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Ioba/Montée des couleurs : Le chef de la circonscription exhorte les agents à participer aux activités des journées d’engagement patriotique             

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Ioba/Montée des couleurs : Le chef de la circonscription exhorte les agents à participer aux activités des journées d’engagement patriotique

Dano, 24 mars 2025 (AIB) – Le chef de la Circonscription d’éducation de base (C.CEB) de Dano, Tibouo-ion Romaric Somé, a exhorté lundi les agents au bureau à participer aux activités des prochaines journées d’engagement patriotique, lors de la montée des couleurs nationales, le lundi 24 mars à Dano.

La Circonscription d’éducation de base (CEB) de Dano sacrifie à la tradition. En effet, tous les lundi et jeudi, le personnel au bureau participe à la montée des couleurs nationales. Le Chef Circonscription d’éducation de base (C.CEB), Tibouo-ion Romaric Somé a saisi cette opportunité pour informer les agents du lancement de la première quinzaine de l’édition 2025 des journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne.

« Ce lancement sera marqué par une cérémonie de montée des couleurs au haut-commissariat de Dano, le mercredi 26 mars 2025 » a-t-il précisé. « Je vous exhorte à prendre part à cette cérémonie et aux autres activités entrant dans le cadre de ces journées », a poursuivi M. Somé.

Il a instruit le bureau de la promotion de l’éducation inclusive et de la citoyenneté de proposer des activités pour la CEB au cours de la quinzaine. Cette première édition se déroulera du 26 mars au 09 avril 2025.

« Après la cérémonie de lancement, nous allons faire une journée de salubrité à la CEB en attendant la proposition du reste du programme d’activités », a indiqué le C.CEB.

D’autres informations d’ordre social ont mis fin à la cérémonie de montée du drapeau à la CEB de Dano.

Agence d’information du Burkina                  SZ/dnk/ata

Gourma/Musique : Uncle Chack’Om dédicace son 2e album

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Gourma/Musique : Uncle Chack’Om dédicace son 2e album

Fada N’Gourma, 24 mars 2025 (AIB)-L’artiste musicien «Uncle Chack’Om », à l’état civil Don Charles Combary, a célébré la sortie officielle de sa 2e œuvre musicale, le samedi 22 mars 2025 à Fada N’Gourma.

C’était en présence des fans, amis et parents que la dédicace du 2e album de l’œuvre musicale de l’artiste musicien Uncle Chack’Om a eu lieu, le samedi 22 mars 2025 a Fada N’Gourma, dans une ambiance électrique.

Cet album appelé en latin «’O Plus Dei » qui signifie l’œuvre de Dieu en français, comporte 10 titres dont entre autres la confiance en Dieu, la paix, la connaissance et l’appropriation de la parole de Dieu.

Cette célébration fut l’occasion pour les fans d’échanger avec leur artiste pour savoir pourquoi il a basculé du Rap au gospel.

Uncle Chack’Om a fait savoir à ses fans que son basculement se justifie du fait qu’il est un homme d’assez éparpillé et que tout ce qu’il embrasse, il le fait assez large.

A la question de savoir pourquoi l’œuvre de Dieu, l’artiste, a expliqué qu’il avait soif de faire l’œuvre de Dieu.

Il a ajouté qu’en tant qu’être humain, les actions que l’on pose et les actions qui s’inscrivent dans la volonté de Dieu peuvent être considérées comme l’œuvre de Dieu.

Les fans ont apprécié la sortie de cet album dont les thématiques abordées sont d’actualité.

Lla chanson « La paix » a attiré l’attention des fans qui ont soif que cette denrée perdue soit le quotidien des Burkinabés.

L’artiste musicien Goabri fils, a soutenu qu’il est très fier de la sortie de l’album de Uncle Chack’Om.

Pour lui, son confrère est un battant et engagé et a également trouvé que son inspiration est hors pair car lorsqu’on écoute ses œuvres on se rend compte qu’elles sont profondes et touchantes.

Mais Goabri fils a souhaité que son confrère collabore avec d’autres artistes chantres pour les futures œuvres.

Don Charles Combary est un écrivain poète, artiste plasticien.

Il a commencé à pratiquer la musique et le Rap dès le collège dans les années 1997-1998.

Il sort son premier album intitulé « Hommage » en hommage à Dieu, aux hommes ou aux femmes, mais aussi à des circonstances qui ont impacté sa vie.

L’album « ‘O Plus Dei » est disponible en clé USB au prix de 5 000 F CFA.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

Mouhoun/Entrepreneuriat agricole : Pascal Koté s’illustre bien à Bona dans la commune de Safané

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Mouhoun/Entrepreneuriat agricole : Pascal Koté s’illustre bien à Bona dans la commune de Safané

Dédougou, le 23 mars 2025 (AIB)-Dans le village de Bona, dans la commune de Safané, un jeune homme du nom de Pascal Koté est un acteur majeur dans le domaine de l’orpaillage depuis 2002. Face à l’évolution du marché et des besoins économiques, il a décidé de diversifier ses ressources et de répondre à l’appel du Chef de l’Etat, pour l’offensive agroalimentaire. Pour ce faire, il exploite une superficie d’un hectare dans la culture de la tomate et emploie 6 jeunes dans son site maraicher. Il a reçu la visite de l’AIB le samedi 22 mars 2025.

Dans un contexte où le Burkina Faso cherche à renforcer son secteur agricole et à promouvoir l’autosuffisance alimentaire, Pascal Koté a pris la décision stratégique de se lancer dans la maraîcher culture, un domaine qui lui est moins familier, mais dans lequel il voit un fort potentiel de développement et de croissance.

Il a choisi la culture de la tomate, une culture maraîchère très demandée et essentielle à l’alimentation quotidienne des Burkinabè.

Pour cela, il a mis en place une exploitation agricole sur un terrain d’un hectare, où il a aménagé un périmètre clôturé de grillage.

M. Koté a également installé un puits équipé d’une motopompe, une infrastructure essentielle pour irriguer son champ de manière régulière, car la production maraîchère dépend en grande partie de l’accès à une eau suffisante et de qualité.

Depuis le 08 janvier 2025, il a fait la pépinière de tomate et a commencé le repiquage le 04 février.

