Accueil Blog Page 769

𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚: 𝐋𝐞 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐮𝐫 𝐁𝐚𝐬𝐬𝐢𝐧𝐠𝐚 𝐚𝐧𝐧𝐨𝐧𝐜𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐨𝐧𝐜̧𝐨𝐧 𝐁𝐨𝐫𝐨𝐦𝐨-𝐏𝐚̂ (𝐀𝐈𝐁)

𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚: 𝐋𝐞 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐮𝐫 𝐁𝐚𝐬𝐬𝐢𝐧𝐠𝐚 𝐚𝐧𝐧𝐨𝐧𝐜𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐨𝐧𝐜̧𝐨𝐧 𝐁𝐨𝐫𝐨𝐦𝐨-𝐏𝐚̂ (𝐀𝐈𝐁)

Boromo, 26 août 2022(AIB)-Le gouverneur de la Boucle du Mouhoun Babo Pierre Bassinga a annoncé que le tronçon Boromo-Pâ qui a été fermé dimanche à cause d’une inondation, 𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗶𝗿𝗰𝘂𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝘃𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲𝗱𝗶 𝟮𝟲 𝗮𝗼𝘂̂𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟮

Dans son communiqué en date de ce vendredi, l’autorité a présenté ses excuses aux usagers pour les désagréments causés par la fermeture avant de les inviter à demeurer prudents.

Le gouverneur de la Boucle du Mouhoun a aussi remercié les Forces de défense et de sécurité pour le travail de sécurisation des personnes et des biens durant l’épreuve.

En rappel, le tronçon Boromo-Pâ, à mi-chemin entre la capitale Ouagadougou et la deuxième ville Bobo-Dioulasso, a été littéralement inondé pendant des jours, à la suite de fortes pluies.

Agence d’information du Burkina

OM-ATA/ak

Insécurité et hydrocarbures  en couverture des journaux burkinabè

Burkina Presse-Revue

Insécurité et hydrocarbures  en couverture des journaux burkinabè

Ouagadougou, 26 août 2022 (AIB)-  La presse burkinabè de ce vendredi, commente le sit-in en vue des associations de défense des consommateurs du Burkina, suite à l’augmentation des prix des hydrocarbures, sans oublier la lutte contre l’extrémisme violent au Burkina.

« Prévention radicalisation et extrémisme violent : Produire et diffuser des discours alternatifs », arbore à sa manchette, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga.

Le journal rapporte que le ministère des Affaires religieuses et coutumières a initié hier jeudi à Ouagadougou, une conférence nationale des leaders religieux concernant la production et la diffusion des discours alternatifs de prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent au Burkina.

Selon le confrère, cette rencontre placée sous le thème «Consolidation de la paix au Burkina : Rôle préventif et bonnes pratiques des légitimités religieuses » a été présidée par le ministre d’Etat chargée de la Cohésion sociale et de la réconciliation nationale, Yéro Boly.

Le quotidien  d’Etat Sidwaya, de son côté, soutient que les responsables coutumiers doivent s’engager dans la prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent dans le pays.

De son avis, cette rencontre se veut être un cadre de concertation avec les leaders communautaires sur leur participation active à l’édification d’un Burkina Faso, où règne la paix et la cohésion sociale.

Dans la même lancée,  le quotidien  privé, l’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso, laisse voire à sa première page : « Lutte contre le terrorisme : Le groupement central des armées est dissout, l’armée  se décentralise ».

D’après le journal bobolais, cette réorganisation permet à l’armée burkinabè d’être plus efficace dans sa stratégie de lutte contre le terrorisme.

A propos, le  quotidien privé Le Pays fait cas de la nomination du commandant de la Brigade de veille et de défense patriotique, le colonel Boukaré Zoungrana dans la lutte contre l’insécurité.

A l’en croire, le colonel Zoungrana sera le chef d’orchestre de cette structure qui regroupe l’ensemble des Volontaires pour la défense de la patrie et  des personnels des Forces armées nationales.

Sous un autre angle, le même journal titre à sa Une : «  Augmentation des prix des hydrocarbures : Des associations de défense des consommateurs  en sit-in le 29 aout prochain ».

Le Pays souligne que cinq organisations de défense des consommateurs ont animé hier jeudi à Ouagadougou, un point de presse, afin d’annoncer un sit-in prévu le 29 aout prochain, suite à l’augmentation des prix des hydrocarbures.

Sur le sujet, le quotidien privé, L’Observateur Paalga poursuit que l’Union d’action syndicale (UAS) exige le retour des anciens tarifs.

