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Gourma/1er tour du BEPC 2025 : Le jury n°8 enregistre 106 admis sur 288 candidats

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Gourma/1er tour du BEPC 2025 : Le jury n°8 enregistre 106 admis sur 288 candidats

Fada N’Gourma, 11 juin 2025 (AIB)- Le jury n°8 de Fada N’Gourma a enregistré au 1er tour du premier Cycle (BEPC) session de 2025, ce mercredi 11 juin 2025, 106 admis dont 42 filles et 64 garçons, soit un taux de succès de 36,81%.

Les résultats du 1er tour de l’examen du Brevet d’études, sont connus, ce mercredi 11 juin 2025, dans le jury n°8 de Fada N’Gourma.

106 admis dont 42 filles et 64 garçons ont été admis, soit un taux de succès de 36,81%, sur 288 candidats dont 166 filles et 122 garçons ayant pris part à l’examen.

Pour l’administration des épreuves écrites du second tour prévue le vendredi 13 juin 2025, 121 candidats dont 78 filles et 43 garçons vont prendre part.

Comparativement aux résultats de l’année précédente, la présidente du jury N°8, Gayéri Dorcas Yoni, a trouvé ces résultats acceptables.

Mme Augustine Naba qui est venue chercher ses jumeaux admis, est heureuse du succès de ses enfants âgés de 16 ans.

Le candidat, Moctar Lankoandé, du lycée Labidiéro de Fada N’Gourma âgé de 18 ans, a décroché son BEPC à sa 2e participation à l’examen.

« Je suis animé d’une joie inexplicable. Je compte devenir militaire une fois mon baccalauréat en poche », a déclaré M. Lankoandé.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

Burkina : La justice poursuit 9 présumés escrocs à la QNET rapatriés du Ghana

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Burkina : La justice poursuit 9 présumés escrocs à la QNET rapatriés du Ghana

Ouagadougou, 11 juin 20025 (AIB)- Le procureur du Faso, près le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouaga I, Blaise Bazié, a annoncé mercredi, que son parquet a engagé des poursuites contre 9 Burkinabè arrêtés au Ghana et rapatriés au Burkina Faso, pour des faits d’escroquerie à la QNET, extorsion de fonds et de traite de personnes, entre autres.

Parmi les 22 ressortissants burkinabè qui s’adonnaient à des activités de QNET, que la police ghanéenne a rapatrié, 9 ont été identifiés par les enquêtes et poursuivis comme auteurs de plusieurs infractions par la justice Burkinabè.

« Ces personnes, dont certaines déjà recherchées par les services judiciaires, sont placées sous mandat de dépôt depuis le jeudi 5 juin 2025 et le dossier sera jugé le 17 juin 2025 », a précisé procureur Bazié.

Selon le chef du parquet, les cerveaux de ce vaste réseau d’arnaqueurs appelés « leaders », se nommeraient Seydou Ido (déjà déposé à la MACO pour les mêmes faits depuis le 26 mai 2025), Issouf Zoungrana, Lassina Démé, Abdoul Fatao Combasré et Hakim Guinko (faisant partie des 22 rapatriés), Siaka Berthé et un certain alias John Sénat du Business sans autre précisions, toujours au Ghana.

S’agissant du mode opératoire, la commissaire divisionnaire de police Mariam Forogo/Yaméogo, a indiqué qu’il en existe plusieurs, en fonction du centre d’intérêt de la victime.

Ces présumés auteurs, de nationalité burkinabè, qui se sont retrouvés au Ghana, font croire à leurs parents, amis et camarades restés au pays, qu’ils résident en Europe.

« Ils postent des photos prises dans des endroits luxueux pour appâter leurs victimes », a informé la commissaire divisionnaire de police.

Elle a expliqué qu’ils font croire aux potentielles victimes qu’ils travaillent dans des grandes entreprises qui proposent des offres d’emplois alléchantes. Celles qui sont intéressés sont référées à des complices présentés comme leurs amis, oncles ou cousins qui se trouvent au Ghana et par le biais desquels, ils sont parvenus en Europe.

Une fois ces documents envoyés, ces derniers demandent aux victimes de leur verser une partie des frais de passeport et de visa qui varient entre un million et deux millions de FCFA.

« C’est le jour de l’entretien qu’elles découvrent que leur frère, ami ou camarade qui se disait être en Europe est en réalité au Ghana », poursuit Mme Forogo.

Elles sont par la suite entretenues au Network Marketing (Qnet) et celles qui refusent de s’adonner sont dépouillées de tous leurs biens, séquestrées et se voient confisqués tous leurs moyens de communication.

Outre cette stratégie, les délinquants font croire également aux victimes qu’ils travaillent dans une entreprise au Ghana dont les salaires mensuels varient entre 500 000 et plus d’un million de FCFA.

Ils les informent plus tard de soumettre leur dossier de recrutement dans ladite entreprise.

Deux semaines après, les escrocs informent les victimes qu’elles sont admises et doivent verser entre 800 000 et un million de FCFA pour la location d’une maison et un bain linguistique.

Une fois au Ghana, ils prennent le soin d’expliquer à la victime qu’il s’agit en réalité de l’activité Qnet.

N’ayant généralement pas le choix face aux pertes déjà subies et  à leurs mauvaises conditions de vie, ces victimes se lancent dans cette pratique.

Selon le procureur, le préjudice subi par les victimes s’élève à plus de 33 millions de F CFA. A cela s’ajoutent la déscolarisation, la perte d’emploi, l’appauvrissement des familles.

Blaise Bazié, a précisé que les investigations se poursuivent afin d’interpeller les autres personnes citées par les victimes comme étant les cerveaux du réseau.

Quant aux victimes au nombre de 13, elles sont prises en charge dans un centre d’accueil en attendant leur retour dans leurs familles respectives.

M.Bazié a salué l’excellente coopération policière internationale entre le Burkina Faso et la République du Ghana.

