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Koudougou/Pèlerinage à la Mecque 2025 : le Centre-Ouest mobilise ses services de santé pour les futurs pèlerins

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Koudougou/Pèlerinage à la Mecque 2025 : le Centre-Ouest mobilise ses services de santé pour les futurs pèlerins

Koudougou, 19 mars 2025 (AIB) – Dans le cadre des préparatifs du pèlerinage à la Mecque 2025, le gouverneur par intérim de la région du Centre-Ouest, Adama Jean Yves Béré a effectué mardi, une visite aux candidats pour le 5e pilier de l’islam, dans l’objectif de s’assurer du bon déroulement des examens médicaux obligatoires, a constaté l’AIB.

Cette année, une nouveauté majeure a été mise en place : la décentralisation des visites médicales. Auparavant centralisées à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso, elles se déroulent désormais dans les régions, facilitant ainsi l’accès aux futurs pèlerins.

Dans le Centre-Ouest, trois sites ont été retenus à Koudougou : l’Office de santé des Travailleurs (OST), le Centre médical et le Centre hospitalier régional de Koudougou.

Depuis le début des opérations le 14 mars 2025, environ 72 pèlerins ont été enregistrés, et 59 ont déjà reçu leur vaccination, les déclarant aptes au voyage. Les autres sont en cours d’examen ou attendent des consultations spécialisées.

Le Dr Kpoda a souligné l’importance de ces visites pour garantir l’aptitude physique des pèlerins et a remercié les autorités pour cette initiative de décentralisation. Le gouverneur Béré a salué l’engagement et la disponibilité du personnel de santé, les encourageant à poursuivre leur mission.

Il a également adressé ses bons vœux aux futurs pèlerins, leur souhaitant un pèlerinage accompli et un retour en paix. Il a enfin appelé à des prières pour la paix et la sécurité du Burkina Faso, confronté au terrorisme depuis une décennie.

Face aux contraintes du jeûne observé par les fidèles, les équipes médicales ont adapté leurs horaires pour faciliter les prélèvements sanguins, à en croire Dr Kpoda. Celui-ci a également exprimé sa gratitude envers les associations musulmanes locales pour leur soutien dans l’organisation de ces visites.

Quant à Boukary Zoma, un octogénaire, autochtone de Koudougou, il a tenu à remercier vivement les autorités pour cette  diligence en leur faveur, ajoutant que « nous les bénissons et prions Allah pour qu’il les accompagne dans leur quête du mieux-être des populations ».
Agence d’information du Burkina
PB/FGB

𝗣𝗮𝘀𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗖𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗮𝗹𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 à 𝗹𝗮 𝗗𝗚𝗔𝗝𝗘𝗣 : 𝗨𝗻 𝗥𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁é𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗔𝘂𝘁𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀

𝗣𝗮𝘀𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗖𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗜𝗻𝘀𝘁𝗮𝗹𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 à 𝗹𝗮 𝗗𝗚𝗔𝗝𝗘𝗣 : 𝗨𝗻 𝗥𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁é𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗔𝘂𝘁𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀

Le Directeur Général de l’Autonomisation des Jeunes et de l’Education Permanente, Monsieur Romain KABORE, a présidé le mardi 11 mars 2025, la cérémonie solennelle de passation de service et d’installation de nouveaux directeurs techniques. Un événement marquant pour la Direction Générale, car cinq nouvelles personnalités ont pris en main des directions stratégiques pour l’avenir des jeunes burkinabè.

C’est ainsi que Madame Alimata SOUGUE prend ainsi la tête de la Direction des Stratégies Éducatives et de la Protection des Jeunes (DSEPJ), après le départ de Monsieur Somaila SAWADOGO, qui a dirigé la direction pendant huit années. Mme Isabelle BADO, quant à elle, dirigera la Direction de la Promotion de l’Entrepreneuriat et de l’Autonomisation des Jeunes (DPEAJ). Monsieur G. Camille TAMALGO assurera désormais la gestion de la Direction de la Coopération, de l’Organisation de la Jeunesse et de la Vie Associative (DCOJVA), issue de la fusion de deux directions clés. Enfin, Monsieur Lassané KOLOGO et Monsieur Raoul BAYALA prendront respectivement les rênes des Directions de la Promotion des Infrastructures de Jeunesse (DPIJ) et de la Promotion de l’Éducation Permanente (DPEP).

Les nouveaux directeurs ont exprimé leur engagement total à répondre aux défis de leurs missions, dans un contexte où la jeunesse constitue un axe central du développement national. Dans un environnement difficile marqué par une rareté de ressources, leur détermination à travailler efficacement et à rechercher des partenariats financiers et techniques est plus que jamais un impératif pour atteindre les objectifs fixés.

Le Directeur Général a salué le travail accompli par les directeurs sortants et les a félicités pour leur contribution. Il a, par ailleurs, exhorté les nouveaux responsables à faire preuve d’efficacité et de responsabilité dans leurs nouvelles fonctions, avec pour vision, un Burkina Faso plus fort et prospère.

DCRPMSJE

Ministère en charge de l’Action humanitaire : Émile ZABSONRÉ officiellement installé dans ses fonctions de Secrétaire Général

Ministère en charge de l’Action humanitaire : Émile ZABSONRÉ officiellement installé dans ses fonctions de Secrétaire Général

Nommé en Conseil des ministres lors de sa séance du 5 mars 2025, Émile ZABSONRÉ a été officiellement installé dans ses fonctions de Secrétaire général du Ministère de l’Action humanitaire et de la Solidarité nationale (MAHSN) par le Commandant Passowendé Pélagie KABORÉ, ce mardi 18 mars 2025.

Aussitôt investi, après avoir exprimé sa reconnaissance et sa gratitude aux plus hautes autorités du pays et particulièrement à Madame la ministre, le nouveau Secrétaire général a réaffirmé son engagement et sa loyauté. « C’est avec un engagement à toute épreuve, avec loyauté, dévouement et abnégation que je m’acquitterai de la mission qui m’a été confiée », a-t-il déclaré.

