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17e session Formation : Gestion de la sécurité et de la sûreté des projets et programmes humanitaires

17e session Formation : Gestion de la sécurité et de la sûreté des projets et programmes humanitaires

Vous êtes coordonnateur de projet, travailleur humanitaire, membre des FDS ou en reconversion professionnelle ? Cette formation est faite pour vous !

🔑 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐬𝐮𝐢𝐯𝐫𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 ?
Découvrez les outils stratégiques et pratiques pour gérer la sécurités et la sûreté des projets humanitaires, garantir l’accès humanitaire en zones hostiles et prévenir efficacement les incidents.

📘 𝐏𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 𝐝𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞́ :
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟏 : Droit international humanitaire : Principes et Règles ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟐 : Les fondamentaux de la gestion de la sécurité ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟑 : L’accès humanitaire en zone hostile ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟒 : L’analyse de contexte ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟓 : L’analyse des risques ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟔 : Le triangle de sécurité d’une mission humanitaire ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟕 : Le cycle de gestion de la sécurité et de la sûreté ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟖 : La mise en œuvre d’un plan de sécurité ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟗 : Le plan de contingence/d’urgence sécuritaire ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟏𝟎 : Les briefings de sécurité ;
– 𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟏𝟏 : La gestion des incidents et des crises.

👥 𝐏𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 𝐜𝐢𝐛𝐥𝐞 :
Cette formation s’adresse à :
– Coordinateurs, chefs et assistants de projet souhaitant développer leurs connaissances en sécurité ;
– Travailleurs humanitaires désireux de renforcer leurs compétences ;
– Membres des FDS aspirant à devenir chargés de sécurité et sûreté ;
– Responsables sécurité dans les mines, agences UN ou autres projets ;
– Analystes politiques ou sécuritaires et jeunes ambitieux en quête de renforcement de capacités.

🔐 𝐏𝐫𝐢𝐧𝐜𝐢𝐩𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞́𝐛𝐨𝐮𝐜𝐡𝐞́𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐬 :

1. Responsable ou Coordinat.rice.eur Sécurité Humanitaire ou minière
2. Chargé(e) de l’Accès Humanitaire
3. Analyste Sécurité / Gestionnaire des Risques
4. Coordinat.rice.eur de Projets en Zone Instable
5. Consultant.e ou Format.rice.eur en Gestion de la Sécurité
6. Chargé.e de la Gestion de Crise ou de la Continuité des Activités

📈 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢

Le secteur humanitaire connaît une demande croissante pour des professionnels qualifiés en sécurité. Par exemple, Indeed répertorie actuellement ( 04 mai 2025) plus de 100 offres d’emploi dans le domaine de la sécurité humanitaire . De plus, des postes tels que Responsable Sécurité et Accès Humanitaire sont régulièrement proposés par des organisations internationales .

📅 𝐃𝐚𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐌𝐨𝐝𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́𝐬 :
– 𝐃𝐚𝐭𝐞𝐬 : Du 29, 30, 31 Mai et 1er Juin 2025
– 𝐇𝐨𝐫𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬: 18h à 21h00 (Jours Ouvrable), 09h00 à 15h00 (Weekend)
– 𝐌𝐨𝐝𝐞 : Présentiel (Ouagadougou) ou à distance (Visioconférence)
– 𝐍𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞𝐬 : 15

💰 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐞𝐭 𝐈𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 :
– 𝐅𝐫𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐬𝐬𝐢𝐞𝐫 : 10 000 FCFA (non compris dans les frais de formation)
– 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : 70 000 FCFA (individuel) / 150 000 FCFA (institutionnel)
– Possibilité de paiement en deux tranches
– 𝐈𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐯𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐜𝐢 : https://forms.gle/dSYgoJYrczxTyyVL7
– Ou WhatsApp : https://wa.me/p/9779415068780734/22676986565

📋 𝐋𝐢𝐯𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 :
– Cahier de participants ;
– Certificat de formation ;
– Outils professionnels de gestion.

📩 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭𝐬 :
+226 76986565 / +226 60339494 / +226 25487989
𝐄-𝐦𝐚𝐢𝐥 : siemana@outlook.be

Chez 𝐒𝐢𝐞𝐦𝐚𝐧𝐚, nous pensons et agissons autrement pour vous offrir une formation qui répond aux plus hautes exigences du secteur humanitaire. 🌍

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Drépanocytose : une caravane de sensibilisation lancée à Koudougou au profit de la région

BURKINA-CENTRE-OUEST-SANTE-DREPANOCYTOSE-CARAVANE-SENSIBILISATION

Drépanocytose : une caravane de sensibilisation lancée à Koudougou au profit de la région

Koudougou, le 27 mai 2025 (AIB) – La ville de Koudougou a accueilli mardi, le lancement officiel d’une caravane de sensibilisation sur la drépanocytose au profit de la région du Centre-Ouest, a constaté l’AIB sur place.

Cette initiative, placée sous le thème « Drépanocytose, et si on en parlait à l’école », vise à éduquer les élèves de la région du Centre-Ouest sur cette maladie génétique et héréditaire à travers des activités littéraires et théâtrales.

La caravane est une opportunité pour les élèves d’en apprendre davantage sur la drépanocytose. Le docteur Valérie Pouan, médecin référent et écrivaine, a souligné l’importance de cette sensibilisation, alors que la drépanocytose touche des millions de personnes dans le monde.

Avec ses partenaires, Dr. Pouan offrira également aux élèves la possibilité de connaître leurs groupes sanguins les 27 et 28 mai 2025, directement dans la cour du Lycée provincial de Koudougou qui a accueilli le lancement de cette activité.

Le comité d’organisation de la caravane se fixe l’ambitieux objectif de toucher, pas moins de 214 établissements de la région du Centre-Ouest tout au long de la prochaine année scolaire.

