeants engagés dans la défense de leurs territoires et les intérêts de leurs peuples.

Les résultats parlent d’eux-mêmes : Burkina Faso contrôle plus de 70 % du territoire, contre seulement 30 % auparavant ; le Mali a repris de Kidal, autrefois bastion du terrorisme au Mali et plus largement au Sahel ; le Niger a un meilleur contrôle du territoire national.

Sur le plan économique, la dénonciation des accords de coopération néocoloniaux dans des domaines stratégiques comme la défense, l’économie et la diplomatie a permis de diversifier les partenariats, d’acquérir des équipements militaires adaptés et de tirer pleinement profit des ressources nationales.

Quant à la libre circulation des personnes et des biens, utilisée comme argument de pression, elle fonctionnait déjà mal avant. Les tracasseries routières étaient monnaie courante malgré la prétendue intégration régionale. Pourquoi craindre de perdre ce qui n’a jamais été pleinement acquis ? D’ailleurs, la Mauritanie, sortie de la CEDEAO en 2000, n’a pas connu de difficultés majeures supplémentaires liées à ce retrait. Si elle s’en est sortie seule, que dire donc de trois pays unis et déterminés à se développer ?

Chacun assumant ses choix, l’AES reste désormais concentrée sur ses objectifs, articulés autour de trois axes : définir une politique diplomatique indépendante, bâtir un système de défense autonome et réaliser les investissements structurants pour leur développement, afin de garantir la satisfaction des aspirations légitimes des peuples et d’atteindre une souveraineté totale.

Au demeurant, les populations doivent rester en alerte et s’attendre à tout, y compris au sacrifice ultime, car la lutte sera ardue. En effet ni la souveraineté ni la liberté ne s’obtiennent sur un plateau d’argent. Les pays qui se sont véritablement affranchis du joug de leurs colonisateurs sont passés par des périodes critiques. L’Algérie et l’Afrique du Sud en sont des exemples éloquents. L’histoire des luttes pour la libération s’écrit souvent avec du sang et de la sueur.

Le harcèlement des terroristes n’est pas fortuit. Tout le système international sera mobilisé pour freiner cette dynamique et provoquer la révolte des populations. Cependant, si chacun s’engage à accompagner cette marche déjà enclenchée, les objectifs pourront être atteints.

La lutte sera de longue haleine, peut-être générationnelle, et chacun devra jouer sa partition, y compris la classe dite intellectuelle, qui est appelée à s’affranchir, à s’affirmer et à définir une orientation claire. Refuser de prendre position, comme c’est le cas pour beaucoup d’entre eux en ce moment, est déjà une forme de position car il n’y a pas de neutralité qui tienne !

En tout état de cause, les organisations de la société civile et les jeunes mobilisés pour la souveraineté donnent le ton.

Un peuple déterminé et uni derrière un leadership éclairé et affirmé est toujours plus fort qu’un système qui lui est étranger. L’histoire est en marche.

Agence d’information du Burkina

CAN Maroc 2025 : le Burkina Faso dans le même groupe E que l’Algérie

©Anis / APP/MAXPPP - L'Algerien RIYAD KARIM MAHREZ (L) se bat pour le ballon avec EDMOND FAYÇIAL TAPSOBA de Burkina Faso, lors du match de football du groupe D de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2024 entre l'Algerie et Burkina Faso au Stade de la Paix à Bouake en Cote d'ivoire le 20 janvier 2024. (MaxPPP TagID: maxsportsworldthree274468.jpg) [Photo via MaxPPP]

FOOT-BFA-MAR-AFR-SPORT-CAF-CAN2025

CAN Maroc 2025 : le Burkina Faso dans le même groupe E que l’Algérie

Ouagadougou, 27 jan. 2025 (AIB) – Les Etalons du Burkina Faso ont été tirés au sort lundi à Marrakech (Maroc), dans la poule E avec l’Algérie, leur ancien adversaire lors de la dernière édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en Côte d’Ivoire.

