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Banwa/Journée nationale de la citoyenneté : Solenzo ne dérobe pas à la règle

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Banwa/Journée nationale de la citoyenneté : Solenzo ne dérobe pas à la règle

Solenzo, (AIB)-Le Haut-Commissaire de la province des Banwa, Oumarou Sandwidi, a lancé ce lundi 23 octobre 2023 à Solenzo, la journée nationale du drapeau et des symboles du Faso, devant des Forces de défense et de sécurité (FDS), des directeurs, chefs de service ainsi que la population.

Il était 7h00 quand la place de la préfecture était remplie de monde.

Les FDS ont placé les gens dans le dispositif de la montée des couleurs afin que chacun puisse voir et suivre cette montée.

Au tour de 7h25, le Haut-Commissaire de la province des Banwa, Oumarou Sandwidi, est arrivé sur les lieux et c’est à 7h30 minutes que la police a procédé à la montée des couleurs.

Chacun sur la ligne préparée pour la cause, les yeux rivés sur le drapeau et l’hymne national chanté à voix haute symbolisant l’existence et la souveraineté de l’état dans la province des Banwa.

Après la montée des couleurs, le Haut-Commissaire de la province des Banwa, a livré un message fort à l’ensemble de la population présente.

Il a expliqué les objectifs de la semaine nationale de la citoyenneté et également définit le sens du drapeau national, de l’hymne national et aussi des symboles du Faso.

La semaine nationale de la citoyenneté est placée sous le thème : « Citoyenneté en action pour la reconquête de l’intégrité du territoire national ».

Oumarou Sandwidi, a rendu un vibrant hommage aux FDS et aux VDP ainsi qu’à tous les acteurs de développement de la province des Banwa.

Le Haut-Commissaire a indiqué que la survie du Burkina Faso dépend de notre détermination et de notre engagement à œuvrer dans l’intérêt supérieur de la nation.

« Nous sommes appelés à vivre ensemble dans une bonne cohésion ce qui nous permettra de sortir victorieux dans cette guerre », a-t-il conclu.

Agence d’information du Burkina

SO/hb/bz

FILEP, bonne gouvernance et sport commenté par la presse burkinabè

Burkina-Presse-Revue

FILEP, bonne gouvernance et sport commenté par la presse burkinabè

Ouagadougou 23 oct. 2023, (AIB)- Les parutions de ce lundi évoquent à leur Une, la gouvernance administrative locale, le championnat du monde de log lift 2023 et la 10e édition du Festival international de la liberté d’expression et de la presse (FILEP).

Le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga, commente à sa Une, les propos du ministre en charge de la Communication, Jean Emmanuel Ouédraogo, à propos de la liberté d’expression et de la presse.

Selon M.Ouédraogo précise, « Il est illusoire de penser qu’on peut avoir une sorte de journalisme hors sol » au Burkina Faso.

Le journal privé Le pays s’appesantit également sur les propos du premier responsable du département en charge de la Communication relatif à la clôture du colloque international, du Festival international de la liberté d’expression et de la presse (FILEP) 2023. Pour le confrère, le ministre Ouédraogo fait savoir qu’ «  Il n’y a pas de liberté dans un pays qui n’est pas libre ».

Le journal public Sidwaya, de son côté, renseigne que la 10e édition du FILEP a refermé ses portes le 21 octobre 2023 à Ouagadougou, au cours d’une soirée-gala. A l’en croire, la journaliste Mariam Ouédraogo du quotidien d’Etat a remporté le prix Marie Soleil Frère de la meilleure journaliste du Burkina, dans la catégorie presse écrite.

Sous un autre volet, le quotidien privé, L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso, titre, à sa manchette : « Forum régional de la jeunesse africaine : Mettre les jeunes au cœur de la gouvernance ». Le journal bobolais informe que le forum régional annuel de la jeunesse africaine s’est déroulé du jeudi 19 au vendredi 20 octobre 2023 à Ouagadougou.

A ses dires, la rencontre a été initiée par le Centre pour la démocratie, le développement et la culture en Afrique (Gorée institute) dont le siège se trouve à Dakar au Sénégal.

Toujours la même dynamique, Le quotidien privé Le Pays fait cas de l’Assemblée des projets et programmes du secteur de la « Gouvernance administrative locale » tenue le vendredi 20 octobre 2023 dans la capitale burkinabè. De son avis, les parties prenantes se sont accordées sur une performance de 39,1 sur 50, sur la période 2021-2022.

D’après le quotidien d’Etat Sidwaya, les projets et programmes étaient en évaluation.

Concernant le sport, le nouveau journal prive « La Cohésion publie à sa première page : Championnat du monde de log lift : Iron Biby à nouveau sur le toit du monde ». L’express du Faso, quant à lui, renchérit que la médaille d’or de Iron Biby pèse 230 kg. Pour Sidwaya, M. Biby bat son propre record alors. L’Obs note que Cheick Al Hassan Sanou alias Iron Biby retrouve le goût de la compétition, après 2 ans de disette.

