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Léraba : La direction provinciale en charge de la Culture accueille la montée des couleur

BURKINA-LERABA-PROMOTION-CIVISME

Léraba : La direction provinciale en charge de la Culture accueille la montée des couleurs

Sindou, (AIB)-Le Haut-Commissaire de la province de la Léraba, Mahamadi Congo, a présidé le jeudi 07 mars 2024 à Sindou, la cérémonie de l’ ‘’acte 14’’ de la montée solennelle du drapeau à la direction provinciale de la Culture, des arts et du tourisme (DPCAT).

Dans l’objectif de promouvoir et de consolider l’esprit de civisme et du patriotisme à travers l’observation d’attitudes citoyennes envers les symboles de l’Etat, les premières autorités de la Léraba, dans la région des Cascades, ont initié la montée solennelle et tournante du drapeau dans les structures et services publics de la province.

Lancée depuis le 09 juin 2022 dans l’enceinte du Haut-Commissariat de la Léraba, la direction provinciale en charge de la Culture est le 14e service public qui vient d’honorer à cette tradition ce jeudi 07 mars 2024 à Sindou.

Le Haut-Commissaire de la province de la Léraba, Mahamadi Congo, s’est dit satisfait de l’engouement et de la mobilisation des chefs de service ou des structures provinciales pour l’atteinte de l’objectif visé.

Tout en saluant l’idée de cette initiative, le Directeur provincial en charge de la Culture, Issiaka Konvolgo, a passé le flambeau au Directeur provincial de la Solidarité, de l’action humanitaire de la réconciliation nationale du genre et de la famille, Ousmane Ouédraogo.

Rendez-vous est pris pour le 04 avril prochain dans la cour de la direction provinciale en charge de la Solidarité.

Agence d’information du Burkina

MK/hb/yo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Burkina : Le ministère des Affaires étrangères réédite une campagne de sensibilisation sur les droits et devoirs des étrangers

Burkina : Le ministère des Affaires étrangères réédite une campagne de sensibilisation sur les droits et devoirs des étrangers

Agence d Information du Burkina

Le « Tansoaba » de Boussé sonne la mobilisation pour la Transition

Le « Tansoaba » de Boussé sonne la mobilisation pour la Transition

Boussé, 16 mars 2024 (AIB)-La ville de Boussé a connu une manifestation de soutien en faveur des autorités de la Transition et des Forces combattantes. Organisée par le Tansoaba de Boussé sous le parrainage de El hadj Moustapha Souli, PDG de la société Wend Waogo Nabonswendé, cette marche- meeting a connu la Présence du Front de défense de la patrie, et l’Alliance populaire pour l’engagement patriotique et le soutien de délégations venues d’autres localités.

« Vive Ibrahim Traoré » c’est par ce slogan que les manifestants ont arpenté les rues de la ville pour marquer leurs adhésions aux actions du gouvernement du MPSR 2 le 16 mars 2024 à Boussé.

Prenant la parole au cours du meeting qui a suivi la marche, Malick Sawadogo, président du comité d’organisation a indiqué que cette sortie se veut une démonstration de soutien au président Ibrahim Traoré et à son gouvernement.

C’est aussi une occasion pour les Tansaoba de rendre hommage dit-il à l’ensemble des « guerriers » pour les sacrifices consentis dans la lutte pour la reconquête du territoire national.

A la suite, de cette intervention, différentes personnalités qui se sont succédé à la tribune.

Dans leurs allocutions, ils ont estimé que le pays est sur la bonne voie. Celle de mobilisation des ressources matériels et de l’engagement des hommes pour la reconquête de l’intégrité territoriale et de la dignité nationale.

Ils ont appelé de ce fait, au renforcement de l’unité nationale, à la solidarité mais surtout à la vigilance.

Dans ce sens Alassane Sawadogo, coordonnateur du front de défense pour la patrie (FDP), a estimé qu’il est plus que temps de rester soudés et engagés pour la défense de la patrie.

Il a fait remarquer que l’étape actuelle de la lutte contre le terrorisme a fait apparaitre d’autres types de défis.

A savoir dit-il, celui du démantèlement des complicités internes dont les acteurs se retrouveraient selon lui, tant dans le milieu des agents des secteurs administratifs, économiques que dans le milieu des ONG humanitaires.

Au regard de ce constat, le coordonnateur du FDP « la France doit partir » en appelle à une vigilance de toutes les instances et à la dénonciation.

Pour le président de l’Alliance populaire pour l’engagement patriotique (APEP), Sayouba Traoré, l’orientation politique de la transition mérite les encouragements de tous les Burkinabè.

Il pense surtout à ceux qui ont lutté pour plus de résultats sur le front de la lutte contre les GAT et pour l’avènement d’une gouvernance vertueuse au profit de toutes les couches sociales.

Il en veut pour preuve les récentes décisions du conseil des ministres, concédant une réduction considérable sur le tarif de certains examens médicaux.

Le parrain pour sa part a exprimé sa satisfaction d’avoir été associé à cette cérémonie d’hommage aux autorités.

Pour Moustapha Souili, l’adhésion aux idéaux du président de la transition passe également par la participation citoyenne de chacun aux actions de développement locales.

Aussi a-t-il appelé la jeunesse à cultiver davantage le sens de l’unité d’action pour le bien-être des populations du Kourwéogo.

Pour clore là l’activité, le « Tansaobo », par ailleurs chef VDP de la commune de Boussé a lancé un plaidoyer auprès des filles et fils du Kourwéogo pour l’équipement en moyen de déplacement au profit des VDP.

Il a par ailleurs adressé ses remerciements aux différentes délégations venues de la Sissili, du Sanmatenga, de l’Oubritenga et du Kadiogo, pour leur appui.