En plus de l’Algérie, le Burkina Faso est en compagnie de la Guinée équatoriale et du Soudan. Fennecs et Etalons se retrouveront pour un remake après le match nul de 2 buts partout à Bouaké lors de la dernière CAN Côte d’Ivoire 2023, jouée en 2024.

Pour les autres équipes ça sera pour la première fois que le Burkina Faso croise la Guinée équatoriale en phase finale de CAN pendant que le Soudan avait déjà battu le Burkina Faso par 2 buts à 1 lors de la CAN 2012 disputée en Guinée équatoriale.

La CAN Maroc 2025 se joue du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 dans six villes du Royaume Chérifien : Rabat, Marrakech, Casablanca, Tanger, Agadir et Fès.

Les différents groupes de la CAN 2025

Groupe A : Maroc, Mali, Zambie, Comores

Groupe B : Egypte, Afrique du sud, Angola, Zimbabwe

Groupe C : Nigeria, Tunisie, Ouganda, Tanzanie

Groupe D : Sénégal, RD Congo, Bénin, Botswana

Groupe E : Algérie, Burkina Faso, Guinée équatoriale, Soudan

Groupe F : Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon, Mozambique
Agence d’information du Burkina
as/ata

CAN Maroc 2025 : le Burkina Faso dans le même groupe E que l’Algérie

©Anis / APP/MAXPPP - L'Algerien RIYAD KARIM MAHREZ (L) se bat pour le ballon avec EDMOND FAYÇIAL TAPSOBA de Burkina Faso, lors du match de football du groupe D de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2024 entre l'Algerie et Burkina Faso au Stade de la Paix à Bouake en Cote d'ivoire le 20 janvier 2024. (MaxPPP TagID: maxsportsworldthree274468.jpg) [Photo via MaxPPP]

FOOT-BFA-MAR-AFR-SPORT-CAF-CAN2025

CAN Maroc 2025 : le Burkina Faso dans le même groupe E que l’Algérie

Ouagadougou, 27 jan. 2025 (AIB) – Les Etalons du Burkina Faso ont été tirés au sort lundi à Marrakech (Maroc), dans la poule E avec l’Algérie, leur ancien adversaire lors de la dernière édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en Côte d’Ivoire.

En plus de l’Algérie, le Burkina Faso est en compagnie de la Guinée équatoriale et du Soudan. Fennecs et Etalons se retrouveront pour un remake après le match nul de 2 buts partout à Bouaké lors de la dernière CAN Côte d’Ivoire 2023, jouée en 2024.

Pour les autres équipes ça sera pour la première fois que le Burkina Faso croise la Guinée équatoriale en phase finale de CAN pendant que le Soudan avait déjà battu le Burkina Faso par 2 buts à 1 lors de la CAN 2012 disputée en Guinée équatoriale.

La CAN Maroc 2025 se joue du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 dans six villes du Royaume Chérifien : Rabat, Marrakech, Casablanca, Tanger, Agadir et Fès.

Les différents groupes de la CAN 2025

Groupe A : Maroc, Mali, Zambie, Comores

Groupe B : Egypte, Afrique du sud, Angola, Zimbabwe

Groupe C : Nigeria, Tunisie, Ouganda, Tanzanie

Groupe D : Sénégal, RD Congo, Bénin, Botswana

Groupe E : Algérie, Burkina Faso, Guinée équatoriale, Soudan

Groupe F : Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon, Mozambique
Agence d’information du Burkina
as/ata

L’AES

L’ artiste Chioma Victoria sur le plateau de l’AlB parle de son single  » laafi « .

L’ artiste Chioma Victoria sur le plateau de l’AlB parle de son single  » laafi « .

