Sécurité et développement : les entrepreneurs de la diaspora soutiennent les actions de la Transition

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8 juillet 2023

Burkina-Examens-Fraudes-Procès

Burkina: Ouverture à Ouagadougou, du procès des fraudes au baccalauréat 2023

Ouagadougou, 8 juillet 2023(AIB)- Le procès des élèves soupçonnés de fraudes au baccalauréat 2023, a débuté samedi au Tribunal de grande instance de Ouagadougou (TGI Ouaga1), a constaté un journaliste de l’AIB.

Ouédraogo Larifatou née en 1998 à Koubri est élève en classe de terminale D au lycée privé »Nouvelle Vision » à Kilwin(Ouagadougou).

A la barre, elle a reconnu avoir utilisé son smartphone pour traiter la première épreuve (philosophie) à l’examen du baccalauréat, session 2023.

La jeune fille a aussi indiqué qu’elle avait dans son téléphone, des PDF des différentes matières (philo, maths, svt…)

Le parquet a requis 6 mois de prison et une amende de 500 000 FCFA, le tout assorti de sursis.

Le Tribunal a déclaré coupable l’élève Ouédraogo Latifatou, la condamnant à 6 mois de prison et une amende 500 000 FCFA, le tout assorti de sursis.

Fin du procès pour la première prévenue.

Agence d’information du Burkina

HO/ata/ak

Conduite de la Transition : le Conseil des opérateurs économiques burkinabè de Côte d’Ivoire aux côtés des autorités de la transition

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8 juillet 2023

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Conduite de la Transition : le Conseil des opérateurs économiques burkinabè de Côte d’Ivoire aux côtés des autorités de la transition

Ouagadougou, 7 juillet 2023 (AIB)- Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a accordé une audience au Conseil des opérateurs économiques burkinabè de Côte d’Ivoire, conduit par son président Madi Ouédraogo.

Pour le président du Conseil des opérateurs économiques burkinabè de Côte d’Ivoire, il a été question au cours de cet entretien avec le Président de la Transition de développement et de la situation sécuritaire du pays.

« Ce sont les deux sujets sur lesquels le Chef de l’Etat a échangé avec nous. Il nous a prodigué des conseils en tant qu’opérateurs économiques vivant à l’étranger. Il nous a expliqué comment nous devons nous prendre pour apporter notre contribution à la construction de la nation », a indiqué Madi Ouédraogo.

Selon M. Ouédraogo, ce que la nation peut attendre de la communauté burkinabè vivant en Côte d’Ivoire « c’est un engagement parce que la mère patrie est en danger et tout le monde est à son chevet ».

C’est pourquoi, il a rappelé la disponibilité de la diaspora burkinabè en terre ivoirienne d’apporter sa contribution pour aider les parents qui souffrent de cette situation que traverse notre pays.

« C’est pour ça que nous sommes là, pour nous imprégner des réalités et nous armer pour voir comment apporter notre contribution de façon concrète », a affirmé Madi Ouédraogo.

Agence d’information du Burkina

Source : Direction de la communication de la Présidence du Faso

Chaque semaine, des milliers de Burkinabè souscrivent à l’actionnariat populaire, Resp

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8 juillet 2023

Chaque semaine, des milliers de Burkinabè souscrivent à l’actionnariat populaire, Resp

Ouagadougou, 8 juillet 2023 (AIB)-Le Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC), Karim Traoré, a affiché samedi, son agréable surprise de voir chaque semaine, des milliers de Burkinabè souscrire à l’actionnariat populaire, à la suite du chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré.

«C’est véritablement une grande satisfaction pour nous de voir que malgré le fait que nous n’avons pas encore communiqué précisément sur les caractéristiques du programme et des projets lancés, les Burkinabè y adhèrent massivement», s’est réjoui le Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC), Karim Traoré.

M. Traoré a noté «une très bonne dynamique» dans la souscription des projets communautaires.

«Nous sommes surpris de voir que les Burkinabè ont spontanément fait confiance au programme en venant par milliers par semaine pour effectivement payer les frais d’adhésion et prendre des parts sociales» , a-t-il ajouté.

