Ministère de la Communication et Culture : Le nouveau directeur de cabinet pour un partage d’expériences

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18 novembre 2022

Burkina-Administration-Nomination-Passation-Charge

Ministère de la Communication et Culture : Le nouveau directeur de cabinet pour un partage d’expériences

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)- Le nouveau Directeur de cabinet du ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Atéridar Galip Somé, s’est engagé vendredi, lors de sa prise de fonction, à inscrire son action sous le sceau d’une fructueuse dynamique de partage d’expériences.

« Je vais inscrire mon action sous le sceau d’une fructueuse dynamique de partage d’expérience. Nous devons nous enrichir mutuellement, car je sais que c’est ensemble que nous devons avancer si nous voulons être efficaces », a indiqué ce vendredi, le nouveau directeur de cabinet du ministère en charge de la communication (Dircab), Atéridar Galip Somé.

« Nous devons constituer une équipe soudée, solide, disponible et engagée à la tâche qui prend en charge les dossiers avec diligence et efficacité », a-t-il poursuivi.

Le nouveau Directeur de cabinet Atéridar Galip Somé (à gauche) a été installé par le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme Jean Emmanuel Ouédraogo (au centre) en remplacement de Léopold Kaboré (à droite)

Le nouveau Directeur du cabinet du ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Atéridar Galip Somé, s’exprimait à Ouagadougou, à l’occasion de sa prise de service présidée par le ministre Jean Emmanuel Ouédraogo.

Selon M. Somé, ses collaborateurs et lui, « doivent constituer une équipe d’initiative et d’innovation qui harcèle avec des propositions de jour comme de nuit ».

« En somme, nous devons constituer une équipe d’écoute qui gagne et qui interpelle. C’est ainsi, et je le pense bien, que le ministre sera fier de nous ses collaborateurs et je sais que nous allons y parvenir. Brisons les barrières si elles en existent, et armons nous de courage pour avancer ensemble », a ajouté le nouveau Dircab.

En rappel, Atéridar Galip Somé a été nommé en conseil de ministre le 16 novembre 2022, et succède à ce poste à Léopold Kaboré.

Conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication, Atéridar Galip Somé était jusqu’à une date récente, le Directeur de la communication et des relations publiques (DCRP) à la Primature.

Agence d’information du Burkina

POM-dnk/wis/ak

QNET l’oblige à extorquer 750 000 F CFA à son père sous prétexte qu’il est victime d’enlèvement terroriste

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AZ AIB

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18 novembre 2022

Au coin du palais

5 ans de prison avec sursis pour une notaire

C.I., 42 ans, est une notaire officiant à Bobo-Dioulasso, il y a à peine 2 ans. Elle a comparu le 11 novembre 2022 devant la Chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance (TGI) de Bobo-Dioulasso pour détournement et abus de confiance. Les faits de détournement portent sur la somme de 31 millions F CFA et l’abus de confiance, sur 7 millions F. Selon les explications à l’audience, tout serait parti pour le premier cas, de la vente d’un immeuble dans la ville de Sya à 62 millions F CFA. Le vendeur a sollicité le cabinet de C.I. pour les transactions entre lui et l’acquéreur. Dans les clauses, l’acheteur devait verser au vendeur la somme de 31 millions et le reste, après épuisement de toutes les formalités de la vente. L’acheteur a versé les 31 millions F CFA à C.I. Les procédures de vente et de mutation des titres de l’immeuble au nom du nouvel acquéreur ont été alors enclenchées. Sans attendre la fin définitive de la procédure, l’acheteur a versé les 31 millions F CFA restants, mais directement au vendeur sans passer par les services de C.I. Cela, parce que le vendeur s’est plaint du fait que C.I. ne leur a pas versé la première tranche de 31 millions F qu’elle avait reçue. S’agissant de l’abus de confiance, C.I. a été mandatée pour partager entre les enfants, la somme de 7 millions F CFA que le père, A.O., décédé a laissé dans son compte bancaire. Les enfants de feu A.O. se sont plaints parce qu’ils n’ont reçu aucun kopeck. C.I. a été appelée pour s’expliquer sur ces deux affaires. Pour la première affaire, l’accusée a reconnu avoir utilisé les 31 millions F CFA parce qu’elle avait des difficultés financières. Quant à l’affaire de 7 millions F, elle soutient n’avoir pas remis l’argent parce qu’elle n’avait pas reçu l’autorisation des autorités judiciaires compétentes de le faire. Pour l’avocat de C.I., il n’y a pas lieu d’incriminer son client parce que dans la clause de vente de l’immeuble, un délai pour verser les avances de 31 millions F CFA n’a pas été fixé. Du reste, l’argent a été remboursé quelques heures avant sa détention. Il a demandé la clémence pour son client qui ne maitrise pas les rouages du métier parce que venant à peine de commencer. L’avocat a recommandé la prudence à C.I. tout en lui faisant savoir que le client est son premier ennemi. Le tribunal après avoir longuement écouté la jeune notaire, l’a condamnée à 60 mois (5 ans) de prison avec sursis et à 10 millions F CFA d’amende ferme. Elle a été également sommée de rembourser aux ayants droits de A.O. la somme de 5 390 054 F, parce que ses honoraires et autres charges ont été déduits des 7 millions F.

QNET l’oblige à extorquer 750 000 F CFA à son père sous prétexte qu’il est victime d’enlèvement terroriste

