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Kompienga/CEP 2024 : Le seul centre de composition de Pama obtient un taux de succès  95,97%

BURKINA-KOMPIENGA-EDUCATION-RESULTATS

Kompienga/CEP 2024 : Le seul centre de composition de Pama obtient un taux de succès  95,97%

Pama, (AIB)-Les résultats de l’examen du Certificat d’études primaires (CEP) sont tombés ce jeudi 13 juin 2024 à Pama, dans le seul centre de la commune. Sur un effectif de 149 candidats ayant composé, 143 sont admis soit un taux de succès de 95,97%.

Le seul centre de composition de la ville de Pama, a proclamé ce jeudi 13 juin 2024, les résultats du Certificat d’études primaires (CEP).

Sur 149 candidats enregistrés 143 ont été admis soit un taux de succès de 95,97%.

La province de la Kompienga est en proie au terrorisme depuis 2022.

Agence d’information du Burkina

HO/hb/yo                        

 

Mouhoun/BEPC 2024 : La région obtient un taux de réussite de 30,23%

BURKINA-MOUHOUN-EXAMEN-RESULTAT

Mouhoun/BEPC 2024 : La région obtient un taux de réussite de 30,23%

 Dédougou, (AIB)-Les différents jurys ont délibéré et proclamé le mardi 11 juin 2024, les résultats du premier tour du Brevet d’études du premier cycle (BEPC). La région de la Boucle du Mouhoun a enregistré un taux de succès de 30,23%.

La région de la Boucle du Mouhoun a proclamé les résultats du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), le mardi 11 juin 2024, avec u taux de succès de 30,23%.

Sur un effectif de 15 972 inscrits, 15 617 candidats se sont présentés dans les centres de composition.

4 721 candidats ont été admis au premier tour. 6 910 dont 4 075 filles et 2 835 garçons sont admissibles au second tour.

Selon les statistiques établies par le service des examens et concours, la province du Sourou vient en tête, suivie du Mouhoun, de la Kossi des Balé, des Banwa et du Nayala.

Selon les techniciens de la direction régionale en charge de l’Education de la Boucle du Mouhoun, les résultats sont en progression par rapport à la session de 2023 qui enregistrait au premier tour un taux de succès 21,50%.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

 

Burkina : Le Conseil de l’énergie, un des maillons essentiels dans la gouvernance du secteur énergétique, ministre

BURKINA-ENERGIE-CONSEIL-ASSEMBLEE-GENERALE

Burkina : Le Conseil de l’énergie, un des maillons essentiels dans la gouvernance du secteur énergétique, ministre

Ouagadougou, 13 juin 2024 (AIB)-Le ministre en charge de l’Energie, Yacouba Zabré Gouba a indiqué jeudi, que le Conseil Burkinabè de l’énergie constitue un des maillons essentiels dans la gouvernance du secteur de l’énergie.

« Le conseil est une structure qui vient de voir le jour et va renforcer les acteurs évoluant dans le secteur de l’énergie. Il va constituer un des maillons essentiels dans la gouvernance du secteur de l’énergie », a déclaré le ministre en charge de l’Energie, Yacouba Zabré Gouba.

Il a souhaité que les débats puissent déboucher sur un ensemble de recommandations et de résolutions qui vont accompagner le ministère dans la gouvernance du secteur de l’énergie.

Le ministre en charge de l’Energie s’exprimait jeudi à Ouagadougou, lors de la 1ère Assemblée générale (AG) du Conseil Burkinabè de l’énergie (CBE).

Pour M. Gouba, le secteur de l’énergie du Burkina a traversé des périodes sombres qui se sont manifestées par l’insuffisance de l’offre d’électricité qui s’est traduite par un certain nombre de délestages.

« Cette situation nous interpelle tous autant que nous sommes à chercher des solutions fiables. Nous avons besoin de l’accompagnement des acteurs du privé ou du public pour relever les défis énormes qui s’opposent au secteur de l’énergie», a-t-il ajouté.

Le président du Conseil burkinabè de l’énergie, Baba Ahmed Coulibaly, a indiqué que sa structure va mettre en place des mécanismes à cette AG, pour mieux servir le pays.

«  Notre vocation  est d’apporter des conseils au gouvernement. Nous devons produire régulièrement des rapports sur tous les aspects et  faire des publications », a-t-il soutenu.