 

Retrait de la CEDEAO : les ministres des Affaires étrangères de l’AES rendent compte de leurs travaux au Président du Faso

Retrait de la CEDEAO : les ministres des Affaires étrangères de l’AES rendent compte de leurs travaux au Président du Faso

(Ouagadougou, 27 janvier 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a reçu en audience, ce lundi en fin de matinée, les ministres des Affaires étrangères de la Confédération des États du Sahel, en séjour à Ouagadougou dans le cadre d’une réunion d’échanges sur les contours de la future collaboration avec la CEDEAO.

Pour le ministre chargé des Affaires étrangères de la République du Mali, Abdoulaye DIOP, dont le pays assure la présidence de l’AES, cette audience, au-delà d’une visite de courtoisie au Président du Faso, est un rendez-vous pour les ministres des Affaires étrangères de l’AES pour rendre compte au Chef de l’État de leur réunion qui a pris fin hier dimanche dans la soirée.

La délégation des ministres des Affaires étrangères a présenté au Président Ibrahim TRAORÉ les pistes qui ont été dessinées au cours des travaux de Ouagadougou en vue de leur validation par les Chefs d’État.

Le ministre Abdoulaye DIOP indique que les échanges avec le Président du Faso se sont déroulés dans une atmosphère de cordialité, de fraternité, mais aussi avec une très grande convergence sur l’ensemble des questions qui ont été discutées. « Il est important pour nous de pouvoir avoir une approche commune en tant que Confédération des États du Sahel pour porter les préoccupations de nos Chefs d’État, mais aussi les préoccupations des populations du Sahel dans le cadre d’un dialogue avec la CEDEAO ou toute autre entité, qui préserve les intérêts fondamentaux de nos populations », souligne le ministre DIOP.

« Nous avons aussi en retour recueilli les orientations du Président du Faso par rapport à la poursuite de ce travail. Je pense que le Président du Faso comme le Président du Mali et le Président du Niger sont sur la même longueur d’onde », ajoute le porte-parole de la délégation.

La délégation des ministres des Affaires étrangères se dit « réconfortée par le message très clair, l’engagement du Président du Faso, sa vision et sa détermination de maintenir le cap et d’avancer pour pouvoir aller très rapidement à la préservation de la paix et de la sécurité dans nos pays, de travailler à renforcer notre action diplomatique ».

Les ministres des Affaires étrangères entendent rassurer les populations de l’espace AES que la marche de la Confédération se poursuit sans aucune inquiétude. « Nos Chefs d’État ont pris une décision qui a été mûrement réfléchie », rassure le ministre malien des Affaires étrangères. Il en veut pour preuve la mise en circulation à partir du 29 janvier prochain du passeport de la Confédération des États du Sahel.

Selon le porte-parole de la délégation, cette rencontre de Ouagadougou a « pour objectif essentiel pour nos pays de pouvoir discuter des relations entre la Confédération des États du Sahel et la CEDEAO un an après avoir acté le 28 janvier 2024 notre sortie de cette organisation, pour pouvoir gérer la suite de ce retrait ».

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Sissili : Le représentant de la communauté mossi à Léo installée

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Sissili : Le représentant de la communauté mossi à Léo installé

Léo, 27 janv. 2025 (AIB)- Le représentant de la communauté mossi de Léo a été officiellement présenté le samedi 25 janvier 2025 au public, par sa Majesté, le chef de canton, Léo Piyo Dan Zwè.

Le représentant de la communauté mossi de Léo a été officiellement présenté le samedi 25 janvier 2025 au public, au cours d’une cérémonie, par sa Majesté, le chef de canton Léo, Piyo Dan Zwè

Placée sous le parrainage de l’opérateur économique, Tinga Dominique Guissou, cette cérémonie d’installation a également connu la présence des autorités administratives, judiciaires et coutumières de la province de la Sissili.

Le chef de canton de Léo, Piyo Dan Zwè s’est félicité de la cohésion sociale et du vivre ensemble entre toutes les communautés vivant dans la province.

Sa Majesté a indiqué que la diversité ethnique et culturelle constituent le socle d’un développement harmonieux durable et de paix.