Agé de 16 ans, P.A. a comparu comme témoin, le mardi 8 novembre 2022, à la barre du TGI de Banfora. Il avait à ses côtés 16 autres prévenus dont des ressortissants d’un pays voisin, poursuivis pour escroquerie, complicité d’escroqueries, abstention de dénonciation et faits de recel. Au centre de cette affaire, il fait l’objet d’une autre procédure au regard de sa minorité vis-à-vis de la loi. En effet, le mineur de 16 ans a été appâté dans une structure de QNET au secteur 7 de Banfora à travers une de ses copines, S.F. âgée de 18 ans. Elle lui aurait proposé un « business juteux » qui pourrait lui rapporter 50 millions F CFA en seulement trois mois d’activité. Pour le démarrage de business, il devrait déposer la somme de 750 000 F CFA. C’est ainsi que plus ou moins « séquestré » dans leur « bureau » du secteur 7 avec les 16 prévenus et bien d’autres adhérents, le gamin a utilisé le téléphone portable de trois d’entre eux, pour appeler son papa et recevoir les 750 000 F sur le compte mobile de l’un d’entre eux. Pour convaincre son père, résident à Kaya, il a dit être victime d’un enlèvement terroriste et que ses ravisseurs demandaient une rançon de 750 000 F dans les heures qui suivent, faute de quoi, il serait exécuté. Le fiston dira à son père, que trois personnes ont déjà été exécutées sous ses yeux. Sans trop chercher à comprendre « parce que la vie de sa progéniture était en danger », le géniteur se plia à la volonté des ravisseurs de son enfant. C’est après avoir repris ses esprits, qu’il alla faire une déclaration dans une brigade de la ville de Kaya avec les détails à l’appui. La police de Banfora saisie, entre en action pour débusquer les propriétaires des numéros de téléphone qui ont servi à joindre le père de P.A. Les mis en cause et le mineur ont donc été arrêtés. A la barre, le patron de cette représentation QNET au secteur 7 de Banfora faisait partie aussi des 16 prévenus et serait impliqué dans trois autres procédures du genre où il était recherché, aux dires du procureur du Faso. Soutenant que l’activité de QNET est légale et reconnue au plan national comme international, leur conseil a plaidé l’acquittement pur et simple de tous ses clients. Le tribunal, dans son verdict a condamné 5 des prévenus, dont le patron de QNET, à 36 mois (3 ans) de prison dont 24 fermes et une amende de d’un million F CFA avec sursis. Les autres prévenus ont été relaxés au bénéfice du doute.

Deux faux gendarme et militaire au gnouf

A.l. est un jeune qui a été condamné en 2021 à un an de prison avec sursis à Diapaga parce qu’il s’était fait passer pour un soldat de 2^e classe. A Bobo-Dioulasso, il se fait arrêter dans un maquis en tenue militaire en compagnie d’un de ses compagnons qui se faisait passer pour un gendarme. Ce vendredi 11 novembre 2022 les deux « faux militaires » étaient devant la Chambre correctionnelle du TGI de Bobo-Dioulasso pour s’expliquer sur les faits d’usurpation de titre. Aux juges, les deux prévenus se sont justifié par la passion pour les armes qui les ont amenés à se faire passer militaire ou gendarme et n’ont pas pour but d’escroquer ou de faire des attaques avec la fonction usurpée. Les tenues trouvées en leur possession, ont-ils confié, appartiennent à leurs amis militaires. Ceux-ci, à les entendre, leur ont confié les uniformes pour aller au front et ne sont plus malheureusement revenus. Après les avoir entendus, le tribunal a condamné A.O., celui-là qui se faisait passer pour un gendarme, à 12 mois de prison et à une amende de 500 000 F CFA, le tout ferme. A.l., lui, a écopé de 24 mois de prison ferme, auxquels s’ajoutent la condamnation de 12 mois de sursis en 2021, soit un total de 36 mois et une amende de 500 000 F CFA aussi ferme.

Encore une bagarre de femmes devant les juges

Après le jugement d’une bagarre de femmes pour une affaire de piment en cette année 2022, les juges du TGI de Bobo-Dioulasso, ont encore statué sur une affaire similaire entre K.S. et A.S., ce vendredi 11 novembre 2022. Accusée par dame A.S. de faits de coups et blessures, K.S. a comparu en compagnie de son frère O.T. à la barre à cet effet. La plaignante explique aux hommes de droit que K.S., avec l’aide de son frère, l’a bastonnée jusqu’à lui casser la jambe. La bagarre entre les deux dames est partie de l’enfant de K.S. En effet, K.S. vit en location chez A.S qui aurait donné des fessées à l’enfant parce qu’il aurait proféré des injures à l’endroit de sa mère. Alertée, K.S., qui était à une cérémonie chez O.T. son frère, s’est déportée précipitamment à la maison. S’en est suivie une bagarre entre les deux femmes. A la barre K.S. a reconnu avoir porté des coups à la dame. Mais elle a précisé que la bagarre n’a pas entrainé les fractures de la jambe de la victime. Dans sa réquisition, le parquet a requis contre K.S., 24 mois de prison dont 4 fermes et une amende de 1 millions F CFA avec sursis. Il a requis la relaxe de O.T., parce que sa participation à cette bagarre n’aurait pas été établie. Le délibéré est fixé à demain vendredi 18 novembre.

Adaman DRABO

Mamadou YERE

Burkina/Lutte contre le terrorisme : Un comité créé pour la collecte transparente des dons (présidence)

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SWI AIB

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18 novembre 2022

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Burkina/Lutte contre le terrorisme : Un comité créé pour la collecte transparente des dons (présidence)

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Le président du Faso le capitaine Ibrahim Traoré a mis en place ce vendredi, un comité pour garantir la transparence dans la collecte des contributions de toutes les bonnes volontés pour sortir des crises sécuritaire et humanitaire que connait le pays.

Dans un communiqué parvenu ce vendredi mi-journée à l’AIB, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré annonce la mise en place d’un comité « pour garantir la transparence dans la collecte des contributions de toutes les bonnes volontés souhaitant participer à l’effort national pour sortir des crises sécuritaire et humanitaire que connait notre pays ».

Le communiqué précise que « ce comité sera chargé (premièrement) de porter à la connaissance de l’opinion nationale et internationale les besoins les plus urgents identifiés par les différents acteurs chargés de la résolution des crises ».

Le comité sera également chargé « de recevoir et enregistrer tous les dons sous toutes les formes afin de les mettre à disposition des acteurs en fonction des besoins (et) de tenir l’opinion nationale et internationale informée des dons collectés et de leur usage », relève le communiqué.

Le communiqué offre plusieurs possibilités aux « bienfaiteurs » pour acheminer leurs contributions.

Retrouvez l’ensemble des moyens dans le communiqué ci-dessous.

Agence d’information du Burkina

WIS/ak

Journée du Tirailleur Africain : Le ministre de la Défense invite à la remémoration

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Commémoration-Journée-Tirailleur-Africain

Journée du Tirailleur Africain : Le ministre de la Défense invite à la remémoration

Ouagadougou, le 18 nov.2022(AIB)-Le ministre d’Etat, ministre de la Défense et des anciens combattants, le colonel-major Kassoum Coulibaly, a invité vendredi à Ouagadougou, les Burkinabè, à se remémorer, ce qu’ont fait leurs devanciers, afin de mieux avancer et lutter contre l’insécurité au Burkina Faso.

