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Sécurité routière : African Initiative remet un troisième lot de panneaux à la mairie de l’arrondissement 12

Sécurité routière : African Initiative remet un troisième lot de panneaux à la mairie de l’arrondissement 12

Ouagadougou, 25 nov. 2024 (AIB)Dans le cadre de la mise en œuvre de son projet «Routes sûres avec la Russie», l’association russo-burkinabè «African Initiative» a offert, ce lundi, des panneaux de signalisation à la mairie de l’arrondissement 12 de Ouagadougou, a-t-on appris.

Au total, 25 panneaux de signalisation divers ont été remis aux membres de la délégation spéciale de la mairie de l’arrondissement 12 par African Initiative, ce lundi 25 novembre 2024 par African Initiative.

« Grâce à ces panneaux, la physionomie de l’arrondissement est en train de changer », s’est réjoui le premier vice-président de la délégation spéciale de l’arrondissement 12, Kayaba Esaïe Ouédraogo.

Selon M. Ouédraogo, ce geste, qui s’inscrit dans le cadre du projet « Routes sûres avec la Russie », permettra de réduire de façon significative le nombre d’accidents.

« En dépit de l’incivisme notoire que nous pouvons observer chez certains riverains, il y en a qui commencent à respecter les panneaux de signalisation », a-t-il ajouté.

Le président de l’association russo-burkinabè African Initiative, Soumaila Ayo Azenwo, a précisé que ce troisième lot porte à 65 le nombre de panneaux offerts à la mairie de l’arrondissement 12.

Il a également indiqué que African Initiative prévoit d’ajouter une dizaine de panneaux supplémentaires, notamment ceux signalant la traversée d’enfants et les routes prioritaires.

Soumaila Ayo Azenwo espère qu’en deux dons, son association pourra répondre aux besoins des 100 panneaux de signalisation sollicités par la mairie de l’arrondissement 12.

Agence d’information du Burkina
ZO/ata

 

Kourittenga/ENABEL : Une soirée pour renforcer les liens d’amitié

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Kourittenga/ENABEL : Une soirée pour renforcer les liens d’amitié

Koupéla, (AIB)-L’Agence belge de développement, a organisé une soirée d’amitié, le samedi 23 novembre 2024, à Koupéla, dans le cadre de l’initiative « Une semaine avec Enabel dans le Centre-Est », pour renforcer les liens pour un développement durable dans le Centre-Est en présence du haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo.

La soirée d’amitié organisée le samedi 23 novembre 2023 à Koupéla, a réuni des autorités de la région du Centre-Est et des partenaires sous la bénédiction de sa majesté Naaba Yemdé de Koupéla.

Le Chef de projet pour le programme de coopération bilatérale entre la Belgique et le Burkina Faso, représentant de Enabel à Koupéla, Adama Kaboré, a exprimé la gratitude de l’Agence belge de développement envers ses partenaires pour leur soutien et leur engagement.

« L’ensemble de l’équipe Enabel m’a confié que la présence de nos partenaires est pour nous une source d’inspiration constante. Nous sommes motivés à toujours mieux servir notre région, le Centre-Est, et à identifier les actions les plus efficaces pour son développement. En cet instant, nous souhaitons partager un moment de convivialité, loin des pressions du travail pour renforcer notre amitié et notre coopération », a-t-il souligné.

Enabel, acteur clé du développement, continue dans sa collaboration avec les autorités et les communautés locales pour mener à bien les projets inscrits dans ses portefeuilles 2019-2023 et 2023-2027.

Cette dynamique permet d’améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables tout en mettant toujours la cohésion sociale au centre de ses activités.

Le haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, représentant le gouverneur de la région du Centre-Est, a salué la contribution de Enabel au développement de la région du Centre-Est.

 

« Nous avons pu constater que la coopération entre le Royaume de Belgique et le Burkina Faso, à travers les projets des portefeuilles 2019-2023 et 2023-2027, a permis à notre région de renforcer son développement socio-économique, d’améliorer l’accès aux services sociaux de base et de promouvoir la cohésion sociale, en particulier auprès des populations les plus vulnérables», a-t-il déclaré.

Moctar Ilboudo, a également traduit les remerciements du gouverneur de la région et du gouvernement burkinabè à Enabel pour les efforts déployés dans le Centre-Est.

La soirée a connu la remise de lots aux heureux gagnants du jeu radiophonique organisé dans le cadre de l’initiative « une semaine avec Enabel dans le Centre-Est ».

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

Gourma : Une organisation sensibilise les jeunes dans la lutte contre le terrorisme

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Gourma : Une organisation sensibilise les jeunes dans la lutte contre le terrorisme

Fada N’Gourma, (AIB)-L’Organisation de la société civile (OSC) « le Vent républicain », a animé le samedi 23 novembre 2024, un panel au profit de la population de Fada N’Gourma, pour susciter l’engagement des jeunes dans la lutte contre le terrorisme.

Depuis près de 10 ans que le Burkina Faso fait face à une guerre imposée par l’impérialisme.

Dès lors, un combat est mené pour libérer le pays des hommes intègres.

