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Mois du consommons local : Nous avons décidé de promouvoir ce que nos artisans mettent en oeuvre comme le Faso dan Fani (capitaine Ibrahim Traoré)

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Mois du consommons local : Nous avons décidé de promouvoir ce que nos artisans mettent en oeuvre comme le Faso dan Fani (capitaine Ibrahim Traoré)

Ouagadougou, 05 oct. 2024 (AIB)-Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a salué samedi matin à Ouagadougou, l’instauration du Mois du consommons local qui permet de promouvoir ce que nos artisans mettent en oeuvre comme le Faso dan Fani, le Koko dunda et d’autres.

« Le Mois du consommons local nous tient à cœur. Sur le plan vestimentaire, nous avons décidé de promouvoir ce que nos artisans sont en train de mettre en oeuvre comme le Faso dan Fani, le Koko dunda et d’autres. Nous avons instruit le ministre de changer les toges des enseignants qui étaient importés cherement et aujourd’hui, elles sont en Faso Dan fani. Les toges de la justice aussi ont été changés même dans l’armée. Ce sont des actes forts pour encourager ceux qui produisent localement », a affirmé ce samedi matin, le président Ibrahim Traoré en direct sur la radio nationale depuis le palais présidentiel de Koulouba.

Le chef de l’Etat répondait aux questions des Burkinabè à l’occasion de l’an II de son arrivée au pouvoir le 30 septembre 2022.

Il a souligné qu’actuellement son gouvernement est dans la dynamique de promouvoir les produits qui permettent de transformer nos matières premières.

Le capitaine Traoré a assuré avoir pris un décret pour que les importateurs privilégient les produits fabriqués sur place avant ceux de l’extérieur. « On ne peut pas dévoiler toute la stratégie à venir parce que comme je l’ai dit, ceux qui ont l’habitude d’importer, ça ne les plaît pas forcément d’appliquer ce que nous voulons », a ajouté le président du Faso.

La 5è édition du Mois du consommons local a été lancé le jeudi dernier par le président Ibrahim Traoré.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

Burkina/Santé : « On a un seul centre qui traite le cancer au Burkina Faso, le deuxième est en construction à Bobo » (capitaine Ibrahim Traoré)

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Burkina/Santé : « On a un seul centre qui traite le cancer au Burkina Faso, le deuxième est en construction à Bobo » (capitaine Ibrahim Traoré)

Ouagadougou, 05 oct. 2024 (AIB)-Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a déclaré samedi, sur les antennes de Radio Burkina, que le Burkina Faso dispose d’un seul centre qui traite le cancer mais précisé que le deuxième est en construction à Bobo-Dioulasso (deuxième ville).

L’existant est le centre de radiothérapie de Bogodogo (Ouagadougou) qui prend en charge le traitement de plusieurs cancers notamment les cancers du col de l’utérus, de la prostate, du poumon, du rectum, de l’œsophage et de l’estomac inauguré le 9 avril 2021.

Le chef de l’Etat répondait sur la radio nationale depuis le palais présidentiel de Koulouba à Ouagadougou, aux questions des Burkinabè à l’occasion de l’an II de son arrivée au pouvoir.

Il a précisé qu’actuellement l’Etat ne peut pas prendre gratuitement tous les cancers, c’est pourquoi, ils ont choisi pour l’instant la prise en charge gratuite des cancers des enfants.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

Burkina : Ce sera mentir de dire que la corruption peut finir mais nous travaillons à la diminuer (président Traoré)

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Burkina : Ce sera mentir de dire que la corruption peut finir mais nous travaillons à la diminuer (président Traoré)

Ouagadougou, 5 oct. 2024 (AIB)- Le président du Faso, le capitaine, Ibrahim Traoré a déclaré samedi, lors de son grand entretien sur les antennes de la radio nationale, que ce sera mentir de dire que la corruption peut finir mais que son gouvernement travaille à la réduire de manière drastique au Burkina Faso.

« Ce serait mentir de dire que nous pouvons finir la corruption mais nous travaillons à la diminuer », a affirmé ce samedi matin le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré répondant à la question d’un auditeur de radio Burkina.

Agence d’information du Burkina

NO/wis

Attaque de Barsalhogo : Si vous voulez redresser la barre d’un pays comme le nôtre, il faut s’attendre à des tentatives de déstabilisation (président Traoré)

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Attaque de Barsalhogo : Si vous voulez redresser la barre d’un pays comme le nôtre, il faut s’attendre à des tentatives de déstabilisation (président Traoré)

Ouagadougou, 5 oct. 2024 (AIB)-Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a indiqué samedi sur la radio nationale que si l’on veut redresser la barre d’un pays comme le nôtre, il faut s’attendre à des tentatives de déstabilisation comme l’attaque de Barsalhogo.

« Si vous voulez redresser la barre d’un pays comme le nôtre, forcement vous êtes obligez de sévir, en sévissant pour redresser, vous vous créez des ennemis internes et externes. Il faut s’attendre à ces situations de déstabilisation, d’assassinat et autres parce que nous avons touché aux intérêts de beaucoup de personnes », a affirmé ce samedi matin le président Ibrahim Traoré sur la radio nationale.

