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Trump suspend l’aide aux pays étrangers pour trois mois

Trump suspend l’aide aux pays étrangers pour trois mois

Ouagadougou, 21 janv. 2025(AIB)-Le président Donald Trump a signé un décret lundi, la suspension de l’aide américaine aux pays étrangers pour une période de 90 jours, afin d’en vérifier la conformité avec la politique extérieur de son pays.

« Par l’autorité qui m’est conférée par la Constitution et les lois des États-Unis d’Amérique en tant que président, j’ordonne par la présente […] que l’aide au développement étranger soit suspendue pendant 90 jours afin d’évaluer l’efficacité des programmes et leur cohérence avec la politique étrangère des États-Unis », lit-on dans le texte du décret publié sur le site de la Maison-Blanche.

L’aide pourra être rétablie à l’expiration de la période spécifiée après l’examen approprié de chaque programme dans le cadre d’une ordonnance distincte.
Le document note que la sphère de l’aide étrangère américaine et la bureaucratie qui y règne « ne sont pas conformes aux intérêts américains et sont, à bien des égards, contraires aux valeurs américaines ».
« Ils servent à déstabiliser la paix mondiale en promouvant dans les pays étrangers des idées qui s’opposent au développement de relations harmonieuses et stables au sein des pays et entre eux », indique le document.

M. Trump, qui a pris ses fonctions de président des États-Unis le 20 janvier, a signé des dizaines de décrets dès son premier jour à la tête du pays.
AIB avec TASS

Une stèle en hommage aux soldats tombés pour la patrie.

Une stèle en hommage aux soldats tombés pour la patrie.

Le samedi 18 janvier 2025, dans l’enceinte de la Base Aérienne 210 de Bobo-Dioulasso, a eu lieu une cérémonie d’inauguration d’un monument dédié aux militaires tombés.

En effet, une stèle a été érigée dans l’enceinte de ladite base, constituant un lieu destiné à honorer les militaires tombés sur le champ d’honneur. Elle a été inaugurée par le Colonel Brahima Christian OUATTARA, Chef d’État-Major de l’Armée de l’Air, et le Commandant Sidi Habib KOTE, commandant de la Base Aérienne 210.

Ce monument symbolise la gratitude, la mémoire et la fierté envers les soldats ayant consenti le sacrifice suprême pour la patrie.

Armées

Coopération Burkina Faso- Guinée-Bissau : l’ambassadeur Saïdou MAÏGA présente ses Lettres de créance au Président Umaro Sissoko EMBALO

Coopération Burkina Faso- Guinée-Bissau : l’ambassadeur Saïdou MAÏGA présente ses Lettres de créance au Président Umaro Sissoko EMBALO

Le 17 janvier dernier, Son Excellence Monsieur Saïdou MAÏGA, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Burkina Faso auprès de la République de Guinée-Bissau avec résidence à Dakar, a présenté ses Lettres de créance à Son Excellence Monsieur Umaro Sissoko EMBALO, Président de la République de Guinée-Bissau.

A l’occasion de l’audience qui a suivi la cérémonie de présentation des Lettres de créance, Son Excellence Monsieur Umaro Sissoko EMBALO a exprimé son estime et son admiration pour le pays des Hommes intègres, et pour le peuple burkinabè à qui il exprime sa solidarité tout en souhaitant un retour rapide de la paix au Burkina Faso.

Il a par ailleurs rassuré le diplomate burkinabè de sa disponibilité et celle de ses collaborateurs, à travailler ensemble pour le renforcement de la coopération entre la Guinée-Bissau et le Burkina Faso.

A son tour, l’ambassadeur MAÏGA a promis de s’engager pleinement pour le renforcement de l’axe Ouagadougou-Bissau, notamment à travers le suivi de la mise en œuvre de la douzaine d’accords signés en juin 2021 entre les deux pays, la facilitation de la signature des projets d’accord en instance, et la prospection pour l’identification de nouveaux domaines d’intérêt commun.

Il faut noter que la cérémonie solennelle a été précédée dans la matinée, par celle de la remise des copies figurées des Lettres de créance à Son Excellence Monsieur Carlos Pinto PEREIRA, Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Internationale et des Communautés.

Avant de prendre congé de ses hôtes, l’ambassadeur Saïdou MAÏGA a exprimé sa gratitude et ses remerciements aux autorités et au peuple frère de la République de Guinée-Bissau, pour l’accueil chaleureux et pour toutes les marques d’attention à son endroit et à l’égard de sa délégation.

DCRP/MAECR-BE

Vaccination contre la fièvre typhoïde : 47 016 enfants de 9 mois à 14 ans attendus pour la campagne 

BURKINA-LOROUM-VACCINATION-CAMPAGNE

Vaccination contre la fièvre typhoïde : 47 016 enfants de 9 mois à 14 ans attendus pour la campagne

Titao, (AIB)-En prélude à la campagne nationale de vaccination contre la fièvre typhoïde, le district sanitaire de Titao, a tenu sa rencontre de plaidoyer, le lundi 20 janvier 2025, sur la campagne contre la fièvre typhoïde avec les leaders communautaires. 47 016 enfants de 9 mois à 14 ans sont attendus pour la campagne.

Présidée par le secrétaire général de la province du Loroum, David Ayoro, la rencontre de plaidoyer tenue le lundi 20 janvier 2025, a regroupé entre autres, les leaders coutumiers et religieux, les responsables communautaires et les organisations de femmes et de jeunesse.

Elle été animée par deux communications sur les généralités sur la fièvre typhoïde et les stratégies de communication pour la campagne à venir.

Pour le Médecin chef du district (MCD) sanitaire de Titao, Raphaël Zoundi, cette campagne ne peut connaître de succès sans un engagement des leaders communautaires, des médias, des activistes et des organisations de la société civile.

Il s’est réjoui du fait que la campagne prenne en compte les communes de Banh et Sollé.

Au total 7 formations sanitaires fonctionnelles seront couvertes avec pour cible 47 016 enfants de 9 mois à 14 ans.