Le discours d’ouverture, prononcé par le conseiller technique du gouverneur par intérim Augustin Ouédraogo, a réaffirmé l’engagement des autorités régionales envers cette cause essentielle.
Agence d’information du Burkina
PB/AS/ATA

Mouhoun/Examens scolaires du secondaire session de 2025 : Des journalistes s’imprègnent de l’organisation

BURKINA-MOUHOUN-EDUCATION-EXAMENS-ECHANGES

Mouhoun/Examens scolaires du secondaire session de 2025 : Des journalistes s’imprègnent de l’organisation

Dédougou, le 27 mai 2025 (AIB)-La direction régionale en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, a organisé, le mardi 27 mai 2025 à Dédougou, une conférence de presse, pour informer les hommes de médias sur l’organisation des examens scolaires et solliciter leur soutien pour diffuser des informations précises auprès des populations.

Le Directeur régional (DR) en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, Raoul Sanon, accompagné de la directrice provinciale, Aude Claudine Ki/Ouédraogo et du chef de service des examens et concours et de la certification, Yaya Traoré, a ouvert la conférence, le mardi 27 mai 2025 à Dédougou, pour faire le point sur les préparatifs des examens dans la région.

Il a souligné la collaboration efficace avec les Forces de défense et de sécurité (FDS), qui ont permis le transport du matériel et des sujets d’examen dans presque toutes les provinces de la Boucle du Mouhoun.

Cette année, la région enregistre un total de 15 113 candidats au Brevet d’études du premier cycle (BEPC), dont 8 673 filles.

Pour le Brevet d’études professionnelles et le Certificat d’aptitude professionnelle (BEP/CAP), 863 candidats sont inscrits, avec 252 filles.

Quant au Baccalauréat, 7 843 candidats, dont 4 038 filles, passeront l’examen.

Ces chiffres marquent une baisse par rapport à l’année précédente, principalement en raison du taux de succès élevé de la session de 2024.

En raison de la nouvelle configuration du ministère, la direction régionale organisera également les examens de certification professionnelle (CQP et BQP).

 1 608 candidats sont attendus pour le CQP et le BQP, répartis dans 30 jurys à travers la région.

Malgré les défis, le directeur régional Sanon, a exprimé sa confiance quant au bon déroulement des examens, grâce aux efforts déjà déployés sur le terrain.

Il a également adressé ses vœux de réussite aux candidats et a souhaité que les examens se déroulent sans encombre.

Les hommes de médias se sont intéressés à la maîtrise du logiciel SIGEC utilisé depuis quelques années pour les examens scolaires et qui avait causé de nombreuses difficultés aux utilisateurs, le choix des acteurs, la cause des effectifs réduits cette année, les centres d’examens rouverts et le cas des élèves déplacés internes.

A ces différentes préoccupations, des réponses adéquates ont été apportées.

« Le logiciel SIGEC a été beaucoup amélioré et présente maintenant des facilités pour son utilisation adéquate pour une bonne organisation des examens. De même, le choix des acteurs est facilité par le logiciel déployé afin de permettre une bonne organisation des examens », a dit le chef de service des examens et concours et de la certification.

La région de la Boucle du Mouhoun connait une situation sécuritaire difficile depuis quelques années et qui avait entrainé la fermeture des classes dans plusieurs localités.

De nos jours, grâce à l’engagement des forces combattantes à qui un hommage est rendu, plusieurs localités ont été libérées et l’école a repris au bonheur des populations.

Avec cette reprise, le constat fait dans les écoles montre des faibles effectifs.

De même, les localités réinstallées qui ont connues la reprise des classes, pourront abriter des centres d’examens.

Les élèves déplacés internes ont pu s’inscrire dans les zones d’accueil depuis la rentrée et pourront composer là où ils se sont inscrits.

Cette conférence, troisième du genre, a été une occasion essentielle de renforcer la communication entre les autorités éducatives et les médias, afin d’assurer une information juste et fiable à la population.

La direction régionale espère ainsi une couverture médiatique positive qui contribuera à la réussite des examens scolaires dans la région de la Boucle du Mouhoun.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

Passoré : Le gouverneur de la région du Nord réceptionne des d’infrastructures réalisées par le PNUD

Burkina-Passoré-Remise-Infrastructures

Passoré : Le gouverneur de la région du Nord réceptionne des d’infrastructures réalisées par le PNUD

Yako, 27 mai 2025(AIB)-Le gouverneur de la région du Nord a réceptionné mardi 27 mai 2025, au cours d’une tournée, des infrastructures éducatives et sanitaires réalisées par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) dans la commune de Yako.
En compagnie d’une délégation composée du point focal du PNUD dans la région du Nord et des autorités administratives du Passoré, le gouverneur du Nord, Thomas Yampa a d’abord mis le cap sur le village de Tanghin, à environ 30 kilomètres de Yako.

Il s’est agi de réceptionner officiellement les infrastructures éducatives et sanitaires réalisées par le PNUD au profit des populations de Tanghin et Petit-Samba, deux villages situés respectivement dans la commune de Yako et de Kirsi.

A Tanghin, la délégation a inauguré un bâtiment de 6 salles de classes, un forage, une cuisine et des latrines réalisés par le PNUD au profit de l’école primaire publique de ce village.

Après Tanghin, elle s’est également rendue à Petit-Samba, à environ 11 kilomètres de Yako sur la RN2 pour l’inauguration d’une salle de dépôt pharmaceutique et d’un logement appartenant au Centre social de promotion de santé

La maternité et dispensaire de la localité ont été aussi réhabilités par le même partenaire technique et financier.

Avant d’entamer la tournée, le gouverneur et sa délégation ont rendu une visite de courtoisie au Haut-commissaire et au président de la délégation Spéciale (PDS) de Yako.