Il a prié les ancêtres pour la protection des soldats, du président et de ses collaborateurs.
Agence d’information du Burkina
DB/ATA

Burkina/Ramadan/Solidarité : une association offre des vivres à 300 ménages

Burkina/Ramadan/Solidarité : une association offre des vivres à 300 ménages

Ouagadougou, 17 mars 2023 (AIB) – La section du Burkina Faso de la Fondation Mohammed VI des Oulémas africains (FM6OA) a offert, dimanche, des vivres composés de riz, de pâtes alimentaires et d’huile à 300 ménages pour manifester sa solidarité à l’égard des bénéficiaires, à l’occasion du mois de Ramadan.

« Nous sommes dans un mois sacré de Ramadan où l’entraide est recommandée et c’est pour cela que le roi du Maroc, son altesse Mohammed VI, chaque année, veille à ce que nous assistons les personnes démunies et ceux qui sont dans le travail islamique c’est-à-dire les prêcheurs, les enseignants, les muezzins et autres », a déclaré le président de la section du Burkina Faso de la Fondation Mohammed VI des Oulémas africains (FM6OA), Cheick Aboubacar Yugo.

Cheick Yugo s’exprimait dimanche en marge de la remise des vivres aux bénéficiaires.

300 ménages au total ont été concernés par le don composé de kits réunissant chacun « un sac de riz, un sac de macaroni et un bidon d’huile de cinq litres », a rappelé le guide religieux.

Ce don est le cinquième du genre que le roi Mohammed VI du Maroc, Amir Al Mouminine, à travers la section locale de la FM6OA, assure à l’endroit de ménages burkinabè durant le mois de Ramadan.

Pour la bénéficiaire Hadja Alimata Ouédraogo de l’Union des Femmes islamiques du Burkina Faso, section du Kadiogo, les vivres reçus viennent soulager et apporter une bouffée d’oxygène aux familles bénéficiaires.

« Nous allons les distribuer à ceux qui sont surtout démunis et qui manquent de moyens pour mettre fin ou rompre leur jeûne », a-t-elle noté.

Hadja Alimata Ouédraogo, traduisant sa reconnaissance au donateur, a dit aussi prier que le Seigneur « leur permette de renouveler chaque année ce geste et d’augmenter aussi le don afin de toucher plus de ménages démunis ».

Le cheick Aboubacar Yugo a lui aussi appeler de ses vœux de voir accroitre la quantité du don pour les prochaines éditions précisant que du fait l’insécurité, le nombre de ménages vulnérables s’est accru au Burkina Faso.

Il a rappelé également qu’au-delà de l’expression de la solidarité à travers le don, la FM6OA sous l’impulsion du roi Mohammed VI du Maroc, travaille à la promotion de l’islam « du juste milieu ».

« Ces derniers temps, l’islam est mal compris et certains sont dans l’extrémisme violent et c’est pour cette raison que la fondation travaille à faire la promotion de l’islam du juste milieu pour que les gens comprennent correctement la religion et vivent en paix avec leurs semblables dans la société dans la cohésion », a expliqué Cheick Yugo.

Agence d’Information du Burkina
Mamady ZANGO

Burkina: Plusieurs opérations menées avec succès ce weekend par les Forces combattantes

Burkina: Plusieurs opérations menées avec succès ce weekend par les Forces combattantes

Ouagadougou, 17 mars 2024(AIB)-Les Forces combattantes ont effectué ce weekend des opérations dans les régions du Centre-nord et de l’Est qui ont permis de neutraliser de nombreux terroristes, de récupérer du matériel et de consolider la pacification de certaines localités, a appris l’AIB auprès de sources sécuritaires.

Suites aux opérations aéro-terrestres du 15 mars 2024 qui ont permis de se débarrasser de plusieurs terroristes dans la zone de Kossouka dans le Centre-nord, les forces du mal voulaient coûte que coûte attaquer les paisibles citoyens.

C’est pourquoi des survivants sont revenus par petits groupes dans la matinée du 16 mars pour accomplir leur sale besogne.

Ces groupes seront rejoints par d’autres assassins sous un grand arbre.

Fort heureusement, les vecteurs aériens veillaient au grain et ont pu frapper cette horde avant son assaut.

Outre la zone de Kossouka, d’autres groupes de malfaiteurs projetaient d’attaquer dans la zone de Silmangue.

C’est ainsi que dès le 15 mars, un groupe de terroristes est repéré dans un village de Tarpako, zone de Yalgo Centre-nord).

Le lendemain matin, ces centaines de criminels assoiffés de sang se mettent en ordre de bataille pour Silmangue.

On les voit sur plusieurs kilomètres, à bord de motos et de véhicules.

C’est au moment où les hordes observent un arrêt pour prendre les dernières consignes, que les pilotes vont enclencher des frappes successives.

Un grand groupe de tueurs est bousillé sous un arbre touffu, poussant les autres à sortir de leur cachette pour fuir.

Mais les pilotes maintiennent la pression et en neutralisent le plus grand nombre.

Des rescapés qui ont sauté dans un pick-up rempli de logistique, n’ont pas pu aller loin, car un missile les a envoyés en enfer.

Tôt dans la matinée du 17 mars, des éléments du 5e bataillon d’intervention rapide ont lancé une opération dans la zone ennemie en vue de neutraliser tout criminel qui y rôderait.

Les opérations se sont poursuivies le dimanche 17 mars 2024 vers 7h à l’Est du pays où plusieurs criminels étaient aux portes de Natiaboini sous de grands arbres.

Au bon moment, les pilotes envoient un puissant missile qui va les cramer dans leur touffe.

Des rescapés tentent de s’extirper des flammes mais s’écroulent plus loin à quatre pattes.

La suite des observations permet aux renseignements de se rendre compte qu’il s’agit d’une grande base.

Une opération est immédiatement montée et un commando du centre national d’entraînement commando de Pô déjà en opération dans la zone, est héliporté sur la base.

Dès que les boys foulent le sol, ils engagent un combat sans merci avec les assassins et en font une bouchée.

Ensuite le commando ratisse toute la zone, récupère les armes encore utilisables et détruit tout le reste qui ne peut être emporte.

