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Départ armée française du Burkina : Nous ne voyons pas pour quelle raison, la France ne va pas respecter le délai d’un mois, ministre Jean Emmanuel Ouédraogo

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Départ armée française du Burkina : Nous ne voyons pas pour quelle raison, la France ne va pas respecter le délai d’un mois, ministre

Ouagadougou, le 23 janv.2023 (AIB)-Le porte-parole du gouvernement burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo, a indiqué lundi à Ouagadougou que qu’il n’a pas de raison que la France ne respecte pas le délai d’un mois pour le retrait de sa force militaire installé à Ouagadougou.

«Il ne faut pas se lancer dans des procès d’intention. L’accord est clair. L’article 16 est clair. En cas de dénonciation, il y a un préavis d’un mois qui est donné à l’autre partie. Au stade actuel, nous ne voyons aucune raison que la partie française ne respecte pas les termes d’un accord qu’elle a signé », a souligné le porte-parole du gouvernement burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le ministre en charge de la communication, porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo, s’exprimait lundi à la télévision nationale du Burkina (RTB).

De son avis, il ne faut pas présumer, il ne faut pas faire de procès d’intention sur cette question.

Le gouvernement burkinabè a dénoncé et mis fin le 18 janvier 2023 l’accord militaire qui liait Ouagadougou et Paris, et exige le départ des forces françaises stationnées à Ouagadougou depuis 2015. Selon les termes de l’accord, si l’une des parties dénonce l’accord qui les lie, l’autre partie a un mois pour s’exécuter

Agence d’Information du Burkina (AIB)

Dnk/ata

 

Le départ de l’armée française du Burkina n’est pas la fin des relations diplomatiques entre les deux pays

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Le départ de l’armée française du Burkina n’est pas la fin des relations diplomatiques entre les deux pays, ministre

Ouagadougou, le 23 janv.2023 (AIB)- Le porte-parole du gouvernement burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo a indiqué lundi à Ouagadougou, le départ de l’armée française du Burkina n’est pas la fin des relations diplomatiques entre les deux pays.

«Ce que nous dénonçons aujourd’hui c’est l’accord qui permet aux Forces françaises d’être au Burkina. Au-delà de cela, il ne s’agit pas de la fin des relations diplomatiques entre le Burkina Faso et la France et peut-être d’autres partenaires », a indiqué le porte-parole du gouvernement burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le ministre en charge de la communication, porte-parole du gouvernement burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo, s’exprimait lundi à la télévision nationale du Burkina (RTB).

Selon lui, cette dénonciation concerne l’accord de coopération militaire qui permet aux forces françaises depuis un certain nombre d’année d’être présente au Burkina Faso.

« Au-delà, de cela il n’y a pas en principe de notre avis autre chose qui devrait changer », a-t-il souligné.

« De toute les façons nous sommes prêts également à aviser le cas échéant, étant convaincu aujourd’hui que quel que soit la situation l’engagement et le sursaut patriotique des Burkinabè tous ensemble nous permettrons de faire face à toutes les situations de gagner la guerre et surtout d’assurer également la reprise de la marche du Burkina Faso sur le chemin du développement et de l’épanouissement de l’ensemble de ces citoyens », a annoncé le ministre.

Le gouvernement burkinabè a dénoncé et mis fin le 18 janvier 2023 l’accord militaire qui liait Ouagadougou et Paris, et exige le départ des forces françaises stationnées à Ouagadougou depuis 2015. Selon les termes de l’accord, si l’une des parties dénonce l’accord qui les lie, l’autre partie a un mois pour s’exécuter.

Agence d’information du Burkina

Dnk/ata

Le ministre des sports rassure de la reprise de la nuit des médailles

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Le ministre des sports rassure de la reprise de la nuit des médailles

Ouagadougou, 23 jan. 2023 (AIB)-Le ministre des sports, de la jeunesse et de l’emploi, Boubacar Savadogo a rassuré vendredi, à Ouagadougou, au cours d’une rencontre de prise de contact avec les fédérations sportives, de la reprise de la nuit des médailles suspendue en 2020 pour cause de COVID-19.

« J’ai félicité tout à l’heure les différentes médailles conquises. Et pour manifester cela, nous avons prévu, en commun accord et votre adhésion, l’organisation prochaine d’une nuit des médailles comme vous avez l’habitude de le faire et malheureusement avec la crise COVID, cette manifestation où cet événement noble n’avait pas pu être organisé les 2 dernières années », a déclaré le ministre en charge des sports, Boubacar Savadogo.

Le patron du département des sports a rencontré le vendredi 20 janvier 2023 à Ouagadougou la trentaine de fédération burkinabè pour s’imprégner des réalités et poser les jalons pour le rayonnement du secteur.

A cet effet, à bâtons rompus, il s’est entretenu avec les différentes fédérations des questions, notamment le renforcement ou l’opérationnalisation des infrastructures sportives, l’arbitrage budgétaire et la nuit des récompenses des athlètes médaillés.

A propos, le ministre Savadogo tient en cette année 2023, organiser la nuit des médailles. « Nous allons tout faire pour l’organiser cette année pour féliciter les médaillés. L’organisation de cette nuit va se faire en collaboration avec le secrétaire général du ministère, les différents directeurs et avec les acteurs », a-t-il indiqué.

Selon lui, la prochaine étape sera consacrée à l’exercice de l’arbitrage budgétaire qui va se faire avec les 30 fédérations.

« L’arbitrage budgétaire sera fait avec 30 fédérations. C’est déjà programmé. Les dates sont connues et les invitations vont aller le plus tôt possible pour que chaque fédération commence ses activités », a-t-il noté.

  1. Savadogo a par ailleurs expliqué que le ministère n’a pas de moyens inextensibles ou sans fin et a promis que son département fait des efforts malgré le contexte sécuritaire difficile pour le rayonnement du sport.

