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Zondoma: Le nouveau directeur provincial de la police nationale Salif Yerbanga installé

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Zondoma: Le nouveau directeur provincial de la police nationale Salif Yerbanga installé

Gourcy (AIB)- Le nouveau Directeur provincial de la police nationale (DPPN) du Zondoma, Salif Yerbanga a été installé dans ses fonctions le mardi 30 mai 2023 à Gourcy.

Le nouveau Directeur provincial de la police nationale (DPPN) du Zondoma, le commissaire principal de police, Salif Yerbanga a été officiellement installé dans ses fonctions le mardi 30 mai 2023 à Gourcy.

La cérémonie d’installation présidée par le haut- commissaire de la province du Zondoma, Aboubacar Sidiki Nabé, avec la présence des représentants des corps constitués, des collègues, des amis, des forces vives de la province et du directeur Régional de la police nationale Cebastien Sawadogo.

M. Yerbanga remplace à ce poste le DPPN sortant, Pascal Ilboudo admis à la retraite, après quarante ans de service à la police dont huit au Zondoma.

Prenant la parole au nom des agents, le commissaire de police Narcisse Ouoba s’est attardé sur les qualités humaines, professionnelles et managériales du directeur sortant, qui, selon lui, ont valu non seulement des félicitations et des distinctions honorifiques mais aussi l’estime de la population qu’il a servie avec tout son cœur

« Je vous remercie pour votre disponibilité, votre engagement, votre esprit de sacrifice qui nous ont permis de sécuriser la province », a déclaré le commissaire principal sortant, à l’endroit de ses collègues

Pascal Ilboudo a par ailleurs rendu hommage à tous ses collaborateurs particulièrement au corps constitués qui ont toujours été à ses côtés durant son séjour à la direction provinciale de la police nationale du Zondoma.

A l’en croire, son séjour n’a pas été de tout repos dans une province ayant traversé plusieurs crises avant de faire face aux attaques terroristes ces dernières années.

Le DPPN entrant, Salif Yerbanga, a traduit sa reconnaissance à sa hiérarchie pour la confiance placée à sa modeste personne pour piloter la direction provinciale de la police nationale du Zondoma

M. Yerbanga a sollicité l’accompagnement de toutes les forces vives et de ses supérieurs pour sa nouvelle mission qu’il entame dans un contexte sécuritaire très difficile.

Le haut commissaire de la province du Zondoma, Aboubacar Sidiki Nabé a témoigné sa disponibilité ainsi que celle de son administration à l’accompagner dans sa mission.

M. Nabé a félicité le sortant tout en prodiguant des conseils au nouveau directeur provincial de la police pour l’atteinte de des objectif escomptés.

En rappel, le nouveau DPPN du Zondoma, Salif Yerbanga, un commissaire principal de police a été nommé en Conseil des ministres du 28 avril dernier.

Agence d’information du Burkina

AK/no/ata

Burkin Zondoma/CEP 2023: Le nombre de candidats en baisse de 1 920

 

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Zondoma/CEP 2023: Le nombre de candidats en baisse de 1 920

Gourcy, (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Zondoma, Aboubacar Sidiki Nabé a lancé le mardi 6 juin à l’école de Guelba à Gourcy, les épreuves du Certificat d’études primaires (CEP), session de 2023.

3 728 élèves dont 2 156 filles et 1 572 garçons sont allés ce mardi 6 juin 2023, à la conquête de leur premier parchemin. Pour le compte de la province, le lancement officiel du Certificat d’études primaires (CEP) a eu lieu au centre de Guelba situé dans la ville de Gourcy.

Pour cette année 2023, le nombre de candidats au CEP est en baisse de 1 920 dans la province du Zondoma.

«Je suis là avec tous les autres qui m’accompagnent pour vous encourager et vous soutenir. Restez calmes, lisez bien les sujets, réfléchissez avant de les traiter et nous aurons de bons résultats », a souhaité le haut commissaire, Aboubacar Sidiki Nabé aux candidats.

M. Nabé a également traduit ses accouragements aux enseignants et à tous les autres acteurs de l’éducation engagés dans le processus d’évaluation.

Pour le directeur provincial en charge de l’éducation du Zondoma Ouindinkonté Ouédraogo, cette session se déroule dans un contexte marqué par la montée de l’insécurité dans la province, toute chose qui, selon lui, justifie la baisse importante du nombre de candidats.

A l’en croire, cette session est marquée également par l’introduction d’un nouveau logiciel appelé SIGEC (Système Intégré de gestion des examens et Concours) dans le traitement des données.

D’après M. Ouédraogo, le SIGEC pourrait éventuellement créer quelques difficultés du fait de sa nouveauté. Les résultats du CEP sont attendus vers le 21 juin 2023.

Agence d’information du Burkina

AK/no/ata

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La force de l’ONU en RDC vers un départ « graduel et responsable »

RDCONGO-ONU-CONFLIT-PAIX-ARMÉES-DIPLOMATIE,LEAD

La force de l’ONU en RDC vers un départ « graduel et responsable »

 

 KINSHASA, 7 juin 2023  – Après plus de vingt ans de présence, l’ONU étudie comment retirer sa force de maintien de la paix en RDC « le plus rapidement possible » mais de manière « graduelle et responsable », a déclaré mercredi à Kinshasa le secrétaire général adjoint des Nations unies pour les opérations de paix.