Le chef de l’Etat répondait en direct aux questions des Burkinabè lors d’un grand oral depuis la présidence de Koulouba à Ouagadougou.

Il dit avoir mesuré les risques et accepté la mission qu’il a décidé d’accomplir pour la libération des Burkinabè.

« Pour notre mission, on s’est dit ça passe ou ça casse. Dieu merci nous avons pu réussir la mission pour imprimer notre vision des choses à notre pays. Dans notre combat pour la liberté, nous avons des pays extérieurs sur le dos mais nous n’avons pas le choix, nous devons poursuivre sur notre lancée si nous voulons que nos enfants aillent à l’école sans payer 5 F, si nous voulons mieux soigner nos populations, il va falloir empêcher certaines puissances de nous piller » », a-t-il souligné.

Concernant les tentatives de déstabilisation, le capitaine Ibrahim Traoré se dit préparé à ces situations. « Cela ne nous ébranle pas mais nous donne le courage d’avancer car à travers ses évènements, nous savons que la ligne directrice que nous avons opté est la meilleure pour notre patrie », a-t-il rassuré.

le chef de l’Etat a mis en garde les comploteurs.  « Nous avons passé deux ans à sensibiliser les comploteurs même si certains trouvaient qu’on en faisait trop mais c’était nécessaire pour que les Burkinabè voient eux-mêmes jusqu’où des Burkinabè peuvent aller. (…) A partir de maintenant, ils vont assumer les conséquences de leurs actes ».

Il a rappelé qu’après chaque attaque, il y a une analyse de la situation pour savoir ce qui a marché et non et informé que concernant l’attaque de Barsalhogo, « les autorités militaires ont mené des enquêtes. « Nous attendons le rapport, des sanctions vont tomber », a-t-il promis.

Agence d’information du Burkina

WIS/as

Burkina : Trois officiers radiés des rangs des forces armées pour absence irrégulière

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Burkina : Trois officiers radiés des rangs des forces armées pour absence irrégulière

Ouagadougou, 5 oct. 2024 (AIB) – Trois cadres des forces armées nationales ont été radiés des effectifs de l’armée burkinabè pour absence irrégulières de plus de six jours, dans trois décrets différents dont copies sont parvenues ce samedi à l’AIB.

Le Lieutenant-colonel Ouoba Djassanou Roméo, L’Intendant-commandant Ouédraogo Sékou et le Commandant Belem Mahamady sont radiés des cadres des forces armées nationales, pour absence irrégulière de plus de six jours, indiquent trois décrets signés par le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Le décret de radiation du lieutenant-colonel Ouoba Djassanou Roméo est daté d’hier 4 octobre 2024 tandis que les décrets de radiation de l’Intendant-commandant Ouédraogo Sékou et du Commandant Belem Mahamady datent d’il y a un mois, précisément le 5 septembre 2024.
Ces décrets précisent que les intéressés sont autorisés à faire valoir leurs droits légaux.

Agence d’information du Burkina

Dori: Le drapeau national monté à l’unisson par les corps constitués

Dori: Le drapeau national monté à l’unisson par les corps constitués

Dori, (AIB)-Les activités commémoratives de la deuxième édition des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne ont été lancées dans la région du Sahel le jeudi 3 octobre 2024 à travers une cérémonie officielle de montée du drapeau national au gouvernorat de Dori et la lecture du message du chef de l’État.

Cette deuxième édition est placée sous le thème : « Pour une Nation forte et souveraine, ne trahissons pas notre patrie !».

Dans la région du Sahel, l’activité a rassemblé les corps constitués de la région au gouvernorat de Dori.

Outre la montée des couleurs nationales, elle a été marquée par la lecture du message du chef de l’État, prononcé par le haut-commissaire de la province du Séno, M. W. Emile Bamas.

Citant le chef de l’État, M. Bamas a rappelé que le 2 octobre est la date anniversaire du Discours d’Orientation Politique (DOP), discours par lequel le Capitaine Thomas Isidore Noël SANKARA a exposé, devant les masses populaires, sa vision d’une Nation libre et prospère.

Selon M. Bamas, cette date évoque non seulement l’engagement du Père de la Révolution pour le triomphe de la liberté, de la souveraineté et de l’indépendance réelle de notre chère patrie, mais aussi sa volonté de faire des Burkinabè un peuple fier de son histoire et de sa culture.

M. Bamas a également expliqué les traits distinctifs du traître, soulignant la nécessité de le dénoncer et de le combattre.

Il a aussi évoqué l’importance de préserver l’environnement.

Il a lancé un appel solennel à l’ensemble des autorités coutumières et religieuses pour qu’elles participent pleinement à ces journées à travers des enseignements et des messages rappelant, lors des différents cultes, le sens et la nécessité pour chaque citoyen de cultiver les valeurs authentiques de notre patrie.