« Le vaccin qui sera administré est à sa première expérience au Burkina Faso. Il est entièrement gratuit et efficace. Il s’administre en une seule dose et immunise pour toute la vie », a expliqué Dr Zoundi.

Le MCD a invité les populations à une mobilisation massive pour la réussite de la campagne.

« Nous invitons fortement les médias, les blogueurs, la communauté toute entière à relayer l’information pour la réussite de la campagne », a plaidé Raphaël Zoundi.

Le secrétaire général de la province du Loroum, David Ayoro, a dit sa satisfaction de la qualité des échanges au cours de la rencontre.

« Cela témoigne de l’engagement des acteurs à être des porte-voix pour la campagne », a-t-il déclaré, en invitant la population à une bonne hygiène afin de se prémunir de la maladie.

La représentante des personnes déplacées internes, Fatimata Kirakoya, a remercié les responsables de santé pour l’implication dans la mobilisation des communautés.

«Je retiens que la fièvre typhoïde est une maladie qui sévit ces dernières années notamment chez les enfants. Cette campagne vise à venir à bout de ce mal. Nous allons mobiliser les populations afin qu’elle connaisse un franc succès», a-t-il dit.

Agence d’information du Burkina

ASO/hb/yo

Djibo : Le Haut-Commissaire exhorte les élèves à la discipline et au respect du corps enseignant

Djibo : Le Haut-Commissaire exhorte les élèves à la discipline et au respect du corps enseignant

Djibo, 20 janvier 2025 – Le Haut-Commissaire de la province du Soum, Wend Nere Wilfried Tougma, a exhorté lundi au cours de la montée des couleurs, les élèves du lycée municipal de Djibo, à la discipline et au respect du corps enseignant, des autorités et des parents.

À 7 h 30 précises, élèves, professeurs et autorités locales se sont réunis pour entonner l’hymne national, accompagnant ainsi le lever du drapeau burkinabè, un symbole de l’unité et de la souveraineté nationale. Ce geste symbolique a été l’occasion pour le Haut-Commissaire de rappeler aux jeunes apprenants l’importance des symboles nationaux, en particulier le drapeau et l’hymne, qui incarnent l’identité et la fierté du Burkina Faso.

Dans son discours, Monsieur TOUGMA a encouragé les élèves à persévérer dans leurs études et à adopter des valeurs de discipline et de respect envers les enseignants, les autorités, ainsi que les parents. Il a souligné que la réussite passe par la rigueur et l’engagement dans le travail scolaire, tout en rappelant que l’éducation est un pilier fondamental pour le développement du pays.

Suite à cette cérémonie, le Haut-Commissaire a eu une rencontre avec les professeurs du lycée pour échanger sur leurs préoccupations et défis.

Il a exprimé son soutien aux enseignants et a promis de travailler avec ses équipes pour trouver des solutions adaptées aux besoins exprimés, tout en s’engageant à transmettre les préoccupations aux autorités compétentes pour un suivi approprié.

Cette action s’inscrit dans la vision du Haut-Commissaire de promouvoir l’éducation, le respect des valeurs républicaines et le dialogue constant avec les acteurs du système éducatif, afin de contribuer à la réussite scolaire et à l’épanouissement des jeunes dans la province du Soum.

Agence d’information du Burkina

EB/ata

Etats Unis : Donald Trump s’engage à exercer fidèlement la fonction de président des États-Unis au mieux de ses capacités

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Etats Unis : Donald Trump s’engage à exercer fidèlement la fonction de président des États-Unis au mieux de ses capacités

Ouagadougou, 20 janv. 2025(AIB)-Le 47e président des Etats-Unis d’Amérique Donald Trump, a déclaré lundi lors de son investiture qu’il s’engage à exercer fidèlement ses fonctions de chef d’Etat au mieux de ses capacités.

« Moi, Donald John Trump, je jure solennellement que j’exercerai fidèlement la fonction de président des États-Unis et, au mieux de mes capacités, préserverai, défendrai et soutiendrai la Constitution des États-Unis. Que Dieu m’aide », a-t-il prononcé en posant sa main gauche sur la Bible, que son épouse Melania tenait devant lui.

La cérémonie solennelle d’investiture du 47e président des États-Unis, Donald Trump, s’est tenue pour la première fois depuis 40 ans dans la rotonde du Capitole, dont la capacité d’accueil est de 1 000 personnes. Le républicain a prêté serment à la Constitution et au pays.

« Veuillez accepter mes félicitations, monsieur le président », a déclaré le juge en chef de la Cour suprême des États-Unis, John Roberts.

M. Trump a prêté serment en posant sa main sur deux Bibles, comme il l’avait fait lors de sa première investiture en 2017. L’une de ces Bibles a été utilisée par le 16e président, Abraham Lincoln, lorsqu’il a prêté serment en 1861. La seconde lui avait été offerte par sa mère durant son enfance.

Donald Trump est devenu le deuxième président de l’histoire des États-Unis à occuper la plus haute fonction gouvernementale après une pause. Précédemment, seul Grover Cleveland (22e et 24e président, ayant exercé de 1885 à 1889 et de 1893 à 1897) l’avait fait. M. Trump est désormais le 45e et le 47e président des États-Unis.

Agence d’information du Burkina

France : Le président Macron veut recruter plus de jeunes civils volontaires pour renforcer les rangs de son armée

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France : Le président Macron veut recruter plus de jeunes civils volontaires pour renforcer les rangs de son armée

Ouagadougou, 20 janv. 2025 (AIB) – Le président français Emmanuel Macron, a exprimé lundi, sa volonté de mobiliser davantage de jeunes volontaires « en renfort » des armées pour faire face à « l’accumulation des menaces », rapporte des sources médiatiques.