Pour apporter sa pierre dans cette lutte, le ‘’Vent Républicain’’ a décidé de mener des activités dans les 13 régions du pays, afin de permettre à la population en générale et particulièrement aux jeunes de saisir pleinement les enjeux de ce combat et de s’engager sans réserve pour un Burkina Faso uni et prospère dans une AES qui s’impose.

C’est ainsi que cette OSC se fait l’obligation de tenir, le samedi 23 novembre 2024, un panel dans la cité de Yendabili, sur le thème « Engagement citoyen et patriotique des jeunes dans la reconquête du territoire national et l’effectivité de la souveraineté ».

Le coordonnateur national de ‘’Vent Républicain’’, Oscar Séraphin Ki, a indiqué que leurs activités dans les 13 régions s’inscrivent dans le cadre de la mobilisation générale de la jeunesse en particulier et de la population en général, dans l’accompagnement du processus de rupture et de changement de paradigme engagé par le président du Faso.

Il a ajouté que l’OSC entend aussi favoriser une synergie d’action avec les Forces de Défense et de Sécurité et la population civile dans cette lutte commune à tous les patriotes.

Selon le paneliste, le commandant du groupement de sécurisation de la région de l’Est, le commandant Habib T. Sourabié, ce panel vise à échanger sur la contribution de la population dans la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme.

Pour lui, c’est ensemble que le Burkina Faso gagnera cette lutte contre la barbarie.

Le commandant Habib T. Sourabié, a indiqué que la contribution de la population entre autres sur les plans social et religieux pourrait y être salutaire.

Le parrain de ce panel, David Sagnan, a estimé que l’apport de la population est plus que crucial car cette guerre a endeuillé beaucoup de famille et a créé plusieurs préjudices à des innocents.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

Kourittenga/ENABEL : Une semaine marquée par un cross populaire 

BURKINA-KOURITTENGA-CROSS-ENABEL

Kourittenga/ENABEL : Une semaine marquée par un cross populaire

Koupéla, (AIB)-L’Agence belge de développement (Enabel), a organisé, le samedi 23 novembre 2024 à Koupéla, un cross populaire suivi d’une séance d’aérobic, dans le cadre des activités de ‘’Une semaine avec Enabel dans le Centre-Est’’. L’activité a connu la participation de plusieurs autorités de différentes organisations et de la population.

L’activité ‘’Une semaine avec Enabel dans le Centre-Est’’, s’inscrit dans le cadre de la célébration de « Une semaine avec Enabel dans le Centre-Est», partant de la coopération entre le Royaume de la Belgique et le Burkina Faso.

Ce cross populaire suivi d’une séance d’aérobic a eu lieu le samedi 23 novembre 2024 à Koupéla.

« Nous sommes très satisfaits d’abord en termes de nombre des participants mais aussi et surtout l’éclat qui a été donné à cette activité vu le statut de ceux qui se sont mobilisés à ce cross populaire », a indiqué le Chef de projet pour le programme de coopération bilatérale Belgique-Burkina Faso au Centre-Est et à Fada, Adama Kaboré.

Le haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, représentant le gouverneur de la région du Centre-Est, le colonel Aboudou Karim Lamizana, a salué l’ensemble des corps constitués qui ont marqué leur présence à cette activité.

Il a salué cette belle collaboration entre le royaume de la Belgique et le Burkina Faso qui est très bénéfique car celle-ci a permis la mise en œuvre d’un certain nombre de projet de développement au bénéfice de notre pays.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

 

 

Sebba : Des terroristes neutralisés par des frappes de drones

Sebba : Des terroristes neutralisés par des frappes de drones

Ouagadougou, 24 nov. 2024 (AIB) – Des frappes de drones ont neutralisé, le 18 novembre 2024, dans la zone de Sebba, des terroristes qui se cachaient dans une école et un verger, a appris l’AIB auprès de sources sécuritaires.

Les services de renseignement de l’armée burkinabè veillent au grain, de jour comme de nuit.

Dans la soirée du 17 novembre 2024, les guetteurs aériens ont repéré une colonne de terroristes dans la zone de Sebba (région du Sahel).

Ces individus mal intentionnés ont trouvé refuge dans un verger où ils se sont installés en toute confiance.

Dans le même temps, les observateurs aériens ont identifié d’autres criminels se prélassant dans une école.

L’armée a décidé de frapper simultanément les deux positions.

Un missile a d’abord frappé l’école, détruisant les occupants et leurs engins.

Au même moment, un autre vecteur a ciblé le verger pour anéantir les assaillants.

Plus tard dans la nuit, des rescapés, croyant que le danger était éloigné, sont revenus près de l’école pour constater les dégâts.

Les vecteurs aériens les ont suivis jusqu’au village de Wabotti, situé à 35 km au nord de Sebba.

Ils ont été violemment frappés alors qu’ils se cachaient sous un grand arbre.