« Nous ne pouvons pas dire qu’à cause de l’insécurité, on ne fait plus rien, donc nous allons toujours essayer, dans la mesure du possible, de vous soutenir pour aller conquérir des médailles, pour porter haut le drapeau du Burkina », a-t-il expliqué.

Le ministre en charge des sports dit prendre toute la mesure pour diligenter le traitement des demandes posées par les fédérations pour qu’elles arrivent à se préparer pour les compétitions.

« Si vous planifiez bien, nous allons suivre votre rythme pour être à jour. Et ça, je tiens à cela. Je l’ai dit à mes collaborateurs. Il faut que les calendriers soient affichés dans les différents bureaux », a-t-il conclu.

Cette rencontre, a-t-il dit, est aussi une manifestation pour marquer son accompagnement à atteindre les objectifs de ces 30 fédérations.
Agence d’information du Burkina
HO/as

Burkina : Coopération militaire, pénurie de carburant et culture au menu des quotidiens

Burkina-Revue-Presse

Burkina : Coopération militaire, pénurie de carburant et culture au menu des quotidiens

Ouagadougou, 23 janv. 2023 (AIB)-Les journaux burkinabè de ce lundi font cas de la 16è édition du SIAO, de l’explication suite à la pénurie de carburant et de la coopération militaire France-Burkina.

« Coopération militaire : L’armée française sommée de quitter le Burkina dans un mois », titre à sa Une le quotidien Sidwaya.

Le journal informe en citant l’AIB que le gouvernement burkinabè a dénoncé mercredi dernier, l’accord qui régit depuis 2018, la présence des forces armées françaises sur son territoire.

Dans la même colonne, L’Observateur Paalga ajoute que cette décision intervient alors que de plus en plus des informations font état de la présence de mercenaires de Prigogine sur notre sol ou à tout le moins des discussions très avancées sur leur déploiement.

« Venez, le terrain est libre », tel semble être le message envoyé à l’Ours russe qui n’en demandait pas tant pour établir sa nouvelle tanière dans le Sahel, a rajouté l’Observateur Paalga.

« Dysfonctionnement observés dans la distribution du Super 91 : Le gouvernement donne des explications aux députés », titre le journal privé, Le Pays.

Selon Le Pays, le gouvernement était face aux députés pour apporter des réponses par rapport aux dysfonctionnements récemment observés dans la distribution du carburant, en particulier le Super 91 au niveau des stations-services.

Le journal relate les propos du ministre du commerce, Serge Poda qui évoque que ce désagrément fait suite au refus d’un fournisseur de relâcher les produits au profit de la SONABHY ; en invoquant le fait qu’il voulait entrer en possession de son paiement de façon effective.

Selon le journal, le contrat qui liait la SONABHY à ce fournisseur stipule qu’en cas de retard de paiement, le fournisseur pouvait se réserver le droit d’appliquer les pénalités de retard de paiement et non un arrêt de livraison.

Sidwaya dans la même marche indique que des mesures ont été envisagées pour garantir la disponibilité des hydrocarbures pour les populations à savoir la révision des procédures des appels d’offres sur les hydrocarbures, ainsi que dans l’acquisition des dépôts extérieurs pour réduire la dépendance étrangère.

« Organisation du SIAO 2023 : Toutes les dispositions sont prises pour le déroulement en toute quiétude » titre L’Express du Faso édité à Bobo Dioulasso.

Le journal informe que du 27 janvier au 05 février prochain se tiendra la 16ème édition du Salon international de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO).

Le ministre du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des PME, Serge Poda accompagné de ses collaborateurs à fait le point des préparatifs de l’évènement lors d’une conférence de presse le 20 janvier 2023 au siège du salon.

Dans la même manchette, Sidwaya mentionne que ce sont 800 millions de FCFA qui ont été mobilisés pour la tenue du SIAO 2023 avec un prix de 500 et 1000 FCFA. Pour cette 16ème édition, le pays invité d’honneur est la Côte d’Ivoire.

Agence d’information du Burkina

ZST-POM/wis 

ACTUALITÉS / LE MONDE EN BREF DU LUNDI 23 JANVIER 2023

ACTUALITÉS

LE MONDE EN BREF DU LUNDI 23 JANVIER 2023

 

MONTEREY PARK (Etats-Unis) – Le suspect de la tuerie qui a fait 10 morts samedi soir dans un dancing californien a été retrouvé mort après s’être suicidé dans une camionette blanche au terme d’une course-poursuite avec la police, a annoncé dimanche le shérif local.

 

BERLIN – L’Allemagne est prête à autoriser la Pologne à livrer des chars Leopard, à l’Ukraine, qui les réclame avec insistance, a affirmé dimanche la cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbock, renforçant la pression sur le chancelier Olaf Scholz, toujours réticent à se prononcer sur la question.

 

PARIS – Après la panne, la tentative de sursaut: Emmanuel Macron et Olaf Scholz ont affiché dimanche à Paris leur volonté de travailler ensemble au service de la « refondation » de l’Europe, y compris dans la réponse à apporter au plan massif de subventions à l’industrie américaine, sans surmonter toutes leurs divergences, notamment sur la défense européenne.

 

OSLO – En bientôt un an d’affrontements, la guerre en Ukraine a fait près de 180.000 morts ou blessés dans les rangs de l’armée russe, et 100.000 côté ukrainien sans compter 30.000 civils tués, selon des estimations données dimanche par le chef de l’armée norvégienne.

 

OTTAWA – Fruit d’un accord historique, le Canada a accepté de verser un dédommagement de près de trois milliards de dollars canadiens aux peuples autochtones, afin de « réparer les préjudices » subis pendant un siècle par des milliers d’enfants internés de force dans des pensionnats religieux.

 

OUAGADOUGOU – Le Burkina Faso a demandé le départ des troupes françaises de son sol d’ici un mois, confirme un document officiel transmis dimanche à l’AFP, alors que le président français Emmanuel Macron a dit attendre « des clarifications » de Ouagadougou dans ce nouvel épisode des tensions entre les deux pays.