Agence d’information du Burkina
ZES/NO/ATA

Axe Koudougou-Yako : le démarrage des travaux dans un avenir très proche

BURKINA-CENTRE-OUEST-KOUDOUGOU-YAKO-INFRASTRUCTURES-ROUTE-BITUMAGE

Axe Koudougou-Yako : le démarrage des travaux dans un avenir très proche

Koudougou, le 27 mai 2025 (AIB) – Le gouverneur par intérim de la région du Centre-Ouest, Adama Jean Yves Béré, a reçu mardi, une équipe de Faso-Mèbo conduite par le capitaine Yasser Traoré, dans le cadre de la construction très prochaine de la route nationale numéro 13 (axe Koudougou-Yako).

C’est une rencontre prometteuse qui s’est tenue dans les locaux du gouvernorat de Koudougou. Elle  marque une étape décisive pour le développement local. En effet, l’équipe de Faso-Mèbo, sous la direction du Capitaine Yasser Traoré, a été reçue par le gouverneur par intérim de la région du Centre-Ouest Adama Jean Yves Béré. Au centre des discussions : la prospection de la route nationale 13 (RN13), l’axe stratégique reliant Koudougou à Yako, en vue de son bitumage imminent.

Cette annonce est perçue comme une véritable lueur d’espérance pour les populations de la région. « Longtemps délaissée, cette route est sur le point de connaître une transformation majeure » a confié le gouverneur de la région. Son bitumage est attendu pour relier plus efficacement les communautés, dynamiser l’économie locale et faciliter le trafic routier et l’accès aux services essentiels tels que l’éducation et la santé.

Pour de nombreux habitants, chaque mètre de goudron posé sur la RN13 symbolisera un pas de plus vers la dignité. Chaque effort consenti dans ce projet est vu comme une promesse de justice sociale et une victoire pour l’ensemble du peuple burkinabè.

Ce projet s’inscrit dans une dynamique nationale forte, réaffirmant l’engagement des autorités à ne laisser personne « au bord de la route ». Et M. Béré de réaffirmer que « le Burkina Faso continue ainsi d’avancer, avec des initiatives concrètes visant à améliorer le quotidien de ses citoyens et à renforcer la cohésion nationale ».
Agence d’information du Burkina
PB/AS/ATA

Guinée : Les autorités annule les licences d’exploration de plus de 120 sociétés

GUINÉE-ÉCONOMIE-ENTREPRISES-LICENCES-ANNULATION

Guinée : Les autorités annule les licences d’exploration de plus de 120 sociétés

Ouagadougou, 27 mai 2025(AIB)-Les autorités guinéennes ont retiré à 129 sociétés leurs licences d’exploration minière sur le territoire du pays. C’est ce que rapporte le portail d’information Guinée 360 en se référant au ministre guinéen des Mines et de la Géologie, Bouna Sylla.

Selon le média, ces licences ont été retirées sans compensation financière.
Les entreprises concernées comprennent à la fois de grands acteurs étrangers et de petites entreprises opérant dans les secteurs de l’exploitation des diamants, de la bauxite, du minerai de fer et des métaux non ferreux.

Cette mesure du gouvernement guinéen s’inscrit dans le cadre du renforcement de son contrôle sur l’industrie minière du pays.

Agence d’information du Burkina
Avec TASS

Renforcer le civisme et le dialogue communautaire pour une paix durable

BURKINA-COHÉSION SOCIALE-3E ÉDITION-SRVC-PAIX

Renforcer le civisme et le dialogue communautaire pour une paix durable

Ouagadougou, 27 mai 2025 (AIB)-Le ministre d’État, ministre de l’administration territoriale et de la mobilité, Émile Zerbo, a présidé ce mardi 27 mai, à la salle des fêtes de la mairie centrale de Ouagadougou, une conférence publique marquant le point culminant de la troisième édition de la Semaine régionale du vivre-ensemble (SRVC) dans la région du Centre.

Placée sous le thème : « Civisme et dialogue communautaire : fondements d’une cohésion sociale durable dans la région du Centre », cette édition, organisée par le gouvernorat du Centre, a été lancée officiellement le 20 mai dernier à Koubri, dans la commune de Komsilga.

Dans son allocution d’ouverture, le ministre d’État a appelé les participants à renforcer le civisme et le dialogue communautaire. « Ensemble, unis dans la diversité, nous pouvons relever les défis qui se dressent devant nous », a déclaré Émile Zerbo, exhortant les citoyens à adopter des actions concrètes pour promouvoir le vivre-ensemble harmonieux.

La conférence a enregistré la participation de diverses personnalités, dont la ministre de l’Action humanitaire, Pélagie Kabré, et le parrain de l’événement, El Hadj Hamado Ouédraogo, président du Conseil régional du Patronat burkinabè. Une mobilisation pour la paix et la solidarité.

Le gouverneur Abdoulaye Bassinga rappelle que la SRVC vise à renforcer le brassage des populations et la consolidation des efforts en faveur de la paix.

Le parrain, El Hadj Hamado Ouédraogo, a insisté sur la nécessité de cultiver des valeurs fondamentales telles que le respect mutuel, l’écoute et le dialogue, pour contrer les divisions sociales.

Lors de cette conférence, le Conseil régional du Patronat burkinabè a remis un chèque de 10 000 000 FCFA au Fonds de soutien patriotique, marquant ainsi leur engagement en faveur de la cohésion sociale et de la solidarité nationale.

Les participants ont suivi trois communications sur les axes majeurs du thème, une présentation sur la sécurité routière et une intervention du bureau des grands projets sur les initiatives présidentielles.

En marge des discussions, des activités culturelles et des actions de salubrité ont été organisées pour sensibiliser les populations et promouvoir les valeurs de paix et d’unité.

Dans son discours de clôture, le ministre d’État a exhorté les citoyens à s’engager activement pour faire de la région du Centre un modèle de cohésion sociale et de développement durable.

Cette troisième édition de la SRVC constitue une plateforme pour renforcer l’unité, promouvoir les valeurs communautaires et bâtir un avenir pacifique pour la région du Centre et le Burkina Faso dans son ensemble.