Pour lui, en rejoignant l’offensive agroalimentaire lancée par le président du Faso, il va non seulement diversifier ses activités économiques, mais participera aussi activement à la réalisation des objectifs du pays en matière de sécurité alimentaire.

« Ce projet agricole a pour but de produire des tomates de qualité tout au long de l’année, et ce dans un environnement contrôlé, grâce à l’irrigation assurée par la motopompe qui permettra une culture continue » a-t-il dit.

En plus de l’initiative agricole, Pascal Koté a maintenu son engagement social en continuant à employer de nombreux jeunes dans son entreprise.

« Les jeunes bénéficient non seulement d’une rémunération stable mais aussi d’une expérience précieuse dans le secteur de l’agriculture. Ce projet agricole devient donc un levier important pour créer des emplois durables et contribuer à la stabilisation de la population active », a-t-il expliqué.

Le choix de la tomate comme culture est stratégique, car cette denrée est non seulement largement consommée dans le pays, mais elle offre aussi de nombreuses possibilités de transformation (conserves, sauces, etc.), ce qui ouvre la voie à une diversification de l’offre et à une meilleure gestion de la chaîne de valeur.

Il ambitionne d’étendre son activité à d’autres cultures maraîchères dans le futur et de contribuer ainsi à la réduction de la dépendance alimentaire de son pays.

En visitant l’exploitation, c’est une production en pleine floraison qui se laisse apprécier par tout visiteur. Certains pieds ont des fruits précoces.

Le jeune entrepreneur agricole bénéficie de l’appui technique des agents de l’agriculture qui lui assurent un bon encadrement.

A travers l’exploitation visitée, M. Koté a su s’imposer comme un modèle de réussite et une source d’inspiration dans son secteur d’activité et emploie en temps plein 06 jeunes.

Il contribue non seulement à l’économie locale mais aussi à la réduction du chômage dans sa communauté.

L’histoire de Pascal Koté témoigne de la volonté d’un entrepreneur de s’adapter aux nouvelles réalités économiques et de participer activement à la promotion du développement local. En diversifiant ses activités vers l’agriculture, et en particulier la production de tomates, il apporte une contribution précieuse à l’offensive agroalimentaire du Burkina Faso.

Son projet incarne à la fois l’esprit d’initiative, la vision entrepreneuriale et l’engagement pour l’autosuffisance alimentaire et la création d’emplois pour les jeunes.

Ce jeune entrepreneur devient ainsi un modèle de réussite dans l’entrepreneuriat, tout en œuvrant pour la prospérité de sa communauté.

Face aux difficultés qui ne manquent pas, M. Koté est à la recherche des partenaires commerciaux pour faciliter l’écoulement de son produit fini et des partenaires financiers pour soutenir l’agrandissement de son domaine d’exploitation et pour l’amélioration des infrastructures agricoles.

Il invite les usines de tomates qui peuvent acheter de grandes quantités de tomates pour leurs chaînes de production à encourager l’initiative.

Avec une vision claire, des partenaires solides et une gestion efficace, il pourra atteindre son objectif de contribuer à la prospérité de la commune de Safané et à l’autosuffisance alimentaire du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina SB/hb/yo

 

Kossi : Les femmes balayeuses offrent une enveloppe de 115 000 FCFA aux VDP communaux

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Kossi : Les femmes balayeuses offrent une enveloppe de 115 000 FCFA aux VDP communaux

Nouna, 22 mars 2025 (AIB)-L’association « Union kounadya nafa » de Nouna, a remis, ce samedi 22 mars 2025 à Nouna, une enveloppe de 115 000 F CFA en soutien aux VDP dans le cadre de la reconquête du territoire.

Dans le cadre de ses activités de salubrité de la ville de Nouna, l’association des femmes balayeuses de la commune regroupée au sein de l’association « Union kounadya nafa », a initié ce samedi 22 mars 2025 à Nouna, une journée de salubrité et de sensibilisation.

Elles ont remis une enveloppe de 115 000 F CFA aux VDP communaux.

L’objectif de cette collecte c’est un geste symbolique de soutien aux VDP.

Le président de la délégation spéciale de la commune de Nouna, Souleymane Tiono, a salué l’initiative et s’est dit «comblé du soutien de nos mamans, de nos sœurs et de nos épouses aux VDP communaux pour la reconquête du territoire».

«Le choix du secteur 7 n’est pas fortuit c’est bien dans ce secteur que l’on trouve le plus de déchets ménagers, de la fumure organique dans les rues et surtout l’écoulement des eaux de toilettes.

Les femmes balayeuses ont procédé au nettoyage des rues allant de l’auberge populaire jusqu’au pont du secteur 5.

Bakary Seremé, représentant des habitants du secteur 5, s’est dit satisfait du choix du secteur et il a traduit la reconnaissance du secteur aux femmes de l’association pour leur action salutaire.

Harouna Simboro, représentant des VDP a au nom de ses camarades, remercié les femmes pour les pensées positives et les prières constamment formulées en faveur des FDS et VDP.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Nahouri : Musulmans, chrétiens et coutumiers communient autour d’un repas

Burkina-Nahouri-Cohésion

Nahouri : Musulmans, chrétiens et coutumiers communient autour d’un repas

Pô, 22 mars 2025 (AIB)-La communauté musulmane du Nahouri a organisé ce 21 mars 2025 à la place Némaro de Pô, une rupture commune de jeûne. Corps constitués, musulmans, chrétiens et coutumiers ont communié autour d’un seul repas.

Initiée par la communauté musulmane du Nahouri, cette rupture collective vise selon les organisateurs à renforcer les liens de fraternité, de solidarité et de cohésion sociale entre les différentes communautés vivant dans le Nahouri.

Pour le président de la communauté musulmane du Nahouri, El hadj Abdoulaye Gnané, cette initiative témoigne de la volonté commune de promouvoir le dialogue, de construire des ponts pour la paix et la cohésion sociale, car les différences ne sont pas un obstacle mais une richesse qui invite chacun à écouter l’autre à le comprendre et à avancer ensemble.

«Chers frères et sœurs, le ramadan nous rappelle que la paix et la cohésion ne sont pas seulement des idéaux, mais des responsabilités qui incombent à chacun d’entre nous», a-t-il dit.

Il a indiqué que chaque geste de bienveillance, chaque acte de solidarité, chaque parole de réconciliation contribue à bâtir une société plus harmonieuse.