 

ADDIS ABEBA – L’armée érythréenne a quitté une ville du Tigré et restait présente dans deux autres dimanche, ont indiqué des habitants de cette région du nord de l’Ethiopie, au lendemain de l’annonce par Washington d’un « retrait en cours » de ces soldats accusés de nombreuses exactions.

 

ISTANBUL (Turquie) – Recep Tayyip Erdogan, à la tête de la Turquie depuis 2003 et qui espère le rester encore cinq ans, a confirmé dimanche la date du 14 mai pour la tenue des élections présidentielle et législatives.

 

JERUSALEM – Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a été contraint, sous la pression de la justice, de démettre dimanche de ses fonctions le numéro deux du gouvernement Arié Dery, condamné pour fraude fiscale.

 

PEKIN – La Chine a fait état samedi de près de 13.000 décès liés au Covid-19 à l’hôpital entre le 13 et le 19 janvier, un haut responsable des autorités sanitaires affirmant que la grande majorité de la population avait déjà été contaminée.

 

ALEP (Syrie) – Seize personnes dont des enfants ont péri dans l’effondrement dimanche d’un immeuble dans un quartier d’Alep, la deuxième ville de Syrie, selon plusieurs sources locales.

 

MOGADISCIO – Au moins six civils ont péri dimanche dans une attaque des insurgés islamistes shebabs contre le bureau du maire de Mogadiscio, a annoncé la police.

 

YAOUNDE – Un journaliste porté disparu dans des circonstances floues depuis plusieurs jours au Cameroun a été retrouvé mort dimanche, ont annoncé son média et sa famille, alors que l’opposition et des organisations de défense de la presse dénoncent un « assassinat ».

 

MANZINI (Eswatini) – Thulani Maseko, un avocat défendant les droits humains et opposant influent en Eswatini (ex-Swaziland), a été abattu samedi soir à son domicile, a confirmé dimanche sa formation politique, quelques heures après un discours de défiance du roi contre les opposants à son règne absolu.

 

LYON – Ne pas nier les évidences, tout en minimisant leur participation: ce devrait être la délicate ligne de défense des six accusés jugés à partir de lundi à Lyon, dans l’est de la France, pour l’attaque en 2017 d’un fourgon de transport de fonds en Suisse, au butin record.

 

PARIS – Le projet de pipeline européen d’hydrogène H2Med qui vise à développer l’emploi de l’hydrogène sur le continent va être étendu des pays du sud-ouest européen à l’Allemagne, ont annoncé dimanche le président français Emmanuel Macron et le gouvernement espagnol.

 

WELLINGTON – Le futur Premier ministre néo-zélandais Chris Hipkins a été confirmé dimanche à la tête du parti travailliste au pouvoir, avant son intronisation mercredi par la gouverneure générale du pays.

 

NEW DELHI – Le gouvernement indien a annoncé samedi avoir bloqué des vidéos et des tweets partageant un documentaire de la BBC sur le rôle du Premier ministre Narendra Modi dans les émeutes communautaires du Gujarat en 2002, le qualifiant de « propagande ».

 

MELBOURNE (Australie) – Iga Swiatek, N.1 mondiale, demi-finaliste l’an dernier et l’une des favorites de l’édition 2023, n’aura pas passé les 8es de finale de l’Open d’Australie, défaite par Elena Rybakina, dimanche à Melbourne, alors que Stefanos Tsitsipas s’est qualifié en quart aux dépens de Jannik Sinner.

 

LOS ANGELES (Etats-Unis) – « Avatar 2: la voie de l’eau » continue d’engloutir le box-office nord-américain et fait désormais partie du club très fermé des films qui ont dépassé les 2 milliards de dollars de recettes dans le monde, selon les chiffres provisoires dimanche du cabinet spécialisé Exhibitor Relations.

Avec l’AFP

 

 

Bam: des citoyens demandent davantage de sécurité

Bam: des citoyens demandent davantage de sécurité

Kongoussi, 21 4. 2023, (AIB)- Plusieurs centaines de personnes sont sorties samedi matin à Kongoussi, pour demander beaucoup plus de sécurité dans la province du Bam.

Ce sont plusieurs centaines de personnes issues des différentes couches sociales ( commerçants, travailleurs, orpailleurs, de leaders coutumiers) qui se sont réunies au grand rond point de Kongoussi le 21 janvier 2023.

 

Le Rassamb Naaba ( chef des jeunes) de Tikaré a exhorté les unités combattantes à s’impliquer davantage dans la lutte contre le terrorisme.

Le porte-parole des déplacés internes à Kongoussi souhaite que le combat contre le terrorisme se mène dans la transparence et que les VDP soient mieux équipés et protégés pour aider les militaires dans le combat.

 

Quant au coordonnateur du Mouvement pour la résistance populaire (MRP) Aly Nana, il a honoré la mémoire des FDS et des VDP tombés sur le champ d’honneur avant d’interpeler le gouvernement à prendre ses responsabilités.

 

Il a appelé le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim Traoré à jeter un regard sur la situation sécuritaire au Bam.

En rappel, des VDP ont affronté des groupes armés le 19 janvier 2023 à Rakoygtenga dans la commune de Zimtanga. Le bilan provisoire établi par des témoins fait état de 6 VDP et d’une femme tués, de nombreux blessés et plus de 30 engins emportés.

Agence d’information du Burkina

 

 

 

 

 

 

La ville de Titao ravitaillée à nouveau en produits de première nécessité

La ville de Titao ravitaillée à nouveau en produits de première nécessité

Ouagadougou, 21 janv. 2023(AIB)-La ville de Titao a été ravitaillée en produits de premières nécessité, le vendredi 20 janvier 2023.

Les cargaisons comprenaient des produits de premières nécessités notamment des vivres et des marchandises diverses de commerce.

 »Le convoi tant attendu est enfin arrivé. Nous sommes soulagés car il y avait pratiquement plus de produits dans la ville. » a confié à l’AiB un résident.

Ce convoi de ravitaillement a été organisé grâce à l’appui des forces de défense et de sécurité et des forces vives de la localité. Le dernier convoi date du 10 septembre 2022.