Créé en 2023, le Conseil Burkinabè de l’énergie a  pour objectif de contribuer au développement harmonieux et pérenne du secteur de l’énergie dans ses différentes composantes.

Agence d’information du Burkina

HB/no/bz

 

 

 

 

 

 

Le Bam enregistre un taux de 26% au premier tour

Le Bam enregistre un taux de 26% au premier tour

Kongoussi, ( AIB)- La province du Bam a enregistré un taux d’admission de 26,76% au premier tour au Brevet d’études du premier cycle ( BEPC) selon les statistiques provisoires de la direction provinciale des Enseignements post primaires et secondaire du Bam, un taux sensiblement meilleur à celui de l’année dernière.

Le référentiel provincial laisse apparaitre 597 admis sur 2267 candidats présents. On note également que 971 candidats sont admissibles pour le second tour.

Parmis les candidats admis du premier tour, on enregistre 322 filles et 275 garçons.

Selon toujours le document statistique, les jurys de Sabcé et de Tikaré viennent en dernière position avec respectivement 18,60℅et 19,20% de taux d’admission au premier tour.

Le jury de Kongoussi 2 occupe la première place avec 39,30℅.

Agence d’information du Burkina
Asmado RABO

Sissili/CCP: Une association présente ses activités aux acteurs locaux

Burkina-Sissili-Association- Présentation-

Sissili/CCP: Une association présente ses activités aux acteurs locaux

Léo, (AIB)- Les membres statutaires du Cadre de concertation provincial (CCP) de la Sissili se sont réunis en session ordinaire le mardi 11 juin 2024 à Léo. Cette rencontre, première du genre de l’année et placée sous la présidence du secrétaire général de la province, Baowindsida Bingo a permis aux membres d’avoir un apercu sur les activités de l’Association pour la protection de l’environnement et du développement rural (APEDR).

La construction du schéma de développement ne peut se faire sans la participation de tous les acteurs. C’est dans cette optique que cet espace de dialogue a été initié le mardi 11 juin 2024 à Léo.

L’Association pour la protection de l’environnement et du développement rural (APEDR) a saisi l’occasion pour présenter aux membres du Cadre de concertation provinciale (CCP) de la Sissili, ses activités notamment le projet «Foyer trois pierres amélioré ».

Selon le président de l’APEDR, Sayouba Bonkoungou le projet « Foyer trois pierres (F3PA) » consiste à réduire la consommation du bois des ménages en milieu rural par la diffusion d’une technologie plus économe en bois.

« Ce projet a pour objectif d’étendre la diffusion de la technologie foyer trois pierres amélioré en banco auprès de 3 0000 ménages, dans 9 communes de la province du Passoré, de contribuer à atténuer les effets des changements climatiques et de réduire la pauvreté des ménages ruraux », a- t- il expliqué.

  1. Bonkoungou a précisé que pour l’année 2024, l’APEDR entend couvrir 10 villages de la commune de Léo, développer l’apiculture dans 10 villages et intensifier la mise en place des unités de transformation des produits forestiers non ligneux (PFNL) dans 20 villages .

«  Nous avons déjà pu toucher 5 villages de la commune de Léo, à travers la formation des femmes sur la construction et l’utilisation des foyers trois pierres améliorés », a- t- il laissé entendre.

Le médecin chef du district sanitaire de Léo, Dr Aboubacary Abdou à présenter la situation alimentataire et nutritionnelle de la province.

Selon Dr Aboubacary, la malnutrition est un problème de santé publique nonobstant les différentes stratégies et interventions multi sectorielles et l’appui des partenaires techniques et financiers.

À l’en croire, la province de la Sissili occupe au plan national le 2e  rang en terme de malnutrition, après les Balé selon les dernières enquêtes nutritionnelles.

« Cependant les activités de dépistage et de prises en charge sont effectives dans toutes les formations sanitaires du district », a- t-il indiqué.

Dr Aboubacary a fait remarquer que l’arrivée massive des Personnes déplacées internes (PDI), ces dernières années pourrait justifier en partie cette flambée des cas de malnutrition.

Le chef de service provincial des productions végétales de la Sissili, Alassane Sawadogo a fait le point de la campagne agricole sèche 2023-2024 de la province.

Il a souligné qu’au cours de cette campagne sèche 670 hectares ont été emblavés en culture maraîchère, maïs et riz dans la province pour un rendement moyen de près de 9730kg/ ha, toutes spéculations confondues.