Agence d’information du Burkina

NO/as/ata

Kossi : Un hommage rendu au défunt directeur provincial en charge des Sports, Seydou Zoré

BURKINA-KOSSI-SPORTS-HOMMAGE

Kossi : Un hommage rendu au défunt directeur provincial en charge des Sports, Seydou Zoré

Nouna, (AIB)-Le Haut-Commissaire de la province de la Kossi, Dô Jacques Abel Sanou, a présidé le dimanche 22 octobre 2023 à Nouna, la cérémonie d’hommage pour la mémoire du directeur provincial des Sports et loisirs, décédé le mardi 17 octobre 2023 à Nouna à l’âge de quarante un ans.

Les amis, collègues, parents, amoureux du sport, sont venus honorer la mémoire du directeur provincial des Sports et loisirs, Seydou Zoré, décédé le mardi 17 octobre 2023 à Nouna à l’âge de quarante un ans.

Une série d’activités a été organisée dont une séance d’aérobic, un match de gala opposant les fonctionnaires aux élèves sur le terrain de la mairie avec un score final de trois buts à deux.

Le défunt a contribué à l’épanouissement des couches sociales en général et de la jeunesse en particulier, à travers diverses activités sportives telles que des cross, des tournois Maracana, de la gymnastique, de l’aérobic et des camps vacances foot pour occuper les tous petits.

« Il a demeuré pendant longtemps un acteur incontournable et incontesté de différentes coupes organisé dans la Kossi », diront les intervenants à la cérémonie d’hommage, Rita Traoré et Mounirou Traoré.

Le Haut-Commissaire de la province de la Kossi, a rappelé les mérites de l’homme, disponible, sérieux, consciencieux, amoureux du travail bien fait, avant de remercier tous les acteurs qui ont contribué à la réussite de la cérémonie.

Dô Jacques Abel Sanou, a par ailleurs saisi l’opportunité pour s’adresser à la jeunesse de maintenir haut le flambeau que le défunt leur a légué.

La cérémonie a été marquée par une minute de silence à la mémoire de l’illustre disparu suivi d’un message émotionnel de remerciement du fils aîné du défunt, à l’endroit de l’assistance et surtout à sa mère pour qu’elle garde espoir.

Après les allocutions place a été donnée aux professeurs de gym pour la séance d’aérobic. Un match de gala a opposé les fonctionnaires aux élèves avec un score final de trois buts à deux.

Une collecte de fonds a eu lieu pour soutenir la famille éplorée.

Le professeur d’Education physique et sportive (EPS), Seydou Zoré, fut directeur provincial des Sports et loisirs depuis 2014 a passé plus d’une dizaine d’années à Nouna. Il a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de mérite de la jeunesse en 2018.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/bz

Burkina: Ibrahim Traoré veut  »réhabiliter » le drapeau national, PM

Burkina: Ibrahim Traoré veut  »réhabiliter » le drapeau national, PM

Ouagadougou, 23 oct. 2023(AIB)-Le chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré est venu pour redonner au drapeau national, les vertus qu’il avait perdues dans les cœurs et les comportements des Burkinabè, a affirmé lundi, le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

 

«Le régime de la Transition avec le capitaine Ibrahim Traoré, est venu pour redonner au drapeau, les vertus qu’il l’avait perdues dans les cœurs et dans les comportements. Il veut marquer une rupture entre un passé récent et un futur que nous voulons construire. Il s’agit de jeter les bases d’un Burkina nouveau», a soutenu lundi, le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

 

Le chef du gouvernement s’exprimait à la Primature, lors de la journée consacrée au drapeau national, en marge de la semaine nationale de la citoyenneté.

 

«Le drapeau actuel est un produit de la Transition sankariste (1983-1987). Il symbolise la rupture avec un passé ( colonial, ndrl ) de résignation pour un présent et un futur de participation, d’engagement et de prise de conscience individuelle et collective», a dit le chef du gouvernement.

 

Me Apollinaire Kyelem de Tambèla a rappelé que « le vert de l’actuel drapeau, traduit la richesse de la nature qu’il faut préserver par le sacrifice du sang rouge pour que rayonne l’étoile jaune de la prospérité pour un avenir radieux ».

 

Le Premier ministre a invité les Burkinabè épris de justice et de bonne gouvernance, à défendre la Transition en cours, pour qu’elle puisse mettre en œuvre les réformes nécessaires à la refondation de l’Etat et de la société.

 

«Le drapeau que nous célébrons n’ont pas été défendu quand l’adversité sous toutes ses formes s’est dressé contre eux. Cela doit servir de leçon à tous. C’est alors que nous méritons le drapeau de la révolution sankariste», a-t-il rappelé.