Plusieurs dizaines de personnes avaient été tuées l’année dernière dans des manifestations hostiles à cette force (la Monusco), accusée de ne pas avoir su neutraliser les groupes armés qui pullulent dans l’est de la République démocratique du Congo.

Parmi les plus importantes et plus coûteuses missions de l’ONU au monde, la Monusco (anciennement Monuc) est présente en RDC depuis 1999. Elle compte environ 16.000 soldats de la paix.

« Il y a une frustration d’une partie de la population (…), parce que la situation sécuritaire est encore préoccupante », a reconnu devant la presse Jean-Pierre Lacroix, patron des opérations de paix de l’ONU. « Mais il y a aussi des manipulations, des +fake news+ (…), parce que tout le monde n’a pas intérêt au retour de la paix », a ajouté le Français.

Et surtout, il y a dans l’Est des centaines de milliers de déplacés « protégés quasi exclusivement » par des Casques bleus. Ces personnes « nous disent +surtout ne partez pas!+ », a poursuivi Jean-Pierre Lacroix, qui s’est rendu en fin de semaine dernière en Ituri (nord-est), notamment dans un camp de déplacés. Selon lui, un « vide sécuritaire » leur serait « fatal ».

Un « processus de transition » existe, a-t-il rappelé, processus « en cours de révision, de manière à se concentrer sur les critères essentiels » pour un départ de la Monusco « dans de bonnes conditions ».

– Kinshasa demande un soutien –

Il faut une « montée en puissance de l’Etat » et de ses forces de sécurité afin que les autorités congolaises puissent « prendre en charge les activités conduites par la Monusco », a-t-il souligné.

Kinshasa demande pour cela « un soutien accru au renforcement des capacités » de l’armée et de la police, « un soutien au processus de désarmement » des milices, « un appui aux processus » diplomatiques en cours, notamment pour la province du Nord-Kivu où sévit la rébellion du M23.

Parmi ses recommandations possibles au Conseil de sécurité de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix a également évoqué un appui aux forces régionales africaines déjà déployées ou envisagées dans l’est de la RDC. Une force est-africaine est présente dans le Nord-Kivu, où le déploiement d’un contingent d’Afrique australe est aussi envisagé.

Le mandat actuel de la Monusco « nous limite dans les soutiens que nous pouvons apporter aux forces régionales », a-t-il dit. Or, « nous souhaitons pouvoir faire davantage ».

Le responsable a par ailleurs évoqué les élections de décembre prochain en RDC, en réitérant les « préoccupations » de l’ONU face aux « violences lors des récentes manifestations », mais aussi aux discours « de haine, xénophobes, misogynes, de confrontation ethnique… ».

Avec l’AFP

Transfert d’argent : Sank Money accuse Orange Burkina de bloquer son décollage

Transfert d’argent : Sank Money accuse Orange Burkina de bloquer son décollage

Ouagadougou, 7 juin 2023 (AIB)- La société burkinabè de transfert d’argent Sank Money a accusé mercredi, la compagnie de téléphonie Orange Burkina de lui refuser le service de messagerie sans internet (USSD), indispensable à son décollage.

La société de transfert d’argent ‘’Sank Business’’ lancée en janvier 2021,  a changé de nom pour devenir ‘’Sank Money’’, à la faveur de l’arrivée de nouveaux actionnaires qui ont porté son capital à 1 milliard de FCFA.

L’information a été donnée mercredi matin lors d’une conférence de presse par l’un des nouveaux actionnaires, Saada Zougmoré.

Selon M. Zougmoré, Sank Money qui est accessible uniquement par internet, a besoin de l’application USSD (système de messagerie) pour atteindre ses clients qui ne disposent pas du réseau.

A en croire Saada Zougmoré, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) a donné son accord depuis le 18 avril 2023, pour que la compagnie de téléphonie mobile Orange Burkina, titulaire de la technologie au Burkina Faso, la lui livre.

«Quand l’ARCEP autorise, la téléphonie n’a pas le droit de refuser. Mais ils (Orange Burkina) sont en train de faire du dilatoire pour nous faire perdre le temps où nous décourager», a-t-il assuré.

«Sans le service USSD que Orange Burkina doit fournir à la société à capital local Sank Money, il sera quasiment difficile, voire impossible de lancer ses activités dans ce monde savamment aux prises des mains des multinationales qui se taillent, depuis des années, la part du lion et souvent au mépris des intérêts des consommateurs et de nos Etats», a-t-il insisté.

Rappelons que Orange Burkina dispose aussi d’un service de transfert d’argent appelé Orange Money.

L’entreprise Orange Burkina a contacté l’AIB dans la soirée du mercredi pour lui dire qu’un communiqué sera incessamment publié pour éclairer l’opinion.