Il a également souligné l’importance du travail d’équipe pour la réussite de sa mission : « Pour l’atteinte des résultats escomptés, je compte sur l’engagement, la franche collaboration, la disponibilité et l’abnégation de tout le personnel du département, notamment ceux des structures centrales, déconcentrées, rattachées et des services du Secrétariat général.
C’est ensemble que nous permettrons à Madame la ministre d’accomplir pleinement la mission qui lui a été confiée par les plus hautes autorités du Burkina Faso. »

Le nouveau Secrétaire général a, en outre, rassuré les partenaires sociaux, techniques et financiers, ainsi que les ONG et associations, de sa disponibilité à les écouter et à prendre en compte leurs observations et critiques constructives.
Il a félicité son prédécesseur, Rahitaba Désiré Romain COMPAORÉ, pour le travail accompli et les résultats obtenus, tout en espérant bénéficier de son expérience.

Dans son mot, le Secrétaire général sorti, Rahitaba Désiré Romain COMPAORÉ, a exprimé sa gratitude à Madame Nandy SOME/DIALLO pour la confiance placée en lui, ainsi qu’à Madame la ministre Passowendé Pélagie KABORÉ pour son leadership inspirant. « Le temps a été certes court, mais riche en enseignements », a-t-il expliqué, avant de remercier l’ensemble de ses collaborateurs pour leur soutien, qui lui a permis d’engranger des résultats.

Madame la ministre, le Commandant Passowendé Pélagie KABORÉ a, quant à elle, salué les efforts consentis par le Secrétaire général sorti et félicité Monsieur ZABSONRÉ pour sa nomination. S’adressant à ce dernier, elle a insisté sur l’importance de l’écoute, de l’impartialité, de la rigueur, de la loyauté et de la disponibilité. À l’endroit du personnel, elle a exhorté à un accompagnement sans faille du nouveau Secrétaire général dans l’accomplissement de ses missions.

DCRP/MAHSN

Gourma/Campagne régionale de commercialisation : 30 tonnes de sucre mises en vente

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Gourma/Campagne régionale de commercialisation : 30 tonnes de sucre mises en vente

Fada N’Gourma, 19 mars 2025 (AIB)-Le secrétaire général de la région de l’Est, Siaka Ouattara, a lancé officiellement, ce mardi 18 mars 2025 à Fada N’Gourma, la campagne régionale de commercialisation de 30 tonnes de sucre de la Société nationale de la Société sucrière de la Comoé (SN SOSUCO), soit 15 tonnes en morceaux et 15 tonnes en granulé du sucre dans la région de l’Est.

La commercialisation du sucre de la SN SOSUCO s’inscrit dans la vision du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, de faire du développement endogène le socle de l’économie burkinabè.

Le secrétaire général de la région de l’Est, Siaka Ouattara, a lancé officiellement la commercialisation, ce mardi 18 mars 2025 à Fada N’Gourma, de 30 tonnes de sucre soit 15 tonnes en morceaux et 15 tonnes en granulé.

Selon M. Ouattara, cette campagne régionale de commercialisation du sucre de la SN SOSUCO, à travers des boutiques témoin, vise essentiellement à rendre hommage aux Burkinabè qui ont décidé de produire ce qu’ils consomment et de consommer ce qu’ils produisent et à rendre disponible le sucre « made in Burkina Faso » en quantité et en qualité sur toute l’étendue du territoire nationale au prix fixé par l’Etat.

Le directeur régional en charge du Commerce, Boukaré Ouédraogo, a précisé que le prix du sucre en morceaux de 1 kg est fixé à 800 F CFA et celui en granulé de 1 kg à 650 F CFA à Ouagadougou, à Bobo-Dioulasso et à Banfora.

Il a affirmé que les prix dans la région de l’Est, à l’instar des autres régions, s’obtiennent en prenant en compte un différentiel de 25 F CFA pour le transport, soit respectivement 825 F CFA pour le paquet de sucre en morceaux de 1 kg et 675 F CFA pour le sucre en sachet granulé de 1kg.

En outre, M. Ouédraogo, a laissé entendre que pour cette campagne de commercialisation, les quantités maximales en vente par personne est de 05 paquets de sucre en morceaux et de 05 sachets de sucre granulé.
Pour cette opération spéciale de vente de sucre, des points de vente ont été ouvertes dans toutes les régions au niveau des directions régionales en charge du Commerce.

Yacouba Kina, s’est réjouit de cette politique de l’Etat burkinabè qui consiste à disponibiliser le produit pendant cette période cruciale pour les musulmans.
Pour M. Kina, cet acte des autorités leur prouve que l’Etat burkinabè pense à eux et aux plus démunis.
Il a souhaité que cette action qui soulagera les pauvres puisse se pérenniser à tout moment.

Agence d’information du Burkina
KAC/hb/bz

Le Burkina Faso quitte l’OIF, devenue un « instrument de manipulation politique »

Le Burkina Faso quitte l’OIF, devenue un « instrument de manipulation politique »

Ouagadougou, 18 mars 2025(AIB)-Le Burkina Faso a quitté à la date du 28 février 2025, l’Organisation internationale de la Francophonie.

Selon Ouagadougou, l’organisation s’est éloignée de ses objectifs de promotion de la coopération culturelle et technique, pour se muer malheureusement en « un partial instrument de manipulation politique ».

« Le Burkina Faso ne saurait poursuivre sa coopération avec une institution qui ne répond plus à ses attentes légitimes en termes de justice, d’égalité et d’équité », note Ouagadougou, pointant la suspension des pays de l’AES.

En rappel l’organisation est restée aphone devant d’autres pays ayant connu des changements similaires de pouvoir.

Agence d’information du Burkina

L’AES se retire de l’OIF

L’AES se retire de l’OIF

Ouagadougou, 18 mars 2025(AIB)- La Conféderation de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) a annoncé mardi, son retrait de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour dénoncer ses sanctions sélectives et son mépris de la souveraineté de l’espace.

Agence d’information du Burkina

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Bam : La délégation spéciale de Guibaré se dote d’un nouveau référentiel de développement local

Bam : La délégation spéciale de Guibaré se dote d’un nouveau référentiel de développement local

Kongoussi, 14 mars 2025 (AIB)- La délégation spéciale de la commune de Guibaré a lancé officiellement, vendredi, l’élaboration d’un nouveau référentiel quinquennal qui servira de repère en matière de développement local pour la commune durant la période 2025-2029.