Agence d’information du Burkina

ATA/aka

Burkina: Le Premier ministre appelle à se dresser contre les tentatives de liquidation de la Transition

Burkina: Le Premier ministre appelle à se dresser contre les tentatives de liquidation de la Transition

Ouagadougou, 23 oct. 2023(AIB)-Le Premier ministre, Me Apollinaire Kyelem de Tambèla, a exhorté lundi, les Burkinabè favorables aux réformes devant assainir la gouvernance et les finances publiques, « à dresser contre ceux qui font de tout bois pour abattre la Transition ».

Le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla a fait le point le lundi 23 octobre 2023, de situations de mal gouvernance que la Transition’ a trouvées dès son arrivée.

Il a notamment fait cas de ces opérateurs économiques nationaux et internationaux contraints de débourser des fortes sommes d’argent pour faire examiner leurs projets d’investissements, des enrichissements illicites rendus légaux par des textes pris à dessein et des sommes énormes englouties dans des études sans que les projets ne voient le jour.

Le chef du gouvernement a aussi dénoncé un système de rémunération exorbitant dans un pays pourtant en difficulté, de nombreux dossiers en justice qui n’aboutissent pas et des institutions de contrôles où des entraves à la bonne gouvernance existent.

D’après Me Apollinaire Kyelem de Tambela, « beaucoup de réformes s’imposent donc pour la refondation de l’Etat et de la société»,

Il a exhorté les Burkinabè favorables à ces réformes, à défendre la Transition.

« Beaucoup sentant venir des réformes qu’ils ne souhaitent pas, font feu de tout bois pour abattre le régime de la Transition. Quoi de plus normal. Pendant que certains se battent pour l’avenir du pays, d’autres se battent pour leur avenir personnel. Cela doit être connu pour que chacun prenne position en toute connaissance de cause.

Il revient à ceux qui s’identifient dans les réformes initiées ou projetées par la Transition de se dresser pour la défendre», a-t-il dit.

Notons que le Premier ministre s’exprimait à l’occasion d’une journée consacrée au drapeau national, dans le cadre de la Semaine nationale de la citoyenneté.

«Ceux qui ont conçu le drapeau (d’août 1984) que nous célébrons, n’ont pas été défendus quand l’adversité sur toutes ses formes, s’est dressée contre eux. Cela doit servir de leçon à tous. C’est alors que nous mériteront du drapeau de la révolution sankariste», a martelé Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

L’unité « phantom » du Burkina et le Niger neutralisent des terroristes

L’unité « phantom » du Burkina et le Niger neutralisent des terroristes

Ouagadougou, 22 oct. 2023(AIB)-L’unité « phantom » de l’armée burkinabè en parfaite coordination avec des vecteurs aériens du Burkina et du Niger, ont neutralisé plusieurs terroristes ce dimanche, dans la zone des trois frontières, selon des images de cadavres fournies à l’AIB par des sources sécuritaires.

Dans l’après-midi du dimanche 22 octobre 2023, une unité « phantom » de l’armée burkinabé a découvert au moins, une centaine de terroristes sous des arbres dans la zone de Goungam en territoire burkinabé.

Les vecteurs aériens de l’armée burkinabè placés à une quinzaine de km au Nord de Markoye, survolent la base et confirment l’information.

Puis, ils envoient des salves de frappes sur les terroristes qui seront tués dans des explosions causées par leurs munitions.

L’unité phantom monte alors sur la base. Elle constate sur le terrain des cadavres terroristes, des motos et des armes calcinés. Puis, elle parachève « le travail ».

 

 Pendant ce temps, des rescapés prennent la fuite vers le Niger, sous la poursuite des vecteurs aériens burkinabè.

 

Une fois la frontière franchie, les vecteurs aériens nigériens vont prendre le relais et les suivre jusqu’à Lélétan, en territoire nigérien.

 Malgré leur tentative de se camoufler sous des arbres, ils seront foudroyés jusqu’à à leur destruction totale par les vecteurs aériens nigériens.

Selon nos informations, les autorités militaires du Burkina Faso et du Niger, se sont félicitées de la parfaite coordination qui a prévalu durant cette mission à succès.

Agence d’information du Burkina

Burkina/Santé mentale: une association interpelle l’Etat à plus d’actions dans ce secteur

Burkina-Santé-Mentale

Burkina/Santé mentale: une association interpelle l’Etat à plus d’actions dans ce secteur

Ouagadougou, 22 oct. 2023 (AIB)-l’Association sauvons le reste (SAULER) en collaboration avec Christofel Blinden Mission (CBM), a commémoré en différé, la journée internationale de la santé mentale le jeudi 19 Octobre 2023 à Ouahigouya, sous le thème « La santé mentale est un droit humain universel », interpellant l’Etat à plus d’actions dans le secteur, a constaté un journaliste de l’AIB.

Le 10 Octobre de chaque année, le monde entier commémore la journée internationale de la santé mentale. Pour cette année 2023, l’Association sauvons le reste (SAULER) a commémoré en différé ce 19 Octobre 2023 à Ouahigouya cette journée.