Le Directeur général de l’Agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC), Karim Traoré, déclinait samedi à Ouagadougou, les grandes lignes de l’entrepreneuriat communautaire au cours d’une conférence publique.

Pour M. Traoré, cette conférence publique de lancement des activités de l’APEC pour la région du Centre, marque la phase pratique du déroulement du programme et va consister à donner des informations précises sur les différents projets, les délais d’exécution et le retour sur investissement.

D’après lui, les questions-réponses avec les populations vont permettre de lever les zones d’ombres.

Selon M. Traoré, depuis le lancement officiel des activités de l’APEC le 12 juin dernier avec la souscription officielle du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, son institution note «un très bon rythme de souscription» des Burkinabè.

De son avis, l’APEC a identifié quatre projets dans les secteurs stratégiques de l’économie du Burkina, notamment l’agriculture, l’élevage, le textile et les mines.

Pour lui, le budget de ces projets se chiffre autour de 100 milliards de FCFA mais l’agence ne va pas attendre de mobiliser l’ensemble de cette somme avant de commencer.

«Dès que nous mobilisons l’équivalent d’un projet entier, nous le démarrons», a-t-il assuré.

Pour lui, l’agence prévoit la création de deux nouvelles unités de transformation de tomates dont l’une à Tenkodogo et l’autre à Bobo-Dioulasso.

Elle prévoit également une «entrée progressive et stratégique» dans l’exploitation de l’or.

Dans ce domaine, trois sites pilotes ont déjà été identifiés et c’est la semi-mécanisation qui est privilégiée, en raison de son exigence en équipements plus ou moins légers.

Entre outre, l’agence va investir dans l’agriculture.

De l’avis du DG, il est prévu la création d’environ 100 mille unités de forage en deux ans, afin d’amener l’eau vers les producteurs sur toute l’étendue du territoire national et aussi la mise à disposition d’intrants et d’équipement agricole à ceux-ci.

Enfin, l’APEC va créer une centrale d’achat des produits agricoles.

Agence d’information du Burkina

Dnk/ata

Burkina : « Rendre visible les invisibles », le combat du photographe Warren Boureima Saré

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7 juillet 2023

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Burkina : « Rendre visible les invisibles », le combat du photographe Warren Boureima Saré

Ouagadougou, 7 juillet 2023 (AIB)- Depuis 2005, le photographe burkinabé, Warren Boureima Saré s’est donné pour mission de rendre visible les figures emblématiques de l’histoire des deux guerres mondiales, d’Indochine et l’Algérie à travers son chef-d’œuvre intitulé « Anciens combattants », publié par Eiffage Sénégal.

« Ancien combattants », est une œuvre qui retrace les témoignages poignants sur la période tragique de plus de 400 anciens combattants de par le monde pendant et après les deux guerres mondiales d’Indochine et d’Algérie », a déclaré le photographe Warren Boureima Saré.

Selon lui, cette œuvre fait revivre les sentiments de compassions, d’humanismes et de solidarités qu’entretenaient les combattants sur les champs de batailles, à travers plusieurs témoignages des soldats africains ainsi que français.

Pour le travail panafricain et le devoir de mémoire, M. Saré a sillonné plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest, à savoir la Cote d’Ivoire, le Sénégal, le Niger, la Guinée, le Burkina Faso et la France à la recherche de ces hommes qui ont marqué l’histoire.

« Moi, en tant qu’arrière-petit-fils d’un tirailleur africain, à travers cet ouvrage, j’incite la jeune génération à la découverte de leur racine, de tirer les enseignements de notre mémoire commune et de bannir toutes sortes de violences pour qu’ensemble nous bâtissions un monde meilleur », a-t-il indiqué.

Le photographe burkinabé a renseigné que la première édition du livre « Anciens combattants » a eu 600 exemplaires dont 103 livres ont été vendus au prix forfaitaire de 10 000 FCFA et les 497 autres partagés à des structures.

M. Saré a, par ailleurs, informé qu’une deuxième édition du livre « Anciens Combattants » est en cours et le prix unitaire est fixé à 25 000 FCFA.