Le confrère note également que le sit-in consiste à faire baisser les coûts des hydrocarbures, instaurés le vendredi 19 aout dernier par le gouvernement.

Agence d’Information du Burkina

Lutte contre le paludisme par les moustiques OGM: « Les recherches sont toujours en cours », Gauthier Tougri

Lutte contre le paludisme par les moustiques OGM: « Les recherches sont toujours en cours », Gauthier Tougri

Ouagadougou, 26 août 2022(AIB)- Indépendamment de la distribution des moustiquaires imprégnées, Ie coordonnateur du programme national de lutte contre le paludisme, Gauthier Tougri, a indiqué vendredi, que les recherches sur l’utilisation de moustiques OGM (Target Malaria) pour contrer la maladie, se poursuivent et sont encadrées par l’OMS.

Le postulat de ces recherches est de réduire la population de moustiques femelles ( anophèles), responsables de la transmission du paludisme d’une personne malade à une bien portante.

Pour ce faire, les chercheurs comptent croître la population de moustiques mâles stériles pour limiter les fécondations et entraîner à la longue, une baisse des moustiques en particulier des anophèles.

Agence d’information du Burkina

Burkina : 16 millions 501 mille moustiquaires imprégnées seront distribuées gratuitement du 30 août au 04 septembre 2022.PNLP

Burkina : 16 millions 501 mille moustiquaires imprégnées seront distribuées gratuitement du 30 août au 04 septembre 2022. PNLP

Il est prévu une moustiquaire pour deux personnes.

Les personnes qui n’ont pas été recensées pendant la période de dénombrement, devront se rendre dans le centre de santé le plus proche après le 4 septembre 2022, pour récupérer leurs moustiquaires.

 

La distribution aurait dû être effectuée en mai 2022 mais les délais de livraison n’ont pas été respectées malgré des commandes passées en avril 2021, a ajouté le coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), Gauthier Tougri, vendredi, devant la presse.

Agence d’information du Burkina

Tuy: La gendarmerie de Houndé prise pour cible 

Tuy: La gendarmerie de Houndé prise pour cible

Ouagadougou, 26 août 2022 (AIB)- La brigade de gendarmerie de Houndé a été attaquée par des hommes armés dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 août 2022, a appris l’Agence d’information du Burkina (AIB).

La gendarmerie de Houndé a été prise pour cible par des hommes armés vers 00 heure dans la nuit de jeudi à vendredi.

Des tirs ont duré jusqu’à 1 heure passée selon nos sources.

Les informations reçues pour l’heure , font état de dégâts matériels enregistrés.

Agence d’information du Burkina

Burkina: création du 26e régiment d’infanterie Commando à Boromo

Burkina: création du 26e régiment d’infanterie Commando à Boromo

Boromo,le 25 août 2022(AIB)-Le président du Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a dans un décret, décidé de la création du 26e régiment d’infanterie Commando à Boromo, dans le contexte de la lutte contre le terrorisme.

Le gouvernement a débuté la mise en œuvre du repositionnement des forces armées nationales dans la sécurisation du territoire.

C’est dans cadre que la ville de Boromo va abriter le 26e Régiment d’infanterie Commando (26e RIC).

Ce régiment,selon le décret présidentiel, est un corps de troupe crée au sein des forces armées nationales.Il est placé sous l’autorité du chef d’État- major de l’armée de terre.

Ce décret vient aussi en réponse aux multiples appels de l’opinion nationale qui demande des mesures sécuritaires fortes de la route nationale 1et les forêts des deux Balé où depuis quelques temps des hommes armés de signalent dans les provinces des Balé et du Tuy.

Hormis le 26 régiment, le chef de l’État a décidé de la relocalisation d’un certain nombre de camp.

 

Agence d’information du Burkina

Obkiri MIEN

AIB BALÉ

Photo : archive faso.net

Loroum : les acteurs du Loroum passent en revue la situation locale

Loroum : les acteurs du Loroum passent en revue la situation locale

Ouahigouya, (AIB)-Les membres du cadre de concertation provincial du Loroum se sont réunis en session ordinaire le 23 août 2022 à Ouahigouya.

Présidé par le Haut-Commissaire du Loroum, Djibril Bassolé, le cadre a permis aux acteurs de dressé le bilan des activités des services techniques et des partenaires au développement et d’appeler à la promotion de la paix et de la cohésion sociale.

Situation sécuritaire oblige, c’est à Ouahigouya dans la salle de réunion du Conseil régional du Nord que les membres du cadre de concertation provincial du Loroum se sont retrouvés pour cette première session ordinaire de l’année.