Agence d’information du Burkina

Rwanda: vaste remaniement dans les forces armées, l’ »indiscipline » évoquée

RWANDA-ARMÉE-GOUVERNEMENT, LEAD-CORRECTION

Rwanda: vaste remaniement dans les forces armées, l' »indiscipline » évoquée

 KIGALI, 7 juin 2023 – Le gouvernement rwandais a opéré un large remaniement au sein des forces armées, annonçant mercredi le limogeage d’officiers de haut rang pour « indiscipline », après avoir remplacé la veille le ministre de la Défense et le chef d’état-major des armées sans explication.

La présidence rwandaise a annoncé de premiers changements à des postes-clés dès mardi avec le remplacement du ministre de la Défense Alfred Murasira, en poste depuis 2018, par Juvenal Marizamunda, ainsi que les nominations d’un nouveau chef d’état-major des armées, le général Mubarakh Muganga, et d’un nouveau chef d’état-major de l’armée de terre, le général Vincent Nyakarundi.

D’autres mouvements ont également été officialisés à la tête du renseignement militaire et de la sécurité intérieure, ainsi que dans la force rwandaise déployée dans le nord du Mozambique pour aider les autorités locales à contrer une insurrection jihadiste.

Ces nominations ont été faites sans aucun commentaire.

Mercredi matin, le ministère de la Défense a annoncé que le président et commandant en chef des forces armées Paul Kagame avait également « renvoyé des Forces de défense rwandaises le général de division Aloys Muganga, le général de brigade Francis Mutiganda ainsi que 14 officiers », dont les noms n’ont pas été communiqués.

« Il a également autorisé le renvoi de 116 autres gradés et approuvé la résiliation des contrats de service de 112 autres gradés (avec) effet immédiat », ajoute le communiqué.

Le général Muganga commandait les forces mécanisées depuis 2019 et le général Mutiganda avait été rattaché au quartier-général de l’armée rwandaise en 2018 à un poste non spécifié.

Le porte-parole de l’armée, Ronald Rvivanga, a déclaré à des médias locaux que les généraux Muganga et Mutiganda avaient été renvoyés pour « indiscipline », sans donner davantage de détails. « Selon la loi, cela signifie qu’ils doivent (…) quitter l’armée sans aucune allocation, à cause de ce qu’ils ont fait », a déclaré Ronald Rvivanga.

Le 30 mai, l’armée de la République démocratique du Congo (RDC) a accusé l’armée rwandaise et la rébellion du M23 de planifier une attaque contre la ville de Goma, dans l’est de la RDC.

Le M23 (« Mouvement du 23 mars ») est une ancienne rébellion majoritairement tutsi qui a repris les armes en fin d’année dernière et conquis de larges portions d’un territoire du nord de Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu.

Depuis, la RDC accuse son voisin rwandais de soutenir le M23, ce qu’ont établi des experts de l’ONU, malgré les démentis de Kigali.

Avec l’AFP

 

Burkina : Examen du CEP et politique de développement se partagent la Une  des quotidiens

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Burkina : Examen du CEP et politique de développement se partagent la Une  des quotidiens

Ouagadougou le 7 juin 2023 (AIB)- Les quotidiens burkinabè de ce mercredi se font l’écho de l’actualité portant sur la Politique nationale de développement (PND) et sur le lancement, la veille, du Certificat d’études primaire (CEP). 

Le journal privé Le Quotidien renseigne, à travers sa Une, que dans la région du Centre ce sont « 83 696 candidats (qui sont) en lice pour le premier diplôme scolaire ».

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya met en exergue le nombre de postulants au niveau national en affichant en manchette : « CEP 2023 : 376 275 candidats à la conquête du premier diplôme scolaire ».

Le journal informe que le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Joseph André Ouédraogo a lancé officiellement, hier mardi, à l’école Sud «  A » de Koupèla (Kouritenga), les épreuves du Certificat d’études primaire (CEP) 2023.

Le quotidien privé Le Pays, quant à lui, précise que c’est à 7h30 qu’a débuté la composition du CEP avec l’épreuve de la rédaction, qui a été suivie de celle de la dictée et de l’étude de texte, marquant la fin de la composition de la matinée.

L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, de son côté, titre à sa Une : « CEP 2023 : le nombre de candidats en baisse dans les Cascades ».

A ce propos, le journal relate les propos du directeur régional en charge de l’Education nationale dans les Cascades, Soilliou Karantao qui déclare que « pour cette session nous avons 15 970 candidats qui composent sur toute l’étendue de la région des Cascades ».

Il ajoute que  « contrairement à l’année dernière, il y a une baisse d’environ 12% », avant d’expliquer que « cette baisse est due au déplacement des candidats au regard du contexte sécuritaire et aussi des déperditions ».

L’Observateur Paalga  informe que le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Joseph André Ouédraogo a profité de son court séjour pour aller « encourager ses soldats au front».

Sur un tout autre sujet de l’actualité, le journal Le Pays mentionne en première page : « Politique nationale de développement 2022 : des acquis qui cachent mal des insuffisances ».