« Nous rendons hommage aux anciens qui sont là et tous ceux qui ont pu contribuer d’une manière ou d’une autre, à nous tracer les lignes et conduites pour les batailles que nous avons à mener et que nous mènerons toujours » a indiqué le ministre en charge de la Défense et des anciens combattants, le colonel-major Kassoum Coulibaly.

Selon lui, « il faut savoir d’où nous venons pour mieux avancer. Ce n’est pas un interdit de se remémorer ce qui a été fait avant, cela nous permettra toujours d’avancer et de savoir comment poser les pieds, comment poser les pas ».

Le ministre d’Etat, ministre de la Défense et des anciens combattants, le colonel-major Kassoum Coulibaly s’exprimait vendredi à Ouagadougou, à l’occasion de la cérémonie de dépôts de gerbes dans le cadre de la commémoration de la journée du tirailleur africain.

M. Coulibaly a rappelé que les anciens ont donné des leçons de solidarité et de contribution aux Burkinabè. Il a rappelé que l’année passée pour la même cérémonie, malgré leur maigre pension, les anciens ont donné un million de FCFA pour les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et cela « est un acte à saluer ».

« Pour cette année, nous entamons vraiment ce pas avec une volonté, une conviction de travailler de pair avec l’ensemble des citoyens de ce pays notamment les VDP. Les textes ont été pris dans ce sens », a-t-il confié.

Le ministre en charge de la Défense a rappelé que, nous ne pouvons mener ce combat sans nous rappeler ce que les anciens ont fait pour la liberté, pour la souveraineté.

« Nous sommes tous interpellés à agir main dans la main pour le meilleur de notre Faso », a conclu le colonel-major Coulibaly.

Agence d’information du Burkina

DNK/wis

Dano : Des hommes armés dépouillent des passagers de cars de transport

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Dano-Braquage

Dano : Des hommes armés dépouillent des passagers de cars de transport

Dano, 18 nov. 2022 (AIB)-Des hommes armés ont braqués et dépouillés ce vendredi matin, des passagers de cars de transport en commun et d’autres usagers de la route, de leur téléphone et de l’argent avant de prendre la fuite, a constaté l’AIB.

Un braquage a eu lieu ce vendredi matin aux environs de 10 heures à une quinzaine de kilomètres de Dano précisément dans la commune de Oronkua sur la route nationale (RN) 12 par des hommes armés.

Selon nos sources, les ravisseurs ont arrêté des cars de transport en commun et d’autres usagers de la route qu’ils ont dépouillés de leur téléphone et de l’argent avant de prendre la fuite.

Les éléments de la gendarmerie sont arrivés sur les lieux (bien boisés) situés à la sortie de Oronkua.

Nous y reviendrons.

Agence d’information du Burkina

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Pô : Lancement du plan stratégique communal 2022-2030 en matière d’eau potable et assainissement

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Pô-Eau-Assainissement-Plan-Lancement

Pô : Lancement du plan stratégique communal 2022-2030 en matière d’eau potable et assainissement

Pô, 18 nov. 2022 (AIB)-Le conseil municipal de la commune urbaine de Pô a officiellement lancé le mardi dernier, son plan stratégique communal 2022-2030, en matière d’eau potable et assainissement.

Le secrétaire général de la mairie de Pô, Hamidou Zongo a indiqué que le plan stratégique communal en matière d’eau et d’assainissement (PSC-EA) de la commune de Pô va couter environ neuf milliards sept cent vingt et un million cinq cent quatre-vingt mille (9 721 58 000) Francs.

La somme est repartie comme suit : 6 509 180 000 Francs CFA pour l’accès à l’eau, 2 479 500 000 Francs CFA pour l’accès à l’assainissement et 732 900 000 Francs CFA pour la gouvernance. Elle a été élaborée à travers deux phases : une phase de diagnostic et une phase d’élaboration.

Pour le SG Hamidou Zongo, l’état des lieux donne un taux de 92% d’accès à l’eau potable dans la commune de Pô et 15% pour les ouvrages d’assainissement homologués.

En 2030, a-t-il poursuivi, chaque habitant de la commune de Pô, aura facilement accès à l’eau potable et à des ouvrages d’assainissement adéquats, en tout lieu de vie, de manières durable dans un cadre organisé où chaque acteur s’assume.

Pour sa vision, la commune de Pô a identifié trois axes stratégiques sur lesquelles elle compte travailler.

Le premier axe stratégique vise l’amélioration de la gouvernance communale à travers l’amélioration du travail de la mairie et aussi l’interaction avec la société civile, le second axe stratégique est l’accès universel à des services continus et améliorés d’eau potable et le troisième est l’accès universel à des services d’assainissement.

Pour sa mise en œuvre, la commune va s’appuyer sur un certain nombre de valeurs culturelles à savoir l’engagement citoyen, l’équité, la transparence, la solidarité et la dignité.

Dans son intervention, le président de la délégation spéciale Valérie Bama a souhaité que chaque acteur dans son domaine de compétence, soutienne le projet car sa mise en œuvre, va apporter un complément aux réponses du gouvernement en matière d’eau potable et d’assainissement.

Le Haut-commissaire du Nahouri qui a présidé la cérémonie, a salué le conseil municipal pour sa vision et invité toutes les composantes de la société à porter le projet en participant de manière inclusive à sa mise en œuvre.

Au cours de la cérémonie, une trentaine d’acteurs et de leaders d’opinions se sont engagés, chacun dans son domaine, à accompagner la mairie de Pô pour la mise en œuvre du projet.

La mairie de Pô a bénéficié de l’accompagnement de l’Union européenne, du Centre international de l’eau et de l‘Assainissement (ONG -IRC) et du ministère de l’Eau et de l’Assainissement pour l’élaboration de ce plan.

Agence d’information du Burkina

HKO/wis

Burkina : Solidarité et infrastructure au menu des quotidiens burkinabè

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Presse-Revue

Burkina : Solidarité et infrastructure au menu des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Les journaux burkinabè de ce vendredi s’intéressent à la dégradation du tronçon Sakoinsé-Koudougou, et aux problèmes fonciers à Bobo-Dioulasso sans oublier le soutien aux veuves et orphelins des FDS.

