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Balé/Rentrée scolaire : Les autorités encouragent le reboisement des domaines scolaires et interdisent les smartes phones dans les établissements

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Balé/Rentrée scolaire : Les autorités encouragent le reboisement des domaines scolaires et interdisent les smartes phones dans les établissements

Boromo, (AIB) – Le préfet président de la délégation spéciale de Boromo, Esaï wenonga Bamogo, a procédé au lancement officiel de la rentrée pédagogique 20245-2025 dans la province des Balé à l’école primaire A et au lycée municipal de Boromo dans la matinée du mardi 1er octobre 2024, en présence des acteurs de l’éducation et une délégation des autorités administratives.

Les élèves et les enseignants des écoles et établissements de la province des Balé ont repris le chemin des classes le mardi 1er octobre. Selon les autorités éducatives, toutes les écoles sont ouvertes et la rentrée scolaire depuis le 15 septembre est effective contrairement aux deux années précédentes.

Les autorités administratives ont été témoins de la reprise effective à l’école A et au lycée municipal où le préfet de Boromo a procédé au lancement des activités pédagogiques. L’exercice a consisté à un appel des nouveaux inscrits en classe préparatoire première année (CP1) et en classe de 6è suivi du message du haut-commissaire de la province, Ibrahim Boly, à l’endroit des élèves et des enseignants. Sur les visages se lisaient la joie des retrouvailles entre enseignants et élèves.

Selon le préfet de Boromo, la présence des autorités aux cotés des élèves et leurs enseignants est de leur passer des messages de félicitations pour ce qui a été déjà fait et des messages d’encouragements pour ce qui est à venir. Pour l’autorité, ce fut l’occasion d’interpeler les élèves pour qu’ils puissent avoir de bonne conduite, s’aligner derrière les orientations données par le ministère de l’éducation pour que cette année se déroule dans la paix et qu’à terme les résultats soient satisfaisants pour tous.

Aussi, il a invité chaque école à planter des arbres conformément à la volonté du gouverneur de la région.

« Au vu du nombre de classes que nous avons dans notre province si chaque classe plante au moins un arbre. C’est un pas en avant, ça permet la reforestation et d’améliorer le cadre de vie de l’école », a-t-il dit.

Le préfet a également insisté sur le communiqué du gouverneur de la région informant les acteurs du système éducatif de l’interdiction de l’usage des smartphones dans les établissements.

« Les réseaux sociaux et les nouvelles technologies impactent beaucoup le comportement de nos élèves. Nous avons rappelé ces directives pour que les élèves puissent se conformer pour éviter des incompréhensions avec les professeurs », sait –il voulu plus précis.

De l’avis du directeur provincial de l’éducation préscolaire et primaire Mady Sawadogo, pour cette rentrée il y a eu des extensions dans plusieurs écoles de la commune de Boromo pour absorber le flux des effectifs au regard des personnes déplacés internes. Ces extensions ont été possibles grâce à l’accompagnement de l’assemblée législative de transition (ALT) et le projet d’urgence de développement territorial et de résilience (PUDTR). En plus, M. Sawadogo a souhaité que le dynamisme insufflé l’année dernière soit entretenu par les enseignants. En ouvre, le directeur a invité ses collègues à actionner au-delà de l’enseignement sur le levier de l’éducation afin de permettre aux enfants de grandir dans une société plus vertueuse, épris de citoyenneté.

Quant à ta son collègue du post primaire et secondaire, Lombo Gnoumou, il s’est réjoui du fait que l’ensemble des établissements ont débuté la rentrée sur leur site habituel contraire à l’année dernière du fait de l’insécurité.

M. Gnoumou a dit également avoir une pensée pieuse pour ses collègues dans les zones a fort défis sécuritaires. Il a lancé un message d’encouragement aux enseignants et souhaité une année scolaire dans la sécurité pour mener à bien les activités pédagogiques partout dans toutes les régions.

Agence d’Information du Burkina
OM/dnk/ata

Balé : Le conseil provincial de la jeunesse favorable à la mise en place d’un comité de donneur de sang

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Balé : Le conseil provincial de la jeunesse favorable à la mise en place d’un comité de donneur de sang

Boromo, (AIB) – Le conseil provincial de la jeunesse des Balé a organisé une séance de don de sang, le samedi 28 septembre 2024 à la maison de la femme de Boromo. L’initiative à long terme est de mettre en place un comité local de donneurs bénévoles à Boromo afin de ravitailler permanemment le centre régional de transfusion de Dédougou.

Une journée de don de sang a permis de collecter des poches afin de venir au secours des malades et des blessés des forces de défense et de sécurité. Les donneurs en majorité des jeunes ont ainsi répondu à l’appel du conseil provincial de la jeune.
Selon le président du conseil provincial de la jeunesse, Zakaria Guira, l’idee est de jeter les bases d’un comité des donneurs, créer des habitudes favorables aux dons au sein de la population.

Les autorités locales ont félicité les jeunes pour cette initiative qui va permettre d’avoir du sang en permanence dans les banques de sang pour sauver des vies.
Ce fut l’occasion d’appeler les populations à participer au don de sang. Les autorités ont également donné l’exemple en donnant leur sang, séance tenante.

La journée de collecte s’est bien déroulée selon les organisateurs mêmes si la quantité de poches escomptée n’a pas été atteinte. Le conseil provincial de la jeunesse des Balé compte organiser des séances de sensibilisations et des collectes régulière à travers les dix communes de la province afin de créer les habitudes au sein de la population.

La province des Balé enregistre régulièrement des accidents de la circulation qui font de nombreux blessés avec des besoin urgent en sang. La disponibilité de sang va sans doute aider la prise en charge des blessés.

Agence d’Information du Burkina
OM /dnk/ata

Burkina : Les journaux du jour font échos de la rentrée scolaire et de la rentrée judiciaire

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Burkina : Les journaux du jour font échos de la rentrée scolaire et de la rentrée judiciaire

Ouagadougou, 02 oct. 2024 (AIB)-Les parutions de ce mercredi évoquent largement la rentrée judiciaire 2024-2025 et  la reprise de classes sur tout l’étendue du territoire national.

Le quotidien d’Etat Sidwaya titre à sa Une « Rentrée judicaire 2024-2025 : Assurer un meilleur contrôle juridictionnel de l’activité administrative ».

Selon lui, les cours et tribunaux du Burkina Faso ont effectué leur rentrée au cours d’une audience solennelle hier mardi sur le thème : « Le contrôle juridictionnel de l’activité administrative ».

Le doyen des quotidiens privés burkinabè, L’Observateur Paalga soutient que le thème de la rentrée judiciaire rappelle les uns et les autres que l’administration constitue le moyen par lequel l’Etat agit.