«Soyons donc des artisans de paix et des promoteurs du bon vivre-ensemble», a soutenu M. Gnané.

Tour à tour les représentants des différentes communautés, chrétiennes, coutumières et le secrétaire général de la province, ont salué l’initiative de la communauté musulmane car étant une toute première dans la province.

Pour chacun d’eux la promotion des valeurs de cohésion, le vivre ensemble et l’acceptation de l’autre permettra au Burkina de retrouver la paix.

Ils ont souhaité que cette initiative se pérennise au grand bonheur des communautés.

Après les prières du soir, les communautés ont poursuivi les échanges et communions sur place.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

Burkina : Le ministre Poda dresse le bilan 2024 de son département 

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Burkina : Le ministre Poda dresse le bilan 2024 de son département

Ouagadougou, 24 mars 2025 (AIB)-Le ministre de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, Serge Poda, a dressé lundi le bilan des activités réalisées par son département au cours de l’année 2024 qui a permis d’enregistrer une performance globale de 74,70%.

« Au cours de l’année 2024, notre département s’est investi conséquemment pour la mise en œuvre de ses activités (…). Ce qui a permis d’atteindre un taux global 88,13% du plan d’action prioritaire 2024-2026 et une performance générale de 74,70% », a déclaré le ministre Poda.

Le ministre en charge du commerce s’exprimait le lundi 24 mars 2025 à Ouagadougou lors de la première session ordinaire du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM).

Selon le ministre Poda sur l’état d’exécution du plan de travail annuel 2024, le secteur ministériel a réalisé un taux d’exécution physique de 91,94 %.

« Les acquis engrangés sont entre autre la relance des entreprises industrielles, le renforcement de la productivité de l’artisanat, la surveillance du marché pour assurer des produits sains aux populations » a soutenu le ministre en charge du commerce.

A l’entendre, dans le secteur de l’industrie, le ministère réalisé la conduite des travaux d’opérationnalisation de la Brasserie du Faso (BRAFASO) et la restructuration de la Minoterie du Faso.

Concernant le secteur du commerce et de l’artisanat, les acquis engrangés sont entre autres, le contrôle d’environ 30000 acteurs dans le cadre de la lutte contre la fraude, l’organisation réussie de la 17ème édition du SIAO et la dotation des artisans en métiers à tisser.

Selon Serge Poda, l’année 2025 s’annonce avec divers défis à relever sur le plan du développement économique du pays.

Pour cela, il a promis poursuivre les réformes majeures déjà enclenchées en 2024 avec la conduite d’actions structurantes pour impacter la vie des populations.

Agence d’information du Burkina

ZAF/ZO/ata

Tapoa : 20 élèves et 40 enseignants de la CEB de Diapaga magnifiés

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 Tapoa : 20 élèves et 40 enseignants de la CEB de Diapaga magnifiés

Diapaga, 24 mars 2025 (AIB)-La Circonscription d’éducation de base (CEB) de Diapaga a reconnu le 22 mars, les mérites d’une soixantième d’acteurs de l’éducation au cours d’une journée de l’excellence scolaire qui ses déroulée à l’école centre B de Diapaga.

Cette journée, deuxième du genre après celle de 2024 jugée concluante, était placée sur le thème << Assurer la continuité éducative en contexte de crise sécuritaire et humanitaire : un acte de patriotisme et de résilience face au terrorisme>>

Un thème qui, de l’avis du Chef de la CEB de Diapaga Diassibo François d’Assise Gnoula, n’est pas fortuit au regard du contexte particulièrement difficile et éprouvant pour tous. Et cela, à cause de l’insécurité et des défis humanitaires marqués par le manque de vivres et de produits de premières nécessités, éprouvant durement le monde éducatif.

L’organisation de cette journée toujours selon M. Gnoula, vise à créer une scène émulation dans le monde éducatif. « L’éducation, a-t-il poursuivit, est la priorité des priorités. C’est pourquoi le Président du Faso dans son programme, a fait de la valorisation du capital humain, surtout de l’éducation, le moteur du développement du Burkina ».

6 vélos, des kits scolaires, 3 smartphones, 2 tablettes des attestations de reconnaissance on été décernés aux lauréats.

Avec une moyenne de 9,06 sur 10, soit 164 points sur 170 points, Yonli Bendi Gildas 12 ans de l’école de Moridini s’est adjugé la première place de la CEB de Diapaga au CEP 2024. Il gagne un vélo et un kit scolaire.

Pour avoir fait un succès de 100% avec 40 candidats présentés au CEP 2024, Lamoudi KI de l’école centre B de Diapaga arrache le prix du meilleur enseignant de la CEB de Diapaga et reçois une tablette et une Attestation de reconnaissance. Elisabeth Tankoano de l’école Eben-Ezer de Diapaga qui a réussi un taux de 83,33% au CEP avec 20 admis sur 24 présentés. Elle gagne également une tablette et une attestation de reconnaissance.

Il faut noter que malgré la situation difficile, la CEB de Diapaga a obtenu pour l’année scolaire 2023-2024 un taux de succès  au CEP de 85,23% avec de bonnes performances en classes intermédiaires ; la hissant à la tête des meilleures CEB de la Région.

Pour le 1er vice président de la délégation spéciale Soali Ouali, cette journée a une profonde signification. Tout en saluant la résilience des différents acteurs, il a exprimé la disponibilité de la commune à accompagner la CEB de Diapaga et à réussir l’éducation dans un contexte d’insécurité et atteindre l’objectif éducation pour tous dans cette circonscription.

S’adressant a ses filleuls, le représentant du parrain le commandant de compagnie de Gendarmerie de Diapaga le lieutenant Fousseni Ouattara a déclaré que les prix de l’excellence sont une invite à persévérer dans l’effort. Il a également remercié les acteurs et partenaires de système éducatif et a exhorté les lauréats à entretenir le flambeau de l’espoir suscité et à être des sources de motivation pour leurs camarades et partant, pour toute la nation.

