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Kourittenga/Second tour BEPC : La province obtient un taux de succès de 51,50%

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Kourittenga/Second tour BEPC : La province obtient un taux de succès de 51,50%

Koupéla, 18 juin 2025 (AIB)- Le directeur provincial en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga, Dieudonné Belemsigri, a fait savoir, le mercredi 18 juin 2025 à Koupéla, que la province a enregistré un taux de réussite de 51,50% après les résultats du second tour du Brevet d’études du second cycle (BEPC) 2025.

La province du Kourittenga, après la proclamation des résultats du second tour du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC), session 2025, a enregistré un taux de succès de 51,50% avec 2 381 admis sur 4 623 candidats présentés.

Le directeur provincial en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga, Dieudonné Belemsigri, a salué la contribution et le dévouement des acteurs de l’éducation, des autorités administratives, les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), pour l’atteinte de ces résultats.

Agence d’information du Burkina
AWS/hb/ar

Santé des forces de sécurité : La police nationale joue la prévention pour plus d’efficacité sur le terrain 

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Santé des forces de sécurité : La police nationale joue la prévention pour plus d’efficacité sur le terrain

Ouagadougou, 18 juin 2025 (AIB)-La police nationale a lancé mercredi les activités de la deuxième édition de ses 72 heures de la santé préventive, une initiative visant à renforcer la culture de prévention au sein des corps de police et des forces partenaires.

Les 72 heures de la santé préventive sont organisées dans le but d’outiller les forces de sécurité engagées sur le théâtre des opérations de lutte contre le terrorisme afin de prévenir tout psycho-trauma consécutif aux incidents de travail, a indiqué le conseiller technique du ministère de la Sécurité, Thierry Dofizouho Tuina.

Dans un contexte où les Forces de défense et de sécurité sont très sollicitées, le conseiller technique a engagé les acteurs à une participation active à ces journées pour un partage d’expériences pour une police plus forte, plus humaine et plus résiliente.

Selon le directeur général adjoint de la police nationale, Nabonswendé Sankara, l’idée est de promouvoir les meilleures pratiques en matière de santé préventive à travers des panels, des consultations médicales, psychologiques, ophtalmologiques.

Des séances de dépistage gratuit du diabète, de l’hypertension artérielle, des hépatites B et C, du VIH SIDA et des cancers du col de l’utérus et du sein sont également prévues, avec une attention particulière aux veuves et orphelins des héros tombés sur le champ d’honneur.

Les usagers des services de santé de la police nationale sont également concernés.

Le directeur de service de santé, David Daila a rassuré que la police compte au moins 14 psychologues cliniciens, experts dans la prévention des psycho-traumas et la prise en charge des traumatismes des forces de sécurité et de la population générale.

La 2e édition des 72 de la santé préventive se tient sur le thème «Psycho traumatisme dans un contexte du terrorisme : stratégie de prévention et de résilience».

Agence d’information du Burkina

YOS/bak/zo

Mouhoun/Réponse aux catastrophes humanitaires : Un exercice de simulation sur table tenu au profit des acteurs

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Mouhoun/Réponse aux catastrophes humanitaires : Un exercice de simulation sur table tenu au profit des acteurs

Dédougou, 18 juin 2025 (AIB)- Le gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga, a présidé, le mercredi 17 juin 2025, un exercice de simulation sur table du plan national multirisque de préparation et de réponse aux catastrophes et crise humanitaires au profit des acteurs clés impliqués dans la gestion des crises. Cette initiative est organisée par le SP/CONASUR avec le soutien financier du Projet HYDROMET.

L’exercice de simulation sur table du plan national multirisque de préparation et de réponse aux catastrophes et crise humanitaires visait principalement à renforcer la coordination entre les différentes parties prenantes, à clarifier les rôles et responsabilités et à tester l’efficacité des plans de réponse face à des scénarios prédéfinis.

Cette activité entre dans le cadre du Projet de renforcement de la résilience climatique au Burkina Faso (projet HYDROMET) qui a pour objectif de développer et d’améliorer les services hydrométéorologiques, climatiques et d’alerte précoce du pays et de les rendre plus accessibles aux secteurs et communautés visés.

La simulation a permis aux participants de se familiariser avec les procédures et d’améliorer leur réactivité en cas de crise.

L’événement a débuté par une introduction sur l’importance de la préparation face aux catastrophes naturelles et aux crises humanitaires.

Pour le gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga, le défi de réduire considérablement les effets des catastrophes et de faire de la réduction des risques de catastrophes une réalité.

Pour lui, une préparation pour une réponse appropriée n’a jamais été aussi urgent et impérieux pour les pays comme le nôtre, et ce, conformément aux orientations stratégiques du Cadre d’action de Sendai (2015-2030).