La ville était replongée dans une pénurie de produits de premières nécessités affectant considérablement la vie des populations.

 

La ville de Titao traverse une situation sécuritaire difficile du fait du blocus imposésL’administration et plusieurs habitants se sont déplacés dans la ville de Ouahigouya, chef-lieu de la région du Nord.

Agence d’information du Burkina

Le Burkina Faso a acté le départ de l’armée française de son territoire

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Le Burkina Faso a acté le départ de l’armée française de son territoire

Ouagadougou, 21 janv. 2023 (AIB)-Le gouvernement burkinabè a dénoncé mercredi dernier, l’accord qui régit depuis 2018, la présence des Forces armées françaises sur son territoire, a appris l’AIB.

Cette dénonciation faite le 18 janvier 2023, donne selon les termes de l’accord du 17 décembre 2018, un mois aux Forces armées françaises pour quitter le territoire burkinabè, indiquent les sources de l’AIB.

En rappel, depuis plusieurs mois, des citoyens manifestent régulièrement pour demander le départ des militaires de l’opération Sabre, stationnés à Kamboinssin, au Nord-Est de Ouagadougou.

Ces protestataires accusent la France tantôt de ne pas faire assez pour aider le Burkina Faso en proie à des attaques terroristes, tantôt d’être de mèche avec les agresseurs.

Le capitaine Ibrahim Traoré arrivé au pouvoir le 30 septembre 2022, a affiché son ambition à maintes reprises, de reconquérir l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale.

Agence d’information du Burkina

Photo d’archive et d’illustration

Transport de vivres: des propriétaires de camions réclameraient 2 millions de FCFA par véhicule

Transport de vivres: des propriétaires de camions réclameraient 2 millions de FCFA par véhicule

Ouagadougou, 21 janv. 2023(AIB)- Des propriétaires de camions réclameraient deux millions de FCFA par véhicule pour le transport des vivres dans les zones à forts défis sécuritaires, a appris l’AIB samedi.

Le 17 janvier 2023, le chef d’Etat major général des armées (CEMGA), le colonel-major David Kabré, invitait toutes les bonnes volontés à mettre à la disposition des Forces Armées Nationales , à titre gratuit ou à prix social , des camions avec conducteurs, en vue du transport des vivres et des denrées de première nécessité, au profit des populations dans les zones rouges.

Si son appel semble avoir été entendu par certains, d’autres réclameraient deux millions de FCFA par camion comme frais de location, a appris l’AIB de sources proches du dossier.

Ces derniers temps de nombreuses localités sont pourtant en attente de ravitaillement et des appels sont lancés en direction des autorités afin de soulager les populations.

Agence d’information du Burkina

ATTENTION : photo d’archive et d’illustration

Burkina: Les femmes enlevées à Arbinda ont été retrouvées 

Burkina: Les femmes enlevées à Arbinda ont été retrouvées 

Ouagadougou, 20 janv. 2023(AIB)-Les femmes enlevées dans la nuit du 12 au 13 janvier 2023 à Arbinda (Nord) par des hommes armés, ont été retrouvées, a appris l’AIB de sources sûres.

Les 66 femmes et 4 bébés ont été intercepté ce vendredi par une équipe de la gendarmerie à Tougouri( Centre-nord) avant d’être héliportés à Ouagadougou.

Ils ont été placées en lieu sûr en attendant de retrouver leurs familles.

39 d’entre ces 66 femmes ont entre zéro et 18 ans et les 27 autres 18 à 56 ans.

Agence d’Information du Burkina (AIB)

Burkina : L’AIB s’est imposée par sa crédibilité malgré le contexte sécuritaire difficile (responsable)

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Burkina : L’AIB s’est imposée par sa crédibilité malgré le contexte sécuritaire difficile (responsable)

Ouagadougou, 20 janv. 2023 (AIB)-L’Agence d’information du Burkina (AIB) s’est imposée dans l’univers médiatique burkinabè par « sa crédibilité malgré le contexte sécuritaire difficile du pays », a indiqué vendredi son rédacteur en chef adjoint Ibrahima Sanou, à des étudiants de l’École publique de journalisme.

L’AIB « est l’un des médias (burkinabè) qui s’est imposé par sa crédibilité malgré le contexte sécuritaire difficile du pays. Nos dépêches sont incontestables parce que nous prenons le soin de vérifier les informations avant de les diffuser » a expliqué vendredi le rédacteur en chef adjoint Ibrahima Sanou, à des stagiaires journalistes en visite dans ses locaux.

L’Agence d’information du Burkina (AIB) a reçu vendredi, la visite dans ses locaux, de stagiaires journalistes niveau conseillers de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC), conduite par leur enseignant Bénin Bilélé.

Le rédacteur en chef adjoint de l’Agence d’information du Burkina (AIB) Ibrahima Sanou 

Cette visite entre dans le cadre du cours ‘’Journalisme d’Agence’’ administré par l’enseignant Bénin Bilélé, ancien journaliste de l’Agence d’information du Burkina de 1982 à 1992 et rédacteur en chef de l’AIB de 1985 à 1987.

Aux visiteurs, le rédacteur en chef adjoint Ibrahima Sanou a souligné que « l’AIB est une référence pour certains organes qui viennent puiser les informations sur son site et sa page Facebook ».

Ibrahima Sanou a souligné que l’Agence est le plus représenté à travers le pays avec une quarantaine de correspondants ». Ce qui, de son avis, est un atout pour le média public.

Quant à sa faiblesse, le rédacteur en chef adjoint a relevé que l’AIB est confronté à un problème de matériels et d’effectifs. « Elle est victime de plagiat, c’est à dire que certains médias y puisent leurs informations sans mentionner la source », a-t-il regretté.

Ibrahima Sanou a expliqué que « l’AIB a été créée le 27 mai 1964 sous l’appellation de l’Agence Voltaïque de Presse (AVP), puis renommée en 1984 sous son appellation actuelle ».

