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Bénin : des milliers de personnes ont manifesté contre la vie chère à Cotonou

Bénin : des milliers de personnes ont manifesté contre la vie chère à Cotonou

Cotonou, Bénin

Plusieurs milliers de Béninois sont descendus samedi dans les rues de Cotonou, la capitale économique du Bénin, pour protester contre la hausse des prix ainsi que contre des violations des libertés individuelles et syndicales, ont constaté des journalistes de l’AFP.

« On a faim », ont scandé les manifestants qui répondaient à l’appel des syndicats, en sillonnant les principales artères de la ville, encadrés par les forces de l’ordre.

Depuis plusieurs mois, les prix ont augmenté dans le pays en raison de la fermeture de la frontière avec le Niger, le principal partenaire commercial du pays, à la suite d’un coup d’État en juillet 2023 dans ce pays sahélien, mais également de la fin de la subvention des carburants au Nigeria voisin, où le Bénin s’approvisionne pour sa consommation intérieure.

« Il est grand temps d’exiger une gouvernance moins brutale… et ne plus permettre à une seule personne de décider toute seule de notre destinée », a déclaré Anselme Amoussou, le secrétaire général de la Confédération des syndicats autonomes du Bénin (CSA Bénin).

« Le peuple exige une gouvernance plus humble et s’est levé pour lancer un message fort au président Patrice Talon », a-t-il ajouté.

Les manifestants munis de pancartes et de banderoles ont également scandé des slogans hostiles au gouvernement et au président Talon, qu’ils ont qualifé de « prédateur des libertés ».

Les critiques accusent régulièrement le président béninois, Patrice Talon d’avoir opéré un virage autoritaire dans ce pays autrefois salué pour le dynamisme de sa démocratie.

 

– Frustration et colère –

 

« Nous avons tellement souffert de la faim que nous avons fini par en être exaspérés. Il fallait qu’on hausse le ton pour faire savoir notre misère et nos difficultés », a expliqué Maryse Assogbadjo, une manifestante.

La plupart des manifestants comme Clotaire Tamegnon, travaillant dans une administration publique, et ses collègues demandent une augmentation des salaires face à la baisse du pouvoir d’achat des Béninois.

« Depuis 2016, nous avons accompagné la politique de l’Etat, mais avec les réformes que nous subissons dans l’administration, le pouvoir d’achat s’amenuise de jour en jour », a indiqué à l’AFP la quinquagénaire, à bout de souffle à la fin de la manifestation.

Dominique Kouassi Edoh, un enseignant, a tenu, lui, à être de la marche « pour exiger la libération sans condition » des travailleurs emprisonnés lors des précédentes manifestations contre la vie chère, interdites par les autorités béninoises.

« Nous revendiquons la liberté. C’est inadmissible ce qui se passe et nous lançons un appel à leur libération. Celui qui a faim ne peut que crier », indique-t-il.

« Un peuple qui oublie son passé a tendance à le revivre. De 1985 à 1989, les travailleurs ont milité durement pour avoir le droit de revendiquer », soutient Armel Dossou Kago, un responsable syndical.

« De frustration en frustration, cela risque d’exploser un jour. Nous avons besoin de meilleures conditions de vie et de liberté », prévient-il.

Avant la manifestation de samedi, deux précédentes manifestations, organisées fin avril et début mai par les syndicats, avaient été interdites par les autorités et dispersées par la police qui a tiré des gaz lacrymogènes.

Des dizaines de manifestants avaient alors été interpellés et placés en garde à vue, avant d’être libérés pour certains.

Avec AFP

 

© Agence France-Presse

Meeting de Soutien à la Transition : Des manifestants réclament la prolongation de la Transition au Burkina Faso

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Meeting de Soutien à la Transition : Des manifestants réclament la prolongation de la Transition au Burkina Faso

Ouagadougou,11mai 2024(AIB)-Des hommes et des femmes, venus de toutes les régions du pays, ont convergé vers le Stade Issoufou Joseph Conombo de Ouagadougou où plusieurs centaines de ouagavillois ont répondu à l’appel à manifester ‘’ pour une prolongation de la Transition’ , lancé par la Coordination nationale des associations de veille citoyenne (CNAVC).

Lors de ce rassemblement, les manifestants ont scandé des slogans variés reflétant leurs revendications et leurs aspirations. « Y a pas d’élection…! », « Prolongation de la Transition », « Une nouvelle constitution pour la libération totale et la refondation du Burkina Faso », « IB ou rien », sont entre autres, les slogans portés par les manifestants.

En effet, l’objectif principal de cette manifestation était de demander la prolongation de la Transition dirigée par le Capitaine Ibrahim Traoré.

Théoriquement, la Transition, mise en place après la période de trouble politique qui a conduit au renversement du président Roch Marck Christian Kaboré devrait normalement prendre fin en juillet 2024 avec la tenue des élections présidentielles et législatives, conformément à la charte adoptée en octobre 2022.

Cependant, la CNAVC et ses sympathisants mais également d’autres organisations de la société civile estiment que les progrès réalisés sous la direction du capitaine Ibrahim Traoré, tant sur le plan sécuritaire que sur celui du développement, justifient la nécessité de prolonger cette période de Transition… https://www.sidwaya.info/meeting-de-soutien-a-la-transition-des-manifestants-reclament-la-prolongation-de-la-transition-au-burkina-faso/

Agence d’Information du Burkina avec Sidwaya

Gourcy/Soutien à la transition : « IB au pouvoir jusqu’en 2050 » proclament les manifestants

Gourcy/Soutien à la transition : « IB au pouvoir jusqu’en 2050 » proclament les manifestants

Gourcy, le 11 mai 2024 (AIB)- La coordination des Associations de Veille Citoyenne du Zondoma ont organisé un meeting de soutien à la transition ce 11 mai 2024 à la place de la nation de Gourcy où ils ont réclamé la Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir jusqu’en 2050.

A l’appel de la coordination des Associations de Veille Citoyenne du Zondoma, la population de Gourcy est sortie une fois de plus pour manifester son soutien à la transition et au Capitaine Traoré. Cette manifestation qui se tient à la veille des assises nationales vise selon les organisateurs a exprimer de vive voix leur volonté de voir le Capitaine Traoré poursuivre la transition jusqu’à nouvelle ordre. « Il n’est pas question pour nous que IB quitte le pouvoir » dira Ousmane Ouédraogo de Faso Lagam-Taaba, membre de la coalition qui cite au passage les grandes actions de l’homme en quelques mois à la tête du pays. Pour marquer leurs déterminations, les manifestants se sont rendus au haut-commissariat de Gourcy où ils ont remis une note traduisant leur vision au premier responsable de la province. « Pas d’élections avant la reconquête totale du territoire; Trouver une formule pour pérenniser la gouvernance de IB » peut-on lire entre autres dans la note. Ils ont été reçus par le Secrétaire général de la province Anatole Kaboré entouré de ses collaborateurs qui a pris l’engagement de transmettre le message à qui de droit.

Agence d’Information du Burkina

Aziz KIEMDE

 

Mali: le dialogue national recommande de proroger la période de transition à cinq ans

SOCIÉTÉ: MALI-TRANSITION-DIALOGUE

Mali: le dialogue national recommande de proroger la période de transition à cinq ans

PRETORIA 11 mai. /TASS/. Le dialogue inter-Maliens recommande de prolonger de deux à cinq ans la période de transition et demande que l’actuel président de la Transition, Assimi Goïta, se présente à la prochaine élection présidentielle. C’est ce qu’a déclaré Boubacar Sow, porte-parole du comité de pilotage des consultations.

« Au titre des questions politiques et institutionnelles, le dialogue inter-Maliens recommande de proroger la durée de la transition de deux à cinq ans et de susciter la candidature du colonel Assimi Goïta à la prochaine élection présidentielle », a-t-il déclaré, cité par l’Agence France-Presse (AFP).

La République du Mali a connu deux coups d’État militaires depuis août 2020. Lors du premier, qui a eu lieu le 18 août 2020, le président Ibrahim Boubacar Keïta a été chassé du pouvoir. Un groupe de militaires dirigé par le colonel Assimi Goïta a nommé Ba N’Daw président intérimaire du Mali. Toutefois, le 26 mai 2021, il a été démis de ses fonctions par le même groupe militaire, la Cour constitutionnelle du Mali ayant nommé M. Goïta chef d’État pour la période de transition.

Avec TASS

Le gouvernement va combler les insuffisances de l’Agence burkinabè de normalisation », annonce le ministre.

« Le gouvernement va combler les insuffisances de l’Agence burkinabè de normalisation », annonce le ministre.

Ouagadougou, 10 mai 2024 (AIB) – Le ministre en charge du Commerce, Serge Gnaniodem Poda, a promis vendredi de travailler pour pallier les insuffisances que connaît l’Agence burkinabè de normalisation, de métrologie et de qualité (ABNORM).

« Le gouvernement va travailler à combler les insuffisances qui minent le bon fonctionnement de l’Agence Burkinabè de normalisation », a promis le ministre en charge du Commerce, Serge Gnaniodem Poda.

M. Poda, qui s’exprimait vendredi à Ouagadougou lors d’une visite des laboratoires de l’ABNORM, a indiqué que malgré les contraintes budgétaires, l’agence de normalisation reste une priorité.

Selon lui, cela permettra à la structure de jouer son rôle de normalisation et de certification de produits sur le plan national.

« Nous nous rendons compte que nous avons un laboratoire qui est bien prisé au plan sous-régional, qui dispose de matériel de qualité en dépit de la modestie des moyens », a ajouté le premier responsable du département en charge du Commerce.

Le Directeur général de l’ABNORM, Abraham Somda, a déploré l’insuffisance du personnel qui ne permet pas à sa structure de mener à bien ses missions.

« On doit élaborer des normes, assurer la certification et contrôler la qualité des produits, ce qui nécessiterait un personnel étoffé pour mener à bien ces missions », a-t-il expliqué.

M. Somda a également relevé l’insuffisance de moyens logistiques qui ne favorise pas un déploiement conséquent des équipes sur le terrain.

