Accueil Blog Page 258

Ganzourgou : Le Haut-Commissaire à l’écoute des populations de Zoungou

Ganzourgou : Le Haut-Commissaire à l’écoute des populations de Zoungou

Zorgho (AIB) – Le Haut-Commissaire de la province du Ganzourgou, Mme Aminata Sorgho/Gouba, a tenu une rencontre d’échanges avec les forces vives de la commune de Zoungou (25 km au nord-est de Zorgho) le 6 août 2024. La rencontre a eu lieu dans la salle de réunions de la mairie, à l’issue de la traditionnelle cérémonie de montée des couleurs.

Cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre d’une tournée de proximité, a permis un dialogue direct et franc entre la première responsable administrative de la province et les populations représentées par les leaders des organisations de jeunesse, de femmes, les chefs de services départementaux, ainsi que les autorités coutumières et religieuses.

Pour le Haut-Commissaire, l’objectif de cette rencontre était de recueillir les préoccupations des citoyens, d’apporter des réponses immédiates dans la mesure du possible, et de transmettre les autres doléances aux autorités compétentes.

Le Médecin-Chef du district sanitaire (MCD) de Zorgho, Dr Delphin Kaboré, a saisi l’occasion pour sensibiliser l’assistance sur les risques liés au paludisme, à la dengue, et aux hépatites.

Ses explications détaillées, appuyées par des chiffres concrets, ont permis de mieux appréhender l’ampleur de ces problèmes de santé publique.

Il a invité les populations à se protéger contre les piqûres de moustiques, à veiller à la prise des médicaments distribués lors des campagnes de chimio-prévention du paludisme saisonnier, et à assainir leur cadre de vie.

Les échanges ont ensuite porté sur les préoccupations quotidiennes des populations. L’état des infrastructures routières, l’accès aux soins, l’hygiène et l’assainissement, la prolifération du moustique tigre qui transmet la dengue, et la vaccination contre l’hépatite B ont été, entre autres, les questions abordées.

Face à ces sollicitations, le Haut-Commissaire a assuré les populations de sa détermination à œuvrer pour l’amélioration de leurs conditions de vie.

Elle a pris note de toutes les préoccupations exprimées et s’est engagée à rendre compte à qui de droit pour des réponses appropriées. Elle a toutefois invité les populations à une plus grande participation communautaire dans les actions de développement.

Cette rencontre a été saluée par les participants qui y ont vu une preuve de la volonté des autorités de se rapprocher des populations.

Elle a également permis de renforcer le sentiment d’appartenance à une communauté et de susciter un esprit de responsabilité collective.
Agence d’information du Burkina
Moïse SAMANDOULGOU

Ganzourgou : Les VDP de Zoungou livrent leurs préoccupations au Haut-commissaire

Ganzourgou : Les VDP de Zoungou livrent leurs préoccupations au Haut-commissaire

Zorgho, 8 août 2024 (AIB) – Le Haut-commissaire de la province du Ganzourgou, Mme Aminata Sorgho/Gouba, a rencontré les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de la commune de Zoungou, le mardi 6 août 2024. L’objectif de cette rencontre, tenue dans la salle de réunions de la mairie, était d’encourager les VDP et de recueillir leurs préoccupations afin d’y apporter des réponses appropriées.

Les échanges ont essentiellement porté sur les difficultés rencontrées par les VDP sur le terrain ainsi que sur les moyens de renforcer leur efficacité.

Les VDP se sont réjouis de la tenue de cette rencontre. Ils ont remercié le Haut-commissaire pour l’initiative, ainsi que leur coordonnatrice provinciale, Mme Bintou Ouédraogo/Ouédraogo, par ailleurs Directrice provinciale de la police nationale, pour son dévouement à leur encadrement.

Ils ont salué les efforts du gouvernement pour leur équipement, tout en soulignant la nécessité de renforcer ces efforts. Ils ont également exprimé le souhait d’un accompagnement accru pour répondre à leurs besoins sociaux.

Le Haut-commissaire de la province du Ganzourgou, Mme Aminata Sorgho/Gouba, a alors encouragé les VDP à poursuivre leurs actions salutaires. Elle les a remerciés pour leur engagement et leur a assuré le soutien des autorités.

Elle a promis de transmettre leurs préoccupations aux autorités compétentes, tout en demandant aux populations de continuer à soutenir l’effort de paix, afin que certaines préoccupations puissent trouver des solutions endogènes.

Cette rencontre, longtemps attendue par les VDP, s’est tenue en marge de la cérémonie de montée des couleurs organisée dans cette localité.

Elle intervient dans un contexte marqué par la détermination du gouvernement burkinabè à vaincre le terrorisme dans le pays.