Agence d’information du Burkina
OS/ZAF/ATA

Kourittenga/Rencontres de créations audiovisuelles : Un festival qui œuvre pour le rayonnement du cinéma burkinabè

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Kourittenga/Rencontres de créations audiovisuelles : Un festival qui œuvre pour le rayonnement du cinéma burkinabè

Koupéla, 26 mai 2025 (AIB)-Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a lancé, le lundi 26 mai 2025 à Koupéla, la 3ᵉ édition du Festival des rencontres de créations audiovisuelles (RCA), en présence d’autorités administratives et coutumières, professionnels du cinéma africain, responsables culturels, partenaires et passionnés du 7ᵉ art.

A travers la 3ᵉ édition du Festival des rencontres de créations audiovisuelles (RCA), tenu le lundi 26 mai 2025 à Koupéla, les organisateurs ambitionnent de valoriser les jeunes talents de la région du Centre-Est, de promouvoir le cinéma burkinabè et d’en élargir la visibilité à l’échelle locale et nationale.

La coordonnatrice déléguée du festival, Juliette Jeannine Wango, a dévoilé les grandes lignes de cette édition, marquée par des projections de films, des sessions de formation et une nouveauté majeure : une compétition de courts-métrages.

« Cette compétition permettra à de jeunes passionnés issus de ciné-clubs, d’écoles ou d’associations, d’exprimer leur créativité à travers des films courts. Les meilleurs devaient être récompensés par le ‘’Goyak d’or’’, une distinction que nous souhaitions instaurer cette année », a-t-elle indiqué.

Elle a expliqué que faute de moyens, cette ambition n’a pu se concrétiser, « mais nous restons confiants pour l’avenir ».

L’invité d’honneur du festival, Hippolyte Ouangrawa, alias M’Ba boanga, a salué la pertinence de l’initiative et a exhorté les participants à tirer profit des formations et à se montrer rigoureux et passionnés.

« Le cinéma est un puissant vecteur d’apprentissage et de transmission. J’invite chacun à s’investir avec foi, afin que les savoirs acquis servent à bâtir une relève compétente et inspirée », a-t-il lancé.

Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a réaffirmé l’engagement de l’administration provinciale à soutenir le RCA.

Il a salué un festival qui, selon lui, constitue « un tremplin pour stimuler la création artistique et susciter un engouement durable pour le cinéma auprès des jeunes du Kourittenga ».

M.Ilboudo a également promis un accompagnement actif, en collaboration avec les présidents de délégation spéciale et les bonnes volontés.

« Le développement culturel est un levier de développement local. Ce festival, né ici à Koupéla, mérite d’être soutenu et pérennisé », a conclu le Haut-commissaire de la province du Kourittenga.

Cette 3ᵉ édition des Rencontres de créations audiovisuelles de Koupéla s’annonce comme un carrefour d’expression artistique et un espace d’éclosion de talents, au service du rayonnement du cinéma burkinabè.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

 

 

France/Surendettement :  le Premier ministre crie au secours 

France-Finance-Dette

France/Surendettement :  le Premier ministre cris au secours 

Ouagadougou, 27 mai 2025 (AIB) – Le Premier français, François Bayrou, a demandé mardi aux citoyens de participer à la stabilisation du budget national, dont la dette a atteint un niveau insupportable

« Je proposerai aux Français un plan de retour à l’équilibre des finances publiques sur trois ou quatre années. […] Le gouvernement va proposer aux Français un plan de retour à l’équilibre des finances publiques et ce plan de retour à l’équilibre des finances publiques, il va demander un effort à tous les Français, le plus juste possible, mais un effort suffisant pour que la France sorte de cette situation, a déclaré M. Bayrou à BFMTV », précisant que ce plan serait présenté en juillet.

Le premier ministre a reconnu que le pays est « endetté » et qu’il produit moins que ses voisins. Dans le même temps, il a précisé que les dépenses mensuelles des Français sont supérieures de 10% à leurs revenus

Agence d’information du Burkina

Incendie du 9 mai à Kossodo : Le PDG de FASO CHEM emprisonné en attendant son procès

Burkina-Justice-Arrestation

Incendie du 9 mai à Kossodo : Le PDG de FASO CHEM emprisonné en attendant son procès

Ouagadougou, 27 mai 2025 (AIB)-Le Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance Ouaga I, Blaise Bazié, a annoncé l’incarcération du PDG de FASO CHEM, suite à l’incendie le 9 mai 2025 à Kossodo, d’un dépôt illicite de produits chimiques dangereux.

Selon les investigations menées par la police environnementale, la société FASO CHEM SARL, spécialisée dans l’importation de substances chimiques, stockait illégalement de l’acide nitrique et sulfurique dans un magasin à Kossodo situé en zone d’habitation, sans autorisation conforme ni étude environnementale préalable.

Il ressort des enquêtes que la société a obtenu des autorisations d’importation en fournissant un dossier basé sur un local conforme situé à Tanghin, alors que les produits étaient stockés ailleurs, dans des conditions dangereuses.

Le Président Directeur Général de FASO CHEM a été placé sous mandat de dépôt le 19 mai 2025, tandis que son Directeur Général, de nationalité étrangère, a quitté le pays avant la fin des investigations.

La justice a engagé des poursuites pour stockage illicite de produits chimiques dangereux et mise en danger délibérée de la vie d’autrui. L’affaire sera examinée à l’audience du 28 mai.

Le procureur du Faso Blaise Bazié appelle à la vigilance citoyenne et encourage le signalement de tout stockage ou traitement suspect de produits chimiques dangereux.