Le Plan communal de développement (PCD) sera élaboré par des experts en la matière sous l’égide du cabinet HORUS Conseils et Développement Sarl.

Il sera en phase avec les nouvelles orientations du gouvernement burkinabè, a précisé le secrétaire général de la province du Bam, Moussa Sanou, représentant du haut-commissaire de la province.

« Cette actualisation du PCD s’explique aussi par le contexte national marqué par l’adoption du nouveau référentiel national de développement, le Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement (PA-SD).

En effet, la mise en œuvre de ce document d’orientation au niveau national recommande que les plans locaux de développement soient relus pour prendre en compte les nouvelles orientations nationales », a expliqué le représentant du haut-commissaire.

Moussa Sanou a rappelé au comité de rédaction l’importance du sujet ainsi que la complexité du processus d’élaboration d’un PCD.

Pour mener à bien la mission qui lui est assignée, il a invité le comité ad hoc à faire preuve d’une grande assiduité tout au long des travaux.

Le préfet, président de la délégation spéciale (PDS) de Guibaré, Benjamin Kiswendsida Ouédraogo, s’est félicité du démarrage effectif de la rédaction du PCD de Guibaré, un document qui guidera les actions de la commune durant les cinq prochaines années.

« Avec ce nouveau plan, la délégation spéciale disposera d’un guide de développement pour la commune. Il nous suffira maintenant d’élaborer un Plan annuel d’investissement (PAI) dans lequel nous pourrons inclure les actions urgentes pour répondre aux besoins de la commune. Je suis donc soulagé, car ce plan prendra surtout en compte les besoins réels des populations », a indiqué le PDS Benjamin Ouédraogo.

En rappel, le dernier PCD de la commune de Guibaré est arrivé à terme en 2023. Depuis lors, la collectivité fonctionnait sans document de référence.

Agence d’information du Burkina

AR/ata

Centre-Est : Lancement officiel de la vente au détail du sucre SN-SOSUCO

Centre-Est : Lancement officiel de la vente au détail du sucre SN-SOSUCO

Tenkodogo, 18 mars 2025 (AIB) – Le gouverneur de la région du Centre-Est, le colonel Aboudou Karim Lamizana, a officiellement lancé, ce mardi matin à l’hôtel administratif de Tenkodogo, la vente au détail du sucre SN-SOSUCO, qui se fera, pour le moment, uniquement à Tenkodogo, chef-lieu de la région.

C’est suite aux instructions du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, que la SN-SOSUCO procède à des dépôts de stocks dans les différents chefs-lieux de régions.

Cette campagne de vente du sucre au détail marque une étape décisive dans la promotion du sucre Made in Burkina, illustrant la vision de Son Excellence le président du Faso en faveur d’une économie autonome et résiliente.

L’initiative va permettre de rendre ce produit essentiel disponible et de dynamiser notre industrie sucrière, symbole de souveraineté et de développement.

Selon le gouverneur Aboudou Karim Lamizana, la campagne vise à faciliter l’accès du produit aux consommateurs en cette période de jeûne et carême.

Il a ajouté : « Le sucre sera vendu à 825 francs le kilogramme pour le sucre en morceaux et à 675 francs le kilogramme pour le sucre en poudre. Je remercie le président du Faso pour cette très bonne initiative. Nous avons reçu une quantité importante qui pourra soulager toutes les populations qui en ont besoin. Je les invite surtout à être vigilantes afin que ce sucre ne se retrouve pas sur le marché parallèle.»

Le président de la Ligue des consommateurs, section de la province du Boulgou, Pierre Claver Kima, a déclaré : « Je suis venu pour m’assurer du bon déroulement de cette opération de vente directe de sucre, surtout pour voir si les consommateurs sont protégés dans l’intérêt de tous. »

Après le lancement, la première cliente, Raïssa Paré, a témoigné : « J’ai acheté 5 kilos de sucre en morceaux à 825 F le kilo et 5 kilos de sucre en poudre à 675 F le kilo, sur présentation de la carte nationale d’identité. Je salue l’initiative et j’en profite pour demander que la même chose soit faite pour des produits comme le riz et l’huile. »

Agence d’Information du Burkina

SM/ata

Coopération bilatérale : Le Ministre d’Etat, Emile ZERBO, échange avec l’Ambassadeur de la Fédération de Russie au Burkina Faso

Coopération bilatérale : Le Ministre d’Etat, Emile ZERBO, échange avec l’Ambassadeur de la Fédération de Russie au Burkina Faso

Le Ministre d’Etat, Ministre de l’Administration territoriale et de la Mobilité, Monsieur Emile ZERBO, a reçu en audience, le mardi 18 mars 2025, à Ouagadougou, l’Ambassadeur de la Fédération de Russie au Burkina Faso, Son Excellence Monsieur Igor MARTYNOV.

A l’issue des échanges, S.E.M. Igor MARTYNOV a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale entre la Fédération de Russie et le Burkina Faso.

« Nous avons examiné l’état de notre relation ainsi que les perspectives dans plusieurs domaines clés, notamment le développement des projets. Il s’agit de l’essor du secteur aérien au Burkina Faso et l’amélioration du domaine de la protection civile », a soutenu le diplomate russe.

S.E.M. Igor MARTYNOV a souligné que le Ministre d’Etat, Monsieur Emile ZERBO, a salué cette démarche qui témoigne de la dynamique des bonnes relations entre le Burkina Faso et la Fédération de Russie. «

Le Ministre d’Etat a réaffirmé la volonté des autorités burkinabè à poursuivre et à consolider cette coopération au profit de nos deux Nations », a-t-il confié.

DCRP/MATM

MEBAPLN : Yalso Édition fait un don pour soutenir l’éducation préscolaire

MEBAPLN : Yalso Édition fait un don pour soutenir l’éducation préscolaire

Ce mardi 18 mars 2025, la maison d’édition Yalso a offert un important lot de matériels pédagogiques aux centres d’éveil et d’éducation préscolaires (CEEP) du Burkina Faso. La cérémonie de remise s’est tenue au sein du Ministère de l’Enseignement de Base, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales (MEBAPLN), en présence de plusieurs acteurs du secteur éducatif.