« Avant, elle était un média autonome, mais fut associée au quotidien Sidwaya en 1999 pour former les éditions Sidwaya », a-t-il poursuivi.

« L’AIB fonctionne principalement grâce à la subvention de l’Etat. Elle est en coordination avec d’autres organes, notamment les agences africaines qui publient certaines de ses dépêches et vice versa », a souligné M. Sanou.

L’enseignant du cours Journalisme d’Agence à l’ISTIC Bénin Bilélé a rappelé que le traitement de ce genre journalistique a évolué au fil des années notamment avec l’utilisation aujourd’hui des outils numériques qui n’existaient pas à l’époque où eux étaient sur le terrain.

C’est pourquoi depuis plusieurs années, il a pris l’habitude d’envoyer ses élèves dans les locaux de l’AIB pour découvrir la pratique du journalisme d’agence en plus du cours qu’ils reçoivent en classe.

L’enseignant du cours Journalisme d’Agence à l’ISTIC Bénin Bilélé

La stagiaire Romaine Sawadogo a félicité les journalistes de l’AIB pour la qualité du travail qu’ils abattent pour donner la bonne information aux populations burkinabè et d’ailleurs.

Son souhait, c’est d’être un jour une agencière pour apporter aussi sa pierre au rayonnement au média public.

« Vous faites vraiment un travail de magie malgré les difficultés que vous rencontrez et les conditions de votre siège. Vraiment courage à vous », a encouragé pour sa part la stagiaire Binta Fatoumata Diallo.

Rappelons que l’Agence d’information du Burkina (AIB) a été créée en mai 1964 sous l’appellation d’Agence voltaïque de presse (AVP).

Depuis 1999, l’AIB est rattachée au quotidien Sidwaya et forme un Etablissement public de l’Etat (EPE) appelé les Éditions Sidwaya.

Cependant, depuis 2018, un processus de décrochage est en cours.

Agence d’information du Burkina
FAB-bb-wis

Burkina : L’AIB est « le média le plus représenté en province » (responsable)

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Burkina : L’AIB est « le média le plus représenté en province » (responsable)

Ouagadougou, 20 janv. 2023 (AIB)-L’Agence d’information du Burkina (AIB) est « le média le plus représenté en province mais est moins influente à Ouagadougou », a indiqué vendredi, son rédacteur en chef Adjoint Ibrahima Sanou, à des étudiants de l’École publique de journalisme.

L’Agence d’information du Burkina (AIB) « emploie une dizaine de journalistes à Ouagadougou et une quarantaine de correspondants à travers le pays. Ce qui fait d’elle le média le plus représenté en province mais elle est moins influente à Ouagadougou » a expliqué vendredi son rédacteur en chef adjoint Ibrahima Sanou, à des journalistes en formation.

Le rédacteur en chef adjoint de l’Agence d’information du Burkina (AIB) Ibrahima Sanou

M. Sanou s’exprimait à l’occasion de la visite dans les locaux de l’AIB, de journalistes stagiaires niveau conseillers de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC), conduite par leur enseignant Bénin Bilélé.

Cette visite entre dans le cadre du cours ‘’Journalisme d’Agence’’ administré par Bénin Bilélé, ancien journaliste de l’Agence d’information du Burkina de 1982 à 1992 et ancien rédacteur en chef de l’AIB de 1985 à 1987.

Le rédacteur en chef adjoint a indiqué que le papier d’agence doit être rapide d’où son nom dépêche tiré du verbe dépêcher mais précisé que cela est subordonné à la vérification de l’information reçue qui doit être recoupée plusieurs fois pour attester de sa véracité avant toute publication.

Ibrahima Sanou a souligné que l’autre atout de l’AIB en plus d’être le plus représentatif du pays est sa collaboration avec d’autres agences du monde qui reprennent ses dépêches.

Dans le contexte d’insécurité que vit le Burkina Faso depuis 8 ans et marqué par des informations de toutes sortes dont certaines erronées, M. Sanou a rappelé que l’AIB a su s’imposer comme l’un des rares medias les plus crédibles du pays.

« Les autres medias viennent puiser chez l’AIB parce que l’information est sûre mais sans citer la source malheureusement. Ils ne payent pas pour le moment mais la réflexion est engagée pour rentabiliser notre travail » a expliqué pour sa part, le rédacteur en chef de l’AIB Tilado Apollinaire Abga.

Le rédacteur en chef de l’Agence d’information du Burkina (AIB) Tilado Apollinaire Abga

M. Abga a rappelé que l’AIB a été longtemps perçu comme un garage où l’on envoyait les journalistes jugés indésirables.

Mais par leur travail, les jeunes affectés à l’Agence ont réussi à donner à l’AIB, une bonne réputation a noté le rédacteur en chef Tilado Apollinaire Abga.

Ibrahima Sanou a relevé cependant que malgré le boulot abattu, l’Agence a un «besoin d’équipement et de personnel » qui a été soumis aux responsables et aux autorités.

Au cours d’une visite le jeudi 12 janvier dernier dans les locaux de l’AIB, le ministre de la Communication, de la Culture, des arts et du tourisme Jean Emmanuel Ouédraogo, s’est engagé à donner à l’Agence, les moyens qu’il faut pour lui permettre de jouer pleinement son rôle.

« L’AIB aujourd’hui doit occuper une place de choix dans la dynamique de reconquête et de refondation de notre territoire » avait déclaré le ministre Jean Emmanuel Ouédraogo devant les journalistes et responsables de l’Agence.

Après la phase questions-réponses entre les stagiaires de l’ISTIC et le personnel de la rédaction, les locaux de l’Agence ont été visités notamment le studio multimédia.

Pour le rédacteur en chef adjoint Ibrahima Sanou, le studio est une innovation pour permettre à l’AIB d’évoluer avec les nouvelles technologies d’information et de communication.