Il s’est agi, selon le président de l’Association, Adama Ouédraogo, de contribuer à la reconnaissance de l’importance de la santé mentale, à la disponibilité et à l’accès aux soins et aux traitements pour tous, dans un contexte de crise sécuritaire et humanitaire.

Ainsi à travers une conférence publique sous le thème « La santé mentale est un droit humain universel », des populations de la ville de Ouahigouya et celles environnantes ont été sensibilisées sur la santé mentale.

Le conférencier Seydou Sourabié a expliqué qu’au Burkina Faso, 41% des populations âgées de 18 ans et plus souffrent d’un problème de trouble mental.

« Malheureusement la réponse de l’Etat n’est pas en phase avec la réalité », s’est-il inquiété.

La situation s’aggrave avec la crise sécuritaire car bon nombre des personnes déplacées internes sont traumatisées à cause des violences qu’elles ont subi, à entendre le président de l’Association.

« Au centre de SAULER, l’on dénombre 42 personnes (28 femmes et 14 hommes) qui souffrent de problèmes mentaux sur 307 PDI consultées pour la période du 1er Janvier au 30 Septembre 2023 » a précisé M. Ouédraogo.

A entendre le conférencier, le thème est interpellateur car il invite l’Etat à prendre des mesures pour que ce droit puisse être effectif.

« Et cela doit se faire par l’obligation de respecter, de protéger et de mettre en œuvre le droit à la santé mentale des populations. L’Etat doit aussi veiller à faire la promotion et la prévention des causes liées à la santé mentale. Il s’agit de la lutte contre l’importation et la commercialisation des substances psychoactive. Aussi, les malades doivent pouvoir avoir des soins appropriés dans les services de santé », a soutenu Seydou Sourabié.

Insuffisance du personnel soignant et Adama Ouédraogo de poursuivre qu’une prise en charge rapide du malade évite que celui-ci sombre.

Pour réussir tout cela, le communicateur a souhaité qu’on renforce les capacités du personnel de santé jusqu’au niveau des centres de santé et de promotion sociale(CSPS) en prise en charge des malades.

« On a que 70 CM et seulement 31 ont des services de santé mentale avec seulement 11 médecins psychiatres et 86 attachés de santé mentale pour tout le pays. Ce qui est insuffisant », a-t-il indiqué.

En conclusion, il a interpellé les familles, les professionnels de santé à créer un cadre propice au développement des patients et préconise des soins ambulatoires au niveau des communautés.

Hamadé Ouédraogo, un participant a remercié SAULER, qui est d’une grande aide pour toute la population du Nord. Celui-ci a promis partager les informations reçues au cours de cette conférence avec son entourage. La célébration a été marquée également par des causeries sur les antennes de certaines radios locales.

Agence d’information du Burkina 

FB/AS/ATA

Tapoa: les Forces vives de la province exigent le retour des autorités administratives d’ici à une semaine 

Tapoa: les Forces vives de la province exigent le retour des autorités administratives d’ici à une semaine 

 

Diapaga, 21 octobre 2023 (AIB)-La population de Diapaga est sortie massivement samedi, pour réclamer le retour des autorités qui depuis le début de la crise se sont délocalisées à Fada N’Gourma, provoquant une paralysie administrative de la province de la Tapoa.

Partis du lycée Untaani pour rejoindre le rond-point central de la ville de Diapaga, ils étaient un millier arborant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: « La Tapoa orpheline de ses autorités », « Nous exigeons le retour sans délais de nos Haut-commissaire, Préfets, Directeurs et chefs de service ».

C’est le mercredi 18 octobre 2023 que la décision a été prise d’organiser la marche, à l’issue d’une rencontre tenue dans la salle de conférence de la mairie de Diapaga.

Selon le coordinateur de la marche, Pierre Kondia Yonli, c’est après plusieurs tentatives d’ approches avortées avec les autorités, que les Forces vives ont décidé d’aller à la marche.

Un ultimatum d’une semaine a été donné à ces autorités pour rejoindre Diapaga, faute de quoi la population ne les reconnaîtra plus comme leurs autorités.

Les manifestants dénoncent notamment le blocage de la délivrance des actes administratifs dû à leur absence.

Un appel a été lancé au président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré, pour que des mesures fortes soient prises afin d’assurer le retour et la protection des autorités à Diapaga.

Agence d’information du Burkina

Gayéri : Marche pacifique de la population de Gayéri pour soutenir les FDS et les VDP

Région de l’Est

Province de la Komondjari

Gayéri : Marche pacifique de la population de Gayéri pour soutenir les FDS et les VDP

Gayéri, 22 oct. 2023 (AIB)-La population de Gayéri dans la province de la Komondjari s’est mobilisée dimanche à Gayéri à travers une marche pacifique, suite à l’appel de la cellule de veille de la Komondjari, a constaté un journaliste de l’AIB.