« C’est la raison pour laquelle le gouvernement, à travers le Conseil national de secours d’urgence et de réhabilitation (CONASUR), a initié depuis 2013, une planification anticipée des actions de préparation et de réponse aux urgences au Burkina Faso par le biais de l’élaboration des plans de contingence (national, régional, provincial et communal) », a-t-il expliqué.

Le gouverneur a souligné que le plan de contingence national qui sera simulé à Dédougou est un document qui se veut un outil de préparation, d’anticipation et de plaidoyer pour la mobilisation des ressources.

M. Bassinga, a ajouté également que le plan a pour objectif de fédérer les énergies de l’ensemble des acteurs en charge de la gestion des urgences dans l’optique d’une préparation optimale et d’une gestion efficace des chocs.

La première autorité régionale, a salué l’exercice de simulation qui est une bonne occasion pour les acteurs de mieux s’approprier le dispositif institutionnel.

« C’est aussi l’occasion pour chaque acteur de se faire une idée de la coordination des situations d’urgence, de mettre en exergue les forces, faiblesses, opportunités et vulnérabilités, dans le seul but de sauver des vies et d’atténuer les souffrances des populations vulnérables qui sont les plus exposées aux catastrophes et crises humanitaires », a-t-il dit.

De l’avis du Secrétaire permanent du Conseil national des secours d’urgence et de réhabilitation (SP/CONASUR), Soumaïla Zorome, le plan est un document important qui entre dans le dispositif national de prévention et de gestion de catastrophes au Burkina Faso.

« Il s’agit pour l’ensemble des acteurs nationaux de décliner sur une période de cinq ans les crises et les chocs susceptibles de survenir dans notre pays, faire une évaluation sur leur périodicité ainsi que les conséquences sur les populations et sur l’économie nationale » , a expliqué le SP/CONASUR.

Les participants, regroupés par secteurs d’intervention, ont été invités à discuter des actions à entreprendre dans chaque scénario.

Les échanges ont permis de mettre en lumière les forces et les faiblesses des dispositifs actuels, tout en soulignant l’importance d’une communication fluide entre les différents acteurs, identifier des lacunes dans les protocoles existants et proposer des améliorations concrètes.

Des recommandations ont émergé, notamment la nécessité de renforcer la formation continue des intervenants et d’améliorer les infrastructures de communication.

En outre, l’engagement des autorités locales et des organisations non gouvernementales a été salué comme un élément clé pour une gestion efficace des crises.

Après la simulation sur table, les activités reprendront le jeudi 19 juin 2025 avec une simulation sur le terrain en présence des membres du gouvernement et des gouverneurs de région.

Agence d’information du Burkina
SB/hb/ar

Nayala : Environ 3 000 enfants mobilisés à la Journée Internationale de l’Enfant Africain

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Nayala : Environ 3 000 enfants mobilisés à la Journée Internationale de l’Enfant Africain

Toma, 16 juin 2025 (AIB) – Près de 3 000 enfants issus de 14 Centres de Développement pour Enfants (CDE) ont pris part à la célébration de la Journée Internationale de l’Enfant Africain dans la province du Nayala. Organisée par le Cluster Toma-Yaba, cette commémoration de deux jours a mis en lumière les enjeux cruciaux liés à la protection des enfants.

Les porte-paroles des enfants, Dala Déogracias et Kam Sié Régistre, ont rappelé l’origine historique de cette journée qui a été consacrée en mémoire des enfants de Soweto en 1976. Ils ont ailleurs dénoncé des fléaux comme le travail des enfants, des mariages précoces et des violences. Ils ont formulé des recommandations pour une meilleure protection et des actions éducatives renforcées.

Le 16 juin, un cross a réuni les enfants, accompagnés de pasteurs et d’animateurs, qui ont défilé dans les rues de Toma en brandissant des pancartes revendiquant leurs droits. Une pause symbolique devant le Haut-commissariat a permis au pasteur Sow Mathieu de saluer l’engagement des autorités locales.

A l’ouverture du forum le 14 juin 2025, les acteurs ont tous renouvelé la nécessité de renforcer les mécanismes de protection de l’Enfant.
Le Haut-Commissaire, Honoré Frédéric Paré, a réaffirmé son engagement à défendre les droits des enfants et annoncé des campagnes de sensibilisation ciblées, notamment contre les grossesses en milieu scolaire.

La journée s’est achevée par un match de football symbolisant l’esprit de fraternité et d’espoir pour la jeunesse du Nayala.

Agence d’Information du Burkina
TAK/MZ/yos

Gourma/CEP 2025 : « La province de la Tapoa occupe la 1ère place régionale», DR

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Gourma/CEP 2025 : « La province de la Tapoa occupe la 1ère place régionale», DR

Fada N’Gourma, 18 juin 2025 (AIB)-La région de l’Est a enregistré un taux de réussite au Certificat d’études primaires (CEP) de la session de 2025, de 92,25%. Selon le directeur régional en charge de l’Education primaire de l’Est, Yentéma David Thiombiano, sur les 5 provinces que compte la région, la Tapoa occupe la première place.