Enfin, les patriotes mettent le feu à la base avant d’être exfiltrés sains et saufs.
Agence d’information du Burkina

Poutine remporte la présidentielle avec 87% des voix (résultats à la sortie des urnes)

Poutine remporte la présidentielle avec 87% des voix (résultats à la sortie des urnes)

MOSCOU, 17 mars 2024/TASS/AIB- Le président actuel russe Vladimir Poutine arrive en première place à la présidentielle russe, obtenant 87% des voix, selon le sondage à la sortie des urnes du Centre panrusse pour l’étude de l’opinion publique (VTsIOM) que TASS a pu consulter.

Derrière Poutine arrive le candidat du Parti communiste Nikolaï Kharitonov (4,6%). Vladislav Davankov occupe la troisième place (4,2%) et Leonid Sloutski la quatrième (3%).

En outre, 1,2% bulletins de vote seront déclarés nuls.

L’enquête a été réalisée à la sortie des bureaux de vote du 15 au 17 mars.

Selon la Fondation pour l’opinion publique (FOM), le chef d’État russe a recueilli 87,8% des votes, suivi de Kharitonov (4,7%). Davankov et Sloutski ont récolté 3,6% et 2,5% des voix respectivement.
AIB avec TASS

1498 nouveaux gendarmes de rangs font de la libération du territoire leur cheval de bataille

1498 nouveaux gendarmes de rangs font de la libération du territoire leur cheval de bataille

Gaoua, (AIB)-Le Chef d’État-major de la Gendarmerie Nationale,le Colonel Kouagri Natama a présidé la cérémonie de sortie de la deuxième vague de la première promotion des élèves gendarmes auxiliaires, le vendredi 15 mars 2024, au Centre d’Instruction de la Gendarmerie nationale (CIGN), sis au quartier Gbakonon de Gaoua. Près 1500 gendarmes de rangs se sont engagés à faire de la libération du territoire leur cheval de bataille.

L’armée Burkinabè enregistre de nouveaux combattants dans ses rangs. Près de 1500 auxiliaires de la gendarmerie nationale formés au Centre d’Instruction de la Gendarmerie Nationale sis au quartier Gbakonon de Gaoua viennent d’effectuer le vendredi 15 mars 2024 leur sortie de promotion.

Ces gendarmes font partir de la deuxième vague de la première promotion des élèves gendarmes auxiliaires.

Après 5 mois de formation militaire initiale ( NDLR : 12 octobre 2023 , date à laquelle, les recrues ont été le centre), 1498 gendarmes auxiliaires dont 08 femmes avec 100 spécialistes dans divers domaines tels que la maçonnerie, la menuiserie, l’électricité bâtiment, la soudure, la maintenance des véhicules automobiles… ont été présentés au drapeau du Burkina Faso.

Ces militaires de rangs de la gendarmerie nationale également reçu leurs épaulettes. A travers ces différents actes, ils sont désormais aptes à renforcer les effectifs des Forces armées nationales et à servir la Nation.

Cette deuxième vague comme la première vague a été baptisée « Yari Adama Oussé » par le Chef d’État-major de la Gendarmerie nationale, le Colonel, Kouagri Natama.

Feu Yari Adama Oussé, ancien gendarme et ancien chef de canton de Gaoua décédé le 12 aout 2021.

Pour le Colonel, Kouagri Natama, le recrutement des gendarmes auxiliaires répond à une volonté des premières autorités du pays afin de faire face à un besoin de maillage du territoire national.

Ce maillage répond aussi au besoin de la lutte contre le terrorisme.

A l’en croire, cette promotion qui vient de sortir sera constituée et organisée en unités de marche au côté des autres forces de défenses et de sécurité, qui sont déjà à pied-œuvre pour les missions de reconquête et de consolidation du territoire.

Pour sa part, le Chef d’escadron Emile Soudré, commandant du CIGN, a indiqué que la formation a porté essentiellement sur une formation militaire générale axée sur la formation à l’environnement militaire, la formation au combat, une formation professionnelle reposant sur les modules spécifiques de maintien de l’ordre, un stage en défense opérationnelle du territoire visant à leur préparer aux opérations de sécurisation intérieure, une formation générale visant à consolider les acquis scolaires à travers des conférences sur diverses thématiques.

Selon lui, le projet de recrutement des gendarmes auxiliaires a vu le jour en 2022 afin de renforcer les capacités des opérations de la gendarmerie nationale.

« Cette cérémonie de sortie traduit la vision du commandement qui est de renforcer la réponse tactique par une densité de combattants aptes capables d’appuyer les unités classiques dans l’élan de reconquête du territoire national », a-t-il ajouté. C’est pourquoi,, le Chef d’escadron Emile Soudré les a invité à faire montre en toute circonstance de discipline, de loyauté et d’esprit de sacrifices afin de porter haut le flambeau de l’institution.

Le parrain de la promotion, le Colonel Boukari Zoungrana, par ailleurs ancien ministre en charge de la sécurité a, quant à lui, prodigué des conseils à ses filleuls.

Il a, en effet, fait comprendre que s’engager dans la gendarmerie nationale est un sacerdoce. « Le métier de gendarme est celui des hommes d’honneur. Rien de s’obtient sans un travail d’acharnement», a-t-il lancé à ses filleuls.

C’est pourquoi, il les a invités à travailler sans relâche, à s’acquitter de leurs devoirs sans rien attendre en retour et à surtout cultiver les valeurs de patriotisme, de loyauté, d’intégrité et d’honneur qui fondent la gendarmerie nationale.

Au cours de la cérémonie, les gendarmes auxiliaires ont entonné le chant de la promotion puis l’hymne de la gendarmerie.

Ils ont pris ainsi l’engagement de faire de la libération du territoire leur cheval de bataille. « Nous sommes des militaires de rangs prêts à servir notre pays », a soutenu le major de cette deuxième vague, Dieudonné Zongo. Pour ce faire, il a invité la population à les accompagner dans leurs missions de sécurisation du pays.