Le président Macron a demandé au gouvernement et à l’état-major des armées des propositions d’ici mai pour « permettre à une jeunesse volontaire d’apprendre avec les armées et d’en renforcer les rangs ».
Le président a fait cette déclaration lors de ses vœux aux armées près de Rennes.
De son avis, la mobilisation de ces jeunes civils volontaires vise à faire face à « l’accumulation des menaces ».

Agence d’information du Burkina

Rencontre de prise de contact : Le ministre Mathias Traoré échange avec ses collaborateurs des structures déconcentrées des Cascades

Rencontre de prise de contact : Le ministre Mathias Traoré échange avec ses collaborateurs des structures déconcentrées des Cascades

Après la région des Hauts-Bassins en fin décembre dernier, le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, #Mathias_Traoré, est allé s’enquérir des conditions de travail de ses collaborateurs des structures déconcentrées des Cascades.

En effet, ce lundi 20 janvier 2025, à Banfora, il a échangé avec le personnel de la Direction régionale de la fonction publique (#DRFP), de la Direction régionale du travail et de la protection sociale (#DRTPS) et l’agence de la Caisse nationale de la sécurité sociale (#CNSS).

Par cette prise de contact, il s’est agi pour le ministre Traoré d’écouter les travailleurs de ces structures relevant de son département ministériel, de s’imprégner de leurs conditions de travail et des défis auxquels ils font face.

Cette prise de contact a été l’occasion également pour la délégation ministérielle de recueillir les éventuelles difficultés rencontrées par les agents.

Cette rencontre de prise de contact a connu la présence du gouverneur de la région des Cascade, #Florent_Bazié.

Après des visites des lieux de travail, ces trois structures déconcentrées ont présenté leur réalisation ainsi que les difficultés rencontrées à Mathias Traoré.

Ces difficultés se résument, entre autres, à l’insuffisance des ressources humaines, matérielles et financières ; l’insuffisance de locaux ; l’instabilité de la connexion internet notamment le réseau RESINA ; l’insuffisance de code SIGASPE ; l’absence d’un tribunal de travail dans la région des Cascades.

Avant d’apporter des éléments de réponse aux différentes préoccupations, le ministre Traoré a félicité les trois structures déconcentrées qui, malgré les difficultés, arrivent à produire des résultats satisfaisants.

Point par point, il a apporté des éléments de réponse à ces préoccupations qu’il trouve pertinentes.

Tout en invitant ses collaborateurs à maintenir le cap, le ministre en charge de la fonction publique leur a demandé à consentir des sacrifices, compte tenu de la situation sécuritaire difficile que traverse le pays.

« Chaque fois qu’il y a des sacrifices, il y a des résultats sur le terrain à travers les initiatives présidentielles lancées par le chef de l’Etat », a-t-il indiqué.

Avant de prendre congé de ses hôtes du jour, il les a remerciés pour la qualité des échanges et a marqué sa disponibilité à les accompagner dans leurs missions.

Les premiers responsables de ces structures ont salué l’initiative de cette rencontre qui leur ont permis d’exposer leurs préoccupations au ministre Traoré.

DCRP/MFPTPS

Burkina Faso : Les Forces combattantes marchent sur des hordes de terroristes

Burkina Faso : Les Forces combattantes marchent sur des hordes de terroristes

Ouagadougou, 20 janv. 2025 (AIB)-Au cours de la première quinzaine du mois de janvier, les Forces combattantes ont combiné offensives terrestres et frappes aériennes dans plusieurs localités du Burkina Faso contre les forces du mal. Des dizaines de terroristes ont été éliminés, un important matériel de guerre récupéré, et des positions stratégiques consolidées, a appris l’AIB auprès de sources sécuritaires.

Le 7 janvier 2025, les Forces combattantes de Bani ont mené une attaque décisive contre un poste de surveillance des criminels dans leur région. Cette opération a permis de neutraliser plusieurs ennemis, de capturer un prisonnier et de récupérer du matériel militaire.

Simultanément, des opérations aériennes ont été conduites dans le Centre-Nord, détectant et ciblant des mouvements suspects en direction de Boulsa. Les criminels ont été verrouillés nuitamment à Zeguedeguin, puis pulvérisés.

Le 8 janvier, le BIR 23, lors d’une reconnaissance à Goron, a affronté des criminels, leur infligeant de lourdes pertes et récupérant une importante logistique de guerre.

Le lendemain, une incursion criminelle à Mené a été promptement maîtrisée grâce à l’intervention rapide des vecteurs aériens et des forces au sol. En effet, un premier missile a frappé la tête du peloton et un autre a rattrapé des fuyards avant que les forces terrestres achèvent le travail.

Les jours suivants ont vu une série d’opérations victorieuses.

Le 10 janvier, à Wendboulgou, dans la zone de Pibaore, l’unité Léopard a défait des terroristes qui ont tenté de l’attaquer et a récupéré du matériel.

Dans la région de Tougan, plus précisément à Diouroum, les Forces combattantes ont réservé un déluge de feu aux assaillants et ont saisi leur matériel.

Le 11 janvier, le BIR 19 a défendu avec succès sa position au nord de Bogandé, infligeant de lourdes pertes à l’ennemi et récupérant des équipements abandonnés.

Le même jour, le bataillon de marche Cigale dans la Boucle du Mouhoun et les combattants de Nouna ont mené des actions offensives respectivement dans les zones de Ouori et Ouarakuy. Ils ont détruit les positions ennemies et récupéré du matériel.

Le 12 janvier, le détachement mixte de Fotigue, dans le Centre-Est, a réussi à neutraliser des criminels en mouvement vers Ouarweogo lors d’une embuscade.

Le 15 janvier, un commando des Forces spéciales a intercepté et éliminé des groupes armés près de Pobe Mengao, preuve supplémentaire que les Forces combattantes frappent partout où l’ennemi ose s’aventurer.

Ce même jour, une concentration de criminels dans la région des trois frontières a été ciblée par une attaque aérienne, tuant des terroristes qui fonçaient sur une position amie.