Elle a en charge la gestion de l’intérêt général au quotidien, précise l’Obs.

Le journal privé, Le Pays  quant à lui, poursuivit qu’après deux mois loin de prétoires, les magistrats regagnent les juridictions avec la volonté de recadrer l’action administrative pour une meilleure compréhension de l’action judiciaire entre l’administration et les administrés.

Dans un autre registre, le quotidien d’Etat Sidwaya, mentionne à sa première page : « Rentrée scolaire 2024-2025 : Le président Ibrahim Traoré encourage tous les acteurs ».

Selon le confrère, à l’occasion de la rentrée scolaire 2024-2025, entamé hier mardi 1er octobre, le président du Faso a adressé un message d’encouragement aux acteurs éducatifs et aux élèves.

L’Observateur Paalga note que le président Traoré a exprimé une pensée particulière aux élèves déplacés internes, dans son message.

Le journal privé Le Pays  fait remarquer que la fédération des syndicats nationaux des travailleurs de l’éducation et de la recherche (F-SYNTER) a interpellé le gouvernement à prendre la mesure conséquente pour une prise en charge efficiente des élèves déplacés.

Agence d’information du Burkina

ZO/no/ata

 

 

Balé : Le village de Ouroubonon reconnaissant aux enseignants et meilleurs élèves

Education-Excellence- Récompense

Balé : Le village de Ouroubonon reconnaissant aux enseignants et meilleurs élèves

Le village de Ouroubonon dans la commune de Boromo a organisé une journée d’excellence, le samedi 28 septembre 2024. La cérémonie a permis aux parents d’élèves de traduire des remerciements aux enseignants des écoles primaires, du collège d’enseignement général et de récompenser les meilleurs élèves des classes préparatoires à la classe de 3e.

Les enseignants et les élèves du village de Ouroubonon dans la commune de Boromo ont reçu les félicitations et encouragements de la population locale et des autorités éducatives le 28 septembre au cours de la journée d’excellence organisée par les fils et filles du village.

A cet effet, 48 élèves classés 3è à 1er des classes de l’école primaires A et B et du collège ont reçu des kits scolaires plus des vélos pour certains et la prise en charge d’une partie des frais de scolarité.

Les quatre enseignants de la classe du CM2 de l’année dernière ont reçu chacun une tablette.

Le collège du village a reçu du matériel informatique. En plus, des écoles du village, les autorités éducatives de la commune et de la province et des personnalités ont été distinguée par des attestations de reconnaissance pour leurs contributions aux résultats scolaires et la tenue de la cérémonie de l’excellence.

Selon les directeurs des écoles, les résultats à l’examen du certificat d’étude primaire (CEP) ont été de 100% pour les deux écoles primaires et un 62,48% pour le Brevet d’étude du premier cycle (BEPC). Le taux d’admission en 6e est également assez bien. Ses résultats scolaires sont parmi les meilleurs de la commune et de la province.

Aussi, le meilleur élève au CEP est de l’école Ouroubonon A. Ces performances scolaires font la fierté des fils et filles du village et la communauté éducative.

Les intervenants à la cérémonie ont tous salué et félicité les enseignants pour les sacrifices qui ont abouti à ces bons résultats classant le village parmi les meilleurs de la circonscription d’éducation de base de la commune de Boromo. Selon les anciens du village, de tels résultats dateraient de l’année scolaire1992 et 2006.

Pour le chef du village, Konabé Yao, ce sont des mots de reconnaissances et de gratitudes à l’endroit des enseignants qu’il a formulé et des remerciements pour tous ceux qui ont contribué pour la tenue de la cérémonie.

Aussi, il a souhaité que la journée se pérennise. Dans ce sens, le parrain de la cérémonie, Dissa Mien fils du village a dit être disponible pour accompagner l’initiative afin de promouvoir l’excellence dans les écoles du village.
Selon le représentant des fils et filles du village, Adama Yao, l’organisation de la journée d’excellence a été décidée à la suite d’une étude diagnostique sur les causes des déperditions et l’échec en milieu scolaire dans le village de Ouroubonon en début d’année scolaire 2023-2024.
Comme solution, la commission a proposé la promotion de l’excellence afin de motiver aussi bien les élèves que les enseignants et parents d’élevés.
La célébration de l’excellence est devenue une réalité grâce à la contribution des fils et filles du village et de bonnes volontés.

Le directeur provincial en charge de l’éducation nationale, Mady Sawadogo, a félicité cet engagement de la communauté locale. Au personnel enseignant, M. Sawadogo, a déclaré que faire du mal à la génération présente c’est refuser de leur apporter l’éducation nécessaire dont elle a besoin au quotidien pour réussir.

« En tant que acteurs de première ligne, nous avons en commun le devoir de bâtir les meilleurs chantiers pour que cette génération que nous voyons ici connaisse une réussite à la hauteur de l’entente des parents, de nous-même et de toute la communauté », a-t-il dit.
Il a en plus appelé ses collègues enseignants à faire avec beaucoup de discernement, d’engament et d’abnégation, le don de soi, sans considération tout acte qu’il viendraient à poser dans l’exercice de leur fonction car ce qu’ils posent comme acte il n’y aucune récompense pour cela sur terre.

Le représentant des enseignants a aussi remercié les parents d’élèves pour qu’ils ont porté à leur travail. Il a aussi affirmé l’engagement des enseignants à travailler pour des résultats satisfaisants.

Agence d’Information du Burkina
OM/dnk/ata

Ioba : Fin des vacances scolaires et reprise des cours

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Ioba : Fin des vacances scolaires et reprise des cours

Dano, (AIB) – Les élèves du préscolaire, du primaire et du secondaire de la province du Ioba ont repris le chemin de l’école, mardi 1er octobre 2024 à l’occasion de la rentrée scolaire 2024-2025, a constaté l’AIB.

L’animation dans les établissements scolaires a repris avec la rentrée des classes au Ioba. Sur toute l’étendue du territoire provincial, les enseignants ont accueilli les élèves. Certains nouveaux élèves sont accompagnés par les parents et les anciens se sont présentés seuls. Bien habillés et munis de leur sac d’écoliers, ils ont répondu à l’appel de ce premier jour de classe.

Au lycée de la Jeunesse de Dano, les éducateurs ont procédé à l’appel des élèves de la 6e à la 3e. Pendant ce temps, des demandeurs de place étaient alignés devant le bureau de la directrice.

Dans ce rang, se trouvaient également des parents venus régler les frais de scolarité.
Au centre d’éveil et d’éducation préscolaire (CEEP) communale Dreyer de Dano, les cours ont effectivement commencé. Bonaventure Poda qui a accompagné son enfant de la classe de la grande section « C » est satisfait de la présence du personnel enseignant et de l’accueil des élèves.