Agence d’Information du Burkina
ATA/ak

𝐃é𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐭𝐡é𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 à 𝐥’𝐀𝐌𝐒 : 𝐥𝐞 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 𝐞𝐱𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐬𝐚 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭é𝐠𝐢𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐑𝐀𝐌 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭é 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞, 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐝𝐨𝐥𝐞𝐬𝐜𝐞𝐧𝐭

Genève | 27 mai 2025

𝐃é𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐭𝐡é𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 à 𝐥’𝐀𝐌𝐒 : 𝐥𝐞 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 𝐞𝐱𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐬𝐚 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭é𝐠𝐢𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐑𝐀𝐌 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭é 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞, 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐝𝐨𝐥𝐞𝐬𝐜𝐞𝐧𝐭

À l’occasion du dernier jour de la 78e Assemblée mondiale de la Santé (AMS), Dr Anicet Kpoda, Directeur régional de la Santé du Centre-ouest et membre de la délégation du Burkina Faso, a prononcé deux déclarations. La première portait sur la résistance aux antimicrobiens (RAM) et la seconde sur la stratégie mondiale pour la santé de la femme, de l’enfant et de l’adolescent.

Dans sa première déclaration, Dr Kpoda a souligné les efforts du Burkina Faso pour améliorer la santé de la femme, du nouveau-né, de l’enfant et de l’adolescent. « Notre pays a réduit la mortalité maternelle d’environ 40 % entre 2015 et 2021, et le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans est passé de 82 à 48 ‰ », a-t-il affirmé. Il a également mentionné plusieurs initiatives ayant contribué à ces avancées, notamment la gratuité des soins pour les femmes et les enfants, le renforcement d’interventions à fort impact telles que la prise en charge intégrée des maladies de l’enfant et les soins obstétricaux et néonatals d’urgence, ainsi que la mise en place d’un système de gestion des incidents pour mieux suivre et améliorer la riposte face à la mortalité maternelle et néonatale.

Dans sa seconde déclaration, le délégué burkinabè a mis en avant les efforts nationaux dans la lutte contre la RAM. Il a rappelé que le Burkina Faso s’inscrit dans la dynamique mondiale à travers des actions telles que l’adoption du plan d’action national multisectoriel 2024–2026 de lutte contre la RAM, la révision du guide national de surveillance intégrée de la RAM, l’élaboration de standards et directives en matière d’hygiène dans les établissements de soins, et l’approche « One Health » dans la lutte contre la résistance aux antimicrobiens.

Renouvelant l’engagement du Burkina Faso, Dr Kpoda a exhorté l’OMS à poursuivre ses efforts pour assurer la mise en œuvre effective de la stratégie mondiale pour la santé de la femme, de l’enfant et de l’adolescent. Il a également, au nom de la délégation, soutenu l’actualisation du plan d’action mondial de lutte contre la RAM dans une perspective inclusive.

Ces déclarations, relevant du Pilier 1, s’inscrivent respectivement dans les Points 13 et 15 de l’ordre du jour de l’OMS.

#MS

#78e_AMS

#Déclarations

#RAM

𝘿𝘾𝙍𝙋-𝙈𝙎

Agence d’Information du Burkina

Ioba : Le nouveau directeur provincial de l’enseignement secondaire s’engage à relever les défis avec courage

Burkina – Ioba – Enseignement – Secondaire – Formation

Ioba : Le nouveau directeur provincial de l’enseignement secondaire s’engage à relever les défis avec courage

Dano, 23 mai 2025 (AIB) – Tigdwédé Joseph Kima a été officiellement installé à la tête de la Direction provinciale de l’Enseignement secondaire, de la Formation professionnelle et technique du Ioba, le mercredi 7 mai à Dano, par le secrétaire général de la province du Ioba, André Lankoandé.

Inspecteur de l’enseignement secondaire, Tigdwédé Joseph Kima a été nommé directeur provincial de l’Enseignement secondaire, de la Formation professionnelle et technique du Ioba (DPESFPT) en Conseil des ministres du 3 avril 2025.

En présence des autorités administratives, des corps constitués, de collègues, de parents et d’amis, il a été installé dans ses nouvelles fonctions par le secrétaire général de la province du Ioba, André Lankoandé, représentant le haut-commissaire.

« À l’image de notre peuple burkinabè, résilient et fier, je m’engage à relever les défis avec courage. En ces temps de turbulence, l’éducation reste le levier pour former des citoyens responsables, compétents et capables de participer activement au développement national », a déclaré le nouveau DPESFPT du Ioba.

M. Kima a placé son mandat sous quatre axes. Il souhaite travailler à renforcer l’accès à l’éducation secondaire et à la formation professionnelle pour tous. Il compte également améliorer la qualité des enseignements. « Pour cela, je m’engage à accompagner les enseignants dans leur montée en compétence », a insisté Joseph Kima.

Il entend également entamer la professionnalisation des écoles à travers l’apprentissage des métiers. En plus, il souhaite promouvoir une gouvernance participative, avec la collaboration active de tous les acteurs.

Le DPESFPT entrant était précédemment membre de l’équipe d’encadrement à Réo, dans la province du Sanguié. Il remplace à ce poste Abdoulaye Sawadogo, nommé DPESFPT de la Bougouriba.

Ce dernier a passé 2 ans, 7 mois et 19 jours à la tête de la DPESFPT du Ioba. Sous sa direction, des acquis ont été enregistrés en matière d’offre éducative, d’effectifs et de résultats au BEPC et au baccalauréat. Selon M. Sawadogo, l’insuffisance du personnel enseignant a entraîné une augmentation du volume des heures de vacation. Il a remercié les autorités provinciales, ses collaborateurs et l’ensemble des acteurs de l’éducation pour les multiples soutiens dont il a bénéficié.

Le représentant du personnel de la DPESFPT, le doyen de l’amicale des directeurs et chefs de services du Ioba, ainsi que le directeur régional de l’enseignement secondaire du Sud-Ouest ont tous félicité le nouveau directeur provincial. Ils ont également remercié le DPESFPT sortant pour la mission accomplie dans le Ioba.