Dans le cadre de la célébration de ces journées, un concours aura lieu le 5 octobre 2024 au Lycée provincial de Dori, suivi d’une journée de salubrité et de conférences en milieu scolaire.
Agence d’information du Burkina
Ali Mamoudou Maiga
AIB / Séno

L’Ouganda a donné trois jours à l’ambassadeur des États-Unis pour quitter le pays

POLITIQUE: OUGANDA-ÉTATSUNIS-AMBASSADEUR-ULTIMATUM

L’Ouganda a donné trois jours à l’ambassadeur des États-Unis pour quitter le pays

HARARE, 4 octobre. /TASS/. Le commandant de l’armée ougandaise, Muhoozi Kainerugaba, a lancé un ultimatum à l’ambassadeur des États-Unis à Kampala, William Popp, lui demandant de « s’excuser personnellement auprès de Museveni » dans un délai de trois jours, faute de quoi il devrait quitter le pays. C’est ce que rapporte le journal ougandais Nile Post. Le président ougandais, Yoweri Museveni, est le père de M. Kainerugaba.

Selon le commandant, l’ambassadeur américain « s’occupe dans notre pays d’activités incompatibles avec son statut diplomatique ».

M. Kainerugaba a fait remarquer que l’Ouganda n’avait aucun problème avec les États-Unis, mais que « ces derniers temps, nous avons de nombreuses preuves qu’ils [les Américains] travaillent contre notre gouvernement ».

« Il est de mon devoir d’annoncer aux Ougandais que notre peuple fait face à une confrontation sérieuse avec l’actuel ambassadeur des États-Unis dans notre pays », a souligné M. Kainerugaba. « Il manque de respect à notre président et porte atteinte à la Constitution ougandaise ».

Avec TASS

Les forces vives de Tuy invitées à exprimer leur patriotisme par des actions concrètes

Les forces vives de Tuy invitées à exprimer leur patriotisme par des actions concrètes

Houndé, 2 oct. 2024 (AIB) – Les forces vives du Tuy ont procédé, mercredi à Houndé, à la montée des couleurs marquant le début des Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne dans la province.

Les forces vives de la province du Tuy ont consacré la première journée de la 2e édition des Journées d’engagement patriotique et de participation citoyenne à la montée des couleurs le mercredi 2 octobre 2024 à Houndé.

Elle a rassemblé les autorités administratives et communales, les chefs de services déconcentrés, les FDS, les autorités coutumières et religieuses, ainsi que des responsables des femmes, des jeunes et des OSC.

À l’occasion, le haut-commissaire Issiaka Segda a livré le message du président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, aux forces vives de la province.

Il a invité chacun à être vigilant et à s’engager à bannir la traîtrise dans ses actes quotidiens.

« Pour construire une nation burkinabè forte et souveraine, il faut toujours avoir l’esprit de patriotisme et mobiliser les masses populaires à chaque instant », a-t-il indiqué.

Par ce message, Issiaka Segda a invité chaque habitant du Tuy à exprimer son appartenance à la mère patrie par des actions concrètes.

« Nos structures de soins, nos habitations, nos quartiers et villages, nos communes, nos villes, nos lieux de travail et de culte, nos cimetières, maintenons-les toujours propres », a demandé l’autorité provinciale aux forces vives.

Placée sous le thème : « Pour une Nation forte et souveraine, ne trahissons pas notre patrie ! », la 2e édition des JNEP se déroulera du 2 au 16 octobre 2024 dans la province du Tuy autour d’une série d’activités, dont une opération de salubrité et une collecte de sang.

Le haut-commissaire Issiaka Segda a exhorté les forces vives à participer activement à ces activités.

Agence d’Information du Burkina 

Babou Eric BAZIE (AIB/Tuy)

 

La haut-commissaire du Ioba exhorte les Burkinabè à la sincérité envers leur patrie

Burkina – Ioba : Journées d’Engagement Patriotique

La haut-commissaire du Ioba exhorte les Burkinabè à la sincérité envers leur patrie

Dano (AIB) – La haut-commissaire de la province du Ioba, Bernadette Adenyo/Sermé, a exhorté le 2 octobre 2024, les Burkinabè à être sincères envers leur patrie et les dirigeants de la Nation.

C’est au Lycée provincial du Ioba (LPI) que la première responsable du Ioba, Bernadette Adenyo née Sermé, a donné le coup d’envoi de la deuxième phase des Journées d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC).

Cette 2e phase, qui se tient du 2 au 16 octobre 2024, a pour thème : « Pour une Nation forte et souveraine, ne trahissons pas notre patrie ».

Les corps constitués et les forces de défense et de sécurité (FDS) se sont joints aux élèves et au personnel du LPI pour magnifier leur fibre patriotique.

La cérémonie a été marquée par la montée des couleurs nationales suivie de la lecture du message du chef de l’État.

À l’issue de ce message, la haut-commissaire a exhorté les Burkinabè à être sincères envers leur patrie et les dirigeants de la nation pour vaincre l’hydre terroriste.