Dans son mot d’ouverture, le Haut-Commissaire de la province du Loroum, Djibril Bassolé a rappelé le contexte qui a prévalu à la délocalisation des services administratifs et techniques à Ouahigouya.

Il a fait observer une minute de silence en mémoire des martyrs tombés sur le champ d’honneur.

Pour M. Bassolé, malgré cette situation difficile que traverse la province, des actions de développement sont entrepris au profit des populations et il est important d’en faire le point et d’envisager l’avenir.

En effet, la situation sécuritaire marquée par la multiplication des attaques des groupes armés a paralysé les services provinciaux.

Hormis les services de sécurité et de défenses

qui sont sur place, et l’éducation et la santé qui ont pu maintenir un minimum en développant des initiatives locales, la plupart des services se sont retrouvés depuis décembre 2021 à Ouahigouya.

A Ouahigouya, le secteur de l’éducation a développé des initiatives en regroupant les élèves du primaire et du post primaire et secondaire et organisé les examens scolaires avec à la solde des résultats assez satisfaisants.

La situation humanitaire quant à elle, reste marquée par l’augmentation du nombre de personnes déplacées internes dans la province.

La seule ville de Titao concentre à ce jour 73 978 personnes déplacées, selon le directeur provincial en charge de l’Action humanitaire, Daouda Derra.

La commune de Ouindigui s’est entièrement vidée de ses hommes de même que la plupart des villages des communes de Sollé et de Titao.

Au regard des problèmes d’accès à la ville de Titao et Sollé, les populations locales traversent une situation alimentaire très difficile marquée par des pénuries répétitives de produits de premières nécessités.

Au total 6 convois de ravitaillement ont été organisés à l’intention des populations de Titao et de Sollé.

M. Derra a évoqué également les initiatives de ravitaillement en vivres du Programme alimentaire mondiale (PAM) et d’autres humanitaires qui s’évertuent dans les transferts électroniques de fonds couramment appelés « cash transfert » aux populations vulnérables.

Toutefois, a-t-il souligné, malgré les efforts, la situation des populations reste préoccupante au regard de l’ampleur des besoins.

Plusieurs autres projets et programmes ont réaffecté leurs activités dans les autres provinces de la région au regard de la situation sécuritaire.

C’est le cas du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) qui s’est redélocalisé au Yatenga.

Les participants ont également échangé sur des préoccupations telles que l’organisation des convois sécurisés de ravitaillement des communes de Sollé, Banh et Titao, le bitumage de la route nationale N°23 desservant Titao et Djibo, la reprise des activités scolaires à Titao, la mise en route des comités locaux de dialogues pour la restauration de la paix et la mise en place des délégations spéciales.

A chacune de ses préoccupations, les participants ont harmonisé leur point de vue.

Le Haut-Commissaire a appelé à l’accompagnement des exécutifs locaux et à l’engagement de tous pour le retour de la paix et de la cohésion sociale.

Agence d’information du Burkina

Abdoul Salam OUARMA

Boureima SOGOBA (Collaborateur)

Passoré: des manifestants exigent la fermeture de la préfecture et de la mairie de Bokin suite à une nomination contestée 

Passoré: des manifestants exigent la fermeture de la préfecture et de la mairie de Bokin suite à une nomination contestée

Yako, jeudi le 25 août 2022,( AIB)-Plusieurs manifestants ont marché jeudi matin aux environs de 10 heures contre la nomination de Halidou Ouédraogo au poste de chef de service des régies et recettes de la délégation spéciale communale de Bokin.

Pour les plaignants, Halidou Ouédraogo ne serait pas plus apte à remplir cette responsabilité par rapport à son prédécesseur qui a été formé pour ce poste.

Ils reprochent également à M. Ouédraogo de militer dans l’UNIR/MS où il occupe le poste de secrétaire communal de Bokin.

D’après eux, les politiques doivent être écartés de la gestion des délégations spéciales communales.

En rappel, Bokin est une commune rurale située à environ 55 kilomètres de Yako, chef-lieu de la province du Passoré.

Aux dernières nouvelles, nous apprenions de sources concordantes que le calme est de retour à Bokin et que la préfecture a réouvert à partir de 14 heures.

Agence d’information du Burkina

Kossi: L’ONG ‘’Terre des hommes’’ offre des kits à 50 enfants et adolescents

Burkina-Solidarité-Déplacés-Don

Kossi: L’ONG ‘’Terre des hommes’’ offre des kits à 50 enfants et adolescents

Nouna, 24 août 2022 (AIB)- La direction Provinciale de la famille, de la solidarité nationale et de l’action humanitaire, a procédé  le mercredi dernier, à une remise de kits à 25 enfants et à 25 adolescentes déplacés internes, dans l’enceinte de la direction Provinciale à Nouna.