Le secrétaire général de la province du Ioba, André Lankoandé, a félicité Tigdwédé Joseph Kima pour sa nomination. Il l’a rassuré de l’accompagnement de l’administration et de l’ensemble des corps constitués pour la réussite de sa mission. M. Lankoandé a salué le travail remarquable du directeur provincial sortant. Il a remercié les participants à cette passation de charges pour leur mobilisation et leur contribution à la lutte contre l’ignorance au Burkina Faso.

Le DPESFPT sortant, Abdoulaye Sawadogo, a reçu de nombreux présents offerts par ses différents collaborateurs.

Agence d’Information du Burkina

SZ / dnk / ata

Burkina Faso : l’AIB souffle ses 61 bougies et se réinvente

Burkina- Média- AIB-Anniversaire

Burkina Faso : l’AIB souffle ses 61 bougies et se réinvente

Ouagadougou, 27 mai 2025 (AIB) – Portée sur les fonts baptismaux, il y a 61 ans jour pour jour, l’Agence d’Information du Burkina (AIB) connaît aujourd’hui un renouveau significatif, après plusieurs décennies de léthargie. Ce regain d’énergie s’explique notamment par l’engagement des autorités actuelles et le dévouement constant de ses équipes.

Créé le 27 mai 1964 sous le nom d’Agence voltaïque de presse (AVP), l’AIB a traversé de nombreuses mutations au rythme des changements politiques. Tantôt autonome, tantôt rattachée à différents ministères, l’agence n’a que rarement eu l’opportunité de s’imposer durablement comme grossiste de l’information.

En 1977, l’AIB est dotée d’un patrimoine propre, avant d’être rattachée au ministère de l’Information deux ans plus tard. En 1982, elle frôle la disparition sous le régime du Président Saye Zerbo. Mais l’arrivée du capitaine Thomas Sankara au pouvoir en 1983 lui donne un second souffle.

Sous la Révolution, une ordonnance présidentielle vient redéfinir les missions de l’AIB, réglementant notamment l’utilisation des dépêches étrangères. C’est aussi à cette époque que l’agence adopte son nom actuel, à la faveur du changement de dénomination du pays.

L’embellie sera de courte durée, car l’assassinat du Sankara en 1987 met fin à la dynamique engagée.
En 1990, elle est intégrée au quotidien Sidwaya, avant de fusionner officiellement avec ce dernier en 1999, dans le cadre de la création de l’Office national des Éditions Sidwaya (ONAES), devenu en 2011 « Les Éditions Sidwaya ».

Malgré ce repli structurel, l’agence entame à partir des années 2000 une transformation numérique. Elle cesse l’édition papier de son bulletin en 2005, se dote de nouveaux équipements et lance un site web.

Le tournant décisif intervient en août 2024, lorsque le gouvernement décide de l’ériger en Établissement public de l’État. Une décision stratégique qui vise à lui redonner les moyens de ses ambitions : fournir une information fiable, défendre les intérêts nationaux et contribuer à la souveraineté du Burkina Faso.

Aujourd’hui, l’AIB s’impose comme un acteur central du paysage médiatique burkinabè. Forte du plus vaste réseau de correspondants dans le pays, elle publie plus d’une quarantaine de dépêches par jour, alimente un site parmi les plus consultés du pays et maintient une présence active sur la quasi-totalité des réseaux sociaux.

À l’heure où la guerre de l’information fait rage, l’AIB entend rester fidèle à ses principes : vérité, objectivité et service au public. Plus que jamais, elle s’inscrit dans la dynamique d’une presse nationale responsable, engagée dans la lutte pour l’émancipation des peuples du Sahel.

Joyeux anniversaire à l’AIB!

Agence d’Information du Burkina

L’AIB a 61 ans : Un engagement responsable au service de l’information et de la Nation

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L’AIB a 61 ans : Un engagement responsable au service de l’information et de la Nation

Ouagadougou, 27 mai 2025 (AIB) – L’AIB a été portée sur les fonts baptismaux il y a exactement 61 ans. Six décennies plus tard, grâce à l’abnégation constante de ses agents et à l’engagement du président Ibrahim Traoré et de son gouvernement, l’AIB, qui a longtemps vécu dans la léthargie, sort progressivement la tête de l’eau pour s’imposer, au plan national et international, comme l’agence de presse officielle, avec pour missions principales la défense des intérêts et de la souveraineté du Burkina Faso.

Le 27 mai 2025 marque les 61 ans de la création de l’Agence d’Information du Burkina (AIB). En effet, l’AIB a été fondée le 27 mai 1964 sous la dénomination d’Agence voltaïque de presse (AVP), en tant qu’office doté de la personnalité morale et d’une autonomie de gestion, ce qui équivaudrait aujourd’hui au statut d’EPE.

Agence de presse officielle du Burkina Faso depuis sa création, l’AIB a connu plusieurs mutations au gré des pouvoirs politiques et des nouvelles attentes qui lui ont été adressées.

En 1977, soit 13 ans après sa création, l’AIB se détache du Service de l’Information et se dote d’un patrimoine propre. Mais elle sera presque aussitôt rattachée au ministère de l’Information à partir de 1979 et, jugée non rentable, passera tout près de la disparition sous le pouvoir de Saye Zerbo en 1982.

Avec l’arrivée au pouvoir du capitaine Thomas Sankara en 1983, l’AIB retrouve de la splendeur.

Le président du Conseil national de la Révolution (CNR) signe, en 1984, une ordonnance qui redéfinit le rôle de l’AIB, en réglementant l’utilisation des dépêches des agences étrangères et la publication des communiqués de presse.

C’est sous le président Thomas Sankara, et en raison du changement de nom du pays, que l’Agence voltaïque de presse devient l’Agence d’Information du Burkina, son nom actuel.

À la fin des années 1990, l’AIB enclenche sa mutation numérique, se dote d’équipements modernes et d’un site web, et cesse définitivement l’édition du bulletin quotidien à partir de 2005.