Selon le directeur du CEEP communal Dreyer de Dano, Yacouba Ouédraogo, tout se passe bien à cette rentrée. Les élèves sont reçus par les éducateurs pour la mise en confiance, a-t-il poursuivi.

Il a ajouté avoir besoin de personnel enseignant car leur nombre équivaut juste au nombre de classes.

Dans les écoles primaires, l’installation des élèves dans les classes après l’appel est effective. À l’école Dakolé A, les maîtresses du cours préparatoire 1e année (CP1), Mikpière Dabiré et Marie Florence Méda affirment que les cours vont commencer dès demain mercredi. Tous les inscrits ne sont pas venus aujourd’hui, ont-elles précisé. Elles ont signalé un manque de chaises dans les classes. A ce jour, elles ont un effectif de 56 élèves mais pensent atteindre 80 comme les années précédentes.

À l’occasion de cette rentrée des classes, le directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) du Ioba, Adama Néya, et le chef de la circonscription d’éducation de base (CCEB ) de Dano, Tibouo-ion Romaric Somé, ont effectué une sortie de supervision dans des écoles telles que Mèbar A et B, Dakolé A et B et les complexes scolaires Dreyer. Le CCEB de Dano a souhaité une bonne rentrée pédagogique aux enseignants de ces écoles.

Il les a exhortés à travailler en équipe pour relever les défis au cours de cette année 2024-2025. M. Somé a félicité les écoles qui ont réalisé de bons résultats au CEP de la session dernière. Il les a invités à redoubler d’efforts pour cette année 2024-2025.
Pour lui, les difficultés sont déjà connues et elles seront résolues au fur et à mesure. Quant au DPEPPNF du Ioba, il a salué la présence effective du personnel en classe. « Nous sommes là pour vous encourager et vous féliciter pour les résultats engrangés l’an passé. C’est grâce aux efforts des uns et des autres. Je voudrais que vous restiez dans la même dynamique », a-t-il dit.

Sans la collaboration et la solidarité, il est difficile d’avoir du succès, a indiqué M. Néya.
« Ne soyez pas seulement des collègues mais formez une équipe où chacun doit jouer sa partition afin de réaliser de meilleurs résultats », a-t-il conseillé.
Les directeurs des écoles visitées ont rassuré de la mise en œuvre de toutes les consignes liées au démarrage effectif des cours.

Agence d’information du Burkina
SZ/dnk/ata

Cascades/rentrée pédagogique : le gouverneur encourage les enseignants et les élèves. 

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Cascades/rentrée pédagogique : le gouverneur encourage les enseignants et les élèves.

 

Banfora, (AIB) – Le gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié, a encouragé les élevés et les enseignants en donnant le top de départ de la rentrée pédagogique, le mardi 1e octobre 2024.

Le gouverneur de la région des Cascades, Florent Badabouè Bazié, accompagné des autorités administratives, du directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle des Cascades, du directeur régional de l’enseignement post-primaire et secondaire des Cascades et leur directeurs provinciaux et des chefs de circonscriptions d’éducation de Base de Banfora, a fait le tour du CEG et de l’école primaire de Tatana au secteur 15 de Banfora le mardi 1er octobre, jour de la rentrée scolaire 2024-2025 pour encourager les enseignants et les élèves.

« J’ai trouvé des élèves et des enseignants tous mobilisés et très enthousiastes. Je les ai encouragés et demandé aux élevés d’éviter l’indiscipline, d’être studieux et de respecter les enseignants, d’être assidu et de bien apprendre », a expliqué le gouverneur de la région des Cascades.

« Quant aux enseignants, j’ai transmis tous les encouragements des plus hautes autorités de notre pays », a-t-il ajouté.

M. Bazié a saisi l’occasion pour inviter les enseignants à se mettre à la tâche pour bien former et éduquer « nos enfants et que les résultats de cette année soient meilleurs que ceux des années précédant».

Agence d’information du Burkina

JPY/dnk/ata

Burkina : Plus de 26 000 élèves et écoliers ont repris le chemin des classes dans le Séno

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Burkina : Plus de 26 000 élèves et écoliers ont repris le chemin des classes dans le Séno

Séno, 1er oct. 2024 (AIB)-Plus de 20 000 écoliers et 6 000 élèves du post primaire et du secondaire ont repris le chemin des classes ce mardi 1er octobre 2024, dans la province du Séno, a constaté un journaliste de l’AIB sur place.

Selon le Directeur régional de l’enseignement préscolaire, primaire et de l’éducation non formelle (DREPPNF) du Sahel El hadj Boubacar, présent à la cérémonie de lancement des activités pédagogiques 2024-2025, tenue à l’école Petit Paris A de Dori, il y a de réels motifs de satisfaction de voir la rentrée scolaire 2024-2025 s’effectuer dans la région au même moment que les autres parties du Burkina Faso.

Pour lui, le défi pour cette année scolaire est d’assurer la continuité éducative et la qualité de l’éducation, de réaliser de meilleurs résultats scolaires dans la région du Sahel.

Pour ce faire, M. Boubacar a appelé les enseignants, les parents d’élèves, les élèves et les partenaires de l’éducation à la résilience et à croire que l’éducation est aussi et encore possible dans la région du Sahel en dépit de l’insécurité.

A écouter le directeur provincial de l’enseignement préscolaire primaire et de l’éducation non formelle (DREPPNF) du Séno, Hamadou Boureima Dicko, la difficulté majeure de cette rentrée scolaire demeure l’insécurité. Il a appelé l’ensemble des acteurs et des partenaires de l’éducation à la concertation pour l’atteinte des objectifs éducatifs dans la province du Séno.

L’objectif pour cette année scolaire pour l’inspecteur chef de la circonscription d’éducation de base de Dori 2, Ilyassoum Maiga, est l’obtention de meilleurs résultats scolaires. C’est pourquoi M. Maiga a félicité les enseignants pour les acquis scolaires de l’année écoulée, et les a encouragés à redoubler d’ardeur car ils sont les portes flambeaux de l’éducation.

Dicko Hamidou, président de l’association des parents d’élèves de l’école Dori A, a promis qu’au cours de cette année scolaire, sa faîtière jouera pleinement sa partition en servant de courroie de transmission entre l’école et la communauté.

Déjà à l’ouvrage dans la classe de CM2, de l’école Petit Paris A, les élèves par l’entremise de Mademoiselle Nouria Sawadogo, se sont dits très enthousiastes et ont promis de s’investir au cours de l’année scolaire pour faire un taux de 100% au CEP.