Agence d’information du Burkina

YOS/no/yo

 

 

BEPC 2025: La province du Ganzourgou enregistre un taux de succès de 32,48% au 1er tour

BURKINA-BEPC-2025- RESULTATS- GANZOURGOU

BEPC 2025: La province du Ganzourgou enregistre un taux de succès de 32,48% au 1er tour

Zorgho, 11 juin 2025 (AIB)-Les 12 jurys de composition du BEPC, session de 2025 dans la province du Ganzourgou ont enregistré un taux global de succès de 32,48% à l’issue des résultats du premier tour proclamés ce mercredi.

Sur 2996 candidats (1025 garçons et 1971 filles) ayant composé, 973 (440 garçons et 533 filles) ont été déclarés admis, soit un taux succès de 42,93% pour les garçons et 27,04% pour les filles.

1496 candidats soit 459 garçons et 1037 filles sont autorisés à composer les épreuves complémentaires du second tour.

Le jury de Méguet 1 avec 38,1% a enregistré le meilleur taux de succès au premier tour dans la province tandis que le jury de Mogtédo 1 a enregistré le plus faible taux, soit 27,38%.

Agence d’information du Burkina
MS/bak

Sourou /BEPC 2025: 34,65% de taux de réussite au 1er tour 

BURKINA-SOUROU-EXAMEN- BEPC6 RESULTATS

Sourou /BEPC 2025: 34,65% de taux de réussite au 1er tour 

Tougan, 11 juin 2025 (AIB)- La province du Sourou a enregistré mercredi, un taux de réussite de 34,65%, lors de la proclamation des résultats du premier tour du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), session de 2025.

Les résultats du premier tour du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) ont été proclamés ce mercredi 11 juin 2025 à Tougan, chef-lieu de la province du Sourou.

Sur un total de 1 143 candidats en lice pour la conquête du premier diplôme secondaire, 396 élèves dont 187 garçons et 209 filles sont admis au premier tour après la proclamation des résultats.

Ce qui donne un taux global de réussite de 34,65%, soit 40,74% de réussite pour les garçons et 30,56% pour les filles.

La plupart des candidats admis au premier tour ont exprimé leur joie, tout en remerciant leurs encadreurs et leurs parents pour leur accompagnement durant l’année scolaire écoulée.

Ils ont également souhaité chance à leurs camarades qui attendent le second tour le vendredi 13 juin 2025 pour être situés sur leur sort.

Notons que 505 candidats dont 192 garçons et 313 filles sont au second tour du BEPC.

Agence d’information du Burkina

SS/NO/ATA

Kossi : Le réseau de protection des enfants renouvelle son bureau pour relever les défis

BURKINA-KOSSI-ASSEMBLEE-GENERALE- RENOUVELLEMENT

Kossi : Le réseau de protection des enfants renouvelle son bureau pour relever les défis

Nouna, 10 juin 2025 (AIB)-Le réseau de protection des enfants a renouvelé son bureau, ce mardi 10 juin 2025 à Nouna, lors de son assemblée générale, pour relever les défis qui s’imposent à travers l’élaboration d’un plan d’action et la redynamisation du réseau.

Le bureau du réseau de protection des enfants, a été renouvelé, le mardi 10 juin 2025 à Nouna, dans l’objectif de redynamisation du réseau.

Le directeur provincial de l’Action humanitaire, Alassane Kagoné, a, dans sa communication, présenté le réseau, les difficultés et les défis qui se présentent au réseau.

Selon lui, le réseau de protection des enfants de la province de la Kossi a vu le jour le 4 août 2017 et regroupe des structures étatiques, des associations et des ONG intervenant dans la Kossi.

Il est dirigé par un bureau de coordination composé de cinq membres dont un coordonnateur, un vice coordonnateur, un rapporteur et deux vices rapporteurs.

Pour le communicateur, le bureau du réseau a connu des difficultés de fonctionnement dû au mouvement de certains membres, pour des raisons d’affection où liées au contexte sécuritaire.

L’absence de plan d’action, le non renouvellement des membres du bureau, une faible connaissance du réseau de protection par les acteurs de protection, la situation sécuritaire avec ses implications et une faible coordination des activités sont autant de facteurs qui ont éprouvé la bonne marche des activités.

Fort de ce constat, le renouvellement de son bureau s’avère nécessaire afin de relever les défis qui s’imposent à travers l’élaboration d’un plan d’action et la redynamisation du réseau.

Les acteurs, sous la surveillance du Président de la délégation spéciale (PDS) de Nouna, Souleymane Tiono, ont mis en place un nouveau réseau institutionnel.

L’institution judiciaire est occupée par la coordination, la vice-coordination par la direction provinciale en charge de l’Enseignement primaire, pour les rapports et le service technique, c’est l’Action humanitaire qui a été désignée et le choix des deux vices- rapporteurs est revenu au district sanitaire et à l’ONG OCADES.

En rappel, il est mis en place 7 cellules communautaires de protection de l’enfant dans tous les secteurs de la commune de Nouna.

Les acteurs ont recommandé au nouveau bureau, une meilleure implication pour  atteindre les objectifs vu les défis sécuritaire de notre pays dont les enfants sont les victimes.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Mouhoun/Immersion patriotique : Les futurs bacheliers sensibilisés à Dédougou

BURKINA-DEDOUGOU-IMMERSION PATRIOTIQUE-SENSIBILISATION

Mouhoun/Immersion patriotique : Les futurs bacheliers sensibilisés à Dédougou

Dédougou, le 10 juin 2025 (AIB)-Les futurs bacheliers de la ville de Dédougou ont été informés et sensibilisés, le mardi 10 juin 2025 à Dédougou, sur l’immersion patriotique obligatoire. Il était question pour la mission conjointe de leur donner les détails de l’immersion patriotique obligatoire adoptée en conseil des ministres, le 2 mai 2025.

L’objectif de cette rencontre régionale tenue à Dédougou ce mardi 10 juin 2025, est d’informer et de sensibiliser les candidats au baccalauréat session de 2025, les chefs d’établissements et les partenaires sociaux sur l’immersion patriotique obligatoire des élèves.

Adopté par décret pris en conseil des ministres en sa séance du 02 mai 2025, l’immersion patriotique obligatoire est une initiative qui vise à enrichir le parcours éducatif des futurs bacheliers par une formation complète, alliant aspects physiques, théoriques et sportifs.