Suite à l’appel de la cellule de veille de la Komondjari résident à Gayéri, la population de Gayéri dans la province de la Komondjari est sortie massivement ce jour 22 octobre à Gayéri pour transmettre une lettre ouverte au gouverneur de la région de l’Est.

Dans ladite lettre elle manifeste sa reconnaissance et son soutien aux Forces de Défenses et de Sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) qui se battent nuits et jours pour assurer la sécurité de la population.

Elle dénonce l’absence de l’administration publique, la fermeture des lycées et collèges d’enseignement général et leur délocalisation à Fada N’Gourma chef-lieu de la région de l’Est d’une part, et d’autre part la fermeture du CMA de Gayéri, l’absence du personnel de santé et celui de l’enseignement.

Elle réclame le retour de tous les agents de l’Etat affecté dans la province y compris les autorités administratives, la réouverture de tous les établissements d’enseignement et de santé résidents à Gayéri-centre et une opération de ratissage pour la libération totale de la province.

La marche a été clôturée par un maracana pour la cohésion sociale.

Agence d’information du Burkina 

LNY/AS/ATA

Burkina : une association d’étudiants veut marcher le 11 novembre prochain pour soutenir les FDS

Burkina : une association d’étudiants veut marcher le 11 novembre prochain pour soutenir les FDS

 

Ouagadougou, 21 oct.2023 (AIB)- L’Association des jeunes élèves et étudiants unis du Burkina (AJEEUB) a appelé samedi à Ouagadougou, leurs camarades à une marche pacifique le 11 novembre prochain pour soutenir les Forces de défenses et de securité (FDS) dans la lutte contre le terrorisme au Burkina, a constaté l’AIB.

Agence d’information du Burkina

La dépigmentation volontaire de la peau y compris celles des nourrissons, décriée 

La dépigmentation volontaire de la peau y compris celles des nourrissons, décriée 

 

Ouagadougou, 21 oct. 2023 (AIB)-L’Association diamants noirs (ADN) a exhorté la jeunesse à cesser la dépigmentation volontaire de la peau, à cause de ses méfaits sur la santé et de son caractère offensant pour l’identité noire.

« C’est une offense et même une insulte de vouloir changer la couleur de sa peau qui représente notre héritage et notre identité culturelle » a déclaré Camille Djélika Zoungrana, présidente de l’association diamants noirs (ADN).

Pour elle, le complexe de la peau claire s’est emparé de nombreux Africains.

Mlle Zoungrana s’exprimait samedi, à l’université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou lors d’une conférence de sensibilisation sur les méfaits de la dépigmentation.

Cette conférence s’est tenue sous le thème : « Dépigmentation volontaire : Effet de mode mais un réel problème de santé public ».

« La dépigmentation a pris une certaine ampleur car aujourd’hui elle touche aussi bien les femmes que les hommes et même les nourrissons » ajoute Djélika Zoungrana.

« La dépigmentation cutanée volontaire est un véritable fléau social pour notre pays » a affirmé Dr Awa Traoré, dermatologue et neurologue, conférencière.

« Généralement nous rencontrons des femmes qui viennent nous voir parce qu’elles ont eu à utiliser ces produits et qu’elles veulent arrêter parce qu’elles veulent retrouver une peau normale » relève la dermatologue.

« Il y a d’autres patientes qui présentent déjà des complications cutanées telles que des infections et autres » précise –t-elle.

« Pour remédier à cela, nous faisons d’abord un état des lieux pour voir l’ampleur du dégât, ensuite nous essayons de les accompagner dans leur démarche » explique Dr Traoré.

La conférencière a souhaité que les étudiants soient des remparts pour sensibiliser les populations afin d’éradiquer la pratique de la dépigmentation.

« Le combat que mène l’association ADN est noble » dit Yasmine Kamena, marraine de la cérémonie.

« Je mène aussi la lutte contre la dépigmentation à travers la vente de produits cosmétiques permettant de garder notre peau naturelle » ajoute-t-elle.

Une remise d’attestions aux acteurs qui soutiennent les activités de l’association a constitué le clou de la conférence.

En rappel, ADN est une association créée le 7 mai 2022 à Bobo-Dioulasso. Elle fait de la santé de la peau son cheval de bataille.

L’association mène des sensibilisations dans les établissements scolaires et universitaires.

Agence d’information du Burkina

RK/ata

Burkina : une association d’étudiants veut marcher le 11 novembre prochain pour soutenir les FDS

Burkina-Education-Etudiants-Conférence

Burkina : une association d’étudiants veut marcher le 11 novembre prochain pour soutenir les FDS

Ouagadougou, 21 oct.2023 (AIB)- L’Association des jeunes élèves et étudiants unis du Burkina (AJEEUB) a appelé samedi à Ouagadougou, leurs camarades à une marche pacifique le 11 novembre prochain pour soutenir les Forces de défenses et de securité (FDS) dans la lutte contre le terrorisme au Burkina, a constaté l’AIB.