Mme Adenyo a également rappelé l’article 2 du décret portant institution des JEPPC et a énuméré les activités à mener pendant ces journées.

Il s’agit, entre autres, de la collecte de fonds pour le Fonds de soutien patriotique (FSP), du nettoyage des domiciles, des cadres de travail, des centres de santé, des établissements scolaires, des marchés et des cimetières.

À cela s’ajoute le port du Faso danfani et du koko dunda, ainsi que la consommation de mets et produits locaux tels que le « kaba tô », le « benga » et le « gaonré », a-t-elle précisé.

Bernadette Adenyo a invité les responsables des différentes structures à s’organiser pour occuper de manière patriotique cette 2e phase des JEPPC dans la province du Ioba.

La haut-commissaire a profité de l’occasion pour encourager les élèves, les professeurs et le personnel administratif du LPI, et leur a souhaité une excellente année scolaire 2024-2025.

« Je souhaite que cette année soit couronnée de succès avec les meilleurs résultats », a-t-elle conclu.

Agence d’information du Burkina

Souleymane ZOURE  

AIB / IOBA

 

Cascades : La veille citoyenne organise un concert pour rendre un vibrant hommages aux forces combattantes

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Cascades : La veille citoyenne organise un concert pour rendre un vibrant hommages aux forces combattantes

Banfora, (AIB) – La Coordination nationale des associations de veille citoyenne section Cascades (CNAVC) a organisé à Banfora, sous le patronage du gouverneur de la région des Cascades et sous le parrainage du directeur général de l’ONEA, le lundi 30 septembre 2024, un grand concert pour apporter leur soutien aux forces combattantes.

Selon le coordonnateur provincial de la veille citoyenne de la Comoé, Benjamin Ziré, ce concert vise à encourager et apporter un soutien aux Forces de défense et de sécurité, aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et à tous ceux qui combattent aux côtés des FDS pour libérer le pays du terrorisme.

Pour M. Ziré, est satisfait de la lutte contre le terrorisme depuis l’accessibilité du Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir.

Il a saisi l’occasion pour inviter tous les fils et filles du pays, de l’intérieur et de l’extérieur, à toujours apporter leur soutien financier et matériel aux FDS pour mettre fin à cette guerre « qui nous a été imposée».

Le chargé de mission auprès de la présidence, Ibrahim Kobé, a salué l’initiative. Il a lancé un appel aux populations de la région des Cascades à accompagner ces genres d’initiative pour accompagner les forces combattantes engagées sur le théâtre des opérations.

 

Il a également invité la jeunesse à rester unis et mobilisé derrière le Capitaine Traoré pour lui permettre de relever les défis auxquels il fait face.

 

Agence d’information du Burkina

JPY/dnk/ata

Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous : bientôt le bout du tunnel

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Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous : bientôt le bout du tunnel

Koudougou 30 sept. 2024 (AIB)-Il se tient dans la cité du cavalier rouge, Koudougou, du 30 septembre au 8 octobre 2024, un atelier de validation des études architecturales d’amphithéâtre au profit des universités et centres universitaires du pays.

Dans un futur très proche, les mauvaises conditions de travail et d’études dans les universités et centres universitaires ne seront que de vieux souvenirs. En effet, le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, tient à cœur, de permettre au Burkina Faso de prendre son envol en matière de développement en s’appuyant sur un système de formation et d’éducation de qualité. D’où l’initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous.

Selon le coordonnateur national du projet, Dr Zakaria Soré, l’objectif est de faire en sorte qu’il y ait une intervention spécifique dans le domaine de l’enseignement à tous les niveaux (supérieur, secondaire, primaire, post-primaire, technique), en renforçant ce qui existe déjà et en améliorant un certain nombre de choses notamment les infrastructures, la gouvernance ainsi que les relations entre les différents partenaires de l’éducation.

A l’en croire, l’initiative présidentielle pour une éducation pour tous, a sept composantes et la première s’intéresse à la construction et à la modernisation des infrastructures.

Aussi, la rencontre de Koudougou est une rencontre entre techniciens de l’initiative et ceux du ministère en charge de l’Urbanisme pour concevoir des plans architecturaux en la matière. L’idée est, selon toujours Dr Soré, de trouver des plans qui soient conformes aux plans architecturaux que le Burkina connaît à la fois dans sa diversité mais aussi de les moderniser pour que le personnel enseignant et les étudiants travaillent dans de bonnes conditions.

Il est prévu la construction et l’équipement de trente-neuf (39) amphithéâtres dont quinze (15) de mille (1000) places et vingt-quatre (24) de cinq cents (500) places selon Dr. Soré.

A ces infrastructures s’ajouteront la construction et l’équipement de quarante-quatre (44) lycées modernes en bâtiment R+3, la construction et l’équipement de dix (10) établissements techniques et professionnels, la construction et l’équipement d’établissements préscolaires.

Il est également attendu à côté de ces différentes infrastructures, la réalisation de forages et l’aménagement de fermes.