Alors qu’on parle de la nécessité de favoriser la réussite scolaire il est logique de reconnaitre et de récompenser ceux qui se forcent sur le plan scolaire tout comme l’on honore les champions sportifs, a dit en substance le représentant du parrain.
Agence d’Information du Burkina
Lkb/ata/as

Gnagna : le RESONUT présente son nouveau projet intitulé PAMUPACE aux acteurs à Manni

1. Les populations ont été invitées à s’impliquer activement dans la mise en œuvre du projet.

Gnagna : le RESONUT présente son nouveau projet intitulé PAMUPACE aux acteurs à Manni

Bogandé, (AIB)-Le Réseau de la société civile pour la nutrition (RESONUT) a lancé, le mercredi 5 mars 2025 à Manni, dans la Gnagna, le projet PAMUPACE (Projet Amélioré d’Appui Multisectoriel d’Urgence aux Populations Affectées par la Crise à l’Est du Burkina Faso).

Le Réseau de la société civile pour la nutrition (RESONUT) souhaite renforcer l’offre de services nutritionnels au profit des populations de la commune de Manni et leur fournir des soins de santé primaires de qualité ainsi qu’un appui psycho-social.

À cet effet, cette faîtière de plusieurs organisations a lancé, le mercredi 5 mars 2025, à Manni, le projet PAMUPACE. D’un coût global de 700 000 dollars, financé par le Fonds Humanitaire Régional pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre (FHRAOC), le PAMUPACE est mis en œuvre sur la période du 1er décembre 2024 au 30 novembre 2025.

Concrètement, dans sa stratégie d’intervention, le PAMUPACE prévoit plusieurs activités, dont le renforcement des pratiques d’allaitement du nourrisson et du jeune enfant en situation d’urgence (ANJE-U), le dépistage et le référencement de la malnutrition chez les enfants âgés de 6 à 59 mois, et la dotation des Centres de Récupération et d’Éducation Nutritionnelle (CREN) en lait thérapeutique, offrant une solution de réhydratation pour la nutrition. Il prévoit également de fournir aux accompagnants d’enfants malnutris des kits d’hygiène et d’appuyer les formations sanitaires en médicaments et matériels médico-techniques.

Les autorités communales de Manni et la coordination nationale du RESONUT sont convaincues que le projet PAMUPACE contribuera à soulager la population.
Les autorités communales de Manni et la coordination nationale du RESONUT sont convaincues que le projet PAMUPACE contribuera à soulager la population.

Selon le médecin-chef du district sanitaire de Manni, Dr Lassina Traoré, « ces activités, qui sont d’une importance capitale, rentrent dans la feuille de route du district ».

Il a souligné que la composante communautaire du projet est bien en phase avec l’initiative des Agents de Santé à Base Communautaire (ASBC) et des accoucheuses villageoises. « Ce projet va permettre à l’équipe cadre de combler les lacunes, surtout en matière de nutrition, et d’améliorer les indicateurs du district », a-t-il dit.

À sa suite, le deuxième vice-président de la délégation spéciale de Manni, Emmanuel Dabourgou, qui a présidé la cérémonie, a ajouté que cette initiative intervient à point nommé, surtout que, comme il l’a fait remarquer, les formations sanitaires éprouvent d’énormes difficultés à répondre aux besoins croissants des populations en raison du contexte sécuritaire difficile.

C’est justement ce qui a motivé le RESONUT, partenaire de l’Action contre la Faim (ACF), à lancer ce projet, a soutenu son coordinateur national, Dieudonné Lankoandé.

Pour lui, le PAMUPACE poursuit deux objectifs principaux : la lutte contre la malnutrition à travers une prise en charge nutritionnelle adéquate des enfants et des femmes enceintes ou allaitantes, et le soutien psycho-social afin d’assister les personnes affectées, particulièrement les enfants confrontés aux traumatismes liés aux conflits et aux déplacements.

Pour atteindre ces objectifs, les autorités locales se sont engagées à jouer un rôle essentiel dans la coordination et la mise en œuvre des activités. Aussi, l’autorité communale, Emmanuel Dabourgou, a appelé à une synergie d’actions, à une gestion transparente et inclusive du projet, ainsi qu’à une mobilisation collective pour relever les défis actuels et offrir un avenir meilleur aux populations.

Agence d’information du Burkina

 Tapoa : Le clin d’œil des femmes de la coordination aux détenus de la MACD

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 Tapoa : Le clin d’œil des femmes de la coordination aux détenus de la MACD

Diapaga, 24 mars 2025 (AIB)-La coordination provinciale des femmes de la Tapoa a célébré en différé ce samedi 22 Mars 2025 la 168e Journée internationale de la femme, a constaté l’AIB

C’est sous le thème consacré « Crise sécuritaire et humanitaire : quelle stratégie pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole des femmes » que la fête du 8 mars s’est déroulée en différé à Diapaga.

Assainissement des services publics, jeux radiophoniques, repas communautaires au profit des détenus de la maison d’arrêt et de correction de Diapaga, étaient au menu de cette célébration sans oublier que des malades du centre médicale avec antenne chirurgicale de Diapaga CMA et les handicapées moteurs de Mahadaga ont marqué entre autres cette journée dédiée à la femme dans la Tapoa.

« Les détenus de la MACD font face à de nombreuses difficultés liées entre autres à l’alimentation, aux soins, à l’électricité et beaucoup d’autres choses pouvant donner le sourire aux pensionnaires », constat fait par Possibo Jeanne Coulidiati coordinatrice provinciale des femmes de la Tapoa, poursuivant que « c’est pourquoi nous avons organisé cette journée de solidarité et d’entraide au profit des couches vulnérables de la commune ».

Ce geste des femmes selon Yacouba Zoromé contrôleur de la GSP qui a accueilli la délégation de la femme à la maison d’arrêt est salutaire et vise a promouvoir les conditions de détention humaine, sensibiliser l’opinion aux faites que les détenus continuent de faire partie de la société et reconnaitre le travail social accompli par le personnel pénitenciers pour humaniser les prisons. Il a remercié les femmes pour ce geste de solidarité au profit de ces hommes et femmes qui sont dans un besoin d’assistance.

Le secrétaire général de la province Martin Zoundi qui a accompagné les femmes à la MACD en compagnie du directeur provincial de l’action humanitaire Lassané Sawadogo a dit être conscient qu’avec le nombre de détenus et du contexte sécuritaire dans la province, la prise en charge des pensionnaires de la MACD demande la mobilisation de beaucoup de moyens. Cette visite des femmes permettra d’attirer l’attention de la communauté et des intervenants pénitenciers sur la problématique. Cela, afin de conjuguer les efforts pour une meilleure intégration du genre dans les structures pénitentiaires et une prise en charge efficace et efficiente des détenus.