La direction provinciale de l’action sociale et son partenaire traditionnel Terre Des Hommes Lausanne ont fait un don constitué de nattes, de seaux de savons de pâtes dentifrices de vêtements, de chaussures et biens d’autres objets utilitaires.

On y trouve également des objets pour assurer la dignité des jeunes filles à savoir des serviettes hygiéniques, des pagnes, des lampes et des sous-vêtements.

Pour Yewaya Ouango, chargé de projets, l’ONG Terre Des Hommes veut alléger un tant soit peu la souffrance des ménages.

Agence d’information du Burkina

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Orodara : Commémoration de la journée internationale de la jeunesse

Orodara : Commémoration de la journée internationale de la jeunesse

Orodara, 24 Août 2022 (AIB) : La direction provinciale en charge de la Jeunesse du Kénédougou a lancé le mercredi en différé les activités commémoratives de la journée internationale de la jeunesse.

Le 12 août de chaque année est célébrée dans le monde la journée internationale de la jeunesse.

A Orodara, cette commémoration en différé, a eu lieu le 24 août 2022 est placée sous le thème «Promotion du sport et autonomisation des jeunes : facteurs de résilience face aux défis sécuritaires au Burkina Faso».

Selon le Directeur provincial en charge de la jeunesse du Kénédougou Seydou HIE l’objectif de cette commémoration est de susciter la participation active et citoyenne des jeunes dans la lutte contre l’insécurité au Burkina Faso.

Toutefois, il a salué à sa juste valeur la forte mobilisation des acteurs autour de cette activité qui est une première dans la province du Kénédougou.

Un même sentiment de joie exprimé par le représentant des jeunes du Kénédougou Yaya Traoré qui n’a pas manqué de remercier la direction provinciale de la jeunesse pour cette initiative.

Au regard de l’importance que revêt le thème de cette célébration, le Haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a invité les jeunes à s’impliquer d’avantage dans la promotion de la paix et de la cohésion sociale.

La commémoration de la journée Internationale de la jeunesse dans la cité du verger a été marquée par plusieurs activités entre autres, un don de sang, un cross population et des communications en rapport au thème de la présente édition.

Agence d’information du Burkina.
Apollinaire KAM

Fada N’Gourma : Le nouveau préfet s’engage à relever les défis du moment

 Burkina-Administration-Préfecture-Installation

Fada N’Gourma : Le nouveau préfet s’engage à relever les défis du moment

Fada N’Gourma  25 août 2022 (AIB)-  Le nouveau préfet du département de Fada N’Gourma et président de la délégation  spéciale de la commune de Fada,  Jérôme Kampadilemba Idani, s’est engagé lundi, lors de sa prise de service, dans la cité de  Yendabri  à relever,  les défis du moment. 

Le secrétaire général de la province du Gourma, Yaya Koné, a officiellement installé le nouveau préfet du département de Fada N’Gourma, Jérôme  Kampadilemba Idani, le 22 août 2022 dans la cité de Yendabri.

M. Idani par ailleurs président de la délégation spéciale de la commune urbaine de Fada s’est engagé à relever les défis du moment pour le bonheur des populations.

Le nouveau préfet  a remercié le gouvernement burkinabè pour la confiance placée en sa modeste personne et dit mesurer l’immensité de la tâche qui l’attend sur le terrain.

Jérôme Kampadilemba Idani a promis de faire de la concertation et du dialogue dans l’exercice de ses nouvelles fonctions pour développer la commune urbaine de Fada N’Gourma.

IL succède au préfet sortant, Boukari Sana qui a passé cinq(05) ans, un (01) mois et trois (03) jours à la tête de cette circonscription administrative.

M. Sana a traduit sa reconnaissance aux plus hautes autorités du pays  pour l’avoir confié la charge de ce département  pendant la période des revendications sociales et  de crise sécuritaire.

A l’en croire, la crise de la chefferie traditionnelle  a également affecté   la cohésion sociale et le vivre-ensemble pendant son séjour à Fada N’Gourma.

Boukari Sana a expliqué que sa mission qui était  d’impulser le développement dans le Gulmu s’était finalement  résolue à la quête de la paix sociale, au regard du contexte sécuritaire.

Il s’est aussi appesanti entre autres sur la conduite de la Transition, la rareté des ressources et la gestion des personnes déplacées du fait de terrorisme.