L’ initiative s’inscrit dans le cadre du projet présidentiel visant à augmenter le taux de préscolarisation dans le pays. Le don comprend 1000 cahiers d’activités destinés aux trois sections du préscolaire, couvrant les domaines de l’expression écrite et orale, ainsi que les mathématiques et les sciences. Validés par le ministère, ces documents représentent une ressource essentielle pour les enseignants et les jeunes apprenants.

Sanou Bernadette DAO, représentante de Yalso Édition, a insisté sur l’importance du préscolaire dans le processus du développement cognitif et du savoir-faire. Elle a souligné que ce don vient en appui au département de l’enseignement de base qui a opté de renforcer l’éducation préscolaire et d’améliorer l’accès au système formel.

Elle a également exprimé sa fierté et celle de tous ses collègues de contribuer aux efforts du MEBAPLN et a annoncé la volonté de Yalso de poursuivre la production de documents pédagogiques pour le préscolaire et le primaire, en collaboration avec le ministère.

Wendpanga Michel Addoul Kader KONDOMBO, DIrecteur de cabinet du MEBAPLN, a exprimé la gratitude du ministère envers Yalso Édition. Il a rappelé que l’éducation préscolaire est une priorité nationale et que ce don contribuera à répondre aux besoins croissants en supports pédagogiques dans les nouveaux centres d’éveil du pays.
DCRP/MEBAPLN.

Koudougou : Le sucre SN-SOSUCO disponible à prix réduits

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Koudougou : Le sucre SN-SOSUCO disponible à prix réduits

Koudougou, 18 mars 2025 (AIB) – La région du Centre-Ouest a lancé officiellement, ce mardi, sa campagne de commercialisation du sucre de la Société nouvelle Société sucrière de la Comoé (SN-SOSUCO) à des prix réduits soit 675F le sachet de sucre granulé et 825F le paquet de 1kg de sucre en morceaux, a constaté l’AIB.

Cet événement, placé sous le signe du développement endogène et de la résilience industrielle, marque une étape importante dans la stratégie économique du Burkina Faso.

Le lancement de cette campagne intervient dans une période de forte demande, coïncidant avec les périodes de jeûne musulman et chrétien. Comme l’a souligné le gouverneur par intérim de la région, Adama Jean Yves Béré, cette initiative vise à rendre hommage aux Burkinabè qui choisissent de consommer local, conformément à la vision des plus hautes autorités : « produire ce que nous consommons et consommer ce que nous produisons ».

L’objectif principal de cette campagne est d’assurer la disponibilité du sucre « made in Burkina » sur l’ensemble du territoire national, à des prix abordables. Le prix du paquet de sucre en morceaux de 1 kg a été fixé à 825 FCFA, et celui du sachet de sucre granulé de 1 kg à 675 FCFA à Koudougou.

Pour garantir une distribution équitable, la quantité maximale de vente par personne est limitée à 5 paquets de sucre en morceaux et 5 sachets de sucre granulé.

Pour cette opération spéciale, un point de vente a été ouvert au sein de la Direction régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat du Centre-Ouest, à Koudougou.

Selon le directeur régional du commerce, Sou Siébou, 34 tonnes de sucre sont disponibles, réparties équitablement entre sucre en morceaux et sucre granulé. La présentation d’une pièce d’identité est obligatoire pour l’achat, afin de permettre à un maximum de personnes de bénéficier de cette offre.

Le gouverneur a tenu à saluer les efforts de la SN-SOSUCO pour répondre aux besoins de la population, malgré les difficultés rencontrées. Il a réaffirmé l’engagement du gouvernement à soutenir la société, qui joue un rôle crucial dans l’économie locale, avec plus de 3 000 emplois créés.

Face à une consommation nationale de sucre estimée à 300 000 tonnes par an, dont seulement 10% sont produits localement, le renforcement de la capacité de production de la SN-SOSUCO est une priorité. Des instructions ont été données pour élaborer un plan de relance et de développement.

Le lancement de cette campagne a été salué par la population, qui voit là une opportunité d’accéder à un produit de première nécessité à un prix abordable, tout en soutenant l’économie nationale.
Agence d’information du Burkina
PB/FGB/AS/ATA

Namentenga : 60 femmes outillées sur la culture hors sol à Boulsa

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Namentenga : 60 femmes outillées sur la culture hors sol à Boulsa

Boulsa le 18 mars 2025 (AIB)- L’entrepreneur agricole et gérant de Smart feed industry, Jacques Simporé, avec l’appui technique des structures décentralisées de la province du Namentenga a assuré les 17 et 18 mars 2025 à Boulsa, la formation sur la technique de production agricole hors sol et en hygiène alimentaire au profit de 60 jeunes filles et femmes.

« Faire de ces jeunes, des entrepreneures agricoles pour assurer un tant soit peu à l’autosuffisance alimentaire et promouvoir la consommation d’aliments biologiques pour la santé humaine ont constitué l’un des objectifs recherchés, à travers la formation, » a souligné l’entrepreneur agricole, Jacques Simporé.

Par ailleurs , il a expliqué que dans un contexte de rareté des terres cultivables, du changement climatique, des risques des engrais et pesticides chimiques, il était nécessaire pour lui, de renforcer les capacités de 60 jeunes filles et femmes sur la technique de production agricole hors sol et en hygiène alimentaire.
Pour M. Simporé et gérant de Smart feed industry, son initiative visé à se conformer à la politique nationale du gouvernement d’une part et à l’autosuffisance alimentaire par la production et la consommation d’aliments sains d’autres part.

A cet effet, les participantes ont bénéficié de communications sur l’entreprenariat féminin, la gestion intégrée des cultures hors sol, la santé respectivement développées par chacun des techniciens concernés.

Le formateur a indiqué que les séances pratiques de production, les échanges interactifs, ont facilité l’appropriation des contenus des thèmes développés.
« Nous avons appris à faire une pépinière, à repiquer, à arroser et à entretenir nos plants sans faire beaucoup de dépenses jusqu’à la récolte et à la consommation. Et tout cela avec des matériaux locaux tels les bidons, les plats, les pneus avec peu d’eau et d’engrais organique », a confié l’une des participantes, Bénédicte Koudougou.

Elle a aussi souhaité bénéficier du matériel de protection tel que le grillage pour que leurs exploitations soient à l’abri des animaux .