Les 16 et 17 janvier ont marqué de nouvelles victoires : à Aorema, une incursion a été repoussée, et à Darsalam, une base terroriste a été détruite par le 18e Bataillon d’intervention rapide de Solenzo, et une grande quantité de vivres et de matériels a été saisie.

Le 16 janvier, des criminels ont à nouveau tenté de s’aventurer dans la zone de Sakongo, dans le Centre-Est.

Les vecteurs aériens les ont traqués et foudroyés au moment où ils s’apprêtaient à faire un débriefing.

Des opérations de reconnaissance dans les zones de Ouarakuy, Kodougou, et Bagala, menées par le 10e BIR, ont permis d’éliminer des criminels, de ramasser des moyens logistiques et de sécuriser davantage les berges du fleuve.

Du 16 au 18 janvier, des commandos des forces spéciales ont mené des actions offensives intensives dans le Centre-Nord.

Des combats intenses ont eu lieu avec les criminels, dont un grand nombre a été décimé et du matériel de guerre récupéré.

Ces offensives savamment préparées et exécutées par les Forces combattantes démontrent la volonté des plus hautes autorités, avec le concours des patriotes, de se débarrasser de l’hydre terroriste et de ramener la paix et la quiétude partout au Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina

𝐑𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐛𝐢𝐥𝐚𝐭érale : 𝐥𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐑𝐢𝐦𝐭𝐚𝐥𝐛𝐚 𝐉𝐞𝐚𝐧 𝐄𝐦𝐦𝐚𝐧𝐮𝐞𝐥 𝐎𝐮é𝐝𝐫𝐚𝐨𝐠𝐨 𝐫𝐞ço𝐢𝐭 𝐥’𝐚𝐦𝐛𝐚𝐬𝐬𝐚𝐝𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐁𝐞𝐥𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞

𝐑𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐛𝐢𝐥𝐚𝐭érale : 𝐥𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐑𝐢𝐦𝐭𝐚𝐥𝐛𝐚 𝐉𝐞𝐚𝐧 𝐄𝐦𝐦𝐚𝐧𝐮𝐞𝐥 𝐎𝐮é𝐝𝐫𝐚𝐨𝐠𝐨 𝐫𝐞ço𝐢𝐭 𝐥’𝐚𝐦𝐛𝐚𝐬𝐬𝐚𝐝𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐁𝐞𝐥𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé, ce lundi 20 janvier 2025, une audience à l’ambassadeur du Royaume de Belgique au Burkina Faso, Erwin De Wandel. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre les deux nations, qui entretiennent un partenariat historique.

Au cours de l’entretien, les deux personnalités ont échangé sur différents aspects de la coopération entre le Royaume de Belgique et le Burkina Faso et exploré des pistes pour le renforcement de ladite coopération.

Le Chef du Gouvernement a salué la démarche de courtoisie du Chef de la mission diplomatique belge au Burkina avant de lui exposer succinctement la vision actuelle impulsée par Président du Faso. «Le Burkina Faso assume désormais sa souveraineté. Nous souhaitons que tous nos partenaires s’inscrivent dans une relation directe qui respecte cette vision» a déclaré le Chef du Gouvernement burkinabè.

Jean Emmanuel OUEDRAOGO a ensuite salué les acquis de la coopération avec la Belgique, notamment au plan culturel. Le Premier ministre a également exprimé l’engagement du Gouvernement à ouvrir une nouvelle page de coopération avec le Royaume de Belgique pour peu que la partie Belge s’inscrive dans la vision actuelle de la gouvernance burkinabè axée sur le développement endogène.

L’ambassadeur belge a salué l’engagement du Gouvernement et réaffirmé le soutien de son pays dans plusieurs domaines stratégiques exposés dans la Déclaration de Politique Générale (DPG) du Premier ministre.

« Nous avons parcouru les multiples dimensions de notre partenariat pour aussi regarder où, dans l’avenir, nous pouvons les renforcer, tout en tenant compte, bien sûr, des politiques, des grandes lignes, des objectifs, des priorités de la DPG de SEM le Premier ministre, que nous aimerions soutenir, et surtout essayer de faire peut-être plus que ce que nous faisons maintenant » a déclaré l’ambassadeur Erwin De Wandel en synthèse de sa rencontre avec le Chef du Gouvernement.

Le Royaume de Belgique œuvre principalement à travers l’agence Enabel, active dans plusieurs régions du Burkina Faso. Sur l’activité de cette structure, l’ambassadeur a déclaré en fin d’audience « On va certainement continuer cette relation-là, et regarder un peu plus en détail qu’est-ce qu’on peut faire de plus, tout en tenant compte des aspirations du Burkina et des grands principes du Gouvernement du Burkina».

En rappel, les deux pays ont signé en mars 2024 un programme de coopération quadriennal doté d’une enveloppe de plus de 22 milliards FCFA.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

Zondoma/Reformes de l’éducation : Le ministre Dingara invite les encadreurs à rester proches des enseignants

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Zondoma/Reformes de l’éducation : Le ministre Dingara invite les encadreurs à rester proches des enseignants

Gourcy, 16 janv. 2025 (AIB) – Le ministre de l’Éducation de Base et de la promotion des langues nationales, Jacques Sosthène Dingara, a rencontré les encadreurs pédagogiques de la province du Zondoma le jeudi 16 janvier 2025 à Gourcy. Les échanges ont porté sur les réformes du système éducatif en cours.

L’introduction de l’enseignement de l’anglais, des métiers, des nouvelles technologies de l’information et de la communication TIC, la vulgarisation de l’éducation préscolaire, la vulgarisation des jardins et des champs scolaires sont, entre autres, les réformes en cours dans le système éducatif.
Convaincu que la réussite de ces réformes repose principalement sur les encadreurs pédagogiques, le ministre et sa délégation sont venus à leur rencontre afin d’échanger avec eux l’état actuel de la mise en œuvre de ces réformes dans les écoles du Zondoma.
« L’encadreur est un acteur essentiel de la mise en œuvre des réformes » a indiqué le ministre. « Je vous invite à rester proche des enseignants afin de les apporter le soutien nécessaire dans la mise en œuvre de ses activités », a-t-il indiqué.