Nommé le 3 août dernier, Jérôme  Kampadilemba Idan est un administrateur civil et père de trois enfants .Il a une maitrise en Science économique et de gestion de l’Université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina

KAC/no/ata

 

Bazèga : Lancement de la phase 2 de YEWA, un programme d’autonomisation des jeunes

Bazèga : Lancement de la phase 2 de YEWA, un programme d’autonomisation des jeunes

Kombissiri, (AIB)-Ce mardi 23 août 2022 à Kombissiri, l’association Song-Taaba des femmes du Burkina (ASTFB) a procédé au lancement de la phase 2 du programme YEWA (Youth Empowerment in West Africa), une initiative de  de plus de 177 millions de FCFA en faveur de l’autonomisation des jeunes dans quatre communes du Bazèga.

Cette cérémonie avait également pour objectif de présenter le programme aux autorités provinciales, aux partenaires techniques et aux bénéficiaires en vue de son appropriation pour une meilleure mise en œuvre.

La phase 2 du programme d’une durée de 4 ans, qui va de  2022 à 2025, est financée par l’ONG Plan International Burkina.

Le programme YEWA mis en  œuvre dans 4 pays en Afrique  de l’ouest dont le Burkina, a pour objectif de faire en sorte que  les adolescents et les jeunes soient en sécurité et influencent la prise de décision dans des communautés résilientes qui respectent leurs droits et offrent des chances égales à tous, indépendamment du sexe.

Selon  Basile Sedego, coordonnateur YEWA/ASTFB, les domaines d’intervention sont la santé,  la jeunesse et entrepreneuriat,  l’agriculture, l’élevage,  l’environnement,  l’éducation,  le social et l’humanitaire.

D’un coût total de plus de 177.600.000 f CFA, le  programme intervient dans les communes de Doulougou, Gaongo, de Kombissiri et Toécé.

Dans le cadre de la mise en œuvre des activités du programme YEWA 2, au cours de la cérémonie, l’ASTFB a procédé à la distribution  de vivres aux ménages vulnérables et personnes déplacées internes de la province.

Ce don destiné à 20 ménages est composé de 80 sacs de 25 kg de riz, 44 sacs de 100kg de maïs et 42 bidons d’huile de 5 litres.

La cérémonie  présidée par la Secrétaire générale de la province Wossoléme Clarisse Denni en présence des représentants de Plan International Burkina.

Mme Denni s’est réjouie d’une telle initiative qui vise à renforcer les capacités des jeunes pour leur épanouissement.

Agence d’information du Burkina

TPT/no/ata

Burkina/Droits humains : 88 cas de violations enregistrés dans quatre communes du Nord

 Burkina-Droits- Promotion

 Burkina/Droits humains : 88 cas de violations enregistrés dans quatre communes du Nord

Ouahigouya, 25 août 2022 (AIB)-   Quatre-vingt-huit (88) cas de violations des droits humains ont été détectés dans les communes de  Ouahigouya,  de Thiou,  de Ouindigui et de Titao, dans la région du Nord au premier trimestre de 2022, a annoncé, mardi, le Groupe de recherche-action sur la sécurité humaine (GRASH), au cours de sa rencontre d’échanges avec les acteurs intervenant dans le domaine. 

Cette rencontre d’échanges s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet de «documentation des cas de violations et abus aux droits humains dans les communes de Ouahigouya, Thiou, Ouindigui et Titao».

A l’occasion, les acteurs de la société civile, des médias, de l’administration ont pris connaissance des résultats du monitoring sur les droits humains réalisé, au cours du premier trimestre de l’année 2022.

Le directeur exécutif du Groupe de recherche-action sur la sécurité humaine (GRASH), Enock Kéré, a précisé que c’est dans un contexte de dégradation sécuritaire et de graves violences, en droits humains que 88 cas ont été répertoriés à Ouahigouya, à Thiou, à Ouindigui et à Titao.

Cette activité, à en croire M.Kéré, s’inscrit dans le cadre de l’atteinte des objectifs du groupe qui entend contribuer à la lutte contre l’insécurité, le terrorisme et pour le renforcement des capacités des personnes et organisations en matière de sécurité humaine.

Selon l’étude, dans ces quatre communes, les cas de violations sont majoritairement causées par des groupes armés terroristes (75%), suivis des Forces de défense et de sécurité, des volontaires pour la défense de la patrie et les civils.

Le rapport  fait ressortir également 9 cas sérieux dont 2 sont suivis pour une meilleure explication.

Cette analyse sur la situation des droits de l’homme a abouti à la formulation  de recommandations à l’endroit des autorités, des ONG et autres partenaires internationaux qui interviennent dans le domaine et  l’humanitaire.