L’enseignant du cours Journalisme d’Agence à l’ISTIC Bénin Bilélé

L’enseignant du cours Journalisme d’Agence à l’ISTIC Bénin Bilélé a rappelé que le traitement de ce genre journalistique a évolué au fil des années notamment avec l’utilisation aujourd’hui des outils numériques qui n’existaient pas à l’époque où eux étaient sur le terrain.

C’est pourquoi, depuis plusieurs années, il a pris l’habitude d’envoyer ses élèves dans les locaux de l’AIB pour qu’ils découvrent la pratique du journalisme d’agence en plus du cours théorique qu’ils reçoivent en classe.

Selon le délégué de la classe, Voro Korahiré, cette visite lui a permis de mettre à jour, les connaissances qu’il avait de l’AIB.

« Nous avons appris beaucoup de choses avec les responsables », a affirmé la stagiaire Flora Assanatou Baro, au terme de la visite.

La visite a pris fin par une photo de famille

De son côté, la stagiaire Sadya Nonkané a exprimé le vœu de venir faire son stage à l’AIB.

L’Agence d’information du Burkina (AIB) a été créée en mai 1964 sous l’appellation d’Agence voltaïque de presse (AVP) et renommée en 1984.

Depuis 1999, l’AIB est rattachée au quotidien public Sidwaya avec lequel, il forme les Éditions Sidwaya, un Etablissement public de l’Etat (EPE).

Cependant, depuis 2018, un processus de décrochage est en cours.

Agence d’information du Burkina
MC/AO-bb-wis

Dafani SA : Un arrêt de travail pour réclamer ‘’de meilleures conditions de vie’’

Dafani SA : Un arrêt de travail pour réclamer ‘’de meilleures conditions de vie’’

Orodara,(AIB)-Les travailleurs de la Societé Dafani SA basée à Orodara  observent depuis le jeudi 19 janvier 2023  un arrêt de travail   pour réclamer les meilleures  conditions de vie, de travail, et dénoncer les présumés mauvais agissements de certains  de leurs premiers responsables  à leur égard.                               

Il se passe présentement un langage de sourd entre les travailleurs de l’usine Dafani SA et la direction générale. Regroupés par petits groupes sous des arbres dans la cour de l’usine dans la matinée de ce vendredi 20 janvier 2023, les travailleurs observent depuis le jeudi 19 janvier 2023, un arrêt de travail pour réclamer de meilleures conditions de vie et de travail.

Aussi, ils dénoncent les mauvais agissements qu’ils disent subir de la part de certains de leurs responsables.

Selon  un des travailleurs sous anonymat, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, sont des lettres d’explications   adressées à 28 agents  qui n’ont pas pu participer le 26 décembre 2022  à l’opération de nettoyage  organisée au sein de l’usine.

A l’entendre, l’information relative à cette opération d’assainissement ne leur avait  pas été notifiée par écrit mais de façon verbale. «La participation  à cette journée de salubrité était volontaire», a ajouté l’anonyme.

C’est suite au conseil de  discipline tenue dans la journée du jeudi 19  janvier 2023 de 10 heures à 18 heures sans un accord sur le sujet que les travailleurs ont décidé l’arrêt de toute activité pour une durée indéterminée.  Selon  lui, les  travailleurs  sont ouverts au dialogue  et sont   prêts à reprendre du service si leurs aspirations sont prises en compte par leur employeur.

Approché  pour en savoir d’avantage sur la question, le  directeur général de Dafani S.A, Mamadou Coulibaly, a souhaité «éteindre le feu» avant toute communication.

 Agence d’information du Burkina

Apollinaire Kam

AIB/ Kénédougou

L’Iran compte installer un nouvel ambassadeur au Burkina Faso

L’Iran compte installer un nouvel ambassadeur au Burkina Faso

Ouagadougou, 20 janv. 2023(AIB)-La République islamique d’Iran compte installer dans un avenir proche, un nouvel ambassadeur au Burkina Faso et souhaite que Ouagadougou rouvre son ambassade à Téhéran, a annoncé vendredi son vice-ministre des Affaires étrangères Ali Bagheri Kani.

«La République islamique d’Iran et le Burkina Faso ont la forte volonté et la détermination de renforcer leurs relations dans différents domaines, plus particulièrement dans les domaines économique, politique et sanitaire», a déclaré Ali Bagheri Kani, vendredi, à l’issue d’un entretien à Ouagadougou avec le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

Selon le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, les relations entre son pays et le Burkina Faso sont en progression.

«Dans un avenir proche, le nouvel ambassadeur de la République islamique d’Iran va s’installer à Ouagadougou. […] On attend à ce que dans un avenir très proche, on soit témoin de la réouverture de votre ambassade à Téhéran», a ajouté le diplomate.

Agence d’Information du Burkina (AIB)

DNK-ATA/as

Burkina: Les femmes enlevées dans la nuit du 12 au 13 janvier 2023 à Arbinda (Nord) par des terroristes, ont été retrouvées, a appris l’AIB de sources sûres.

Burkina: Les femmes enlevées dans la nuit du 12 au 13 janvier 2023 à Arbinda (Nord) par des terroristes, ont été retrouvées, a appris l’AIB de sources sûres.

Agence d’Information du Burkina (AIB)

L’Agence Bayt Mal Al-Qds Acharif soutient la résistance des habitants d’ Al-Qds avec 64 millions de dollars

L’Agence Bayt Mal Al-Qds Acharif soutient la résistance des habitants d’ Al-Qds avec 64 millions de dollars

Rabat, le 19 janvier 2023-Le volume des subventions au développement accordées par l’Agence Bayt Mal Al-Qods Asharif, entre 2000 et 2022 à divers secteurs de la Ville sainte, s’est élevé à environ 64 millions de dollars américains, selon un rapport de l’Agence présenté, mercredi 18 janvier 2023, à l’occasion du 25e  anniversaire de sa restructuration, lors d’une conférence de presse.