« Toutes les innovations sont une réalité au Zondoma », a ajouté le directeur provincial en charge de l’éducation au Zondoma, Karim Sawadogo, après une présentation succincte des exemples puisés dans les six circonscriptions de base de son ressort.

Satisfaits de ce qu’ils ont constaté, le ministre et sa délégation ont témoigné leurs reconnaissances à l’ensemble des acteurs qui, sans attendre un appui quelconque ont développé des initiatives pour parvenir à des « résultats encourageants ». Après les échanges, la délégation ministérielle a pris la route de Ouahigouya pour la suite de leur mission.

Agence d’Information du Burkina
AK/dnk/ata

Ioba : Le haut-commissaire encourage les responsables de la fondation Dreyer

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Ioba : Le haut-commissaire encourage les responsables de la fondation Dreyer

Dano, 18 jan. 2025 (AIB)- Le Haut-commissaire de la province du Ioba, Innocents Ouattara, a effectué une visite de prise de contact à la « fondation Dreyer » à Dano, le mercredi 15 janvier 2025.

Le premier responsable de la province du Ioba, Innocents Ouattara, a rencontré les responsables de la « fondation Dreyer » au siège de ladite Organisation non gouvernementale (ONG). Il était accompagné de ses collaborateurs de l’administration et de trois directeurs provinciaux.

C’est le directeur exécutif de la fondation, le Dr Laurent Sedogo, qui a accueilli le premier responsable de la province et sa délégation. La fondation Dreyer est une ONG créée par un allemand, Gisbert Dreyer et son épouse.

Selon le Haut-commissaire, cette visite s’inscrit dans le cadre de sa tournée de prise de contact avec les structures publiques et privées de la province.
Il a souhaité bénéficier de l’accompagnement de la fondation Dreyer pour mener à bien sa mission à la tête du Ioba.

Le directeur exécutif de la fondation Dreyer, Dr Laurent Sedogo, a salué cette marque de considération de la première autorité administrative de la province du Ioba.

« Cette visite est une invite à mieux faire dans le travail et la collaboration », a-t-il ajouté.
« Je voudrais vous rassurer que nous ne managerions aucun effort pour continuer ce que nous faisons mais aussi pour faire davantage si possible », a-t-il souligné.
De son avis, l’ONG DrIVE Sarl a été créée afin de soutenir la participation sociale de la fondation Dreyer dans les actions de développement.

Notons que la fondation a aménagé plus de 750 hectares de bas-fonds rizicoles. Elle a également construit un complexe scolaire pour la commune de Dano. Elle contribue aussi à la prise en charge des enfants malnutris.

Le Haut-commissaire s’est dit satisfait des échanges. Il a encouragé le directeur exécutif et son personnel à œuvrer pour le développement. Il a réitéré sa disponibilité à soutenir la fondation Dreyer et la DrIVE Sarl pour son engagement en faveur de l’épanouissement des populations.

Agence d’information du Burkina
SZ/dnk/ata

Burkina : La coopération consolidée et le partenariat gagnant-gagnant, le combat du nouveau DG de la Coopération

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Burkina : La coopération consolidée et le partenariat gagnant-gagnant, le combat du nouveau DG de la Coopération

Ouagadougou, 20 janv. 2025 (AIB) – Le nouveau Directeur général de la coopération, Amidou Ouédraogo, a indiqué lundi à Ouagadougou, que l’amélioration continue de la coopération et la consolidation du partenariat gagnant-gagnant entre le Burkina Faso et les Partenaires techniques et financiers (PTF) demeureront sa boussole.

« Pour ce faire, l’amélioration continue de la qualité de la coopération et la poursuite de la consolidation du partenariat gagnant-gagnant entre notre pays le Burkina Faso et les PTF demeureront mon combat et ma boussole », a indiqué le nouveau Directeur général de la Coopération, Amidou Ouédraogo.

M. Ouédraogo s’exprimait lundi à Ouagadougou à l’occasion de son installation à son poste.
De son avis, le pays est à un tournant de son histoire sur tous les plans, de la politique en passant par le social et l’économie.

Ainsi, il a exhorté l’ensemble de ses collaborateurs à s’inscrire dans cette dynamique de changement à l’effet de contribuer dans leur domaine de compétence à écrire cette page.
« En ce qui nous concerne, sur le plan de la mobilisation des ressources extérieures, une reconfiguration des partenariats stratégiques s’est opérée avec de grands défis », a-t-il fait savoir.

En effet, la nouvelle vision des plus hautes autorités est de mobiliser des ressources utiles capables de financer des projets et programmes transversaux, de grandes envergures à même d’impacter le quotidien des populations, a-t-il mentionné.
Pour réussir sa mission, le nouveau DG dit pouvoir compter sur les points forts de DGCOOP tout en proposant des axes d’amélioration « afin d’optimiser nos résultats avec un seul maitre mot : collaboration ».

Car, il reste convaincu « que c’est ensemble avec l’accompagnement de tout un chacun et chacune de vous que nous réussirons ».
« Durant le temps passé à la tête de le DGCOOP, nous avons eu des résultats avec l’ensemble des collaborateurs en liens avec nos missions et nos objectifs », a indiqué le directeur général sortant, Inoussa Ouiminga.
Après environ 5 années passées à la tête de l’institution, M. Ouiminga, a promis mettre au besoin sa riche expérience au service du DG entrant.

Le nouveau directeur général de la coopération a été installé dans ses fonctions par le secrétaire général du ministère de l’économie et des finances, Vieux Rachid Soulama.

Agence d’information du Burkina
DNK/CK/ATA

Kénédougou : Le haut-commissaire échange avec la population de Banzon

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Kénédougou : Le haut-commissaire échange avec la population de Banzon

Orodara, (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, s’est rendu, le dimanche 19 Janvier 2025 à Banzon, localité située à une cinquantaine de kilomètres de Orodara, pour échanger avec les producteurs de blé et les forces vives de cette localité.