Le journal rapporte que le 6 juin 2023 au ministère des  Affaires étrangères, de la Coopération nationale et des Burkinabè de l’extérieur à Ouagadougou, a eu lieu la revue annuelle de la Politique nationale de développement (PND) de l’année 2022.

Le quotidien Sidwaya note  que l’objectif global de la PND est de « rétablir la sécurité et la paix, renforcer la résilience de la nation et transformer structurellement l’économie burkinabè pour une croissance forte, durable et inclusive ».

Le ministre de l’Economie, des Finances et de la Prospective, Aboubacar Nacanabo, informe à travers les colonnes de Sidwaya que le Plan d’actions pour la stabilisation et le développement (PA-SD) a enregistré une performance de 63%.

Sur le volet sécuritaire, L’Observateur Paalga laisse lire :   « Insécurité à Gourcy (Nord) : Des manifestants en veulent au directeur provincial de la police nationale ».

Selon l’article, un groupe d’individus ont organisé une marche, hier mardi à Gourcy, dans la province du Zondoma, région du Nord, pour dénoncer le comportement du directeur provincial de la police nationale dans la gestion de la crise sécuritaire.

A en croire L’Observateur Paalga,  les manifestants ont égratigné le préfet de Gourcy et le haut-commissaire de la province du Zondoma.

Agence d’information du Burkina

KSG/ak

Projet d’incendier le palais du Mogho Naaba : Le procès est ouvert

Projet d’incendier le palais du Mogho Naaba : Le procès est ouvert

Ouagadougou, 7 juin 2023 (AIB)-Le procès sur le présumé projet d’incendier le palais du Mogho Naaba afin de provoquer des affrontements, a débuté mercredi, malgré la réserve du Procureur du Faso, suite à l’absence d’un prévenu, a constaté l’AIB.

Agence d’information du Burkina

Burkina : Des cadres de l’administration formés au respect des normes de rédaction des rapports introduits en conseil des ministres 

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Burkina : Des cadres de l’administration formés au respect des normes de rédaction des rapports introduits en conseil des ministres 

Ouagadougou, 6 juin 2023 (AIB)-Le ministre en charge de la santé, Dr Robert Kargougou, a présidé mardi à Ouagadougou, une session de formation des cadres de l’administration publique, qui vise à « éviter les lacunes de fond et de forme constatées dans les rapports introduits en conseil des ministres ».

« Avec la grande mobilité du personnel au sein des départements ministériels et institutions, la nécessité de renforcer les capacités des nouveaux acteurs s’impose pour éviter les lacunes de fond et de forme constatées dans les rapports introduits en Conseil des ministres », a indiqué mardi le ministre en charge de la santé Dr Robert Kargougou.

Selon le ministre Kargougou, «les documents destinés au conseil des ministres, pour être adoptés, doivent suivre un processus et respecter des normes de rédaction ».

 

M. Kargougou a présidé mardi au nom du Premier ministre, une session de formation initiée par le Secrétariat général du Gouvernement et du Conseil des ministres. Il a livré le message du chef du gouvernement.

Il a indiqué que la présente session de formation vise spécifiquement à améliorer l’organisation et la qualité du travail gouvernemental de même que la connaissance et la responsabilité des cadres en situation de crise.

« Elle vise également à améliorer les connaissances des cadres sur les objectifs de la transition et les priorités du gouvernement et à renforcer le leadership et le management des différents responsables de l’administration publique », a affirmé le ministre Kargougou.

Cette formation rentre en droite ligne d’une série de formation initiée par le gouvernement depuis l’année 2022 au profit des cadres de l’administration publique.

Agence d’information du Burkina

DNK/wis 

Loroum/CEP 2023 : le Haut-commissaire Djibril Bassolé réconforte les candidats à Titao

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Loroum/CEP 2023 : le Haut-commissaire Djibril Bassolé réconforte les candidats à Titao

Titao, 6 juin 2023 (AIB) – Le Haut-commissaire de la province du Loroum, M. Djibril Bassolé a procédé mardi, à l’ouverture des épreuves au jury I de Titao et a encouragé les candidats à bien composer, a-t-on constaté.

A la tête d’une délégation composée des leaders coutumiers et religieux, des responsables des parents d’élèves et de responsables de services d’éducation, c’est au Centre de l’école A de Titao que le premier responsable de la province s’est rendu pour, d’une part donner le top de départ de l’administration des épreuves, mais aussi toucher du doigt les réalités du déroulement de l’examen et réconforter les candidats.

A la faveur des initiatives de regroupement, ils sont 282 candidats dont 186 filles et 96 garçons à prendre part effectivement aux épreuves des examens à Titao. Deux centres d’examens ont été ouverts à cet effet à l’école A et à l’école de Watinoma de Titao.

<<Ça n’a pas été facile. Souvent nous sommes en plein cours pendant qu’il y a des coups de feu. Les enfants sont effrayés et n’ont pas la tête en classe. Il y avait aussi un problème d’enseignants. Mais malgré tout, nous avons pu tenir >> a noté Augustin Sawadogo, président du Centre de Titao A.