A noter qu’au-delà de ce volet technique, il y a l’aspect politique qui prévoit des réformes en ce qui concerne l’assainissement et la délivrance des diplômes, entre autres.
Agence d’information du Burkina
PB/AS/ATA

Ukraine: 5 millions d’euros saisis chez une responsable chargée de la mobilisation

Ukraine: 5 millions d’euros saisis chez une responsable chargée de la mobilisation

Kiev, Ukraine

Les autorités ukrainiennes ont annoncé vendredi avoir saisi l’équivalent de près de 5 millions d’euros en espèces chez une responsable soupçonnée d’avoir aidé des réfractaires à échapper à la mobilisation militaire dans ce pays faisant face à une invasion russe.

Le bureau d’enquête national (DBR) a annoncé avoir découvert « près de six millions de dollars » en diverses devises, ainsi que des bijoux et d’autres objets de valeur, dans l’appartement de la cheffe de la commission médicale de la région de Khmelnytsky (ouest), chargée d’évaluer l’aptitude des hommes pour la mobilisation, et dans son bureau.

La responsable, identifiée par des médias comme Tetiana Kroupa, et son fils, dirigeant de l’antenne régionale du fond d’Etat des retraites, ont été placés en détention provisoire jeudi, a indiqué à l’AFP le porte-parole du DBR Oleg Slobodian.

Les enquêteurs ont découvert 100.000 dollars en espèces, des faux documents d’invalidité et des listes de réfractaires avec des diagnostics médicaux « fictifs » au bureau de la responsable, a précisé le DBR dans un communiqué.

La famille possède également plus de deux millions d’euros sur des comptes bancaires à l’étranger ainsi que des propriétés immobilières en Ukraine, Autriche, Espagne et Turquie, selon la même source.

« Les forces de l’ordre ont trouvé de l’argent dans presque tous les coins de l’appartement: dans les placards, les tiroirs, les niches », a détaillé le DBR.

Pendant les perquisitions, la responsable a tenté de se débarrasser d’une partie de l’argent en jetant deux sacs avec l’équivalent de plus de 450.000 euros par la fenêtre, a ajouté le DBR.

Cette structure a publié des photos et une vidéo des perquisitions sur lesquelles on peut notamment voir un tas de liasses de billets devant un homme allongé sur un lit, qui n’a pas été identifié.

Les deux responsables écroués sont soupçonnés de fraude à grande échelle, de « légalisation de biens reçus par la voie criminelles » et d’enrichissement illicite et risquent jusqu’à 12 ans de prison ainsi que « la confiscation de tous leurs biens », selon le DBR.

Ces informations ont provoqué une vague d’indignation sur les réseaux sociaux, alors que les structures en charge du recrutement militaire sont largement considérées comme corrompues et que l’armée ukrainienne manque cruellement de recrues après plus de deux ans et demi d’invasion russe.

Le service ukrainien de sécurité (SBU) a de son côté indiqué vendredi avoir démantelé un « groupe criminel de 13 personnes » à Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine située dans le nord-est, qui a aidé plus de 400 hommes à éviter la mobilisation à l’aide de faux documents d’invalidité.

Le chef d’une commission médicale municipale et plusieurs de ses subordonnés faisaient partie de ce groupe qui proposait ses services pour « 2.000 à 5.000 dollars » par personne, a accusé le SBU dans un communiqué.
Avec AFP

Mois du « consommer local, c’est une stratégie vitale pour stimuler notre industrie » (président Traoré)

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Mois du « consommer local, c’est une stratégie vitale pour stimuler notre industrie » (président Traoré)

Ouagadougou, 3 oct. 2024 (AIB) – Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a présidé, jeudi en fin de matinée, à Ouagadougou, la cérémonie de lancement officiel du Mois du consommer local dans l’espace UEMOA qu’il a qualifié de « stratégie vitale pour stimuler notre industrie » dans son discours lu par le ministre en charge de l’Industrie.

« Consommer local n’est pas seulement un acte patriotique ; c’est une stratégie vitale pour stimuler notre industrie, créer des emplois décents et garantir une résilience face aux défis mondiaux », a affirmé jeudi le président Ibrahim Traoré dans son discours lu par le ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Serge Gnaniodem Poda.

Le chef de l’Etat a présidé à l’occasion le lancement officiel de l’initiative « Mois d’octobre, mois du consommer local » dans l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

Institué en octobre 2019 à Ouagadougou, « Mois d’octobre, mois du consommer local » est une initiative visant à intensifier les actions de promotion de la consommation des produits locaux dans l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

Dans ce discours, le président Ibrahim Traoré affirme que « cette décision entre en droite ligne avec notre politique de faire de la consommation des produits locaux, le socle d’un véritable développement endogène et inclusif ».

Placée sous le thème « Consommer local, un levier de développement industriel, de compétitivité et de résilience des économies de l’UEMOA », cette 5e édition du « Mois du consommer local » interpelle sur « l’importance et la nécessité de valoriser nos ressources locales, de promouvoir notre savoir-faire et de renforcer notre autonomie économique », a soutenu le ministre Poda.