Pour la session de 2025, la région de l’Est a enregistré 9 879 admis dont 4 624 garçons et 5 255 filles soit un taux de succès de 92,25% au Certificat d’études primaires (CEP) de la session de 2025.

Le directeur régional en charge de l’Education primaire de l’Est, Yentéma David Thiombiano, a indiqué que la région de l’Est a surpassé son propre record de la session de 2024 qui était de 84, 15%.
Il a précisé que la province de la Tapoa occupe la 1ère place régionale sur les 5 que compte la région, avec 754 candidats admis sur 779 soit un taux de succès de 96,79%.

M. Thiombiano a encouragé tous les acteurs pour la résilience, le sens patriotique et le sens élevé du devoir dont ils ont fait preuve au cours de cet examen scolaire.

Agence d’information du Burkina
KAC/hb/ar

CCP/Sanguié : Talari Ouoba salue les bons résultats au BEPC et au CEP session de 2025

CCP/Sanguié : Talari Ouoba salue les bons résultats au BEPC et au CEP session de 2025

Réo, 17 juin 2025 (AIB) – Le haut-commissaire de la province du Sanguié Talari Germaine Ouoba a salué mardi, les bons résultats au BEPC et au CEP session de 2025 de la province lors du Cadre de concertation provincial (CCP) tenu dans les locaux du haut-commissariat de Réo, a constaté l’AIB.

Madame Ouoba a profité de la tribune pour féliciter l’ensemble des membres statutaires pour leur engagement et la qualité du travail accompli dans leurs services respectifs. Une mention spéciale a été faite aux acteurs de l’éducation pour les excellents résultats obtenus au Certificat d’études primaires (CEP) et au Brevet d’études du premier Cycle (BEPC).

Présidée par le Haut-Commissaire de la province, Talari Germaine Ouoba, cette rencontre a réuni les membres statutaires et divers acteurs du développement local, marquant une reprise des activités après une période de contraintes budgétaires.

Cette fois-ci, l’agenda de cette session comprenait plusieurs points clés : une présentation des projets conduits par le SPONG et ASMADE, suivie d’un plaidoyer ; une présentation sur la mise en œuvre de l’offensive agro-pastorale et halieutique pour la campagne humide 2025 dans la province, également suivie d’un plaidoyer ; et enfin une présentation sur l’organisation de la campagne de reforestation édition 2025, avec des plaidoyers.

Dans son discours d’ouverture, le Haut-commissaire a exprimé sa joie de procéder à l’ouverture de cette session, soulignant l’importance du dialogue et de la synergie d’actions pour le développement des collectivités territoriales.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, elle a tenu à remercier toutes les autorités coutumières et religieuses, les organisations de la société civile, ainsi que les filles et fils de la province pour leur accompagnement quotidien dans l’accomplissement des missions administratives.

« Grâce à leur professionnalisme, le travail acharné et les multiples sacrifices consentis par les acteurs de l’éducation, notre province a obtenu des performances très satisfaisantes, » a-t-elle déclaré. Puis les a encouragés à maintenir le cap, voire à faire mieux, au prochain examen du Baccalauréat.

Conformément aux objectifs assignés aux cadres de concertation, « le CCP du Sanguié est spécifiquement chargé d’assurer la cohérence des projets, de servir de cadre d’information et de formation, d’évaluer les possibilités de mobilisation des ressources techniques, d’harmoniser les approches d’intervention, de collecter et diffuser les données pour la prise de décision, et de capitaliser les expériences pour la promotion du développement local », a rappelé le haut-commissaire.

La session coïncidant avec le début de la saison pluvieuse, Mme Ouoba a adressé ses encouragements aux producteurs et acteurs du monde rural, leur souhaitant une « campagne agricole humide réussie ». Elle a formulé le vœu que cette saison apporte à la province et au pays une bonne pluviométrie, d’excellentes récoltes et une sécurité alimentaire, contribuant ainsi à atteindre les objectifs de l’offensive agro-pastorale lancée par les plus hautes autorités du pays.

La session s’est conclue par des informations d’intérêt et des points divers.

Dans ses mots de clôture, Mme Ouoba a imploré la « providence divine et les mânes de nos ancêtres » d’accompagner les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) dans leur mission de reconquête de l’intégrité du territoire national.
Agence d’information du Burkina
FGB/PB/AS/ATA

Kourittenga/CEP 2025 : Le directeur provincial en charge de l’Education primaire satisfait des résultats

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Kourittenga/CEP 2025 : Le directeur provincial en charge de l’Education primaire satisfait des résultats

Koupéla, 17 juin 2025 (AIB)- Le directeur provincial de l’Education préscolaire, primaire et non formelle du Kourittenga, Ouboli Marcel Yogo, a jugé, le lundi 17 juin 2025, satisfaisants les résultats du Certificat d’études primaires (CEP) et de l’entrée en sixième, session de 2025, dans les 11 Circonscriptions d’éducation de base (CEB) de la province.