La cérémonie a pris fin par la démonstration du savoir-faire militaire des nouveaux soldats et le défilé des troupes.
Agence d’Information du Burkina (AIB)
Boudayinga J-M THIENON

Une bonne volonté offre 5 mots aux VDP de Ziro

Burkina-Antierrorisme-Soutien

Une bonne volonté offre 5 mots aux VDP de Ziro

Ouagadougou, 16 mars 2024 (AIB) – Une bonne volonté a remis 5 motos aux volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la province du Ziro, en marge de la 1ere édition de la journée promotionnelle des fruits de la localité.

En réponse à la demande du ministre d’Etat, Bassolma Bazié, qui a exhorté les populations à soutenir les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les VDP, une bonne volonté anonyme a annoncé un don de 5 motos au profit des VDP de Ziro.

Les habitants de la commune de Cassou ont également présenté aux autorités la quittance d’une contribution d’un million FCFA qu’ils ont versée au compte du fonds de soutien patriotique.

La journée des fruits du Ziro s’est ouverte ce samedi sous le thème de la « production, écoulement et transformation de fruits dans un contexte de crise sécuritaire dans la province du Ziro» en présence du ministre d’Etat Bassolma Bazié, lui-même VDP d’une délégation venue soutenir l’événement.

Agence d’Information du Burkina

 

Le non-respect des symboles du Burkina passible de peines de prison (Grande chancellerie)

Le non-respect des symboles du Burkina passible de peines de prison (Grande chancellerie)

Ouagadougou, 16 mars 2024 (AIB)-Le non-respect des symboles du Burkina Faso, est passible d’une peine de deux mois à deux ans de prison, a informé samedi la Grande chancellerie des Ordres burkinabè à des élèves.

La Grande chancellerie des Ordres burkinabè a organisé samedi une conférence sur les symboles du Burkina au profit des élèves du Lycée technique Charles Lavigerie de Kamboinsin, dans l’arrondissement n°9 de la ville de Ouagadougou.

A l’occasion, le Directeur de la communication et des relations avec la presse (DCRP), Kévin Gauthier Kaboré, de l’institution a dit aux élèves qu’en cas de non-respect des symboles de l’État, tout fautif encourt une peine de prison de 2 mois à 2 ans ferme.

« Les symboles de L’ État selon la Constitution à son article 34 sont l’emblème national (drapeau), les armoiries, l’hymne national et la devise nationale. Ces symboles représentent notre pays et notre identité collective », a indiqué le DRCP de la Grande chancellerie des Ordres burkinabè, Kevin Gautier Kaboré.

Selon lui, le drapeau se décline en plusieurs formes.
Il s’agit, entre autres, du drapeau de salle qui symbolise la puissance de l’autorité (ministères), du drapeau mortuaire, du fanion de véhicule, du fanion de table (bureaux) et du fanion à usage populaire.

Pour Kevin Gautier Kaboré, il y a aussi le pavillon national ou le drapeau de mât réservé aux bâtiments administratifs et aux ambassades.

Il a indiqué que les éléments constitutifs des armoiries, la devise nationale et l’hymne national qui constituent un chant de victoire et du salut du peuple burkinabè ont été expliqués aux élèves.

Ces échanges consistent à faire connaître les symboles de l’État aux élèves du lycée technique Lavigerie de Kamboinsin, a-t-il soutenu.
Pour la responsable du lycée technique Charles Lavigerie de Kamboinsin, Rose Somboro, ces échanges viennent à point nommé pour sensibiliser les élèves sur la citoyenneté et le civisme.

A écouter sur Somboro, cette rencontre va instruire les hommes de demain à être de bons citoyens, car explique-t-elle, un bon citoyen doit connaître et respecter les institutions et les emblèmes de l’État.

« En tant que élèves, on doit les amener à être fiers de leur pays et à être de bons citoyens », a-t-elle ajouté.

L’élève Parfait Silga en classe de 4eB dit avoir été outillé sur certaines notions telles que la dévise nationale, le drapeau et l’hymne national.

Même cloche pour Chérifatou Kaboré en classe de seconde AC2 qui dit avoir beaucoup retenu beaucoup de choses.

Agence dinformation du Burkina
NO/ata

Bazèga : Le  »Mouvement le Faso, ma patrie » mobilise les populations pour soutenir la Transition

Burkina-Marche-Soutien-Transition

Bazèga : Le  »Mouvement le Faso, ma patrie » mobilise les populations pour soutenir la Transition

Kombissiri, (AIB) – Le   »Mouvement le Faso, ma patrie » a organisé un meeting populaire de soutien à la Transition, le samedi 16 mars 2024 à Kombissiri, au cours duquel ils ont rendu un vibrant hommage aux Forces de défense et de sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et lancer un appel à la mobilisation pour la veille citoyenne.

Pour le président du ‘’Mouvement le Faso, ma patrie’’ Honoré Samandoulgou, les autorités actuelles du pays, ont su activer les véritables leviers pour amorcer les luttes d’émancipation et d’affirmation de la souveraineté du peuple burkinabè.

C’est pourquoi, poursuit-il, «Notre rôle en tant que société civile doit consister scrupuleusement à soutenir la dynamique actuelle pour l’aboutissement des combats de notre peuple».

Rassemblés au terrain communal, les populations de tous âges et de toutes les classes sociales appelés les  »Wayiyans », brandissant les drapeaux des pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES) et de la Russie ont rallié le Haut-commissariat du Bazèga où les attendaient les autorités administratives provinciales.

Après avoir expliqué les raisons de leur démarche aux autorités, les organisateurs ont remis un message de soutien à la Transition au Haut-commissaire de la province du Bazèga, Téné Justine Kientega/ Ilboudo, entourée de ses collaborateurs.

Kientega a remercié les organisateurs pour la démarche entreprise.