Elle a permis de renforcer le dialogue entre les autorités administratives et ces acteurs engagés dans la lutte contre le terrorisme.
Agence d’information du Burkina
Moïse SAMANDOULGOU

Burkina : Le ministre en charge de l’urbanisme affiche un taux d’exécution de 65,55 % des objectifs assignés à son département

Burkina : Le ministre en charge de l’urbanisme affiche un taux d’exécution de 65,55 % des objectifs assignés à son département

Ouagadougou, 8 août 2024 (AIB) – Le ministre en charge de l’urbanisme, Mikailou Sidibé, a adressé ses félicitations aux travailleurs de son département, dont l’abnégation a permis d’atteindre un taux de 65,55 % d’exécution des contrats d’objectifs assignés à son ministère au premier semestre 2024.

« Nous avions au total 33 activités au titre de cette année 2024. Nous venons donc de faire le bilan devant le Premier ministre. Et, en termes de mise en œuvre des activités au 30 juin 2024, nous sommes à un taux d’exécution de 65,55 % », a indiqué le ministre en charge de l’urbanisme, Mikailou Sidibé.

Le ministre s’exprimait jeudi à Ouagadougou à l’occasion de la séance d’évaluation semestrielle des contrats d’objectifs des différents ministres.

Pour M. Sidibé, ce bilan est à mettre à l’actif des travailleurs du ministère, auxquels il a adressé « ses vives félicitations ».

Il les a également exhortés à maintenir la dynamique « pour qu’au bilan final, nous puissions avoir un taux d’exécution tout aussi satisfaisant ».

Selon lui, les objectifs assignés à son département ministériel concernent, entre autres, la planification pour une meilleure gouvernance urbaine, l’aménagement et l’assainissement des eaux pluviales, la production de logements et le contrôle des normes d’aménagement.

Le ministre a précisé que les activités réalisées portent sur des « dossiers emblématiques », notamment l’apurement du passif urbain avec l’adoption de la loi portant promotion immobilière au Burkina Faso.

« Nous avons pu traiter ce dossier et produire un rapport à l’attention du Conseil des ministres, qui a adopté une première phase de régularisation de ce passif », a-t-il confié.

Il a ajouté que le travail se poursuit avec les autres cas. Le ministre a également rassuré que le passif foncier, de manière générale, est pris en compte dans les activités du ministère.

De son avis, son département a en outre lancé un certain nombre de programmes pour la production de logements.

Selon lui, des travaux ont été lancés dans la région du Plateau Central pour la réalisation de logements destinés à accueillir les personnes déplacées internes et les personnes vulnérables, ainsi qu’un autre projet concernant la diaspora.
Agence d’information du Burkina

Un pont mobile en construction à Badara

Burkina-Infrastructure-Pont

Un pont mobile en construction à Badara

Ouagadougou, 08 août 2024 (AIB) – Un pont mobile se met en place à Badara, à Bama (Houet), en remplacement du pont endommagé le 28 juillet dernier à la suite d’une forte pluie, rapporte le ministère des Infrastructures.

«Depuis vendredi dernier (2 août ndlr), c’est la course contre la montre pour le montage du pont mobile de Badara, un village de la commune de Bama», peut-on lire sur la page facebook du ministère des Infrastructures.

Agence d’Information du Burkina

Championnat national de VIÊT VÙ DAO : Une trentaine d’athlètes en compétition

Championnat national de VIÊT VÙ DAO : Une trentaine d’athlètes en compétition

Ouagadougou, 8 août 2024 (AIB)-La première édition du championnat national de VIÊT VÙ DAO s’est tenue le samedi 2 août 2024 à Ouagadougou. Une trentaine de pratiquants de cette discipline vietnamienne ont pu s’affronter dans différentes catégories.

Les combattants de VIÊT VÙ DAO des clubs Point du Dragon, Tigre Céleste et Léopard Noir ont rivalisé de talents.

En tout, 31 athlètes ont participé à cette première édition du championnat national de VIÊT VÙ DAO.

Ils ont d’abord disputé des manches éliminatoires dans les catégories minimes, cadettes, juniors filles et garçons.

Les 3 premiers de chaque catégorie ont reçu des médailles et des trophées.

Pour Ismaïla Bouda, Directeur technique national de la discipline, ce championnat est une opportunité pour les pratiquants de pouvoir se mesurer.

« Le championnat vise à permettre à tout pratiquant de mesurer l’acquisition des différentes techniques déjà apprises au club », a-t-il affirmé.

Aux dires du DTN du VIÊT VÙ DAO, cette compétition a permis d’avoir un aperçu du niveau réel de chaque pratiquant.

Naaba Kongo de Wobregdo a salué la pratique de ce sport vietnamien dans le quartier, car il permet aux enfants de s’occuper de manière utile.

Benjamin Zongo, représentant de la délégation spéciale de l’arrondissement n°9 de Ouagadougou, a promis de travailler à rendre disponibles les terrains pour la pratique du sport.

Mohamadou Dao, parrain de l’édition, a exprimé sa satisfaction quant à l’organisation.