Créée le 18 juillet 2012, l’ABNORM est la seule structure nationale, chargée, entre autres, d’élaborer et de diffuser des normes nationales, des spécifications techniques et des codes de bonnes pratiques.
Agence d’information du Burkina
AMZ/yos/no/ata

Burkina/ Entrepreneuriat communautaire : Les femmes de la pédiatrie Charles De Gaulle sensibilisées à l’actionnariat populaire

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Burkina/ Entrepreneuriat communautaire : Les femmes de la pédiatrie Charles De Gaulle sensibilisées à l’actionnariat populaire

Ouagadougou, 10 mai 2024 (AIB)- L’amicale des femmes du Centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles de Gaulle (AFC), en collaboration avec L’agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC) a organisé le mardi 7 mai 2024, une conférence sur le thème de l’entrepreneuriat communautaire.

La promotion de l’entrepreneuriat communautaire est un programme mis en place par les autorités de la transition du Burkina Faso, en vue de relancer l’économie en ce temps de crise que connait le pays.

Ce programme prévoit le financement endogène de projets majeurs, afin de créer de la richesse par les burkinabés, dans les secteurs stratégiques que sont l’agriculture, l’élevage, l’agroalimentaire, le textiles et les mines.

Pour la présidente de lAFC, Wadba Marie Denise, la forte mobilisation des femmes du CHUP-CDG témoigne de leur adhésion à cette initiative présidentielle dont le but est de fédérer toutes les forces du pays, pour promouvoir un développement endogène.

Mme Wadba a invité, à l’occasion, les membres de l’amicale et le personnel masculin du CHUP-CDG à souscrire massivement à cette campagne dont les bénéfices suivront même après leur retraite.

 

Les femmes du Centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles de Gaulle ont suivi attentivement sur la promotion de l’entrepreneuriat communautaire

La directrice de la promotion de l’entrepreneuriat communautaire, Clémence Zoundi a salué le dynamisme des femmes du CHUP-CDG autour des questions de développement du Burkina Faso, notamment celles prônées par les autorités de la transition.

Mme Zoundi a expliqué que l’objectif du programme est de créer en 2 ans, plus dun million d’emplois directs et trois millions d’emplois indirects, dans la perspective d’atteindre l’autosuffisance alimentaire.

La directrice générale du CHUP-CDG, Cyrille Priscille Kaboret/Ouédraogo a donné l’exemple en souscrivant à l’actionnariat populaire et a remercié les premiers responsables de l’APEC pour avoir accepté rencontrer les femmes de l’hôpital pédiatrique.

« Cette démarche leur permettra, de mieux comprendre le concept d’entrepreneuriat communautaire afin d’y adhérer pour apporter leur part contributive à l’édification dun Burkina Faso prospère », a soutenu Mme Kaboret.

Rappelons que le coût de chaque part social s’élève à 10 000 FCFA et les frais d’adhésion sont à 5000 FCFA. A travers, cette mobilisation populaire, l’APEC entend atteindre un montant de 100 milliards pour la mise en place des entreprises communautaires.

Agence d’information du Burkina

 

NO/yos/ata

 

Sissili : 72554 enfants de 0 à 59 mois seront vaccinés contre la poliomyélite

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Sissili : 72554 enfants de 0 à 59 mois seront vaccinés contre la poliomyélite

Léo, (AIB)-72554 enfants de 0 à 59 mois seront vaccinés contre la poliomyélite du 10 au 13 mai 2024, dans le district sanitaire de Léo, région du Centre-Ouest. L’accompagnement de toutes les forces vives de la province de la Sissili est sollicité pour la réussite de ladite campagne nationale de vaccination.

Le district sanitaire de Léo, dans la province de la Sissili, région du Centre-Ouest a initié le mercredi 8 mai 2024 à Léo, un atelier de plaidoyer avec les autorités et les leaders d’opinions, en faveur de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite.

Selon le Médecin chef du district sanitaire (MCD) de Léo, Dr Aboubacary Abdou, le premier round de la campagne nationale de vaccination contre la polio va concerner 72554 enfants de 0 à 59 mois et sera couplé au dépistage de la malnutrition des enfants de 6 à 59 mois.

« C’est dans cette dynamique que le district sanitaire un atelier de plaidoyer pour solliciter l’engagement et l’accompagnement des autorités ainsi que des leaders d’opinions de la province pour atteindre le taux national de 97% », a expliqué Dr Abdou.

Les participants ont eu droit à des informations relatives à la maladie de la poliomyélite. Ils ont également reçu des orientations sur le déroulement de la présente campagne de vaccination.

Pour le MCD du district sanitaire de Léo, la poliomyélite est une maladie invalidante, très dangereuse et contagieuse et que la vaccination reste le seul moyen de prévention.

Il a par ailleurs précisé que tous les enfants quel que soit leur statut vaccinal sont concernés par la présente campagne.

Le haut- commissaire de la province de la Sissili,Tewendé Isaac Sia a sollicité l’implication de tous les acteurs surtout des parents pour la réussite de campagne de vaccination contre la poliomyélite.

M. Sia a enfin remercié le district sanitaire de Léo pour les efforts consentis pour le bien-être des populations de la province.

Agence d’information du Burkina

OAN/no/ata

Le Conseil Constitutionnel valide la nouvelle loi sur le statut de la magistrature

Le Conseil Constitutionnel valide la nouvelle loi sur le statut de la magistrature

Ouagadougou, 10 mai 2024(AIB)-Le Conseil constitutionnel a déclaré vendredi, conforme à la Constitution, la nouvelle loi sur le statut de la magistrature, adoptée le 26 avril 2024 par l’ALT, a appris l’AIB.

Ce feu vert des 9 sages autorise le président Ibrahim Traoré à promulguer ladite loi.

Dans une autre décision, le Conseil constitutionnel a déclaré conforme à la Constitution, la loi portant attributions, composition, organisation et fonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature
Agence d’information du Burkina
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Burkina : Les Forces combattantes ont rasé plusieurs bases terroristes dans plusieurs localités

Burkina : Les Forces combattantes ont rasé plusieurs bases terroristes dans plusieurs localités

Ouagadougou, 10 mai 2024 (AIB) – De la Boucle du Mouhoun au Sahel, en passant par le Centre-nord jusqu’à l’Est, les Forces combattantes, avec l’appui des vecteurs aériens, ont rasé plusieurs bases terroristes et récupéré du matériel de combat ces derniers jours, selon des sources sécuritaires contactées par l’AIB.

Dans l’après-midi du 9 mai 2024, des VDP en patrouille ont été attaqués à Tenou, à une dizaine de kilomètres de Nouna, par des terroristes.

Passé l’effet de surprise, les patriotes ont très rapidement repris le contrôle de la situation. Plusieurs assaillants ont été abattus, des armes et des moyens roulants ont été récupérés.

Le même jour, les 5e et 9e BIR ont investi des bases terroristes dans la zone de Sebba.

Les criminels n’ont eu aucune chance devant la détermination des forces combattantes. De nombreux terroristes ont été tués et du matériel a été récupéré.

Malgré ces succès, les Forces combattantes n’ont pas dormi sur leurs lauriers.

Dans la soirée du 9 mai 2024, aux environs de 17 heures, les vecteurs aériens ont orienté leurs radars dans la zone de Tarpako.

Des terroristes en plein mouvement, observent une pause et se regroupent sous un arbre.

Les opérateurs aériens jugent le moment propice et envoient un missile sur le tas de comploteurs.

Plusieurs d’entre eux sont tués et les rescapés prennent la fuite à bord de motos.

Les fugitifs vont immédiatement tomber sur les unités du 1er bataillon d’intervention rapide et un commando des Forces spéciales.

Décidément la journée du 9 mai 2024 a été longue et intense en combats.

C’est ainsi que les vecteurs aériens sont allés à la rescousse des VDP engagés dans de violents combats à Boko (Boulsa) contre des terroristes.

Les opérateurs aériens vont suivre les assassins en fuite vers le Nord puis les frappent avec une grande efficacité.

L’unité Guépard a ensuite lancé l’assaut sur les rescapés et récupéré le matériel.

D’autres criminels se sont cachés dans les buissons.

Les vecteurs aériens ont monté la garde et ont vu, dans la matinée du 10 mai 2024, des terroristes embarquer dans des tricycles.

Un missile a stoppé leur progression, puis immédiatement un commando des forces spéciales a été déployé pour prendre d’assaut les criminels et détruire le matériel.

Sur un autre front, la même réalité se présente.

Le 10 mai 2024, les bataillons d’intervention rapide en manœuvre à l’Est, dans la zone de Tankoualou, ont repéré un regroupement de terroristes.

Sans tarder, les Forces terrestres sont intervenues et ont écrasé impitoyablement les assaillants avant de récupérer du matériel.

Enfin, le même jour, aux environs de 10 heures, les vecteurs aériens ont repéré un tricycle rempli de fûts de carburant en route vers la zone de Wabsouya.

Les terroristes ont été suivis jusqu’à leur gîte, où se trouvait une importante base logistique.

Successivement, les tricycles repérés ont été bombardés.

Les Forces spéciales héliportées vont achever le travail, mais les opérations se poursuivent sur les autres fronts.
Agence d’information du Burkina

Namentenga : 50 174 enfants de 0 à 59 mois seront vaccinés contre la poliomyélite

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Namentenga : 50 174 enfants de 0 à 59 mois seront vaccinés contre la poliomyélite

Boulsa, (AIB)- 50 174 enfants de 0 à 59 mois dont 45 827 malnutris de 6 à 59 mois, seront vaccinés contre la poliomyélite du 10 au 14 mai 2024 à Boulsa, chef-lieu de la province du Namentenga, dans la région du Centre-Nord, au cours d’une campagne de vaccination.  

La  campagne de vaccination contre la poliomyélite commence du  10 au 14 mai 2024 à Boulsa, dans la région du Centre-Nord.

Elle concerne 50 174 enfants de 0 à 59 mois dont 45 827 malnutris de 6 à 59 mois.

Selon le Dr Josué Ouédraogo le principe de la vaccination est le porte à porte.

Selon la responsable du CSPS Saint François D’Assise de Boulsa,  Sœur Véronique Doulé, « c’est un centre fixe et nous recevons tous ceux qui viennent vers nous ».