Pour Ram Bonkoungou, Chef de circonscription de Titao I, c’est un signe de satisfaction. << Tout se passe bien. Tous les inscrits ont répondu présents. Je remercie tous les acteurs et partenaires de l’éducation. Ils se sont battus pour que l’école tienne>>, a t-il déclaré avant de rappeler un besoin : <<je sollicite encore des autorités, un accompagnement en personnel enseignant>>.

Le Haut-commissaire de la province M. Djibril Bassolé a témoigné de sa joie et a souligné que <<c’est une joie pour moi car c’est un signe fort que de pouvoir tenir les examens. Je salue la détermination des enseignants, des élèves, des parents d’élèves et de tous ceux qui ont accompagné nos initiatives >>.

L’examen du Certificat d’études primaires se tient à la fois à Titao et à Ouahigouya au regard de la situation sécuritaire.
Agence d’information du Burkina

Banwa : examen du CEP dans un contexte difficile

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Banwa : examen du CEP dans un contexte difficile

Solenzo, 6 juin 2023 (AIB)-l’examen du Certificat d’étude primaire (CEP) et de l’entrée en sixième a débuté ce mardi matin devant les autorités de la province des Banwa, a constaté l’AIB sur place.

Il est 6h30mn. C’est le début des appels et installations des candidats attendant l’heure d’ouverture de la première enveloppe pour la première épreuve.

En effet autour de 7h, le Préfet de Solenzo représentant le Haut-commissaire de la province des Banwa, accompagné des responsables et chefs de services provinciaux ainsi que les FDS, sont arrivés à l’école A de Solenzo.

Compte tenu du contexte sécuritaire et du déplacement des populations, ce sont uniquement deux jurys qui abritent chacun un centre de composition à Solenzo.

Ainsi l’unique jury de Solenzo 1 abrite un centre avec un total de 306 candidats et l’unique jury de Solenzo 2 a également un seul centre avec un effectif de 216 candidats.

En dehors du jury de Sanaba qui est basé à Dédougou, le total des candidats à Solenzo est de 522 cette année scolaire 2022-2023.

En présence des autorités et devant les élèves, l’enveloppe de la rédaction a été ouverte à 7h20mn et le sujet lu et porté au tableau est : « Dans ta famille, il ya eu une fête. Raconte ».

Selon le préfet, c’est un rêve qui se réalise car depuis janvier, personne ne pouvait imaginer l’ouverture d’une classe à Solenzo.

« 3 à 4 mois de cours et composer les mêmes sujets que les élèves qui ont commencé en octobre, c’est un grand défi à relever pour tous les acteurs », a-t-il mentionné. Le top départ a été donné à 7h30mn.

Le directeur provincial en charge de l’éducation de renchérir que « nous avons ouvert les classes le 20 février et c’est un processus engagé afin que l’année prochaine toutes les écoles puissent s’ouvrir. Nous rendons un vibrant hommage aux FDS car c’est elles qui ont défriché et nous avons semé. Alors nous allons prier pour que tout se passe bien et les résultats escomptés seront notre récolte à tous ».

Les FDS ont rassuré les acteurs de l’éducation de tout mettre en œuvre pour le bon déroulement de cette présente session de 2023.
Agence d’information du Burkina
SO/as/ata

Mouhoun/ Examen du BEPC : 668 candidats absents « du fait de la situation sécuritaire »

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Mouhoun/ Examen du BEPC : 668 candidats absents « du fait de la situation sécuritaire »

Dédougou, 05 juin (AIB)-Après ladministration des épreuves écrites du premier tour du Brevet détudes du premier cycle (BEPC) dans la région de la Boucle du Mouhoun, les responsables en charge de léducation post-primaire et secondaire ont constaté labsence de 675 candidats dont 296 filles et 379 garçons. Pour mieux comprendre la situation, le directeur régional des enseignements post-primaire et secondaire de la Boucle du Mouhoun, Dr Denis Vimboué, a fait une analyse de ces absences « dues au développement de la situation sécuritaire » dans certaines zones de la région à la veille des examens.

 

Sur un effectif de 15 594 inscrits au Brevet détudes du premier cycle (BEPC) dans la région de la Boucle du Mouhoun, seuls 14 952 candidats ont pu prendre part aux épreuves écrites et orales du premier tour de lexamen. Ce qui fait ressortir un effectif de 677 absents dont 296 filles et 379 garçons.

Les statistiques établies par le service des examens et concours du secondaire font ressortir 114 absents dans la province des Balé dont 64 filles, 242 dans le Mouhoun dont 112 filles, 114 dans la Kossi dont 38 filles, 61 dans le Nayala dont 26 filles et 144 dans le Sourou dont 56 filles.

A lanalyse de ces statistiques, la province du Mouhoun vient en tête. Elle est suivie par les provinces du Sourou, des Balé et de la Kossi. La province du Nayala vient au bas du tableau avec moins dune centaine dabsences.

Cette situation a attiré lattention des premiers responsables en charge des enseignements post-primaire et secondaire de la Boucle du Mouhoun.