« Dégradation du tronçon Sakoinsé-Koudougou : Les responsabilités seront situées », titre le quotidien public, Sidwaya, citant le ministre Adama Luc Sorgho.

Le quotidien public rapporte que le ministre des infrastructures et du désenclavement, Adama Luc Sorgho, est allé constater hier jeudi, l’état de dégradation de la route Sakoinsé-Koudougou.

Selon lui, la visite a permis de découvrir un certain nombre de dégradations sur cette route, à savoir des nids de poule tout au long de la voie.

Sidwaya indique que le ministre Sorgho a affirmé que des dispositions vont être prises pour qu’il y ait une expertise afin de comprendre les raisons de l’apparition précoce de cette dégradation de la voie.

Le même journal poursuit que lorsque les responsabilités seront situées, il y aura des sanctions et les travaux seront repris dans les normes.

Le journal privé, L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso affiche à sa Une « Adama Bidiga, PDS de la commune de Bobo : Nous sommes à pied-œuvre pour trouver des solutions objectives aux problèmes fonciers ».

L’Express du Faso a accordé une interview hier jeudi au président de la délégation spéciale de la communale de Bobo-Dioulasso, Adama Bidiga qui affirme que des solutions réalistes et réalisables seront mises en œuvre aussitôt que possible.

Le journal privé, poursuit que M. Bidiga dit qu’il est évident que la mesure de suspension s’inscrit en droite ligne des aspirations du comité de réflexion qui préconisait la prise de mesures conservatoires pour minimiser certains risques.

Le doyen des quotidiens, L’Observateur Paalga, mentionne à sa Une : « lutte contre l’insécurité au Burkina : Les propositions de l’Association Destin en Main ».

Le doyen des quotidiens informe que l’Association Destin en Main (ADM) veut jouer sa partition pour le retour de la paix au Faso, à l’issu de la rencontre du 11 novembre 2022, qui a réuni le président du Faso, les responsables des partis politiques et des Organisations de la société civile.

L’Observateur Paalga ajoute que l’Association Destin en Main estime qu’il est temps pour que les autorités optent pour le dialogue avec ceux qui ont pris les armes, en plus d’autres initiatives.

Le journal public rapporte que la direction centrale de l’action sociale des armées, en collaboration avec l’association GO PAGA, a procédé à l’inauguration du centre d’éducation et de promotion sociale interarmées Yérèlon, hier jeudi à Bobo-Dioulasso, au camp militaire Ouézzin-Coulibaly.

Selon Sidwaya, l’objectif de ce centre est de prendre en charge les orphelins et veuves des Forces de défense et de sécurité (FDS), de reconnaitre le sacrifice ultime des soldats et démontrer une solidarité envers leurs familles.

Le quotidien public note que d’autres centres seront construits dans les casernes de Kaya et Ouahigouya, selon la présidente de l’Association GO PAGA, Fatima Kambou.

Sous un autre volet, le quotidien privé, le Pays évoque à sa machette : « Match international amical : Les étalons prêts à relever le challenge face aux Eléphants »

Le journal privé indique que le stade de Marrakech au Maroc accueille ce samedi 19 novembre 2022 sous le coup de 16h GMT, un choc de la sous-région ouest-africaine entre les Etalons et les Eléphants.

Selon le Pays, l’objectif de ce match amical pour Hubert Velud, coach des étalons, est d’évaluer le chemin parcouru avec son groupe de même que pour Jean-Louis Gasset, son homologue de la Côte d’Ivoire.

Agence d’information du Burkina

AMG/wis

Burkina : 150 camions de vivres escortés par l’Armée aux populations de Djibo (communiqué)

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Terroristes-Vivres-Ravitaillement

Burkina : 150 camions de vivres escortés par l’Armée aux populations de Djibo (communiqué)

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Les Forces Armées Nationales ont escortés du 30 octobre au 04 novembre 2022, 150 camions de vivres dont 26 camions du CONASUR, au profit des populations de Djibo (Province du Soum, région du Sahel) rapporte ce vendredi, un communiqué de l’Armée.

Le Bulletin mensuel d’information sur les opérations de sécurisation du territoire national de l’Armée qui rapporte la nouvelle, précise que « la cargaison était composée de vivres et de produits de première nécessité ».

Le Bulletin mensuel indique aussi que « le personnel du 11e RIC de Dori a organisé une collecte de sang le 18 octobre 2022 pour soutenir le CMA de Dori. Le sang collecté a permis de venir en aide aux patients de la structure sanitaire dans le besoin ».

Dans le cadre des activités de commémoration du 62e anniversaire des Forces Armées Nationales, plusieurs actions ont été initiées pour soutenir les populations des zones en proie au terrorisme.

En plus des collectes de sang et des consultations gratuites dans les garnisons militaires, des forages ont été réalisés à Fada et à Kaya au profit des personnes déplacées internes.

Dans le même temps, une campagne de dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus a été conduite par le service de santé des Armées au profit des femmes.

Le détachement militaire de Silmangué (Province du Namentenga, région du Centre-Nord) a célébré le 62e anniversaire des FAN avec les populations de la localité en organisant un repas communautaire le 1er novembre 2022.

Plus de 600 civils ont partagé le repas avec les militaires du détachement dans un esprit de cohésion et de fraternité.

Cette initiative a été grandement saluée par les populations civiles qui ont réaffirmé leur engagement à demeurer aux côtés des FDS dans la lutte contre le terrorisme.

Agence d’information du Burkina

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Burkina : Six militaires et huit VDP perdent la vie au Centre-Est, plusieurs terroristes abattus (Armée)

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Terrorisme-Lutte

Burkina : Six militaires et huit VDP perdent la vie au Centre-est, plusieurs terroristes abattus (Armée)

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)- Six militaires et huit Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) ont perdu la vie lors d’un accrochage le 5 novembre 2022, dans la région du Centre-est. Néanmoins, au cours de l’incident, plusieurs terroristes ont été abattus, rapporte ce vendredi, un communiqué de l’Armée.