Il a également annoncé la venue prochaine de son deuxième joyau intitulé « Frère d’arme ou fraternité d’arme » qui est une source de recueillement pour une véritable cohésion sociale et une promotion de la paix durable dans le monde.

Warren Boureima Saré est natif de Béguédo dans la région du Centre-est du Burkina Faso. Malgré le fait qu’il n’a pas eu la chance d’aller à l’école du blanc, cet handicap n’a pas été un frein pour son désir de devenir une référence dans le domaine de la photographie burkinabè.

Agence d’information du Burkina

FT-LM/ho/ak

Burkina/Verdict Procès : « Il faut faire confiance à la justice », avocat

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7 juillet 2023

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Burkina/Verdict Procès : « Il faut faire confiance à la justice », avocat

Ouagadougou, 7 juillet 2023 (AIB)- Me Mohamadou Paré, membre du Conseil SCPA a invité vendredi à faire confiance à la justice burkinabè qui vient de relaxer ses clients, les journalistes Alain Traoré et Lookman Sawadogo au bénéfice du doute.

« Il faut faire confiance à la justice du Burkina Faso. Nous avons déployé nos arguments et moyens juridiques pour dire que ce qui a été reproché à Alain Alain et Lookman n’était pas avéré et qu’il fallait simplement leur rendre justice », a indiqué l’avocat des prévenus Alain Traoré dit Alain Alain et Lookman Sawadogo, Me Mohamadou Paré.

Me Paré s’exprimait au Tribunal de grande instance de Ouaga I à l’issue du verdict du procès de « Marcel Tankoano et 9 autres » sur l’affaire d’audio appelant à incendier le palais du Mogho Naaba.

« C’est un dossier sensible et si un tribunal arrive à rendre une décision de relâche contre certains prévenus, nous estimons, nous avocats de messieursTraoré Alain et Sawadogo Lookman, que c’est une décision courageuse », a-t-il affirmé.

Pour lui, le tribunal a rendu une décision sage car « vous avez suivi avec nous tous les débats qui ont tantôt penché vers l’infraction à la sureté de l’Etat ».

Notons que le procès sur l’affaire d’audio appelant à brûler le palais du Mogho Naaba a débuté le 21 juin et a connu son verdict ce vendredi 7 juillet 2023 au TGI Ouaga I.

A propos, le tribunal a condamné Marcel Tankoano, le cerveau à quatre ans de prison et une amende de 5 millions de FCFA, le tout ferme.

Deux ans de prison ferme et une amende de 1 million de FCFA pour Boukaré Tapsoba, alors que Karim Koné écope d’un an ferme et une amende de 1 million FCFA.

Quant aux prévenus Pascal Zaïda et Abdoul Karim Baguian dit Lota, ils sont condamnés à 30 mois ferme avec une amende 2 millions FCFA chacun.

Belem Souleymane, le seul prévenu qui a comparu libre, pour sa part, s’en sort avec six mois de prison avec sursis.

Agence d’information du Burkina

LM-AO/ho/ak

Procès «Appel à incendier le palais du Moogho Naaba» : Marcel Tankoano écope de 4 ans de prison ferme

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7 juillet 2023

Burkina-Justice-Procès-Verdict

Procès «Appel à incendier le palais du Moogho Naaba» : Marcel Tankoano écope de 4 ans de prison ferme

Ouagadougou, 7 Juil. 2023 (AIB)- Le Tribunal de grande instance de Ouagadougou 1 (TGI Ouaga 1) a rendu, ce vendredi, sa décision dans le procès de l’appel à incendier le palais du Mogho Naaba, condamnant le principal cerveau de l’affaire, Marcel Tankoano à 48 mois de prison et 5 millions de francs CFA, le tout ferme.

Marcel Tankoano, responsable d’Organisation de la société civile (OSC) qui s’est aussi présenté, en début de procès, comme un « entrepreneur politique », est jugé coupable de la mise en danger d’autrui et incitation à la divulgation de fausse information.

Deux autres prévenus, Abdoul Karim Baguian dit Lota et Pascal Zaïda, responsables d’OSC également, sont condamnés chacun à une peine de 30 mois de prison et 2 millions de F CFA fermes.