Elle s’inscrit en droite ligne de l’Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous (IPEQ) avec pour de transmettre aux élèves des valeurs civiques et patriotiques essentielles, ainsi que des réflexes d’auto-défense.

Pour le gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga, cette immersion représente une étape importante dans la construction d’un nouveau modèle de citoyen burkinabè, conscient de ses responsabilités, respectueux des valeurs républicaines et engagé pour sa Nation.

Il a marqué sa pleine adhésion à cette mesure gouvernementale et surtout son engagement à accompagner sa mise en œuvre dans un esprit de collaboration, de pédagogie et de responsabilité collective.

Babo Pierre Bassinga, a encouragé les acteurs du monde éducatif et les élèves, à accueillir cette immersion non comme une contrainte, mais comme une chance de grandir, de mûrir et de mieux   servir son pays.

« Cette rencontre vous permettra de comprendre les tenants et les aboutissants de cette mesure et de comprendre que toutes les mesures prises par le gouvernement visent à construire un Burkina Faso souverain, libre de ses choix, maître de son destin et soucieux des générations à venir », a indiqué le gouverneur.

Selon le premier responsable de la région, pour y parvenir, il faut des hommes et des femmes patriotes, des citoyens modèles, une jeunesse engagée et consciente des enjeux.

Le directeur général des appuis spécifiques du ministère en charge de l’Enseignement secondaire, Boureima Nabaloum, a souligné que la mesure concerne les élèves admis au CAP, au BEP, au BEPC et au BAC.

Pour lui, cette phase pilote va concerner uniquement les élèves admis au baccalauréat.

« Ils seront admis dans des centres pendant un mois où ils recevront des cours sur six modules de la formation, modules axés entre autres sur l’entrepreneuriat, la citoyenneté, l’éthique et la vision actuelle des plus hautes autorités du pays », a-t-il expliqué.

Le représentant de l’Initiative présidentielle pour une éducation de qualité (IPEQ), Pascal Ouédraogo, a invité les élèves à garder à l’esprit que les initiatives mises en œuvre par les plus hautes autorités visent à construire un Burkina Faso meilleur et pour l’avenir de la Nation.

Il a encouragé les futurs bacheliers à ne pas se soustraire de cette immersion patriotique obligatoire qui sera sanctionnée par une attestation qui pourrait être exigée lors des inscriptions dans les universités du Burkina.

Les élèves bien mobilisés ont posé des questions entre autres, sur la période de la formation, la santé des élèves, la sécurité, les tenues pendant l’immersion, et le calendrier des concours.

A ces préoccupations, les conférenciers ont rassuré les élèves que la mesure est bien structurée et se base sur une démarche inclusive et anticipative donnant à chaque région l’opportunité de s’approprier cette réforme ambitieuse.

Les élèves ont pris l’engagement de réussir à leur examen et d’être les pionniers de cette promotion de l’immersion patriotique obligatoire qui fera d’eux des hommes et des femmes patriotes, des citoyens modèles, une jeunesse engagée et consciente des enjeux.

Agence d’information du Burkina

 

SB/hb/yo

Kossi/Montée des couleurs : Le Haut-commissaire invite les fonctionnaires de la province à donner le bon exemple

BURKINA-KOSSI-CEREMONIE- MONTEE-COULEURS

Kossi/Montée des couleurs : Le Haut-commissaire invite les fonctionnaires de la province à donner le bon exemple

Nouna, 10 juin 2025 (AIB)- Le Haut-commissaire de la province de la Kossi, Noufo Dembelé, a invité, ce mardi 10 juin 2025 à Nouna, les fonctionnaires de la province à donner le bon exemple dans l’exercice de leur devoir. C’était lors de la  montée des couleurs, en présence des autorités administratives, militaires, paramilitaires, traditionnelles et coutumières.

Initié par le Haut-commissariat de la province de la Kossi, la traditionnelle montée des couleurs se veut tournante dans les services.

Initialement prévue pour le 3 juin 2025, la cérémonie a finalement eu lieu, ce mardi 10 juin 2025 dans l’enceinte de la mairie.

Après les mots de bienvenue du Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Nouna, Souleymane Tiono, le Haut-commissaire de la province de la Kossi, Noufo Dembelé, a invité les fonctionnaires de la province à donner le bon exemple dans l’exercice de leur devoir.

Il a également exhorté les différentes couches sociales à la cohésion sociale et a appelé les chefs de ménage à cultiver l’harmonie dans les ménages.

Noufo Dembelé, a donné rendez-vous à la population le 21 juin 2025 pour la journée de l’arbre.

Le Haut-commissaire de a province de la Kossi, a souhaité une mobilisation grandiose pour accompagner les services techniques de l’environnement à la réussite de l’activité.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Kourwéogo : Le nouveau directeur provincial s’engage à contribuer à l’insertion professionnelle des jeunes

BURKINA-KOURWEOGO-JEUNESSE-DIRECTION-PASSATION

Kourwéogo : Le nouveau directeur provincial s’engage à contribuer à l’insertion professionnelle des jeunes

Boussé, le 9 juin 2025 (AIB)- Le Haut-commissaire de la province du Kourweogo, Mahamadi Sawadogo, a installé, le lundi 9 juin 2025 à Boussé, le conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, Sayouba Paouélguédé Ouédraogo, dans ses fonctions de directeur provincial en charge de la Jeunesse du Kourwéogo. Il s’est engagé à contribuer activement à répondre aux besoins en insertion professionnelle des jeunes.

Nommé en conseil des ministres du 14 mai 2025, le conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, Sayouba Paouélguédé Ouédraogo, a été installé, le lundi 9 juin 2025 à Boussé, comme directeur provincial en charge de la Jeunesse du Kourwéogo.

Son installation a connu la présence des autorités administratives régionales ainsi que des représentants d’associations de jeunesse.

M. Ouédraogo a placé son mandat sous le signe de l’engagement, de la loyauté, de la détermination et de l’abnégation, au service du bien-être de la jeunesse du Kourwéogo.

Il s’est engagé à contribuer activement à répondre aux besoins en information, en formation et en insertion professionnelle de cette frange importante de la population.