Selon le Bulletin mensuel d’information sur les opérations de sécurisation du territoire national de l’Armée, parvenu ce vendredi à l’AIB, « le 05 novembre 2022, une unité du détachement militaire de Soudougui (Province du Koulpelgo, région du Centre-Est) et un groupe de Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) ont été accrochés lors d’une mission de reconnaissance près de la localité de Bagamoussa ».

Le Bulletin mensuel indique que « 06 militaires et 08 VDP ont perdu la vie lors de cet incident au cours duquel plusieurs terroristes ont été abattus ».

Le 07 novembre 2022, le détachement militaire de Sollé a fait face à une attaque de sa base. Des dégâts matériels ont été enregistrés, précise également le Bulletin mensuel.

Agence d’information du Burkina

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Passoré : Une base terroriste détruite dans la commune de La-todin (Armée)

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Yako-Terroristes-Neutralisation

Passoré : Une base terroriste détruite dans la commune de La-todin (Armée)

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Selon le bilan mensuel sur les opérations de sécurisation du territoire national rendu public ce vendredi, l’armée Burkinabè annonce avoir détruit une base terroriste à La-todin à une trentaine de kilomètres de Yako.

Le bilan de l’opération précise en effet qu’un important lot de matériels composé d’armements, de munitions, de moyens roulants, de vivres, de carburants, de couchages, d’effets d’habillement a été complètement détruit au cours de l’opération.

Il s’agit selon le bulletin mensuel sur les opérations de sécurisation du territoire national d’une contre-offensive intervenue au lendemain de l’attaque perpétrée par les hommes armés non identifiés contre la compagnie de la gendarmerie de Yako, le jeudi 10 novembre dernier.

Agence d’information du Burkina

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Burkina : 21 terroristes neutralisés dans les zones de Koumbia et de Boromo (Armée)

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SWI AIB

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18 novembre 2022

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Burkina : 21 terroristes neutralisés dans les zones de Koumbia et de Boromo (Armée)

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Le Groupement de Forces du Secteur Ouest et Sud conduit une importante opération de sécurisation depuis fin septembre dans les zones de Koumbia et Boromo et qui a permis de neutraliser 21 terroristes, rapporte un communiqué de l’Armée.

Le Bulletin mensuel d’information sur les opérations de sécurisation du territoire national de l’Armée, parvenu ce vendredi à l’AIB, informe que « le Groupement de Forces du Secteur Ouest et Sud (GFSOS) a conduit une importante opération de sécurisation dans les zones de Koumbia (Province du Tuy, région des Hauts-Bassins) et Boromo (Province des Balé, région de la Boucle du Mouhoun) ».

L’opération, qui a mobilisé plusieurs unités tactiques, avait pour objectif de traquer les individus armés qui effectuent depuis quelques temps des incursions dans certaines localités de la zone, troublant la quiétude des populations.

Débutée depuis fin septembre, l’opération se poursuit avec un bilan enregistré à ce jour de 21 terroristes neutralisés, de l’armement, des munitions et une quinzaine de motos récupérés, ainsi que des moyens de communication. 520 kg de chanvre indien ont également été saisis.

Le communiqué indique aussi qu’« une contre-offensive a été lancée contre un groupe de terroristes qui a effectué une incursion dans la ville de Yako (Province du Passoré, région du Nord) le 10 novembre 2022 ».

Après avoir effectué des tirs de harcèlement sur les locaux de la Brigade Territoriale de Gendarmerie de la ville, les terroristes se sont retranchés dans leur refuge dans les environs de La Toden.

Un assaut a été lancé par les unités venues en renfort sur ledit refuge dans la matinée du 11 novembre 2022.

La base, sur laquelle se trouvait un important lot de matériel (armement, munitions, moyens roulants, vivres, carburant, couchages, effets d’habillement, etc.) a été complètement détruite.

Agence d’information du Burkina

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Burkina : Le ministre de la Défense Kassoum Coulibaly rend hommage au Tirailleur africain

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Défense-Tirailleur-Journée-Hommage.

Burkina : Le ministre de la Défense Kassoum Coulibaly rend hommage au Tirailleur africain

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Le ministre d’Etat, ministre de la défense et des anciens combattants, le colonel-major Kassoum Coulibaly a honoré ce vendredi matin, la mémoire du tirailleur africain à travers un dépôt de gerbes, au monument aux morts à la place de la Nation.

Ce dépôt de gerbes se tient dans le cadre de la commémoration de la journée du Tirailleur Africain.

Nous y reviendrons

Agence d’information du Burkina

DNK/wis

Burkina : Les statistiques sont un outil précieux d’aide à la décision (responsable)

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SWI AIB

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18 novembre 2022

Burkina-Statistiques-Utilisations-Journalistes-Formation

Burkina : Les statistiques sont un outil précieux d’aide à la décision (responsable)

Ouagadougou, 18 nov. 2022 (AIB)-Le directeur général de l’Institut national de la statistique et de la démographique (INSD), Boureima Ouédraogo a déclaré jeudi à Ouagadougou, que les statistiques sont un outil précieux d’aide à la décision.

« Les statistiques sont un outil précieux d’aide à la décision, particulièrement dans les états et les sociétés modernes dont la gestion de plus en complexe, exige des instruments de pilotage de qualité » a déclaré jeudi, le directeur général de l’Institut national de la statistique et de la démographique (INSD), Boureima Ouédraogo.

M. Ouédraogo a indiqué que « c’est dans ce sens que le système statistique du Burkina Faso, tout comme ceux des autres pays du monde, s’efforce de produire et diffuser des données statistiques en vue de répondre au besoin de l’Etat, des citoyens, des entreprises et des partenaires au développement ».

Le directeur général de l’INSD s’exprimait jeudi à Ouagadougou au cours d’un séminaire de formation des acteurs de la presse à la lecture des indicateurs de la 5^e enquête démographique et de santé organisé par son Institut à Ouagadougou.

Selon lui, ces échanges visent à renforcer les capacités des acteurs de la presse à mieux comprendre, interpréter et utiliser les données statistiques en vue de relayer des informations crédibles auprès des populations.

Il a souligné qu’il n’est pas rare de constater dans la presse comme dans les conversations de tous les jours, des erreurs que les utilisateurs commettent dans l’interprétation et l’analyse des indicateurs statistiques.