Il a exprimé ses bénédictions et ses vœux de santé et de bonheur à l’endroit de l’élu du jour. Piyo Dan Zwè a imploré les mânes et les ancêtres de l’accompagner dans sa tâche.

Le parrain de la cérémonie, Tinga Dominique Guissou a traduit sa gratitude et sa reconnaissance à l’endroit des autorités traditionnelles et coutumières de Léo pour ce bel exemple d’hospitalité dont elles ont toujours su faire montre.

Pour ce faire, M. Guissou a invité la communauté mossi de Léo a prôné l’entente et la cohésion en leur sein et à se départir de tout comportement de nature à entacher le vivre ensemble avec leurs hôtes.

Le haut- commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a remercié les organisateurs davoir associé son image à cette cérémonie en tant qu’invité d’honneur.

Pour le premier responsable de la province, cette cérémonie revêt une signification particulière pour la communauté mossi mais aussi pour l’ensemble de la province.

Selon M.Sia, elle marque un moment de renouveau, de solidarité et de renforcement des liens sociaux.

Il a ensuite félicité le nouveau représentant de la communauté mossi à Léo avant de l’inviter à porter cette responsabilité avec dignité, équité et dévouement.

Le haut-commissaire de la province a rendu hommage à toutes les anciennes et actuelles personnalités qui ont œuvré pour la préservation de l’identité et des valeurs de la communauté mossi.

 

À l’en croire, leurs initiatives ont contribué à la stabilité et au développement de la province de la Sissili.

Le nouveau représentant de la communauté mossi à Léo, le Naaba Guigue- polé à l’État civil, Koudougou Tiendrebéogo est né en 1949 à Doulougou, dans la province du Bulkiemdé. Il s’est lancé très tôt dans la vie active et arrivé à l’âge de 24 ans à Léo.

Ses domaines dintervention dès son arrivée dans la cité de Mandengha sont, entre autres, l’agriculture, l’élevage et le commerce. Il s’est investi pendant la révolution à la construction de l’école primaire publique de Léo-Mano A de son secteur.

Le nouveau représentant de la communauté mossi a bénéficié des qualités de sagesse, de rassembleur et de confiance auprès des autorités coutumières autochtones.Ce qui l’a permis dêtre le successeur du feu Naaba Koanga. Il a trois femmes avec 16 enfants.

Agence dinformation du Burkina

OAN/NO/ATA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JBD/NO/ATA

 

Burkina : 8 langues burkinabè utilisées comme langues d’enseignement dans les écoles

BURKINA-EDUCATION-BILINGUE-ENSEIGNEMENT

Burkina : 8 langues burkinabè utilisées comme langues d’enseignement dans les écoles

Ouagadougou, 27 janv. 2025 (AIB) – Le mooré, le dioula, le fulfulde et 5 autres langues burkinabè sont utilisées comme langues d’enseignement, notamment au sein des écoles bilingues, ouvertes il y a 30 ans au Burkina Faso, en complément du français.

Le mooré, le dioula, le fulfulde, le lyélé, le gulmancema, le dagara, le bissa et le nuni, sont les 8 langues nationales d’enseignement dans les écoles bilingues expérimentées au Burkina Faso après les états généraux sur l’éducation tenus à Ouagadougou en 1994.

Les premières écoles bilingues, ouvertes à Nomgana et à Goué, dans la commune de Loumbila en 1994 puis étendues à d’autres régions, ont montré que les élèves couvraient le cycle primaire en 5 ans au lieu de six ans, réalisant un taux de réussite supérieur au taux national de succès.

Dans ces écoles, les élèves sont d’abord instruits dans les langues maternelles qu’ils maitrisent, avant d’apprendre progressivement les connaissances en français.

Des élèves en pleine séance d’apprentissage

Les élèves des écoles bilingues «valorisent leur culture, savent et aiment faire de la production», selon un document de l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique.

Depuis 2023, le Burkina Faso a hissé toutes les langues parlées par les différents groupes ethniques au rang de langues nationales.