Le directeur provincial en charge de la Jeunesse a exprimé sa profonde gratitude aux autorités de son ministère pour la confiance placée en lui.

Evoquant le contexte de sa prise de fonction, Sayouba Paouélguédé Ouédraogo, a rappelé que la jeunesse burkinabè, qui constitue plus de la moitié de la population, est confrontée à de nombreuses difficultés, notamment en matière de formation, d’accès à l’emploi et au financement.

S’adressant à ses collègues, partenaires et collaborateurs, le nouveau directeur provincial, a affirmé sa disponibilité à instaurer un climat de travail propice à une collaboration efficace.

M. Ouédraogoa invité l’ensemble des acteurs à s’engager dans une dynamique nouvelle, fondée sur la culture du résultat et le travail bien fait.

Il a également témoigné sa reconnaissance à son prédécesseur, Saïdou Bruno Ouédraogo, pour le travail accompli à la tête de la direction provinciale durant son mandat, tout en lui souhaitant plein succès dans ses nouvelles fonctions.

Les leaders religieux et coutumiers, les collaborateurs, ainsi que les représentants des organisations de jeunesse, de femmes, de la société civile et du secteur de l’économie informelle, ont rendu hommage à Saïdou Bruno Ouédraogo.

Ils lui ont exprimé leur gratitude pour son sens de l’écoute, ses conseils et l’accompagnement technique apporté aux structures de jeunesse dans leurs démarches administratives.

Dans son discours d’au revoir, le directeur provincial sorti Saïdou Bruno Ouédraogo, a déclaré qu’il quittait ses fonctions avec émotion et une profonde reconnaissance.

En poste depuis le 25 juillet 2017, il a dressé un bilan positif de ses années de service.

Malgré la modestie des moyens humains, matériels et financiers, il a souligné que les objectifs ont été atteints grâce à l’engagement de son équipe, au soutien de plusieurs partenaires et à la forte synergie entre la jeunesse et sa direction.

Saïdou Bruno Ouédraogo, a également évoqué le défi majeur qu’a représenté l’amélioration des conditions de travail du personnel, aujourd’hui jugées acceptables depuis près de cinq ans.

Il a affirmé avoir accompli sa mission avec conscience, tout en mesurant l’ampleur des attentes de la jeunesse, tant en milieu urbain que rural, malgré les efforts déjà fournis par l’Etat et ses partenaires.

Agence d’information du Burkina

DB/hb/yo

 

 

 

alerte: le célèbre gardien de but de Manchester United André Onana est arrivé à Ouagadougou

#alerte: le célèbre gardien de but de Manchester United André Onana est arrivé à Ouagadougou

Ouagadougou, 11 juin 2025 (AIB)-Le célèbre gardien de but de Manchester United (Angleterre), le Camerounais André Onana est arrivé dans la nuit de mardi à mercredi à Ouagadougou dans la capitale burkinabè, a constaté l’AIB.

André Onana est venu pour prendre part à la 4e édition des journées caritatives de la Fondation Bertrand Traoré qui se tient du 14 au 16 juin prochain.
A sa descente d’avion le dernier rempart des Lions indomptables du Cameroun a été accueilli par le capitaine des Etalons Bertrand Traoré, ses frères Alain et David Traoré, sans oublier les fans du joueur.

Le commissaire général de Etalon en Or Lassina Sawadogo qui était également à l’aéroport, a invité Onana à sa cérémonie de récompense qui aura lieu le samedi 14 juin prochain à Canal Olympia Ouaga 2000, invitation acceptée par le sociétaire de Manchester United et son hôte Traoré. Le Camerounais pourrait également participer samedi matin, à la cérémonie de remise du prix du meilleur gardien de but burkinabè de la saison de sa Majesté le Mogho-Naaba Baongho.

Le séjour du Camerounais au Burkina qui est venu soutenir son coéquipier de l’Ajax d’Amsterdam sera chargé et dans la matinée du dimanche 15 juin, il se rendra à Bobo-Dioulasso pour le match de gala de la Fondation Bertrand Traoré aux côtés d’autres figures emblématiques du football africain.

En plus du match de gala, d’autres activités de la Fondation Bertrand Traoré sont prévues comme des visites aux personnes déplacées internes ou aux malades, des dons et des récompenses.
Agence d’information du Burkina
As/ata

Cascades/Hivernage : Le Gouverneur invite à la prudence et à la lutte contre le paludisme

Cascades/Hivernage : Le Gouverneur invite à la prudence et à la lutte contre le paludisme

Banfora, (AIB) –Le Gouverneur de la région des Cascades, Florent Badbouè Bazié, a invité le 2 juin 2025, les populations à observer la prudence pendant la saison pluvieuse et à poursuivre la lutte contre le paludisme.

La Direction régionale de la santé des Cascades a accueilli, le lundi 2 juin 2025, la cérémonie tournante de montée des couleurs nationales, présidée par le Gouverneur de la région des Cascades, Florent Badbouè Bazié.

« Je suis heureux de constater que la mobilisation est toujours forte, ce qui traduit notre désir commun d’œuvrer sans relâche à la construction de notre pays, le Burkina Faso, tel que nous en rêvons et tel que nous le voulons », a indiqué le Gouverneur Florent Badbouè Bazié.

« Aussi, voudrais-je vous adresser mes sincères remerciements pour votre mobilisation sans cesse renouvelée. Je vous invite donc à conserver et à bien entretenir la fibre patriotique », a-t-il ajouté.

En ce milieu de l’année civile et au début des activités culturales de la saison humide, le premier responsable de la région a saisi l’occasion pour lancer un appel à chacune et à chacun afin de faire preuve de prudence en cette période pluvieuse et de respecter scrupuleusement les consignes en cas d’intempéries.

Il a également souhaité un bon usage à tous les acteurs du monde rural qui ont bénéficié d’équipements et d’intrants remis par le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso. Il a par ailleurs formulé des vœux de bonne pluviométrie et de réussite pour la campagne agricole auprès des agricultrices et agriculteurs.

M. Bazié a invité les forces vives de la région à poursuivre la lutte contre les vecteurs du paludisme, en adoptant les mesures préventives édictées par les autorités sanitaires. Il a aussi encouragé les agents de santé à intensifier leurs actions sur le terrain afin d’accompagner les populations en cette période critique.