Avec son équipe de vaccination,  elles s’occupent de l’administration de la dose polio, de l’enregistrement et du marquage à l’encre indélébile au doigt des enfants vaccinés.

Les communes de Boala, Dargo, Boulsa et Zéguédéguin composent le district sanitaire de Boulsa.

Le Namentenga, au regard de son contexte sécuritaire et humanitaire difficiles bénéficie d’un jour de plus par rapport aux autres localités pour cette campagne nationale.

Débutée ce 10 mai, la campagne de vaccination prendra fin le 14 mai 2024.

Agence d’information du Burkina

JBD/no/hb/ata 

 Passoré : Le secrétariat technique du Registre social unique sensibilise sur le processus d’identification des ménages vulnérables

Burkina-Passoré-Sensibilisation- Identification

 Passoré : Le secrétariat technique du Registre social unique sensibilise sur le processus d’identification des ménages vulnérables

Yako, (AIB)- La secrétaire générale de la province (SGP) du Passoré, Noélie Béréhoumdougou/Kabore a présidé le mardi 7 mai 2024 à Yako, les travaux d’un atelier d’information et de sensibilisation sur le processus d’identification des ménages pauvres et vulnérables dans la commune urbaine de Yako.

Le secrétariat technique du Registre social unique (ST-RSU), en collaboration avec la direction provinciale en charge de l’Action humanitaire du Passoré envisage identifier des ménages pauvres et vulnérables de la commune urbaine de Yako,  en vue de renforcer son système de national de protection sociale.

Dans cette optique, le ST-RSU a organisé le mardi 7 avril 2024 à Yako, un atelier d’information et de sensibilisation au profit des autorités administratives, militaires et paramilitaires,  des Organisations de la société civile (OSC), des personnes de ressources des communes urbaines et des leaders coutumiers et religieux de ladite commune urbaine.

La rencontre a été un cadre de mobilisation des acteurs impliqués dans la mise en œuvre du programme et de ciblage des ménages pauvres et vulnérables dans la commune.

A cet effet, trois communications ont été livrées aux participants. La première communication qui a été livrée par le Directeur du Registre social unique (DRSU), Lucien Ilboudo a porté sur le dispositif institutionnel du Registre social unique (RSU).

Les participants ont été également éclairés sur la notion du RSU qui constitue un système d’information composé d’une base de données des ménages pauvres et vulnérables d’un pays servant d’outil d’identification des populations cibles.

Le DRSU a aussi fait savoir que le Registre social unique vise, entre autres, à produire un code d’identification unique pour chaque personne pauvre et vulnérable, à constituer des bases de données et à rendre plus efficace et efficiente les programmes de protection sociale et de lutte contre la pauvreté dans les 11 communes urbaines concernées par cette phase dans  le but de couvrir le territoire national.

La deuxième communication a été axée sur la méthodologie de ciblage. Dans sa présentation, François Guibila a outillé les participants sur l’approche communautaire, en milieu rural et surtout celle du dénombrement en milieu urbain, à travers des enquêtes auprès des ménages concernés.

Quant à la troisième livrée par Emmanuel Zongo qui décrit le plan de communication et la gestion des plaintes.

 Dans son exposé, il s’est agi du renforcement de la communication interne et externe, de la sensibilisation, de la formation des acteurs ainsi que la diffusion des messages sur  l’opération de ciblages.

Les échanges ont été fort bien appréciés par les participants. A l’image d’Adama Sawadogo qui a souligné que la rencontre va lui permettre de toucher réellement les réalités des ménages, à travers les questionnaires des agents enquêteurs.

La secrétaire général de la province du Passoré Noélie Béréhoumdougou/Kabore a remercié  les partenaires techniques et financiers pour leur accompagnement pour la réussite de l’activité.

« J’exhorte les participants à garder espoir pour le retour de la paix et à chaque ménage d’être un ambassadeur du RSU », a-t-elle soutenu.

Mme Béréhoumdougou a invité les participants à relayer l’information aux communautés qu’ils ont représentées et à collaborer avec les agents enquêteurs déployés pour la cause.

Agence d’information du Burkina

ZES/no /ata

 

Burkina/ Médias : Le nouveau DGACM promet de travailler avec efficacité

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Burkina/ Médias : Le nouveau DGACM promet de travailler avec efficacité

Ouagadougou, 10 mai 2024 (AIB)- Le nouveau Directeur général adjoint de la communication et des medias (DGACM), Alban Kini, a affirmé vendredi, lors de son installation officielle qu’il ne vient pas pour inventer la roue mais apporter sa contribution » pour relever avec efficacité les défis qui s’imposent à sa direction.

«Nous ne venons pas pour inventer la roue. Les sillons sont déjà tracés par nos devanciers. Nous venons pour apporter notre contribution», a déclaré le nouveau Directeur général adjoint de la communication et des medias (DGACM), Alban Kini.

M. Kini a traduit sa reconnaissance aux autorités pour la confiance placée à sa modeste personne et les a rassurées de traiter avec efficacité, les dossiers qui lui seront confiés.

L’ex directeur de l’Agence d’information du Burkina s’exprimait vendredi à Ouagadougou, lors de son installation officielle par le secrétaire général du ministère en charge de la Communication, FidèleTamini.

Alban Kini à gauche pose à côté du SG Fidèle Tamini

Convaincu qu’il n’y a pas de victoire solitaire, il a sollicité l’accompagnement de tous ses collaborateurs pour relever les défis.

En rappel, Alban Kini, conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication a été nommé en Conseil des ministres du 25 avril 2024 comme DGACM.

Il succède à ce poste Yirmalè Fréderic Somé, promu directeur général de la communication et des médias.

Agence d’information du Burkina

YOS/no/ata

Transhumance transfrontalière: Une plateforme d’innovation multi-acteurs mise en place dans les Hauts-Bassins

Les travaux de l’atelier devront permettre aussi d’élaborer un plan d’action de la nouvelle PI-GRN

Transhumance transfrontalière: Une plateforme d’innovation multi-acteurs mise en place dans les Hauts-Bassins

L’Association pour la promotion de l’Elevage au  Sahel et en savane (APESS) organise du 7 au 10 mai 2024 un  atelier à Bobo-Dioulasso. Cet atelier a servi de cadre pour jeter les bases  d’une plateforme d’innovation multi-acteurs de gestion des ressources naturelles et prévention des conflits (PI-GRN) dans les Hauts-Bassins.  

La région des Hauts-Bassins dispose désormais d’une plateforme d’innovation multi-acteurs de gestion des ressources naturelles et prévention des conflits (PI-GRN). La mise en place de cette structure a eu lieu à Bobo-Dioulasso au cours d’un atelier organisé par l’Association pour la promotion de l’Elevage au  Sahel et en savane (APESS) du 7 au 10 mai 2024. Cette mise en place vient après celles de PI-GRN de Korhogo en Côte d’Ivoire, de Sikasso, Bougouni et Koutiala au  Mali, et de la région des Cascades au Burkina Faso.

La cérémonie d’ouverture de l’atelier a été présidée par le Haut-commissaire  de la province du Tuy, Issiaka Segda, qui a représenté le gouverneur des Hauts-Bassins. Les 4 jours de travaux, à l’écouter, devront permettre entre autres, de valider les données de base collectées, de mettre en place la PI-GRN des Hauts-Bassins, et d’élaborer un plan d’action de la nouvelle PI-GRN.

Il a d’entrée souligné qu’en dépit de leur importance dans l’économie et leur contribution significative à la dynamique d’intégration régionale, les systèmes d’élevage mobile sont présentement confrontés à des facteurs croissants de vulnérabilité. « A la transhumance transfrontalière sont associés des questions telles que le port d’armes de guerre, le viol de femmes le vol de bétail et la recrudescence du banditisme », a-t-il affirmé.

Selon le président de l’APESS, Ahmadou Dicko, l’objectif est d’aboutir à une assemblée générale entre tous les acteurs des PI-GRN.

Une situation qui, à en croire Issiaka Segda, contribue à créer un sentiment de méfiance entre les transhumants et les agriculteurs mais aussi entre les différentes communautés. Pour le représentant du gouverneur, l’instauration d’un dialogue régional, le respect et la mise en œuvre des textes législatifs et règlementaires, sont une alternative pour l’éradication des conflits violents liés à l’utilisation des ressources naturelles dans les zones de transhumance transfrontalière.

Les PI-RN, a poursuivie Issiaka Segda, ne sont pas simplement des lieux de discussion, elles créent aussi des opportunités pour les parties prenantes de tester des solutions à des problèmes communs. Pour le président de l’APESS, Ahmadou Dicko, par ailleurs Emir de Baraboulé, l’objectif est d’aboutir à une assemblée générale entre tous les acteurs des PI-GRN.

« Nous avons des problèmes entre agriculteurs et éleveurs conjugué à l’insécurité », a reconnu le premier responsable de l’APESS. Il est à noter que cette dynamique est soutenue par des partenaires que sont le programme Mobilité pastorale transfrontalière apaisée et Stabilité sociale au Sahel (MOPSS) et le Projet régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS).

Alpha Sékou BARRY

alphasekoubarry@gmail.com

Yéri Augustine LADEDJI

 

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La Russie signera des accords de libre-échange avec de nombreux pays, notamment africains

La Russie signera des accords de libre-échange avec de nombreux pays, notamment africains

MOSCOU, 10 mai. /TASS/. Le premier ministre russe par intérim, Mikhaïl Michoustine, a annoncé l’intention de Moscou d’élaborer des accords sur une zone de libre-échange avec les pays de l’Afrique, de la région Asie-Pacifique et du Moyen-Orient.

« Il est évident que notre objectif principal est de créer des conditions favorables à la coopération avec les pays amis […] Nous préparerons des accords de libre-échange avec les pays de la région Asie-Pacifique, du Moyen-Orient et de l’Afrique, élargirons notre collaboration industrielle, scientifique et technique, lancerons de nouveaux projets économiques et d’investissement communs », a-t-il annoncé lors de l’examen de sa candidature au poste de chef du gouvernement à la Douma (chambre basse du parlement russe).

Il a précisé qu’’il était prévu pour cela de consolider les infrastructures de transport et de logistique, notamment pour élargir le transit des marchandises le long des couloirs internationaux.