De lavis du directeur régional des enseignements post-primaire et secondaire de la Boucle du Mouhoun, Dr Denis Vimboué, une première lecture établie le lien entre ces absences et la situation sécuritaire. « Le déplacement des populations vers des zones plus sécurisées a entrainé labandon de certains candidats déjà inscrits aux examens afin de suivre leurs parents dans leurs mouvements à la recherche de nouveaux sites daccueil », a-t-il expliqué.

Selon lui, dès la fin des examens, les services techniques de la DREPS vont procéder à une analyse poussée de ces constats et proposer des solutions.

Agence dinformation du Burkina

SB/dnk

Gourma/CEP : Le secrétaire général de la région de l’Est donne le top départ de l’examen du CEP et du concours d’entrée en 6ème.

Gourma/CEP : Le secrétaire général de la région de l’Est donne le top départ de l’examen du CEP et du concours d’entrée en 6ème.

Fada N’Gourma 6 juin 2023 (AIB)-La région de l’Est enregistre 13 488 candidats pour le CEP session 2023 contre 19 700 candidats en 2022, soit une baisse de 6 212 candidats (31,53%), a appris l’AIB mardi lors du lancement des épreuves.

C’est à l’école primaire publique Tikonti B de Fada N’Gourma que le secrétaire général de la région de l’Est, Issiaka Ouattara a ouvert la première enveloppe des épreuves pour annoncer le lancement officiel des épreuves du CEP et du concours d’entrée en 6ème de 2023.

A cet effet, le directeur régional en charge de l’éducation primaire de l’Est, Kayaba Natama a indiqué que la crise sécuritaire a durement impacté négativement le système éducatif de leur région.

Comme preuve, il a relevé que la fermeture massive des établissements a eu entre autre comme conséquence, la baisse drastique des effectifs des candidats aux examens et concours scolaires de 20023 de façon générale.

Ainsi, pour la session présente, on enregistre au CEP un total de 13 488 candidats dont 7 346 filles .A la session de 2022, on avait 19 700 candidats inscrits, soit une baisse de 6 212 candidats (écart de 31,53%). Ces candidats sont repartis dans 70 centres de composition dont 19 centres délocalisés du fait de l’insécurité.

M.Natama a aussi ajouté que tout est réuni pour que ces examens scolaires se passent bien. Mais tout de même, il a souligné quelques difficultés qui ne peuvent pas entacher le bon déroulement de cette session. Parmi ces difficultés, on retient entre autres l’inaccessibilité de certaines localités par la route, la mauvaise qualité du réseau téléphonique et l’absence d’actes de naissance pour certains Elèves déplacés internes. Il a laissé entendre qu’il y a des élèves chefs de ménages qui se déplacent dans le cadre de l’examen sont souvent confrontés à des difficultés d’alimentation ou à d’autres besoins essentiels.

Agence d’information du Burkina

KAC/ata

Nahouri/CEP : 5649 candidats  composent dans la province du Nahouri

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Nahouri/CEP : 5649 candidats  composent dans la province du Nahouri

Pô, 6  juin 2023 (AIB) – 5649 candidats composent ce mardi 6 juin dans la province du Nahouri pour le Certificat d’études primaire et l’entrée en sixième, a-t-on constaté.

C’est à l’école primaire publique de Pô, centre « A » que les autorités provinciales ont lancé les premières épreuves en compagnie des acteurs de l’éducation.

Le  haut -commissaire de la province Auguste Kinda après avoir prodigué des conseils aux candidats a ouvert la première enveloppe contenant l’épreuve de rédaction.  Pour le directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle du Nahouri, Yahiya Seoni, tout se déroule très bien sur toute l’étendue du territoire provincial.

Il a indiqué que le nombre de candidats de cette session est en baisse par rapport  à la session précédente dont le nombre de candidats était de 5881. Il souhaite également dépasser le taux de la session de 2022 qui était de 68,86%.
Agence d’information du Burkina
HKO/as/ata.

Kénédougou : 8376 candidats à la conquête du CEP   

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Kénédougou : 8376 candidats à la conquête du CEP   

Orodara,  6 Juin 2023 (AIB)-Le Haut-commissaire de la province du Kénédougou Saïdou Sakira a donné le top départ du Certificat d’études primaire (CEP) ce mardi 6 juin 2023 à Orodara, a-t-on constaté sur place.   

Dans la province du Kénédougou, ce sont au total 8376 candidats dont 3883 garçons et 4493 filles qui sont à la conquête du CEP, session de 2023. Pour le Haut-commissaire de la province du Kénédougou, sa présence parmi les candidats  en cette  matinée  du mardi est de leur traduire ses encouragements.

En outre, il leur a dit que les épreuves qui leur seront administrées sont des matières qu’ils ont eu à traiter au cours de l’année scolaire. Enfin, il a souhaité bonne chance à tous les candidats.

Pour sa part, le directeur provincial en charge de l’enseignement primaire et non formelle du Kénédougou Pié Coulibaly a laissé entendre qu’il existe dans le Kénédougou 13 jurys et 40 centres d’examen.

Au regard du contexte sécuritaire difficile, il a précisé qu’il ya aussi des centres déplacés.
Agence d’information du Burkina
AK/as.