Agence d’information du Burkina
ATTENTION : photo d’archive et d’illustration

Burkina/Tapoa : Le bilan à mi-parcours du projet de résilience des populations face aux crises, passé à la loupe

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Burkina/Tapoa : Le bilan à mi-parcours du projet de résilience des populations face aux crises, passé à la loupe

Diapaga, 22 nov. 2024 (AIB)-Le Programme Children Believe-EE/SIM Tapoa dans le cadre des activités de parrainage des enfants en difficulté, a organisé le Jeudi 22 novembre 2024 à Diapaga, un atelier de présentation des résultats à mi-parcours du Projet de renforcement de la résilience des populations face aux crises sécuritaires et sanitaires.

L’objectif de cet atelier était de présenter aux partenaires de mise en œuvre du projet, les résultats à mi-parcours du programme de parrainage et de recueillir leur contribution pour l’élaboration du plan d’action 2025-2026.

Pour le Coordonnateur terrain du Programme EE/SIM Children Believe Limaba Tankoano, il s’agit d’assurer la recevabilité à travers la présentation des résultats engrangés à mi-parcours, recueillir les  commentaires et contributions des parties prenantes afin d’améliorer les activités pertinentes en vue de la mise en œuvre opérationnelle du plan d’action 2025-2026. A l’ouverture de la cérémonie, Soali Ouali représentant le préfet PDS de Diapaga, a déclaré que ce projet vient à point nommé, car devant permettre aux enfants de poursuivre leur scolarité dans des conditions acceptables en renforçant la résilience des enfants, des familles et des communautés dans la Tapoa.

Financé à hauteur de 76 766 605 F, 721 enfants ont été parrainés. Il ressort du bilan que 65 760 605f ont permis d’exécuter les activités à mi-parcours du projet, soit un taux d’absorption de 85,28% à la date du 21 novembre 2024.

Au nombre des activités, on note entre autres le soutien à la scolarisation de 102 enfants pour les frais de scolarité, le soutien d’une journée d’excellence avec 14 prix spéciaux, 6 vélos aux meilleurs élèves et 2 tablettes pour les 2 meilleurs professeurs d’école. La dotation de 15 kits aux enfants en formation professionnelle pour leur installation (machine à coudre, métier à tisser, caisse à outils pour mécanique).

Sur le plan sanitaire, 120 enfants ont été pris en charge, 252 élèves déplacés internes ont reçu chacun 25kg de riz. Dans sa contribution à développer les activités génératrices de revenus des femmes, et le renforcement de la résilience des communautés, une distribution gratuite de farine enrichie suivi du dépistage de 250 enfants malnutris a été effective.

En plus de ces dons, 17 ménages ont bénéficié d’éclairage solaire. Dans le cadre de la participation à l’éveil des consciences et l’éducation en situation d’urgence, 100 postes radios ont été distribués afin de permettre aux enfants de suivre les émissions éducatives.

Sur le plan des soutiens toujours, 140 ménages PDI ont reçu chacun un sac de 50kg de maïs, 100 femmes ont été formées à la préparation de la bouillie enrichie. Dans le cadre du renforcement des compétences des bénéficiaires, un jardin communautaire a été créé pour la production des légumes au profit de 30 femmes PDI.

Des petits ruminants et de la volaille ont été distribués aux jeunes pour leur permettre de pratiquer l’agriculture et de penser à l’entreprenariat communautaire.

Ont pris part à la rencontre, les parties prenantes dont la santé, l’éducation, le service humanitaire, l’administration générale, les APE et AME.
Agence d’information du Burkina
LB/AS/ATA

Vie des Régions : des acteurs communautaires discutent des mécanismes endogènes favorisants la paix et la cohésion sociale

 

Burkina-Ouahigouya-Décentralisation

Vie des Régions : des acteurs communautaires discutent des mécanismes endogènes favorisants la paix et la cohésion sociale

Ouahigouya, 23 nov. 2024 (AIB)- Dans le cadre de la mise en œuvre du programme Décentralisation et participation citoyenne, le Conseil régional du Nord a organisé ce vendredi 22 novembre au siège de l’institution, une journée de promotion de la paix et de la cohésion sociale, où plusieurs acteurs venus des 4 provinces de la région ont échangé sur la problématique, sous la présidence du Président de la délégation spéciale régionale Issouf Ouédraogo.

Conscient de l’importance des mécanismes endogènes dans la résolution des conflits, le Conseil régional du Nord, avec l’appui de son partenaire le Laboratoire citoyenneté a organisé une rencontre d’échanges sur l’utilisation des valeurs endogènes dans la résolution des conflits. La session d’échanges a été présidée par le 2ème vice-président de la délégation spéciale régionale du Nord Naaba Koutou.

Pour l’autorité, la tenue de l’activité participe à la mise en œuvre du pilier 4 du Plan d’actions pour la stabilisation et le développement de la transition qui est « d’œuvrer à la réconciliation nationale et à la cohésion sociale ». Au cours de la rencontre, la centaine de participants venue du Loroum, du Passoré Zondoma et du Yatenga ont eu droit à des communications sur les enjeux de la paix et de la cohésion sociale dans le développement local et les différents conflits recensés dans la région du Nord.