«Notre chère nation le Burkina Faso connait depuis plusieurs années une crise sécuritaire socio-économique et humanitaire. C’est pourquoi l’Association jeunes élèves et étudiants unis appelle tous les élèves et étudiants de Ouagadougou à une marche pacifique pour soutenir nos soldats le samedi 11 novembre 2023 à partir 8 h », a déclaré le président de l’AJEEUB, Cheick Amed Tidjane Compaoré.

 

M. Compaoré a précisé que la marche pacifique des étudiants est nécessaire et opportune, car selon lui, leur initiative contribue à réconforter le moral des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires de défense pour la patrie(VDP) qui se battent au péril de leurs vies, afin de reconquérir l’intégrité territoriale du pays.

Il était samedi à Ouagadougou, devant les hommes et femmes de médias sur la situation sécuritaire qui prévaut au Burkina Faso. Pour lui, l’insécurité a entrainé de nombreuses pertes en vies humaines, des blessés, des Personnes déplacées internes (PDI) et la fermeture de plusieurs écoles et centres de santé.

Depuis 2015, le pays fait face à des attaques terroristes avec plus de 2,6 millions de Personnes deplacées internes (PDI). « Conscients de l’esprit d’union qui règne entre la jeunesse burkinabè, nous invitons les différents leaders d’étudiants et d’élèves, à faire de cette marche une réalité qui s’achèvera par la remise d’un projet de réflexions de lutte contre le terrorisme, au Chef d’Etat-major des armées au rond-point des nations unies », a-t-il soutenu.

Cheick Amed Tidjane Compaoré a signalé que l’association a contribué à l’effort de paix à hauteur de 2 millions 25 mille FCFA. Il a saisi l’occasion pour faire cas des différentes activités menées par son association.

Il s’agit, entre autres, d’une campagne de distribution d’eau minérale au profit des agents de police, des conférences sur les stratégies d’entreprenariat dans plusieurs universités de la place, d’une collecte de vivre pour les personnes déplacées, des cours de renforcement au profit des élèves déplacés en classe d’examen.

Créée en Juin 2021, L’AJEEUB intervient dans le domaine de l’éducation et de développement durable au Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina 

JO/NO/AS/ATA

Iron Biby symbolise la combativité et la résilience des Burkinabè », président Traoré 

« Iron Biby symbolise la combativité et la résilience des Burkinabè », président Traoré 

Ouagadougou, 21 oct. 2023(AIB)-Le président Ibrahim Traoré a félicité samedi nuit, son compatriote Cheick Ahmed al-Hassan Sanou alias Iron Biby, qui a pu conserver quelques heures plus tôt, sa couronne de champion du monde de log lift.

« Mes vives félicitations à notre compatriote Cheick Ahmed al-Hassan SANOU alias Iron Biby qui a remporté la victoire, ce samedi à Glasgow en Ecosse, au « World log lift challenge ».

Il a battu son propre record en domptant la charge de 230 kg.

Ainsi, au-delà de l’honneur fait à son pays et au peuple burkinabè, Iron Biby est le symbole de la combativité et de la résilience des Burkinabè, toujours debout et fiers.

Bravo Champion ! », a écrit le chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré, sur son compte X( ex Twitter).

Agence d’information du Burkina

AlerteLogLift: Iron Biby bat son propre record et conserve son titre de champion du monde de Log lift

#AlerteLogLift: Iron Biby bat son propre record et conserve son titre de champion du monde de Log lift

 

Ouagadougou, 21 oct. 2023 (AIB) – Le Burkinabè Iron Biby a battu samedi en Ecosse, son propre record de Log lift en soulevant une charge de 230 kg, a-t-on appris du ministère burkinabè en charge des sports.

Iron Biby est phénoménal. Il reste l’homme le plus fort du monde. Ce samedi 21 octobre en Ecosse il a encore fait parler sa puissance en soulevant une charge de 230kg.

Cette performance lui permet de conserver son titre de champion du monde de log lift.

Iron Biby, une fierté nationale !

DCRP MJSE

Loroum: L’armée neutralise des terroristes et détruit leur base à Mihity 

Loroum: L’armée neutralise des terroristes et détruit leur base à Mihity 

 

Ouagadougou, 21 oct. 2023(AIB)-Alors que des terroristes se préparaient à lancer une attaque dans le Loroum, l’armée burkinabè a pris les devants, en rasant ce samedi, une base dans la grande forêt de Mihity non loin de Banh, a appris l’AIB.

Les services de renseignement burkinabè ont eu vent d’attaques terroristes d’envergures en préparation au Burkina.

C’est ainsi que les recherches ont permis de découvrir dans le secteur Nord, ce samedi 21 octobre 2023, une base terroriste dans la grande forêt de Mihity, non loin de BANH.

Plusieurs terroristes à motos ont rejoint les lieux pour préparer leur projet funeste.

Fort heureusement, les vecteurs aériens sont entrés en action à temps pour les bombarder.