Le projet de « documentation des cas de violations et abus aux droits humains » qui est mis en œuvre dans plusieurs régions  par le GRASH bénéficie de l’appui de l’USAID et de Freedom House.

Agence d’information du Burkina

PN/no/ata 

 

 

Coopération militaire et vandalisme à la Une des journaux burkinabè

Burkina-Presse-Revue

Coopération militaire et vandalisme à la Une des journaux burkinabè

Ouagadougou, 25 août 2022 (AIB)- Les parutions de ce jeudi, reviennent sur le vandalisme suivi de l’incendie du véhicule de l’activiste, Serge Bayala, sans oublier la  coopération militaire entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

« Burkina-Mali-Niger : Une nouvelle dynamique de la coopération militaire en vue », titre à sa manchette, le quotidien d’Etat Sidwaya.

Le journal public rapporte que le conseil de ministre d’hier mercredi à Ouagadougou, a précisé que la nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme va permettre de collaborer avec les pays voisins , à savoir le Mali, le Niger et le Benin ayant des défis communs.

Dans la même veine, le quotidien privé, L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso soutient que le G5 Sahel est en souffrance, du fait que la solidarité qui constitue un élément central de la coopération connait  des difficultés entre certains pays.

Le journal bobolais renchérit que l’espace le plus problématique de la menace terroriste demeure la zone des trois frontières (Mali-Niger-Benin).

A propos, le quotidien privé Le Pays, note que la nouvelle dynamique de coopération entre le Burkina et le Niger est sur la bonne voie.

Sous un autre volet, le doyen des quotidiens privés du Burkina, L’Observateur Paalga commente les propos du porte-parole du gouvernement, Lionel Bilgo sur l’incendie du véhicule de l’activiste Serge Bayala.

 

Selon M. Bilgo, « le Burkina Faso est suffisamment préoccupé par une question sécuritaire assez grave qu’il ne faut pas surfer sur les émotions ni jouer sur les intelligences des populations ».

Le journal privé Le Pays, pour sa part, souligne que l’incendie du véhicule de Serge Bayala continue de créer la polémique au sein de l’opinion nationale.

D’après le confrère,  le Mouvement burkinabè des droits de l’homme et des peuples (MBDHP), à travers une déclaration, dénonce un plan macabre d’intimidations.

Agence d’information du Burkina

AGM/no/ak

Burkina : Le gouvernement annonce la création d’une instance chargée de la réconciliation et du vivre-ensemble

Burkina- Instance-Création

Burkina : Le gouvernement annonce la création d’une instance chargée de la réconciliation et du vivre-ensemble

Ouagadougou, 24 août 2022 (AIB)- Le gouvernement burkinabè a annoncé mercredi, la création d’une instance dénommée Conseil national de la réconciliation nationale et du vivre-ensemble (CNRVE) pour impulser le processus en cours au Burkina Faso.

«Dans le but d’assurer une impulsion véritable au processus de réconciliation nationale en cours, il est apparu  nécessaire de mettre en place une instance d’orientation et de suivi de la politique du gouvernement, en matière de cohésion sociale et de réconciliation nationale », a déclaré le porte-parole du gouvernement, Lionel Bilgo.

Pour lui, cette instance, dénommée Conseil national de la réconciliation nationale et du vivre-ensemble (CNRVE), est chargée de donner des orientations et de suivre la mise en œuvre du  plan d’action intégré des stratégies, relatives à la cohésion sociale.

M. Bilgo s’exprimait mercredi à Ouagadougou, à l’issue de la traditionnelle rencontre des ministres, présidée par le président du Faso, Paul-Henri Sandaogo Damiba.

Il a précisé que le CNRVE va s’atteler à la prévention de la radicalisation et à contrer l’extrémisme violent.

« Il (Conseil) est chargé de donner des orientations pour la réparation et l’indemnisation des préjudices subis par les victimes dont les dossiers sont traités et évalués ainsi que les dossiers nouvellement enregistrés, au ministère en charge de la Cohésion sociale », a-t-il renchéri.

Lionel Bilgo a fait savoir que le gouvernement a placé l’instance sous la tutelle  du ministère en charge de la Cohésion sociale.

Agence d’information du Burkina

NO/ata/ak

 

 

Réussite de la Transition au Burkina : « La sérénité du président Damiba est contagieuse » (Premier ministre)

Burkina-Transition-Entretien-PM

 Réussite de la Transition au Burkina : « La sérénité du président Damiba est contagieuse » (Premier ministre)

Ouagadougou, 24 août 2022 (AIB)- Le Premier ministre, Albert Ouédraogo a assuré hier mardi, au cours d’un entretien, qu’il a découvert  en la personne du président Damiba, un homme très serein ayant une grande confiance en l’avenir et dont la sérénité est contagieuse quant à la réussite de la Transition.