Les organisateurs du meeting ont lancé un appel à l’ensemble des populations du Bazèga et du peuple burkinabè à l’unité et à la mobilisation de soutien aux forces de défense et de sécurité (FDS) et aux volontaires pour la défense de la patrie (VDP) à qui, ils ont rendu un hommage spécial pour les multiples succès engrangés dans les combats de la reconquête du territoire national.

Les responsables du  »Mouvement le Faso, ma patrie » ont reçu le soutien du président de la coordination de veille nationale, Djibril Sawadogo, qui a effectué le déplacement pour la circonstance. Les activités du meeting se sont poursuivies avec les  appels à la mobilisation pour la veille citoyenne et des prestations d’artistes.

Agence d’information du Burkina

TPT/dnk

 

 

 

 

Les câbles internet en Afrique de l’Ouest se rompent en raison de l’activité sismique

Les câbles internet en Afrique de l’Ouest se rompent en raison de l’activité sismique

RETORIA, 16 mars. /TASS/. La rupture de quatre câbles internet survenue le 14 mars dans le golfe de Guinée, au large de la Côte d’Ivoire, est le résultat d’une activité sismique dans la région. C’est ce qu’a indiqué la société nigériane MainOne, qui exploite l’un des câbles endommagés.

Selon ses données, la rupture s’est produite sur une section située à une profondeur de 3 kilomètres. L’Afrique du Sud a envoyé un navire spécial dans la zone pour effectuer des travaux de réparation. Le rétablissement du fonctionnement normal des câbles devrait prendre plusieurs semaines.

Les câbles sous-marins suivants ont été touchés: West Africa Cable System, MainOne, South Atlantic 3 et ACE. Le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Gabon, le Ghana, le Liberia, la Namibie, le Niger, le Rwanda et l’Afrique du Sud ont été touchés par la réduction du trafic internet. Les opérateurs réacheminent le signal sur les câbles qui n’ont pas été touchés par l’activité sismique.

Avec tass

Centre-Ouest : Le ministre de l’Education nationale à l’écoute de ses collaborateurs

Centre-Ouest : Le ministre de l’Education nationale à l’écoute de ses collaborateurs

Koudougou, (AIB)-Le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales (MENAPLN), Jacques Sosthène Dingara, a séjourné à Koudougou, le jeudi 14 mars 2024, dans le cadre d’une tournée. Objectif : prendre langue avec les acteurs et partenaires de l’éducation et dégager des perspectives.

Ce face-à-face d’un peu plus de deux heures d’horloge, dans la cité du cavalier rouge, entre le ministre Dingara et les acteurs et partenaires de l’éducation, venus des quatre provinces (Boulkiemdé, Sanguié, Sissili et Ziro) de la région du Centre-Ouest, a jeté son dévolu sur un certain nombre de dossiers.

Il s’agit notamment de la dette sociale (opération casier vide), la réforme curriculaire, les conférences pédagogiques, le point du trousseau pédagogique, l’ESU, sans oublier le fonctionnement des circonscriptions d’éducation de base (CEB), les examens scolaires (enjeux et participation des différents acteurs à l’organisation), etc.

Ainsi, l’occasion a été donnée aux participants (acteurs et partenaires) de soulever leurs préoccupations aussi bien légales que légitimes.

C’est un ministre décontracté et sans langue de bois, qui a bien voulu, appuyé de ses proches collaborateurs, apporter des réponses.

Devant certaines questions épineuses à l’image des grands effectifs occasionnés par la situation exceptionnelle du pays, le MENAPLN s’est montré optimiste et altruiste.

Il a, en effet, exhorté les acteurs à s’engager davantage pour éviter aux élèves déplacés internes de s’engouffrer dans la rue où ils n’auront pas les moyens d’en sortir responsables et dignes.

Outre ces aspects, le nouveau patron de l’Education nationale a tenu à décliner les défis qui lui tiennent à cœur de relever.

Ces défis sont entre autres la gestion excellente du personnel, la digitalisation du système éducatif, l’introduction de l’enseignement technique et professionnel parallèlement à l’enseignement classique, la formation continue des enseignants, la promotion des langues nationales.

Et on ajoute à cela le développement de la petite enfance, l’amélioration de la plateforme SIGEC, l’amélioration de l’accès des élèves à la cantine scolaire.

À noter que d’entrée, le Dreppnf Abylaicé Rouamba, de prendre la parole, au nom des deux directions régionales en charge de l’éducation dans le Centre-Ouest, pour jeter un aperçu sur l’état de l’éducation dans cette partie du Burkina.

Il en ressort au niveau des effectifs 309 839 élèves dont 158 422 filles au primaire ; 9 656 auditeurs dont 4 816 filles au préscolaire ; 3 042 apprenants 2 252 femmes au niveau de l’éducation non formelle. Quant au post-primaire, on dénombre 127 920 élèves dont 67 798 filles.

Agence d’information du Burkina

PB/ata

Centre-nord: plusieurs terroristes tués à Boala par les Forces combattantes

 

Centre-nord: plusieurs terroristes tués à Boala par les Forces combattantes

Ouagadougou, 15 mars 2024(AIB)-L’armée burkinabè a opéré le 13 mars 2024 à Boala (Boulsa, Centre-nord), des frappes qui ont permis de tuer plusieurs terroristes, a appris l’AIB auprès de sources sécuritaires.

Ce 13 mars 2024, une position amie à Boala dans la zone de Boulsa, a vu des terroristes se diriger vers elle. Aussitôt l’alerte donnée, aussitôt des vecteurs aériens sont arrivés sur les lieux.

Les pilotes commencent par frapper un premier groupe de malfaiteurs stationnés sous un arbre. C’est le sauve-qui-peut parmi les assassins qui prennent la direction Nord. C’est alors que les hélicoptères d’attaque vont prendre le relais et neutraliser les criminels dans leur débandade.

Après cette opération, les Forces combattantes ont mis le cap sur la zone de Kossouka. En effet le 15 mars 2024, plusieurs centaines de terroristes venus du Nord, avaient prévu de mener plusieurs assauts. Les troupes au sol montent rapidement une embuscade pour ceuillir les criminels.