« La production totale des spéculations est estimée à près de 235950 tonnes », a- t- il soutenu.

Pour M. Sawadogo, la campagne sèche a été satisfaisante. Les difficultés liées à sa mise en œuvre se résument, entre autres, au tarissement des points d’eau  à la cherté des équipements/matériels et aux intrants agricoles.

« La réalisation des nouveaux points d’eau et l’entretien des points d’eau existants pourraient booster la production maraîchère dans la province a- t- il rassuré.

Les participants à la rencontre ont également eu un aperçu sur la situation sécuritaire de la province, à travers une présentation faite par le Directeur provincial de la police nationale (DPPN) de la Sissili, Lassané Nabollé.

Agence d’information du Burkina

OAN/no/ata

 

BEPC 2024 : 29,24% d’admis au premier tour dans le Passoré

Burkina-Passoré-Examen-BEPC

BEPC 2024 : 29,24% d’admis au premier tour dans le Passoré

Yako, (AIB)- La province du Passoré, dans la région a obtenu le mardi 11 juin 2024, 29,24% d’admis au premier tour du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session de 2024.
Sur les 5140 candidats ayant pris part aux épreuves écrites du BEPC session de 2024, le Passoré a enregistré 1504 admis soit un taux de succès de 29,25%.
2370 candidats sont autorisés à suivre les épreuves du second tour qui débutent ce jeudi 14 juin 2024.

Agence d’information du Burkina
ZES/no/ata

 

Burkina/Exploitation minière : une association offre des clés de gestion des risques à ses membres

Burkina/Exploitation minière : une association offre des clés de gestion des risques à ses membres

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB)- L’Association des femmes du secteur minier du Burkina Faso(AFEMIB), a organisé mercredi un atelier de formation sur la gestion des risques et impacts environnementaux et sociaux liés à l’exploitation minière sous l’angle du genre, au profit de ces membres.

Dans une approche basée sur le genre, l’AFEMIB a outillé ses membres sur les perspectives de gestion des risques et impacts environnementaux et sociaux de l’exploitation minière industrielle ou artisanale.

«Cette activité vise à donner des rudiments nécessaires à nos membres pour leur permettre de bien mener, à leur tour, des activités de sensibilisation aux profits des femmes qui travaillent dans les sites miniers industriels où artisanaux», a déclaré la Secrétaire de l’AFEMIB, Annonciata Thiombiano.

Selon la Secrétaire générale de l’association, cette formation qui intervient après la visite de mines artisanale et moderne, s’inscrit dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme dans le secteur minier qui se tient chaque 15 juin de l’année.

Cette formation qui sera traitée sous forme d’atelier va s’articuler sur trois séquences a indiqué le consultant, Michel Bamogo.

Les participants vont d’abord appréhender les risques et impacts environnementaux et sociaux des projets minier, analyser les conséquences de ces risques avant de déterminer qui de l’homme ou la femme est plus impacté (e).

La dernier point consistera à proposer des solutions pour réduire les impacts environnementaux et sociaux, aussi bien chez l’homme que chez la femme, a expliqué M. Yaméogo.

L’association des femmes du secteur minier du Burkina est née de la volonté de femmes pionnières de relever un certain nombre de défis pour l’épanouissement des femmes qui travaillent dans le secteur en particulier et de la femme rurale ou urbaine impactée les projets miniers en générale.

Pour ce faire, elle procède par des sensibilisations/formations et la réalisation de mini-projets.

Elle a été reconnue officiellement par l’Etat burkinabè en 2004.
Agence d’information du Burkina
YOS/ata

Burkina: 15 000 volontaires en ordre de bataille contre les gîtés larvaires du palu et de la dengue

Burkina: 15 000 volontaires en ordre de bataille contre les gîtés larvaires du palu et de la dengue

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB)-Le ministre en charge de la Santé, Robert Kargougou, a lancé mardi à Ouagadougou, les activités de lutte anti-larvaires par les Volontaires nationaux et agents de santé à base communautaires (VN_ASBC) pour contrer le palu et la dengue. Ils sont 15 000 volontaires mobilisés pour contre ces fléaux qui ont fait de nombreuses victimes l’année dernière.