Pendant ce temps, Boukaré Tapsoba, homme politique, prend 24 mois de prison et 2 millions F CFA fermes, alors que Désiré Guinko, de la société civile est condamné à 18 mois de prison et 1 million F CFA , le tout ferme.

De son côté, Karim Koné se voit infligé une peine de prison de 12 mois ferme et un million d’amende, tandis que Souleymane Belem, seul prévenu qui comparaissait libre, s’en sort avec 6 mois de prison assorti de sursis.

Quant aux journalistes Lookman Sawadogo et Traoré Alain allias Alain Alain, ils ont été renvoyés pour fin de poursuite et bénéfice du doute. Même sort pour Boukaré Conombo, un activiste, relaxé au bénéfice du doute.

En début mai 2023, des enregistrements audio avaient circulé sur les réseaux sociaux, appelant à incendier le palais du Moogho Naaba Baongho, alors que d’autres audio appelaient les populations pour s’opposer à l’incendie du même palais.

Le procureur du Faso avait reproché à ces dix personnes des faits d’incitation à attroupement non suivi d’effet, de mise en danger de la vie d’autrui, d’incitation à la divulgation de fausses nouvelles, d’incitation à la dégradation de biens et de complicité pour non-dénonciation de délit.

L’instruction de cette affaire à la barre a débuté le 21 juin 2023 et a duré quatre jours au cours desquels l’on a assisté à des comparutions de témoins, des explications, des diffusions d’éléments sonore et des plaidoiries d’avocats.

Au terme des débats, le parquetier avait requis des peines d’emprisonnement allant de six mois à cinq ans et des amendes de cinq millions à dix millions de francs CFA, le tout ferme.

Agence d’information du Burkina

Délibéré procès contre Marcel Tankoano et autres

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7 juillet 2023

Délibéré procès contre Marcel Tankoano et autres

Renvoi pour bénéfice du doute Conombo Boukaré , Loukman Sawadogo , Alain Alain

Marcel Tankoano :48 mois ferme plus une amende de 5 millions

Tapsoba Boukaré : 24 mois ferme plus 1million d’amende

Karim Koné: 12 mois ferme plus une amende de 1 million

Pascal Zaïda et Lota : 30 mois ferme plus une amende de 2 millions

Belem Souleymane : 6 mois avec sursis

Guinko Désiré : 18 mois plus 1 million d’amende

Agence d’information du Burkina

Religion, santé et justice se partagent la Une des quotidiens burkinabè

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7 juillet 2023

Burkina-Presse-Revue

Religion, santé et justice se partagent la Une des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 7 juil. 2023 (AIB)- Les journaux burkinabè, dans leurs livraisons de ce vendredi, évoquent l’actualité relative à la justice et à la décision du conseil des ministres portant sur l’intervention des agents de santé publics dans le privé, sans oublier la religion, marquée par le retour des pèlerins du Hadj 2023.

« Hadj 2023 : 430 pèlerins de retour au bercail », affiche à sa Une, le quotidien privé Le Pays qui relate que le premier contingent des pèlerins burkinabè est arrivé à l’aéroport international de Ouagadougou, le 5 juillet dernier.

Il précise que les 430 pèlerins qui composent cette 1^ere vague ont été accueillis sur le tarmac par le ministre délégué de la sécurité, Mahamadou Sana.

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, ajoute qu’en plus du ministre sana, « étaient aussi au pied de l’avion, des responsables de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) et du Comité de suivi du pèlerinage à la Mecque ».

Le journal arbore en manchette: « Hadj 2023 : Heureux comme un +ladji+ qui vient de rentrer de la Mecque », là où Aujourd’hui au Faso mentionne : « Les 430 premiers pèlerins burkinabè regagnent le bercail ».

Parmi les extraits du compte rendu du conseil des ministres, tenu hier jeudi, mis à sa Une, Aujourd’hui au Faso laisse lire « la réglementation des interventions des agents publics de santé dans le privé ».

A ce propos, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso met en exergue à sa Une : « Agents publics de santé dans le privé : Vous avez désormais 8 heures par semaine ».