Dans le même temps, le français, introduit par les colons et érigé en langue nationale jusqu’alors, a été rétrogradé en langue de travail, au même titre que l’anglais.

En 30 ans de mise en œuvre, l’école bilingue burkinabè s’est retrouvée face à des difficultés dont entre autres, le manque de formation suffisante des enseignants bilingues, de matériels didactiques, la gestion de la diversité linguistique des élèves ou encore l’abandon des activités comme le tissage, le jardinage, l’élevage dû au manque de moyens.

Agence d’Information du Burkina

HB/ck

Thèse de doctorat : La qualité des travaux n’est pas la seule cause de la dégradation précoce des routes, (Dr Ilboudo)

Burkina -Soutenance-Doctorat-Physique Appliquée-Génie civil

Thèse de doctorat : La qualité des travaux n’est pas la seule cause de la dégradation précoce des routes, (Dr Ilboudo)

Ouagadougou, 25 janv. 2025 (AIB)- Pour l’obtention de son grade de Docteur en physique appliquée spécialité génie civil et transferts thermiques, Paul Ilboudo a démontré le samedi 25 janvier 2025 à l’Université Joseph KI -Zerbo que la qualité des travaux exécutés n’est pas la seule cause de la dégradation précoce des infrastructures routière au Burkina Faso. Les fortes températures et les surcharges sont à prendre en compte.

Portant sur le theme « Étude Numérique et Expérimentale de la Dégradation des Chaussées Bitumineuses sous l’Effet des Fortes Températures et de la Pression du Trafic en Climat Chaud et Sec : Cas du Burkina Faso »,Cette recherche met en lumière les défis auxquels font face les infrastructures routières au Burkina Faso, où les conditions climatiques extrêmes et le trafic intense entraînent une dégradation rapide des chaussées.

Monsieur Ilboudo a démontré que la dégradation n’est pas seulement le résultat d’une mauvaise exécution des travaux, mais est également influencée par des facteurs climatiques, notamment les températures élevées qui dépassent les seuils de ramollissement du bitume.
Les résultats de ces études montrent que les chaussées bitumineuses enregistrent de fortes températures et elles se ramollissent très vite. Sous l’effet du trafic, elles pourraient se déformer rapidement et par conséquent elles se dégraderont plus vite que prévue. Par conséquent il faut redéfinir une température d’équivalence en prenant en compte les phénomènes de changement climatiques, l’utilisation des matériaux composites, la création des normes de conception et de dimensionnement de chaussées pour la construction des routes dans le contexte climatique chaud et sec.

Les recommandations issues de cette étude visent à adapter les normes de conception routière et à revoir la réglementation du trafic, afin d’assurer une meilleure durabilité des routes.
Le professeur Dieudonné-Joseph Bathiébo, directeur de These, a salué la détermination de Monsieur Ilboudo face aux difficultés rencontrées lors de sa recherche.

Le président du jury Professeur Salifou Ouiminga quant à lui, a également souligné l’importance des résultats obtenus par Dr Ilboudo, pouvant guider le gouvernement dans l’amélioration des infrastructures routières.

Cette thèse représente une avancée significative pour le développement des routes au Burkina Faso et pourrait avoir un impact positif sur l’économie locale.
Ce travail vient montrer une particularité de l’évolution de la température à l’intérieur des structures des chaussées en climat chaud et sec. Il met en exergue la température de ramollissement du bitume utilisé dans la construction des routes au Burkina Faso contrairement à certains auteurs qui ont mené ces mêmes études dans de contexte climatique tropical humide et moins agressif sur le plan thermique. Il vise à améliorer la prise en compte des effets de la température et des chargements des véhicules qui affectent la dégradation prématurée des chaussées bitumineuses en climat chaud et sec.
Les résultats présentés dans cette thèse, seront sans doute exploités pour l’amélioration dans le cadre de la gestion et de la construction des routes en pays sahéliens. Ces résultats pourront être utilisés dans le cadre de l’approfondissement de la recherche dans les universités et dans les bureaux d’études du Burkina d’une part et d’autre part dans les pays soudano-sahélienne afin d’améliorer la qualité des études dans le domaine des routes.