Les valeurs utilisées pour la prévention et la gestion des conflits et leurs avantages ont alimenté les échanges qui ont abouti à des prises de recommandations et résolutions des participants.
Agence d’Information du Burkina
PN/as/ata

 

Maroc : L’ancienne ministre de la Santé, Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho, élue membre de l’Académie africaine des sciences de la santé de Dakhla

Maroc : L’ancienne ministre de la Santé, Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho, élue membre de l’Académie africaine des sciences de la santé de Dakhla

Dakhla, 24 nov. 2024 (AIB) -L’ancienne ministre de la Santé et ancienne doyenne de l’Unité de formation et de recherche (UFR) en Sciences de la Santé (SDS) de l’université Joseph Ki-Zerbo, Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho, a été élue hier samedi à Dakhla, au Maroc, membre de l’Académie africaine des sciences de la santé, dont le lancement a eu lieu le même jour, a constaté l’envoyé spécial de l’AIB.

« C’est le Burkina et le peuple burkinabè qui sont honorés à travers ma modeste personne dans la mise en place de cette Académie qui va promouvoir la coopération Sud-Sud », en matière de santé, a indiqué Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho au micro de l’AIB.

Mme Lougué, professeure titulaire en radiologie et imagerie médicale, admise à la retraite en 2024, a souligné que, dans le cadre de cette Académie, le Burkina continuera de bénéficier de l’accompagnement du Maroc en matière de formation et de recherche. Elle a également affirmé que le Burkina compte occuper la place qui lui revient dans cette institution.

« C’est une Académie qui promeut la coopération Sud-Sud en matière de soins, de formation et de recherche associée à l’innovation. Après le lancement, une feuille de route sera établie, et chacun jouera sa partition pour la coopération Sud-Sud souhaitée par le Roi Mohammed VI ainsi que par toutes les grandes personnalités qu’il a mises en avant pour la recherche et la santé », a déclaré Pr Léonie Claudine Lougué/Sorgho.

Le vice-président chargé de la recherche et de la coopération internationale de l’université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou, Pr Adama Sanou, chirurgien, s’est réjoui de cette élection.

« Nous pensons qu’elle pourra plaider auprès de nos autorités locales pour que le Burkina participe activement. Ce qui est intéressant dans cette Académie, c’est qu’elle permettra de promouvoir la formation locale grâce à des bourses d’études déjà existantes mais susceptibles d’être encore améliorées. L’Académie favorisera également les échanges d’expériences dans le domaine des sciences de la santé », a-t-il affirmé.

Le Pr Adama Sanou a salué la vision globale de l’Académie, qui porte sur « l’intégration africaine pour régler les problèmes des populations africaines par les Africains ».

Il a ajouté : « L’initiative des plus hautes autorités marocaines est à saluer, et nous espérons que cela encouragera davantage d’investissements de notre pays dans les sciences et la santé. »

L’Académie africaine des sciences de la santé comprend une trentaine de membres et elle est présidée par le président directeur général de la Fondation Mohammed VI des Sciences et de la Santé Professeur Lahcen Belyamani.

Agence d’information du Burkina
Wurotèda Ibrahima SANOU
Envoyé spécial à Dakhla (Maroc).

La 9ᵉ édition du FEMULIG se tiendra du 29 novembre au 1ᵉʳ décembre

Burkina-Culture-Musique-Live

La 9ᵉ édition du FEMULIG se tiendra du 29 novembre au 1ᵉʳ décembre

Ouagadougou, 23 nov. 2024 (AIB)- La 9ᵉ édition du Festival de musique live de Gounghin (FEMULIG) est prévue du 29 novembre au 1ᵉʳ décembre 2024. Elle vise à valoriser les musiciens instrumentistes et à redynamiser les orchestres et les groupes musicaux.
« Le métier de musicien instrumentiste est une profession à part entière, dont la reconnaissance et la valorisation contribueront sans doute à la lutte contre le chômage, la pauvreté et à la promotion des métiers artistiques », a déclaré Maximilien Aristide Somé, coordonnateur de l’Ensemble musical Le Levain.
Selon lui, chaque instrumentiste devrait pouvoir vivre de son art. M. Somé s’exprimait vendredi, à Ouagadougou, lors de la conférence de presse annonçant la 9ᵉ édition du FEMULIG.
« L’objectif de ce festival est de promouvoir et de valoriser la musique vivante (live) et les musiciens instrumentistes », a-t-il précisé.
Le coordonnateur a expliqué que le FEMULIG est conçu comme un cadre d’expression et de valorisation des musiciens instrumentistes. Il vise également à redynamiser les orchestres et les groupes musicaux.
Durant les trois jours de l’événement, il est prévu : un panel, des masterclasses, une rue marchande, ainsi qu’une soirée dédiée aux lauréats et aux partenaires.
Des prestations artistiques d’artistes de renom sont également programmées pour les deux derniers jours, à la Place de la Femme, située dans le quartier Gounghin.
Pour cette édition, les principales innovations incluent l’introduction de nouvelles activités, telles que « découverte de talents », « trio musical » et « jam session ».
En rappel, l’Ensemble musical Le Levain a lancé, le 27 septembre dernier, un album de 10 titres intitulé Tēebo.
Agence d’information du Burkina

Zondoma/Observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires : Le nombre de conflits en baisse en 2024

Zondoma/Observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires : Le nombre de conflits en baisse en 2024

Gourcy, 19 novembre 2024 (AIB) – L’Observatoire provincial de prévention et de gestion des conflits communautaires du Zondoma a tenu sa session ordinaire ce lundi 18 novembre 2024 à Gourcy. Cette rencontre a permis aux participants d’examiner en profondeur la situation des conflits dans la province.