La 5e édition du « Mois du consommer local » coïncide avec la deuxième phase des Journées nationales d’Engagement patriotique et de participation citoyenne. Selon le ministre en charge du Commerce, ces deux activités sont « un appel à valoriser nos cultures et nos productions grâce à nos savoirs endogènes ».

La présidente de la Chambre consulaire régionale de l’UEMOA, représentante des parrains, Mme Helena Nosolini Embalo a indiqué que le « Mois du consommer local » est « une opportunité unique » pour dynamiser les productions locales, attirer des investisseurs et promouvoir des emplois.

Le chargé de l’intérim du président de la Commission de l’UEMOA, Jonas Gbian, a souligné l’engagement de la Commission et des Etats membres à faire du consommer local un levier de compétitivité des produits locaux. Pour ce faire l’UEMOA va développer des stratégies nationales et une stratégie régionale de promotion des produits locaux.

Agence d’information du Burkina

WIS/as

Burkina : Une rencontre de plaidoyer pour lutter contre le cancer

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Burkina : Une rencontre de plaidoyer pour lutter contre le cancer

Ouagadougou, 03 oct. 2024 (AIB)-Le ministère de la Santé et de l’hygiène publique, a présenté, jeudi, le programme national de lutte contre le cancer (PNLC), en partenariat avec l’ONG CHAI, aux partenaires techniques et financiers et aux hommes des médias, afin de susciter des engagements forts pour appuyer le programme, dans la lutte contre le cancer au Burkina Faso.

Selon le Directeur général des études et des statistiques sectorielles (DGESS) du ministère de la Santé, Wenceslas Koïta, représentant le ministre en charge de la Santé, le programme national de lutte contre le cancer (PNLC), qui a vu le jour en avril 2024, est un outil qui devrait permettre une synergie d’action contre le cancer au Burkina Faso.

Il a par ailleurs indiqué que la rencontre vise à susciter des engagements forts auprès des partenaires techniques et financiers qui interviennent dans la lutte contre le cancer au Burkina Faso pour appuyer le PNLC.

M. Koïta a expliqué que le programme a été mis en place par le ministère en charge de la Santé, pour veiller à la réduction de l’incidence et de la mortalité liées aux cancers.

« Le PNLC devrait permettre une synergie d’action contre le cancer de nos différentes directions. Grâce à ses missions, nous pourrons agir en parfaite harmonie avec la société civile. Les hôpitaux seront mieux organisés avec des équipes étoffées et compétentes travaillant dans de meilleures conditions pour des résultats louables », a dit le DGESS.

Wenceslas Koïta, a invité les partenaires à soutenir, sans réserve, toutes les initiatives du Programme national de lutte contre le cancer (PNLC).

Pour le coordonnateur du PNLC, Pr Nayi Zongo, la rencontre de plaidoyer va permettre aux partenaires de mieux connaître le programme, d’organiser une session de réflexions et de discussions sur les différentes rubriques du programme pour présenter la cartographie des ressources disponibles, en vue de lutter contre le cancer au Burkina Faso.

Pr Zongo a ajouté que la prévention, le dépistage et les soins du cancer coûtent chaque année, des sommes colossales au gouvernement.

« Il est urgent et nécessaire de mobiliser davantage des ressources aussi bien exogènes qu’endogènes pour financer la lutte contre le cancer. Les soins d’un seul cas de cancer, peuvent coûter des millions des F CFA, ce qui est inaccessible pour une famille moyenne du Burkina Faso », a-t-il rétorqué.

Le coordonnateur du PNLC a rappelé que le programme est l’organe d’orientations, d’exécution et de suivi de la mise en œuvre des actions en matière de lutte contre le cancer.

« Main dans la main, l’union dans la diversité, bâtissons un climat propice à l’éviction des facteurs de risque du cancer, à l’accès équitable aux moyens diagnostiques et thérapeutiques des cancers pour tous », a soutenu M. Zongo.

Agence d’information du Burkina

HB/no/yr/as

Plus de 400 Africains étudient dans le secteur de l’énergie nucléaire en Russie

SOCIÉTÉ: RUSSIE-AFRIQUE-ROSATOM-FORMATION
Plus de 400 Africains étudient dans le secteur de l’énergie nucléaire en Russie

Ouagadougou, 4 oct (AIB/TASS)- Plus de 400 étudiants africains suivent une formation dans des disciplines liées à l’énergie nucléaire dans les universités russes. C’est ce qu’a rapporté Alexeï Semionov, responsable du développement de la société d’État russe Rosatom pour l’Afrique.

« Pour Rosatom, les jeunes ont toujours été une priorité. En Afrique, nous adoptons la même approche. Aujourd’hui, par exemple, plus de 400 étudiants africains étudient l’ingénierie, la gestion de l’énergie nucléaire et toutes les disciplines liées dans des universités russes. Lorsqu’ils retourneront dans leur pays, ils pourront contribuer au développement de l’énergie nucléaire », a-t-il déclaré, lors du festival international de la jeunesse à Kampala, la capitale de l’Ouganda.