« Ces interprétations, parfois erronées, sont très souvent dues à des insuffisances de communication de la part des producteurs de statistiques qui ne prennent pas souvent le soin de donner un contenu clair aux concepts qu’ils utilisent. De ce fait, nous pensons qu’il est important de corriger ce déficit en organisant des formations ou des échanges autour des données », a-t-il souligné.

Cette séance de formation des hommes de medias a concerné les données de la cinquième enquête démographique et de santé réalisée en 2021.

M. Ouédraogo a indiqué que des indicateurs dans des domaines aussi divers que la planification familiale, la santé maternelle et infantile, la survie de l’enfant, le VIH/Sida et les infections sexuellement transmissibles, la santé reproductive et l’état nutritionnel de la population au Burkina Faso et bien d’autres informations sur la population sont disponible.

Pour le chargé de communication de l’institut national de la statistique et de la démographie, Mouonkoun Dabiré, toutes structures ou personne intéressés par ces données sont invitées à s’adresser aux services de communication de l’INSD ou à consulter le site web de l’institution.

Agence d’information du Burkina

DNK/wis

Burkina : Le Premier ministre Apollinaire Kyelem de Tambela prononce samedi sa déclaration de Politique Générale

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SWI AIB

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17 novembre 2022

Burkina-Primature-Parlement-Déclaration

Burkina : Le Premier ministre Apollinaire Kyelem de Tambela prononce samedi sa déclaration de Politique Générale

Ouagadougou, 17 nov. 2022 (AIB)-Le Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambela sera samedi, devant l’Assemblée Législative de Transition pour prononcer sa Déclaration de Politique Générale.

Le Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambela, sera ce samedi 19 novembre 2022, à partir de 10 heures, face aux membres de l’Assemblée Législative de Transition (ALT) pour prononcer sa Déclaration de Politique Générale (DPG).

C’est un exercice républicain inscrit dans la Constitution burkinabè, en son article 63 qui dispose que : « Dans les trente jours qui suivent sa nomination, le Premier ministre fait une déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale ».

Le Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambela prononce samedi, sa Déclaration de Politique Générale devant l’Assemblée législative de Transition

Ce grand oral permet au Chef du Gouvernement, de disposer de la pleine légitimité pour exercer ses fonctions.

Il lui permet ainsi d’engager pleinement sa feuille de route, dans la mise en œuvre des chantiers prioritaires de la Transition.

Agence d’information du Burkina

WIS/ak

Source : DCRP/Primature

Burkina : Décès de l’épouse du président du Conseil général des Assemblées de Dieu

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SWI AIB

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17 novembre 2022

Burkina-Religion-Eglise-Assemblées-Dieu-Décès

Burkina : Décès de l’épouse du président du Conseil général des Assemblées de Dieu

Ouagadougou, 17 nov. 2022 (AIB)-L’épouse du président du Conseil général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso, madame Wendkouni Hortence Zongo est décédée ce jeudi, au Benin, selon un communiqué parvenu à l’AIB.

Selon un communiqué parvenu ce jeudi après-midi à l’AIB, le vice-président du Conseil général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso le Révérend Dr Jephté Sawadogo (…) informe de la « promotion céleste le jeudi 17 novembre 2022 au Bénin, de madame Zongo Wendkouni Hortence, épouse du Révérend Dr Etienne P. Zongo, président du Conseil général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso ».

Le communiqué indique que le programme des obsèques sera communiqué ultérieurement.

Agence d’information du Burkina

WIS/ak

Burkina : Trois actions préconisées pour réduire l’incidence du cancer du col de l’utérus (responsable)

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SWI AIB

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17 novembre 2022

Burkina-Santé-Cancer-Lutte-Conférence

Burkina : Trois actions préconisées pour réduire l’incidence du cancer du col de l’utérus (responsable)

Ouagadougou, 17 nov. 2022 (AIB)-La coalition burkinabè de lutte contre le cancer du col de l’utérus (COBUCAN) a préconisé ce jeudi à Ouagadougou, trois actions pour réduire l’incidence de la maladie d’ici 2030, à moins de 4 pour 100 000 femmes.

Le président de la coalition de lutte contre le cancer du col de l’utérus au Burkina Nayi Zongo a affirmé ce jeudi à Ouagadougou, qu’il existe trois piliers contre le cancer du col de l’utérus.

Il a cité en premier lieu, la vaccination contre Human Papilloma Virus (HPV), le virus responsable du cancer du col de l’utérus.

Le vaccin anti HPV concerne les jeunes filles de 9 à 14 ans (soit une prévision de 90%) n’ayant pas eu de contact sexuel, a souligné le professeur Zongo.

Il a précisé que le vaccin est préventif et non curatif et qu’il est disponible au Burkina Faso depuis mars 2021 grâce aux efforts du gouvernement et des partenaires techniques et financiers.

Le second pilier contre le cancer du col de l’utérus est le dépistage des lésions précancéreuses et leur traitement, a poursuivi le président de la coalition.

Il a fait savoir que ce pilier s’adresse aux femmes entre 35 et 45 ans, ayant déjà eu un contact sexuel, (soit une prévision de 70%), car cette cible est potentiellement porteuse de virus.

Le Pr Nayi Zongo a terminé par le dernier pilier qui consiste à offrir un accès équitable des soins à toutes les femmes porteuses de cancer du col de l’utérus (soit une prévision de 90%). Il a indiqué que ces différentes actions permettront d’ici 2030, de réduire l’incidence du cancer du col de l’utérus à moins de 4 pour 100 000 femmes.

Nayi Zongo s’exprimait jeudi, au cours d’une conférence de presse organisée à l’occasion du deuxième anniversaire, de la coalition burkinabè de lutte contre le cancer du col de l’utérus (COBUCAN).

Le Pr Nayi Zongo, a rappelé que le cancer du col de l’utérus est le cancer qui tue le plus de femmes au Burkina (soit un décès tous les deux heures).

Il a déploré que moins de 10% des femmes se rendent dans les structures de santé pour se faire dépister, malgré la gratuité du dépistage des légions précancéreuses et leurs traitements par le ministère de la santé depuis 2016.

Agence d’information du Burkina

BS-POM/wis

Kombissiri : L’observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires installé et outillé

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SWI AIB

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17 novembre 2022

Burkina-Kombissiri-Conflits-Prévention-Gestion

Kombissiri : L’observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires installé et outillé

Kombissiri, 17 nov. 2022 (AIB)-Les membres de l’observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires (OPPREGECC) du Bazèga ont été officiellement installés et outillés le lundi dernier à Kombissiri.