Le président russe Vladimir Poutine a soumis ce vendredi à la Douma (chambre basse du parlement russe) la candidature de Mikhaïl Michoustine au poste de premier ministre, a annoncé le président de la Douma, Viatcheslav Volodine.

La Douma examine sa candidature ce 10 mai. Mikhaïl Michoustine fait d’abord un rapport suivi par une séance de questions-réponses, après quoi interviendront les cinq groupes parlementaires de la Douma. Les discussions seront suivies d’un vote sur la candidature du premier ministre.

Nahouri/Sport et culture à l’école primaire : L’école de Badongo remporte le trophée

BURKINA-NAHOURI-EDUCATION-SPORT-FOOTBALL

Nahouri/Sport et culture à l’école primaire : L’école de Badongo remporte le trophée

Pô, (AIB)-La Circonscription d’éducation de Base (CEB) de Pô, a clôturé ses activités sportives et culturelles, édition 2024, le 8 mai  dernier  avec la grande finale en football. C’est l’école de Badongo qui a remporté la finale par 4 tirs aux buts contre 3, face à celle de Pô Commando.

Placées sous le thème « Sport, cuture et mobilisation de la jeunesse pour la défense de la patrie », les activités culturelles et sportives de la Circonscription d’éducation de base de Pô, qui ont débuté en novembre 2023 ont connu leur épilogue le samedi 8 mai 2024 avec la finale en football, en athlétisme et celle des activités culturelles.

57 écoles primaires de la circonscription ont pris part à ces différentes activités.

Selon le Chef de la circonscription d’éducation de base de Pô,Marcel Yogo, les enfants se sont rivalisés cinq mois durant dans un esprit de fraternité et de fairplay autour des activités entre autres, comme le football, l’athlétisme, la danse traditionnelle et le ballet moderne.

Il a indiqué que durant la compétition, les élèves et les acteurs de l’éducation ont été sensibilisés sur le thème de l’édition et le respect des symboles de l’Etat, surtout le drapeau qui est l’identité de tout burkinabè.

La finale a opposé les écoles de Pô Commando et de Badongo.

C’est par 4 tirs aux buts contre 3 que l’école de Badongo a remporté le trophée de cette édition.

En plus du  trophée, l’école victorieuse reçoit une enveloppe de 35  000 F CFA, un jeu de maillot et  un  ballon.

L’école de Pô-Commando empoche 25 000 F CFA, un jeu de maillot et un ballon. Les écoles classées 3e et 4e ont été aussi récompensées.

Celles classées meilleures en athlétisme, en danse traditionnelle, en ballet moderne, en défilé en tenues traditionnelles, en play-back, en sketch, en dessin et en récital, ont reçu des prix selon le genre.

Les écoles qui ont obtenu des meilleurs résultats à l’examen du CEP, session 2023, ont également été récompensées.

Une minute de silence a été observée en mémoire des Forces de défense et de sécurité, tombées pour la défense de la patrie suivie d’un défilé de toutes les écoles de la circonscription.

Dans la matinée, encadreurs pédagogiques, enseignants et élèves ont communié avec les FDS et VDP autour d’un cross populaire.

Ces activités ont été présidées par le président de la délégation spéciale de la commune de Pô, Ilassa Dianda et coparrainées par l’honorable député Bouba Yaguibou et du PDG de Guidjara hôtel, Faïshal Adi.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

Burkina : Des  scientifiques réfléchissent sur la santé et la sécurité au travail liées au changement climatique

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Burkina : Des  scientifiques réfléchissent sur la santé et la sécurité au travail liées au changement climatique

Ouagadougou, 10 mai 2024 (AIB)- Des scientifiques ont échangé vendredi, sur l’impact du changement climatique sur la santé et la sécurité au travail, lors de la première Journée scientifique de la Société Burkinabè de médecine du travail (SOBUMET) » pour la prévention des risques professionnels.

Selon le représentant du ministre en charge de la Santé, le secrétaire général, Dr Issa Ouédraogo, cette journée va aborder une question cruciale qui est celle de l’impact des changements climatiques sur la santé et la sécurité au travail.

« Nous sommes tous témoins sinon même victimes affectés parce qu’on constate ces derniers temps  les vagues de chaleur qui ont un impact important sur le rendement des travailleurs, sur la santé des travailleurs. On peut tomber en syncope au travail, voire son immunité baisser et être exposé à plusieurs maladies », a-t-il déclaré.

  1. Ouédraogo s’exprimait vendredi à Ouagadougou, lors de la 1ère journée scientifique de la Société Burkinabè de médecine du travail (SOBUMET) sous le thème central : « Changement climatique et la sécurité et santé au travail ».

Il a rappelé que le Burkina Faso a connu ces dernières années des inondations, des sécheresses qui sont les conséquences du changement climatique.

« Je voudrais ici, au-delà de ce que l’Etat a entamé comme actions pour protéger davantage l’environnement, inviter chacun de nous à être beaucoup plus responsable vis-à-vis de l’environnement et à mener des actions pour  sa protection », a ajouté le secrétaire général.

Pour le président du Comité d’organisation, Dr Narcisse Oubda, la SOBUMET a  organisé cette journée scientifique sur des thèmes d’actualité comme l’impact des changements climatiques sur la santé et la sécurité au travail.

« Nous allons réfléchir sur le sous thème de la sécurité et de la santé au travail dans les secteurs à haut risque et ces secteurs ont été définis déjà à l’Organisation internationale du travail qui sont, entre autres, le secteur de l’agriculture, de l’industrie extractive, manufacturière et des services de santé et aussi dans le secteur informel », a indiqué Dr Oubda.

Selon lui, la journée scientifique va permettre aux différents acteurs et au monde universitaire de réfléchir afin de faire des propositions concrètes qui seront transmises aux autorités au niveau national et panafricain.

Le président du Comité d’organisation a également précisé que les solutions seront dispatchées auprès des employeurs et des travailleurs pour qu’elles  soient mises en œuvre.

En termes de conseils, Dr Narcisse Oubda, a demandé aux différents travailleurs de se protéger contre les rayons du soleil avec tous les moyens locaux en s’habillant de façon légère afin de permettre à la peau de respirer et aussi de s’hydrater en buvant suffisamment d’eau.

« Le Burkina Faso est confronté à des défis importants liés au changement climatique et attaque directement la santé et le bien-être des travailleurs et partant la compétitivité de nos entreprises », a ajouté le représentant du parrain Idrissa Nassa, Dr Désiré Nacoulma.

Il est approprié que des scientifiques, à travers la SOBUMET, a-t-il dit, se penchent sur la question pour proposer des solutions concrètes à cette problématique pour le bien-être des travailleurs et des employeurs.

«  Les statistiques de l’impact du changement climatique sur les travailleurs sont inquiétantes », a déploré, Dr Désiré Nacoulma.

Le représentant du parrain a rappelé que la nature et le nombre de risque professionnels encourus par les travailleurs au quotidien, font un baromètre de la situation de la santé dans les entreprises.

De son avis, cette situation joue sur la productivité et la bonne collaboration entre employeurs et travailleurs tout en empêchant  le développement des entreprises.

« Le patronat Burkinabè, à travers ses 74 groupements et associations membres et ses 5000 entreprises, est sensible à ces questions touchant les travailleurs des secteurs formel et informel et reste activement engagé à la recherche de solutions », a indiqué le représentant du parrain.

Cette année, le monde entier a célébré la journée de la prévention des risques professionnels sur le thème : Impact du changement climatique sur la santé et la sécurité au travail.

En marge de cette journée mondiale, la commémoration  de la journée de la prévention en Afrique se fera dans le cadre des 28e Journées africaines de la prévention des risques professionnels (JAPRP), qui entend traiter des questions spécifiques en lien avec nos réalités socio- économiques.

Le Burkina Faso entend contribuer à l’instar des autres pays d’Afrique, à la mise en place d’action concertée pour prévenir et atténuer les risques professionnels, à l’occasion du mois de la prévention Africaine au mois d’avril et des 28e journées Africaines de la Prévention des risques professionnelles (JAPRP).

Agence d’information du Burkina

HB/no/bz

Le tout 1er Secrétaire technique de l’Autirité de coordination du foncier s’installe pour plus de transparence des actes domaniaux

Le tout 1er Secrétaire technique de l’Autirité de coordination du foncier s’installe pour plus de transparence des actes domaniaux

Ouagadougou, 10 mai 2024(AIB)-Le Secrétaire général de la Présidence du Faso, Dr Zakaria Soré a installé, vendredi matin, le Secrétaire technique de l’Autorité nationale de coordination du foncier (ANCF), Sibiri Hebié.

Nommé en conseil des ministres le 11 avril dernier, M. Hébié est le tout premier responsable de la nouvelle structure créée par décret le 14 mars 2024, avec pour mission principale la coordination de la gestion de la chaîne domaniale, foncière et cadastrale de notre pays.

Organisée autour d’un Conseil d’orientation et de suivi, et d’un secrétariat technique, l’ANCF est la traduction de la volonté des autorités de notre pays d’œuvrer pour plus de transparence dans la gestion des actes domaniaux et pour l’apurement du passif foncier.

La priorité du nouveau secrétaire technique est de booster les processus de digitalisation du foncier en cours au niveau des ministères sectoriels. « Il s’agira de les coordonner afin de trouver une plateforme unique dédiée non seulement aux autorités mais aussi au public (…) Mon cheval de bataille, c’est de renforcer la digitalisation, dématérialiser toutes les procédures domaniales et foncières », a expliqué le secrétaire technique de l’ANCF.
Pour ce faire, l’ANCF entend interpeller les différentes structures en charge du foncier sur leurs missions réelles, et de façon concertée, travailler à assainir la gestion du foncier au Burkina Faso. La finalité de ce processus de sécurisation foncière sera la mise en place d’une puce foncière.

«La puce foncière aura pour effet de réduire les conflits fonciers, de lutter efficacement contre le phénomène d’accaparement des terres, d’assurer la pleine efficacité des droits réels immobiliers et d’optimiser la mobilisation des recettes souveraines au profit des budgets de l’Etat et des collectivités territoriales », a souligné M. Sibiri Hébié.
Le secrétaire général de la Présidence du Faso, Dr Zakaria Soré a invité le secrétaire technique de l’ANCF, en tant que pionnier à la tête de cette nouvelle structure, à tracer la voie pour une gestion efficace du foncier dans notre pays. D’ores et déjà, il a rassuré M. Hébié du soutien de l’ensemble du personnel de la Présidence du Faso dans la conduite de sa mission.