En marge des échanges les détenus ont reçu des kits alimentaires. La présidente de la coordination provinciale des femmes de la Tapoa Possibo Jeanne Coulidiati a invité ses sœurs à plus de tolérances envers les détenus, surtout les femmes qui sont plus marginalisées à leur sortie de prison.

A l’issue de la cérémonie, le secrétaire général Martin Zoundi et sa délégation ont visité le centre de détention. Par la suite, les autorités pénitentiaires et la délégation des femmes ont partagé un repas communautaire avec les détenus. Le même exercice s’est déroulé au CMA de Diapaga avec les malades et au centre des handicapés des PDI de Mahadaga.

Avec ce repas communautaire les femmes de Diapaga ont redonné le sourire aux détenus, aux malades, et aux handicapés de Diapaga.

Le représentant des détenus a salué l’organisation de cette journée de solidarité et de partage qui montre qu’ils ne sont pas des laisser pour compte. Il a demandé à Monsieur Zoundi de peser de tout son poids pour le rétablissement de l’électricité dans le centre pénitencier.
Agence d’information du Burkina
Lkb/ata/ass

Elim/CM2026 : Les Etalons confiants avant de croiser les Djurtus

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Elim/CM2026 : Les Etalons confiants avant de croiser les Djurtus

Ouagadougou, 24 mars 2025 (AIB) – Les Etalons du Burkina Faso ont le moral au trop avant leur match de ce lundi contre « les Lycaons (Os Djurtus) » de la Guinée Bissau, comptant pour la 6e journée des éliminatoires de la Coupe du monde de 2026 dans le groupe A, a-t-on appris de la Fédération burkinabè de football (FBF).

Selon le service de communication de la FBF, l’entraineur des Etalons Brama Traoré était en conférence de presse dimanche et a fait savoir qu’il est confiant pour le match.

« Ce match sera différent de celui contre Djibouti. L’équipe nationale est en pleine confiance », a laissé entendre le sélectionneur national Brama Traoré en conférence de presse d’avant match.

« L’envie de gagner y est car il faut prendre des points pour rester coller à l’Egypte ».

Les Etalons n’ont pas pu s’entrainer la veille de la rencontre, le technicien burkinabè Brama Traoré avoue que « cela ne va pas impacter la volonté des Etalons à aller chercher les 3 points ce lundi ».

Il dit s’attendre « à un match difficile car les Bissau-Guinéens jouent à domicile et ils vont chercher à gagner pour effacer leur défaite face à la Sierra Leone. Nous en sommes conscients mais ils nous trouverons sur leur chemin. C’est un match décisif pour nous ».

Coach Brama a rassuré que l’état d’esprit du groupe est très bon. « Ce sont des joueurs expérimentés et aguerris et nous savons que ce match est décisif », a-t-il mentionné.

Il n’y a pas de blessé au sein du groupe. Cependant, pour ce match, il ne pourra toujours pas compter sur Irié Bi Cyriaque Kalou et Arsène Kouassi pour des problèmes administratifs.

Ce sont des arbitres rwandais et un commissaire de match capverdien qui vont officier la rencontre.

Le Burkina Faso est 2e dans la poule A avec 8 points (+5) derrière l’Egypte (13 points+11). La Sierra Leone se classe 3e avec 8 points+1, suivi de la Guinée Bissau (6 points-1), de l’Ethiopie (3 points-5) et de Djibouti (1 point-11).
Agence d’information du Burkina
as/ata

Kossi/Eaux et forêt : Le nouveau directeur provincial s’engage à gérer dans la collégialité

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Kossi/Eaux et forêt : Le nouveau directeur provincial s’engage à gérer dans la collégialité

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Nouna, 21 mars 2025 (AIB)-Le secrétaire général de la province de la Kossi, Firmin Bassolé, a installé, ce vendredi 21 mars 2025, l’inspecteur des Eaux et forêts, Hamidou Dayamba, dans ses fonctions de directeur provincial des Eaux et forêts. Il s’est engagé à travailler dans la collegialité.

Nommé en conseil des ministres du mercredi 5 Mars 2025, l’inspecteur des eaux et forêts Hamidou Dayamba, a été installé, ce vendredi 21 mars 2025, par le secrétaire général de la province de la Kossi.

M. Dayamba remplace a ce poste le commandant Lassina Traoré, appelé à diriger la direction provinciale des eaux et forêts des Balé.

Hamidou Dayamba a d’abord rendu grâce à Dieu pour vivre cet instant et remercié ses parents pour l’éducation et les valeurs morales qu’ils lui ont inculquées.

Le directeur provincial entré, a exprimé sa reconnaissance au chef du département ministériel.

Conscient de l’ampleur et de la complexité des défis qui attendent le personnel des eaux et forêts, l’inspecteur Dayamba, s’est engagé à tout mettre en œuvre pour assurer une gestion durable et efficace des ressources forestières et fauniques au niveau provincial que régional.

Hamidou Dayamba, a rendu un hommage à son prédécesseur, pour les nombreux acquis et au personnel, il a promis l’écoute.

«Je voudrais être avec vous comme le chef qu’il faut», a-t-il ajouté.

Le commandant Lassina Traoré, a exhorté le personnel des eaux et forêts, à plus d’engagement pour soutenir le directeur entré dans sa mission de service public.

Il a demandé pardon a celles où ceux qu’il a offensé par ses paroles ou gestes dans l’exercice de ses fonctions.

Le secrétaire général de la province de la Kossi, a salué les mérites du commandant Traoré pour sa nomination.

Il a par ailleurs remercié le commandant pour sa franche collaboration avec les FDS et VDP pour endiguer l’hydre terroriste dans toutes ses formes dans la province de la Kossi.

Il a souhaité à M. Dayamba, la bienvenue dans la cité du Numandou et l’a invité à s’investir dans ses nouvelles missions.

Le représentant du personnel, le lieutenant des Eaux et forêts Assimou Toé, a au nom du personnel traduit leur disponibilité a travailler sous les ordres de l’inspecteur Dayamba pour la réussite de sa mission.