Au total 15 000 Volontaires nationaux et agents de santé à base communautaires (VN ASBC) sont engagés dans cette offensive contre les gîtes larvaires, rapporte les services de communications du ministère en charge de la santé.

Selon la même source, le premier responsable du département de la santé, Robert Kargougou a rassuré que le Président du Faso, Ibrahim Traoré, a donné des instructions afin que tous VN_ASBC engagés dans la lutte contre la dengue soient dans les conditions optimales.

« Le gouvernement avec l’appui des partenaires techniques et financiers est engagé à mettre des ressources qui permettront de rendre régulière la motivation des VN-ASBC», a-t-il souligné.

Le ministre Kargougou a remercié les Volontaires nationaux et Agents de santé à base communautaire (VN_ASBC) pour le travail déjà abattu et ce qu’ils feront les jours et les mois à venir pour contribuer à la protection de la santé des populations, face à cette maladie épidémique qu’est la dengue.

Plusieurs ministères sont engagés dans la campagne de destruction des gîtes larvaires. Il s’agit notamment des départements de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement, de celui des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi et des Ressources animales et halieutiques.

Selon les services de communication du ministère en charge de la santé, cette mobilisation traduit l’engagement du gouvernement, à travers l’approche ONE HEALTH, à lutter efficacement contre la dengue au Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina
DNK/ata

Le Burkina et l’Afrique seront le tombeau de l’impérialisme, foi de Kemi Seba

Le Burkina et l’Afrique seront le tombeau de l’impérialisme, foi de Kemi Seba

Ouagadougou, 13 juin 2024 (AIB)- L’activiste franco-béninois Kemi Seba a exprimé hier mercredi sa conviction que le pays des hommes intèque et l’Afrique seront bientôt le tombeau de l’impérialisme, selon Burkina 24 .

« Je suis venu vous dire que le Burkina Faso et l’Afrique seront le tombeau de l’impérialisme », a déclaré mercredi à Ouagadougou l’activiste Panafricaniste, Stellio Gilles Robert Chichi alias Kemi Seba, d’après le site d’information Burkina24.

Selon le militant Panafricain, comme l’avait fait le capitaine Thomas Sankara, le capitaine Ibrahim Traoré est en train de tracer les signaux de la libération des peuples du joug de l’impérialisme.

Kemi Seba est arrivé dans la capitale burkinabè depuis hier où il projette de rencontrer le peuple burkinabè, la société civile, et le président du Faso le capitaine Ibrahim Traoré.
Agence d’information du Burkina
YS/ata

Le Burkina adopte un décret pour harmoniser les rémunérations au sein des sociétés d’Etat

Burkina-Entreprises publiques-Rémunérations-Harmonisation

Le Burkina adopte un décret pour harmoniser les rémunérations au sein des sociétés d’Etat

Ouagadougou, 13 juin 2024 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a adopté un décret lui permettant de disposer d’un référentiel harmonisé de fixation des rémunérations des agents des sociétés d’Etat.

Le décret, adopté hier mercredi en conseil des ministres, «permet de disposer d’un référentiel harmonisé de fixation des rémunérations des personnels et des modalités de détermination de l’indemnité de départ à la retraite au sein des sociétés d’Etat», lit-on dans le compte rendu de la rencontre.

Les Etablissements publics de prévoyance sociale sont également concernés par cette mesure d’harmonisation des rémunérations.

Le gouvernement dit avoir constaté des «disparités» dans le traitement des rémunérations des personnels des sociétés d’Etat mais aussi au sein des Etablissements publics de prévoyance sociale et l’absence d’un référentiel général encadrant la fixation desdites rémunérations.

Le décret s’appuie sur une recommandation de la 31è session de l’Assemblée générale des sociétés d’Etat et des conclusions de l’Assemblée générale consacrée à l’approbation des comptes 2022 des Etablissements publics de prévoyance sociale (EPPS).

Au cours d’une réunion de haut niveau consacrée à la gestion des sociétés d’Etat, en septembre 2023, le Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambèla s’était offusqué d’observer des écarts énormes dans les rémunérations, d’une société d’Etat à une autre.

«Il n’y a pas de raison que, dans les sociétés d’Etat, les rémunérations puissent aller du simple au quintuple voire dix fois plus. Il faut travailler à l’harmonisation des rémunérations dans les sociétés d’Etat, parce que ces divergences entraînent des frustrations», avait-il dit.