Depuis ses débuts jusqu’à ses 61 ans, l’AIB a su évoluer avec les avancées technologiques, passant d’une simple agence de presse à un média moderne, capable de couvrir l’actualité locale, nationale et internationale, fort de son réseau de correspondants.

Son engagement envers la vérité, l’objectivité et la rapidité de l’information lui a permis d’engranger un capital confiance auprès de la population burkinabè et des médias partenaires.

En 1999, l’AIB fusionne avec le quotidien public Sidwaya pour devenir l’Office national des Éditions Sidwaya (ONAES), qui prend la dénomination de « Les Éditions Sidwaya » en 2011.

Depuis lors, l’AIB est composée d’une direction technique et de deux services.

Pour lui permettre d’assumer pleinement sa mission de collecte, de traitement et de mise à disposition d’une information saine et professionnelle au profit des institutions et des médias, le Conseil des ministres du 21 août 2024 a adopté les textes érigeant l’AIB en Établissement public de l’État et approuvant les statuts particuliers de la nouvelle structure.

Sa nouvelle mission est désormais de fournir aux usagers des informations fiables, complètes et objectives, de défendre les intérêts du Burkina Faso et de protéger la souveraineté du pays.

En ce 61e anniversaire, les défis de l’AIB restent alignés sur ceux d’une presse nationale responsable, dans un contexte marqué par une guerre informationnelle mondialisée et une lutte héroïque d’émancipation des peuples du Sahel.

Joyeux anniversaire à l’Agence d’Information du Burkina.

Boulkiemdé : La seconde A remporte la finale de la coupe Interclasse football du Lycée de Sabou

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Boulkiemdé : La seconde A remporte la finale de la coupe Interclasse football du Lycée de Sabou

Sabou, 24 mai 2025 (AIB)- La classe de la Seconde littéraire a remporté la finale de la coupe interclasse du Lycée de Sabou en s’imposant face à la Seconde scientifique sur le score de 3 buts à 1, lors d’un match disputé sur le terrain du lycée.

La finale a opposé la classe de la seconde A à celle de la seconde C.
Le match s’est soldé par un score de de 3 buts à 1 en faveur de la classe de la seconde A
La complétion s’est déroulée en présence des autorités communale de Sabou, le corps enseignant ainsi que la population.

Le président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Sabou, Abdul Aziz Koara, par ailleurs, présidant de la cérémonie, a salué l’initiative et a félicité le proviseur, Pierre Bouda, et ses collaborateurs pour leur engagement constant à faire du Lycée de Sabou un établissement de référence.
« Nous avons accepté de présider cette finale pour témoigner de notre soutien à toutes les activités qui contribuent à l’épanouissement de nos jeunes apprenants », a-t-il déclaré.

Le parrain de la finale, Désiré Kaboré, s’est dit fier et ému du succès de cette compétition.
« L’éducation est un secteur qui me tient à cœur donc il m’était impensable de ne pas accompagner une telle initiative », a-t-il confié.

Agence d’information du Burkina
DPT/Bak

Zondoma : Un corps sans vie retrouvé dans un débit de boisson frelaté à Gourcy

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Zondoma : Un corps sans vie retrouvé dans un débit de boisson frelaté à Gourcy

Gourcy, 27 mai 2025 (AIB) – Le corps sans vie d’un jeune homme a été retrouvé, le vendredi 23 mai 2025, dans un débit de boisson frelaté dans le secteur 4 de Gourcy. 

La découverte macabre a été faite très tôt dans la matinée du vendredi 23 mai 2025 devant un débit de boisson frelatée dans le secteur 4 de Gourcy.

La victime âgée d’environ trente ans est reconnue comme étant un des fidèles clients du coin.

Quelques temps après son inhumation, nous apprenions qu’un autre, plus jeune a séjourné au centre médical de Gourcy pour avoir bu une bonne dose de frelaté.

Ce serait un pari qui devait lui rapporter la somme de 500 FCFA qui l’aurais mis dans cette situation. Il faut noter que dans ce secteur, sur un rayon de moins de 150 mètres, on peut compter au moins quatre points de vente de boisson frelatée bien fréquentés par les jeunes de la ville.

Agence d’Information du Burkina

Mouhoun/Conseil de direction : L’organisation des examens scolaires au menu des échanges

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Mouhoun/Conseil de direction : L’organisation des examens scolaires au menu des échanges

Dédougou, le 26 mai 2025 (AIB)-Le directeur régional en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, Raoul Sanon, a présidé, le lundi 26 mai 2025 à Dédougou, le 3e conseil de direction pour l’année scolaire 2024-2025, pour examiner plusieurs aspects cruciaux pour l’avenir de l’éducation dans la région et échanger sur l’organisation pratique des examens scolaires.

 Cadre d’échanges des points de vue, de partage et de suggestions sur les activités de la direction régionale en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun durant le trimestre écoulé, le 3e conseil de direction, a réuni, le lundi 26 mai 2025 à Dédougou, les 6 directeurs provinciaux, les chefs de service et les partenaires sociaux.

Les participants ont discuté sur les réussites et les défis rencontrés par les établissements scolaires.

Les préparatifs pour les examens de fin d’année ont occupé une place centrale dans les discussions.

Ce bilan a permis de mettre en lumière des bonnes pratiques tout en identifiant les domaines nécessitant des améliorations.

La préparation des rapports de fin d’année a été abordée et les membres du conseil ont convenu de l’importance d’une documentation rigoureuse pour évaluer les performances des élèves et des enseignants.

Au regard de la situation sécuritaire, la région de la Boucle du Mouhoun enregistre chaque année de nombreux départs et moins d’arrivants, ce qui donne un déficit de personnel dans certaines localités.

Pour cette session, 15 113 candidats dont 6 440 filles composeront le BEPC et seront repartis dans 59 jurys et 68 centres secondaires.