Structure rattachée à la Présidence du Faso, l’ANCF assume, entre autres missions, celles de la lutte contre le changement irrégulier de destination des parcelles, la lutte contre la corruption et le blanchiment de capitaux dans le milieu foncier et domanial, la mise à disposition de l’information graphique et littérale sur la plateforme dédiée.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

La CoCiPESAD répond à une coalition qui accuse l’armée burkinabè d’exactions

La CoCiPESAD répond à une coalition qui accuse l’armée burkinabè d’exactions

La Coalition Citoyenne des Organisations et Panafricanistes Engagés pour la Souveraineté de l’Afrique et la Défense des Dirigeants et Leaders Panafricains (CoCiPESAD) a apporté une réponse magistrale aux Coalitions de l’Afrique francophone pour la Cour Pénale Internationale (CAF-CPI) qui souhaite que la CPI se penche sur les massacres de civils qui auraient été commis par les Forces combattantes.

Pour la CoCiPESAD qui regroupe des personnalités influentes de Cote d’Ivoire, du Burkina, du Niger, du Congo, de la Guinée, de l’Afrique du Sud, de l’Amérique latine…  la CAF-CPI est une « caisse de résonnance des humeurs du colonialisme occidental », opposé à l’ émancipation des Etats africains dont ceux du Sahel en particulier.

 

La CoCiPESAD a également demandé à la CAF-CPI de saisir la Cour Pénale Internationale contre les Etats qui financent le terrorisme au lieu de s’en prendre à des braves pays qui luttent pour leur souveraineté.

Agence d’information du Burkina

Lire la déclaration intégrale dans les lignes qui suivent

Réponse des Organisations et Leaders Panafricanistes à la déclaration du 30 Avril 2024 des Coalitions de l’Afrique « Francophone » pour la Cour Pénale Internationale CAF-CPI » relative à une supposée situation dite « violations des droits de l’homme«  au Burkina Faso.

I- Présentation sommaire et autopsie des CAF CPI.

Les CAF CPI sont un réseau d’organisations de la société civile de pays « francophones » d’Afrique qui ont pour mission entre autres de :

– promouvoir la justice internationale;

– lutter contre l’impunité…

Pour atteindre leurs objectifs, elles œuvrent par le biais de plaidoyers, de sensibilisation, d’accompagnement des victimes et de renforcement des capacités des structures apparentées.

La structure est dirigée par un comité directeur avec pour coordonnateur M. Ali Ouattara de nationalité ivoirienne et précédemment fondateur de la Coalition ivoirienne pour la Cour pénale internationale (CPI).

Suite à cette brève présentation, il ressort qu’aucune structure de défense des droits de l’homme du Burkina Faso n’est signataire de cette déclaration qui est pourtant censée traiter d’un sujet d’intérêt national.

De plus, il s’agit exclusivement de Coalitions de pays « francophones » comme si les questions de droits de l’homme étaient l’apanage des seuls pays « francophones » ou étaient seulement posées dans ces pays. Le fait grave que cette organisation se définisse et se conçoive avec une identité coloniale de francophone est la preuve palpable qu’elle ne peut etre crédible de porter la voix de l’Afrique. L’Afrique réelle et moderne a cessé de se représenter avec les lunettes du colonialisme linguistique d’Afrique francophone, lusophone, anglophone…. Nous sommes une ENTITÉ SOUVERAINE INDIVISIBLE, toute chose qui échappe à cette fameuse coalition, véritables caisse de résonnance des humeurs du colonialisme occidental.

En effet, tout porte à croire que ce regain d’activisme de ces Coalitions pourrait avoir un lien intrinsèque avec les menaces pesant sur les intérêts de l’ancienne métropole française dans plusieurs de ses anciennes colonies, notamment les États du Sahel.

Cette triste réalité de la propension des pays francophones à saisir systématiquement la CPI pourrait être perçue comme la conséquence d’un nanisme intellectuel dont eux seuls ont le secret.

Il est indéniable et regrettable de constater que, historiquement, ce soient des chefs d’État ou des leaders des pays francophones qui subissent des  humiliations devant cette Cour.

Pourtant, les exemples sont légion à travers le monde où les « puissants du monde » ont commis les actes les plus odieux en matière de violations des droits de l’homme sans en être inquiétés le moins du monde.

Par exemple :

– les agressions répétées des populations de la bande de Gaza par Israël (protégée des États-Unis d’Amérique);

– l’invasion de la Libye

– etc…

À cette étape de notre analyse, il n’est pas superfétatoire de rappeler que certaines puissances passées maîtresses dans la défense des droits de l’homme, notamment les États-Unis d’Amérique ne sont pas signataires du statut de Rome.

Par conséquent, ces États ne sont pas justiciables de la CPI.

En ce qui concerne les cas supposés de violations des droits de l’homme par les forces armées burkinabè et les VDP, il faut enfin éclairer ces Coalitions sur le fait que des enquêtes ont été ouvertes au niveau national afin de faire la lumière sur ces dossiers.

II- Analyse critique sur les différents points de la Déclaration des CAF CPI.

À la lecture de la déclaration – satire produite par les CAF CPI, il convient de relever des contradictions flagrantes ainsi que des contrevérités grotesques qui y sont contenues.

Malheureusement, pour les initiateurs de ce complot ourdi à dessein contre les autorités de la Transition burkinabè, leurs récriminations et insinuations ne résistent pas longtemps à la critique pour peu que l’on fasse preuve de rigueur, d’objectivité et de bonne foi.

1) De l’intitulé de la Déclaration.

En affirmant de manière péremptoire que la situation en cause est constitutive de cas de violations des droits de l’homme, les CAF CPI, sans décliner au préalable le modus operandi, notamment les enquêtes et autres procédés d’investigations qui fondent leur croyance obscure, concluent hâtivement sur une conviction que seuls un procès régulier faisant suite à une instruction sérieuse et impartiale menée par des structures compétentes peuvent établir.

Human Rights Watch ne saurait être une instance juridictionnelle et n’a aucune compétence en matière de police judiciaire.

En se fondant sur des rapports étriqués et déséquilibrés, il est fort à parier qu’ici le choix du camp est trivial.

On pourrait alors sans risque de se tromper conclure que les CAF CPI sont à la fois juges et parties dans le cadre de leur prétention.

La confusion est d’autant plus inquiétante dans leurs envolées lyriques que dans la partie des recommandations, elles interpellent la CPI à mener des investigations pour élucider le cas d’espèce.

Pourtant, elles semblent avoir déjà jugé l’affaire tant et si bien qu’elles ont désigné leurs coupables.

Oui, il y a des cas de violations des droits de l’homme dans la guerre imposée par les terroristes et leurs suppôts au Burkina Faso. Nos populations civiles sont systématiquement assassinées de façon injuste.

Toute chose qui viole le premier et inaliénable droit de l’homme : celui à la vie.

2) De l’analyse du contexte de la Déclaration.

  1. a) Vous avez dit insurrection islamiste?

Au regard des éléments d’appréciation du contexte tels que présentés pour introduire leur requête, les CAF CPI affirment avec une légèreté déconcertante que notre pays est aux prises avec une insurrection islamiste depuis 2016.

Cette assertion sonne comme un élément nouveau sorti du laboratoire malveillant de ces Coalitions ; en ce sens que le Burkina Faso fait face à une guerre asymétrique qui lui est imposée, mettant en évidence des revendications multiformes et plurielles et en présence d’acteurs divers et multiples.

Il est à noter que dans cette guerre, le dénominateur commun à tous ces criminels demeure la volonté de tuer et d’ébranler les fondements de notre vivre-ensemble.

C’est face à cette barbarie inouïe et injuste que le vaillant peuple burkinabè lutte pour sa survie, pendant que la communauté internationale reste insensible, voire indifférente.

Ce n’est pas à l’opinion nationale burkinabè que l’on peut inculquer cette théorie de l’insurrection islamiste quand elle a été témoin de tueries de musulmans dans des mosquées et même en période du mois béni de Ramadan Kareem.

  1. b) La question des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP)

Dans l’optique certainement de tromper l’opinion ainsi que le destinataire final de leur déclaration, les CAF CPI assimilent les VDP à une milice.

En effet, elles ne font que s’inscrire dans le prolongement d’un narratif grégaire et désuet dont le but est de jeter le discrédit sur des populations qui, en désespoir de cause, ont décidé de se constituer en supplétifs de leurs forces de défense et de sécurité afin de défendre légitimement leurs terres et leurs biens.

Il est utile de rappeler pour la gouvernance de ces Coalitions que les VDP bénéficient, en plus de la formation militaire, d’une formation en droit international humanitaire (droit de la guerre) avant d’être déployés sur les différents théâtres d’opérations où ils sont recyclés et encadrés par l’armée régulière.

Quant aux allégations mensongères et calomnieuses faisant état de ciblage ethnique, nous préférons laisser cette propagande de mauvais aloi mourir de sa belle mais ridicule mort.

Puisque dans la suite de leur pamphlet, au chapitre des faits, nos pseudo défenseurs des droits de l’homme que nombre d’entre nous découvrent seulement maintenant, évoquent des massacres et attaques dont la typologie des victimes révèle que toutes les ethnies et communautés en sont victimes.

De même, le recrutement des VDP ne cible pas une seule ou quelques ethnies au détriment d’autres.

Toutes les ethnies et communautés y sont représentées.

En un mot comme en mille, ce sont des Burkinabè qui sont tués et la terre de nos ancêtres crie vengeance.

De ce fait, il est du devoir des filles et fils de notre pays de se mobiliser pour défendre sa dignité et son honneur.

Vouloir donc apposer une estampe ethnique sur les victimes est une prime à la stigmatisation et dénote d’une volonté de créer un terreau favorable à une guerre civile dans notre pays et nous élevons la voix pour protester vigoureusement.

  1. c) Des deux coups d’État militaires.

L’évocation subtile de cette évidence socio-politique de notre pays n’est pas anodine.