En 2023, on dénombrait 19 sociétés d’Etat ayant présenté leur bilan à l’AG des sociétés d’Etat, ayant réalisé un chiffre d’affaires de 1.694,473 milliards FCFA en 2022.

Agence d’Information du Burkina
CK/dnk

BEPC-2024/ Gnagna : 454 admis au 1er tour

BEPC-2024/ Gnagna : 454 admis au 1er tour

Bogandé, 13 juin 2024 (AIB)- La province de la Gnagna a réalisé un taux de réussite de 28,97% soit 454 candidats admis aux résultats du premier tour du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC), session 2024, a appris l’AIB.

Les résultats du premier tour du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) ont été proclamés dans l’ensemble des 6 jurys que compte la province de la Gnagna, dans la region de l’Est. La province a enregistré ce mercredi 12 juin, 454 candidats déclarés admis soit un taux de succès de 28,97 %.

De sources concordantes, le jury Bogandé 2 a rencontré des soucis avec le logiciel SIGEC et a finalement proclamé les résultats dans la soirée du mercredi 12 juin.

Selon le Service des examens et concours de la Direction provinciale des enseignements post-primaire, 545 autres candidats sont autorisés à composer les épreuves du second tour de l’examen du BEPC, session 2024.

En rappel , dans la province de la Gnagna 1567 candidats ont effectivement pris part à l’examen du BEPC, session 2024.

Agence d’information du Burkina

Balé: Les populations invitées à ne pas consommer les poissons du barrage de Sipohin

Balé: Les populations invitées à ne pas consommer les poissons du barrage de Sipohin

Boromo,le 12 juin2024(AIB)-Dans un communiqué en date du 09 juin2024 dont une copie est parvenue à l’AIB, les autorités de la délégation spéciale de Bagassi dans la province des Balé ont invité les populations de Bagassi et environnants, à ne pas consommer les poissons du barrage de Sipohin.

Selon les termes du communiqué »il a été donné de constater une forte mortalité de poissons au barrage de Sipohin dans la matinée du samedi 08 juin 2024. »

Le communiqué précise que des investigations sont en cours pour déterminer les causes de cette mortalité.

En attendant les résultats, les autorités invitent les populations à éviter la consommation du poisson provenant du barrage de Sipohin.

Selon le témoignage d’un habitant du site, les premières pluies ont drainé de grands déchets dans le lit du barrage.Aussi les poissons morts sont de petites tailles, a indiqué la même source.

Une source administrative a précisé qu’une cellule de crise a été convoquée le lundi 10 juin 2024.
Le barrage de Sipohin est l’un des points d’eau important de la commune de Bagassi.
Obkiri MIEN
AIB-BALÉ NB photo d’archive et d’illustration

La SOGOB entend vulgariser la législation burkinabè sur l’interruption sécurisée de la grossesse

La SOGOB entend vulgariser la législation burkinabè sur l’interruption sécurisée de la grossesse

Ziniaré, 12 juin. 2024 (AIB)- La Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB) organise du 12 au 14 juin, à Ziniaré, un atelier pour mieux faire connaître la législation burkinabè sur l’interruption sécurisée de la grossesse et éviter les issues dramatiques des avortements provoqués clandestins.

« La législation sur l’interruption sécurisée de grossesse est méconnue par certains acteurs de la santé. Beaucoup de personnes victimes ne sont pas également au courant de cette loi » déclare Pr Charlemagne Ouédraogo, Président de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB).

Pour lui, la législation en vigueur au Burkina Faso qui autorise l’interruption sécurisée de grossesse n’est pas assez connue par les différents acteurs du domaine.

M. Ouédraogo s’exprimait mercredi, à Ziniaré, lors de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de formation de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina sur l’interruption sécurisée de la grossesse selon la loi (ISG/SL) en partenariat avec la Fédération internationale de gynécologie obstétrique (FIGO).

Cet atelier réunit durant 72 heures, les Ordres professionnels en santé et les Sociétés savantes en médecine et pharmacie afin de clarifier certaines valeurs.

« Une loi autorise l’interruption sécurisée de grossesse selon certaines conditions. Lorsque la femme est victime d’un viol, les cas d’inceste, lorsque nous sommes dans une situation ou la poursuite de la grossesse mettra en péril la vie de la mère et lorsque nous sommes en face d’une malformation incompatible avec la vie » explique Pr Charlemagne Ouédraogo.