Le formateur Jacques Simporé a assuré que des sorties terrain seront menées pour le suivi des apprenantes pour répondre à leurs problèmes sur le terrain.
M. Simporé a témoigné toute sa reconnaissance aux différents départements ministériels, les partenaires techniques, la Croix rouge et association GEFED pour leurs diverses contributions qui ont permis la réussite de la formation des 60 jeunes filles et femmes à la production agricole hors sol à Boulsa.

Agence d’information du Burkina
JBD/NOAS

Namentenga : Les couches socioprofessionnelles de la commune de Tougouri apprécient la gestion des affaires publiques 2022-2024

Burkina-Namentenga-Redevabilité

Namentenga : Les couches socioprofessionnelles de la commune de Tougouri apprécient la gestion des affaires publiques 2022-2024

Boulsa, 18 mars 2025 (AIB)- Le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Tougouri, Dieudonné Diasso a présidé le samedi 15 mars 2025, la journée de redevabilité de ladite commune. Pour l’occasion, les différentes couches socioprofessionnelles de la commune ont apprécié à sa juste valeur, le compte rendu de la gestion des affaires publiques locales de la période 2022-2024 avant de faire des projections pour l’avenir.

«Je vous félicite pour votre résilience inébranlable et votre détermination à relever les nombreux défis auxquels la commune fait face. Je vous appelle à plus d’engagement», indiqué le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Tougouri, Dieudonné Diasso.
M. Diasso s’est dit satisfait de la participation effective des couches socioprofessionnelles de la commune de Tougouri à la journée de redevabilité.
Saisissant l’opportunité, elles ont apprécié à sa juste valeur, le compte rendu de la gestion des affaires publiques locales de la période 2022-2024, avant de faire des projections pour l’avenir.

Pour le PDS de Tougouri, la délégation s’est réunie huit fois , a pris 32 délibérations et s’est appesanti sur la situation des budgets de fonctionnement et d’investissements exercices 2022-2024 et également sur le budget exercice 2025 dont les recettes s’élèvent à 94 467 506 FCFA contre 187 301 963 FCFA en 2022 et 17 138 000 FCFA comme budget d’investissements contre 94 768 682 FCFA en 2022.

Au cours de la même période 2022-2024, les secteurs de l’éducation et de la santé ont bénéficié des partenaires techniques et financiers d’importants investissements, à travers la réalisation des infrastructures et d’équipements divers.

Les problèmes sur la situation sécuritaire, la diminution du nombre des partenaires au développement et le retard des fonds alloués dans les domaines transférés aux collectivités suspension de tous les transferts de l’état vers les collectivités territoriales et la faible implication des institutions locales dans la mise en œuvre de la réforme ont été relevées comme difficultés par la délégation spéciale.

Les participants ont échangé, en outre entre autres, sur la cherté des céréales, la construction de la maison de la femme, l’éclairage public, le soutien à l’effort de paix, la gestion des boutiques de la commune.

« J’adresse à cette occasion un appel à l’union sacrée des filles et fils, aux partenaires techniques et financiers de la commune sur les divers chantiers de la commune pour qu’ensemble, nous puissions bâtir une commune de notre rêve », a-t-il soutenu.

Dieudonné Diasso a par ailleurs félicité les membres de la PDS pour leur résilience et les résultats obtenus dans ce contexte difficile du pays.
Agence d’information du Burkina
JBD/NO/AS
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Dynamiques géopolitiques régionales et internationales : les experts du MAECR-BE et du CNES en atelier conjoint

Dynamiques géopolitiques régionales et internationales : les experts du MAECR-BE et du CNES en atelier conjoint

(Ouagadougou, 18 mars 2025)

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, SEM Karamoko Jean Marie TRAORE a présidé ce mardi 18 mars 2025, un atelier conjoint entre le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur et le Centre national d’Études stratégiques (CNES), sous le thème « Dynamiques géopolitiques internationales et régionales et clarifications stratégiques ».

Le Directeur général du CNES, le Général Barthélémy SIMPORE dans son intervention à l’entame de l’atelier, a salué le Chef du département des Affaires étrangères pour sa disponibilité constante à accompagner le CNES dans toutes ses activités.

Situant l’importance de cet atelier, il a indiqué qu’il permettra aux acteurs des deux départements, d’examiner non seulement les dynamiques géopolitiques régionales et internationales ainsi que les exigences de clarifications qui en découlent, mais aussi d’apporter une compréhension approfondie et commune sur les éléments structurants du contexte géopolitique, afin de préserver au mieux les intérêts stratégiques du Burkina Faso.

Le ministre des Affaires étrangères, a quant à lui relevé la pertinence du thème et noté qu’il évoque l’environnement mondial dans lequel les États doivent agir en tenant compte de leurs intérêts individuels et collectifs.

« Le thème est aussi révélateur de la veille que nous devons assurer ensemble sur les grandes dynamiques actuelles du monde et de la sous-région ouest-africaine” a indiqué le Chef de la diplomatie burkinabè.

Selon SEM Karamoko Jean Marie TRAORE, il convient d’analyser l’évolution de la géopolitique actuelle, en vue de définir des actions diplomatiques cohérentes et efficaces pour le bonheur de nos populations.

Il dira par conséquent que cet atelier constitue une opportunité d’engager un dialogue ouvert et constructif sur les meilleures façons de renforcer la position du Burkina Faso sur la scène internationale et préserver ses intérêts ainsi que ceux de la Confédération AES.

En rappel, le CNES a été créé en 2020 et il a pour mission globale, de soutenir la politique et la stratégie de sécurité nationale du Burkina Faso, par le développement de capacités nationales autonomes d’analyse et d’anticipation stratégiques, de prévention et de gestion des crises et des situations conflictuelles.

DCRP/ MAECR-BE

Burkina: La première phase des journées d’engagement citoyen 2025 se tient du 26 mars 9 avril

Burkina-Engagement-Patriotique-Participation-Citoyen

Burkina: La première phase des journées d’engagement citoyen 2025 se tient du 26 mars 9 avril

Ouagadougou, 18 mars 2025 (AIB)-Le ministère en charge de la justice a indiqué mardi que la première phase de l’édition 2025 des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC) se tiendra du 26 mars au 9 Avril 2025.