Fort heureusement, nous avons la science et la rigueur d’analyse qui nous permettent de déceler la substance de cette manœuvre qui vise in fine à nous rabâcher la nécessité d’un impérieux retour à une vie constitutionnelle normale pour ainsi entériner l’agenda politique de ceux pour qui vous êtes des obligés voire des affidés.

Une posture qui méprise royalement la volonté du peuple souverain du Burkina Faso de se débarrasser des oripeaux de l’impérialisme afin de maîtriser l’agenda de son développement suivant un modèle endogène respectueux de ses aspirations profondes.

Ainsi, les CAF CPI tentent d’établir maladroitement un lien de cause à effet entre l’avènement des régimes militaires et les exactions supposées des droits de l’homme.

Cependant, leur brûlot les fait mentir lorsqu’il est dit plus loin que certains massacres ont été commis antérieurement à l’avènement de ces régimes militaires qui provoquent tant leur courroux.

Pardi ! Leur volonté de nuire est si mortifère qu’elles versent dans l’inconséquence, la délation et la tragicomédie.

3) De l’appréciation des faits.

Pour illustrer les faits constitutifs de cas de violations des droits de l’homme selon leur approche, nos nouveaux « Zorro » des droits de l’homme s’y prennent de la pire des manières en désignant sans autre forme de procès les auteurs, parmi lesquels ils citent les forces armées burkinabè et les VDP : et ce, au même titre que les « islamistes insurgés ».

En procédant ainsi, les CAF CPI font étalage de leur manque crucial de décence morale et de leur malhonnêteté intellectuelle aiguë.

Parce qu’elles foulent au pied les codes de l’élégance en ne relevant pas le fait que le Burkina Faso est la victime dans cette affaire.

Aussi, elles ne font preuve à aucun moment d’empathie pour notre peuple, ni de compassion à son égard en appelant la communauté internationale à sa rescousse au nom du sacro-saint principe de la solidarité internationale.

Nous rappelons que notre pays est membre de l’Organisation des Nations Unies (ONU) depuis 1961.

C’est du deux poids, deux mesures que certainement les doués de raison sauront apprécier.

4) Des recommandations formulées par les CAF CPI.

En guise de recommandations, les CAF CPI souhaitent que des procédures judiciaires soient engagées à l’encontre des auteurs de ces exactions.

Le peuple burkinabè, tout en souscrivant à cet appel, tient à encourager fortement les “gendarmes du monde” et les “Don Quichotte” des droits de l’homme à :

– cesser d’alimenter le terrorisme à travers leur complicité passive et active;

– cesser le financement du terrorisme à travers les paiements de rançons;

– mettre un terme à l’instrumentalisation du terrorisme pour assouvir des ambitions géopolitiques et géostratégiques;

– soutenir sans aucune hypocrisie les États en lutte contre le terrorisme.

5) Création d’une Coordination d’Organisations et Leaders Panafricanistes dénommée CoCiPESAD.

 

Nous, organisations et leaders panafricanistes conscients de l’urgence et de l’impérieux devoir pour les peuples africains de  constituer un bouclier de protection et de défense des leaders et dignes fils africains qui portent le flambeau de l’idéal panafricain contre les plans assassins et destabilisateurs de l’impérialisme décidons de créer la Coalition Citoyenne des Organisations et  Panafricanistes Engagés pour la Souveraineté de l’Afrique et la Défense des Dirigeants et Leaders Panafricains (CoCiPESAD).

Au demeurant, le peuple burkinabè entend poursuivre sa marche victorieuse vers l’horizon du bonheur et réaffirme son soutien inconditionnel aux autorités de la transition avec à leur tête le camarade capitaine Ibrahim Traoré, Président de la transition, chef de l’État.

 

La Patrie ou la Mort, nous Vaincrons !

 

Ont signé :

Burkina Faso

Deux heures pour Nous, deux heures pour Kamita

BAYALA Lianhoué Imhotep, Coordonateur National

Comité International du Mémorial Thomas SANKARA CIM-TS

Daouda TRAORÉ Président

Rassemblement des Intelligences pour la Souveraineté Africaine (RISA) Siguiré Adama Coordonnateur National.

Centre Thomas Sankara

Wendlassida Simporé/ Secrétaire Générale

Alliance des Jeunes des États du Sahel – AJES Burkina Faso

Abdoul Razahagou DENE, Président

 

Niger

Seydou Abdoulaye, Président du Réseau Panafricain pour la Paix, la Démocratie et le Développement (REPPAD) et Coordonnateur National du Mouvement M62-MOUTOUNTCHI/BOUTCHINTAREY : Union Sacrée pour la Sauvegarde de la Souveraineté Nationale et la Dignité du Peuple.

SANOUSSI Mahaman

SG National M62

Maikoul Zodi

Coordonnateur du Front Patriotique pour la Souveraineté

l’Union des Scolaires Nigériens et l’Alliance des Éleves et Étudiants des États du Sahel,

 

Effred Mouloul Al’hassan, Secrétaire Général du Comité Directeur de l’Union des Scolaires Nigériens et Secrétaire Général de l’alliance des éleves et étudiants des États du Sahel.

 

Mali

Président de GRAME-Maaya

Issiaka TRAORE.

Diarra

Yacouba Mouvement Populaire pour l’Unité Africaine MPUA

Vice président

 

Côte d’Ivoire

Foungnigué Silué

Coordonnateur du Club Panafricain Universitaire(clubpanafricainuniversitaire@gmail.com)

Point focal RCI du Mémorial Thomas Sankara

 

Congo

Organisation : BISO PEUPLE

KASONGO ILUNGA

Coordonnateur National

République Démocratique du Congo

Ghana

Bernard Anbataayela Mornah a Presidential candidate 2024 and Convener of AriseGhana

From Ghana

 

Gambie

Zainab Jatta

Deputy coordinator AfYEF Gambia.

 

Guinée Bissau

Sumaila Bá Coordenador da Escola de Formação Política Ideológica Amílcar Cabral do PAIGC.

 

Guinée Conakry

Alfa Yaya Turé

Coordinateur du Festival international panafricain de Nguekokh FIPAN.

 

 

Afrique du Sud

Mr Julius Sello Malema

the leader of the Economic Freedom Fighters

South Africa

 

Bénin

Roméo Sêdjro AÏSSÉGBÉ

Coordonnateur National du mouvement : NOUS CITOYENS BÉNINOIS

Point Focal Bénin du Mémorial Thomas SANKARA

Shadrac WATOWEDE

Coordonnateur National de Urgences Panafricanistes Bénin

Louis Rodrigue AÏSSÉGBÉ

SG de l’organisation Panafricaine des Cultes Ancestrale- Bénin

 

Sénégal

Souleymane Jules Diallo,

Coordinateur de JIF’AFRIK

Camarade BADJI Alfousseynou

Panafricaniste du Senegal

Structure privée : BRES.OCTAGONE

SYLVESTINE MENDY PANAFRICAINEl. CORDONNATRICE DU MOUVEMENT AFRICA FIRST.

 

Mauritanie

Koriya Haimouda

Président du comité des femmes au sein de l’organisation » Nous pouvons »

 

Allemagne

Groupe de Travail sur le Panafricanisme

Hamado DIPAMA

 

Canada

BIECE-AE INTERNATIONAL

Président : Kokou Nouwozan LANGUEH

Siège : Montréal (QC) CANADA

 

Amérique Latine

Marcos Tello Chávez

Organización Nuevo País – MLN (MÉXICO)

Hugo Antonio Aguilar Asturias, Secretario General del Sindicato Autónomo Magisterial Guatemalteco (Samgua).

Michael Humaña

Presidente Sindicato Nacional de Trabajadoras y Trabajadores de la Educación – SNTE Chile

Mario Roldán Roblero López

Bloque Democratico de la Seccion 40 de la Coordinadora Nacional de Trabajadores de la Educación CNTE Chiapas México.

Orlando Pérez Oropeza

Presidente del Sindicato Nacional Fuerza Unida Magisterial SINAFUM-VENEZUELA.

Y Presidente de la Central Continental de Trabajadoras y Trabajadores de la Educación CTE.

Marcelino Rodarte Hernández

Coordinadora del Magisterio Democrático de Zacatecas Sección 58 de la Coordinadora Nacional de Trabajadores de la Educación, México

Rafael Cervantes Ramírez; Movimiento Democrático del Magisterio Zacatecano (MDMZ) Sección XXXIV, CNTE, Zacatecas México.

Dimas Mauricio Vanegas

Coordinador de la Fundación Promotora de Cooperativas, FUNPROCOP, El Salvador.

 

Personnalités

 

Elie Kamano artiste panafricaniste Guinéen. Je signe la pétition et m’engage à accompagner la dynamique 💪💪💪

Ouédraogo Salifou  dit Frère Malkom artiste musicien Burkina Faso

Drame Balla moussa

Menfils Balla le yaaba

Artistes musiciens engagé animateur radio réalisateur télé promoteur culturel Président du collectif national des artistes musiciens engagé pour la paix au Burkina Faso

Ouedraogo sibri dit oscibi jhoann artiste musicien . Burkina Faso

Alphonse Sana Kaboré dit Grand Docteur, artiste musicien

Océan Sawadogo dit Océan, Artiste musicien

Touré Moussa soudeur Burkina Faso

TAPSOBA DRISSA COMMERÇANT BURKINA FASO

Ouédraogo Tidiane menuisier Burkina Faso

SANFO Boubakar

Informaticien

Burkina Faso

 

 

 

La CoCiPESAD répond à une coalition qui accuse l’armée burkinabè d’exactions

La CoCiPESAD répond à une coalition qui accuse l’armée burkinabè d’exactions

La Coalition Citoyenne des Organisations et Panafricanistes Engagés pour la Souveraineté de l’Afrique et la Défense des Dirigeants et Leaders Panafricains (CoCiPESAD) a apporté une réponse magistrale aux Coalitions de l’Afrique francophone pour la Cour Pénale Internationale (CAF-CPI) qui souhaite que la CPI se penche sur les massacres de civils qui auraient été commis par les Forces combattantes.