Mais comme alertés, les terroristes rebroussent chemin en s’enfuyant vers le Nord. Mais c’est sans compter sur la détermination des pilotes. Un premier groupe de fuyards est rattrapé puis pulvériser. Juste après le bombardement, les troupes au sol arrivent sur les lieux pour découdre avec les rescapés.

Au bilan, plusieurs terroristes sont cramés dans les flammes et d’autres neutralisés par les combattants. On note aussi que plusieurs armes dont d’autres sont encore utilisables, ont été récupérées de même qu’une diversité de logistique.

Agence d’information du Burkina

Sissili : 59 187 enfants de 9 à 59 mois seront vaccinés contre la rougeole et la rubéole

Burkina-Sissili-Vaccination-Rougeole/Rubéole

Sissili : 59 187 enfants de 9 à 59 mois seront vaccinés contre la rougeole et la rubéole

Léo, (AIB)- 59 187 enfants de 9 à 59 mois seront vaccinés contre la rougeole et la rubéole (RR) du 15 au 21 mars prochain, dans le district sanitaire de Léo, dans la région du Centre-Ouest. L’accompagnement des forces vives de la province de la Sissili a été Sollicité pour la réussite de ladite campagne nationale de suivi de vaccination contre la RR. 

Le district sanitaire de Léo, dans la province de la Sissili, région du Centre-Ouest a initié le jeudi 14 mars 2024, une rencontre de plaidoyer avec les autorités et les leaders d’opinions, en faveur de la campagne nationale de suivi de vaccination contre la rougeole et la rubéole (RR).

Environ 59 187 enfants de 9 à 59 mois seront vaccinés du 15 au 21 mars 2024 dans le district sanitaire de Léo, dans le cadre de la riposte contre la RR.

« Afin de renforcer les acquis de la vaccination de routine et l’immunité des susceptibles cas, le pays se prépare à organiser du 15 au 21 mars 2024, une campagne de suivi avec le vaccin de la RR, au profit des enfants de 9 à 59 mois », a indiqué le médecin chef du district sanitaire de Léo, Dr Aboubacary Abdou.

Selon lui, c’est dans cette logique que le district a initié le jeudi 14 mars 2024 à Léo, la rencontre de plaidoyer pour solliciter l’engagement des différentes autorités de la province de la Sissili.

Cette rencontre, en faveur de la campagne nationale de suivi de vaccination contre RR a été aussi l’occasion pour l’équipe cadre du district sanitaire de Léo pilotée par Dr Abdou, de donner des orientations essentielles aux participants sur la présente campagne de vaccination.

« La vaccination contre la rougeole et la rubéole est un moyen de prévention qui permet de limiter la propagation de la maladie et ses formes graves », a-t-il indiqué.

Le haut-commissaire de la Sissili,Tewendé Isaac Sia a également sollicité l’implication de tous les acteurs à tous les niveaux pour l’atteinte du taux national de 95%.

Sia a par ailleurs remercié le district sanitaire pour les efforts déployés au quotidien pour offrir des soins de qualités aux populations.

Agence d’information du Burkina

OAN/no/ata

 

 

 

 

 

 

Collaboration entre le CICR et le Burkina : le directeur régional pour l’Afrique du Comité international de la Croix rouge exprime sa satisfaction

 

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Collaboration entre le CICR et le Burkina : le directeur régional pour l’Afrique du Comité international de la Croix rouge exprime sa satisfaction

Ouagadougou, 15 mars 2024 (AIB)-Le directeur régional pour l’Afrique du Comité international de la Croix rouge (CICR) Patrick Youssef a exprimé jeudi à Ouagadougou, sa satisfaction et sa reconnaissance aux autorités burkinabè pour la bonne collaboration qu’il a constaté sur le terrain entre les équipes du CICR et les acteurs étatiques.

Le ministre délégué chargé de la Coopération régionale Stella Kabré/Kaboré a reçu en audience le jeudi 14 mars, le directeur régional pour l’Afrique du Comité international de la Croix rouge (CICR).
Patrick Youssef qui a effectué des sorties terrain dans les régions du Sahel et du Centre-nord, dit être venu exprimer sa satisfaction et sa reconnaissance aux autorités burkinabè à travers le ministère en charge des Affaires étrangères, pour la bonne collaboration qu’il a constaté sur le terrain entre les équipes du CICR et les acteurs étatiques.
Il a aussi réaffirmé l’engagement du CICR à poursuivre le partenariat avec le Burkina Faso dans le respect des choix souverains des autorités, notamment dans le domaine de l’assistance humanitaire.

«Nous ne sommes pas une entité politique, mais nous allons continuer le plaidoyer à l’international, pour un soutien aux efforts humanitaires, et pour attirer des acteurs et porteurs de projets de développement, dans le but de soutenir davantage les personnes qui sont dans le besoin au Burkina Faso, à travers une approche holistique», a laissé entendre monsieur Patrick Youssef, qui reconnait aussi qu’en période exceptionnelle, il faut des efforts exceptionnels.
Madame le ministre délégué Stella Kabré/Kaboré a traduit la reconnaissance des autorités burkinabè au CICR pour ses interventions au Burkina Faso en faveur des personnes vulnérables, et souhaité que ses interventions s’accentuent au regard du contexte de la double crise sécuritaire et humanitaire.

Elle s’est réjouie de la démarche du directeur régional pour l’Afrique du CICR, qui a consisté à se rendre sur le terrain pour toucher du doigt les réalités et se faire une idée véritable des besoins.

Selon Stella Kabré/Kaboré, cette démarche permet de se rendre compte que ce qui est relayé comme informations notamment sur les réseaux sociaux n’est pas toujours fiable.