Sur un total de 8 345 candidats présentés, excepté les candidats libres dans la province du Kourittenga, 7 927 candidats dont 4 422 filles et 3 505 garçons, ont été déclarés admis aux examens du CEP, session 2025, soit un taux de succès de 94,99%.

Des 11 CEB de la province, celle de Yargo est sortie 1ère avec 98,96%, suivie de Koupéla II avec 98,61%, Pouytenga I avec 98,27%, Andemtenga avec 97,92%, Baskouré avec 97,16%, Pouytenga II avec 96,86%, Dialgaye 96,18%, Koupéla I 95,72%, Kando 93,49% Tensobtenga 90,07% et celle de Gounghin avec 85,26%.

Selon le directeur provincial en charge de l’Education primaire du Kourittenga, Ouboli Marcel Yogo, les résultats sont satisfaisants.

« Nous plaçons cet acquis à l’actif de tous les acteurs de l’éducation du Kourittenga, les Forces de défense et décurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) », a-t-il confié.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/ar

Burkina : Le Président Traoré invite les Forces combattantes à rester en alerte permanente

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Burkina : Le Président Traoré invite les Forces combattantes à rester en alerte permanente

Ouagadougou, 17 juin 2025 (AIB)-Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a invité, le dimanche 15 juin 2025, les Forces combattantes de rester toujours alerte permanente, car selon lui, elles peuvent être à tout moment en opération.
« Je vous demande de vous préparer.

Même, si vous n’êtes pas en opération, il faut rester en état d’alerte », a indiqué le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, aux Forces combattantes de la région du Centre-Sud au camp Thomas Sankara.
Le capitaine Traoré a soutenu qu’elles doivent se préparer au combat car la guerre ne doit pas durer.

Agence d’information du Burkina
HB/ata

Burkina/Terrorisme : Le Président du Faso invite les combattants à s’inspirer du sens de l’hymne national

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Burkina/Terrorisme : Le Président du Faso invite les combattants à s’inspirer du sens de l’hymne national

Ouagadougou, 17 juin 2025 (AIB)-Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a invité les Forces combattantes à rester engagés sur les fronts de bataille tout en s’inspirant du sens de l’hymne national du Burkina Faso, le Ditanyè.

« Pour protéger cette terre que nous ont léguée nos ancêtres. Les devanciers nous ont écrit l’hymne. Et je pense que quand vous écoutez l’hymne du Burkina ça commence par contre la férule humiliante… », a soutenu le Président Traoré.

Selon lui, les ancêtres se sont opposés à plusieurs formes de colonisation.
« Le Burkina est contre toute humiliation. Nous sommes contre toute forme de domination », a-t-il indiqué.

Le Président Ibrahim Traoré a précisé que le pays est contre le néocolonialisme et le devoir des Burkinabè est de défendre leurs terres pour les léguer à leurs enfants.

Agence d’information du Burkina
HB/ata

RENCONTRE DU PRÉSIDENT DU FASO AVEC LES FORCES COMBATTANTES DU CENTRE-SUD

RENCONTRE DU PRÉSIDENT DU FASO AVEC LES FORCES COMBATTANTES DU CENTRE-SUD

« Le Burkinabè ne négociera pas avec son ennemi…Nous ne lâcherons rien, absolument rien ! »

(Ouagadougou, 16 juin 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a rencontré les Forces combattantes de la région du Centre-Sud, le dimanche 15 juin dernier au Centre national d’entrainement commando (CNEC) à Pô, en marge de la sortie de la 24e promotion des élèves-officiers d’active de l’Académie militaire Georges-NAMOANO.

Le Président du Faso les a félicitées pour le travail abattu et encouragées à intensifier le combat. «Certes vous avez pu faire reculer l’ennemi qui avait tenté de s’implanter ici, mais je souhaite que vous continuiez à patrouiller dans ces forêts et vous assurer qu’il n’y ait pas cette velléité de retour », indique le Chef de l’État.

Comprendre le sens de l’engagement

Le Président du Faso appelle chaque soldat à une introspection et à méditer sur son engagement. Les impérialistes qui nous ont imposé cette guerre veulent nos terres sans nous, rappelle le Président du Faso. Faisant allusion au combat mené par les devanciers pour un Burkina libre, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ soutient : « Notre devoir c’est de nous battre et défendre nos terres pour les léguer à nos enfants ».