Précisant que  le Royaume du Maroc a versé 16,7 millions de dollars sur le total des contributions des pays, le rapport, qui a été présenté  par le Dr Mohamed Salem CHERKAOUI, directeur chargé de la gestion de l’Agence, a mis en relief les  programmes d’assistance sociale continue, englobant le logement, la restauration, la santé, l’éducation, l’aide sociale, les projets d’enfance et de jeunesse, les projets sportifs, culturels et artistiques, et la protection du patrimoine religieux, culturel et historique de la Ville Sainte, à travers la réalisation de plusieurs initiatives allant dans ce sens.

Les secteurs de l’assistance sociale, de la culture, de la jeunesse et des sports représentaient environ 60% des dépenses de l’Agence, en application des hautes instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Président du Comité d’Alqods, qui avait demandé à l’Agence d’accorder une attention particulière à ce secteur.

Notant que le programme de vie décente, qui cible les familles pauvres d’Al-Qods Al-Sharif, distribue 29 000 miches de pain par jour, et le nombre de familles bénéficiaires est d’environ 2 900, et crée un cycle économique important au profit de 20 boulangeries.

Le rapport indique aussi que le (Programme de parrainage d’orphelins d’Alqods) parraine 100 orphelins et orphelines parmi les enfants de la ville sainte, tandis que 650 garçons et filles ont bénéficié du programme de camps d’été pour les enfants d’Alqods au Maroc, en plus des bénéficiaires du (camps d’été pour les enfants d’Alqods à Alqods), financé par l’Agence en partenariat avec des associations Maqdissi et en coopération avec la Direction de l’Éducation d’AlQods.

Le rapport indique que le (Projet d’initiatives civiles pour un programme de développement humain durable Alqods) s’intéresse au financement de projets associatifs dans les domaines des métiers, de la formation, de l’autonomisation des femmes, des projets générateurs de revenus, du renforcement des capacités et de l’intégration communautaire, expliquant que le l’Agence a un certain nombre d’autres projets sociaux tels que la restauration et la réhabilitation des clubs, des centres sportifs et culturels et leur équipement, la distribution de colis alimentaires pendant le mois sacré du Ramadan et les occasions religieuses, en plus de soutenir et de financer le programme de prêts individuels et collectifs pour la construction et restaurer les maisons et les logements, réhabiliter les maisons des pauvres et des marginalisés, et restaurer les mosquées et la Zaouia Marocaine.

Le rapport ajoute que l’Agence a achevé plusieurs projets dans le secteur de l’éducation qui représentaient environ 20% de son budget et qui concernaient la construction de 4 nouvelles écoles et la réparation et la restauration de 10 autres écoles.

Quant au programme des Bourses au profit des étudiants palestiniens est  payé pour 2 000 dollars pour les majeures littéraires et 3 000 dollars pour les majeures en médecine et en ingénierie.

Le rapport indique également que l’Agence soutenait les hôpitaux d’Alqods en achetant des ambulances, des appareils et du matériel pour les aider à accomplir leurs tâches, en plus de réhabiliter et de restaurer certains d’entre eux et de créer des unités et des départements médicaux dans les hôpitaux dans diverses spécialités, indiquant qu’elle fournissait aux hôpitaux, pendant la période Covid-19, les fournitures nécessaires pour les aider à faire face à la pandémie. .

Il est à noter que l’Agence Bayt Mal Al-Qods Al-Sharif est une institution humanitaire sociale qui a été créée à l’initiative de feu Hassan II en 1995, et a commencé son travail effectif au cours de l’année 1998 sous l’égide de SM MOHAMMED VI en vue de protéger la Ville Sainte et préserver son patrimoine religieux et culturel et soutenir ses habitants.

Ses projets sont répartis dans les secteurs de l’éducation, de la santé, du logement, de la culture, des sports, de l’autonomisation des femmes, de la jeunesse et de l’enfance, ainsi que des programmes d’aide sociale pour les personnes en situation difficile et les groupes ayant des besoins spéciaux.

Source: Agence saoudienne de presse (SPA)

Burkina : La réponse militaire au terrorisme est nécessaire mais elle ne saurait être la seule solution (ministre)

Burkina : Médias-Culture-Tourisme-Résilience-Colloque

Burkina : La réponse militaire au terrorisme est nécessaire mais elle ne saurait être la seule solution (ministre)

Ouagadougou, 20 janv. 2023 (AIB)-Le ministre en charge de la Fonction publique, Bassolma Bazié, représentant du Premier ministre a affirmé ce vendredi à l’ouverture du colloque médias, culture, tourisme et résilience que la réponse militaire au terrorisme est nécessaire mais elle ne saurait être la seule solution.

« La détermination de nos Forces de défense et de sécurité et des Volontaires pour la défense de la patrie redonne de l’espoir à notre peuple. Certes la réponse militaire est nécessaire mais elle ne saurait être la seule solution » a déclaré Bassolma Bazié, ministre d’Etat, ministre en charge de la Fonction publique.

Le ministre en charge de la Fonction publique, Bassolma Bazié, (au centre) représentant du Premier ministre a présidé la cérémonie d’ouverture du colloque médias, culture, tourisme et résilience

M. Bazié, représentant du Premier ministre Apollinaire Joachimson de Tambèla s’exprimait ce vendredi lors de l’ouverture du colloque médias, culture, tourisme et résilience.

Le colloque se tient sous le thème « l’engagement des acteurs culturels et des médias pour la prévention de la radicalisation et la stigmatisation en vue de la lutte contre l’extrémisme violent ».

« Au Burkina Faso, il est clairement établi que les valeurs de référence spirituelle, culturelle et traditionnelle jouent un rôle primordial dans la prévention et la résolution des crises » a souligné le ministre d’Etat.

Pour Bassolma Bazié, il est nécessaire de puiser dans nos ressorts endogènes, les principes du vivre-ensemble harmonieux.

Le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo

Le représentant du Premier ministre a appelé les acteurs de la communication et des médias, les créateurs, les artistes et les écrivains ainsi que les acteurs du tourisme à être résilients face à l’hydre terroriste.