La démarche entreprise dans ce travail de thèse ne se limitera pas uniquement au niveau des infrastructures routières pour les véhicules. Elle peut être étendue dans les infrastructures routières des chaussées bitumineuses aéronautiques ou les mouvements d’atterrissage et de décollage des avions appliquent une grande pression sur les chaussées.

Agence d’Information du Burkina

Gourma : Le cabinet d’études ‘’Notre Santé’’ renforce la capacité des acteurs de santé

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Gourma : Le cabinet d’études ‘’Notre Santé’’ renforce la capacité des acteurs de santé

Fada N’Gourma, (AIB)-Le Cabinet d’études notre santé (CNS), a initié, le samedi 25 janvier 2025 à Fada N’Gourma, une formation professionnelle et internationale en santé et nutrition communautaire au Burkina Faso et dans 08 pays francophones que sont le Cameroun, le Tchad, la Centrafrique, le Congo-Kinshasa, le Congo-Brazzaville, le Mali, le Niger et le Benin.

La malnutrition et les problèmes de santé communautaire constituent des défis majeurs dans plusieurs pays du monde.

Pour répondre efficacement à ces enjeux, le Cabinet d’études notre santé (CNS), a trouvé essentiel de renforcer les capacités des professionnels de la santé et des acteurs communautaires, le samedi 25 janvier 2025 à Fada N’Gourma.

Selon le président directeur général du CNS par ailleurs expert en Nutrition-Santé, Jean Ouédraogo, l’objectif général de la formation, est de doter les participants des connaissances et compétences nécessaires pour intervenir efficacement dans les domaines de la santé et de la nutrition communautaire.

Il a précisé que la formation, dispensée en ligne via Google Meet va durer un mois soit deux séances par semaine, vise à augmenter l’employabilité des étudiants et permet une flexibilité maximale.

« Des professionnels de la santé, des acteurs communautaires et des ONG, des responsables de programmes de nutrition ainsi que des personnes intéressées par les enjeux de santé et nutrition communautaire les 08 pays francophones suivent cette formation en ligne », a ajouté Jean Ouédraogo.

Le président directeur général du CNS, a souligné qu’à Fada N’Gourma, 10 personnes suivent la formation en présentiel.

A l’endroit des étudiants et des professionnels de santé, M. Ouédraogo, les a invités à se former, à renforcer leurs capacités pour être opérationnels sur le terrain, afin de répondre de manière efficace et efficiente aux besoins sensibles des populations.

Pour l’apprenante par ailleurs agent de santé itinérant qui travaille comme volontaire national à Fada N’Gourma, Reine Pélagie Somandé, cette formation est la bienvenue car elle va renforcer leur capacité et améliorer leurs actions sur le terrain au regard des grands défis du moment liés au terrorisme.

Le travailleur humanitaire, Ali Diallo, a renchéri en soutenant cela va accroître la capacité des étudiants dans la sensibilisation sur les diversités alimentaires dans le domaine de la malnutrition et dans la démonstration culinaire pour la prévention du fléau.

Plusieurs experts et consultants interviennent dans cette formation.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

 

Mouhoun : La commune de Safané déterminée à soutenir les autorités de la Transition

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Mouhoun : La commune de Safané déterminée à soutenir les autorités de la Transition

Dédougou, (AIB)-Les forces vives de la commune de Safané, dans la province du Mouhoun, ont organisé, le samedi 24 janvier 2025 à Safané, une marche de soutien aux autorités du pays et des forces combattantes qui abattent au quotidien un travail inlassable dans la reconquête du pays. Elles ont mobilisé 2 millions de F CFA pour le fonds de soutien patriotique, 500 000 F CFA pour les VDP et 20 tonnes de vivres pour les VDP et les PDI de la commune.