« Au regard de la situation que nous traversons, organiser une telle activité relève du sacerdoce. Nous saluons l’esprit qui a animé les athlètes et félicitons les organisateurs », a-t-il ajouté.

Les pratiquants burkinabè du VIÊT VÙ DAO participeront prochainement à la coupe du monde qui se tiendra au Maroc.
Agence d’information du Burkina

Les Seychelles sont devenues le pays d’Afrique le plus attractif pour les investissements

ÉCONOMIE: AFRIQUE-INVESTISSEMENTS-ATTRACTIVITÉ

Les Seychelles sont devenues le pays d’Afrique le plus attractif pour les investissements

PRETORIA, 8 août. /TASS/. La République des Seychelles est en tête du classement de l’attractivité pour les investissements en Afrique en 2024. Cette conclusion a été tirée du rapport Where to invest in Africa (Où investir en Afrique), rédigé et publié par le département des investissements de la deuxième banque d’Afrique du Sud, la First National Bank (FNB).

Les cinq premiers pays africains en termes d’attractivité pour les investissements comptent également l’île Maurice en deuxième position, l’Égypte, l’Afrique du Sud et le Maroc. Le classement est basé sur l’examen de 20 indicateurs, répartis en 4 groupes. Il s’agit des performances économiques actuelles et du potentiel économique, de l’accessibilité des marchés et du niveau d’innovation, de la stabilité économique et du climat d’investissement, des conditions sociales et du développement du capital humain.

Les spécialistes ont étudié les possibilités d’investissement de 31 pays africains sur les 54 que compte le continent. En bas du classement se trouve le Zimbabwe qui, selon la FNB, possède le plus faible degré d’attractivité en matière d’investissement. L’Eswatini, la République du Congo, le Lesotho et le Cameroun suivent dans l’ordre de progression.

Burkina : Le ministre en charge de l’Éducation réalise 65 % des objectifs assignés à son département au premier semestre 2024

Burkina – Évaluation – Ministre – Éducation

Burkina : Le ministre en charge de l’Éducation réalise 65 % des objectifs assignés à son département au premier semestre 2024

Ouagadougou, 8 août 2024 (AIB) – Le ministre en charge de l’Éducation, Jacques Sosthène Dingara, a salué jeudi à Ouagadougou l’action de l’ensemble des acteurs qui a permis de réaliser 65 % des objectifs assignés à son département.

« À mi-parcours, nous pouvons dire que nous avons réalisé un taux d’environ 65 %. Les acteurs se sont énormément investis pour que nous puissions atteindre ce taux à mi-parcours », s’est réjoui le ministre en charge de l’Éducation, Jacques Sosthène Dingara.

Le ministre s’exprimait jeudi à Ouagadougou à l’occasion de la séance d’évaluation semestrielle des contrats d’objectifs des différents ministères.

Pour M. Dingara, ces résultats sont à mettre à l’actif de l’ensemble des acteurs du département ministériel et des partenaires « qui ont accompagné la réalisation de ces activités ».

Selon lui, les objectifs assignés à son département pour l’année 2024 sont, entre autres, l’accompagnement des élèves et des apprenants des zones à fort défis sécuritaires, la réforme du système éducatif par l’intégration de l’initiation aux métiers, l’intégration d’un certain nombre de valeurs d’instruction civique, et la construction d’infrastructures scolaires pour améliorer l’accès à l’éducation.

Il a également mentionné un autre objectif relatif à l’officialisation et à la promotion des langues nationales dans le pays.

Le ministre s’est réjoui de l’organisation « avec brio » des examens scolaires « sans incident majeur dans un contexte difficile ».

Agence d’information du Burkina
DNK/ata

Burkina : Les Affaires étrangères réalisent 55,29 % des objectifs assignés au premier semestre 2024

Burkina – Contrats – Objectifs – Ministère – Affaires Étrangères

Burkina : Les Affaires étrangères réalisent 55,29 % des objectifs assignés au premier semestre 2024

Ouagadougou, 8 août 2024 (AIB) – Le ministre en charge des Affaires étrangères, Karamogo Jean Marie Traoré, s’est déclaré satisfait du niveau d’exécution des contrats d’objectifs assignés à son département, qui a atteint 55,29 % au premier semestre de 2024.

« Je dois dire qu’au 30 juin, avec un taux de 55,29 %, par rapport aux prévisions que nous avions envisagées, nous sommes plutôt satisfaits du niveau d’exécution », a indiqué le ministre des Affaires étrangères, Karamogo Jean Marie Traoré.

Le ministre s’exprimait jeudi à Ouagadougou, à l’occasion de la séance d’évaluation semestrielle des contrats d’objectifs des différents ministères.

Pour M. Traoré, trois objectifs majeurs sont assignés à son département : la contribution à la défense et à la sécurité nationale, la consolidation du rayonnement du pays et le renforcement de l’intégration africaine, ainsi que la gestion de la diaspora.