La rentrée pédagogique 2024-2025 est aussi effective au post primaire et au secondaire selon le premier responsable, M. Damien Tiendrébéogo, qui a fait le tour des établissements de la ville de Dori.

Selon lui, le personnel et les élèves sont présents et les instructions sont en cours d’exécution. A écouter M.  Tiendrébéogo, le défi majeur de cette année scolaire est l’organisation d’examens blancs provinciaux au deuxième trimestre de l’année.

Le directeur provincial de l’enseignement post primaire et secondaire du Séno a exhorté les enseignants à plus d’abnégation et de résilience et a sollicité l’accompagnement des parents d’élèves pour la réussite de l’œuvre éducative.

Le proviseur du lycée provincial de Dori, Djibril Tiemtoré a affirmé que la rentrée scolaire est effective dans son établissement. A écouter ce chef d’établissement, son souci en cette rentrée scolaire est l’insuffisance du personnel due aux affectations.

  1. Tiemtoré nous a confié que pour cette année, lui et son équipe comptent faire de bons résultats scolaires.
    Agence d’information du Burkina
    AMM/AS/ATA

Les trois ministres de la justice de l’AES présents à la rentrée judiciaire 2024 du Burkina Faso

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Les trois ministres de la justice de l’AES présents à la rentrée judiciaire 2024 du Burkina Faso

Ouagadougou, 02 oct. 2024 (AIB) – Les trois ministres de la confédération des Etats du Sahel ont pris part mardi à Ouagadougou à la rentrée judiciaire 2024-2025 au Burkina Faso, placée sous le thème «le contrôle juridictionnelle de l’activité administrative» et sous la présidence du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré.

Les ministres en charge de la justice des Etats du Sahel notamment Mamadou Kassogué du Mali et Agio Daouda du Niger, invités d’honneur et leur collègue hôte du Burkina, Rodrigue Bayala du Burkina Faso, ont pris part à l’audience solennelle marquant la rentrée judiciaire 2024-2025 au Burkina Faso en présence du président de l’Assemblée nationale, Ousmane Bougouma, représentant le chef de l’Etat.
Le président du Conseil constitutionnel et ancien bâtonnier, Barthelemy Kéré, a également assisté à la cérémonie.
Pour la présidente de la chambre du contentieux, Elisabeth Bado/Somé, cette rencontre est une occasion pour les acteurs du monde de la justice d’harmoniser leur compréhension sur les implications du contrôle juridictionnel de l’action administrative.

Elle a par ailleurs invité l’ensemble des acteurs à redoubler d’efforts dans la lutte contre les maux tels que la lenteur et la corruption, et dont la persistance sont de nature à détruire la confiance entre la justice et les justiciables.
«Nous devons rassurer les citoyens que leur cause sera entendue en toute impartialité et selon la loi», a déclaré Mme Bado/Somé.

Elle a également rendu hommage aux Forces de défense et de sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) qui permettent aux acteurs judiciaires de rendre la justice dans la sérénité.

Le conseiller au Conseil d’Etat, Wahoudou Sanga, a indiqué pour sa part que le juge doit moduler le contrôle juridictionnel afin de préserver les bases d’appréciation des autorités politiques, dans un contexte de guerre.

De l’avis de M. Sanga, le thème «le contrôle juridictionnelle de l’activité administrative» donne l’occasion de montrer l’importance du contrôle des actes administratifs dans une dynamique de construction d’une société de paix et faire un plaidoyer pour une collaboration entre l’administration et la justice.

Il a estimé que cette collaboration est nécessaire en ce sens qu’elle permettra à l’appareil judiciaire de soutenir efficacement, dans les limites de la loi, les actions de l’administration dans la lutte pour le retour de la paix.

Au cours de l’année judicaire judiciaire écoulée, plus de 1100 décisions ont été rendues parles l’ensemble des juridictions administratives du pays.
Agence d’Information du Burkina
YOS/as/ck

Kossi : L’effectivité de la rentrée scolaire 2024-2025 constatée à Nouna

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Kossi : L’effectivité de la rentrée scolaire 2024-2025 constatée à Nouna

Nouna, (AIB)-L’effectivité de la rentrée scolaire 2024-2025 a été constaté, le samedi 1er octobre 2024 au collège Charles Lwanga de Nouna, en présence des parents d’élèves.

Le ditanyè, repris en chœur par les élèves, parents d’élèves et le corps professoral, a accompagné la montée des couleurs, le samedi 1er octobre 2024 lors de la rentrée scolaire 2024-2025.

Le frère directeur du collège Charles Lwanga, Esaïe Karim Ky, a formulé des vœux de paix pour les familles respectives, la ville de Nouna, la région de la Boucle du Mouhoun et la nation entière.

Il n’a pas non plus oublié les personnes qui souffrent et une pensée pieuse pour ceux qui ne sont plus de ce monde.

Pour les élèves, M. Ky, a demandé à Dieu la force pour accomplir la mission assignée par les parents.

Le président de l’Association des parents d’élèves, Ousmane Kagambega, a au nom des parents d’élèves, demandé de la sagesse aux élèves, car a-t-il dit, « L’année scolaire n’est pas un fleuve tranquille ».

Le représentant de l’amicale des anciens élèves « Amicale CCL Badenya », Djibrilirou Fofana, a souhaité une bonne rentrée scolaire à tous.

Le frère directeur, a annoncé les bonnes conduites pour la bonne marche de l’établissement.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Le président Traoré réaffirme son engagement à refonder la nation, à raffermir la cohésion sociale et à raviver la flamme patriotique

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Le président Traoré réaffirme son engagement à refonder la nation, à raffermir la cohésion sociale et à raviver la flamme patriotique

Ouagadougou, 02 oct. 2024 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a réaffirmé mercredi son «engagement sans cesse renouvelé à refonder la Nation burkinabè, à raffermir la cohésion sociale et à raviver la flamme patriotique» à l’occasion des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne.

«Je saisis cette opportunité pour réaffirmer ma détermination, celle du Gouvernement, des forces de défense et de sécurité ainsi que des volontaires pour la défense de la Patrie à libérer totalement le territoire du Burkina Faso des affres du terrorisme», a indiqué le président dans un message parvenu à l’AIB.
Voici l’intégralité du message du président du Faso à l’occasion des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne
«Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne, édition II : message de S.E Le capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, Chef de l’Etat

Chers compatriotes,
A l’occasion de la deuxième édition des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne, ce jour historique du 02 octobre, je voudrais reconnaître les sacrifices consentis par chaque Burkinabè.