Prenant la parole à son tour, le Directeur régional de la santé des Cascades a exprimé toute sa gratitude et sa reconnaissance aux forces vives de la région pour leur mobilisation à cette cérémonie de montée des couleurs nationales. Il a également adressé ses remerciements, en particulier, aux autorités administratives pour le choix porté sur sa structure pour abriter cet important événement, ainsi que pour leur accompagnement constant en faveur d’un système de santé régional fort et résilient.

Agence d’information du Burkina

Jean Paul YEKPAYE – AIB/Comoé

Doctorat en Génie industriel : mention « Très honorable » pour Yamako Soulama

Doctorat en Génie industriel : mention « Très honorable » pour Yamako Soulama

 Ouagadougou, (AIB)-Yamako Soungalo Soulama a soutenu avec brio sa thèse de doctorat unique en Génie industriel, le 05 juin 2025 à l’Université de Lomé, au Togo. Son travail a porté sur le thème :  Intégration des énergies renouvelables dans une démarche de conception d’équipements pour les PME agroalimentaires des pays d’Afrique de l’Ouest. Le jury, convaincu par la qualité de ses travaux soutenus, lui a décerné la mention « Très honorable ».

 

Devant un jury composé d’éminents enseignants-chercheurs et chercheurs en génie industriel, M. Soulama a défendu une thèse au cœur des enjeux actuels des politiques publiques africaines.

Il a dressé un état des lieux du génie industriel dans le développement du secteur agroalimentaire en Afrique de l’Ouest. « Les facteurs énergétiques et technologiques limitant le développement du secteur agroalimentaire dans les pays d’Afrique de l’Ouest », a-t-il affirmé.

Selon lui, son étude propose d’intégrer les énergies renouvelables dans la conception des équipements agroalimentaires pour contribuer au développement durable du secteur de transformation des produits agroalimentaires.

Une démarche innovante validée sur le terrain

Pour y parvenir, M. Soulama a indiqué avoir mené des travaux de revue bibliographique et d’enquêtes de terrain combinées à l’analyse des pratiques des acteurs des réseaux sociotechniques des énergies renouvelables. Sur la base de ses données collectés, deux outils ont été développés pour une démarche de conception orientée énergies renouvelables des équipements agroalimentaires.

Il s’agit en premier de l’outil d’Analyse des Solutions Technologiques a Économie d’Énergie (ASTEE) et en second, celle des règles de conception orientées réseaux sociotechniques des énergies renouvelables dénommée « Design For Renewable Energy Sociotechnique Network (DFRESN) ».

Cette nouvelle approche scientifique de la conception orientée énergies renouvelables intégrant les acteurs sociotechniques a été utilisée pour concevoir et fabriquer un séchoir ATESTA à convection forcée et un moulin solaire. Ces équipements ont été expérimentés par des unités industrielles agroalimentaires au Burkina Faso et au Togo.

« Ces résultats valident donc cette démarche de conception des équipements agroalimentaires intégrant les énergies renouvelables. Des travaux complémentaires en cours sur d’autres sources d’énergies renouvelables et d’équipements permettront d’enrichir la démarche et sa digitalisation permettra une appropriation massive par les équipementiers locaux », a-t-il affirmé devant le jury.

Selon le Co-Directeur de thèse Frédéric Bationo, Maître de Recherche en Génie Industriel au CNRST, cette thèse va contribuée significativement à l’optimisation des processus de conception des équipements pour le développement de l’Industrie Agroalimentaire Ouest Africain.

Parcours d’un docteur engagé

Le Dr Yamako Soungalo Soulama dirige depuis juillet 2024 le Centre Écologique Albert Schweitzer Burkina (CEAS Burkina). Ingénieur polyvalent, il a obtenu en 2007 un DUT en Génie industriel option Maintenance industrielle à l’Université Polytechnique de Bobo-Dioulasso. Il poursuit ensuite ses études à l’IST/CIESA du Canada, où il décroche un master en Génie industriel. Il est également titulaire d’un master en Gestion des Infrastructures et Services, option Énergies Renouvelables, obtenu à l’Institut 2IE à Ouagadougou.

Passionné de recherche appliquée, M. Soulama a conduit plusieurs projets de recherche, de conception et de fabrication d’équipements. Il est aussi un fervent défenseur de la protection de l’environnement.

Agence d’information du Burkina

OS/ata

 

Les membres du jury

  • NAPO Kossi
    Professeur titulaire, Université de Lomé
    Président du jury
  • GODJO Gorlon Thierry
    Professeur titulaire, UNSTIM d’Abomey (Bénin)
    Rapporteur externe
  • AFIO Ayarema
    Maître de conférences, Université de Lomé
    Rapporteur interne
  • BOROZE Tchamye Tcha-Esso
    Maître de conférences, Université de Lomé
    Directeur de thèse
  • BATIONO Frédéric
    Maître de recherche, IRSAT/CNRST (Burkina Faso)
    Co-directeur de thèse

 

Bobo-Dioulasso : Un atelier pour vulgariser le référentiel de programmation urbaine

Burkina-Urbanisation-Référentiel-Vulgarisation

Bobo-Dioulasso : Un atelier pour vulgariser le référentiel de programmation urbaine

Bobo-Dioulasso, 10 juin 2025 (AIB) – Le ministère de l’Urbanisme et de l’Habitat a organisé ce mardi 10 juin 2025 à Bobo-Dioulasso un atelier de vulgarisation du référentiel de programmation urbaine au profit des collectivités territoriales, services techniques, urbanistes, architectes et opérateurs immobiliers. Cette session vise à faciliter l’appropriation et l’utilisation effective de ce référentiel par les acteurs du développement urbain au Burkina Faso.

Adopté par décret le 31 juillet 2024, ce référentiel constitue un cadre technique cohérent pour la planification des équipements, superstructures et infrastructures dans les centres urbains, tant en milieu rural qu’urbain. Il a été conçu pour améliorer la planification urbaine et la gestion des infrastructures, en tenant compte des besoins réels des populations.