Pour l’enseignement technique, 287 candidats iront à la conquête du CAP dont 71 filles.

Pour le BEP, 576 candidats dont 181 filles. Pour l’examen du Baccalauréat, toutes séries confondues, 7 845 candidats dont 4 039 filles composeront dans la région et seront repartis dans 33 jurys.

Les examens de certification professionnelle, mobiliseront 1 608 candidats pour le Certificat de qualification professionnelle (CQP).

Au regard des défis que se lance la région de la Boucle du Mouhoun, le directeur régional en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, Raoul Sanon, a souligné l’importance d’une organisation sans faille pour garantir le bon déroulement des épreuves.

Il a exprimé son souhait que tous les candidats soient bien préparés et que les examens se passent dans les meilleures conditions possibles.

Le président du conseil a remercié chaleureusement les membres pour leur engagement et leur disponibilité.

M. Sanon a insisté que chaque acteur de l’éducation a un rôle à jouer pour maintenir le flambeau de l’éducation dans la région de la Boucle du Mouhoun.

« Il est essentiel que chacun continue de s’investir pour atteindre des résultats encore meilleurs lors des prochains examens », a-t-il conclu.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

 

Tuy /Journée mondiale de la santé: Une Société coopérative forme ses membres sur des thématiques liées à la santé  

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Tuy /Journée mondiale de la santé: Une Société coopérative forme ses membres sur des thématiques liées à la santé  

Houndé, 24 mai 2025 (AIB)- A l’ occasion de la célébration en différé de la Journée mondiale de la santé samedi à Houndé, la Société coopérative simplifiée (SCOOPS) « Cercle vert » a outillé ses membres et sympathisants sur des thématiques relatives aux questions de santé et de l’environnement .

L’organisation « Cercle vert » en marge de la célébration en différé la Journée mondiale de la santé samedi 24 mai 2025 à Houndé, a organisé une formation à l’intention de ses membres et sympathisants, axée sur des thématiques liées à la santé et à l’environnement

Selon le président SCOOPS « Cercle vert », Ardjouma Sanou, cette formation vise à renforcer les connaissances des participants.

Pour lui, la santé va de pair avec un environnement sain, car, a-t-il dit, « toutes les activités liées à la santé sont aussi des activités environnementales».

Les participants ont eu droit à deux communications.

La première, animée par la sage-femme Teby Danitza Coulibaly, portait sur le thème « Une bonne santé à la naissance pour un avenir plein d’espoir ».

Elle a sensibilisé sur la santé de la femme enceinte, le suivi de la grossesse, l’hygiène, et a donné des conseils nutritionnels tout en insistant sur l’importance des consultations prénatales.

La seconde communication a été faite par Yves Ghislain Sanou, technicien supérieur de l’environnement.

Il a présenté la loi N°045-2024/ALT du 30 décembre 2024, relative à la gestion des emballages et sachets en plastique.

Yves Ghislain Sanou a expliqué les principaux articles et les innovations majeures de cette loi.

A côté de ces communications, « Cercle vert » a offert des produits d’hygiène composés de savons, de détergents, d’eau savonneuse et de sacs écologiques au Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) de Houndé.

Ce geste vise à améliorer les conditions d’hygiène des patients, selon le président Sanou.

Ardjouma Sanou s’est dit satisfait de la réussite de l’activité et de l’engagement des participants.

La SCOOPS « Cercle vert » est une organisation engagée dans la protection de l’environnement.

Elle intervient dans la création de champs scolaires, de jardins nutritifs, et la préservation des espaces verts.

Agence d’Information du Burkina 

BEB/Bak

Burkina : le gouvernement annonce la baisse des prix des médicaments et vaccins essentiels dès ce 26 mai

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Burkina : le gouvernement annonce la baisse des prix des médicaments et vaccins essentiels dès ce 26 mai

Ouagadougou, 27 mai 2025(AIB)- Dans l’optique d’alléger les dépenses de santé des Burkinabè, le gouvernement a annoncé hier lundi qu’à compter du 26 mai 2025, les prix de plusieurs médicaments et vaccins connaissent une baisse considérable sur toute l’étendue du territoire national.

Jusqu’à 46 % de réduction sur les comprimés ; 55 % sur les formes injectables ; entre 1 % et 20 % sur les sirops et jusqu’à 25 % pour d’autres formes pharmaceutiques, a indiqué , le ministre de la Santé, Robert Kargougou.

Ainsi le captopril 25 mg passe de 140 FCFA à 75 FCFA, ce qui favorise une économie de 1 200 FCFA sur trois mois de traitement. L’insuline injectable désormais accessible à 2 500 FCF au lieu de 2 750 FCFA, soit 22 500 FCFA d’économie sur la même période. Le sirop de carbocystéine diminue de 700 FCFA à 625 FCFA et les gants d’examen passent de 75 FCFA à 40 FCFA.

Le sérum antivénimeux chute drastiquement de 21 833 FCFA à 2 000 FCFA, soit une réduction de 90,84 %. Le vaccin antiamaril connaît une baisse de 15 %. Le vaccin antiméningococcique ACYW-135, de 16,62 % et le vaccin antirabique, de 72,14 %.

Elle intervient également dans un contexte où la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques (CAMEG), devenue société d’État depuis mars 2024, a intensifié ses efforts pour améliorer la disponibilité des produits pharmaceutiques, favorisant le passage du taux de disponibilité des produits traceurs de 45 % à 75 % en avril 2025, avec une cible de 90 % d’ici juin.

Parmi les mesures annoncées par le ministre, une réduction des marges commerciales a été instaurée. Les dépôts répartiteurs de districts voient leurs marges passer de 7,5 % à 6 %, tandis que celle appliquée dans les formations sanitaires publiques chute de 30 % à 25 %.

Agence d’information du Burkina

YOS/ata

Source ministère de la santé

 

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