Il a souhaité bon vent au commandant Traoré pour la suite de sa carrière.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Sissili : « Payer ses taxes est essentiel pour garantir notre autonomie en tant que province », Haut-commissaire 

Burkina- Sissili-Fiscalité-Promotion

Sissili : « Payer ses taxes est essentiel pour garantir notre autonomie en tant que province », Haut-commissaire

Léo, 20 mars 2025 (AIB)-Le Haut- commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a indiqué le jeudi 20 mars 2025 lors du lancement provincial de la journée de l’exemplarité que payer ses taxes est essentiel pour garantir notre autonomie en tant que province.

Le haut- commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia s’est acquitté le jeudi 20 mars à Léo de sa Taxe de résidence (TR).

Il a été suivi par le président du Tribunal de grande instance (TGI) de Léo, François Kaboré, du Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Léo, Kassoum Koalaga, du secrétaire général (SG) de la province de la Sissili, Baowindsida Bingo et du Directeur provincial (DP) des impôts de la Sissili, Mahamadi Sawadogo.

Le haut- commissaire de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a indiqué que payer ses impôts est essentiel pour garantir notre souveraineté en tant que province. M. Sia a rappelé l’importance de l’engagement de tous dans le financement du développement local.

L’occasion a également permis aux corps constitués et aux forces vives de la province de s’acquitter tour à tour de leurs obligations fiscales.

La fiscalité en tant qu’outils majeurs de financement des services publics et du développement représente une clé de voûte de toutes politiques économiques », a-t-il soutenu.

Pour le premier responsable de la province, cette journée offre l’opportunité de réfléchir aux efforts à fournir pour améliorer l’assiette fiscale, renforcer la culture fiscale et valoriser l’esprit du civisme fiscal.

Tewindé Isaac Sia a salué l’implication de toutes les autorités fiscales locales et de tous les partenaires pour leur travail de sensibilisation des populations sur l’importance de la contribution fiscale.

A l’écouter, cette journée met également en lumière les efforts de ceux ou celles qui se montrent exemplaires dans leur attitude fiscale tels que les entreprises et les citoyens dont leurs comportements méritent d’être encouragés.

Selon le Directeur provincial (DP) des impôts de la Sissili, Mahamadi Sawadogo, la souveraineté ne saurait exister sans ressources financière.

«  Celui qui tend la main ne peut jamais être au-dessus de celui qui donne. C’est pourquoi cette journée a été instituée pour inviter tout un chacun à contribuer pour notre souveraineté et notre développement », a renchéri M. Sawadogo.

Le DP des Impôts de la Sissili a précisé que les impôts personnels comme les taxes de résidences, les taxes sur les véhicules à moteur et les taxes sur les armes sont concernées.

Agence d’information du Burkina

OAN/N

O/ATA

 

 

Le photographe Nomwendé Vivien Sawadogo appelle à valoriser l’image du Burkina Faso

Le photographe Nomwendé Vivien Sawadogo appelle à valoriser l’image du Burkina Faso

Ouagadougou, le 23 mars 2025 (AIB)- Le photographe d’art professionnel Nomwendé Vivien Sawadogo a appelé, vendredi dernier, ses collègues burkinabè à soutenir la dynamique actuelle de valorisation du patrimoine national et de l’image du Burkina Faso.

« L’image a son mot à dire dans le combat actuel mené par le peuple burkinabè, et il est du devoir des photographes d’y contribuer à travers les images capturées et publiées », a affirmé Nomwendé Vivien Sawadogo.

M. Sawadogo s’exprimait en marge de son exposition photographique, tenue à l’atelier Maneeré du 7 au 21 mars 2025 à Ouagadougou.

« C’est ma toute première exposition solo après plusieurs expositions collectives réalisées sur le plan sous-régional et international », a-t-il laissé entendre.

« Purgatoire de la peau : de la fourrure à l’assiette » est le thème qu’il a choisi d’explorer et d’exposer au cours de l’année 2024-2025.

Selon lui, cette exposition vise à mettre en lumière le combat noble que mènent de nombreuses personnes dans différents domaines.

Cette série d’images s’est particulièrement intéressée au secteur de la boucherie, en suivant le processus d’abattage du bétail, de la préparation jusqu’à la consommation.

« Il y a des thèmes intéressants à traiter ici pour nous valoriser. Pas besoin d’aller chercher ailleurs », a-t-il insisté.

Pour Jacob P. Ouédraogo, photographe, cette exposition est « interpellatrice », car le contexte actuel du Burkina Faso appelle à la responsabilité sociale de chaque photographe.

« Nous devons montrer à ceux qui ternissent l’image du Burkina Faso que notre pays est et reste une destination de découverte », a-t-il ajouté.

L’exposition Purgatoire de la peau : de la fourrure à l’assiette a remporté le Prix Découverte 2024 de la mairie de Perpignan en France, a confié M. Sawadogo.

Selon lui, cette création a nécessité huit mois de travail, grâce au soutien du Bureau Burkinabè des Droits d’Auteur, dont il a bénéficié pour l’aide à la création et à l’exposition.

Exerçant dans le domaine de la photographie depuis 2010, Nomwendé Vivien Sawadogo raconte : « Ma passion pour la photographie est née dans la chambre noire, où je développais moi-même les pellicules et faisais des tirages noir et blanc.

Depuis ce jour, j’ai décidé d’abandonner toutes les autres disciplines pour me consacrer entièrement à la photographie. »

Parlant des difficultés du métier, il pointe le coût élevé des appareils photo ainsi que la faible rémunération de certains contrats. « Tu peux faire un travail costaud et être rémunéré à un prix de misère à cause de la concurrence », déplore-t-il.

M. Sawadogo s’est néanmoins réjoui de la forte mobilisation de ses collègues photographes lors de son exposition. Il affirme être ouvert et disponible pour ceux qui souhaitent s’initier à la photographie artistique.

Il conclut en soulignant le besoin urgent de formation pour les photographes : « Beaucoup tiennent des appareils, mais l’habit ne fait pas le moine. »

Agence d’information du Burkina

Léraba/Journée de l’excellence provinciale : 35 acteurs de l’éducation primés 

BURKINA-LERABA-EXCELLENCE-EDUCATEURS-CELEBRATION

Léraba/Journée de l’excellence provinciale : 35 acteurs de l’éducation primés

Sindou, 21 mars 2025 (AIB)-La direction provinciale en charge de l’Education primaire de la Léraba, a célébré le jeudi 20 mars 2025 à Sindou, la journée de l’excellence provinciale. Présidée par le secrétaire général de la province, Yéonvièl Somé, 35 acteurs de l’éducation ont vu leur mérite récompensé au cours de la cérémonie.