Je rappelle mon engagement sans cesse renouvelé à refonder la Nation burkinabè, à raffermir la cohésion sociale et à raviver la flamme patriotique. Je saisis cette opportunité pour réaffirmer ma détermination, celle du Gouvernement, des forces de défense et de sécurité ainsi que des volontaires pour la défense de la Patrie à libérer totalement le territoire du Burkina Faso des affres du terrorisme.

Le 02 octobre, faut-il le rappeler, est la date anniversaire du Discours d’Orientation Politique, discours par lequel, le Capitaine Thomas Isidore Noël Sankara, a décliné, devant les masses populaires, sa vision d’une Nation libre et prospère. C’est dire donc que le choix de cette date n’est pas fortuit . Elle nous rappelle non seulement le sens de l’engagement du Père de la Révolution pour le triomphe de la liberté, de la souveraineté et de l’indépendance réelle de notre chère patrie, mais aussi, sa volonté de faire des Burkinabè un peuple fier de son histoire et de sa culture. C’est pourquoi, j’invite chaque patriote à célébrer cette date avec fierté.

Chers compatriotes,
Les ennemis de la patrie, ce sont les traîtres et leurs complices. Cette deuxième phase des Journées nationales d’engagement patriotique est placée sous le thème : « Pour une nation forte et souveraine, ne trahissons pas notre patrie !».

Comment reconnait-on les traîtres de la patrie ? Ils sont prêts à vendre leur pays. Ils collaborent avec l’ennemi en lui fournissant des informations sensibles et confidentielles pour détruire le pays et pour des intérêts égoïstes.

Ils aident, en temps de guerre, l’ennemi dans des actions d’espionnage, ou par la fourniture de logistique. Ils sont co-auteurs de la mort de leurs frères.

Les traîtres, ce sont aussi ceux qui sont en intelligence avec une puissance étrangère pour saboter les infrastructures, les capacités militaires ou même économiques de notre pays. Les traîtres, c’est aussi ceux qui désertent leur fonction au moment où le pays a le plus besoin d’eux. Ne soyez pas des traîtres.

Chaque Burkinabè doit être vigilant et s’engager à bannir la traîtrise dans ses actes quotidiens. Pour notre Nation, désormais la trahison sera l’acte criminel le plus grave comme cela se passe dans les Etats qui veulent réellement assumer leur souveraineté.

Les évènements douloureux que nous avons vécus ces derniers mois dans notre pays portent la marque des traitres. Cela nous rappelle les évènements dramatiques du 15 octobre 1987 qui ont causé la mort du Président Thomas Isidore Noël Sankara et interrompu l’élan révolutionnaire de 1983. C’est une illustration parfaite de la trahison. Pour construire une Nation burkinabè forte et souveraine, il faut toujours avoir l’esprit de patriotisme et mobiliser les masses populaires à chaque instant.

Chers combattants, vous qui êtes sur le terrain, je vous demande de ne jamais faiblir et de ne jamais vous laisser tromper par l’ennemi. Contre vents et marrées, nous continuerons le combat contre l’impérialisme et ses valets locaux et tous les ennemis qui se dresseraient contre le Burkina Faso.

Chers compatriotes,
J’invite chaque Burkinabè, de l’intérieur comme de l’extérieur, à exprimer véritablement son appartenance à la mère patrie par des actions concrètes.
Ceux qui aiment leur cadre de vie le gardent toujours propre, et ceux qui aiment le Burkina Faso doivent le garder propre. Nos structures de soins, nos habitations, nos quartiers et villages, nos communes, nos villes, nos lieux de travail et de culte, nos cimetières, maintenons- les toujours propres. C’est cela aussi le patriotisme, n’allez pas plus loin.
Je lance un appel solennel à l’ensemble des autorités coutumières et religieuses à participer pleinement à ces journées à travers des enseignements et des messages rappelant, lors des différents cultes, le sens et la nécessité pour chaque citoyen de cultiver les valeurs authentiques de notre patrie.
En ce jour historique, j’ai une pensée envers les victimes et les blessés de cette guerre qui nous a été injustement imposée. Je renouvelle ma reconnaissance à toutes les forces combattantes déployées sur le terrain du combat pour la reconquête de la dignité et de la souveraineté de notre cher Faso.
Sur ce, je lance officiellement la deuxième édition des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne.
Vive le Burkina Faso souverain !
Vive le patriotisme !
La patrie où la mort, nous vaincrons !»

Médias: atelier de mutualisation des expériences en monitoring des médias et des réseaux sociaux au Burkina Faso

Médias: atelier de mutualisation des expériences en monitoring des médias et des réseaux sociaux au Burkina Faso

Le Ministre d’État, Ministre de la Communication, de la Culture,des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo a présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier de mutualisation des expériences en monitoring des médias et des réseaux sociaux ce mardi 1er octobre 2024 à Ouagadougou.

Initié et mis en œuvre par Educommunik dans le cadre du projet « Éducation aux médias et à l’information pour un engagement public, actif des jeunes dans la gouvernance démocratique au Burkina Faso », cet atelier de renforcement de capacités qui se tient du 1er au 04 octobre à Ouagadougou s’inscrit dans la vision du Gouvernement qui a fait de la régulation des réseaux sociaux numériques une priorité.
La tenue de cet atelier qui regroupe une trentaine d’acteurs qui interviennent dans le domaine du monitoring des médias et des réseaux sociaux, vient à point nommé selon le Ministre d’État Jean Emmanuel Ouédraogo, surtout dans un contexte où « des citoyens burkinabè se donnent le plaisir d’utiliser les réseaux sociaux numériques comme vecteurs de désinformation, de discours de haine, de théories du complot et d’autres contenus potentiellement préjudiciables à l’unité et à la cohésion nationales ».

À la suite du Chef de Département en charge de la Communication, le Directeur de Cabinet du Président du Conseil Supérieur de la Communication (CSC), Fousséni Kindo, trouve que « cette situation constituait une préoccupation pour les autorités qui ont instruit le CSC à suivre les réseaux sociaux afin de mieux les encadrer ». Pour ce faire, il fonde l’espoir qu’à l’issue de cet atelier de vulgarisation des expériences en monitoring, l’on puisse disposer d’agrégats qui contribueront progressivement à ce que les jeunes de nos villes et campagnes aient accès à une saine information, s’informent à la bonne source, diversifient leurs sources d’information, se méfient de la rumeur et évitent d’être des colporteurs.

Quant au Secrétaire exécutif de Educommunik, Cyril Guel, lui, souhaite que « les autorités administratives enseignent encore les normes du domaine pour qu’ensemble, « gouvernants et gouvernés, main dans la main, nous fassions preuve de compréhension mutuelle pour que notre action commune, nos efforts communs, ne soient pas vains dans la construction et la préservation de notre pays des dangers qui le guettent ».