Selon le directeur général de l’urbanisme, de la viabilisation et de la topographie, Slimane Hamed Ouattara, le Burkina Faso évolue dans un contexte marqué par une rareté foncière croissante. « Ce référentiel permet une gestion rationnelle de l’espace et une programmation cohérente des équipements des zones aménagées », a-t-il indiqué. L’activité sera également déployée dans quatre autres grandes localités du pays notamment Banfora, Koudougou, Tenkodogo et Ouagadougou.

Le président de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso, Laurent Kontogom, a souligné que les nombreux défis liés à l’urbanisation rapide dans la ville, notamment la pression sur les infrastructures, la forte demande en logements, la gestion du foncier et l’accès limité aux services de base.

Pour lui, ce référentiel est un outil indispensable qui permettra une planification plus inclusive, résiliente et coordonnée des villes. « Cette session va renforcer la synergie entre départements ministériels, collectivités territoriales et secteur privé », a-t-il affirmé.

Le chargé de mission représentant le ministre de l’Urbanisme, Dr Ferdinand Bako, a rappelé que la réussite de ce référentiel dépend de son adoption effective par les acteurs de terrain.

« L’urbanisation ne doit pas être subie. Elle doit être anticipée, planifiée et orientée vers le bien-être de nos populations », a-t-il insisté. Il a aussi insisté sur la nécessité de normaliser les pratiques de programmation urbaine afin d’adapter les projets aux besoins des populations.

Enfin, le directeur général a précisé que les présidents de délégation spéciale (PDS) et les structures déconcentrées de l’État, premiers gestionnaires de l’espace urbain, doivent s’approprier cet outil pour assurer sa diffusion auprès des populations et autres acteurs urbains.

Agence d’Information du Burkina

Burkina/Culture : Un atelier pour vulgariser la nouvelle loi portant statut de l’artiste pour plus d’efficacité

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Burkina/Culture : Un atelier pour vulgariser la nouvelle loi portant statut de l’artiste pour plus d’efficacité

Ouagadougou, 10 juin 2025 (AIB)-Le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme (MCCAT), Gilbert Pingdwindé Ouédraogo, a ouvert mardi, l’atelier de vulgarisation de la loi 04-2025, portant statut de l’artiste au Burkina Faso, pour recueillir les attentes des acteurs pour l’élaboration des textes d’application.

« Les acteurs ont été invités à apporter leurs contributions pour l’avènement d’un instrument juridique plus robuste qui offre les garanties de l’effectivité d’une protection juridique, sociale et fiscale à l’artiste et aux collaborateurs artistiques, tout en facilitant l’essor de la culture et des arts burkinabè », a déclaré le ministre Gilbert Pingdwindé Ouédraogo dans son discours d’ouverture.

Selon lui, pour une mise en œuvre efficace de la nouvelle loi, il faut d’abord établir un cadre réglementaire clair et précis, avec l’élaboration rapide des décrets d’application nécessaires.

A cela s’ajoute la sensibilisation et la formation des acteurs du secteur que sont les artistes, les collaborateurs artistiques et/ou les professionnels de la culture pour qu’ils comprennent leurs droits et obligations, a poursuivi le ministre.

Et enfin, il faut mobiliser les ressources nécessaires pour accompagner les artistes et les opérateurs culturels dans cette nouvelle ère.

Le chef du département ministériel a saisi l’occasion pour inviter tous les participants à adopter une démarche participative en travaillant à l’unisson pour améliorer les conditions de vie des artistes.

Pour le directeur général de la Culture et des arts, Moctar Sanfo, il s’agit d’échanger avec les parties prenantes à l’effet de partager le contenu de la loi et surtout recueillir davantage de contributions pour rattraper les insuffisances de ladite loi dans les actes d’application qui seront adoptés incessamment.

L’élargissement du champ d’application et l’insertion de la question de fiscalité pour tenir compte de la sécurité sociale de l’artiste sont entre autres les innovations apportées dans la présente loi.

L’adoption et la promulgation de cette nouvelle loi viennent corriger les insuffisances du décret de 2013 portant statut de l’artiste et les deux arrêtés pris en 2018 relatifs à la Commission nationale des arts et à l’opérationnalisation de la carte professionnelle d’artiste.

Agence d’information du Burkina
BBP/YOS/NO

Koudougou/Université Norbert Zongo : Adjima Thiombiano sonne la fin de la récréation

BURKINA-EDUCATION-ENSEIGNEMENT-SUPÉRIEUR-MONTÉE-DRAPEAU

Koudougou/Université Norbert Zongo : Adjima Thiombiano sonne la fin de la récréation

Koudougou, 10 juin 2025 (AIB)-À l’Université Norbert Zongo (UNZ) de Koudougou, ce lundi, le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Pr Adjima Thiombiano, a présidé la cérémonie de montée des couleurs nationales, avec à la clé une exhortation à résorber les retards académiques.

La Présidente de l’UNZ, Pr Awa Eugenie Maiga, a remercié le ministre pour sa présence effective, tout en soulignant que cette cérémonie mensuelle renforce le respect des valeurs nationales et l’engagement de chacun.

Le ministre a exprimé sa satisfaction face à la mobilisation, mais a déploré les obstacles aux objectifs de rattrapage. Il a appelé chaque acteur, de l’administration aux enseignants, à assumer pleinement ses responsabilités pour l’avenir des étudiants.

Pour assurer la continuité des cours, les enseignants en mission devront désormais remplir une fiche d’absence, et le ministre n’a pas manqué d’insister sur le strict respect de cette mesure.

Coup de tonnerre, le professeur Thiombiano a annoncé la mise en place prochaine d’un numéro vert pour dénoncer les manquements des enseignants et de l’administration, instaurant une politique de tolérance zéro.