Des consignes pour le front

Il a ainsi donné des consignes et des orientations aux combattants, afin de faire d’eux des combattants plus aguerris. « Vous êtes très courageux (…), mais souvent, il y a de ces attitudes qui viennent vous causer des pertes inutiles, notamment l’utilisation du téléphone portable », insiste le Chef de l’État. Il a mis en garde contre l’utilisation du téléphone qui impacte négativement la concentration et l’état d’alerte sur le théâtre des opérations.

Le Capitaine Ibrahim TRAORÉ appelle enfin les Forces de défense et de sécurité à être des modèles et à faire corps avec la population dans la dynamique de la cohésion sociale pour une victoire rapide.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Burkina/SITHO 2025 : Plus de 10 000 visiteurs attendus

 

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Burkina/SITHO 2025 : Plus de 10 000 visiteurs attendus

Ouagadougou, 18 juin 2025 (AIB)-Le président du comité national d’organisation du de la 15e édition du Salon international du tourisme et de l’hôtellerie de Ouagadougou (SITHO), Bètamou Fidèle Aymar Tamini, a lancé mercredi au cours d’une conférence de presse, les préparatifs de l’événement prévue du 25 au 28 septembre 2025 et où plus de 10 000 visiteurs sont attendus.

Selon Tamini, plus de 10 000 visiteurs sont attendus, avec la participation d’une vingtaine d’organes de presse, de tours opérateurs et de délégations provenant d’au moins 10 pays africains. L’évènement se déroulera au parc d’exposition du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO).

Placée sous le thème « Tourisme et intégration des peuples du Sahel », cette édition vise à promouvoir la destination Burkina Faso et à renforcer la coopération régionale. Le Niger et le Mali seront les pays invités spéciaux, tandis que la région du Centre-Est sera mise à l’honneur.

Parmi les innovations annoncées, figurent des visites virtuelles en 3D, un hackathon « tourism tech », ainsi qu’un pitch de projets touristiques. Des activités telles que des expositions, des rencontres B2B, des concours culinaires, des soirées culturelles et des excursions grand public rythmeront le salon.

Le SITHO 2025 s’impose comme une plateforme stratégique pour valoriser le potentiel touristique du Burkina Faso, stimuler les partenariats et renforcer l’intégration régionale, a-t-il souligné.
Agence d’information du Burkina
OS/ZAF/AS/ATA

Coopération : Vivant au Maroc depuis 31 ans, Issa Bamogo conseille aux nouveaux venus de se mettre en règle vis-à-vis de la loi marocaine

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Coopération : Vivant au Maroc depuis 31 ans, Issa Bamogo conseille aux nouveaux venus de se mettre en règle vis-à-vis de la loi marocaine

 Rabat, 15 juin 2025 (AIB) – Le délégué du Haut Conseil des Burkinabè de l’extérieur, Issa Bamogo, vit au Maroc depuis 1994. Fort de sa riche expérience de 31 ans dans le Royaume, il conseille aux étudiants venus s’y former de se mettre en règle vis-à-vis de la législation marocaine.

« Mon premier message s’adresse aux jeunes Burkinabè arrivant au Maroc, surtout dans le cadre des études. Chacun doit tout faire pour être en règle vis-à-vis de la loi marocaine, notamment se faire établir une carte de séjour », a recommandé Issa Bamogo au micro de l’AIB.

Jeune employé d’une société marocaine de machines à coudre basée à Abidjan (Côte d’Ivoire) dans les années 1990, Issa Bamogo a été affecté au Maroc en 1994. Il y a travaillé jusqu’à sa retraite et est depuis lors délégué du Haut Conseil des Burkinabè de l’extérieur dans le Royaume, toujours dans le respect des lois locales.

Fort de son expérience, il recommande aux étudiants et aux travailleurs burkinabè dans le pays de ne pas se contenter du laissez-passer (valable trois mois) pour circuler, car cela « finit toujours par rattraper ».

« Le moment viendra où, muni de votre diplôme obtenu au Maroc, vous aurez besoin d’un casier judiciaire pour trouver un emploi. Vous ne pourrez pas l’obtenir si vous n’avez pas de carte de séjour, et votre diplôme pourra être perçu comme faux par un employeur potentiel », a-t-il expliqué.

La grande majorité des étudiants africains et burkinabè viennent au Maroc grâce à des bourses octroyées par le gouvernement marocain, à travers l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), pour des formations professionnalisantes.

Selon les chiffres du ministère marocain de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, sur 23 411 étudiants étrangers inscrits au Maroc en 2021, 19 256 étaient d’origine africaine, soit près de 83 %, tous établissements confondus (publics et privés).

Au cours de l’année universitaire 2022/2023, le Gabon comptait le plus grand nombre d’étudiants au Maroc (2 914), devant le Mali (1 985) et la Côte d’Ivoire (1 538), le Burkina Faso arrivant à la 9ᵉ position avec 867 étudiants.