35 acteurs de l’éducation ont été honorés le jeudi 20 mars 2025 à Sindou, lors de la journée de l’excellence provinciale.

Ils sont au total 13 enseignants, 16 élèves, 04 acteurs du non formel, 01 COGES, 01 meilleure CEB ainsi que les meilleurs APE et AME qui se sont illustrées au cours de l’année scolaire 2023-2024 dans la Léraba.

« l’objectif poursuivi par la célébration de la journée est de créer une saine émulation entre les acteurs du monde éducatif à plus d’effort et de résultats scolaires à la perfection dans la province de la Léraba », selon les propos du directeur provincial en charge de l’Education du primaire de la Léraba, Souro Sanon.

Les prix sont composés des motos, d’ordinateurs et de kits pour les enseignants, des vélos plus des sacs d’écolier pour les meilleurs élèves.

En plus des prix, tous les lauréats sauf les élèves ont reçu chacun une attestation de mérite ou de reconnaissance.

Pour le directeur régional en charge de l’Education du primaire, Dary Dah, Si l’édition de 2024 a été tenue en 2025, cela s’explique par les difficultés rencontrées dans la recherche de partenaires et des personnes de bonne volonté.

Tout en félicitant Mr Sanon pour l’organisation réussie de l’excellence provinciale édition 2024, Mr Dah a invité les enseignants à s’investir plus pour la réussite de la mission qui leur est confiée.

Le secrétaire général de la province de la Léraba, Yéonvièl Somé, a encouragé les acteurs de l’éducation à ne jamais baisser les bras face aux difficultés liées à l’organisation de cette journée.

« Quelque soit les moyens dont vous disposez, fixez-vous comme challenge de célébrer l’excellence, même si c’est pour remettre solennellement des attestations et lettres de félicitation à ceux dont l’enseignement et le don de soi exige qu’on les distingue », a t-il ajouté.

Agence d’information du Burkina

MK/hb/yo

 

 

 

Nahouri : 667 sacs de riz et 40 tonnes de maïs vendus à prix social

Burkina-Nahouri- Solidarité

Nahouri : 667 sacs de riz et 40 tonnes de maïs vendus à prix social

Pô, 21 mars 2025 (AIB)-La Société nationale de gestion de stock de sécurité alimentaire (SONAGESS), a procédé ce lundi 17 mars 2025, à la vente 667 sacs de riz de 30 kg et 40 tonnes de maïs de 50 kg à 10 000 F CFA au profit de la population de la province du Nahouri.

Les populations de la province du Nahouri ont bénéficié en ce mois de mars 2025 de 667 sacs de riz de 30 kg et 40 tonnes de maïs au prix de 10 000 F CFA le sac de 30 kg pour le riz et 50 kg pour le maïs.

Cette vente sur camion vise, selon Aïda Denise Tegwendé Ky, agent de vente de la SONAGESS, à soulager un tant soit peu les besoins alimentaires de la population en ces temps où la demande en produits de grande consommation est très forte.

Elle a indiqué que pour bénéficier d’un sac il faut se présenter physiquement avec une carte nationale d’identité en cours de validité et les Personnes déplacées internes (PDI) et les personnes vulnérables sont prioritaires.

Pour le maïs, la cour du haut-commissariat du Nahouri et la mairie de Pô ont été réservés pour la circonstance.

Aussi, si la vente du riz a connu une grande affluence, pour le maïs ce n’était pas le cas.

Au premier jour de la vente du maïs l’affluence n’était pas grande dans les deux sites.

Les populations ont salué cette vente de la SONAGESS et ont souhaité que l’approvisionnement soit de façon permanente afin de les soulager.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

Boulgou : Les femmes de Zabré célèbrent le 8 mars en différé et plaident pour des politiques de développement inclusives

Boulgou : Les femmes de Zabré célèbrent le 8 mars en différé et plaident pour des politiques de développement inclusives

Zabré, 22 mars 2025 (AIB) – Les femmes de la commune de Zabré ont célébré en différé, le samedi 22 mars, la Journée internationale des droits de la femme. À cette occasion, elles ont plaidé pour l’élaboration de politiques de développement prenant en compte leurs aspirations profondes.

Réunies à la Place de la Nation de Zabré sous l’égide de la coordination communale des femmes, les participantes ont exprimé leurs doléances aux autorités locales, en présence des femmes déplacées internes.

Dans son discours, la secrétaire générale de la coordination des femmes, Mariam Zinsonni, a souligné les nombreuses difficultés auxquelles les femmes continuent de faire face, malgré les efforts du gouvernement.

Parmi les préoccupations soulevées figurent l’insuffisance des financements pour les projets féminins, l’exclusion des femmes des instances de décision, l’absence d’une politique immobilière en leur faveur et le non-respect du quota genre.

« Nous souhaitons que les politiques de développement intègrent véritablement nos aspirations, afin de nous permettre d’évoluer dans un cadre plus équitable », a déclaré Mme Zinsonni.

En réponse, le préfet, président de la délégation spéciale de Zabré, Alain B. Bassano, a assuré que les doléances des femmes seraient transmises aux autorités compétentes.

Il a également réaffirmé l’engagement des services techniques à soutenir les initiatives en faveur de la promotion des droits des femmes.

L’ancien ministre burkinabè en charge de l’Énergie, Simon-Pierre Boussim, patron de l’événement, a encouragé les femmes de Zabré à mieux s’organiser pour favoriser leur autonomisation économique.

Il les a invitées à s’inspirer du modèle des femmes de Zongo, qui ont su structurer leurs activités entrepreneuriales et agricoles, attirant ainsi l’attention du président du Faso.

« Soyez un modèle de cohésion sociale et d’intégration. Apportez votre soutien aux hommes dans l’acceptation des différences et dans la promotion de la paix, particulièrement en cette période de crise sécuritaire », a-t-il exhorté.

La coordination communale des femmes de Zabré a conclu la célébration par une remise de vivres aux femmes vulnérables et aux femmes déplacées internes. Elle a remercié l’ensemble des acteurs ayant contribué à la réussite de l’événement.