Avec l’appui de l’Office de Développement des Églises Évangéliques du Burkina (ODE), l’Observatoire a organisé sa session ordinaire dans la salle de réunion du Haut-commissariat de Gourcy. Le Haut-commissaire Aboubacar Sidiki Nabé, dans son discours inaugural, a rappelé l’importance du thème de la session : « Terrorisme et risque de conflits communautaires : quelle attitude adopter ? », soulignant qu’il illustre « la nécessité de mener une réflexion collective sur les stratégies à adopter pour renforcer notre résilience face à des défis complexes », exacerbés par le contexte sécuritaire.

« Faisons en sorte que notre observatoire soit une structure capable d’anticiper les conflits et de proposer des réponses rapides et efficaces », a-t-il déclaré, tout en appelant les participants à une implication active dans les discussions.

Suite à cette allocution, Yala Dahourou, conseiller technique du Gouverneur de la région du Nord, a présenté le thème de la session. Il a rappelé que la région du Nord est l’une des trois régions les plus affectées par le terrorisme, une situation propice à l’émergence de conflits intercommunautaires.

Selon le secrétaire général de la province, Anatole P. Kaboré, les principaux types de conflits dans le Zondoma concernent le foncier et la chefferie coutumière. Il a également indiqué que le Zondoma est en tête des provinces de la région du Nord en termes de conflits recensés. Toutefois, une baisse notable a été observée, avec 53 conflits enregistrés en 2024 contre 76 en 2023.

M. Kaboré a également animé une présentation sur l’arrêté portant création, composition, attributions et fonctionnement de l’Observatoire provincial, un sujet qui a suscité de riches échanges. Pour renforcer l’efficacité de la structure, les participants ont proposé l’élaboration d’un plan d’action annuel et la tenue régulière de ses sessions, tout en explorant les opportunités de financement auprès des partenaires.

Par ailleurs, ils ont recommandé de sensibiliser les citoyens à une utilisation responsable des réseaux sociaux, ces derniers contribuant souvent à l’aggravation des conflits.

Amos Espérance Sidibé, chargé de projet à l’ODE, a souligné que cette session s’inscrit dans le cadre du « Projet de cohésion sociale et de consolidation de la paix ». Après avoir présenté la mission et les actions de l’ODE, il a réaffirmé l’engagement de son organisation à accompagner les acteurs de la province dans leurs initiatives en faveur de la paix et de la cohésion sociale.

Agence d’Information du Burkina
Aziz KIEMDE

Maroc : Signature d’un mémorandum d’entente pour le développement des sciences de la santé en Afrique

Maroc : Signature d’un mémorandum d’entente pour le développement des sciences de la santé en Afrique

Dakhla, 23 nov. 2024 (AIB)- Un mémorandum d’entente visant à formaliser une collaboration stratégique autour du développement des sciences de la santé en Afrique, a été signé samedi à Dakhala au Maroc, a constaté un journaliste de l’AIB.

En marge du lancement de l’Académie africaine des sciences de la santé, un mémorandum d’entente a été signé ce samedi matin à Dakhla entre la Fondation Mohammed VI des sciences et de la santé, le ministère de la Santé et de la Protection sociale, ainsi que le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation.

Ce document vise à formaliser une collaboration stratégique autour du développement des sciences de la santé en Afrique, a constaté l’AIB.Le mémorandum d’entente, dont l’AIB a reçu une copie, prévoit la promotion de la recherche scientifique et de l’innovation, le renforcement de la coopération Sud-Sud, ainsi que le développement de partenariats stratégiques.

Il est entré en vigueur dès sa signature, le samedi 23 novembre 2024, pour une durée de cinq ans.Le ministère de la Santé et de la Protection sociale s’est engagé à apporter un soutien logistique et administratif à l’Académie africaine des sciences de la santé, à coordonner et faciliter les partenariats avec les ministères de la santé et les agences publiques africaines, ainsi qu’à promouvoir et renforcer la visibilité de l’Académie.

De son côté, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation s’est engagé à soutenir la mise en place et le développement de l’Académie, à faciliter l’accès aux ressources académiques et scientifiques, et à encourager la recherche collaborative ainsi que le renforcement des capacités scientifiques et académiques en Afrique.

La Fondation Mohammed VI des sciences et de la santé, quant à elle, s’est engagée à fournir un cadre académique et scientifique pour l’Académie, à organiser des formations, des séminaires et des projets de recherche adaptés aux défis africains, et à promouvoir l’innovation ainsi que la collaboration en matière de recherche.