En parallèle, des étudiants burkinabè arrivent de manière privée au Maroc. Certains choisissent des écoles privées depuis le Burkina Faso et paient en ligne leurs frais d’inscription et de formation, sans se renseigner suffisamment.

« Ils arrivent au Maroc et découvrent que ces écoles ne sont pas homologuées, ne sont pas reconnues par l’État marocain, ou même qu’elles sont fermées », a regretté Issa Bamogo.

Ce genre de problème, récurrent selon lui, est difficile à gérer :

« C’est un cas que le Haut Conseil des Burkinabè de l’extérieur a du mal à défendre », a-t-il souligné, tout en invitant ces étudiants à bien se renseigner avant de s’engager.

Un troisième cas concerne les Burkinabè qui prennent le Maroc comme pays de transit, dans l’espoir de rejoindre l’Europe via Tanger (au nord du Royaume), située à environ 15 kilomètres des côtes européennes.

« Ils arrivent au Maroc, vivent dans les forêts, sur les plages, ou en périphérie des villes, et, sur les conseils de personnes indélicates qui leur ont soutiré de l’argent, tentent la traversée », relate le délégué.

À ces derniers, dont plusieurs ont été recueillis par le Haut Conseil, Issa Bamogo lance un message clair : « Vous ne pouvez pas traverser, c’est un mensonge. Ce n’est pas vrai.»

Le délégué a salué l’excellence des relations entre le Royaume du Maroc et le Burkina Faso, qui ont permis à des Burkinabè, une fois leur formation terminée, de s’insérer dans le tissu social marocain.

« Beaucoup d’étudiants burkinabè sont restés ici pour travailler après leurs études, recrutés par des entreprises marocaines. Les Burkinabè figurent parmi les meilleurs dans les écoles de formation. Il y a aussi des étudiants burkinabè qui repartent au pays pour y travailler au service d’entreprises marocaines », a-t-il souligné.

Technicien de formation, Issa Bamogo réside au Maroc depuis le 2 mars 1994. Depuis son départ à la retraite, il consacre son temps à l’organisation et à l’encadrement des Burkinabè arrivant dans le Royaume, que ce soit pour les études ou pour d’autres raisons. En 31 ans de cohabitation avec les Marocains, il dit avoir trouvé en eux « des frères » et décrit le peuple marocain comme « sympathique ».

Le Haut Conseil des Burkinabè de l’extérieur a été créé en juin 2024 par décret présidentiel. Sa mission est de mieux mobiliser les Burkinabè vivant hors du pays afin de favoriser leur participation effective à la vie nationale. Il remplace le Conseil supérieur des Burkinabè de l’étranger (CSBE), en place depuis 1993.

Au Maroc, deux délégués représentent le Haut Conseil : Issa Bamogo, qui coordonne les actions à partir de Casablanca pour le nord du pays, et Dr Anselme Poda, basé à Marrakech, qui s’occupe du sud du Royaume.

Agence d’information du Burkina

 WUROTÈDA Ibrahima SANOU

Correspondant de l’AIB à Rabat

Nayala: Le Gouverneur de la Boucle du Mouhoun promet un soutien aux populations déplacées internes de Gorgaré 

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Nayala: Le Gouverneur de la Boucle du Mouhoun promet un soutien aux populations déplacées internes de Gorgaré

Toma, 13 juin 2025 (AIB)- Le gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, Babou Pierre Bassinga a visité vendredi les personnes déplacées internes (PDI) du village de Gorgaré, dans la commune de Kiembara, province du Sourou, en leur promettant des conditions de vie dignes et un soutien pour leur retour sur leurs terres d’origine.

Plus de 1 500 personnes soit environ 200 ménages ont quitté le village de Gorgaré dans la commune de Kiembara, pour trouver refuse à Toma dans la province du Nayala.

Le gouverneur de la Boucle du Mouhoun, Babou Pierre Bassinga en compagnie des autorités provinciales du Nayala, a rencontré ces personnes déplacées internes à Toma en leur promettant des conditions de vie dignes et un soutien pour permettre leur retour dans leurs villages d’origines.

Les deux sites, le Centre de lecture et d’animation culturelle et la salle polyvalente de Toma abritant les populations déplacées de Gorgaré semblent tous inappropriés avec le début de la saison des pluies.

Le gouverneur est allé constater la viabilité du stade le Gnadôrô de Toma afin d’y loger ces déplacés internes.

Sur place, M.Bassinga a instruit le président de la délégation spéciale de la commune de Toma, Zackaria Sawadogo de réhabiliter ou de construire des latrines dans les semaines qui suivent.

Le premier responsable de la région de la Boucle du Mouhoun a aussi exprimé la volonté du gouvernement de faciliter la réintégration de ces populations déplacées et d’assurer leur sécurité, notamment pour les élèves en classe de terminale.