DCRP/MCCAT

Sissili : Les acteurs du système éducatif mobilisés pour  la reprise de la rentrée scolaire 2024-2025

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Sissili : Les acteurs du système éducatif mobilisés pour  la reprise de la rentrée scolaire 2024-2025

Léo 1er  oct. 2024 (AIB)- La rentrée scolaire 2024- 2025 a été effective dans tous les établissements de la commune de Léo, dans la province de la Sissili. Pour l’occasion, l’ensemble des acteurs du système éducatif  se  sont mobilisés pour réussir la rentrée scolaire 2024-2025.

C’est une ambiance des grands jours en cette matinée du 1er  octobre 2024 marquant la reprise des classes dans la commune de Léo,  province de la Sissili.

Tôt le matin, les enfants accompagnés par leurs parents ou seuls ont pris d’assaut la cours de l’école Kutian de Léo, qui à la recherche de leur classe, qui pour le paiement de la scolarité ou pour l’inscription de leur progénitures.

Dans la cours de l’école, la joie de retrouver ses anciens camarades ou de reprendre les cours se lisait sur certains visages tandis  que la tristesse et le dépaysement chez les nouveaux qui se trouvent dans un univers carrément différents des siens.

Pour la directrice de l’école, Chantal  Ily, c’est un satisfecit total en ce sens qu’ils ont reçu des donateurs deux bâtiments flambants neufs de trois classes chacun entièrement équipées en tables bancs  en bureaux et armoire et deux blocs de latrines.

Selon Mme Ily, ces nouvelles infrastructures leur permettront de scinder l’école Kutian en deux écoles A et B.

« C’est le lieu pour moi de traduire toute la reconnaissance et les remerciements de tous les acteurs du système éducatif à l’endroit des donateurs particulièrement à l’Assemblée législative de  transition (ALT)  pour leurs contributions à l’amélioration de la qualité de l’éducation » a- t- elle relevé

À la directrice de l’école d’ajouter «L’arbre ne doit pas cacher la forêt. Nous continuons de demander aux bonnes volontés de nous aider à achever la clôture du domaine scolaire dont les bases ont été posées par les parents d’élèves et les activités génératrices de revenus des femmes ».

Chantal Ily a indiqué que l’effectif minimum par classe est de 80 élèves et c’est pour cette raison qu’on a deux enseignants par classe.

« Les élèves PDI sont exemptés de tous frais, leur inscription est gratuite » a- t- elle rassuré.

Mme lly a enfin souhaité une très bonne année scolaire à tous  ses collèges surtout la santé, prospérité et beaucoup de succès.

L’élève en classe de CE1, Mouslim Kiemdé a exprime sa joie de reprendre le chemin de l’école.

«  Je ne veux pas rester à la maison, je viens à l’école pour apprendre mes leçons et m’amuser avec mes camarades » , a- t- il évoqué.

Agence d’information du Burkina

OAN/NO/AS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Célébration à Beijing du 75e anniversaire de la fondation de la république population de Chine

Célébration à Beijing du 75e anniversaire de la fondation de la république population de Chine

Agence d’Information du Burkina

Nahouri : Léon Koubitioula Naguiabou prend les rênes de la police municipale de Pô

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Nahouri : Léon Koubitioula Naguiabou prend les rênes de la police municipale de Pô

Pô, (AIB)-Le président de la délégation spéciale de la commune urbaine de Pô, Illassa Dianda,  a officiellement installé, ce lundi 30 septembre 2024, le directeur de la police municipale de Pô, le contrôleur de police municipale, Léon Koubikioula Naguiabou, en présence des directeurs et chefs de service de la commune de Pô et des membres de la délégation spéciale. 

Nommé le 23 septembre 2024, le contrôleur de la police municipale,  Léon Koubikioula Naguiabou, a été officiellement installé dans ses fonctions de directeur de la police municipale de Pô,  le lundi 30 septembre 2024, par le président de la délégation spéciale de la commune urbaine de Pô, Illassa Dianda.

Le représentant du personnel, le contrôleur de la police municipale, Salomon A. Ouéna  a,  au nom  du personnel de la police municipale, salué le directeur sortant pour son  sens élevé de responsabilité et de management durant les trois années passées  à la tête de la police municipale de Pô.

Il s’est engagé avec l’ensemble du personnel à garder le même dynamisme pour accompagner le nouveau directeur.

Le directeur sortant, l’officier de police, Kiswendsida Tankouliga Doamba, a indiqué que plusieurs activités ont été réalisées.

« Ces résultats engrangés sont le fruit d’un travail collectif », a souligné M.  Doamba, qui a salué l’accompagnement dont il a bénéficié auprès   de la délégation spéciale et de toutes les autres couches sociales de Pô.

Quant au nouveau directeur, le contrôleur de police municipale, Léon K.  Naguiabou, il a remercié le président de la délégation spéciale pour la confiance placée en lui.

Il a dit mesurer la lourdeur de la tâche qui l’attend mais compte  sur  le soutien des membres de la délégation spéciale et des forces de sécurité pour accomplir sa mission.

Le président de la délégation spéciale, a félicité le directeur sortant pour le travail abattu à la tête de la police municipale et sa nomination comme chef de poste du commissariat de police d’Ipélcé, dans la province du Bazéga.

Illassa Dianda, a également félicité M. Naguiabou, pour sa nomination et a dit sa disponibilité et l’ensemble du conseil de la délégation à l’accompagner dans l’exercice de ses fonctions.

Le contrôleur de la police municipale, Léon Koubitioula Naguiabou, devient ainsi le 4e directeur de la police municipale.

Il est issu de la première promotion de la police municipale de Pô.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

 

 

 

 

Le Burkina déplore le silence des autorités ivoiriennes suite à une opposition à la tenue de la Journée patriotique de ses ressortissants à Abidjan

Burkina-Côte d’Ivoire-Incompréhension

Le Burkina déplore le silence des autorités ivoiriennes suite à une opposition à la tenue de la Journée patriotique de ses ressortissants à Abidjan

Ouagadougou, 01 oct. 2024(AIB) – Les autorités burkinabè ont convoqué l’ambassade de Côte d’Ivoire à Ouagadougou pour déplorer le silence des autorités ivoiriennes après qu’une association a interdit la tenue de la journée de mobilisation patriotique des Burkinabè à Abidjan.

Le Burkina Faso a exprimé son «incompréhension» et déplorer «le silence des autorités ivoiriennes» à la chargée d’affaires de l’ambassade de Côte d’Ivoire à Ouagadougou, Justine Gosse convoquée le 30 septembre au ministère burkinabè des Affaires étrangères après l’interdiction à Abidjan de la Journée de mobilisation patriotique des ressortissants burkinabè par l’association Alliance de la Jeunesse ivoirienne.