Les vecteurs aériens ont également identifié un autre groupe qui tentait de se cacher en profondeur dans la forêt.

Après plusieurs frappes, les criminels ont été anéantis.

Les opérations se poursuivent sur tous les fronts pour ramener la paix et la quiétude.

Agence d’information du Burkina

NB: photo d’archive et d’illustration.

Balé: Un crosss populaire pour promouvoir la paix et la cohésion sociale

Burkina-Promotion-Paix-Cross-Populaire

Balé: Un crosss populaire pour promouvoir la paix et la cohésion sociale

Boromo, le 16 oct.2023 (AIB)-Les autorités administratives et les travailleurs des différents secteurs socioprofessionnels de la province ont participé au cross populaire périodique de la direction provinciale des sports et loisirs de la province des Balé, le samedi 14 octobre à Boromo.

Le cross populaire trimestriel pour la paix et la cohésion sociale a rassemblé pour la troisième fois de l’année dans les artères de la ville de Boromo les autorités administratives et les populations locales, le samedi 14 octobre dernier.

Parti du stade provincial à 6h22mn, les marathoniens ont fait un circuit fermé de plus de 3 km à travers les principales artères de la ville. Cette matinée de temps de sport pour tous a tenu compte des différentes composantes du peloton. Ainsi, le rythme de course était aussi fait de marches pour permettre aux participants les moins endurants de souffler, tout au long du parcours.

Après le cross les participants ont eu une séance d’aérobic pour davantage se relaxer. Les différentes étapes de l’activité ont été encadrées par les agents de la direction provinciale du sport, du club aérobic et de la police nationale.

Le haut-commissaire de la province, Ibrahim Boly, a salué la mobilisation et la tenue périodique de l’activité.

Selon lui, ce cross populaire permet aux corps constitués de se côtoyer mais surtout de donner un temps de pratique de sport aux nombreux agents de l’administration publique et privée.

L’idée, c’est aussi faire du sport un facteur de promotion de la paix et de cohésion entre les différents services et les populations locales pour le vivre ensemble, a ajouté le premier responsable de la province.

Depuis le début de l’année, le cross populaire est devenu ainsi une des activités importantes du programme de la direction provinciale des sports et des loisirs des Balé.

Selon son directeur, Nourdine Kambou, l’initiative est du haut-commissaire de la province. Sa présence à chaque sortie témoigne de l’importance qu’il accorde à l’activité. Il a donné rendez-vous en décembre prochain aux participants pour le dernier crosse de l’année.

Agence d’information du Burkina

Sissili : Le CCP échange sur la situation de la transhumance dans la province

Burkina-Echange-Transhumance

Sissili : Le CCP échange sur la situation de la transhumance dans la province

Léo, (AIB) – La première session ordinaire du Cadre de concertation provinciale (CCP) de la Sissili s’est tenu le mardi 17 octobre 2023 à Léo sous la présidence du haut-commissaire, Tewendé Isaac Sia. Les échanges ont porté sur la situation de la transhumance dans la province de la Sissili.

Les participants à la session du Cadre de concertation provincial (CCP) ont acquis des connaissances sur la situation de la transhumance dans la Sissili, sur la gestion et la prévention des conflits liés à l’utilisation des ressources naturelles. Cette communication a été présentée par le directeur provincial en charge des ressources animales de la Sissili, Yaya Tabouré.

Dans sa communication, il ressort que la province de la Sissili est une zone d’accueil et de transit des transhumants du fait de la relative abondance des ressources naturelles et de sa proximité avec le Ghana.

Cependant depuis quelques temps, ces ressources subissent une forte pression anthropique et des effets néfastes des changements climatiques.

Selon M. Tabouré, on assiste alors à l’occupation anarchique des espaces pastoraux dans la province comme les pistes à bétail, des aires de pâture et des zones pastorales. « Cette situation occasionne souvent des conflits entre acteurs concernés et nécessite que des actions soient entreprises pour promouvoir la paix et la cohésion sociale », a-t-il souligné.

En rappel, la direction provinciale des ressources animales a dénombré environs 52 conflits fonciers dans la province de la Sissili en 2022. Ces conflits fonciers ont un lien avec les dégâts des champs, l’obstruction des pistes à bétail, l’accès au point d’eau, le vol et l’abattage des animaux.

Les participants ont également été outillés sur les outils de suivi de la transhumance, le dispositif de suivi des mouvements de la transhumance mis en place par le projet  help « Dinadane » et les textes nationaux et sous régionaux règlementant la transhumance nationale et transfrontalière.

Les participants ont par ailleurs formulé des recommandations. Il s’agit de sensibiliser les acteurs à se procurer les documents de la transhumance, de promouvoir la culture fourragère, de renforcer le dialogue communautaire entre le Ghana et le Burkina Faso et de sécuriser les espaces pastoraux.