Agence d’Information du Burkina (AIB)
JPB/ata

FESPACO BOBO 2025 : Les techniciens du cinéma et de la télévision sous le feu des projecteurs

FESPACO BOBO 2025 : Les techniciens du cinéma et de la télévision sous le feu des projecteurs

Dans le cadre du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (#FESPACO BOBO 2025), une Nuit de récompense des techniciens du cinéma et de la télévision a été organisée par l’Association « Vive le cinéma » le 22 mars 2025 à Bobo-Dioulasso. La cérémonie de récompense qui a connu la présence de certains acteurs du monde du cinéma burkinabè a été présidée par le représentant du ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme, Jean Noël Bonkoungou, chargé de mission.

La 5e édition de la Semaine cinématographique de Bobo-Dioulasso (SCIBO) a célébré les talents locaux avec une nuit de mérite. Cette nuit a pour but de reconnaître le travail des hommes et femmes qui travaillent dans l’ombre pour faire rayonner le 7e art burkinabè sur la scène nationale et internationale.

Pour le promoteur de la #SCIBO, Ahmed TRAORE, « cette cérémonie de distinction vise à valoriser et à récompenser les techniciens qui travaillent sur les différents plateaux de tournage avec dévouement et professionnalisme ».

Selon Jean Noël Bonkoungou, représentant le ministre chargé de la culture « en récompensant les techniciens du secteur, vous valoriser leur expertise et vous encourager l’innovation. Votre travail contribue à l’émergence de nouveaux talents. La SCIBO joue un rôle fondamental dans la préservation de notre patrimoine culturel», a-t-il souligné.

Au cours de cette nuit, plusieurs trophées ont été décernés à certains techniciens dans plusieurs catégories. Dans la 1ère catégorie, neuf (09) lauréats exerçant dans certains métiers du cinéma comme l’image, le son, le décor, la machinerie, entre autres, ont reçu des trophées d’encouragement.

Dans la 2e catégorie des acteurs provenant des pays de la sous-région ont reçu des trophées d’encouragement. Ces acteurs sont du Mali, du Niger, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire. Dans la 3e catégorie, 04 personnes ont été récompensées par des trophées d’honneur. Parmi ces personnes, un trophée d’honneur décerné au technicien Pierre Rouamba, décédé.

La 5e édition de la Semaine cinématographique de Bobo a également honoré la mémoire des techniciens disparus. Des attestations d’hommage leurs ont été décernées à cette occasion. Quant au trophée d’Excellence, il échoit au réalisateur Emmanuel Sanou, ancien président de l’Union nationale des cinéastes du Burkina.

Service d’Information du Gouvernement

Koudougou : Chrétiens et Musulmans unis dans une rupture collective pour la paix

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Koudougou : Chrétiens et Musulmans unis dans une rupture collective pour la paix

Koudougou, 22 mars 2025 (AIB) – Un moment de communion et de fraternité a marqué la soirée du 20 mars 2025 à Koudougou, où Chrétiens et Musulmans se sont retrouvés pour une rupture collective pour la paix au Burkina, a constaté l’AIB.

L’événement, initié par le Chargé de Mission de la présidence du Faso dans le Centre-Ouest, Pèma Florent Neya, et son équipe, s’est déroulé au rond-point Maurice Yaméogo, un lieu emblématique de la ville de Koudougou. Cette initiative, née de la coïncidence du carême chrétien et du ramadan musulman, vise à renforcer les liens interreligieux et à promouvoir la tolérance dans une nation en quête de paix.

La cérémonie a été un témoignage de solidarité, de rassemblant des fidèles des deux communautés religieuses pour partager un repas et des prières communes. Les participants ont imploré la clémence divine et priant pour l’unité et la prospérité du Burkina Faso.

« Cette rupture collective est un symbole fort de notre volonté de vivre ensemble en harmonie », a déclaré le Chargé de mission Neya, précisant que « malgré nos différences, nous sommes unis par notre amour pour notre pays et notre désir de paix ».

L’événement a permis de renforcer les liens entre les différentes communautés de la ville, soulignant l’importance de l’unité pour surmonter les défis et construire un avenir commun.

La rupture collective de Koudougou est un exemple inspirant de la manière dont le dialogue interreligieux peut contribuer à la construction d’une société plus pacifique et inclusive.
Agence d’information du Burkina
PB/ FGB

Reconquête du territoire : sortie officielle du premier contingent spécial des eaux et forêts

Reconquête du territoire : sortie officielle du premier contingent spécial des eaux et forêts

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel OUEDRAOGO a, au nom du Chef de l’Etat, présidé le samedi 22 mars 2025 à Bobo-Dioulasso, la cérémonie de sortie officielle de la première promotion du contingent spécial de l’Ecole nationale des eaux et forêts. Ce recrutement exceptionnel s’inscrit dans la dynamique du plan d’action pour la stabilisation et le développement, notamment son premier pilier consacré à la lutte contre le terrorisme et la restauration de l’intégrité du territoire.

Baptisée « Lana y’a » qui signifie confiance en langue nationale Dioula, cette promotion est forte de 1938 combattants forestiers, dont 1052 hommes et 886 femmes.
Après 18 mois de formation intensive, ces agents sont désormais prêts à être déployés sur le terrain pour sécuriser les massifs forestiers et participer activement à la reconquête des zones occupées par les bandits armés.

Ce recrutement spécial, autorisé par le conseil des ministres du 15 février 2023, prévoit l’intégration de 4000 agents sur 3 ans, avec un premier effectif de 2000 agents en 2023.
Placée sous le thème, « Contribution des Eaux et Forêts à la reconquête du territoire national et à la sécurisation des massifs forestiers », la sortie de ce contingent marque un changement de paradigme dans le rôle du corps des eaux et forêts dans la stratégie nationale de sécurisation du territoire.

Dans son allocution, le Premier ministre a salué le courage et l’engagement des nouvelles recrues. « Vous êtes désormais des acteurs essentiels dans le dispositif de reconquête de l’intégrité du territoire national et de la réponse à la crise humanitaire », a-t-il déclaré, avant d’exhorter les nouveaux agents à agir avec dignité, loyauté et professionnalisme.

Selon le ministre de l’Environnement, de l’eau et de l’assainissement, Roger BARO, des dispositions ont été prises pour permettre à ce premier contingent des eaux et forêts de remplir efficacement ses missions sur le terrain.

Service d’information du Gouvernement

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