L’issue de cette session permettra la diffusion des dispositions de la législation burkinabè sur les droits en santé sexuelle et reproductifs.

« La SOGOB s’est engagée auprès du ministère de la Santé pour faire en sorte que l’ensemble des acteurs puissent être informés afin que les personnes victimes puissent profiter de cette loi que le Burkina Faso met à leur disposition afin d’éviter les issues dramatiques des avortements provoqués clandestins » souligne le Président de la SOGOB.

La Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina est une société savante créée en 1992 en vue d’une meilleure participation des gynécologues obstétriciens dans la mise en œuvre de la politique sanitaire en matière de santé maternelle et infantile.

Agence d’information du Burkina

DS/ata

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Foot: Messi voit Miami comme son dernier club

Foot-Carrière-Messie

Foot: Messi voit Miami comme son dernier club

Ouagadougou 13juin 2024(AIB/AFP)-L’Argentin Lionel Messi, superstar du foot, a expliqué mercredi qu’il espérait terminer sa carrière à l’Inter Miami, sans donner d’échéance précise. »Oui, aujourd’hui je pense que ce sera mon dernier club », a répondu Messi lors d’une interview qui doit être diffusée mercredi sur ESPN.

Messi, qui fêtera ses 37 ans le 24 juin, est attendu avec l’Argentine tenante du titre comme la grande star de la Copa America, qui se déroulera du 20 juin au 14 juillet aux Etats-Unis.

« Je ne suis pas prêt à quitter le football », a ajouté l’octuple Ballon d’Or, sous contrat avec Miami jusqu’en 2025, après avoir rejoint la Floride en juillet 2023 en provenance du Paris SG.

« Quitter l’Europe pour venir ici a été une marche difficile à franchir. Mais le fait d’avoir été champion du monde m’a aidé à voir les choses différemment », a indiqué le vainqueur de la Coupe du monde 2022 au Qatar, qui n’a pas exclu de défendre son titre en 2026 lors de l’édition co-organisée par les Etats-Unis, le Mexique et le Canada.

« J’ai fait ça toute ma vie. J’aime jouer au ballon. J’aime l’entraînement, le quotidien, les matches. La fin de tout ça me fait un peu peur. »

Agence d’Information du Burkina

Burkina : 373 milliards seront investis en 2024 au profit de «projets spécifiques» dont des centrales

Burkina-Investissements

Burkina : 373 milliards seront investis en 2024 au profit de «projets spécifiques» dont des centrales

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a décidé d’investir 373 139 550 866 FCFA en 2024, dans des «projets spécifiques» à travers des acquisitions de matériels et des réalisations d’infrastructures au profit d’une dizaine de ministères et institutions, selon le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi, consulté par l’AIB.

Parmi ces projets figurent la réalisation d’investissements et d’équipements au profit du Bureau national des Grands projets du Burkina Faso (BN-GPB), la réalisation de centrales et l’amélioration de l’accès à l’électricité et encore la réalisation d’infrastructures, de forages, d’aménagement hydroagricole, la fourniture de prestations intellectuelles ainsi que pour l’acquisition de semences et de plants, l’acquisition de matériels d’outillage et d’équipements industriels.
Figurent également dans la liste l’acquisition de logiciels, de matériels informatiques et la réalisation de plateformes, la construction et l’équipement de salles de classes, l’acquisition de vivres pour la cantine scolaire et de fournitures scolaires, etc.

Le financement de ces investissements «est assuré par le budget de l’Etat et les partenaires techniques et financiers», précise le compte rendu.

Agence d’Information du Burkina
CK/dnk

Tina Guthrie va désormais représenter le Canada au Burkina Faso

Tina Guthrie va désormais représenter le Canada au Burkina Faso

Ouagadougou, 12 juin 2024(AIB)-Le gouvernement a validé mercredi, la nomination de Tina Guthrie comme Ambassadrice Extraordinaire et Plénipotentiaire du Canada auprès du Burkina Faso, avec résidence Ouagadougou.

Mme Guthrie occupait précédemment, le poste de cheffe de la coopération à l’ambassade du Canada en Haïti.
Agence d’information du Burkina

Les 3000 carcasses de viande de l’Arabie saoudite offertes en priorité aux PDI

Les 3000 carcasses de viande de l’Arabie saoudite offertes en priorité aux PDI

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le Burkina Faso va servir les 3000 carcasses de mouton de sacrifice offertes par l’Arabie Saoudite, en priorité aux personnes déplacées internes et aux populations des zones à fort défi sécuritaire, selon le ministère de l’Action humanitaire.