Agence d’information du Burkina

WIS/ata

Burkina: 3 000 milliards de FCFA de dettes intérieures réglées depuis le début de l’année

Burkina: 3 000 milliards de FCFA de dettes intérieures réglées depuis le début de l’année

Ouagadougou, 23 nov. 2024(AIB)-Le Premier ministre burkinabè, Dr Apollinaire Kyelem, de Tambèla a affirmé samedi à Bobo-Dioulasso, que l’État a déboursé depuis le début de l’année, 3 000 milliards de FCFA pour régler la dette intérieure, rapporte son service de communication.
Agence d’information du Burkina

Lions club Ouagadougou-Soleil offre du matériel de nettoyage à l’école Bilbalogho et à la brigade verte

Burkina-Journée-Salubrité-Lions-Club

Lions club Ouagadougou-Soleil offre du matériel de nettoyage à l’école Bilbalogho et à la brigade verte

Ouagadougou, 23 nov. 2024 (AIB)- Le Lions Club Ouagadougou-Soleil a mené, samedi, une opération de salubrité dans l’enceinte de l’école Bilbalogho de Ouagadougou. À cette occasion, il a remis du matériel de nettoyage à ladite école ainsi qu’à la brigade verte de la ville.

Des poubelles, des râteaux, des pelles et des brouettes figurent, entre autres, parmi le matériel remis par le Lions Club Ouagadougou-Soleil à l’école Bilbalogho et à la brigade verte de Ouagadougou, à l’issue d’une séance de salubrité.

Selon la présidente du Lions Club Ouagadougou-Soleil, Christine Tani, cette initiative vise à maintenir la propreté au sein de leur ancien établissement.

La première responsable du Lions Club Ouagadougou-Soleil, a indiqué que cette séance de salubrité, couplée à une sensibilisation sur le lavage des mains, constitue une occasion pour l’association et ses partenaires d’inviter les élèves de l’école Bilbalogho au respect des règles d’hygiène et à la protection de l’environnement.

« Nous souhaitons que les actions que nous posons aujourd’hui, pour un environnement plus propre et un cadre de vie plus sain, puissent impacter durablement notre communauté et particulièrement nos enfants », a-t-elle soutenu.

L’association a également procédé à une plantation symbolique d’arbres qui, selon la présidente, permettra de magnifier la nature et de fournir de l’ombre aux élèves pendant les heures creuses.

Le clou de la journée sera marqué par un repas destiné à communier avec les enfants de l’établissement, a fait savoir Mme Tani.

Pour le patron de la cérémonie, Parfait Kondia, cette journée symbolise la détermination du Lions Club à bâtir un cadre de vie où chaque citoyen prend ses responsabilités pour un avenir meilleur.

Il a souhaité que cette initiative puisse être étendue à toutes les écoles de la ville de Ouagadougou, au bénéfice des élèves et des enseignants.

En recevant le matériel, la directrice de l’école Bilbalogho, Awa Ouédraogo/Ouédraogo, a salué l’initiative de l’association, qui vient renforcer les capacités de l’établissement à assainir son cadre de travail.

Avant cette journée, le Lions Club Ouagadougou-Soleil avait offert des vivres à la Cour de solidarité de Gounghin. Il prévoit, entre autres, des formations et l’aménagement de ladite cour dans les jours à venir.

Agence d’information du Burkina
YOS/ZO/ata

L’Académie africaine des sciences de la santé de Dakhla veut faire de la santé, une priorité partagée en Afrique, (ministre marocain)

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L’Académie africaine des sciences de la santé de Dakhla veut faire de la santé, une priorité partagée en Afrique, (ministre marocain)

Dakhla (Maroc), 23 nov. 2024 (AIB)- L’Académie africaine des sciences de la santé de Dakhla dont les travaux ont été lancés ce samedi témoigne de la volonté du Maroc, de faire de la santé une priorité partagée entre Africains, a affirmé le ministre marocain de la Santé Amine Tahraoui.

« L’Académie africaine des sciences de la santé est une vision de l’Afrique que nous voulons bâtir. Elle est une ambition portée par des générations qui refusent la fatalité, qui veulent transformer le potentiel du continent en réalité tangible. Enfin, elle est une responsabilité partagée par nous tous, à savoir les politiques et les institutions académiques », a affirmé le ministre marocain de la Santé, Amine Tahraoui à la cérémonie de lancement de l’Académie africaine des sciences de la santé à Dakhla.

La région de Dakhla, située à 1700km de la capitale Rabat, a été retenue pour accueillir cette académie, car elle constitue une passerelle entre le Maroc et l’Afrique, a-t-il expliqué. « Un espace où convergent nos ambitions nationales et continentales », a précisé le Ministre.

Pour lui cette partie du Maroc, du fait de sa richesse illustre ce que le Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le roi Mohammed VI, a toujours défendu, à savoir une croissance inclusive qui ne laisse aucun territoire en marge.

De ses propos, il ressort que l’Académie africaine des sciences de la santé est un symbole d’intégration africaine et d’équité. Cette institution répond à trois impératifs majeurs : former les leaders, innover pour transformer et fédérer les énergies.