«Nous saluons votre engagement à nos côtés, et nous vous demandons d’être notre porte-voix à l’international», a demandé madame le ministre délégué au directeur régional pour l’Afrique du CICR.
Agence d’information du Burkina
WIS/no

Burkina : le gouvernement examine la possibilité d’ouvrir une école vétérinaire publique

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Burkina : le gouvernement examine la possibilité d’ouvrir une école vétérinaire publique

Ouagadougou, 14 mars 2024 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a réuni le lundi dernier à Koudougou, dans le Centre-ouest un comité chargé de réaliser une étude sur l’opportunité d’ouverture d’une école publique vétérinaire au Burkina Faso, en vue de former sur place des médecins vétérinaires, a-t-on appris du ministère en charge de l’élevage.

Cette rencontre a réuni, entre autres, des acteurs de la santé animale, des enseignants-chercheurs et des juristes, tous membres du comité de réflexion sur l’opportunité d’ouverture d’une école publique vétérinaire au Burkina Faso, a précisé le service de la communication du ministère en charge de l’élevage.

Selon la même source, ces experts ont pour mission de produire un dossier complet présentant une évaluation approfondie de la faisabilité du projet, l’analyse des besoins de formation, infrastructurel, matériel et humain. Le comité doit aussi élaborer les textes juridiques et administratifs nécessaires à l’ouverture de l’école, identifier les partenaires potentiels pour l’accompagner et préparer l’atelier national de validation de l’étude.

Selon le Secrétaire général du ministère de l’Agriculture des Ressources animales et halieutiques, monsieur Gaoussou Sanou, la création d’une école publique vétérinaire au Burkina Faso va permettre de combler le besoin de médecins vétérinaires.

Jusqu’à présent, la formation des vétérinaires burkinabè, se fait à l’étranger aux moyens de l’État et de ses partenaires.

Selon M. Sanou, « c𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒎𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆𝒓 𝒒𝒖’𝒖𝒏𝒆 𝒅𝒊𝒛𝒂𝒊𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝒅𝒐𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒗𝒆́𝒕𝒆́𝒓𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒓 𝒂𝒏 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝑩𝒖𝒓𝒌𝒊𝒏𝒂 𝑭𝒂𝒔𝒐. 𝑬𝒏 2021 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒑𝒂𝒚𝒔 𝒏𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒒𝒖𝒆 121 𝒅𝒐𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒗𝒆́𝒕𝒆́𝒓𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒔’𝒐𝒄𝒄𝒖𝒑𝒆𝒓 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆́ 𝒅𝒆 9,5 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒃𝒐𝒗𝒊𝒏𝒔, 21,5 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒔 𝒓𝒖𝒎𝒊𝒏𝒂𝒏𝒕𝒔, 33 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒗𝒐𝒍𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 1,3 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒑𝒐𝒓𝒄𝒊𝒏𝒔 ».

Il a salué la disponibilité des personnes ressources et a invité l’ensemble des participants à examiner sans complaisance les possibilités de mise en œuvre du projet.

Cette initiative est soutenue par le Projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel phase 2 (PRAPS 2), dont la composante 1 est consacrée à l’amélioration de la santé animale et le contrôle des médicaments vétérinaires.
Agence d’information du Burkina
DNK

 

Burkina/Financement de l’Entrepreneuriat : le gouvernement lance un projet de plus de 105 milliards FCFA

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Burkina/Financement de l’Entrepreneuriat : le gouvernement lance un projet de plus de 105 milliards FCFA

Ouagadougou, 15 mars 2024 (AIB)- L’Etat burkinabè a lancé officiellement vendredi, le Projet d’appui à l’entrepreneuriat, au développement des compétences et à l’adoption technologique (ECOTEC) de 105 825 603 836 FCFA, d’une durée de 6 ans, pour toucher 18 mille élèves et apprenants sur toute l’étendue du territoire national.

Le gouvernement burkinabé a lancé officiellement ce vendredi 15 mars 2024 à Ouagadougou, le Projet d’appui à l’entrepreneuriat, au développement des compétences et à l’adoption technologique (ECOTEC), en vue de faciliter l’accès au financement des Micro-petites et moyennes entreprises (MPM), dans un contexte de crise sécuritaire difficile du pays.

Le projet d’une durée de 6 ans (2023-2029) est financé à 105 825 603 836 FCFA dont 98 983 911 300 FCFA par la Banque mondiale et 6 841 692 536 FCA  par  l’Etat burkinabè et va toucher 18 mille élèves et apprenants.

Selon le ministre en charge des Petites et moyennes entreprises (PME), Serge Poda, qui a lu le discours du Premier ministre, Dr. Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, le projet est issu d’un partenariat entre le gouvernement et la Banque mondiale.

M. Poda a expliqué que l’ECOTEC a été spécifiquement conçu pour soutenir les PME, afin de leur ouvrir de nouvelles perspectives de croissance.

« A travers ce projet, le gouvernement réaffirme sa volonté à bâtir un secteur privé compétitif, à travers l’adoption de technologies, le développement des compétences et la mise à disposition d’une main d’œuvre mieux-formée », a-t-il soutenu.

Selon lui, le secteur privé constitue le principal pourvoyeur d’emplois et créateur de richesse dans le pays, toute chose qui concourt à la formulation du projet et met un accent particulier sur l’adaptation de la formation professionnelle aux besoins des entreprises.

Il a fait savoir que le projet a été porté à maturité par les structures relavant des ministères en charge des Finances, de la promotion des PME, de l’Education nationale, de la Maison de l’entreprise du Burkina, du Projet d’appui à l’amélioration de la qualité de l’enseignement et la Société financière de garantie interbancaire du Burkina (SOFIGIB).

«ECOTEC contribuera à créer un environnement propice aux affaires et la promotion des investissements verts, à travers l’accompagnement et le financement de plus de 2 000 PME », a renchéri le ministre Serge Poda.

Les bénéficiaires du projet sont entre autres, les entrepreneurs, les PME, les élèves, les apprenants, les enseignants/encadreurs pédagogiques, les formateurs/animateurs, les maîtres artisans, les associations industrielles, les entreprises partenaires et les structures de formation formelle et non formelle.