Cependant, selon lui, le taux global réalisé par son ministère cache des disparités.

Il souligne un taux de réalisation de 60 % au niveau de la consolidation et du positionnement du pays, contre 43 % pour la contribution à la sécurité, un objectif réalisé conjointement avec le ministère en charge de la défense.

En ce qui concerne les objectifs liés à la gestion des Burkinabè de l’extérieur, il note un taux de 54 %.

« Nous avons soumis au chef du gouvernement la préoccupation de revoir notre instrument de planification au regard des mutations que nous avons connues », a-t-il confié.

Pour lui, il s’agit notamment du retrait de la CEDEAO et de la création de la Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES), qui n’étaient pas initialement prévus dans le schéma de planification.

« Nous avons reçu l’accord favorable du Premier ministre pour cette relecture, ce qui nous permettra d’être en cohérence avec le nouveau contexte », a-t-il rassuré.

De ce fait, le chef de la diplomatie burkinabè a assuré que la confédération de l’AES sera désormais prise en compte dans les objectifs du ministère.

Par ailleurs, le ministre a ajouté que son département a été confronté à deux types de contraintes : la première, d’ordre programmatique, liée au changement de contexte sous-régional, ce qui a eu une incidence sur la réalisation des activités du ministère.

La deuxième contrainte, selon lui, est d’ordre budgétaire.

Il a expliqué que le ministère a subi une régulation budgétaire qui « n’a pas permis de respecter certains rendez-vous pour un certain nombre d’activités que nous avions planifiées ».
Agence d’information du Burkina
DNK/ata

Burkina : bientôt de l’argile calcinée produite sur place pour remplacer le clinker importé dans la production de ciment

Burkina-Usine-Cimenterie

Burkina : bientôt de l’argile calcinée produite sur place pour remplacer le clinker importé dans la production de ciment

Ouagadougou, 8 août 2024 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a posé jeudi la première pierre de l’unité de production d’argile calcinée, un matériau alternatif pour la fabrication du ciment au Burkina Faso.

Le groupe Ciments d’Afrique (CIMAF) n’importera plus de clinker pour la production de ciment. L’argile calcinée, une matière première alternative qui sera produite sur place, sera utilisée dans les prochains jours.

Estimant que l’implantation de cette usine est une illustration parfaite de la politique d’industrialisation du pays, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a félicité CIMAF pour la mise en place d’un tel projet.

« Le fait de prendre la matière première ici au Burkina Faso et de la transformer pour produire du ciment pour les Burkinabè, c’est tout ce que nous souhaitons », a indiqué le président du Faso.

Il a par ailleurs réaffirmé son attachement au développement du secteur industriel du pays, véritable facteur de création d’emplois, de transfert de technologies et de développement économique.

Pour le président Traoré, le Burkina reste engagé à offrir toutes les facilités et garanties nécessaires aux acteurs nationaux et étrangers qui voudraient participer au développement de notre secteur industriel.

Selon le Président-directeur général (PDG) du groupe CIMAF, Anas Sefrioui, la construction de l’unité de production d’argile calcinée sera couplée à celle d’une centrale solaire, dont l’excédent de production sera reversé à la SONABEL.

Pour lui, la conjugaison de ces deux projets devrait permettre d’améliorer la compétitivité du ciment sur le marché grâce à la réduction des coûts de production, ce qui profitera au consommateur final.

Le PDG a également indiqué que la concrétisation de ces deux initiatives, dont le coût global est de 33 milliards FCFA, est le signe de la vitalité des relations entre le Burkina Faso et le Royaume du Maroc.

Le groupe Ciments d’Afrique est un acteur cimentier qui produit et commercialise du ciment en Afrique. Il est présent dans 13 pays africains, dont le Burkina Faso, depuis 2014.

Agence d’information du Burkina
YOS/ata

Le Burkina procède au recensement général des entreprises, des ONG et associations

Burkina-Entreprise-ONG-Récensement

Le Burkina procède au recensement général des entreprises, des ONG et associations

Ouagadougou, le 08 août 2024 (AIB). Le Burkina Faso va procéder à un recensement général des entreprises de toute catégorie, implantées sur l’ensemble du territoire nationale ainsi que des ONG et associations au cours de la période du 15 août au 20 décembre 2024.
La cérémonie de lancement du recensement a eu lieu ce jeudi à Ouagadougou sous la présidence du Secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, Vieux Abdoul Rachid Soulama.

L’opération concerne toutes les unités économiques installées sur le territoire national et exerçant son activité dans un local ou site aménagé. Il s’agit notamment des entités économiques principalement ciblées sont notamment les entreprises informelles exerçant dans les locaux fixes, les entreprises privées formelles, les Etablissements publics de l’Etat (EPE) exerçant des activités marchandes, les Sociétés d’Etat ainsi que les ONG et associations etc.