Elle témoigne de la volonté du Maroc de faire de la santé une priorité partagée, une rencontre des découvertes et des innovations au bénéfice des populations africaines.

Ces propos sont confortés par la présence à cette cérémonie de plusieurs délégations pays africains.

Une autre intervention qui a marqué cette cérémonie a été celle du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Maroc, Azzedine El Midaoui, portée par le Secrétaire général du ministère.

Pour lui, « l’Académie est un véritable pont entre les différents pays du continent, un laboratoire d’idées, une plateforme d’actions et d’échanges pour améliorer la santé publique à travers des initiatives adaptées aux défis de chaque pays africain ».

Face aux différents défis auxquels le continent africain est confronté, l’académie constitue une opportunité, pour renforcer les relations de partage d’expérience et de collaboration, a t- il poursuivi.

L’Académie africaine des sciences de la santé est portée par la Fondation Mohammed VI des sciences et de la santé.

Son président Directeur Général, le professeur Lahcen Belyamani, estime qu’elle ambitionne d’être un catalyseur de l’enseignement, de la recherche et de l’innovation.

Experts et chercheurs pourront notamment coordonner leurs actions afin de répondre efficacement aux défis sanitaires du continent.

« Nous pourrons faire de l’Académie une plateforme de réflexion, de collaboration et de diffusion des connaissances permettant de renforcer nos systèmes de santé et d’offrir aux citoyens un avenir plus sain et plus prospère », a dit le Pr à leur adresse.

Pour acter les engagements, des conventions ont été signées entre autres, entre le ministre de la Santé et de la Protection sociale, le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et le président-directeur général de la Fondation Mohammed VI des sciences et de la santé et entre le président-directeur général de la Fondation Mohammed VI des sciences et de la santé et l’ambassadeur, directeur général de l’Agence marocaine de la coopération internationale (AMCI).

Agence d’information du Burkina

WIS/ata

 

 

 

 

Europe : Menacée d’une pénurie de gaz, les prix augmentent de 45% cette année.

Europe-Gaz-Prix-Augmentation

Europe : Menacée d’une pénurie de gaz, les prix augmentent de 45% cette année.

Ouagadougou, 23 nov. 2024 (AIB) – L ‘Europe est menacée d’une nouvelle crise de gaz en raison de la diminution rapide des réserves de stockage et d’une réduction potentielle de l’approvisionnement en provenance de Russie. Sur fond de tensions géopolitiques, les prix ont augmenté de 45% cette année, écrit l’agence Bloomberg, cité par TASS.

Selon la source, l’arrivée du froid en Europe a entraîné une forte augmentation de la demande de gaz pour le chauffage. La situation est aggravée par le fait que les vents faibles dans la zone des parcs éoliens ne permettent pas d’utiliser pleinement cette source d’énergie pour la production d’électricité.

Les prix du gaz ont grimpé de 45% au cours de l’année. Comme le note l’agence, ce taux d’augmentation est bien inférieur à celui observé en 2022, mais il reste suffisant pour « menacer d’aggraver la crise inflationniste et d’accroître la pression sur une industrie qui a déjà du mal à survivre ».

« La situation devient similaire à celle de 2022, lorsque l’UE était prête à acheter du gaz à n’importe quel prix », estime Arne Lohmann Rasmussen, analyste en chef de la société Global Risk Management.

Le pays le plus touché pourrait être l’Allemagne, comme en 2022, dont l’économie stagne actuellement. En particulier, l’industrie automobile, l’industrie mécanique et l’industrie chimique allemandes connaissent de graves problèmes.

Agence d’information du Burkina

Le développement du Burkina passe indispensablement par la connaissance de la « Burkinatologie », selon Henri Bosco Bayo

Le développement du Burkina passe indispensablement par la connaissance de la « Burkinatologie », selon Henri Bosco Bayo

Ouagadougou, 22 nov. 2024 (AIB)-Le développement du Burkina passe indispensablement par la connaissance et la maitrise de la ‘’Burkinatologie’’, une science qui étudie les liens de parenté et l’identité du peuple burkinabè, a affirmé à l’AIB, Henri Bosco Bayo, responsable de l’Association de Recherche sur l’Identité des Peuples et le Développement Social (ARIPDS).

« Le Burkina Faso sera un pays puissant grâce à la connaissance de nos liens de parenté et de notre identité au sein de l’humanité», a affirmé le ‘’Burkinatologue’’ Henri Bosco Bayo, dans un entretien mardi à l’AIB.

Pour le président de l’Association de Recherche sur l’Identité des Peuples et le Développement Social (ARIPDS), la compréhension par le peuple burkinabè de ses origines et de son identité, constitue la source du charisme nécessaire au développement du Burkina Faso.

Selon ses recherches, chaque composante du peuple burkinabè possède un charisme particulier de développement, une spécificité qui mérite d’être étudiée, valorisée et utilisée pour bâtir un monde de paix et de prospérité.

Henri Bosco Bayo a révélé que ses travaux sur l’identité des Burkinabè montrent que ceux-ci sont liés par parenté aux Américains, aux Canadiens, aux Russes, aux Israélites et aux Arabes.