Ce don de l’Arabie Saoudite sera reparti en mettant l’accent sur les zones à fort défis sécuritaire et à forte concentration de personnes déplacées internes, a indiqué hier mardi le Secrétaire général du ministère en charge de l’Action humanitaire, Romain Compaoré.

Pour M. Compaoré, ce geste va soulager un tant soit peu les bénéficiaires.

L’ambassadeur du Royaume saoudien au Burkina Faso, Fahad Aldosari, a remis à ouagadougou 32 tonnes de viande de mouton au profit des couches vulnérables.

«C’est la contribution de mon pays pour le Burkina Faso en ces temps de crise alimentaire que traverse le Burkina Faso», a déclaré le diplomate saoudien.

Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet de l’Arabie Saoudite visant à octroyer de la viande de sacrifice à des pays, par l’entremise de la Banque islamique de développement.
Agence d’information du Burkina
YS/ata/ck

Burkina : Le plan de stabilisation et de développement exécuté à 73,4% au titre de 2023

Burkina-Gouvernance-Bilan

Burkina : Le plan de stabilisation et de développement exécuté à 73,4% au titre de 2023

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le plan d’actions pour la stabilisation et le développement (PA-SD) du Burkina Faso, déroulé en 2023, a enregistré un taux d’exécution physique de 73,4% contre 63,3% en 2022, a annoncé le gouvernement, mercredi soir à Ouagadougou.

«En dépit du contexte difficile de mise en œuvre de l’action publique, le niveau global d’exécution physique de la tranche annuelle 2023 du Plan d’actions pour la stabilisation et le développement (PA-SD)» a expliqué Jean Emmanuel Ouédraogo, ministre d’Etat et porte-parole du gouvernement, dans le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi.

La réorganisation de l’armée, le renforcement des effectifs des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), l’accroissement en équipements des FDS, la réalisation des opérations de reconquête et la réinstallation des services de l’Etat et des populations dans plusieurs localités sont des acquis de la mise en œuvre du Plan.

La réalisation de contrôle et d’audits dans les ministères, les projets et programmes, la réalisation des infrastructures socio-économiques à travers les projets et programmes de stabilisation et de développement des économies locales font également partie des acquis cité dans le rapport du Conseil des ministres.

Ce bilan 2023 a identifié des insuffisances dans la mise en œuvre du
PA-SD. Il s’agit entre autres de la lenteur du rythme de mise en œuvre de certaines réformes dans le processus de refondation et de gouvernance, dans l’exécution de certaines infrastructures socioéconomiques et dans la sécurisation des investissements.

Le Plan d’Action pour la stabilisation et le développement du Burkina Faso est axé sur la sécurisation de l’ensemble du territoire national, la réponse urgente, efficace et efficiente à la crise humanitaire, la promotion de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, l’engagement des réformes politiques, administratives et institutionnelles en vue de renforcer la culture démocratique et consolider l’Etat de droit et enfin sur la réconciliation nationale et la cohésion sociale et l’organisation d’élections libres, transparentes et inclusives.

Agence d’Information du Burkina

Baccalauréat : L’ONI vole au secours des candidats ayant perdu leurs cartes d’identité

Baccalauréat : L’ONI vole au secours des candidats ayant perdu leurs cartes d’identité

Ouagadougou, 12 juin 2024(AIB)-L’Office nationale d’identification (ONI) compte délivrer rapidement des CNIB aux candidats au baccalauréat qui les ont égarées pour leur permettre de pouvoir composer, a appris l’AIB.

« L’ONI offre l’opportunité à nos candidats au BAC qui ont égaré leurs CNIB, à pouvoir les refaire sur place afin de leur permettre de composer en toute sérénité », a écrit dans la nuit de mercredi à jeudi, ministère de l’Education nationale sur sa page Facebook.

« Pour cela, ils doivent se présenter à l’antenne régionale avec un extrait de naissance et un document attestant qu’ils sont candidats au BAC 2024 ( certificat de scolarité, CIS…) », ajoute la même source.

L’examen du baccalauréat débute le 18 juin 2024 au Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina

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