Et le journal bobolais de souligner que la décision émanant du conseil des ministres d’hier jeudi, précise que les agents publics de santé ne peuvent intervenir que 8 heures par semaine dans le privé, soit en une journée, soit en deux demi-journées.

C’est à juste titre que Sidwaya, le quotidien national, titre à sa Une : « Conseil des ministres : les interventions des agents publics de santé dans le privé réglementées », tandis que Le Pays note que « le gouvernement veut mettre de l’ordre».

Dans sa rubrique hebdomadaire ‘’Pot-pourri’’, Le Pays revient sur le procès relatif à l’appel à incendier le palais du Mogho Naaba qui se tient au Tribunal de grande instance de Ouagadougou (TGI).

Le quotidien fait observer que « le sort de Marcel Tankoano (le présumé cerveau dans cette affaire ; Ndlr) et compagnie (sera) connu aujourd’hui ».

L’Observateur Paalga parle également de justice, dans sa rubrique ‘’Une Lettre pour Laye’’ où il informe que le nom du lieutenant-colonel Emmanuel Zoungrana a été cité dans une autre affaire de tentative de déstabilisation, « alors qu’il croupit à la Maison d’arrêt et de correction de l’armée (depuis des mois).

Le doyen des quotidiens privés burkinabè publie, in extenso, une réaction (communiqué) de la famille du Lt-col Zoungrana pour démentir sa participation à un tel projet.

Agence d’information du Burkina

Baccalauréat 2023 : Les résultats définitifs donnent 595 admis soit un taux de réussite de 42,26 % dans la province du Ioba

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6 juillet 2023

Burkina-Ioba-Baccalauréat-Résultats

Baccalauréat 2023 : Les résultats définitifs donnent 595 admis soit un taux de réussite de 42,26 % dans la province du Ioba

Dano, 6 juil. 2023 (AIB)-Les résultats du second tour du Baccalauréat session de 2023 ont été proclamés le mercredi 05 juillet 2023 dans les six jurys du Ioba. Sur les 1408 candidats présents, la province a enregistré pour les deux tours, 595 admis soit un taux de réussite de 42,26 %.

Le nombre de filles admises est de 232 et les garçons sont 363. Ce résultat est obtenu du cumul des séries A4 et D.

En série A4, sur les 758 candidats présents, 371 sont admis soit un pourcentage de succès de 48,94 %. Pour la série D, on a enregistré 224 admis pour 650 candidats présents soit un taux de réussite 34,46 %.

Au premier tour, la province a obtenu 419 admis et au second tour 176 admis. Ce qui donne le total de 595 admis au Baccalauréat session de 2023 dans le Ioba.

Agence d’information du Burkina

SZ/wis

Baccalauréat 2023 : 55,82 % de succès dans la province du Nahouri

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6 juillet 2023

Burkina-Nahouri-Baccalauréat-Résultats

Baccalauréat 2023 : 55,82 % de succès dans la province du Nahouri

Pô, 6 juil. 2023 (AIB)-La province du Nahouri enregistre pour cette session du Baccalauréat, un taux de succès de 55,82 % pour 758 admis toutes séries confondues (A4 et D) avec 407 garçons admis et 351 filles admises.

Les six (06) jurys de la province du Nahouri ont proclamé dans la journée du jeudi 6 juillet 2023, les résultats du deuxième tour du Baccalauréat session de 2023.

La province enregistre pour cette session, un taux de succès de 55,82 % pour 758 admis toutes séries confondues (A4 et D) avec 407 garçons admis et 351 filles admises.

En rappel, la province a présenté 1358 candidats pour cette session de 2023. Ce taux est en hausse par rapport à la session précédente dont le taux était de 43,34 %.

Agence d’information du Burkina

HKO/wis

Sahel: des terroristes liquidés pendant leurs réunions

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6 juillet 2023

Sahel: des terroristes liquidés pendant leurs réunions

Ouagadougou, 6 juillet 2023 (AIB)- L’armée burkinabè grâce à ses moyens aériens, a neutralisé de nombreux terroristes à Kelbo et à Seytenga pendant leurs réunions, a appris l’AIB jeudi auprès de sources sécuritaires.