Le haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira,  était le dimanche 19 Janvier 2025, à Banzon, pour porter à la population, un message de paix, de cohésion sociale, d’encouragement et de solidarité dans un contexte de crise sécuritaire.

L’objectif de la sortie était de relever et trouver des réponses aux préoccupations de la population de Banzon.

Avant les concertations, Saïdou Sakira a rendu une visite de courtoisie au chef de village de Banzon.

A la rencontre avec les producteurs de blé, le haut-commissaire, a fait savoir que depuis trois mois se pratique sur la plaine de Banzon, la culture de  blé sur un site de 100 ha.

En sa qualité de premier responsable de la province, « Il était bon qu’il passe encourager les acteurs et aussi s’imprégner de leurs conditions de travail ».

Des différentes préoccupations évoquées par les producteurs, l’on retiendra entre autres, l’insuffisance d’eau pour irriguer les champs de blé liée aux travaux d’infrastructure de canalisation sur le terrain et l’ensablement  du fleuve qui approvisionne la plaine de Banzon en eau.

A toutes ces préoccupations évoquées par les uns et les autres, M. Sakira, a apporté des éléments de réponse à la satisfaction de tous.

A la rencontre avec les forces vives le haut-commissaire, est encore revenu sur l’objet de sa présence à Banzon suite aux instructions  reçues de sa  hiérarchie.

Aux autorités coutumières et religieuses, il les a invitées à accompagner le gouvernement actuel dans sa marche vers le développement.

En terme de préoccupations posées par l’assistance, il  s’est agi entre autres, du non fonctionnement de certains centres de santé construits dans la commune et du mauvais état des routes Banzon-Djigouèra et Banzon-Samoroguan.

En réponse, le premier responsable de la province du Kénédougou, a dit avoir pris bonne note et prendra contact avec les services techniques concernés afin de voir ensemble comment résoudre un tant soit peu ces problèmes.

Enfin, Saïdou Sakira s’est dit satisfait de cette sortie qui lui a permis de se rapprocher davantage de ses administrés.

Agence d’information du Burkina

AK/hb/yo

Foncier à Bobo-Dioulasso:Les résidents du non loti  « Kuinima Cura » se dressent contre un éventuel déguerpissement

Foncier à Bobo-Dioulasso:Les résidents du non loti  « Kuinima Cura » se dressent contre un éventuel déguerpissement

Les résidents de la zone non lotie « Kuinima cura » dans l’arrondissement n°5 de Bobo-Dioulasso se sont réunis dans l’après-midi du jeudi 16 janvier 2025 sous l’égide de leur comité d’éveil et de suivi. Cette rencontre, ponctuée de témoignages et de dénominations, vise à protester contre ce qu’ils qualifient « d’accaparement » de leurs lieux de résidence par l’Université catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO).

Le Comité d’éveil et de suivi du quartier non loti de « Kuinima Cura » dans l’arrondissement n°5 de Bobo-Dioulasso a sonné la mobilisation dans l’après-midi du  jeudi 16 janvier 2025 pour exprimer le mécontentement des résidents contre l’Université catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO) et la commune de Bobo-Dioulasso. Hommes, femme, jeunes et vieux avec des témoignages et des condamnations à l’appui se sont opposés à la revendication de la zone par l’UCAO qui brandit un titre foncier en date de 2007. Selon les membres du comité, soutenus par des propos d’anciens et d’autochtones, quand l’église catholique demandait le terrain pour l’UCAO, seulement 22 hectares (ha) leur ont été accordés par les propriétaires terriens.

En contre-partie, l’église aurait versé seulement 1 franc symbolique à l’Etat. C’est donc à leur grande surprise, que les résidents de la zone ont appris que l’UCAO disposait d’un titre foncier de 122,7 ha. Et c’est à la base de ce titre foncier que la délégation spéciale de l’arrondissement n°5 estime que les résidents n’ont de choix que de libérer les lieux, selon Aziz Kadéba, membre du comité d’éveil et de suivi. « Il est ressorti que l’UCAO dispose d’un titre foncier qui date de 2007. Les premiers résidents y sont depuis 1958 », a-t-il déclaré. Aussi, toujours à se référer aux propos des membres du comité de suivi, l’UCAO aurait organisé un recensement sur le site. « Nous nous demandons si l’UCAO est habilitée à le faire un recensement des résidents », s’est interrogé Aziz Kadéba. Les plaignants ont récemment eu une rencontre avec le PDS de l’arrondissement mais leur inquiétude sur un éventuel déguerpissement demeure. La solution pour eux est que l’université revoit à la baisse sa prétention sur le foncier, et que l’autorité procède simplement à une restructuration de la zone.

«  Nous proposons que l’on trace des routes et qu’on nous apporte l’eau et l’électricité et  laisser les résidents sur leur lieu », a-t-il affiché. A s’en tenir à Aziz Kadéba, il y aurait même plusieurs titres fonciers sur le site plus vieux que celui de l’UCAO. « Il y a un résident de ces non lotis qui a un titre foncier et il a même gagné un procès contre l’UCAO en première instance  », a-t-il affirmé. Il faut noter que le site, comme a confié le comité de suivi, n’a jamais fait l’objet de lotissement. « Il y a eu un premier recensement en 2003 puis un deuxième en 2006 mais c’est resté sans suite. Il est ressorti qu’il n’y a plus de traces de ces recensements à la mairie de l’arrondissement n°5 », ont-t-ils laissé entendre. Un des doyens des résidents, BobanTuina, de renchérir  que depuis que le problème a existé, l’UCAO n’est jamais venu vers la population. « Notre soucis n’est pas de savoir si nous avons tort ou raison. Nous voulons que tout le monde comprenne le problème cette zone non loti », a lancé ce vieux résident.