Pour la CoCiPESAD qui regroupe des personnalités influentes de Cote d’Ivoire, du Burkina, du Niger, du Congo, de la Guinée, de l’Afrique du Sud, de l’Amérique latine…  la CAF-CPI est une « caisse de résonnance des humeurs du colonialisme occidental », opposé à l’ émancipation des Etats africains dont ceux du Sahel en particulier.

 

La CoCiPESAD a également demandé à la CAF-CPI de saisir la Cour Pénale Internationale contre les Etats qui financent le terrorisme au lieu de s’en prendre à des braves pays qui luttent pour leur souveraineté.

Agence d’information du Burkina

Lire la déclaration intégrale dans les lignes qui suivent

Réponse des Organisations et Leaders Panafricanistes à la déclaration du 30 Avril 2024 des Coalitions de l’Afrique « Francophone » pour la Cour Pénale Internationale CAF-CPI » relative à une supposée situation dite « violations des droits de l’homme«  au Burkina Faso.

I- Présentation sommaire et autopsie des CAF CPI.

Les CAF CPI sont un réseau d’organisations de la société civile de pays « francophones » d’Afrique qui ont pour mission entre autres de :

– promouvoir la justice internationale;

– lutter contre l’impunité…

Pour atteindre leurs objectifs, elles œuvrent par le biais de plaidoyers, de sensibilisation, d’accompagnement des victimes et de renforcement des capacités des structures apparentées.

La structure est dirigée par un comité directeur avec pour coordonnateur M. Ali Ouattara de nationalité ivoirienne et précédemment fondateur de la Coalition ivoirienne pour la Cour pénale internationale (CPI).

Suite à cette brève présentation, il ressort qu’aucune structure de défense des droits de l’homme du Burkina Faso n’est signataire de cette déclaration qui est pourtant censée traiter d’un sujet d’intérêt national.

De plus, il s’agit exclusivement de Coalitions de pays « francophones » comme si les questions de droits de l’homme étaient l’apanage des seuls pays « francophones » ou étaient seulement posées dans ces pays. Le fait grave que cette organisation se définisse et se conçoive avec une identité coloniale de francophone est la preuve palpable qu’elle ne peut etre crédible de porter la voix de l’Afrique. L’Afrique réelle et moderne a cessé de se représenter avec les lunettes du colonialisme linguistique d’Afrique francophone, lusophone, anglophone…. Nous sommes une ENTITÉ SOUVERAINE INDIVISIBLE, toute chose qui échappe à cette fameuse coalition, véritables caisse de résonnance des humeurs du colonialisme occidental.

En effet, tout porte à croire que ce regain d’activisme de ces Coalitions pourrait avoir un lien intrinsèque avec les menaces pesant sur les intérêts de l’ancienne métropole française dans plusieurs de ses anciennes colonies, notamment les États du Sahel.

Cette triste réalité de la propension des pays francophones à saisir systématiquement la CPI pourrait être perçue comme la conséquence d’un nanisme intellectuel dont eux seuls ont le secret.

Il est indéniable et regrettable de constater que, historiquement, ce soient des chefs d’État ou des leaders des pays francophones qui subissent des  humiliations devant cette Cour.

Pourtant, les exemples sont légion à travers le monde où les « puissants du monde » ont commis les actes les plus odieux en matière de violations des droits de l’homme sans en être inquiétés le moins du monde.

Par exemple :

– les agressions répétées des populations de la bande de Gaza par Israël (protégée des États-Unis d’Amérique);

– l’invasion de la Libye

– etc…

À cette étape de notre analyse, il n’est pas superfétatoire de rappeler que certaines puissances passées maîtresses dans la défense des droits de l’homme, notamment les États-Unis d’Amérique ne sont pas signataires du statut de Rome.

Par conséquent, ces États ne sont pas justiciables de la CPI.

En ce qui concerne les cas supposés de violations des droits de l’homme par les forces armées burkinabè et les VDP, il faut enfin éclairer ces Coalitions sur le fait que des enquêtes ont été ouvertes au niveau national afin de faire la lumière sur ces dossiers.

II- Analyse critique sur les différents points de la Déclaration des CAF CPI.

À la lecture de la déclaration – satire produite par les CAF CPI, il convient de relever des contradictions flagrantes ainsi que des contrevérités grotesques qui y sont contenues.

Malheureusement, pour les initiateurs de ce complot ourdi à dessein contre les autorités de la Transition burkinabè, leurs récriminations et insinuations ne résistent pas longtemps à la critique pour peu que l’on fasse preuve de rigueur, d’objectivité et de bonne foi.

1) De l’intitulé de la Déclaration.

En affirmant de manière péremptoire que la situation en cause est constitutive de cas de violations des droits de l’homme, les CAF CPI, sans décliner au préalable le modus operandi, notamment les enquêtes et autres procédés d’investigations qui fondent leur croyance obscure, concluent hâtivement sur une conviction que seuls un procès régulier faisant suite à une instruction sérieuse et impartiale menée par des structures compétentes peuvent établir.

Human Rights Watch ne saurait être une instance juridictionnelle et n’a aucune compétence en matière de police judiciaire.

En se fondant sur des rapports étriqués et déséquilibrés, il est fort à parier qu’ici le choix du camp est trivial.

On pourrait alors sans risque de se tromper conclure que les CAF CPI sont à la fois juges et parties dans le cadre de leur prétention.

La confusion est d’autant plus inquiétante dans leurs envolées lyriques que dans la partie des recommandations, elles interpellent la CPI à mener des investigations pour élucider le cas d’espèce.

Pourtant, elles semblent avoir déjà jugé l’affaire tant et si bien qu’elles ont désigné leurs coupables.

Oui, il y a des cas de violations des droits de l’homme dans la guerre imposée par les terroristes et leurs suppôts au Burkina Faso. Nos populations civiles sont systématiquement assassinées de façon injuste.

Toute chose qui viole le premier et inaliénable droit de l’homme : celui à la vie.

2) De l’analyse du contexte de la Déclaration.

  1. a) Vous avez dit insurrection islamiste?

Au regard des éléments d’appréciation du contexte tels que présentés pour introduire leur requête, les CAF CPI affirment avec une légèreté déconcertante que notre pays est aux prises avec une insurrection islamiste depuis 2016.

Cette assertion sonne comme un élément nouveau sorti du laboratoire malveillant de ces Coalitions ; en ce sens que le Burkina Faso fait face à une guerre asymétrique qui lui est imposée, mettant en évidence des revendications multiformes et plurielles et en présence d’acteurs divers et multiples.

Il est à noter que dans cette guerre, le dénominateur commun à tous ces criminels demeure la volonté de tuer et d’ébranler les fondements de notre vivre-ensemble.

C’est face à cette barbarie inouïe et injuste que le vaillant peuple burkinabè lutte pour sa survie, pendant que la communauté internationale reste insensible, voire indifférente.

Ce n’est pas à l’opinion nationale burkinabè que l’on peut inculquer cette théorie de l’insurrection islamiste quand elle a été témoin de tueries de musulmans dans des mosquées et même en période du mois béni de Ramadan Kareem.

  1. b) La question des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP)

Dans l’optique certainement de tromper l’opinion ainsi que le destinataire final de leur déclaration, les CAF CPI assimilent les VDP à une milice.

En effet, elles ne font que s’inscrire dans le prolongement d’un narratif grégaire et désuet dont le but est de jeter le discrédit sur des populations qui, en désespoir de cause, ont décidé de se constituer en supplétifs de leurs forces de défense et de sécurité afin de défendre légitimement leurs terres et leurs biens.

Il est utile de rappeler pour la gouvernance de ces Coalitions que les VDP bénéficient, en plus de la formation militaire, d’une formation en droit international humanitaire (droit de la guerre) avant d’être déployés sur les différents théâtres d’opérations où ils sont recyclés et encadrés par l’armée régulière.

Quant aux allégations mensongères et calomnieuses faisant état de ciblage ethnique, nous préférons laisser cette propagande de mauvais aloi mourir de sa belle mais ridicule mort.

Puisque dans la suite de leur pamphlet, au chapitre des faits, nos pseudo défenseurs des droits de l’homme que nombre d’entre nous découvrent seulement maintenant, évoquent des massacres et attaques dont la typologie des victimes révèle que toutes les ethnies et communautés en sont victimes.

De même, le recrutement des VDP ne cible pas une seule ou quelques ethnies au détriment d’autres.

Toutes les ethnies et communautés y sont représentées.

En un mot comme en mille, ce sont des Burkinabè qui sont tués et la terre de nos ancêtres crie vengeance.

De ce fait, il est du devoir des filles et fils de notre pays de se mobiliser pour défendre sa dignité et son honneur.

Vouloir donc apposer une estampe ethnique sur les victimes est une prime à la stigmatisation et dénote d’une volonté de créer un terreau favorable à une guerre civile dans notre pays et nous élevons la voix pour protester vigoureusement.

  1. c) Des deux coups d’État militaires.

L’évocation subtile de cette évidence socio-politique de notre pays n’est pas anodine.

Fort heureusement, nous avons la science et la rigueur d’analyse qui nous permettent de déceler la substance de cette manœuvre qui vise in fine à nous rabâcher la nécessité d’un impérieux retour à une vie constitutionnelle normale pour ainsi entériner l’agenda politique de ceux pour qui vous êtes des obligés voire des affidés.

Une posture qui méprise royalement la volonté du peuple souverain du Burkina Faso de se débarrasser des oripeaux de l’impérialisme afin de maîtriser l’agenda de son développement suivant un modèle endogène respectueux de ses aspirations profondes.

Ainsi, les CAF CPI tentent d’établir maladroitement un lien de cause à effet entre l’avènement des régimes militaires et les exactions supposées des droits de l’homme.

Cependant, leur brûlot les fait mentir lorsqu’il est dit plus loin que certains massacres ont été commis antérieurement à l’avènement de ces régimes militaires qui provoquent tant leur courroux.

Pardi ! Leur volonté de nuire est si mortifère qu’elles versent dans l’inconséquence, la délation et la tragicomédie.

3) De l’appréciation des faits.

Pour illustrer les faits constitutifs de cas de violations des droits de l’homme selon leur approche, nos nouveaux « Zorro » des droits de l’homme s’y prennent de la pire des manières en désignant sans autre forme de procès les auteurs, parmi lesquels ils citent les forces armées burkinabè et les VDP : et ce, au même titre que les « islamistes insurgés ».