Dans la soirée du mercredi 5 juillet 2023, les services de renseignement burkinabè ont repéré des terroristes dans la zone de Kelbo (Soum, Nord).

Les malfaiteurs y tenaient une réunion dans un hameau abandonné.

Tard dans la nuit, alors qu’ils étaient regroupés sous un hangar, les vecteurs aériens ont fait feu sur eux, les neutralisant tous.

Plutôt au cours de la journée, les limiers du service de renseignement ont détecté vers Seytenga, une quarantaine de criminels.

Réfugiés sous des huttes et sous des arbres, ils ont été liquidés dans des frappes.

Plusieurs opérations de ravitaillement au bénéfice des populations de l’Est et du Seno ont eu lieu avec succès, grâce aux Forces combattantes qui ont repoussé des attaques contre certains convois.

Les opérations se poursuivent à différents niveaux du territoire national pour ramener la paix, assurent des sources sécuritaires à l’AIB.

Agence d’information du Burkina

Baccalauréat 2023 : Les résultats définitifs donnent 1122 admis soit un taux de succès de 38,18% dans la province du Passoré

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6 juillet 2023

Burkina-Passoré-Baccalauréat-Résultats

Baccalauréat 2023 : Les résultats définitifs donnent 1122 admis soit un taux de succès de 38,18% dans la province du Passoré

Yako, 6 juil. 2023 (AIB)-La Direction provinciale des enseignements post primaire et secondaire du Passoré a fait jeudi le récapitulatif des résultats définitifs du Baccalauréat session de 2023, dans la province à l’issue de la proclamation des résultats des épreuves du second tour. La province enregistre un résultat définitif de 1122 admis, soit un taux de succès estimé à 38,18%.

Selon les chiffres fournis par le service des Examens et Concours de la Direction provinciale des enseignements post primaire et secondaire(DPEPS) du Passoré , la province a enregistré au total 1122 admis soit un taux de succès global estimé à 38,18%.

Les statistiques font ressortir également que sur 807 candidats qui étaient autorisés à suivre les épreuves écrites du second tour, seuls 345 candidats issues des séries A4, D, C et Bac Pro Agricole qui ont pu décrocher le premier diplôme d’entrée à l’enseignement supérieur.

Agence d’information du Burkina

ZES/wis

Baccalauréat 2023 : 376 admis sur 894 candidats dans la province du Nayala

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RESULTATS PROVISOIRES NAYALA BAC- 2023-2

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6 juillet 2023

Burkina-Nayala-Baccalauréat-Résultats

Baccalauréat 2023 : 376 admis sur 894 candidats dans la province du Nayala

Toma 6 juil. 2023 (AIB)-Les résultats du second tour du Baccalauréat session de 2023 dans la province du Nayala totalise 376 admis sur 894 candidats.

Il est 16 heures ce mercredi 5 juillet 2023, les candidats au second tour du Baccalauréat 2023 sont à l’écoute de leur résultats dans les jury N°29 et 30 sise au lycée Sacré Coeur de Toma.

Ces deux jurys abritant uniquement les candidats de la série A4, enregistrent 87 admis sur les 161 candidats.

L’ensemble des quatre jury réunis pour les séries A4 et D dans le Nayala, enregistrent au total 376 admis dont 193 garçons et 183 filles. Cela représente un taux de succès global de 42, 06%.

Cette année, la province a enregistré l’un des meilleurs taux général de succès au Baccalauréat, a constaté l’AIB.

Agence d’information du Burkina

Burkina: Les agents publics de santé devront faire un choix définitif entre travailler dans le public ou le privé d’ici 1à 2ans

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6 juillet 2023

Burkina: Les agents publics de santé devront faire un choix définitif entre travailler dans le public ou le privé d’ici 1à 2ans

Ouagadougou, 6 juillet 2023(AIB)-Les agents publics de santé vont devoir choisir d’ici un à deux ans, soit travailler dans le public soit dans le privé. En attendant, ils peuvent travailler dans le privé 8 heures par semaine, selon une décision prise jeudi par le gouvernement burkinabè en conseil des ministres.