Agence d’information du Burkina

TAK/bak/ata

Sourou/Résultats définitifs du BEPC 2025 : La province occupe la première place au plan régional

BURKINA-SOUROU-BEPC-RESULTATS-DÉFINITIFS

Sourou/Résultats définitifs du BEPC 2025 : La province occupe la première place au plan régional

Tougan, 16 juin 2025 (AIB) – La province du Sourou a occupé le samedi 14 juin 2025, la première place au plan régional, à l’issue de la proclamation des résultats définitifs de l’examen du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session 2025.

Les résultats définitifs du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) ont été proclamés le samedi 14 juin 2025 à Tougan dans la province du Sourou.
571 élèves dont 259 garçons et 312 filles ont obtenu leurs diplômes du secondaire sur 1 155 candidats présentés. Ce qui donne un taux de succès de 49,96% pour la province.

Avec ce taux, la province du Sourou occupe le premier rang dans la région de la Boucle du Mouhoun qui compte 6 provinces.
Pour le directeur provincial de l’enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique du Sourou, Joseph Karambiri, ce résultat est un symbole de résilience de tous les acteurs de l’éducation .

« Ce taux montre la détermination de tous les acteurs de l’éducation du Sourou malgré les défis auxquels ils font face. Ce résultat est le fruit de leurs efforts et ceux des élèves. Je félicite tout le monde et les exhorte à continuer sur cette lancé », a-t-il dit.

M. Karambiri a remercié l’ensemble des forces combattantes de la province qui ont accompagné l’examen du BEPC pour l’atteinte de ces résultats.

Il convient de noter que la province du Sourou a occupé successivement trois fois, la première place au BEPC au plan régional.

Agence d’Information du Burkina
SS/NO/ATA

Kampti : Des orpailleurs clandestins interpellés et réorientés vers des travaux d’intérêt public

Kampti : Des orpailleurs clandestins interpellés et réorientés vers des travaux d’intérêt public
Kampti, 14 juin 2025 (AIB) – La police nationale de Kampti a interpellé un groupe d’orpailleurs clandestins qui avaient creusé sous le bitume d’une voie publique à 3 km de la ville, plus précisément à Yolonhira, dans la province du Poni. L’intervention, survenue dans la nuit du 12 juin vers 22 h, fait suite à une alerte donnée par des riverains.
Conduite par le commissaire de police Ernest K. Sawadogo, l’opération s’est déroulée sans incident et a permis l’interpellation de plusieurs individus. En plus des arrestations, 24 motos et du matériel d’orpaillage (pelles, pioches, etc.) ont été saisis.
Les dégâts causés par ces activités illégales menaçaient non seulement l’intégrité des infrastructures routières, mais aussi la sécurité des usagers. Une situation préoccupante à laquelle les forces de l’ordre ont rapidement réagi.
Plutôt que de s’en tenir à des sanctions classiques, les autorités locales ont adopté une approche plus constructive. Conformément aux orientations du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, en matière de responsabilisation citoyenne, les personnes interpellées ont été réorientées vers des travaux d’intérêt public (TIP).
Cette « première promotion », composée de 30 membres, est désormais mobilisée dans le village de Yolonhira dans le cadre du programme national des TIP, qui vise à promouvoir la réinsertion sociale et la contribution de chacun à l’effort de reconstruction nationale.
Le préfet et président de la délégation spéciale de Kampti, Massaïba Aimé Soulama, accompagné du vice-président de la délégation spéciale et du commandant de la police municipale, a salué l’efficacité de l’intervention policière, tout en rappelant que toute atteinte au domaine public ou exploitation illégale sera sanctionnée.
Il a également insisté sur la nécessité de privilégier des alternatives éducatives et réparatrices, dans un esprit de cohésion et de justice sociale.
Pour Hamado Sawadogo, Drissa Millogo et Sié Kambiré, ces travaux d’intérêt public ne sont pas perçus comme une sanction, mais comme un acte patriotique. Les interpellés disent prendre conscience de la gravité de leurs actes et s’engagent à sensibiliser les autres orpailleurs.
Les autorités locales appellent les populations à la vigilance et à la collaboration pour préserver les infrastructures publiques et garantir la paix sociale.
Agence d’information du Burkina

Burkina/Lutte contre le terrorisme :«On se bat parce qu’on nous a agressés», capitaine Traoré

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Burkina/Lutte contre le terrorisme :«On se bat parce qu’on nous a agressés», capitaine Traoré

Ouagadougou, 18 juin 2025(AIB)- Le président du Faso le capitaine Ibrahim Traoré a affirmé hier mercredi la légitimité du combat que mène son pays dans la lutte contre le terrorisme.