Enfin, il a encouragé les étudiants à faire preuve de discipline, de respect envers leurs enseignants et à être exemplaires pour le bon fonctionnement des universités.
Agence d’information du Burkina
FGB/PB/AS/ATA

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟓-𝟐𝟎𝟐𝟔

𝐂𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟓-𝟐𝟎𝟐𝟔

« 𝑭𝒂𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒂𝒍𝒍𝒖𝒎𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒋𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒏𝒄𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒏𝒖𝒊𝒕. 𝑵𝒐𝒖𝒔 𝒏𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒐𝒏𝒔 𝒑𝒂𝒔 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒑𝒆𝒓𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆 𝒍𝒖𝒙𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒅𝒓𝒆 𝒅𝒖 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒂̀ 𝒅𝒐𝒓𝒎𝒊𝒓 𝒍𝒂 𝒏𝒖𝒊𝒕 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒖𝒏 𝒑𝒂𝒚𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒍𝒆 𝒏𝒐̂𝒕𝒓𝒆. 𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒖𝒕 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒆𝒏 𝒓𝒐𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏, 24 𝒉𝒆𝒖𝒓𝒆𝒔 𝒔𝒖𝒓 24 », le ministre d’État Ismaël SOMBIÉ aux entreprises en charge des aménagements des bas-fonds.

Le Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Commandant Ismaël SOMBIÉ, a effectué ce lundi 9 juin 2025, une visite de terrain sur plusieurs sites d’aménagement de bas-fonds et de construction de barrage dans la province du Houet, région des Hauts-Bassins.

La première étape de cette tournée l’a conduit sur le site des travaux de construction du barrage de Diaradougou, dans la commune de Bama. Ce barrage, d’une capacité prévisionnelle de 10 millions de mètres cubes, est destiné à soutenir les activités agricoles en saison sèche.

Deux autres sites ont également été visités. La plaine irriguée de Bama, en cours de réhabilitation, couvrant une superficie totale de 1 260 hectares, et le bas-fond de Lebere dans la commune de Sogossagasso, d’une superficie de 22,65 hectares. Ces aménagements sont destinés à la production rizicole.

Au cours de ces tournées, entamées depuis le 2 juin 2025, le Commandant SOMBIÉ a insisté sur l’importance du respect des délais contractuels et la qualité des ouvrages. « 𝑵𝒐𝒔 𝒃𝒓𝒂𝒗𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒅𝒖𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒆𝒏𝒈𝒂𝒈𝒆́𝒔 𝒆𝒕 𝒎𝒐𝒃𝒊𝒍𝒊𝒔𝒆́𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍’𝒂𝒕𝒕𝒆𝒊𝒏𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒂𝒊𝒏𝒆𝒕𝒆́ 𝒂𝒍𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆. 𝑰𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝒓𝒆́𝒖𝒏𝒊𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒏𝒆́𝒄𝒆𝒔𝒔𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒖𝒔𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒂𝒄𝒕𝒊𝒗𝒊𝒕𝒆́𝒔, 𝒏𝒐𝒕𝒂𝒎𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒏 𝒓𝒆𝒏𝒅𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒔𝒑𝒂𝒄𝒆𝒔 𝒄𝒖𝒍𝒕𝒊𝒗𝒂𝒃𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒐𝒏𝒊𝒃𝒍𝒆𝒔 𝒂̀ 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 », a-t-il déclaré.

Face à l’urgence, il a exhorté les entreprises à renforcer les effectifs et les équipements, et à engager des travaux de nuit. « 𝑭𝒂𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒂𝒍𝒍𝒖𝒎𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒋𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒏𝒄𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒏𝒖𝒊𝒕. 𝑵𝒐𝒖𝒔 𝒏𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒐𝒏𝒔 𝒑𝒂𝒔 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒑𝒆𝒓𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆 𝒍𝒖𝒙𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒅𝒓𝒆 𝒅𝒖 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒂̀ 𝒅𝒐𝒓𝒎𝒊𝒓 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒖𝒏 𝒑𝒂𝒚𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒍𝒆 𝒏𝒐̂𝒕𝒓𝒆. 𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒖𝒕 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒆𝒏 𝒓𝒐𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏, 24 𝒉𝒆𝒖𝒓𝒆𝒔 𝒔𝒖𝒓 24. », a-t-il indiqué.

À noter que pour la campagne humide 2025-2026, le Burkina Faso ambitionne de produire sept millions de tonnes de céréales, dont un million de tonnes de riz.

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Burkina/Organisation judiciaire: Les députés adaptent le système judiciaire aux réalités nationales

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Burkina/Organisation judiciaire: Les députés adaptent le système judiciaire aux réalités nationales

Ouagadougou, 10 juin 2025 (AIB)- Les députés de l’Assemblée législative de Transition(ALT) ont examiné et adopté à l’unanimité hier lundi, la loi portant organisation judiciaire au Burkina Faso en vue de conformer le système judiciaire aux réalités et attentes nationales.

Cette loi qui est une relecture de la loi n°015-2019/AN du 02 mai 2019 introduit des innovations sur dispositions communes à toutes les juridictions, la procédure devant la cour d’appel, la procédure devant les tribunaux de grande instance, le traitement des difficultés d’exécution.

Devant la Cour d’appel, l’on note la possibilité d’instituer des chambres criminelles et chambres pour mineurs non seulement mais aussi la possibilité de siéger à juge unique pour certains cas bien précis.

Aux termes de la nouvelle loi, toutes les juridictions peuvent désormais tenir des audiences dans une langue nationale à condition que les parties le consentent.

Désormais, le juge des enfants connaitra des délits et contraventions.

Aussi pour certains délits, le principe de la collégialité est écarté, offrant ainsi la possibilité de statuer en juge unique. Il est également crée un tribunal du travail au sein de chaque TGI.

Le texte composé 115 articles répartis en 10 chapitres a fait l’objet d’un examen approfondi par la Commission des affaires générales, institutionnelles et des droits humains (CAGIDH).
Pour la CAGIDH, cette relecture va améliorer l’accessibilité de la justice, accélérer le traitement des dossiers judiciaires promouvoir l’usage des langues nationales dans les procédures, renforcer la crédibilité et la confiance entre les justiciables et la justice adapter le système judiciaire aux réalités et attentes nationales.

Selon le ministre chargé de la Justice, Edasso Rodrigue Bayala, ces réformes visent à bâtir une justice crédible, accessible et conforme aux aspirations profondes du peuple burkinabè.

La loi sera promulguée les jours avenir par le président du Faso avant son entrée vigueur.