«J’ai découvert un homme, un patriote. Quelqu’un qui a des valeurs et qui croit que ce pays peut sortir de cette situation (sécuritaire et humanitaire). Ce qui me fascine chez lui c’est que c’est quelqu’un qui est très serein et qui a une grande confiance en l’avenir. Sa sérénité est contagieuse », a  déclaré le chef du gouvernement, Albert Ouédraogo.

Il a en outre rassuré les Burkinabè de la détermination de son gouvernement à conduire la Transition avec toute la rigueur  et l’engagement qui siéent.

Le patron de l’exécutif s’exprimait hier mardi, dans la soirée à Ouagadougou, au cours d’un entretien sur les ondes de la télévision nationale du Burkina.

Albert Ouédraogo a également sollicité le soutien  et l’accompagnement de la population pour la réussite de la Transition.

«C’est pourquoi je réitère, l’appel une fois de plus à l’union sacrée, à la solidarité lancée par le président du Faso afin que nous puissions ensemble sauver ce pays qui nous est cher à tous », a-t-il  soutenu.

Le  chef du gouvernement a invité l’ensemble des fils et filles du pays à abandonner les querelles intestines, afin  de sauver la nation qui est l’unique bien des Burkinabè.

En rappel, Albert Ouédraogo a été nommé Premier ministre  du Burkina, le 3 mars 2022, à la suite d’un coup d’Etat qui a porté le 24 janvier le lieutenant-colonel, Paul-Henri Sandage Damiba au pouvoir.

Celui- ci reprochait à l’ancien président, Roch Marc Christian Kaboré, son incapacité à faire aux multiples attaques terroristes en cours depuis sept ans dans le pays.

Agence d’information du Burkina

NO-DN/ata

 

 

 

 

 

 

Terrorisme/ Appel à rompre avec la France : Nous ne pouvons pas continuer à rester sourds ! (PM)

Burkina-Terrorisme-Lutte

Terrorisme/ Appel à rompre avec la France : Nous ne pouvons pas continuer à rester sourds ! (PM)

 Ouagadougou, 24 août 2022 (AIB)- Le patron de l’exécutif burkinabè, Albert Ouédraogo a affirmé hier mardi, au cours d’un entretien que les dirigeants du Burkina Faso ne peuvent pas rester insensibles concernant les appels de la jeunesse à rompre la coopération avec la France dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

« Nous en tant que dirigeants nous ne pouvons pas continuer à rester sourds, insensibles à ces revendications. Parce-que nous avons des composantes importantes de notre peuple qui le réclament. Il faut bien sûr qu’à un moment donné nous puissions regarder », a déclaré  le Premier ministre, Albert Ouédraogo.

Le chef du gouvernement a précisé que des questions doivent être posées sur le partenariat avec la France, même si  elle est selon lui, c’est le partenaire historique et le premier en termes de chiffres.

M. Ouédraogo s’exprimait hier mardi à Ouagadougou, dans la soirée, au cours d’un entretien télévisé.

Le patron de l’exécutif dit comprendre les revendications des Burkinabè, au sujet de la diversification des partenaires dans la lutte contre le terrorisme, en ajoutant que les dirigeants ne peuvent pas continuer à rester sourds et insensibles à la préoccupation.

« Je voudrais terminer en disant qu’il n’y pas de problème entre les Burkinabè et le peuple français », a-t-il  indiqué.

Et de mentionner que le problème ne pose pas,  en termes de peuple ou de population, mais peut-être en termes de politique entre gouvernants et relation de  coopération.

Au sujet de l’aide au développement, le Premier ministre a estimé que « l’aide doit aider à assassiner l’aide ».

D’après lui, si depuis des années, la coopération avec la France n’a  permis d’assassiner l’aider, il faut se poser des questions.

Albert Ouédraogo a  également noté  qu’il faut revoir le partenariat avec la France.

En rappel, face à la multiplication des attaques terroristes au Burkina Faso, des acteurs de la société civile appellent régulièrement à coopérer avec la Russie.

Agence d’information du Burkina

NO-DK/ak

 

Le Premier ministre dresse le profil des terroristes qui attaquent le Burkina

 Burkina-Terrorisme

  Le Premier ministre dresse le profil des terroristes qui attaquent le Burkina

Ouagadougou, 24 août 2022 (AIB)- Le Premier ministre, Albert Ouédraogo a dressé hier mardi, le profil des terroristes qui attaquent le Burkina Faso depuis sept ans.