«On ne se bat pas parce qu’on veut se battre. On se bat parce qu’on nous a agressés», a déclaré le chef de l’État burkinabè lors de passage à Pô dans la région du Centre-Sud, abritant un centre d’entrainement commando.

Selon le capitaine Traoré, le terrorisme est un guerre de recolonisation de l’Afrique pour s’accaparer des terres riches du continent.

«Je pense que tout le monde doit le comprendre. Parce qu’on veut de nos terres sans nous», a renchéri le président Traoré.

Il a indiqué que le combattant qui est à la première ligne de cette guerre imposée doit comprendre les objectifs de l’agresseur et s’engager davantage pour protéger les terres léguées par les devanciers.

Agence d’information du Burkina

YOS/ata

Kourittenga : Des promoteurs des unités d’eau sensibilisés sur le respect de la règlementation

BURKINA-KOURITTENGA-MISSION-SENSIBILISATION-POLICE DE L’EAU

Kourittenga : Des promoteurs des unités d’eau sensibilisés sur le respect de la règlementation

Koupéla, 17 juin 2025 (AIB)- Le service de la Police de l’eau du Centre-Est, avec l’Agence de l’eau du Nakambé (AEN) et les autorités provinciales et communales, a procédé, ce mardi 17 juin 2025, au contrôle et à la sensibilisation des promoteurs des unités d’eau préemballées, de poste d’eau autonome, des exploitants des berges, sur le respect de la règlementation en vigueur dans les villes de Koupéla et Pouytenga.

Lors de cette tournée tenue le mardi 17 juin 2025, de la Police de l’eau du Centre-Est, dans les villes de Koupéla et Pouytenga, les différents promoteurs des unités de production d’eau préemballées et les exploitants des berges, ont salué cette visite.

Pour eux, cette sortie va permettre à toute personne exerçant cette activité à se conformer aux textes en vigueur pour le bonheur de toutes les populations.
Des postes d’eau autonome ont vu leurs activités suspendues pour de non-respect des règlements en vigueurs.

Le chef de service régional de la Police de l’eau, Ezéchias Ouédraogo, a encouragé les promoteurs des unités d’eau préemballées et de poste d’eau autonome à toujours rester conformes aux règlements en vigueur.

« Nous invitons l’ensemble des acteurs du domaine, que ce soit les exploitants des berges, les promoteurs des unités d’eau préemballées et ceux de poste d’eau autonome à suivre les instructions des autorités et se conformer vis-à-vis des règlements en vigueur en la matière afin d’éviter d’éventuels désagréments », a-t-il laissé entendre.

Il a déclaré être satisfait de la tendance évolutive des unités d’eau préemballées à aller vers la conformité ».

Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a invité les acteurs au strict respect des règlements qui va du soutien de la vision du gouvernement qui œuvre pour le bien-être des populations.

Agence d’information du Burkina
AWS/hb/ar

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🎓 𝟏8ᵉ 𝐒𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 – 𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐮̂𝐫𝐞𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐏𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐏𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐇𝐮𝐦𝐚𝐧𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬

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Le Burkina Faso participe au 28e Forum économique international de Saint-Pétersbourg en Russie

Burkina-Russie-Affaires

Le Burkina Faso participe au 28e Forum économique international de Saint-Pétersbourg en Russie

Moscou, 17 juin 2025 (AIB) – Une délégation burkinabè, conduite par le ministre de l’Énergie, des Mines et des Carrières, Yacouba Zabré Gouba, accompagnée du conseiller spécial du Président du Faso, Nicolas Kagambèga, et d’acteurs clés du secteur de l’énergie, est en partance pour le 28e Forum économique international de Saint-Pétersbourg, prévu du 18 au 25 juin, a constaté l’AIB sur place à Moscou.

La délégation du Burkina Faso comprend, entre autres, le directeur général de l’Énergie, Alidou Koutou, et le président du conseil d’administration de la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL), Dramane Bitibaly.

En marge du Forum, le ministre Gouba et sa délégation s’entretiendront avec des autorités russes en charge de l’énergie, notamment le ministre de la Fédération de Russie en charge de l’Énergie, ainsi que les responsables du secteur de l’énergie nucléaire, en particulier le directeur général de Rosatom, et éventuellement le patron de Gazprom.

Le Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF) est un grand événement mondial dans le domaine de l’économie et des affaires, et constitue une plateforme d’échanges de premier plan pour les pays émergents et les pays en développement.

Les travaux du Forum se dérouleront en séances plénières, avec l’intervention d’éminents spécialistes, experts et scientifiques, ainsi que par le biais de négociations et de réunions bilatérales, de tables rondes, etc.

Lors de l’édition 2024, le SPIEF avait enregistré la participation de 134 pays et la signature d’accords d’un montant global de 6 492 milliards de roubles, à l’exception des montants couverts par le secret commercial.

Agence d’Information du Burkina (AIB)
CK/ata

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