Les journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne de l’année 2025 se tiendront du 26 mars au 9 avril 2025 sur toute l’étendue du territoire.
L’information a été donnée par le secrétaire général du ministère en charge de la justice, Harouna Kadio, le mardi 18 mars 2025 à Ouagadougou lors d’une conférence de presse.

Selon le secrétaire général du ministère, Harouna Kadio cette première phase de l’édition 2025, des journées patriotiques se tiendra sur le thème « Pour l’ordre et la discipline : je m’engage ! ».

Ce thème vise à susciter et à renforcer une véritable culture de la discipline et de l’ordre dans tous les secteurs de la vie sociale des Burkinabè, a soutenu M. Kadio.
« Il s’agit notamment susciter la discipline au sein de l’armée, de l’administration publique, dans la vie associative, à l’école, dans les marchés et yards, dans nos villages et dans nos hameau », a ajouté le SG.

Pour cette première phase des JEPPC plusieurs activités seront organisées.

Il s’agit notamment, du lancement du prix du meilleur engagement citoyen, des conférences sur le civisme et la participation citoyenne dans les écoles, les universités et les centres de formation professionnelle, et des jeux concours sur le civisme en milieu scolaire.
Harouna Kadio a invité l’ensemble des citoyens à se mobiliser pour leur participation massivement à ces activités.

Ces journées constituent donc une initiative d’envergure nationale qui appelle à la contribution de l’ensemble des acteurs publics et privés, la mobilisation de l’ensemble des citoyens burkinabés dans la mise en œuvre des différentes activités civiques, a fait savoir le secrétaire général.
Il faut noter que ces journées sont organisées deux fois dans l’année sur une période de 15 jours sur toute l’étendue du territoire national, dans les missions diplomatiques et les postes consulaires du Burkina Faso à l’étranger.

Les dates officielles de lancement des dites journées sont le 26 mars et le 2 octobre de chaque année.
Agence d’information du Burkina
AFZ/ZO/as

Kénédougou/Pèlerinage Kuini 2025 : Les chrétiens catholiques sacrifient à la tradition sous le sceau de la conversion

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Kénédougou/Pèlerinage Kuini 2025 : Les chrétiens catholiques sacrifient à la tradition sous le sceau de la conversion

Orodara, 18 mars 2025 (AIB)-Les fidèles chrétiens catholiques de Notre Dame d’Afrique de Orodara, ont encore sacrifié à la tradition cette année en effectuant le déplacement de Kuini, localité située dans la commune de Djigouera, à plus d’une vingtaine de Orodara, le dimanche 16 mars 2025, pour leur pèlerinage paroissial sous le sceau de la grâce de la conversion.
Des milliers de fidèles chrétiens catholiques venus des quatre coins de la province du Kénédougou et d’ailleurs, ont convergé le dimanche 16 mars 2025 à Kuini, localité située dans la commune de Djigouera, à plus d’une vingtaine de Orodara, pour leur pèlerinage paroissial.

L’édition 2025 a été placée sous le thème : «Enfants de notre Dame d’Afrique dans un élan de conversion vers 75 ans de grâce ».
Les temps forts de ce pèlerinage ont été marqués par une messe, des prières, des louanges et des adorations.

Au cours de son homélie, le prêtre célébrant du jour, l’Abbé Bakary Jean-François Sanou, a tout d’abord jeté un regard rétrospectif sur la paroisse et la vie de cette communauté paroissiale dans ses différentes composantes de la Communauté chrétienne de base (CCB).
Il a poursuivi que la conversion est un retournement de cœur, car selon lui, « c’est rompre avec nous ce qui dans notre vie n’est pas correct et nous éloigne de Dieu et du prochain.

Pour l’Abbé Bakary Jean- François Sanou, les chrétiens, la route qui mène vers Dieu passe nécessairement par le prochain.
Le prêtre célébrant a lancé un appel pour la paix et la cohésion sociale.

Le Curé de la paroisse Notre Dame d’Afrique de Orodara, l’Abbé Evariste Sawadogo, a salué positivement la forte mobilisation des fidèles autour de cette activité.

« Nous sommes réunis sur cette colline pour rendre grâce à Dieu pour ses bienfaits et aussi rendre grâce à la Vierge Marie pour sa présence parmi nous, lui confié notre jubilé d’albâtre, les 75 ans de vie de notre paroisse qui aura lieu dans trois ans », a-t-il déclaré.

Dorothée Ouattara, venue de Bobo-Dioulasso pour la circonstance, a indiqué que chaque année, les chrétiens viennent au pèlerinage à Kuini pour prier Dieu et c’est un bon cadre spirituel.

« Ici on sent vraiment la présence du Seigneur. C’est pourquoi à chaque édition, nous sommes là pour nous ressourcer et confier nos prières à la maman Marie afin qu’elle intercède pour nous auprès de son fils », a-t-elle précisé.
Tout comme elle, Wenceslas Compaoré a dit être aussi venu pour prier Dieu pour la paix et la stabilité du pays.

Agence d’information du Burkina
AK/hb/bz

Burkina : Les jeunes de l’AES sollicitent l’accompagnement du Dima de Boussouma pour bien mener leurs activités

Burkina-CJ.AES-Accompagnement-Dima

Burkina : Les jeunes de l’AES sollicite l’accompagnement du Dima de Boussouma pour bien ses activités

Ouagadougou, 17 mars 2025 (AIB) – Une délégation du Conseil des jeunes de l’Alliance des États du Sahel (CJ.AES), avec à sa tête son président Ismaël Sawadogo, a présenté dimanche la nouvelle structure au Dima de Boussouma, avant de solliciter son accompagnement pour mener à bien les activités du conseil.

« Nous sommes venus présenter le CJ.AES à sa Majesté et requérir ses conseils et bénédictions afin de bien mener nos activités pour accompagner le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré et l’ensemble des pays de l’AES », a indiqué le président du Conseil des jeunes de l’alliance des États du Sahel (CJ.AES), Ismaël Sawadogo.

Cette rencontre qui a regroupé plus de 70 personnes, a connu la présence des secrétaires généraux des régions du Centre, du Plateau Central et du Centre-Nord, ainsi que des membres de leurs bureaux respectifs qui a effectué le déplacement.