Alpha Sékou BARRY

alphasekoubarry@gmail.com

Marie-Fleur TRAORE

(Stagiaire)

Formation militaire initiale spéciale, session 2024 3e vague:898 stagiaires eaux et forêts prêts à défendre les ressources naturelles

Formation militaire initiale spéciale, session 2024 3e vague:898 stagiaires eaux et forêts prêts à défendre les ressources naturelles

Les stagiaires eaux forêts de la formation militaire initiale spéciale, session 2024 3e vague, ont reçu leurs attestions de fin de formation le vendredi 17 janvier 2025 à Bobo-Dioulasso.

Tous des assistants, 898 dont 13 femmes stagiaires des eaux et forêts de la session 2024 3e vague, sont désormais aptes à défendre les ressources naturelles et apporter leur contribution à la reconquête du territoire national. Ils ont reçu leurs attestions de fin de formation militaire initiale spéciale de la hiérarchie militaire le vendredi 17 janvier 2025 à Bobo-Dioulasso. 902 à intégrer le Groupement d’instruction des forces armées (GIFA) le 19 novembre dernier, quatre d’eux ont été contraints par les exigences de la formation à la désertion, selon le chef de bataillon Yves Bambara.

L’instruction à l’école, à en croire le chef de bataillon Bambara, a été conçue pour doter les stagiaires de connaissances nécessaires à l’accomplissement des missions régaliennes qui incombent aux agents des eaux et forêts. Et pendant les deux mois de leur séjour au GIFA, ces assistants des eaux et forêts ont été formés sur la lutte contre le terrorisme, un enjeu actuel du Burkina Faso. Ainsi, ils ont été soumis à  une préparation physique et morale leur permettant d’acquérir l’endurance, la discipline, et un esprit de résilience indispensables pour affronter les défis du terrain. Pour le délégué des stagiaires, Bernard Hotani, leur formation, scindée en deux axes (théorie et pratique), s’est passée dans une atmosphère « parfaite ».

L’axe théorique, aux dires de M. Hotani, a concerné plusieurs modules. « Le volet pratique était axé sur la bonne conduite des soldats, la discipline, l’amour de la patrie, l’honneur et la dignité, et l’instruction sur les engins explosifs improvisés », a détaillé Bernard Hotani exprimant la fierté de lui et ses camarades d’appartenir à la famille des forces de défense et de sécurité. S’adressant aux stagiaires, le chef de bataillon Yves Bambara leur a demandé d’être déterminés et résilients face aux défis qui se présenteront à eux. « Vous serez confrontés à des défis, parfois imprévus, qui mettront à l’épreuve votre détermination et votre résilience. Mais souvenez-vous toujours que la grandeur d’un engagement ne réside pas dans les connaissances acquises mais la manière dont elles sont mises au service de l’intérêt général. Soyez toujours des acteurs consciencieux et dévoués dans l’accomplissement de vos missions », les a-t-il conseillés.

Kamélé FAYAMA

USA : Trump va signer un décret pour « mettre fin à la folie transgenre »

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USA : Trump va signer un décret pour « mettre fin à la folie transgenre »

Ouagadougou, 20 janv. 2025 (AIB) – Le nouveau président américain, Donald Trump, a l’intention de signer dans les prochaines 24 heures un décret visant à ce que les autorités du pays ne reconnaissent que deux sexes, rapporte plusieurs sources médiatiques.

En vertu de ce décret, les autorités américaines ne reconnaîtront l’existence que des sexes masculin et féminin, rapporte-t-elle.
Le républicain a déjà promis de « mettre fin à la folie transgenre » aux États-Unis.

Agence d’information du Burkina

Kossi : 147 613 enfants ciblés pour la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde

Les participants à l'atelier de plaidoyer sur la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde.

BURKINA-KOSSI-VACCINATION-FIEVRE-TYPHOÏDE-CAMPAGNE

Kossi : 147 613 enfants ciblés pour la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde

Nouna, (AIB)-Le secrétaire général de la province de la Kossi, Firmin Bassolé, a présidé, ce lundi 30 janvier 2025 à Nouna, la rencontre de plaidoyer de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde pour la réussite de la campagne à travers une forte mobilisation sociale.

En prélude à la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde prévue du 23 au 29 janvier 2025 sur le ressort territorial de la province de la Kossi, le président du conseil de santé du district sanitaire, a convié le lundi 30 janvier 2025 à Nouna, les autorités administratives, coutumières, traditionnelles, religieuses et des forces de défense et de sécurité, afin de contribuer à la réussite de la campagne à travers une forte mobilisation sociale.

L’objectif de la campagne c’est de vacciner les enfants de 9 mois à 14 ans révolus et vise à atteindre 147 613 enfants.

Selon le responsable du programme élargi de vaccination (PEV), Ibrahim Ouédraogo, les stratégies adoptées pour la réussite de la vaccination sont entre autres, les stratégies fixes c’est à dire que la population peut se faire vacciner dans les formations sanitaires existantes et les stratégies avancées c’est le déploiement des équipes dans les écoles, les églises ,les hameaux de culture et les lieux de cultes.

Le secrétaire général de la province, Firmin Bassolé, représentant le haut-commissaire a appelé les leaders communautaires à plus d’engagement pour le bonheur des enfants.

La vaccination contre la fièvre typhoïde sera couplée par le vaccin contre le cancer du col de l’utérus, HPV.

Ce vaccin concerne les filles de 9 à 12 ans, qui reçoivent une dose unique.

Abou Sambo, membre de l’équipe cadre du district, a axé sa communication sur les outils de communications, les cibles, la communication Informer Alerter Organiser (IAO), pour transmettre les messages clés.

Il a également abordé le rôle de l’agent de santé dans les Manifestations post injection (MAPI) et surtout la gestion des rumeurs.