Dans un entretien  diffusé mardi soir par la télévision nationale du Burkina, le Premier ministre Albert Ouédraogo a indiqué que  deux groupes terroristes attaquent le Burkina Faso.

Selon lui, un premier groupe est très actif dans le Sahel et un deuxième à l’intérieur du pays  à savoir au Nord, au Centre-nord, à l’Est, dans les Cascades,  dans le Centre-sud, etc.

D’après Albert Ouédraogo, contrairement au début des attaques, ce sont maintenant les nationaux qui sont  les plus nombreux dans les rangs des assaillants, laissant les attaques complexes aux étrangers.

Le Premier ministre a précisé que les services de renseignements ont pu aujourd’hui procéder à un profilage des terroristes dans le pays.

A l’en croire, il y a, entre autres, le religieux qui défend sa religion et qui veut instaurer un califat, le défenseur de la communauté attaquée, le suiveur, l’opportuniste (bandits), la victime contrainte qui est la personne forcée à s’engagée dans les groupes.

«C’est important pour nous de savoir tout cela et c’est une avancée pour la connaissance de ceux qui nous attaquent»,  a confié Albert Ouédraogo

Depuis 2016, le Burkina est en proie des attaques terroristes qui ont causé la mort de centaines de personnes, le déplacement de plus de 2 millions de déplacés internes et la fermeture de nombreux établissements scolaires et sanitaires sur toute l’étendue du territoire national

Agence d’information du Burkina

NO-DK/ata/ak

 

Ouargaye : le nouveau préfet Mahamadou Soulama a pris fonction à la tête du département

Ouargaye : le nouveau préfet Mahamadou Soulama a pris fonction à la tête du département

Ouargaye, 24 août 2022(AIB)-Le nouveau préfet du département de Ouargaye (Koulpelogo),  Mahamadou Soulama, a pris fonction le lundi 22 août 2022.

La passation de service a eu lieu dans la salle de réunion du haut-commissariat à Ouargaye.

Il remplace ainsi Fidèle Beda qui passé plus de 5 ans et 1 mois, à la tête de ce département.

La cérémonie de passation a été présidée par le secrétaire général Adama Koussoubé qui, dans son message,  a félicité le préfet sortant pour le travail abattu durant son séjour à la tête du département de Ouargaye.

Ensuite, il a prodigué ses encouragements et ses  conseils au préfet entrant avant de procéder à son installation au nom du haut-commissaire de la province.

Le préfet Soulama dit déjà mesuré les tâches qui l’incombent et compte sur le soutien de ses collaborateurs pour les accomplir avec efficacité.

Agence d’information du Burkina

Boureima PAFADNAM

AIB Koulpélogo

Koupelogo : Le Haut-commissaire visite la radio Sougr-Nooma

Koupelogo : Le Haut-commissaire visite la radio Sougr-Nooma

Ouargaye, 24 août 2022(AIB)-Le haut-commissaire de la province du Koulpelogo Ousmane Ouattara a effectué mercredi, une visite de courtoisie dans les locaux de la radio Sougr-Nooma de Ouargaye, a constaté l’AIB.

La radio Sougr-Nooma de Ouargaye a reçu la visite du haut-commissaire de la province du Koulpelogo Ousmane Ouattara ce mercredi 24 août 2022.

Cette visite entre dans le cadre de sa tournée de prise de contact après son installation.

Après avoir fait le tour dans les différents services il était impératif de se rendre dans les locaux de la radio non seulement pour s’enquérir des difficultés que rencontrent celle-ci  dans le cadre de son fonctionnement, mais aussi  prodiguer des conseils au personnel qui y travaille, a assuré l’autorité.

Après une brève présentation du média, le chef de la station Boureima Pafadnam  a présenté les activités et les difficultés qui entravent son bon fonctionnement.

Le haut-commissaire Ouattara a dit prendre bonne note des difficultés énumérées et compte travailler pour une large couverture de celle-ci dans la zone.

Il ajoute que cet instrument est obligatoire parce que quiconque entreprend des actions de développement sans communication, a une forte chance d’échouer.

Ousmane Ouattara a ensuite conseillé aux travailleurs de rester professionnels et de continuer à respecter les règles qui régissent cet instrument, tout en les félicitant pour le travail abattu pour le bonheur de la population.

Il faut noter que cette radio qui était au départ une radio communautaire et devenu communale et peine à bien fonctionner.

Agence d’information du Burkina

Dernières publications