La commune de Safané a connu une mobilisation exceptionnelle le samedi 24 janvier 2025. Venus des quatre coins de la commune et d’autres localités du pays, les filles et fils de la commune ont décidé de se retrouver pour une marche de soutien aux autorités de la Transition, sous le leadership du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Cette marche visait à montrer le soutien des forces vives de la commune de Safané aux forces combattantes dans leur mission de reconquête du territoire national. Elle a aussi été l’occasion pour le lancement des activités de la veille citoyenne de cette commune.

Pour manifester leur soutien aux autorités de la Transition, les populations de la commune de Safané, répartie dans les 40 villages, ont mobilisé la somme de 2 millions de F CFA pour le fonds de soutien patriotique et 20 tonnes de vivres au profit des VDP et des PDI et 500 000 F CFA pour le carburant des VDP.

Une somme de 77 750 F CFA a été mobilisée sur place pour accompagner l’initiative.

Le chef de canton de Safané, El Hadj Sina Séré, a traduit sa reconnaissance à la population sortie nombreuse pour la marche et la invitée à faire un dépassement de soi pour accompagner la vision du capitaine Ibrahim Traoré.

« Je suis comblé de voir ce dynamisme animé les populations et j’invite chacun et chacune à adhérer à la veille citoyenne et à s’intéresser davantage aux initiatives communautaires », a-t-il soutenu.

Pour le haut-commissaire de la province du Mouhoun, Souleymane Nacanabo, ce rassemblement témoigne de l’adhésion de la population de la commune de Safané aux actions des plus hautes autorités du pays.

« Nous remercions le chef de l’Etat pour son leadership et son dévouement. Grâce à lui, nous avons compris que ce pays n’a jamais été pauvre. Aujourd’hui c’est un grand jour de démonstration de force, montrer aux yeux du monde dans la commune de Safané. Nos grands-parents ont mis les petits plats dans les grands pour sauvegarder ce pays qui nous ont permis d’hériter ce beau pays. C’est à nous la jeunesse de prendre la relève avec responsabilité », a-t-il dit.

Le haut-commissaire de la province du Mouhoun, a rassuré l’ensemble de la communauté de son entière disponibilité à accompagner toutes initiatives communautaires qui pourraient accompagner les idéaux du Capitaine Traoré.

Les représentants des jeunes, des communautés religieuses, des femmes et des communautés de l’AES dans la commune, ont tour à tour salué la vision du Capitaine Ibrahim Traoré, qui prône le développement du Burkina Faso à travers plusieurs initiatives déjà engagées.

Ils ont salué le courage et la détermination des forces combattantes qui ouvrent pour la reconquête du territoire national et ont invité les populations à une forte mobilisation derrière les autorités et les forces combattantes pour une victoire imminente sur le terrorisme afin d’amorcer le développement harmonieux du pays.

La Coordonnatrice provinciale de la coordination nationale des associations de la veille citoyenne (CNAVC) du Mouhoun, Salimatou Compaoré, a félicité la population de Safané pour la forte mobilisation qui témoigne de leur soutien indéfectible aux autorités de la Transition.

Elle a invité la population à s’inscrire dans l’accompagnement des différents chantiers de développement et aux activités de la veille citoyenne.

Mme Compaoré, a souhaité que les populations adhèrent massivement aux initiatives communautaires.

Ces contributions ont réjoui le Président de la délégation spéciale (PDS) de Safané, Ali Traoré, qui a félicité les populations pour leur soutien et les a invités à accompagner les idéaux du président du Faso.

« Nous sommes disponibles pour accompagner la veille citoyenne. Le concours de tout un chacun est demandé pour relever le défi sécuritaire, le développement endogène ce qui va permettre au pays de se développer », a soutenu M. Traoré.

Le PDS de Safané, a demandé à chacun doit de prier à sa manière et contribuer pour le rayonnement de la patrie.