Les principales informations qui seront collectées par les enquêteurs vont porter sur la localisation de l’unité, la date de création, la forme juridique, le mode d’acquisition, le type de comptabilité utilisé, la possession d’un numéro IFU, d’un numéro d’identification CNSS, le capital social, les emplois et effectifs de l’unité etc.

Les marchés et Yaars, les unités économiques ambulantes, les unités agricoles non modernes, les (EPE) non marchands, les administrations centrales et déconcentrées ainsi que les missions diplomatiques et consulaires, ne sont pas concernés par ce recensement.

Le recensement général des entreprises vise à dresser un état des lieux précis et exhaustif de l’ensemble des unités économiques évoluant sur le territoire national en vue de constituer un répertoire des unités économiques mais aussi de produire des données fiables et actualisées sur le tissu entrepreneurial national.

Agence d’Information du Burkina
Source : DCRP/MEFP

Fespaco 2025 : l’appel à films enregistre pour le moment 349 films

Burkina-Cinéma-Fespaco2025

 Fespaco 2025 : l’appel à films enregistre pour le moment 349 films

Ouagadougou, 8 août 2024 (AIB) – Le Délégué général (DG) du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) Moussa Alex Sawadogo a animé jeudi à Ouagadougou, une conférence de presse pour donner l’état des préparatifs de la biennale du cinéma africain, avec 349 films inscrits à l’appel à film, a constaté l’AIB.

 Selon le DG du Fespaco, 349 films toutes catégories confondues, sont inscrits à l’appel à films sur un millier attendus. Il a trouvé lentes, ces inscriptions et appelle les réalisateurs à inscrire les productions même si elles ne sont pas complètement bouclées. Le deadline des inscriptions est fixé au 30 septembre 2024.

Des 349 films il y a 57 films de fiction long métrage, 89 documentaires long métrage, 125 films de fiction court métrage, 33 courts métrages documentaires, 13 films d’école de cinéma, 21 séries télévisuelles et 11 films d’animation.

Le Burkina Faso a inscrit 8 films dont une fiction long métrage, quatre fictions courts métrages, deux documentaires courts métrages et une série télévisuelle.

Le DG du Fespaco a également mentionné que l’appel à accréditation est ouvert avec 33 nationaux et 56 internationaux déjà inscrits. Il appelle à rapidement s’inscrire pour ne pas se mettre la pression à la dernière minute. Le deadline des inscriptions est fixé au 31 décembre 2024.

L’appel à inscriptions du Yennenga Academy », du « Yennenga Post-production et du « Yennenga Coproduction » est également ouvert sans oublier le MICA (Marché international du cinéma africain) et l’appel à communication sur le thème de l’édition.

Le Comité international de sélection est également mis en place où on retrouve Mohamed Saïd Ouma (Ils Comores), Enoka Julien Ayemba (Cameroun), Hawa Essuman (Ghana), Farah Clémentine Dramani (Niger), Lina Chabanne (Tunisie), Janaina Oliveira (Brésil), Habibou Zoungrana (Burkina Faso), Pedro Pimenta (Mozambique), Guy Désiré Yaméogo (Burkina Faso).

C’est le Malien Souleymane Cissé qui est le président du jury Fiction long métrage et la Kenyane Judy Kibenge présidera le jury documentaire long métrage.

La 29e édition du Fespaco prévue pour se tenir du 22 février au 1er mars 2025, a pour thème « cinéma d’Afrique et identités culturelles ». C’est le Tchad qui est le pays invité d’honneur. C’est le Tunisien Youssef Chebbi qui a remporté l’Etalon d’or de Yennenga, le plus convoité en 2023 avec son film « Ashkal ».
Agence d’information du Burkina
As/ata

 

 

 

Réunion du Comité de pilotage du Mémorial Thomas Sankara : le PTAB 2024 adopté à 3,119 milliards FCFA

Réunion du Comité de pilotage du Mémorial Thomas Sankara : le PTAB 2024 adopté à 3,119 milliards FCFA

Ouagadougou, 8 Aout 2024 (AIB)-Le Secrétaire général du Ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Bètamou Fidèle Aymar TAMINI a présidé la rencontre du Comité de pilotage du Mémorial Thomas Sankara ce jeudi 8 août 2024 à Ouagadougou.

Selon le président du Comité de pilotage Bètamou Fidèle Aymar Tamini, le processus de construction des infrastructures du Mémorial Isidore Noël Thomas Sankara se poursuit et c’est dans l’optique d’adopter et de valider le document stratégique qu’est le Plan de Travail Annuel Budgétisé 2024 (PTAB), que se tient ce cadre d’échanges.

Cette rencontre a permis de recueillir les avis des acteurs du Comité de pilotage en vue d’adopter et de valider le PTBA qui est un outil utile à la mise en œuvre des activités du projet. Elle a aussi permis d’adapter le budget alloué à l’exécution du projet par rapport au besoin de ressources exprimés.