Contrairement à ce qui est enseigné dans les écoles, M. Bayo estime qu’il n’existe pas une soixantaine d’ethnies distinctes au Burkina, mais plutôt une soixantaine de langues formant une seule et même grande famille.

« Les noms Somé et Somda chez les Dagara se transforment en Sombié, Sourabié, Soulama ou Soma dans la grande famille Gouin. Les noms mossi Sanem, Saneem trouvent leurs équivalents bobo dans les noms Sanum, Sanon et Sanou. Le nom Gan a donné Gambaga en Mooré», a-t-il expliqué.

De l’avis de Henri Bosco Bayo, aucun peuple ne peut se développer en méconnaissant son identité.

Agence d’information du Burkina

YOS/ata

Le CSC exhorte les Burkinabè à ne pas publier des messages religieux aux contenus haineux 

Le CSC exhorte les Burkinabè à ne pas publier des messages religieux aux contenus haineux 

Ouagadougou, 22 nov. 2024(AIB)-Le Conseil supérieur de la Communication (CSC) a exhorté vendredi, les Burkinabè à abstenir de publier ou de partager, dans l’ensemble de l’espace numérique (Facebook, WhatsApp, TikTok, X…), des messages religieux ou à caractère religieux aux contenus haineux et dénigrants.

Le CSC explique avoir constaté depuis un certain temps, la propagation de messages haineux à caractère religieux à travers les plateformes numériques.

Agence d’information du Burkina

Lire le communiqué intégral 👇 👇 👇 👇 👇 👇 👇 👇 👇

« Au public burkinabè, à tout utilisateur des réseaux sociaux

Le Conseil supérieur de la communication (CSC) a constaté, depuis un certain temps, la propagation de messages haineux à caractère religieux à travers les plateformes numériques.

En vue de contenir ces dérives susceptibles de dégrader le climat social, le CSC a engagé une série de concertations et des actions de sensibilisation auprès de plusieurs responsables de plateformes numériques diffusant des messages sur la religion. Cette démarche vient en appui aux actions initiées par l’instance de régulation courant juin 2023, qui avaient permis l’élaboration et l’adoption d’un guide et d’une charte de gestion des messages à caractère confessionnel, dont l’écho favorable auprès des acteurs avait permis l’apaisement du discours religieux dans les médias.

Le CSC se félicite des actions entreprises par des organisations religieuses sur la base de ces référentiels didactiques, tout en les encourageant à poursuivre les actions de formation et de sensibilisation auprès des responsables religieux, des fidèles et du public.

 

Par ailleurs, le CSC tient à rappeler aux citoyens, et, particulièrement, aux utilisateurs des réseaux sociaux, la responsabilité de tous et de chacun dans la promotion du vivre- ensemble et de la culture de la paix dans notre pays.

 

C’est pourquoi, le CSC exhorte les utilisateurs des réseaux sociaux à s’abstenir de publier ou de partager, dans l’ensemble de l’espace numérique, des messages religieux ou à caractère religieux aux contenus haineux et dénigrants.

Au demeurant, tout contrevenant s’expose à la rigueur de la loi. »

Le président du CSC, Louis Modeste Ouédraogo

Ouagadougou, 22 novembre 2024.

Mali : La HAC ferme la télévision Joliba TV après des offenses au peuple burkinabè 

Mali : La HAC ferme la télévision Joliba TV après des offenses au peuple burkinabè 

Ouagadougou, 23 nov. 2024 (AIB)-La Haute Autorité de Communication (HAC) du Mali a décidé, ce vendredi, de fermer la télévision privée Joliba TV News, quelques jours après la diffusion d’un débat au cours duquel des propos offensants ont été tenus à l’égard du peuple et des dirigeants burkinabè.

Pour rappel, le 12 novembre 2024, le Conseil supérieur de la communication du Burkina Faso avait demandé à son homologue malien de prendre les mesures qu’il jugerait appropriées suite à la diffusion de cette émission sur Joliba TV.

Lors de cette émission, le chroniqueur Issa Kaou N’Djim avait critiqué la récente tentative de putsch au Burkina Faso et tenu des propos discourtois à l’encontre du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

M. N’Djim est incarcéré depuis le 13 novembre 2024. Son procès est prévu pour le 23 décembre 2024.

Agence d’information du Burkina

Gnagna: La commune de Manni ravitaillée

Gnagna: La commune de Manni ravitaillée

Bogandé, 22 nov. 2024 (AIB)- La commune de Manni, dans la province de la Gnagna, a reçu le vendredi 22 novembre un ravitaillement en vivres, a appris l’AIB.

Cible d’une attaque terroriste, vaillamment repoussée le 6 octobre dernier, la ville de Manni a été ravitaillée ce vendredi au grand bonheur des populations.

Ce ravitaillement salutaire a été rendu possible grâce à la parfaite coordination des combattants des Bataillon d’intervention rapide (BIR) 2, basé à Manni, et le BIR 19, basé à Bogandé.

Agence d’information du Burkina

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