L’installation des membres de l’observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires (OPPREGECC) du Bazèga a été effectuée le lundi dernier à Kombissiri par une mission du Secrétariat permanent de l’Observatoire national de prévention et de gestion des conflits communautaires (SP-ONAPREGECC).

Cette installation a été suivie d’une formation des 15 membres de l’observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires l’OPPREGECC/Bazèga qui s’est déroulée du lundi 14 au mercredi16 novembre 2022.

Selon le chef de département Planification, suivi et capitalisation au SP-ONAPREGECC, Bêbê Da, les objectifs de l’OPPREGECC sont entre autres, la réalisation d’activités de sensibilisation, d’information et de formation et la contribution à la résolution des conflits communautaires dans la province.

La formation a permis aux membres de s’outiller en matière de prévention et de gestion des conflits communautaires.

Le Haut-commissaire de la province, Mme Téné Justine Kientéga/Ilboudo a présidé l’atelier de formation des membres de l’OPPREGECC-Bazèga

À cet effet, des communications ont été présentées, notamment sur l’état des lieux des conflits communautaires, les facteurs et les conséquences, l’analyse et les techniques de prévention, de collecte des données et de gestion des conflits communautaires.

Selon le chef de service d’alerte précoce au SP-ONAPREGECC, Moussa Banhoro, en 2021 au plan national, sur 1097 conflits enregistrés, plus de 700 étaient liés au foncier.

Pour rappel, l’OPPREGECC-Bazèga a été créé en janvier 2016. La présidence est assurée par le Haut-commissaire de la province et les membres sont des représentants de certaines structures déconcentrées de l’État, des représentants des communautés religieuses, d’OSC et de la chefferie traditionnelle.

Agence d’information du Burkina

TPT/wis

Soutenance : Félix Kossa dépeint les difficultés du système éducatif béninois

Par

salamberea

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17 novembre 2022

BURKINA-EDUCATION-SOUTENANCE

Soutenance : Félix Kossa dépeint les difficultés du système éducatif béninois

Koudougou, 3 nov. 2022 (AIB) – Le Béninois Félix Kossa a fait une analyse critique sur l’encadrement pédagogique dans le système éducatif de l’école primaire béninoise le jeudi 3 novembre 2022 à l’Université Norbert Zongo de Koudougou. L’impétrant qui a obtenu la « mention très honorable », a donné des pistes de solutions pour revêtir l’enseignement au Bénin.

C’est sur le thème « Etude des conditions préalables à l’implantation de la supervision pédagogique dans les écoles primaires au Bénin » que Félix Kossa a présenté sa thèse doctorale devant un jury satisfait du travail.

Analysant la problématique sur l’encadrement pédagogique, Dr. Kossa a expliqué « nos grands maîtres ont évalué le travail et ils ont vu que c’est cohérent avec l’évolution de la société et que l’encadrement pédagogique doit être normalement modernisé. Ça ne doit pas seulement s’arrêter sur la visite de classe mais sur d’autres formes de supervision. Il faut nécessairement diversifier pour permettre à ceux-là qui veulent se professionnaliser de le faire. Et pour le faire on ne peut que passer par la supervision pédagogique ».

Le jury donnant son appréciation sur le travail de M. Kossa

C’est cette différence d’encadrement que l’impétrant a voulu clarifier. « Je voudrais apporter à mes confrères enseignants du Bénin, pour qu’ils puissent s’accrocher à la nouvelle donne pour que nous puissions aller de l’avant ». La décision de changement positif dans le domaine incombe à l’Etat mais le professeur d’économie au Bénin mentionne que « nous irons exposer à l’Etat ce qu’il faut faire pour permettre la professionnalisation des enseignants sur le terrain pour la réussite scolaire de nos enfants ». Ce sont des méthodes dites participatives.

De la visite de classe à la supervision pédagogique

Face au jury, Félix Kossa explique que « depuis 1960 nous avons eu trois réformes dans le système éducatif du Bénin et aucune des réformes n’a tenu compte de la supervision pédagogique, d’aucune modification au sein de l’encadrement du Bénin. Il n’y a que la visite de classe et autres. Alors que c’est la supervision pédagogique qui améliore les pratiques des enseignants. Il faut nécessairement qu’on l’instaure dans l’environnement scolaire du bénin ».

Le co-directeur de mémoire de l’impétrant Pr. Gbongué Jean Baptiste a fait savoir que M. Kossa « veut offrir quelque chose au système éducatif béninois. Il veut apporter un changement important ». A l’issue de son exposé le président du jury, Pr. Félix Tiendrébéogo a fait quelques observations avant de féliciter docteur Félix Dossa pour le travail très fort appréciable.

« C’est un document riche et très élaboré », a-t-il laissé entendre. Il a donc donné « la mention très honorable » au tout nouveau docteur Félix Kossa. Les deux rapporteurs du jury (Dr. Innocent Ouédraogo et Dr. Félix Compaoré) ont également fait leurs observations pour améliorer le document.

Dr. Kossa est enseignant, professeur d’économie au Bénin et membre du conseil supérieur de la magistrature au Bénin. Il est pasteur et propriétaire d’établissement.
Agence d’information du Burkina
as/

Burkina/Recrutement des VDP : 1632 inscrits à la date du 16 novembre au Ganzourgou

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SWI AIB

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17 novembre 2022

Burkina-Zorgho-VDP-Recrutement

Burkina/Recrutement des VDP : 1632 inscrits à la date du 16 novembre au Ganzourgou

Zorgho, 17 nov. 2022 (AIB)-A deux jours de la clôture des inscriptions des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), la province du Ganzourgou enregistre 1632 inscriptions, soit 1599 inscriptions dans les huit communes et 33 inscriptions au compte des volontaires nationaux.

A la date du 16 novembre, la commune de Boudry, la plus vaste commune de la province était en tête avec 295 inscrits.

Elle était suivie de la commune de Zorgho, chef-lieu de la province, avec 239 inscrits.

Venaient ensuite les communes de Mogtédo (237 inscrits), Méguet (201 inscrits), Zam (193 inscrits), Kogho (174 inscrits), Salogo (158 inscrits) et enfin Zoungou (102 inscrits).