Pour ce faire , le coordonnateur du projet de construction des infrastructures du Mémorial Thomas Sankara , Etienne LOMPO a fait une brève présentation du document transmis aux membres du Comité de pilotage pour amendement.
À l’en croire, la mise en œuvre des activités du PTAB 2024, sera axée sur des études spécifiques, l’organisation d’activités de promotion des idéaux du « père de la Révolution d’août 83 » et le renforcement des capacités techniques, matérielles et opérationnelles de l’Unité de gestion du projet.

Selon lui ,le coût global de réalisation de ce PTAB révisé est de 03 milliards 119 millions 272 milles F CFA. Il se dégage une suppression de 21 activités et une réduction de 5 milliards 428 millions 404 mille F CFA par rapport au budget du PTBA initial qui était de 8 milliards 627 millions 776 mille F CFA, a -t -il indiqué .

Les acteurs de plusieurs institutions à savoir le ministère en charge de la Culture , la Primature, le ministère en charge de l’Environnement, le ministère en charge de la Sécurité, le ministère de la défense et celui en charge de l’Habitat, composent ce Comité de pilotage, a laissé entendre Fidèle Aymar Tamini.

De ses explications, ce sont plusieurs compétences qui ont été mobilisées pour accompagner ce processus qui passe désormais de la phase de planification à celle de la mise en œuvre effective des activités.
Source: DCRP-MCCAT

Le Niger et l’Algérie discutent de l’avancement du projet de gazoduc transsaharien

ÉCONOMIE: NIGER-ALGÉRIE-GAZODUC-CONSTRUCTION

Le Niger et l’Algérie discutent de l’avancement du projet de gazoduc transsaharien

RABAT, 8 août. /TASS/. Le Niger et l’Algérie ont l’intention de renforcer leur coopération dans le secteur des hydrocarbures. C’est ce qui a été annoncé lors de la visite à Niamey d’une délégation algérienne dirigée par le ministre de l’Énergie et des Mines, Mohammed Arkab.

Ce dernier a rencontré le premier ministre du Niger, Ali Lamine Zeine, et le ministre du Pétrole, Mahaman Moustapha Barké, a rapporté l’Agence nigérienne de presse (ANP).

Les deux parties ont discuté des moyens de renforcer la coopération dans le domaine des hydrocarbures, des projets entre la Société nigérienne du pétrole (Sonidep) et la compagnie pétrolière et gazière publique algérienne Sonatrach. Elles ont également examiné l’état d’avancement de la construction du gazoduc transsaharien, reliant le Niger, le Nigeria et l’Algérie.

L’accord sur la construction du gazoduc transsaharien long de plus de 4.000 kilomètres, reliant le Nigeria, le Niger et l’Algérie, a été signé par les autorités des trois pays en 2009. Toutefois, la mise en œuvre du projet a été reportée à plusieurs reprises. Au moment de l’accord, l’investissement total dans le projet était estimé à 10 milliards de dollars. La capacité prévue du gazoduc transsaharien est de 30 milliards de mètres cubes de gaz par an.

Avec TASS

Le général Kassoum Coulibaly annoncé au forum «Armée 2024» en Russie où il rencontrera des chefs d’entreprises russes

Burkina-Russie-Défense-Coopération

Le général Kassoum Coulibaly annoncé au forum «Armée 2024» en Russie où il rencontrera des chefs d’entreprises russes

Ouagadougou, 08 août 2024 (AIB) Le ministre de la Défense du Burkina Faso, le général Kassoum Coulibaly, participera au forum international militaro-technique Armée 2024, prévu du 12 au 14 août, et rencontrera en marge des patrons d’un certain nombre d’entreprises privées russes, selon l’agence TASS, citant l’attaché militaire du Burkina à Moscou.

«Je confirme que notre ministre de la Défense sera en visite en Russie, à Moscou. Quant au programme, […] il y aura une visite au parc Patriot pour participer au forum Armée, une rencontre avec la direction de plusieurs entreprises privées russes est prévue», a déclaré à Tass Yasnémanégré Sawadogo, attaché militaire de l’ambassade du Burkina Faso à Moscou.

Le forum Armée 2024 se tiendra au Centre de congrès et d’exposition Patriot où seront exposés des échantillons d’armes, d’équipements militaires et spéciaux.
L’agence TASS qui donne l’information est le partenaire médiatique général du forum Armée 2024.
CK/ab
Agence d’Information du Burkina

Burkina : Des formations pour les orpailleurs en vue d’éviter que l’or ne serve aux terroristes

Burkina – Association – Orpailleurs – Formation – Formalisation

Burkina : Des formations pour les orpailleurs en vue d’éviter que l’or ne serve aux terroristes

Ouagadougou, 6 août 2024 (AIB) – La Corporation nationale des artisans et exploitants de petites mines (CONAPEM) a affirmé samedi qu’elle compte organiser et former les orpailleurs ainsi que les autres acteurs du secteur, afin d’éviter que l’or extrait ne finance le terrorisme.