En procédant ainsi, les CAF CPI font étalage de leur manque crucial de décence morale et de leur malhonnêteté intellectuelle aiguë.

Parce qu’elles foulent au pied les codes de l’élégance en ne relevant pas le fait que le Burkina Faso est la victime dans cette affaire.

Aussi, elles ne font preuve à aucun moment d’empathie pour notre peuple, ni de compassion à son égard en appelant la communauté internationale à sa rescousse au nom du sacro-saint principe de la solidarité internationale.

Nous rappelons que notre pays est membre de l’Organisation des Nations Unies (ONU) depuis 1961.

C’est du deux poids, deux mesures que certainement les doués de raison sauront apprécier.

4) Des recommandations formulées par les CAF CPI.

En guise de recommandations, les CAF CPI souhaitent que des procédures judiciaires soient engagées à l’encontre des auteurs de ces exactions.

Le peuple burkinabè, tout en souscrivant à cet appel, tient à encourager fortement les “gendarmes du monde” et les “Don Quichotte” des droits de l’homme à :

– cesser d’alimenter le terrorisme à travers leur complicité passive et active;

– cesser le financement du terrorisme à travers les paiements de rançons;

– mettre un terme à l’instrumentalisation du terrorisme pour assouvir des ambitions géopolitiques et géostratégiques;

– soutenir sans aucune hypocrisie les États en lutte contre le terrorisme.

5) Création d’une Coordination d’Organisations et Leaders Panafricanistes dénommée CoCiPESAD.

 

Nous, organisations et leaders panafricanistes conscients de l’urgence et de l’impérieux devoir pour les peuples africains de  constituer un bouclier de protection et de défense des leaders et dignes fils africains qui portent le flambeau de l’idéal panafricain contre les plans assassins et destabilisateurs de l’impérialisme décidons de créer la Coalition Citoyenne des Organisations et  Panafricanistes Engagés pour la Souveraineté de l’Afrique et la Défense des Dirigeants et Leaders Panafricains (CoCiPESAD).

Au demeurant, le peuple burkinabè entend poursuivre sa marche victorieuse vers l’horizon du bonheur et réaffirme son soutien inconditionnel aux autorités de la transition avec à leur tête le camarade capitaine Ibrahim Traoré, Président de la transition, chef de l’État.

 

La Patrie ou la Mort, nous Vaincrons !

 

Ont signé :

Burkina Faso

Deux heures pour Nous, deux heures pour Kamita

BAYALA Lianhoué Imhotep, Coordonateur National

Comité International du Mémorial Thomas SANKARA CIM-TS

Daouda TRAORÉ Président

Rassemblement des Intelligences pour la Souveraineté Africaine (RISA) Siguiré Adama Coordonnateur National.

Centre Thomas Sankara

Wendlassida Simporé/ Secrétaire Générale

Alliance des Jeunes des États du Sahel – AJES Burkina Faso

Abdoul Razahagou DENE, Président

 

Niger

Seydou Abdoulaye, Président du Réseau Panafricain pour la Paix, la Démocratie et le Développement (REPPAD) et Coordonnateur National du Mouvement M62-MOUTOUNTCHI/BOUTCHINTAREY : Union Sacrée pour la Sauvegarde de la Souveraineté Nationale et la Dignité du Peuple.

SANOUSSI Mahaman

SG National M62

Maikoul Zodi

Coordonnateur du Front Patriotique pour la Souveraineté

l’Union des Scolaires Nigériens et l’Alliance des Éleves et Étudiants des États du Sahel,

 

Effred Mouloul Al’hassan, Secrétaire Général du Comité Directeur de l’Union des Scolaires Nigériens et Secrétaire Général de l’alliance des éleves et étudiants des États du Sahel.

 

Mali

Président de GRAME-Maaya

Issiaka TRAORE.

Diarra

Yacouba Mouvement Populaire pour l’Unité Africaine MPUA

Vice président

 

Côte d’Ivoire

Foungnigué Silué

Coordonnateur du Club Panafricain Universitaire(clubpanafricainuniversitaire@gmail.com)

Point focal RCI du Mémorial Thomas Sankara

 

Congo

Organisation : BISO PEUPLE

KASONGO ILUNGA

Coordonnateur National

République Démocratique du Congo

Ghana

Bernard Anbataayela Mornah a Presidential candidate 2024 and Convener of AriseGhana

From Ghana

 

Gambie

Zainab Jatta

Deputy coordinator AfYEF Gambia.

 

Guinée Bissau

Sumaila Bá Coordenador da Escola de Formação Política Ideológica Amílcar Cabral do PAIGC.

 

Guinée Conakry

Alfa Yaya Turé

Coordinateur du Festival international panafricain de Nguekokh FIPAN.

 

 

Afrique du Sud

Mr Julius Sello Malema

the leader of the Economic Freedom Fighters

South Africa

 

Bénin

Roméo Sêdjro AÏSSÉGBÉ

Coordonnateur National du mouvement : NOUS CITOYENS BÉNINOIS

Point Focal Bénin du Mémorial Thomas SANKARA

Shadrac WATOWEDE

Coordonnateur National de Urgences Panafricanistes Bénin

Louis Rodrigue AÏSSÉGBÉ

SG de l’organisation Panafricaine des Cultes Ancestrale- Bénin

 

Sénégal

Souleymane Jules Diallo,

Coordinateur de JIF’AFRIK

Camarade BADJI Alfousseynou

Panafricaniste du Senegal

Structure privée : BRES.OCTAGONE

SYLVESTINE MENDY PANAFRICAINEl. CORDONNATRICE DU MOUVEMENT AFRICA FIRST.

 

Mauritanie

Koriya Haimouda

Président du comité des femmes au sein de l’organisation » Nous pouvons »

 

Allemagne

Groupe de Travail sur le Panafricanisme

Hamado DIPAMA

 

Canada

BIECE-AE INTERNATIONAL

Président : Kokou Nouwozan LANGUEH

Siège : Montréal (QC) CANADA

 

Amérique Latine

Marcos Tello Chávez

Organización Nuevo País – MLN (MÉXICO)

Hugo Antonio Aguilar Asturias, Secretario General del Sindicato Autónomo Magisterial Guatemalteco (Samgua).

Michael Humaña

Presidente Sindicato Nacional de Trabajadoras y Trabajadores de la Educación – SNTE Chile

Mario Roldán Roblero López

Bloque Democratico de la Seccion 40 de la Coordinadora Nacional de Trabajadores de la Educación CNTE Chiapas México.

Orlando Pérez Oropeza

Presidente del Sindicato Nacional Fuerza Unida Magisterial SINAFUM-VENEZUELA.

Y Presidente de la Central Continental de Trabajadoras y Trabajadores de la Educación CTE.

Marcelino Rodarte Hernández

Coordinadora del Magisterio Democrático de Zacatecas Sección 58 de la Coordinadora Nacional de Trabajadores de la Educación, México

Rafael Cervantes Ramírez; Movimiento Democrático del Magisterio Zacatecano (MDMZ) Sección XXXIV, CNTE, Zacatecas México.

Dimas Mauricio Vanegas

Coordinador de la Fundación Promotora de Cooperativas, FUNPROCOP, El Salvador.

 

Personnalités

 

Elie Kamano artiste panafricaniste Guinéen. Je signe la pétition et m’engage à accompagner la dynamique 💪💪💪

Ouédraogo Salifou  dit Frère Malkom artiste musicien Burkina Faso

Drame Balla moussa

Menfils Balla le yaaba

Artistes musiciens engagé animateur radio réalisateur télé promoteur culturel Président du collectif national des artistes musiciens engagé pour la paix au Burkina Faso

Ouedraogo sibri dit oscibi jhoann artiste musicien . Burkina Faso

Alphonse Sana Kaboré dit Grand Docteur, artiste musicien

Océan Sawadogo dit Océan, Artiste musicien

Touré Moussa soudeur Burkina Faso

TAPSOBA DRISSA COMMERÇANT BURKINA FASO

Ouédraogo Tidiane menuisier Burkina Faso

SANFO Boubakar

Informaticien

Burkina Faso

 

 

 

Cascades : Les lauréats présentent leurs prix au Gouverneur

Burkina- SNC-Lauréat-Région

Cascades : Les lauréats présentent leurs prix au Gouverneur

Banfora, 7 mai 2024 (AIB)-les lauréats de la région des cascades à la 21ème édition de la semaine nationale de la culture ont présenté leurs prix au Gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè BAZIE.

Les artistes et troupes lauréats de la région des Cascades ont présenté leurs prix au premier responsable de la région.

Selon le e Directeur régional de la culture, des arts et du tourisme, Boukary Malgoubri, la région gagné des prix dans plusieurs catégories.

Pour M. Malgoubri en catégorie art culinaire, c’est Catherine Soulama qui a obtenu deux prix spéciaux, dont un prix spécial du fond pour le développement culturel et touristique et un prix spécial d’un opérateur économique du grand ouest.

 

Selon lui, la région a glané deux prix dans la catégorie art et spectacle, qui reviennent à Ibrahim Traoré alias Babandjida qui occupe la troisième place pour la  vedette de la chanson traditionnelle et la catégorie ballet pool jeune avec la troupe farafina, qui occupe également la troisième place et gagne un prix.

Le Directeur régional de la culture, des arts et du tourisme, a, au nom des lauréats manifesté sa reconnaissance au gouverneur et aux autorités administratives de la région pour le soutien dont ils ont bénéficié lors des préparatifs et des répétitions pour la 21ème édition de la SNC.

Le Gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié, a félicité l’ensemble des ambassadeurs et ambassadrices pour avoir honoré la région à travers l’obtention de ces prix. Il a exhorté les tous les artistes et troupes à continuer le travail et à mieux faire pour engranger plus de médailles pour les prochaines éditions de la SNC.

Le premier responsable de la région des Cascades a exprimé sa disponibilité à accompagner et soutenir les artistes et troupe de la région.

En rappel, la région des Cascades était représentée à la Semaine Nationale de la Culture par 7 ensembles artistiques, 2 spécialités de l’art culinaire et 7 lutteurs.

Agence d’information du Burkina

JPY /dnk/atta

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