Noumbiel/CEP: Le nombre en baisse de 08 candidats par rapport à 2022

Burkina-Examens-CEP

Noumbiel/CEP: Le nombre en baisse de 08 candidats par rapport à 2022

Batié, (AIB)-Le président de la délégation spéciale de Batié lancé les épreuves écrites du Certificat d’étude primaire session 2022,le 6 juin 2023 de la province du Nombiel à Batié. Le constat fait ressortir une baisse de 8 candidats par rapport à la session 2022.

Au total, ce sont 1691 candidats dont 862 garçons et 829 filles à qui ont pris part aux écrites du Certificat d’étude Primaire (CEP) session 2023 dans la province du Noumbiel.

Le président de la délégation spéciale de Batié a, avant l’ouverture de la première enveloppe, prodigué des conseils aux candidats.

Pour cette session 2023, 35 Salles, 90 surveillants, 91 correcteurs, 17 secrétaires et 88 maîtres accompagnateurs ont été mobilisées pour l’examen.

Agence d’information du Burkina

 

HO/dnk

BEPC 2023 : 1 904 candidats à la conquête du parchemin au Sahel

BEPC 2023

1 904 candidats à la conquête du parchemin au Sahel

Le gouverneur de la région du Sahel le lieutenant-colonel Fabien Rodolphe Sorgho a procédé au lancement des épreuves écrites du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) le jeudi 1er juin 2023 à Dori. 1 904 candidats au Sahel composent pour la session de 2023.

 

A croire le directeur régional des enseignements post-primaire et secondaire du Sahel Salifou Porgo, 1 904 candidats dont 936 filles vont à la conquête du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) dans sa circonscription éducative. Il a précisé que ces candidats sont repartis dans sept jurys dont quatre à Dori dans le Séno, deux à Gorom-Gorom dans l’Oudalan et un à Djibo dans le Soum. De l’avis de M Porgo, du fait de l’insécurité, l’enseignement secondaire n’a pas pu ouvrir des établissements à Sebba, chef-lieu de la province du Yagha. En revanche, les élèves de cette partie de la région du Sahel ont été accueillis dans les différents établissements de Dori. Par conséquent s’est-il félicité, ces derniers prennent par à l’examen du BEPC. A propos des centres secondaires de Falagountou, Sampelga et Seytenga, il a fait savoir que les élèves de ces localités qui connaissent un contexte sécuritaire difficile, prennent cours et passent l’examen à Dori. A l’entendre, ses services ont été confrontés à des difficiles mais le concours des différents acteurs et surtout les efforts consentis par la hiérarchie celle-ci ont été aplanies. C’est pourquoi, Salifou Porgo a témoigné sa gratitude à tous ces collaborateurs qui ont travaillé san sans relâche du début jusqu’en fin d’année scolaire.

Avant de procéder à l’ouverture de l’enveloppe contenant la première épreuve, le gouverneur de la région du Sahel le lieutenant-colonel Fabien Rodolphe Sorgho a fait le tour de quelques salles d’examen pour encourager, souhaiter bonne chance et prodiguer des conseils aux candidats. A l’ensemble du personnel de l’éducation qui a travaillé dans un contexte sécuritaire difficile jusquà à la tenue des examens, il leur adressé ses vives félicitations et encouragements.

Souaibou NOMBRE

Snombre29@yahoo.fr

Légende

Toutes les dispositions ont été prises pour permettre aux candidats de composer dans la sérénité. (DSCO 1056)

 

Le gouverneur de la région du Sahel le lieutenant-colonel Fabien Rodolphe Sorgho en compagnie du directeur régional des enseignements post-primaire et secondaire du Sahel Salifou Porgo ont procédé à l’ouverture de la première enveloppe.

Nombre

GMO Foot : CFA FC remporte la 1re édition

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GMO Foot : CFA FC remporte la 1re édition

Ouagadougou, 6 juin 2023 (AIB)- Le Centre de formation Avenir Football club (CFA FC) de Nonsin a remporté lundi à Ouagadougou, la première édition du tournoi de football du Groupe Madina Oumarou (GMO) inter-secteurs, en battant en finale, aux tirs au but (4-3) l’équipe de Jeune Pelé de Tampouy, après un match nul de 2 buts partout au temps règlementaire.

Après un score de 2 buts partout au temps règlementaire, place a été faite aux tirs au but. A cet exercice, le CFA FC s’est montré plus adroit en marquant 4 tirs contre 3 pour Jeune Pelé.

Pour sa victoire, l’équipe du CFA FC repart avec un trophée, un jeu de maillots, deux ballons et la somme de 2 000 000 FCFA.

Le finaliste malheureux s’en sort avec la somme de 1 000 000 FCFA, un jeu de maillots et 2 ballons.

Pour le promoteur de GMO Foot, Hama Traoré, l’objectif de cette compétition est de réunir la jeunesse et lui donner la joie de vivre à travers le football.

Pour l’utilisation de la VAR (assistance de l’arbitrage vidéo) à cette compétition le promoteur a expliqué que « on a juste osé. On s’est dit qu’on a tous les équipements donc pourquoi ne pas essayer la VAR. Cela a marché ».