« À chaque conférence, nous revenons sur la formalisation. Sans elle, nous n’avons pas la maîtrise des sites d’exploitation d’or, ce qui peut contribuer au financement du terrorisme », a indiqué le nouveau président de la CONAPEM, Potièrozié Didier Dabiré.

Didier Dabiré s’exprimait le samedi 3 août 2024 à Ouagadougou à l’occasion de l’assemblée générale de la CONAPEM, au cours de laquelle il a été désigné président de la corporation.

Le nouveau président est géologue, formé à l’université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou, manager de l’environnement et du développement durable à l’université Aube Nouvelle de Ouagadougou, et Président-directeur général (PDG) d’une entreprise spécialisée dans les domaines des géosciences et de l’environnement.

Il dit être imprégné des défis de la corporation, ayant été membre du bureau sortant et acteur dans le domaine.

M. Dabiré a indiqué que le Burkina Faso compte aujourd’hui plus de 800 « sites sauvages » d’exploitation de l’or, d’où la nécessité, selon lui, de mettre l’accent sur le renforcement des capacités des acteurs afin de mieux contrôler la gestion de ces sites.

La CONAPEM existe depuis 2002, et son défi actuel, en plus de la formation des acteurs et de la participation au processus de formalisation des sites sauvages, est, selon le président, la mobilisation de ses membres dans différentes zones minières du pays.

« La plupart des difficultés que nous avons rencontrées sont liées au travail de terrain, en raison du manque de points focaux dans les zones aurifères et du manque de financement », a souligné Potièrozié Didier Dabiré.

Composé de 14 membres, le nouveau bureau de la CONAPEM compte ainsi travailler à occuper toutes les zones minières du pays.

À cet effet, la coordination a mis en place trois commissions techniques et désigné des responsables par zone pour assurer une large couverture du territoire.

L’objectif principal de la CONAPEM est d’accompagner les exploitants et les artisans miniers dans le processus de formalisation et de passage à des mines semi-mécanisées, afin que l’État et la population bénéficient des fruits de l’exploitation de l’or au Burkina Faso.

Dans cette optique, la structure prévoit de réaliser des études d’impact environnemental des différents sites semi-mécanisés, afin de faire des propositions aux autorités compétentes.

La coordination bénéficie également du soutien de la Banque mondiale pour la sensibilisation et la réalisation de certains projets, a confié un responsable de l’association.

Au cours de l’assemblée générale, la coordination a également désigné un membre pour la représenter à l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Le Niger accepte enfin le nouvel ambassadeur du Bénin à Niamey, un an après sa nomination

Niger-Bénin-Diplomatie-Accréditation

Le Niger accepte enfin le nouvel ambassadeur du Bénin à Niamey, un an après sa nomination

Ouagadougou, 08 août 2024 (AIB) – Le nouvel ambassadeur du Bénin au Niger, Gildas Habib Bignon Agonkan, nommé à ce poste depuis le 14 juin 2023, a finalement pu présenter aux autorités nigériennes ses lettres de créance le 6 août 2024.

Selon l’Agence nigérienne de presse, c’est en présence de ses plus proches collaborateurs que le ministre nigérien des Affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré a reçu, la copie figurée des lettres accréditant Gildas Habib Bignon Agonkan comme ambassadeur du Bénin au Niger.

M. Agonkan a été nommé un mois avant l’arrivée au pouvoir du Général Abdourahamane Tiani au à Niamey. Depuis cet événement, les relations entre le Bénin et le Niger se sont tendues en raison de la position du président béninois, Patrice Talon, partisan de mesures de répressions contre le Niger et contre le pouvoir de Tiani.

Agence d’Information du Bénin
Crédit photo: ANP

Loroum : Le haut-commissaire Bassolé s’enquiert des réalités de la coopérative d’électricité

BURKINA-LOROUM-ELECTRICITE-VISITE-RESPONSABLE

Loroum : Le haut-commissaire Bassolé s’enquiert des réalités de la coopérative d’électricité

Titao, (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Loroum, Djibril Bassolé, est allé, le vendredi 02 août 2024, s’enquérir de l’état de fonctionnement de la Coopérative d’électricité (Coopel) Veneem de Titao.

A la tête d’une délégation composée de responsables de la délégation spéciale de la commune de Titao, de forces de sécurité, le haut-commissaire de la province du Loroum, Djibril Bassolé, s’est rendu le vendredi 02 août 2024, au siège de la Coopérative d’électricité (Coopel) Veneem de Titao.

Accueilli par les responsables du comité de gestion, l’autorité provinciale a passé en revue les installations de la structure et échangé avec le personnel.

« C’est une joie pour nous d’accueillir le haut-commissaire de la province et l’ensemble des membres de sa délégation. Cette visite est un honneur à notre endroit », s’est réjoui le représentant de la Coopel Venem, Souleymane Zango.