Agence d’information du Burkina
YOS/ata

Burkina : L’AES se veut un espace de sécurité totale, pour pourvoir exploiter les ressources au profit de la population

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Burkina : L’AES se veut un espace de sécurité totale, pour pourvoir exploiter les ressources au profit de la population

Ouagadougou, 9 juin 2025 (AIB) – Le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a rappelé lundi la volonté des Chefs des Etats de la Confédération de l’alliance des Etats du Sahel (AES) de faire cette alliance, un espace de sécurité totale en vue d’exploiter convenablement ses ressources pour les faire profiter aux masses populaires.

Nous voulons « faire de l’AES (Confédération de l’alliance des Etats du Sahel) un espace de sécurité totale. Pouvoir exploiter convenablement nos ressources. Et que ça puisse profiter donc à nos masses populaires », a indiqué le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

Le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, s’adressait à ses compatriotes à l’issue de la traditionnelle montée des couleurs. A cette occasion, l’hymne de l’AES a été entonné pour la première au palais de Koulouba à Ouagadougou.

« Le Sahel ne restera pas pauvre. Nous continuerons notre bonhomme de chemin. Continuer à construire l’AES à être forts et résilients », a ajouté le capitaine Ibrahim Traoré.

La Confédération de l’alliances des Etats du Sahel (AES), créée en septembre 2023 regroupe le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Elle vise à mutualiser les efforts des Etats membres pour combattre les menaces sécuritaires de la région et enclenché un développement durable en faveur des masses populaires de la zone.

Agence d’information du Burkina
DNK/ata

Burkina/AES : Les impérialistes veulent amener l’un des trois États à trahir les autres, selon le président Traoré

BURKINA – MONTÉE DES COULEURS – DISCOURS DU PRÉSIDENT – AES

Burkina/AES : Les impérialistes veulent amener l’un des trois États à trahir les autres, selon le président Traoré

Ouagadougou, 9 juin 2025 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a révélé lundi, lors de la montée des couleurs nationales, que les ennemis de l’Alliance des États du Sahel (AES) tentent vainement d’amener l’un des trois pays de l’union à trahir les autres, afin d’éviter l’ancrage de la Confédération.

« La Confédération des États du Sahel dérange encore, ou dérange certains, parce que nous sommes approchés tous les jours par les impérialistes qui veulent amener l’un des trois États à trahir les autres », a affirmé le chef de l’État burkinabè.

« Nous sommes confrontés à cela depuis belle lurette. À chaque fois, ce sont des manœuvres pour convaincre un État de quitter la Confédération. Et cela doit nous amener à réfléchir », a-t-il poursuivi.

Malgré tous ces obstacles, le capitaine Traoré a rassuré que l’AES poursuit sereinement « son bonhomme de chemin ».

Selon lui, ces impérialistes sont uniquement guidés par leurs intérêts, car le Burkina Faso et le Sahel, en général, sont immensément riches.

« Il faut que nous soyons bien conscients de cela et que nous continuions à nous battre. Nous ne devons pas nous apitoyer sur nous-mêmes. Au contraire, cela doit nous renforcer », a conclu le chef de l’État.

Agence d’Information du Burkina

YOS/bbp/ata

Le président du Faso appelle les Burkinabè à travailler pour développer le pays

BURKINA – MONTÉE DES COULEURS – DISCOURS DU PRÉSIDENT

Le président du Faso appelle les Burkinabè à travailler pour développer le pays

Ouagadougou, 9 juin 2025 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a appelé, lundi, lors de la montée des couleurs nationales, les Burkinabè à travailler davantage pour le développement du pays.

« Le Burkinabè est reconnu comme quelqu’un de très courageux, travailleur, résilient et plein d’abnégation », a affirmé le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

Selon le capitaine Traoré, les Burkinabè doivent redoubler d’efforts pour cultiver ces valeurs et ainsi contribuer au développement du pays.

Le chef de l’État s’exprimait lundi au palais présidentiel de Koulouba, lors de la traditionnelle montée des couleurs nationales.

« Partout où vous allez, que ce soit en Afrique ou ailleurs dans le monde, vous trouverez des Burkinabè. Ce sont les valeurs d’intégrité et de travail qui permettent de les identifier », a-t-il soutenu.

Le président du Faso a également exhorté les fils et filles du pays à tout mettre en œuvre pour demeurer des hommes et des femmes intègres et à redoubler d’efforts pour le bonheur du Burkina et celui de la Confédération de l’Alliance des États du Sahel.

Agence d’Information du Burkina
NO/BBP/ATA

Séno/Santé : 2897 élèves adolescentes touchées par une campagne de supplémentation en fer

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Séno/Santé : 2897 élèves adolescentes touchées par une campagne de supplémentation en fer

Dori, 9 juin 2025 (AIB)- La direction régionale de la santé du Sahel a organisé, lundi à Dori, une rencontre bilan d’une campagne de déparasitage et de supplémentation en fer, déroulée du 26 au 28 mai 2025, et ayant touché 2897 élèves adolescentes.

Dans le but d’améliorer l’état sanitaire des élèves adolescentes et de contribuer à leur réussite scolaire, le ministère de l’Éducation de base et celui de la Santé ont mutualisé leurs efforts.

En effet, les deux institutions avec l’appui du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) ont mis en œuvre depuis 2021, un programme de renforcement de la nutrition des adolescentes, par la prévention de l’anémie à travers le déparasitage et la supplémentation en fer des élèves filles de 10 à 19 ans.

Pour l’année scolaire 2024-2025, 7561 élèves adolescentes ont été ciblées pour cette supplémentation en fer (acide folique) dans le district de Dori.

Au terme de la campagne qui s’est déroulée du 26 au 28 mai 2025, 2897 élèves adolescentes ont bénéficié de l’acide folique.

Afin de faciliter le bon déroulement des prochaines campagnes, les participants à la rencontre ont suggéré le renforcement de la communication auprès des acteurs et partenaires de l’éducation ainsi que des leaders religieux et coutumiers.

Le directeur régional de la santé du Sahel, Djibrila Alou Maiga a remercié tous les acteurs qui se sont investis pour le bon déroulement de cette campagne de déparasitage et de supplémentation en fer.

Agence d’information du Burkina

AMM

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