Pour lui, utiliser la VAR ne nécessite pas de grands moyens. Il faut juste une caméra et une télé écran 32.

Pour le capitaine de CFA FC, Adama Zoungrana, « cette victoire est le fruit d’un entrainement de tous les jours ». Il a salué le promoteur pour cette  belle initiative.

L’entraineur de Jeune Pelé Gérard Zongo, déçu de la défaite de son équipe, a expliqué que « mes joueurs n’étaient pas physiquement prêts pour jouer les prolongations ».

Pour cette première édition de GMO Foot qui a duré un mois, 16 équipes de la ville de Ouagadougou ont pris part.
Agence d’information du Burkina
LM/FT-DNK-AS

Boulkiemdé : Les candidats au CEP invités à garder leur sang froid

Boulkiemdé : Les candidats au CEP invités à garder leur sang froid

 

Koudougou, 06 juin 2023 (AIB). Le secrétaire général de la région du Centre-Ouest, Séverin Somé, a lancé mardi les épreuves du Certificat d’études primaires (CEP) à l’école « A » de Ramongo-Tanghin dans la province du Boulkiemdé.

C’est bien parti pour la session du CEP 2023 sur toute l’étendue du territoire national. A cet effet, secrétaire général de la région du Centre-Ouest, Séverin Somé, entouré des premiers responsables en charge de l’Éducation dans la région dont Ardiata Sawadogo, était à l’école « A » de Ramongo-Tanghin dans le Boulkiemdé pour donner le top de départ à 7 heures.

En présentant la première enveloppe aux candidats d’une des salles, le SG les a rassurés en ces termes :  » Gardez votre sang froid et faites comme vous le faites d’habitude en classe ». Et d’ajouter :  » Lisez bien les épreuves et assurez-vous d’avoir bien compris avant de commencer ».

Ainsi donc commença le CEP avec comme première épreuve la rédaction qui invitait les candidats à raconter une partie de fête en famille.

La directrice régionale de l’Éducation préscolaire, primaire et non formelle, Ardiata Sawadogo, s’est dit confiante quant à un taux de succès au-delà de la moyenne malgré les perturbations occasionnées par les groupes armés terroristes qui ont semé par endroits dans la région la panique et la désolation.

A noter que la région enregistre un total de 48 339 candidats et 27 445 filles et 20 894 garçons.

Le Boulkiemdé est en tête avec 24 505 candidats suivis respectivement du Sanguié 12 869 candidats, de la Sissili 6 408 candidats et du Ziro 5 557 candidats.

A noter que les résultats sont attendus au plus le 28 juin 2023.

Agence d’information du Burkina

PB/ata

Barrage ukrainien: la Maison Blanche redoute « de nombreux morts »

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Barrage ukrainien: la Maison Blanche redoute « de nombreux morts »

 

 WASHINGTON, 6 juin 2023 – La destruction partielle d’un barrage en Ukraine a « certainement (fait) de nombreux morts », selon un porte-parole de la Maison Blanche qui a indiqué n’avoir pas de « conclusion définitive sur ce qui s’est passé ».

John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, a par ailleurs mis en garde contre un impact « dévastateur » pour la sécurité énergétique de l’Ukraine.

Les Russes et les Ukrainiens s’accusent mutuellement de la destruction partielle du barrage hydroélectrique de Kakhovka, dans le sud de l’Ukraine.

« Nous essayons toujours de comprendre ce qui s’est passé, mais les Russes avaient illégalement pris le contrôle de ce barrage et de ce réservoir il y a plusieurs mois et ils l’occupaient quand l’explosion s’est produite » a-t-il dit.

« Il est très clair que la destruction délibérée d’infrastructures civiles n’est pas autorisée par le droit de la guerre », a ajouté John Kirby.

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres avait lui indiqué un peu plus tôt que les Nations unies n’avaient « pas accès à des informations indépendantes sur les circonstances » de la destruction partielle du barrage.

« Mais une chose est claire: c’est une nouvelle conséquence dévastatrice de l’invasion russe de l’Ukraine », avait-il ajouté.

A la demande de l’Ukraine et de la Russie, selon des des sources diplomatiques, une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur cet événement a été programmée pour mardi à 20H00 GMT.

Avec l’AFP

 La destruction du barrage de Kakhovka n’affectera pas les plans de contre-offensive de Kiev (Zelensky)

CONFLIT-ARMÉE-RUSSIE-UKRAINE

 La destruction du barrage de Kakhovka n’affectera pas les plans de contre-offensive de Kiev (Zelensky)

 

KIEV (Ukraine), 6 juin 2023  – Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré mardi que la destruction partielle du barrage hydroélectrique de Kakhovka dans le sud du pays n’a pas changé les plans de la contre-offensive préparée depuis des mois par Kiev.

 

« L’explosion du barrage n’a pas affecté la capacité de l’Ukraine à libérer ses propres territoires », a indiqué M. Zelensky sur Telegram après une réunion avec son état-major. « L’état de préparation (des troupes) est maximal », a-t-il ajouté.

Avec l’AFP

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