« Le Dima nous a prodigué des conseils, donné des bénédictions et exprimé son entière disponibilité à nous accompagner pour l’atteinte de nos objectifs », s’est réjoui M. Sawadogo.

L’audience s’est déroulée dans une atmosphère empreinte de sagesse, de conseils et d’orientations, a-t-il ajouté.
Il a promis mettre en œuvre les « sages conseils » de sa Majesté.

Crée en mars 2024, le Conseil des jeunes de l’alliance des États du Sahel (CJ.AES) / section Burkina Faso promeut le développement et l’intégration dans l’espace AES. Il entend également mener des actions de sensibilisation en faveur de paix et du vivre-ensemble dans cette communauté.

Agence d’information du Burkina
DNK/yos/ata

Burkina: Les FDS intensifient leur offensive contre les groupes terroristes

Burkina: Les FDS intensifient leur offensive contre les groupes terroristes

Ouagadougou, 17 mars 2025(AIB)-Les unités terrestres de l’armée burkinabè dans une parfaite coordination avec les moyens aériens ont poursuivi en cette première quinzaine du mois de mars, une lutte sans merci contre les groupes armés terroristes. Plusieurs centaines de criminels ont été neutralisés sur differents fronts et une importante quantité de matériel de guerre détruit ou récupéré.

Les Forces combattantes continuent de déployer leurs rouleaux compresseurs sur les ennemis de la Nation.

Les deux premières semaines du mois de mars 2025 ont été marquées par une intensification des combats contre les groupes terroristes.

Le 5 mars 2025, un groupe de criminels a tendu une embuscade contre les forces combattantes à Yé, dans la boucle du Mouhoun. Grâce à leur professionnalisme et leur puissance de feu, l’ennemi a été rapidement repoussé. Plusieurs criminels ont été neutralisés, tandis que d’autres ont pris la fuite abandonnant des corps sur place.

Le même jour, les unités du 24e BIR en mission de reconnaissance offensive dans la zone de Kantchari, s’est attaqué à un groupe de criminels. Plusieurs d’entre eux ont été neutralisés et du matériel a été récupéré. Le samedi 8 mars, les élements du BIR ont réédité le même exploit.

Le 6 mars, ce fut au tour du 16e BIR de mener une reconnaissance offensive dans la zone de Kongoussi, où ils ont rencontré et neutralisé un groupe de criminels, récupérant également du matériel.

À Dio, les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) ont mené des offensives contre des bases terroristes, forçant les assaillants à fuir.

Les vaillantes forces de Sanaba, dans la nuit du 7 au 8 mars, ont tendu une embuscade à un groupe de poseurs d’engins explosifs improvisés. Ils ont neutralisé le groupe et récupéré du matériel.

Le 9 mars, FDS et VDP ont repoussé des attaques terroristes dans le centre-nord, à Sagouem et Mafoulou, neutralisant plusieurs criminels et récupérant du matériel.

Le 14 mars, les forces combattantes ont neutralisé des voleurs de bétail dans la région de Boko, récupérant du matériel.

Le même jour, les VDP ont mené des offensives à Kenekuy et Tansila, dans la boucle du Mouhoun, où ils ont neutralisé plusieurs criminels et récupéré du matériel.

Le 16 mars, dans le centre-nord, à Bourzanga, les forces combattantes ont tendu une embuscade à des criminels, neutralisant plusieurs d’entre eux et récupérant du matériel.

Le 17 mars, le 8e BIR, lors d’une reconnaissance offensive dans la zone de Pensa, a surpris et neutralisé des guetteurs ennemis, récupérant également du matériel.

« La bataille du fleuve Mouhoun »

Le long du fleuve Mouhoun, plusieurs affrontements ont opposé les bataillons d’intervention rapide (BIR) et des terroristes qui contrôlaient certaines portions du cours d’eau.

Acculés, les criminels ont tenté une manœuvre dans la nuit du 7 au 8 mars contre les unités du 7e BIR. Ils ont été sévèrement matés, et un important arsenal de guerre a été récupéré.

Le lendemain les rescapés décident de s’attaquer au BIR 10. Les deux unités dragon déploient leur puissance de feu sur eux.
Plusieurs dizaines d’assassins rejoignent l’enfer. Les boys récupèrent du matériel et une forte somme d’argent.

Déboussolés d’autres criminels fuient vers le nord, en passant par Solenzo, utilisant des familles comme boucliers humains.

Cependant, ils ont été suivis par les observateurs des BIR. Lors de leur fuite, les criminels ont attaqué les postes des VDP à Bena, mais ont été rapidement repoussés grâce à l’appui des unités du 18e BIR. Les criminels ont été neutralisés, et les familles prises en otage ont été sauvées.

Plus tôt le 26 février, une surveillance dans la zone de Titao a permis de repérer une longue colonne de criminels descendant du nord pour s’installer dans des arbres touffus. D’autres groupes vont les rejoindre au fil des jours.

Les criminels font mouvement le 4 mars vers le village de Banyida, près de Barga, où ils concertent sous un grand arbre avant certainement une attaque.

Un vecteur aérien lance un gros missile qui va décimer une grande partie de ces assassins.

Les unités de Barga et le BIR de Titao ratissent la zone. Plusieurs criminels seront neutralisés et un important lot de matériel de guerre saisi.

Le 5 mars, pendant que le convoi de ravitaillement de Sebba se met en route vers Dori, des criminels se préparaient pour l’attaquer.

Un groupe de guetteurs montent sur une colline pour mieux apprécier la situation. Ils sont immédiatement neutralisés par des frappes aériennes. Les unités terrestres investissent les lieux pour terminer le travail.
Le même jour aux environs de 18h, les vecteurs aériens ont volé vers Yondé où des criminels fuyaient après une attaque lache.

Plusieurs frappes ont permis d’éliminer le maximum.

Le 5 mars, la surveillance dans le centre-nord a permis de détecter un convoi de tricycles, transportant de la logistique ennemie, notamment du carburant, qui se faufilait discrètement entre les pistes.

Les tricycles ont été frappés successivement, jusqu’à leur destruction totale du convoi.

Le 8 mars, à 6h du matin, les combattants du ciel ont été alertés de la présence de criminels aux abords des fortifications à Saguoem, dans le centre-nord. Ces criminels étaient en fuite face aux feux des forces terrestres, qui avaient déjà engagé le combat avec eux.