«Cette convocation fait suite au silence observé par les autorités ivoiriennes, après la publication d’un communiqué émanant de l’Alliance de la Jeunesse ivoirienne( AJI) qui a vivement exprimé son opposition à la tenue le 28 septembre 2024, de la Journée spéciale de mobilisation patriotique annoncée par monsieur Dié Millogo, chargé d’affaires du Burkina Faso à Abidjan», rapporte le service de communication du ministère des Affaires étrangères.

Madame Gosse a exprimé sa surprise quant à la publication de ce communiqué par l’AJI et a condamné cet acte, affirmant que les autorités ivoiriennes n’étaient pas informées des tenants et aboutissants de cette situation.

«Nous sommes aussi surpris de voir le communiqué. Nous ne connaissons pas les commanditaires de cette information et nous la regrettons aussi», a-t-elle dit.
Mme Fosse a promis de se référer aux plus hautes instances de son pays pour clarifier les circonstances et éviter toute confusion future.

Les deux parties ont réitéré l’importance des liens historiques et géographiques unissant le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire, convenant de renforcer leur coopération pour éviter de telles incompréhensions à l’avenir.
OS-CK/ata
Agence d’information du Burkina

Passoré : Les autorités administratives et éducatives s’assurent de l’effectivité de la rentrée pédagogiques 2024-2025

Burkina- Passoré-Education-Rentrée

Passoré : Les autorités administratives et éducatives s’assurent de l’effectivité de la rentrée pédagogiques 2024-2025

Yako,1er octobre 2024(AIB)-Le haut-commissaire de la province du Passoré, Daouda Sangaré en compagnie des directeurs provinciaux en charge de l’éducation primaire et de l’enseignement secondaire du Passoré a effectué ce mardi 1er octobre 2024, une tournée de supervision de la rentrée pédagogique dans quelques écoles primaires, collèges et lycées de la province.

La délégation s’est rendue à l’école Yako-mixte comme site officiel de la tournée où elle a trouvé des élèves et enseignants et encadreurs déterminés à démarrer les activités pédagogiques.

Selon le haut-commissaire de la province du Passoré, Daouda Sangaré, la tournée avait principalement pour but de constater l’effectivité de la rentrée des classes dans la province et d’encourager les élèves et les enseignants à bien affronter la rentrée avec plus sérénité.

A cette occasion, le haut-commissaire a invité les élèves à être de bons apprenants et à travailler dur et sans relâche afin d’être des dignes fils du pays.

Aux enseignants et encadreurs, l’autorité les a adressés ses félicitations pour les meilleurs résultats obtenus au cours des examens scolaires de l’année 2024 et surtout pour leur résilience face aux adversités auxquelles ils ont été confrontés dans la mise en œuvre de leurs activités pédagogiques.

Dans son message, le directeur provincial en charge de l’Éducation préscolaire et primaire du Passoré, Mahamoudou Kiogo a souhaité une très bonne rentrée pédagogique aux enseignants et encadreurs et les a invités à travailler en tandem dans l’atteintes des missions qui leur sont assignées.

A la suite de la tournée du haut-commissaire, le directeur provincial en charge de l’Enseignement secondaire du Passoré, Halidou Konfé et sa délégation se sont rendus respectivement au lycée communal de Yako puis au collège d’enseignement général de Pougyango et de Dourou pour s’assurer de l’effectivité de la rentrée et encourager l’ensemble des acteurs.

Dans l’ensemble, il ressort que la rentrée pédagogique 2024-2025 est effective et se déroule bien dans les établissements du primaire et du secondaire du Passoré.

Agence d’information du Burkina

ZES/NO/AS

 

 

Burkina : Un salon panafricain veut assurer une vie inclusive et épanouie aux personnes âgées

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Burkina : Un salon panafricain veut assurer une vie inclusive et épanouie aux personnes âgées

Ouagadougou, 1er oct. 2024 (AIB)-Le Salon panafricain des personnes âgées (SPA) a ouvert mardi à Ouagadougou, les travaux de sa première édition des 72 heures, dans l’objectif d’offrir aux séniors, un cadre d’échanges et d’inspiration pour une vie inclusive et épanouie.

« Nos aînés méritent toute notre attention et notre respect, non seulement pour ce qu’ils ont fait durant leur vie active, mais aussi pour le rôle qu’ils continuent à jouer au sein de nos communautés », a affirmé la promotrice du salon, Yacine Kindo/Zétiyarga.

Selon Mme Kindo, le SPA se veut être un espace d’échange, d’apprentissage et d’inspiration pour assurer aux aînés une vie épanouie.

La promotrice de l’évènement s’exprimait mardi, à Ouagadougou au cours de la cérémonie d’ouverture de la première édition du SPA placée sous le thème « Comment préparer et mieux vivre sa retraite pour une seconde vie épanouie ».

Elle a par ailleurs appelé les séniors à participer activement aux discussions et à explorer les solutions idoines devant leur permettre de vivre de façon dignes.

« Nos aînés sont un patrimoine vivant, une source inestimable de savoirs, d’expériences et de sagesse. Trop souvent, nous oublions qu’ils ont encore beaucoup à offrir », a soutenu Mme Kindo.

De son avis, la retraite n’est pas seulement un moment de repos mais il faut savoir continuer à jouer un rôle actif dans nos communautés.

Le patron de la cérémonie par ailleurs ministre d’Etat, ministre en charge de la Fonction publique Bassolma Bazié, a pour sa part salué l’initiative de la promotrice qui valorise les personnes du troisième âge.

Le ministre Bazié a précisé que le gouvernement, sous le régime du Capitaine Ibrahim Traoré est sensible aux préoccupations des séniors qui constituent un patrimoine vivant pour le pays.

Il a également expliqué que l’Etat compte, entre autres, réduire les frais de bilans médicaux, la réduction des frais de dialyse et l’évacuation de certains dossiers des personnes âgées.

La représentante de la marraine, Kadidiatou Dembélé/Bicko a souligné que les autorités doivent mettre en place des dispositifs de protections sociales et des régimes de retraites au profit des séniors afin de leur permettre de vivre dans la sécurité et la dignité.

Mme Dembélé et chargée de mission du département en charge de l’action humanitaire a assuré qu’une retraite épanouie passe par une bonne santé. « Nous devons encourager et faciliter l’accès aux soins en particulier aux personnes âgée », a-t-elle exhorté.