« Au titre du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, le Conseil a adopté un rapport relatif à la problématique des interventions des agents publics de santé dans les structures sanitaires privées.

Pour le ministre Robert Lucien Jean-Claude KARGOUGOU, cet encadrement passera par des signatures de conventions entre les agents publics de santé, les structures publiques de santé, les universités desquelles relèvent ces agents de santé et les structures privées de santé où ils doivent intervenir ».

Selon lui, la réglementation permettra aux agents de santé du public d’intervenir 8 heures par semaine dans le privé, soit en une journée, soit en deux demi-journées.

A cet effet le Conseil a également adopté des dispositions transitoires très importantes sur la question.

« Pour les spécialistes, cette autorisation d’intervenir dans les structures privées est d’une durée de deux ans maximum au bout de laquelle les spécialistes seront invités à choisir formellement entre être dans le public et être dans le privé », a expliqué le ministre KARGOUGOU.

Il a ajouté que pour le reste des corps de la santé, cette autorisation est d’une durée d’un an maximum au bout de laquelle un choix devra être opéré pour l’exercice de la fonction.

Le ministre en charge de la santé a précisé également que l’adoption du présent rapport permettra de clarifier l’intervention des agents publics de santé dans le privé, de minimiser les conflits d’intérêt, d’améliorer la disponibilité des agents dans les structures sanitaires publiques et d’améliorer l’accès équitable de la population au service de santé de qualité.

Agence d’information du Burkina

Source : Direction de la communication de la Présidence du Faso

Baccalauréat 2023 : 51,31% de réussite dans la province du Koulpelogo

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DPEPS-KPL RESULTATS A CHAUD BAC 2023

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6 juillet 2023

Burkina-Koulpelogo-Baccalauréat-Résultats

Baccalauréat 2023 : 51,31% de réussite dans la province du Koulpelogo

Ouargaye, 6 juil. 2023 (AIB)-Les résultats de l’examen du Baccalauréat session 2023 donnent 51,31% de réussite dans la province du Koulpelogo.

Les résultats de l’examen de Baccalauréat session 2023 ont livré son verdict ce jeudi 06 juin 2023 dans la province du Koulpelogo.

Au total 333 candidats sur un total de 649 dont 356 garçons et 293 filles sont admis avec un taux de succès de 51,31%.

En rappel, la province du Koulpelogo a enregistré 4 jurys répartis dans 3 centres pour cause d’insécurité.

RESULTATS COMPLETS DE LA PROVINCE :

Agence d’information du Burkina

BP/wis

Baccalauréat 2023 : 469 admis soit 35,13% dans la province du Kourweogo

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6 juillet 2023

Burkina-Kourweogo-Baccalauréat-Résultats

Baccalauréat 2023 : 469 admis soit 35,13% dans la province du Kourweogo

Boussé, 6 juil. 2023 (AIB)-Les résultats définitifs du Baccalauréat session de 2023 dans la province du Kourweogo donnent 469 admis dont 211 filles 258 garçons sur 1335 candidats soit 35,13% de succès.

Agence d’information du Burkina

DB/wis

Photo d’archive pour illustration

Burkina : L’association S0S Enfants de Orodara renforce le dialogue entre les FDS du Mali et du Burkina et les communautés vivant sur la bande frontalière

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6 juillet 2023

Burkina-Mali-Finkolo-Koloko-Dialogue

Burkina : L’association S0S Enfants de Orodara renforce le dialogue entre les FDS du Mali et du Burkina et les communautés vivant sur la bande frontalière

Orodara, 6 juil. 2023 (AIB)-L’Association SOS Enfants de Orodara a organisé les vendredi 23 et lundi 26 Juin 2023 respectivement à Finkolo au Mali et à Koloko au Burkina Faso, deux ateliers de renforcement de dialogue entre les FDS des deux pays et les communautés vivant sur la bande frontalière.

C’est la commune de Finkolo, dans le cercle de Sikasso au Mali qui a abrité le premier atelier le vendredi 23 Juin 2023 et qui a réuni les Forces de défense et de sécurité et les leaders communautaires de ladite commune et ceux de Danderesso.