A travers des questions réponses, les participants se sont appropriés les contenus des messages afin de jouer leur partition pour l’atteinte des objectifs visés.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Une association mobilise la jeunesse à Ouahigouya pour un engagement patriotique et responsable

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Une association mobilise la jeunesse à Ouahigouya pour un engagement patriotique et responsable

Ouahigouya, 20 Jan. 2025 (AIB)- L’association le « Vent Républicain » a organisé un panel le samedi 18 janvier 2025 à Ouahigouya au profit de plusieurs membres d’organisations de la société civile du Nord pour un engagement patriotique et responsable.

L’association le « Vent Républicain », organisation à vocation sociale, indépendante à but non lucratif rassemble des entités de la société civile, profondément engagées dans une réflexion collective sur les voies de construction de la République conforme à nos réalités culturelles africaines. La coordination nationale de cette structure en collaboration avec le Conseil régional des OSC du Nord a organisé ce panel sur le thème : « Engagement citoyen et patriotique des jeunes dans la reconquête du territoire national et l’effectivité de la souveraineté ».

Pour le coordonnateur national du Vent Républicain, Oscar Séraphin Ki, « l’objectif de la rencontre est de permettre aux jeunes de tout le pays et particulièrement à ceux de Ouahigouya de saisir pleinement les enjeux cruciaux de la lutte que mène le Burkina afin qu’ils s’engagent sans réserve dans le processus de reconquête du territoire en cours. Et cela, pour bâtir un Burkina de paix et de prospérité dans un espace AES consolidé ».

Des communications sur les sous thèmes « Synergie d’action entre FDS et populations » et « Participation citoyenne à la sécurité nationale » ont été livrées respectivement par les experts des deux problématiques que sont le Capitaine Zoundou et David Sagna.

Les riches et fructueux échanges ont permis d’atteindre quelques résultats que l’association s’est fixée. Il s’agit d’une prise de conscience de la jeunesse dans son ensemble sur les enjeux de la libération du peuple et de son rôle en tant qu’agent de paix et de changements de la société africaine. La compréhension des participants sur la nécessité absolue de renforcer pleinement leur engagement à accompagner les plus hautes autorités et les FDS et sur leur discernement des mécanismes d’engagement nécessaires pour une victoire collective.

Un satisfécit exprimé par le coordonnateur national de Vent Républicain qui a estimé que les mouvements de jeunes et de jeunesse se sont appropriés des stratégies de synergie d’action pour accompagner la gouvernance actuelle qui est résolument engagée dans l’effectivité de la souveraineté de notre pays tant souhaitée par le Président du Faso le Capitaine Ibrahim Traoré.

Cette activité a été placée sous le patronage du Gouverneur de la région du Nord, Thomas Yampa, de la présidence du Président de la délégation spéciale communale de Ouahigouya Amos Lankoandé, du co-parrainage de l’homme d’affaire Mahamadi Sawadogo dit « Kadhafi » et du député à l’ALT Youssouf Ouédraogo. Leurs représentants ont félicité et encouragé l’initiative qui a mobilisé plusieurs femmes et jeunes et qui concoure à la conscientisation de la jeunesse autour des idéaux du Président du Faso pour un Burkina libre et prospère.

Agence d’Information du Burkina
pn/as/ata

Centre-Sud/Santé : Rencontre de plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde

Centre-Sud/Santé : Rencontre de plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde

Manga, 20 janv. 2025 (AIB) – La direction régionale de la Santé du Centre-Sud a tenu, lundi, à Manga, une rencontre d’information et de plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde, prévue du 23 au 29 janvier pour les enfants âgés de 9 mois à 14 ans révolus.

« L’objectif de la campagne est de renforcer l’immunité des enfants de 9 mois à 14 ans révolus contre la fièvre typhoïde au Burkina Faso », a indiqué la directrice régionale de la Santé du Centre-Sud, docteure Anata Soré.

Elle s’exprimait lors de la communication qu’elle livrait à l’occasion de la rencontre d’information et de plaidoyer en faveur de cette campagne de vaccination.

La fièvre typhoïde est une maladie bactérienne qui se transmet par l’ingestion d’eau et d’aliments contaminés ou par contact direct avec une personne infectée, a expliqué Mme Soré. Elle est potentiellement mortelle, a-t-elle ajouté, surtout pour la cible de vaccination, à savoir les enfants de moins de 15 ans.

La session de plaidoyer pour la réussite de l’opération de vaccination au Centre-Sud a été présidée par la gouverneure de la région, Yvette Nacoulma.

La rencontre a réuni des autorités administratives, sanitaires, religieuses et coutumières, ainsi que des responsables de structures de femmes, de jeunes, d’associations intervenant dans le domaine de la santé, et des médias.

À ces derniers, la gouverneure a sollicité leur accompagnement pour l’atteinte des objectifs fixés par le département en charge de la santé publique.

« Vous devez vous engager pleinement et faire en sorte que personne dans notre région ne rate sa chance de se faire vacciner contre la fièvre typhoïde », a insisté Yvette Nacoulma à l’endroit des participants.

La campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde se déroulera du 23 au 29 janvier sur toute l’étendue du territoire national, a indiqué docteure Anata Soré.

À l’issue de l’opération, le vaccin anti-typhoïde conjugué (VTC) sera introduit dans le programme élargi de vaccination (PEV) de routine au Burkina Faso.

Selon la directrice régionale de la Santé du Centre-Sud, le ministère en charge de la santé publique s’est fixé plusieurs objectifs d’ici 2027, à travers ces deux opérations.

« Il s’agit de vacciner au moins 95 % des enfants de 9 mois à 14 ans révolus pendant la campagne de vaccination et au moins 70 % des enfants de 9 mois lors de la vaccination de routine en 2025, 90 % en 2026 et 100 % en 2027 », a-t-elle précisé.

Pour garantir le succès de ces opérations, docteure Anata Soré a également appelé les participants à aider le ministère de la Santé à travers une communication interpersonnelle « juste et intense », pour lutter contre les rumeurs et la désinformation, notamment autour des effets secondaires du vaccin, qui peuvent inclure la fatigue, la douleur au point d’injection et la fièvre.

Agence d’information du Burkina
MZ/ata

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