Notons que le SPA 2024 sera ponctué, entre autres, par des prestations d’artistes, des conférences, des expositions de stands et des remises d’attestations de reconnaissance à la fin de l’évènement.
Agence d’information du Burkina
AB/NO/AS/ATA

 

Mouhoun/Rentrée scolaire 2024-2025 : Le gouverneur invite les élèves à se séparer des smartphones à l’école

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Mouhoun/Rentrée scolaire 2024-2025 : Le gouverneur invite les élèves à se séparer des smartphones à l’école

 Dédougou, (AIB)-Le gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga, a procédé, le mardi 1er octobre 2024 à Dédougou, au lancement officiel de la rentrée scolaire 2023-2024. Il a invité les élèves à se séparer des smartphones à l’école et en circulation qui peuvent causer des accidents graves et souvent mortels.

 Après quelques mois de vacances scolaires, les élèves ont renoué ce mardi 1er octobre 2024 avec le chemin de l’école.

Le lancement officiel de la rentrée scolaire 2024-2025 de la région de la Boucle du Mouhoun, a eu lieu au complexe scolaire Sainte Cécile de Dédougou, par le gouverneur de la région, Babo Pierre Bassinga, couplé à la montée mensuelle tournante des couleurs, en présence des autorités régionales.

Le gouverneur a rendu un vibrant hommage aux différents acteurs de l’éducation qui œuvrent au quotidien pour relever le défi de l’éducation dans la région de la Boucle du Mouhoun.

M. Bassinga, a souhaité que l’école soit le lieu où règne le respect de l’enseignant, une école où le règlement intérieur est respecté, une école dépourvue d’incivisme, de tabagisme et d’objet qui vont nuire à autrui.

Dans un langage direct avec les élèves, il les a invités à se séparer des téléphones smartphones à l’école et en circulation car sources de plusieurs accidents graves et souvent mortels.

A l’issue de la montée des couleurs, les autorités coutumières et religieuses de la ville ont d’abord prié pour la paix au Burkina Faso et ont fait des bénédictions pour une année scolaire de labeur, de paix, de cohésion et de réussite.

Au nom des directions régionales en charge de l’Education, le Directeur régional (DR) en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, Dr Denis Vimboué, a souhaité que l’année scolaire soit apaisée et studieuse afin que chacun puisse jouer pleinement sa partition pour le rayonnement de la cause de l’éducation dans un contexte marqué par la réforme curriculaire qui entre dans sa phase décisive en cette année scolaire.

« L’éducation en tant que creuset de l’avenir de notre pays le Burkina Faso, requiert de la part de tous et de chacun, une attention particulière », a-t-il-indiqué.

Pour Dr Denis Vimboué, assurer une bonne éducation aux enfants burkinabè est le souci majeur des plus hautes autorités de notre pays et des différents responsables des ministères en charge de l’éducation.

« C’est pourquoi, ils ne ménagent aucun effort pour que le système éducatif puisse permettre à chacun d’entre eux d’avoir les ressources et les compétences suffisantes et nécessaires de manière à ce que le moment venu, ils puissent créer les conditions d’un épanouissement individuel et collectif», expliqué le Dr Vimboué.

Il a souligné que la réussite de cette réforme requiert l’engagement et l’adhésion de tous.

A ses dires, la conduite des activités pédagogiques dans la région est confrontée à de nombreux défis liés à la question sécuritaire.

« Fort heureusement, on note avec beaucoup d’espoir, une nette amélioration de cette situation grâce efforts et aux sacrifices des FDS et des VDP auxquels nous rendons un vibrant hommage », a-t-il dit.

Les élèves se sont engagés à faire de l’école un lieu d’apprentissage tout en restant sages dans le respect du règlement intérieur.

De même, ils ont pris deux résolutions dont l’une est relative à l’usage des smartphones à l’école et en circulation et l’autre pour la plantation et l’entretien des arbres dans le domaine scolaire.

Un sketch a été présenté par les élèves sur les dangers des smartphones à l’école.

Pour inciter les élèves à la lecture, une présentation du recueil de nouvelles « Journal d’un vacancier » de Laurent Kilachu Bado, a été faite par le professeur de français, S. Richard A. Aziz Zongo.

La présentation avait pour objectif d’aiguiser le goût de la lecture chez les élèves et de les amener à partager le rêve de l’auteur en faisant leur son combat.

Selon l’exposant, l’œuvre embrasse un vaste ensemble de thématiques qui constituent aujourd’hui des thèmes majeurs dans un Burkina Faso et une Afrique en quête d’émancipation.

Des thèmes inhérents à l’africanité comme la solidarité et l’entraide fraternelle, le retour aux valeurs ancestrales qui s’oppose au mimétisme et à la duplicité, sont des valeurs prônées par les autorités de la Transition.

Les autorités ont mis en terre quelques arbres tout en invitant chaque classe dans les différents établissements à planter et à entretenir au moins un arbre.

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

 

Banwa/rentrée pédagogique : le DPEPPNF encourage les enseignants et les élèves

Banwa/rentrée pédagogique : le DPEPPNF encourage les enseignants et les élèves

Solenzo, 1er Oct. 2024 (AIB)-Le Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) des Banwa Pedro Blaise Coulibaly a encouragé mardi à Solenzo les élèves et leurs enseignants à l’issue du top de départ de la rentrée pédagogique, a constaté un journaliste de l’AIB sur place.  

Le directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle des Banwa Pedro Blaise Coulibaly, accompagné des Chefs de Circonscription d’éducation de Base de Solenzo 1 et Solenzo 2 ont fait le tour des écoles de la ville ce mardi 1er octobre, jour de rentrée pour, encourager les enseignants et les élèves qui ont repris le chemin des classes.

Selon M. Coulibaly cette sortie est d’avoir à peu près la situation des élèves, des enseignants présents et aussi donner des attentes afin de relever certains défis.

« Aujourd’hui c’est la fête pour nous les enseignants, pour les élèves et les parents d’élèves car le jour de la rentrée tout le monde est content. C’est une année de défi et les attentes sont nombreuses, nous devons dépasser 87% de taux de réussite et aussi arriver à former des capitaines dans la province des Banwa », a dit Pedro Blaise Coulibaly DPEPPNF des Banwa

À l’école Solenzo A la petite Boussira Zoungrana, élève de la classe de CM2, a fait une prière à la demande du DPEPPNF. « Je demande à Dieu de nous donner la santé, la paix, l’intelligence, le savoir-faire pour avoir le CEP et l’entrée en sixième », a-t-elle dit.

Le démarrage des cours est prévu pour le 3 octobre dans certaines écoles et dans les jours qui suivront les élèves de la classe de CM2 subiront un test de niveau en français et en calcul afin de mieux s’organiser pour de bons résultats en fin d’année scolaire.
Agence d’information du Burkina
SO/AS/ATA

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