A l’ouverture des travaux, en présence du président du conseil d’administration de SOS enfants, le maire de Finkolo Drissa Ouattara s’est réjoui du choix de sa commune pour abriter cette rencontre importante relative à la promotion de la cohésion au niveau de la bande frontalière.

C’est aussi le même sentiment de joie qui a animé le Sous-Préfet central de Sikasso Drissa Coulibaly. Au regard des thématiques qui seront abordées au cours de cet atelier, celui-ci a remercié l’Association Enfants de Orodara et ses partenaires pour cette initiative.

Lors des échanges, les participants ont mené leurs réflexions sur les comportements mettant à mal le dialogue entre ces deux entités. Il s’agit entre autres du non-respect des textes, la fraude, les tracasseries routières et la corruption. Le lendemain samedi 24 juin 2023, s’en est suivi une conférence sur la gestion des ressources naturelles dans la bande frontalière.

L’atelier de Koloko qui s’est tenu le lundi 26 juin 2023 a eu pour cadre la salle de réunion de la préfecture et a concerné les FDS et les leaders communautaires de ladite localité et ceux de la commune de Sindo.

Il s’est penché sur la même problématique avec le même public cible. En termes de facteurs de résilience, les participants ont évoqué la méfiance et la peur d’approcher les FDS, la méconnaissance des textes par la majorité des populations, les pratiques de certaines personnes et la trop grande rigueur de certains FDS.

De Finkolo à Koloko, les participations ont presque formulé les mêmes propositions à savoir la création d’un cadre de concertation et/ ou de collaboration entre les FDS et les communautés dans la résolution des conflits communautaires, la création d’un cadre de dialogue pérenne entre les FDS et les communautés et enfin l’organisation des activités socio-culturelles en impliquant les FDS.

Ces deux ateliers réalisés s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du projet brique par brique : Appui à la prévention / gestion des conflits communautaires et frontaliers porté par l’ONG Interpeace avec le concours financier de la fondation Patrip.

Agence d’information du Burkina

AK/wis

Boulgou : L’Association ZEKOULA pour le Développement de Bittou et environnement fait des dons

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6 juillet 2023

Burkina-Boulgou-Association-Soutien

Boulgou : L’Association ZEKOULA pour le Développement de Bittou et environnement fait des dons

Bittou, 2 juil. 2023 (AIB)-L’association ZEKOULA pour le Développement de Bittou a fait un don de matériel en espèce et en nature aux personnes déplacées internes (PDI), aux Forces de défense et de sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de Bittou le samedi 1er juillet 2023, à la mairie de Bittou.

Le don est composé de 2 tonnes 259 kg de riz, des produits pharmaceutiques au montant de 830 000 FCFA, 02 balles de friperie et une somme de 300 000 FCFA.

Le secrétaire général de l’association ZEKOULA, Alassane Zampaligré

Ce don de l’association ZEKOULA pour le Développement de Bittou et environnants, a été remis aux PDI, VDP et FDS de Bittou le samedi 1er juillet 2023 à la mairie de Bittou en présence du préfet, président de la délégation spéciale de la commune de Bittou.

Il y avait aussi des autorités des Forces de défense et sécurité, des représentants des VDP, des membres des chefferies coutumières et religieuses, et des représentants de la dite association et des populations.

Selon le secrétaire général de l’association ZEKOULA, Alassane Zampaligré, représentant le président, sa structure est née de la volonté des ressortissants de Bittou à Ouagadougou.

L’association, selon Alassane Zampaligré promet toujours venir à l’aide à la province avec l’accompagnement de ses partenaires notamment le programme alimentaire mondial.

Le préfet président de la délégation spéciale de la commune de Bittou, Mohamed Lamine Diabaté a salué le geste de l’association et demandé à toutes les bonnes volontés d’entreprendre les mêmes démarches.µ

Selon lui, grâce aux efforts des FDS et VDP, Bittou se libère de son gouffre de jour en jour. Il a donc demandé aux populations de soutenir nos vaillants combattants.

Agence d’information du Burkina

IZ/wis

Baccalauréat 2023 : La province de la Gnagna réalise un taux de réussite de 32,21%

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