Le représentant résident de la Banque mondiale au Burkina Faso, Hamoud Abdel Wedoud Kamil, a pour sa part, traduit  la disponibilité de son institution à soutenir le pays pour la réussite du projet.

Saisissant l’occasion, M. Kamil a fait remarquer que le secteur privé joue un rôle primordial, à travers l’entrepreneuriat pour une croissance soutenue et inclusive.

Pour lui, la Banque mondiale s’engage aux côtés de l’Etat burkinabè pour un secteur privé plus résilient et dans la recherche d’un environnement plus attractif.

Abdel Wedoud Kamil a noté que le présent projet veut assainir l’environnement des affaires des MPME, dynamiser la création des emplois, améliorer l’accès au financement, lutter contre les effets néfastes du changement climatique.

Notons que le processus de préparation de l’ECOTEC a débuté en 2021.
Agence d’information du Burkina
NO/as/ck

ONEA, et sécurité en couverture des journaux

Burkina-Revue-Presse

ONEA, et sécurité en couverture des journaux

Ouagadougou, 15 mars 2024 (AIB)- Les parutions de ce vendredi font écho de la conférence de presse de l’Office nationale de l’eau et de l’assainissement (ONEA) pour présenter les travaux entrepris pour assurer la déserte en eau en cette période de forte chaleur et de la situation sécuritaire du pays.

« Résolution de la crise sécuritaire au Burkina : Le Parlement autrichien apportera son appui », affiche à sa manchette le quotidien d’Etat Sidwaya.

Le journal rapporte que le président de l’Assemblée législative de transition (ALT), Ousmane Bougouma a reçu hier, en audience une délégation du Parlement autrichien.

Selon le quotidien public, le député autrichien Hermann Brückl qui a conduit la délégation, a promis que le parlement autrichien apportera son appui au Burkina en vue de venir à bout de cette crise sécuritaire.

De son côté, le quotidien privé Le Pays titre à sa Une : « Démantèlement d’un réseau de détourneurs d’engrais subventionnés : Les opérations doivent se poursuivre ».

Le journal écrit que le Service régional de la Police judiciaire (SJRPJ) de Fada N’Gourma a indiqué, le 6 mars dernier, qu’ils ont épinglés 18 personnes dont 10 agents au sein du ministère de l’agriculture pour détournement d’engrais subventionnés par l’Etat et destinés aux producteurs agricoles.

A le lire, selon le SJRPJ de Fada N’Gourma, ce détournement concerne 723 sacs de 50 Kg d’une valeur de 21 690 000 F CFA et une somme de 21 140 000 FCFA.

« Grand Ouest : L’armée neutralise un leader », mentionne L’Express du Faso à sa première page.

Selon le quotidien bobolais, le deuxième groupement d’intervention rapide en collaboration avec les VDP et les Dozos ont mené une opération dénommée Ouragan dans le grand Ouest.

Le même journal ajoute que cette opération a permis de neutraliser 148 terroristes dont Diallo Amsétou, leader de la faction du groupe terroriste de Alonzo, de récupérer plusieurs produits dont entre autres, des munitions, du carburant, des vivres et des produits pharmaceutiques.

Le journal ajoute cependant, que cette opération a fait état de 11 Forces de défense et de sécurité (FDS) décédés et 43 blessés.

Sous un autre angle, L’Observateur Paalga titre à sa manchette : « perturbation de la déserte en eau en période de chaleur : Les bons tuyaux de l’ONEA pour faire face au pic ».

Selon le doyen des quotidiens privés, les responsables de l’ONEA étaient devant la presse ce jeudi pour présenter les activités de renforcement opérées pour la déserte en eau en cette période de pic.

Le quotidien privé, Le Pays, poursuit que l’ONEA a procédé au renforcement de la distribution, des capacités de production, et à la mise en œuvre de solution d’urgence comme la distribution alternée ou par camion dans certaines localités.

Le journal public Sidwaya, ajoute de son côté, que les responsables de l’ONEA ont également annoncé un retour au relevé mensuel au mois de mai face à la non-adhésion des clients aux relevés bimestriel.
Agence d’information du Burkina
AMZ/as/ata

 

Lutte contre le terrorisme : les blessés en opération plaident pour l’instauration d’une journée d’hommage

Lutte contre le terrorisme : les blessés en opération plaident pour l’instauration d’une journée d’hommage

(Ouagadougou 15 mars 2024). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé, hier après-midi, la clôture de la conférence sur l’amélioration de la prise en charge des blessés en opération.

Plus de 500 participants dont 300 blessés en opération ont, pendant 72 heures, mené la réflexion sur l’amélioration de la prise en charge des blessés et leur réinsertion socio- professionnelle. Ils ont passé en revue les différents textes en matière de lutte contre le terrorisme et ceux relatifs au traitement réservé aux blessés.

A l’issue des travaux, les participants ont recommandé la création d’un service pluridisciplinaire pour la gestion des blessés en opération dans chaque entité et la création d’une structure autonome pour la prise en charge médicale en urgence des blessés et leur évacuation hors du pays.

La mise en place d’un programme spécial de réinsertion professionnelle au profit des Volontaires pour la Défense de la Patriie blessés lors des opérations et des mobilisés, a aussi été proposée ; ainsi que l’institution de dispositifs et stratégies de prises en charge psychologique, sociale et spirituelle dans chaque entité des Forces de défense et de sécurité.

Les blessés en opération ont également souhaité l’instauration d’une journée pour leur rendre hommage, la réactivation de la commission de réformes des Forces armées nationales et sa mise en place dans les autres entités, et l’adoption de textes spécifiques sur les blessés en opération.

En réponse, le Chef de l’Etat a assuré que des actions sont en cours pour améliorer leurs conditions. Il s’agit notamment du renforcement et de l’amélioration du plateau technique du centre médical des armées ainsi que la prise en charge gratuite et rapide des blessés dans tous les centres hospitaliers régionaux du pays dont la pratique est déjà opérationnelle.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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