Face à la délégation, il a présenté la structure, son fonctionnement et les difficultés rencontrées et les perspectives.

« Le défi majeur c’est de continuer à alimenter la ville en électricité. Alors que nous fonctionnons exclusivement avec des groupes électrogènes. Nous nous approvisionnons en gasoil à travers les convois de marchandises.  Et cela nous revient très cher», a souligné M. Zango.

Le vice-président de la délégation spéciale de la commune de Titao, Oumarou Dialla, a remercié la Coopel pour ses efforts et invité les populations à payer régulièrement leurs factures pour que la structure puisse continuer à alimenter la ville.

« Nous sommes venus pour saluer le travail de la Coopel. Nous fondons l’espoir que les actions de reconquête du territoire national porteront des fruits et que la ville sera bientôt désenclavée. Cela permettra à la Coopel de retrouver ses installations et sa reconnexion au réseau électrique de Ouahigouya », a rassuré le haut-commissaire Bassolé.

Agence d’information du Burkina

ASO/bh/yo

 

Kossi : Du football pour promouvoir la cohésion sociale

BURKINA-KOSSI-SPORT-COHESION-JOURNEE

Kossi : Du football pour promouvoir la cohésion sociale

Nouna, (AIB)-Le secrétaire général de la province de la Kossi, Firmin Bassolé, a présidé, le mercredi 7 août 2024 à Nouna, les activités entrant dans le cadre de la journée de la cohésion sociale à travers le sport et des jeux concours.

La direction provinciale en charge de l’Action humanitaire avec l’appui du Conseil Danois pour les réfugiés (DRC), a organisé, le mercredi 7 août 2024 à Nouna, une journée de cohésion sociale, à travers des activités sportives et des jeux concours sous forme de questions-réponses en lien avec la cohésion sociale.

Quinze Personnes déplacées internes (PDI) et population hôte ont participé aux jeux dont les questions cibles sont entre autres, le rôle de la population  d’accueil dans la promotion de la cohabitation pacifique et le rôle des personnes déplacées internes dans la promotion de la cohabitation pacifique.

Selon les organisateurs, les résultats du jeu concours ont révélé un niveau de compréhension satisfaisant.

Le 1er prix est revenu à Boukary Arama (PDI), qui a reçu la somme de 15 000 F CFA, le 2e prix à Aimé Alphonse Foro (hôte) avec 10 000 F CFA et le 3e prix à Hélène Coulibaly (PDI) qui a reçu 7 500 F CFA.

De la 4e place à la 15e place, un prix d’encouragement de 5 000 F CFA a été remis à chacun.

Des matches de football féminin et masculin qui ont opposé les populations hôte et déplacées internes, se sont soldés par un score vierge, il a fallu recourir aux tirs au but pour départager les équipes.

Au football féminin, les PDI se sont imposées sur le score d’un but à zéro contre la population hôte. Les deux équipes ont reçu des prix d’encouragement.

Le match de football masculin a vu le sacre de la population hôte contre les PDI sur le score d’un but à zéro.

Ils ont reçu la somme de 45 000 F CFA et les PDI 35 000 F CFA.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Kénédougou/Montée des couleurs : La tradition respectée à la gendarmerie de Orodara

BURKNA-KENEDOUGOU-ADMINISTRATION-MONTEE-COULEURS

Kénédougou/Montée des couleurs : La tradition respectée à la gendarmerie de Orodara

Orodara (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a présidé, le mardi 06 août 2024, dans l’enceinte de la compagnie de gendarmerie de Orodara, la traditionnelle montée des  couleurs.

La compagnie de gendarmerie de Orodara était à l’honneur ce mardi 06 Août 2024, à l’occasion de la traditionnelle cérémonie tournante de montée des couleurs.

Une occasion pour les forces vives de magnifier leur appartenance à  la mère patrie.

Le commandant de la compagnie de gendarmerie de Orodara, le Lieutenant Mamadou Traoré, a exprimé sa gratitude et sa reconnaissance aux autorités provinciales du Kénédougou pour le choix porté sur sa structure pour abriter cette importante cérémonie de  montée des couleurs.

Il a adressé ses remerciements aux différents présidents des  délégations spéciales relevant de sa zone d’intervention pour leur engagement à l’ensemble des Forces de défense et de sécurité (FDS) de la province, dans la lutte contre le terrorisme et pour la reconquête du territoire national.

Le haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a remercié les uns et les autres pour la forte mobilisation autour de la cérémonie.

Il a aussi fait une mention spéciale aux FDS pour le travail qu’elles abattent au quotidien dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans notre pays.

Saïdou Sakira, a demandé à la population et aux directeurs et chefs de services, une franche collaboration envers les FDS.

Agence d’information du Burkina.

AK/hb/yo

Dernières publications