Les unités aériennes, survolant la zone, ont rapidement pris la décision d’appuyer l’offensive en cours. Elles lancent un missile, facilitant ainsi la neutralisation des criminels qui fuyaient à pied.

Le 9 mars, pendant que les forces combattantes étaient en reconnaissance offensive dans la zone de Pensa, un petit groupe de criminels a été observé au nord de leur position.

Suivant la tactique de neutralisation, les criminels ont été suivis jusqu’à une colline, où ils se sont arrêtés pour évaluer la situation et essayer de surveiller les manœuvres des forces burkinabé.

Les combattants du ciel, toujours en alerte, ont immédiatement engagé les criminels avec un petit missile, les frappant avant que les unités terrestres n’arrivent sur place pour achever le travail.

« Gnambweogo ou prendre possession de la brousse »

Le 13 mars, à 10h25, les combattants du ciel ont été alertés d’un contact entre les unités de l’opération Gnambweogo et un groupe de criminels au nord de Thiou. Très vite, les forces aériennes ont pris position pour intervenir.

Face à la puissance de feu des forces au sol, les criminels ont d’abord tenté de fuir, mais ont été rapidement rattrapés. Une frappe aérienne précise a touché un premier groupe de criminels, qui a été anéanti. Cependant, les criminels ont tenté de se réorganiser pour revenir au contact. Les frappes aériennes ont alors été renforcées et les criminels ont été frappés sur plusieurs flancs.

Alors que les combats se poursuivaient, les unités aériennes ont continué à viser les fuyards et à frapper avec précision. Vers la fin de l’après-midi, les criminels survivants ont tenté de se rassembler dans un verger, probablement pour faire le point sur leurs pertes.

Les forces aériennes ont immédiatement frappé cette position, détruisant leur dernier refuge.De nombreux criminels ont été neutralisés et du matériel encore utilisable a été saisi.

Le 14 mars, tôt le matin les combattants du ciel ont été appelés à intervenir à Yamba dans la province du Gourma. Une fois sur place, les unités aériennes ont rapidement ciblé et frappé les criminels en fuite.

Le même jour, une autre alerte a été donnée concernant une attaque contre le détachement et la ville de Foutouri. Lors de l’attaque, les criminels avaient infiltré la ville. Grâce à la rapidité de l’intervention aérienne, plusieurs missiles ont été lancés, ciblant les criminels qui se trouvaient à l’intérieur de la ville et dans la zone du détachement. Même ceux qui tentaient de se cacher sous des arbres ont été frappés avec une précision mortelle.

En début d’après-midi, les rescapés de l’attaque ont été suivis dans leur tentative de revenir chercher du matériel abandonné. Ils ont été frappés à nouveau, plusieurs d’entre eux étant neutralisés. Les observations ont continué jusqu’au 15 mars, lorsque d’autres criminels en renfort ont été repérés.
Ils seront pulvérisés par un missile sur le site de leur rencontre.

Le 15 mars, à 16h20, les combattants du ciel ont été alertés d’une attaque à Seguenega, dans le centre-nord. Les criminels en fuite vers le nord ont été pris en chasse immédiatement, avec une série de frappes successives qui ont anéanti leur colonne.

Le 15 mars, à 10h40, les forces aériennes nigériennes, en surveillance des unités au sol, ont repéré une colonne de criminels qui tentaient de s’échapper. Elles ont immédiatement informé les forces burkinabé. Dès que les criminels ont commencé à se réorganiser pour attaquer les forces nigériennes, les deux armées ont coordonné leur action pour intervenir.

Le groupe de tête des criminels a été rapidement anéanti, près des forces alliées. Pendant ce temps, les forces au sol ont pris position et ont terminé le travail, tandis que d’autres criminels tentaient de fuir. Les fuyards ont été rattrapés et neutralisés.
Agence d’information du Burkina

Zondoma/Veille citoyenne : La coordination provinciale galvanise ses troupes

Burkina/Zondoma-Veille-Citoyenne

Zondoma/Veille citoyenne : La coordination provinciale galvanise ses troupes

Gourcy, 16 mars 2025 (AIB) – La coordination provinciale de la veille citoyenne du Zondoma a rencontré les « wayiyans » du secteur 4 de Gourcy, le samedi 16 mars 2025. Avec eux, il a été question de maintenir la veille pour soutenir les autorités de la transition et les combattants jusqu’à la victoire finale contre l’insécurité.

Le principal rond-point du secteur 4 de Gourcy a connu une animation particulière dans la nuit du samedi 15 mars 2025. En effet les occupants des lieux ont reçu la visite des leaders de la coordination provinciale de la veille citoyenne du Zondoma.

Pour le coordonnateur provincial de la veille citoyenne du Zondoma Oumarou Ouédraogo, cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une tournée dont l’objectif est d’encourager les « wayiyans » qui sont au niveau des ronds-points afin qu’ils renforcent la mobilisation autour du président, Ibrahim Traoré, et les combattants engagés dans la lutte contre le terrorisme.

« Je vous invite à rester soudés et prêts à répondre à toute action de développement aussi bien au niveau local que national », a-t-il déclaré à l’endroit des participants.
Avant lui, les autres intervenants, à l’image du responsable des femmes, celui des jeunes et des anciens ont tous reconnu la nécessité de s’engager dans la veille citoyenne.

« Nous qui sommes restés à la maison, nous devons tout mettre en œuvre pour soutenir et encourager ceux qui combattent sur le terrain », a indiqué le responsable communal de la veille citoyenne, Issa Ouédraogo qui, par ailleurs, a invité les bonnes volontés à encourager souvent les volontaires qui animent les ronds-points.

Plusieurs artistes locaux ont été associés à cette rencontre qui a tenu en haleine les participants au-delà de 23 heures. A terme, chaque secteur, chaque village et chaque commune aura sa cellule de veille citoyenne pour soutenir le développement communautaire et les actions du Président du Faso, foi du coordonnateur provincial Oumarou Ouédraogo. M. Ouédraogo était accompagné des autres membres de la coordination et bien d’autres leaders  »wayiyans ».

Agence d’Information du Burkina
AK/dnk/ata

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