Pour M. Sia, le CCP est un cadre de concertation et d’orientation en matière de transhumance. Il a pour mission d’apporter son appui à la province dans l’analyse de la situation, l’élaboration et la mise en œuvre de la stratégie en vue de l’organisation et la bonne conduite de la transhumance et de toutes les activités connexes.

Le haut-commissaire de la province de la Sissili a traduit sa gratitude à l’ensemble des acteurs du cadre de concertation provincial.

Agence d’information du Burkina

OAN/dnk

Bientôt des coopérations scientifiques entre les universités du Burkina et celles de l’Iran

Bientôt des coopérations scientifiques entre les universités du Burkina et celles de l’Iran

 

Ouagadougou, 20 oct. 2023(AIB)- L’ambassadeur de la République Islamique de l’Iran au Burkina Faso, Mojtaba Faghihi, a annoncé vendredi des coopérations scientifiques au niveau universitaire entre son pays et le Burkina Faso. 

« Il y a deux semaines des documents ont été signés entre les deux pays dans le cadre de la commission mixte Iran-Burkina et parmi ces documents, il y avait un qui concernait les coopérations scientifiques », a déclaré vendredi, l’ambassadeur de la République Islamique au Burkina Faso, Mojtaba Faghihi.

L’ambassadeur a précisé que la présente visite du président de l’Université technique et professionnelle au Burkina Faso, est le premier pas pour concrétiser cet engagement.

L’ambassadeur de l’Iran au Burkina s’exprimait à l’issue d’un entretien avec le président de l’université Joseph KI-Zerbo.

Il a par ailleurs souligné que l’Université technique et professionnelle iranienne a réussi à créer un pont entre l’université et les entreprises et que cela permet aux gens qui y font leurs études de trouver facilement du travail.

Mojtaba Faghihi a ajouté que l’Université Joseph Ki-Zerbo est la plus grande et la plus ancienne université du Burkina Faso avec des personnalités illustres comme enseignants.

Pour lui, cet entretien a permis de tisser des liens entre les jeunes et entre les cercles académiques des deux pays.

« C’est une perspective prometteuse parce que les universitaires et les académiciens du monde entier arrivent à se comprendre et c’est pour ça qu’ils arriveront à faciliter les relations entre les deux pays », a insisté, Mojtaba Faghihi.

Il a conclu ces propos en rappelant que l’Université technique et professionnelle de l’Iran ainsi que son président Dr Erfan Khosrvian qui a participé à l’entretien, sont prêts à partager leurs expériences avec l’Université Joseph KI-Zerbo.

Agence d’information du Burkina

JEN-WWJR/ata

Burkina: Le Premier ministre félicite des étudiants qui ont choisi l’agriculture comme métier

Burkina: Le Premier ministre félicite des étudiants qui ont choisi l’agriculture comme métier

Ouagadougou, 21 oct.2023(AIB)-Le Premier ministre burkinabè, Me Apollinaire Kyelem de Tambèla, a félicité hier vendredi à Bagré (Centre-est), des étudiants qui ont pris selon lui, la bonne option, de travailler dans le rentable secteur de l’agriculture.

« Au lieu d’être là à se bousculer dans les bureaux de recrutement rien que pour les travaux administratifs qui ne mènent pas à grande chose, nous avons ici le concret. C’est à dire le travail qui nourrit son Homme et qui conduit les étudiants à l’autonomisation et à l’auto-emploi », a déclaré vendredi sur le site de Bagrépôle, le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

Pour le chef du gouvernement, en retournant à la terre, ces étudiants ont « su faire une bonne option dans un secteur où il n y a pas de chômage ».

Il a exhorté tous les Burkinabè à se remettre au travail, en particulier au travail agrosylvopastoral.

« La terre ne ment pas. Quand tu te donnes à elle, elle te répond favorablement », foi de Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

Selon lui, il suffit qu’on suscite les nombreuses »potentialités dormantes » pour faire faire du Burkina Faso, un pays agrosylvopastoral et industriel.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

Burkina : « Quand on a bien mangé, le reste devient facile », Premier ministre

Burkina : « Quand on a bien mangé, le reste devient facile », Premier ministre

 

Ouagadougou, 21 oct. 2023(AIB)-Le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla a affirmé que la vision du président Ibrahim Traoré, est de faire en sorte que chaque Burkinabè mange à sa faim, avant de pouvoir défendre ou de développer le pays.

« La vision du président Ibrahim Traoré est de fonder notre développement sur l’agriculture car quand on a bien mangé, le reste devient facile », a affirmé vendredi le Premier ministre Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

Il s’exprimait vendredi à l’issue d’une visite sur la vaste plaine aménagée de Bagrépôle (Centre-est).

« On ne peut pas demander à quelqu’un qui ne mange pas à sa faim de travailler au développement de son pays oubien d’aller défendre son pays contre le terrorisme. La première des choses, c’est de bien manger », a ajouté Me Apollinaire Kyelem de Tambèla.

Le chef du gouvernement a également félicité les chercheurs qui ont su trouver des variétés adaptées aux conditions climatiques du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

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