Le colloque se déroule sur deux jours et sera ponctué par une conférence magistrale et 3 panels à l’issue desquels des solutions seront proposées pour une meilleure résilience dans l’organisation de l’évènementiel culturel et touristique au Burkina Faso.

Pour le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo, ce colloque national s’inscrit dans une dynamique où tous les hommes de médias, de la culture, du tourisme doivent accorder les violons afin de « dégager des pistes, des actions concrètes et des recommandations pour non seulement gagner la guerre mais aussi la paix ».

Agence d’information du Burkina

RK/wis

Burkina/ Fonds de soutien patriotique : Plus de 320 millions FCFA déjà mobilisés par le gouvernement

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Burkina/ Fonds de soutien patriotique : Plus de 320 millions FCFA déjà mobilisés par le gouvernement

Ouagadougou, 20 janv. 2023 (AIB)- Plus de 320 millions FCFA ont été déjà mobilisés par le gouvernement à travers le Fonds de soutien patriotique(FSP), dans le cadre de la défense et de la reconquête du territoire national, a indiqué vendredi, le ministre en charge de l’Economie, Aboubacar Nacanabo.

«A ce jour, les ressources collectées, à travers le Fonds de soutien patriotique (FSP) par le comité mis en place par la présidence s’élève à 320 millions 749 mille 510 F CCA », a déclaré a déclaré le ministre de l’Economie, des finances et de la prospective, Aboubacar Nacanabo.

D’après lui, les ressources du FSP sont destinées à financer les dépenses des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) notamment les rémunérations, les dépenses d’équipements et le carburant.

Selon M.Nacanabo, le FSP a une durée d’un an renouvelable et a  pour objectif principal, de soutenir les efforts de défense et de sécurisation du territoire national.

Le ministre en charge de l’Economie était ce vendredi à Ouagadougou, devant les journalistes sur la mobilisation du FSP devant aider le Burkina à lutter contre le terrorisme.

Il  s’est appesanti ensuite sur le mécanisme de collecte du FSP qui se caractérise par une contribution volontaire des travailleurs du public, du privé et des autres citoyens.

Le premier responsable du département, en charge de l’Economie a également invité le peuple burkinabè à adhérer massivement à cette nouvelle initiative du gouvernement qui vise  à vaincre le terrorisme.

Le ministre Nacanabo a par ailleurs expliqué que la contribution en espèce est sollicitée  tout en assurant  qu’un comité a été mis en place pour recevoir les dons en nature.

«Les ressources collectées seront logées dans un compte ouvert dans les livres du Trésor Public », a-t-il renchéri.

D’après lui, les ressources du FSP sont destinées à financer les dépenses des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) notamment les rémunérations, les dépenses d’équipements et le carburant.

Aboubacar Nagolo a indiqué que la gestion financière et comptable du Fonds est soumise au contrôle et à l’inspection des différents corps compétents de l’Etat.

A l’en croire, il s’agit, entre  autres, de  l’Autorité supérieure du contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC), de la Cour des comptes, de l’Inspection générale des finances et celle technique du trésor.

Il a  souligné que le FSP est aussi placé sous l’administration d’un Conseil d’orientation et d’un Comité de gestion.

Le ministre a rappelé que des rapports périodiques seront faits sur l’utilisation du Fonds afin de s’assurer de l’utilisation et de son efficacité sur le terrain.

En rappel, la Transition burkinabé, dirigée par le capitaine Ibrahim Traore a créé le FSP estimé à 100 milliards FCFA en vue de soutenir les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP, supplétifs de l’armée) dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

Agence d’information du Burkina

NO/ata

Yako : Le complexe scolaire Sainte Géneviève célèbre l’arbre de Noël pour ses apprenants

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Yako : Le complexe scolaire Sainte Geneviève célèbre l’arbre de Noël pour ses apprenants

Yako, 20 janvier 2023 (AIB)-Le complexe scolaire Sainte Geneviève de Yako a célébré  en différé  samedi dernier un arbre de noël au profit de ses élèves du préscolaire et primaire.

Les tout-petits du centre d’éducation préscolaire, de l’école primaire du complexe scolaire Sainte Géneviève de Yako étaient dans la joie le samedi dernier.

Pour cause, un arbre de Noël leur a été dédié par la promotrice de cette structure éducative du préscolaire et primaire, Angèle Zida/Guima.

A l’occasion de cette petite Noël, les enfants ont eu droit à des séances de chants, de danses et ont bénéficié de cadeaux composés de kits contenant des friandises, des jouets et des boissons.

La représentante des élèves, Samira Djiguèmdé de la classe de CP2 a adressé ses vœux de nouvel an à la fondatrice pour ses bienfaits ainsi qu’aux parents d’élèves inscrits dans ledit complexe qui ont accepté de faire participer ses camarades à cette fête.

La responsable, Angèle Zida/Guigma a indiqué que l’évènement se voulait non seulement une petite Noël pour ces tout-petits mais surtout les faire profiter du droit de jouissance qui leur est reconnu.

Mme Zida a également formulé ses vœux de nouvel an aux parents d’élèves dans ce centre tout en demandant aux bonnes volontés de continuer à le soutenir afin de permettre aux apprenants de  s’épanouir pleinement.

« Je suis très contente de la mobilisation parce que les parents ont compris que les enfants doivent s’amuser comme le jour de la Noël à la maison comme à l’école» s’est-elle  réjouie.

Par ailleurs, elle a invité les parents à faire confiance au complexe pour la qualité des enseignements qui y sont dispensés.

L’inspecteur d’éducation de jeunes enfants, Wendi Gounda Robert Sawadogo a quant à lui, félicité la fondatrice et son personnel pour leur réussite dans l’organisation de la fête et surtout pour les valeurs pédagogiques et éducatives qui ont permis aux enfants bénéficiaires de se sentir valoriser.

«Nous sommes disponibles à accompagner Mme Zida dans sa quête de la qualité au niveau de l’éducation préscolaire et primaire au Passoré», a-t-il rassuré.

Agence d’information du Burkina

ZES/kr

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