Le responsable de Rosatom a ajouté que la société avait également signé des accords avec des universités et des entreprises locales pour développer l’enseignement nucléaire en Zambie, au Rwanda et en Afrique du Sud.

Le festival international de la jeunesse, auquel participent des représentants russes et africains, se tient à l’Université internationale d’Afrique de l’Est, à Kampala, ainsi que dans la ville de Jinja, les 4 et 5 octobre.

AIB avec TASSS

Gourma : Le roi Untaanba du Gulmu reçoit une délégation ministérielle 

BURKINA-GOURMA-DELEGATION-GOUVERNEMENT-ROI-VISITE

Gourma : Le roi Untaanba du Gulmu reçoit une délégation ministérielle

Fada N’Gourma, (AIB)-Le ministre d’Etat, ministre en charge de la Culture, Jean-Emmanuel Ouédraogo, en tête d’une délégation ministérielle accompagnée de la hiérarchie militaire, a rendu une visite de courtoisie au roi Untaanba du Gulmu, le jeudi, 03 octobre 2024 à Fada N’Gourma.

La transition dirigée par le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré s’est donnée le pari de refonder le Burkina Faso sur ses valeurs culturelles, sur un certain nombre d’élément d’identités qui se fondent avant tout sur la culture endogène.

C’est dans ce contexte qu’une délégation ministérielle avec à sa tête le ministre d’Etat, ministre en charge de la Culture, Jean-Emmanuel Ouédraogo, a apporté un message du président du Faso au 32e roi du Gulmu.

Le ministre d’Etat a indiqué que le message du Capitaine Ibrahim Traoré porte sur un message d’hommage, de reconnaissance, d’unité et d’engagement.

« Le pari de refondation du pays qui se fonde sur notre culture exige que les garants de ces valeurs que sont les rois ne soient en marge. C’est ce qui justifie en partie leur visite au roi du Gulmu », a précisé le ministre Ouédraogo.

Aussi, a-t-il rappelé, le combat de la reconquête de notre territoire comme le combat pour la souveraineté de notre pays est le combat de tous les Burkinabé, le combat des rois, le combat de nos leaders coutumiers.

Donc, a déclaré le ministre d’Etat, c’est un message d’implication plus grande de Sa majesté Untaanba, et à travers lui, de l’ensemble des communautés de l’Est derrière les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), afin de vaincre le plus rapidement possible le terrorisme et ramener la paix dans la région de l’Est et ce sur l’ensemble du territoire burkinabè.

« Ce message exhorte le roi Untaanba à travailler davantage à l’unité des Filles et fils du Gulmu car l’ennemi profite des divisions pour tourner les communautés les unes contre les autres afin d’affaiblir le Burkina Faso et assouvir ses funestes destins », a souligné le ministre de la Culture.

Le représentant des princes à la cour royale, Mardioa Richard Thiombiano, s’est réjoui de la visite gouvernementale au roi Untaanba car ils ont souhaité de telles visites depuis quatre (04) ans.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

Burkina : L’opération spéciale de délivrance de permis urbain d’habiter suspendue pour deux semaines 

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Burkina : L’opération spéciale de délivrance de permis urbain d’habiter suspendue pour deux semaines

Ouagadougou, 4 oct. 2024 (AIB)-Le ministère en charge de l’Economie informe le public, dans un communiqué, que l’opération spéciale de délivrance de Permis urbains d’habiter (PUH) et d’Attestations d’attribution de parcelle (AAP) aux acquéreurs de parcelles ou de logements auprès de promoteurs immobiliers privés ou de coopérative d’habitat, est suspendue sur la période allant du 7 au 20 octobre 2024, afin d’apurer les demandes en instance.

D’après le ministère des difficultés subsistent dans le processus de paiement et coûts forfaitaires, de même qu’au niveau de la formulation et du traitement dans les délais impartis des demandes de titres à travers la plateforme eTitre2.

D’où cette décision de suspension pour permettre une meilleure prise en charge des difficultés dans le traitement des dossiers afin d’apurer les demandes en instance.

La note précise que l’opération va reprendre à partir du lundi 21 octobre 2024 et qu’un nouveau délai sera accordé aux demandeurs qui n’ont pas pu régulariser leurs situations.

En rappel, l’opération spéciale de délivrance de PUH et de AAP a été officiellement lancée le lundi 15 juillet 2024 à Ouagadougou. Elle devait permettre la délivrance de 180 000 titres au profit des acquéreurs de parcelles et logements.

Agence d’information du Burkina

ZO/hb/as

 

Mouhoun/Education en situation d’urgence : Des enseignants formés sur les curricula

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Mouhoun/Education en situation d’urgence : Des enseignants formés sur les curricula

 

Dédougou, (AIB)-La direction régionale en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun en collaboration avec le secrétariat technique de l’éducation en situation d’urgence, a organisé les 04 et 05 octobre 2024 à Dédougou, un atelier de formation des acteurs de l’éducation sur les curricula de l’éducation en situation d’urgence. La rencontre a été présidée par le directeur régional en charge de l’Enseignement secondaire de la Boucle du Mouhoun, Dr Denis Vimboué.