« Nous devons renverser les tendances pour que d’ici-là, les autres pays viennent vers nous » a conclu Ali Traoré.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

FESPACO 2025: une délégation du Pays invité d’honneur en séjour à Ouagadougou

FESPACO 2025: une délégation du Pays invité d’honneur en séjour à Ouagadougou

Dans le cadre des préparatifs de la 29e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO), le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert OUÉDRAOGO, a reçu en audience, une délégation du Pays invité d’honneur, conduite par le Secrétaire général du Ministère du Développement touristique, de la Culture et de l’Artisanat du Tchad, Abdoulaye Souleymane BABALE, ce 27 janvier 2025 à Ouagadougou.

Selon Abdoulaye Souleymane BABALE, la délégation a été dépêchée à Ouagadougou par les plus hautes autorités de la République du Tchad pour peaufiner les derniers réglages avec la partie burkinabè et accélérer les préparatifs de la participation de son pays en tant que Pays invité d’honneur au FESPACO 2025.

La délégation tchadienne est venue rendre compte du niveau des préparatifs de leur côté au Ministre burkinabè en charge de la Culture et lui présenter les civilités et les salutations fraternelles des autorités et du peuple tchadien.

Le Ministre Pingdwendé Gilbert OUÉDRAOGO s’est réjoui des avancées des préparatifs au niveau de N’Djamena et a exprimé sa reconnaissance aux autorités ainsi qu’au peuple frère du Tchad.

DCRP/MCCAT

Namentenga/Vaccination contre la fièvre typhoïde : Le haut-commissaire se réjoui des résultats encourageants sur le terrain

Burkina-Namentenga-Vaccination-Fièvre-Typhoïde

Namentenga/Vaccination contre la fièvre typhoïde : Le haut-commissaire se réjoui des résultats encourageants sur le terrain

Boulsa 24 janv. 2025 (AIB)- 278 334 enfants âgés de 9 mois à 14 ans seront immunisés contre la fièvre typhoïde du 23 au 29 janvier 2025, dans la province du Namentenga. Le premier responsable de la province, Adama Conseiga, s’est réjoui le vendredi 24 janvier 2025, au cours d’une tournée aux différents sites de vaccination, du fait que les résultats sur le terrain sont très encourageants à deux jours de ladite campagne de vaccination.

« Les résultats sur le terrain sont très encourageants à deux jours de la campagne», a indiqué le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga, à l’issue d’une visite aux différents sites de vaccination contre la fièvre typhoïde.

Ainsi, 278 334 enfants de 9 mois à 14 ans seront vaccinés du 23 au 29 janvier 2025 au cours de la campagne de vaccination dans la province.

M. Conseiga dit venir pour encourager les acteurs sur le terrain d’une part et d’autre part, s’imprégner de visu du déroulement de la campagne contre la fièvre typhoïde dans quelques sites de vaccination.

 

« Le public cible du district sanitaire de Boulsa est estimé à 124 228 contre 154 106 dans le district de Tougouri soient 278 334 enfants de 9 mois à 14 ans dans l’ensemble de la province », a confié le Médecin-chef du district (MCD) de Boulsa, Emile Compaoré.

Selon lui et son collègue de Tougouri, Dr Eric Kiema , le bilan partiel est plus de 20% d’enfants vaccinés au 1er jour.

Le haut-commissaire, président des conseils de santé de Boulsa et de Tougouri, Adama Conseiga s’est réjoui du bon déroulement de la campagne et des résultats auxquels les deux districts ont enregistrés au premier jour de la campagne.

A cet effet, il a salué les MCD et leurs différentes équipes de vaccination tout en soulignant que les résultats sont prometteurs à Boulsa.

Il convient de noter que le haut-commissaire avait à ses côtés ses collaborateurs et le président de la délégation spéciale de la commune de Tougouri, Dieudonné Diasso.

Agence d’information du Burkina

JBD/NO/ATA

 

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