Au niveau du Haut-commissariat, 33 inscriptions ont été enregistrées au compte des volontaires nationaux. La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 18 novembre prochain.

Cette opération lancée par le gouvernement de la Transition vise à recruter 15 000 VDP à déployer sur le territoire national et 35 000 VDP au niveau communal soit 100 par commune pour appuyer l’armée dans la lutte contre le terrorisme.

Agence d’information du Burkina

MS/wis

ACTUALITÉS : LE MONDE EN BREF DU JEUDI 17 NOVEMBRE 2022

Par

AZ AIB

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17 novembre 2022

ACTUALITÉS

LE MONDE EN BREF DU JEUDI 17 NOVEMBRE 2022

PRZEWODOW (Pologne) – Le risque d’une implication directe de l’Otan face à Moscou et d’une escalade majeure dans la guerre en Ukraine s’est éloigné mercredi après que les responsables de l’Alliance ont contredit les accusations de Kiev d’un tir de missile russe contre la Pologne.

– Kiev a réaffirmé mercredi que le missile ayant tué deux personnes la veille dans un village polonais près de la frontière avec l’Ukraine était « russe », contredisant l’Otan et Washington qui accréditent plutôt la thèse d’un missile de défense ukrainien.

WASHINGTON – Les républicains ont repris mercredi, au terme d’un laborieux décompte des voix, le contrôle de la Chambre américaine des représentants, selon des médias américains, s’octroyant un pouvoir de blocage de la politique de Joe Biden jusqu’en 2024 et entrainant une division du Congrès.

CHARM EL-CHEICK (Egypte) – La visite du président brésilien élu Lula, qui a promis de protéger l’Amazonie, et la réaffirmation par le sommet du G20 à Bali d’objectifs climatiques ambitieux ont donné un coup de fouet mercredi aux négociations sur le climat de Charm el-Cheikh.

SEOUL – La Corée du Nord a lancé jeudi un nouveau missile balistique, quelques heures après avoir promis une riposte « féroce » au renforcement de l’alliance militaire entre Washington, Séoul et Tokyo.

CENTRE SPATIAL KENNEDY (Etats-Unis) – Dans un bruit assourdissant, la nouvelle méga-fusée de la Nasa, la plus puissante du monde, a décollé mercredi depuis la Floride, direction la Lune, pour la première mission non habitée du nouveau programme phare de l’agence spatiale américaine, Artémis.

RANGOUN – La junte au pouvoir en Birmanie a annoncé jeudi qu’elle allait libérer 700 prisonniers, dont une ex-diplomate britannique, un journaliste japonais et un conseiller australien du gouvernement déchu d’Aung San Suu Kyi.

PARIS – La justice a annoncé mercredi trois nouvelles condamnations à mort à l’encontre de manifestants en Iran, où sept personnes ont été tuées en deux jours lors du mouvement de protestation contre la mort de Mahsa Amini, qui est entré dans son troisième mois.

ADDIS ABEBA (Ethiopie) – Un convoi du Programme alimentaire mondial (PAM) est entré mercredi dans la région éthiopienne du Tigré, le premier depuis la signature début novembre d’un accord destiné à mettre fin à deux ans de conflit dans le nord de l’Ethiopie.

PARIS – Le changement climatique a multiplié par 80 la probabilité des pluies intenses à l’origine d’inondations historiques au Nigeria, qui ont tué ces derniers mois plus de 600 personnes et dévasté l’agriculture du pays le plus peuplé d’Afrique, selon une étude scientifique publiée mercredi.

DUBAI (Emirats arabes unis) – Un navire transportant une cargaison de gazole, détenu par un homme d’affaires israélien, a été visé par un projectile au large de la côte d’Oman, sans faire de victimes, une attaque attribuée par Israël et Washington à l’Iran.

PARIS – La justice française a enlevé mercredi une épine du pied du président des Emirats arabes unis Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, dit MBZ, en clôturant, au nom de son immunité, une procédure le visant en France pour « complicité d’actes de torture » dans le cadre du conflit au Yémen.

BRUXELLES – L’imam marocain Hassan Iquioussen, exilé cet été en Belgique pour échapper à une mesure d’expulsion depuis la France vers le Maroc, a été placé dans un centre de rétention belge en vue d’un éloignement du territoire, une décision jugée « scandaleuse » mercredi par ses avocats.

WILMINGTON (Etats-Unis) – Elon Musk s’est extirpé pendant quelques heures mercredi des turbulences chez Twitter pour défendre devant un tribunal l’énorme plan de rémunération que Tesla lui a accordé en 2018, affirmant que le succès du fabricant de véhicules électriques était à l’époque loin d’être garanti.

PEKIN – Le géant chinois de l’internet Tencent a annoncé mercredi un nouveau repli de son chiffre d’affaires trimestriel, sur fond de restrictions réglementaires en Chine sur les jeux vidéos et le secteur technologique.

LONDRES – Les factures d’énergie ont propulsé l’inflation au Royaume-Uni à plus de 11% sur un an en octobre, nouveau coup dur pour les ménages britanniques à la veille d’une présentation budgétaire qui doit signer le retour de l’austérité dans le pays.

WASHINGTON – Un homme qui a tué six personnes en fonçant en voiture sur une foule lors d’une parade de Noël aux Etats-Unis en 2021, a été condamné mercredi à la prison à vie sans possibilité de remise en liberté conditionnelle.

NEW YORK – Une toile monumentale et emblématique d’Andy Warhol dans les années 60, « White Disaster [White Car Crash 19 Times] », a été vendue 85 millions de dollars aux enchères mercredi soir chez Sotheby’s à New York, en-dessous du record de l’artiste américain.

POINTE-A-PITRE (France) – Le talentueux navigateur Charles Caudrelier a remporté en un temps record mercredi la 12e édition de la Route du Rhum après un duel de haute volée avec François Gabart, une arrivée à Pointe-à-Pitre endeuillée par l’accident d’un bateau suiveur qui a fait deux morts.

DOHA – L’un rêve de soulever pour la première fois le trophée le plus précieux du football, les autres de le conserver: l’Argentin Lionel Messi et les Français, champions en titre, sont arrivés mercredi au Qatar pour y disputer le Mondial-2022 qui débute dimanche.

AFP

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