 

Renforcer les capacités des enseignants sur les curricula de l’éducation en situation d’urgence, tel est l’objectif de cette formation qui a réunit une trentaine de participants issus des différentes provinces de la région de la Boucle du Mouhoun.

 

La formation est prévue se tenir du 04 au 05 octobre 2024 à Dédougou.

 

Le Burkina Faso est confronté depuis quelques années à une crise sécuritaire qui affecte tous les domaines avec des conséquences énormes sur son développement.

 

Dans la région de la Boucle du Mouhoun comme dans bien d’autres régions, la crise a affecté le système éducatif avec pour conséquence la fermeture de plusieurs établissements et le déplacement de nombreux élèves vers d’autres localités plus sécurisées pour poursuivre leurs études.

 

En vue d’assurer la continuité éducative et d’améliorer l’accès à une éducation de qualité pour les élèves déplacés internes présents dans les structures éducatives, le secrétariat technique de l’éducation en situation d’urgence en collaboration avec la direction régionale en charge de l’Enseignement secondaire, de la Boucle du Mouhoun renforce les capacités des acteurs de l’éducation sur les curricula de l’éducation en situation d’urgence.

Pour le Directeur régional (DR) de l’enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique de la Boucle du Mouhoun, Dr Denis Vimboué, nous vivons des temps marqués par des défis sans précédent.

« Les crises, qu’elles soient d’origine naturelle, sanitaire ou sécuritaire, ont un impact direct sur notre système éducatif. Il est de notre devoir, en tant qu’acteurs de l’éducation, de nous adapter et de trouver des solutions innovantes pour garantir l’accès à une éducation de qualité, même dans les conditions les plus difficiles », a-t-il indiqué.

Pour Denis Vimboué, l’atelier représente une occasion précieuse de réfléchir ensemble sur les meilleures pratiques et les stratégies à adopter pour intégrer des curricula adaptés aux situations d’urgence.

 

« Nous devons nous assurer que nos élèves, même dans les contextes les plus difficiles, puissent continuer à apprendre, à se former et à se préparer pour l’avenir. Nous avons la responsabilité de former des citoyens résilients, capables de faire face aux défis de demain », a-t-il expliqué.

 

Deux jours durant, les participants, à travers des exposés et des travaux en groupe renforceront leurs capacités aux approches pédagogiques en éducation en situation d’urgence et à l’utilisation des curricula.

 

Selon le dernier rapport mensuel du secrétariat technique de l’éducation en situation d’urgence en date du 29 février 2024, on dénombrait au total 5 336 établissements fermés de tous les niveaux d’enseignement privant ainsi 823 340 élèves dont 396 730 filles, de leur droit à l’éducation avec 24 158 enseignants dont 7 366 femmes en arrêt d’activités pédagogiques.

 

Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

Kossi/Education : Des professeurs des écoles de Djibasso font le bilan de la rentrée 2023-2024

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Kossi/Education : Des professeurs des écoles de Djibasso font le bilan de la rentrée 2023-2024

Djibasso, (AIB)-Des professeurs de la Circonscription d’éducation de base (CEB) de Djibasso, se sont réunis, ce jeudi 3 octobre 2024 à Djibasso, pour une assemblée générale, en vue d’harmoniser une même compréhension des instructions officielles et faire le bilan de la rentrée 2023-2024.

Une assemblée générale des professeurs des écoles de la Circonscription d’éducation de base (CEB) de Djibasso, ont échangé en assemblée générale, le ce jeudi 3 octobre 2024, pour faire le bilan de la rentrée 2023-2024.

Le Chef de la circonscription d’éducation de base (CCEB) de Djibasso, Pascal Coulibaly, après un commentaire sur les instructions officielles, a égrené ses attentes pour la réussite de l’année scolaire 2024-2025.

Les attentes sont entre autres, a-t-il ajouté, la ponctualité, le dévouement surtout la résilience de tous les acteurs.

« Le don de soi pour les titulaires des classes d’examens et de concours scolaire », a poursuivi le CCEB Coulibaly.

A l’endroit des directeurs d’écoles, il a demandé de privilégier le dialogue et la courtoisie dans les relations professionnelles.

Dans le cadre du volet social, les acteurs de l’éducation ont souhaité la fusion des mutuelles pour répondre aux situations d’urgences.

Le secrétaire général de la sous-section du Syndicat national des travailleurs de l’éducation de Base (SYNATEB), Bassirou Sanwo, a sollicité ses militants afin qu’ils soient des exemples.

La CEB de Djibasso s’est fixée comme objectif pour cette année 2024-2025, un taux de réussite de 75%, plus que celui de l’année passée qui était de 72%.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

 

 

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