Accueil Blog Page 237

Une délégation gouvernementale offre des tricycles pour le développement communautaire au Sud-Ouest

Burkina-Gouvernement-Sortie-Terrain

Une délégation gouvernementale offre des tricycles pour le développement communautaire au Sud-Ouest

Ouagadougou, 31 août 2024 (AIB) – En tournée gouvernementale dans la région du Sud-Ouest, une délégation gouvernementale a offert 30 des tricycles aux acteurs du Sud-Ouest, acquis dans le cadre de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire.

Composée du ministre en charge de l’industrie Serge Poda et du ministre en charge de la jeunesse Roland Somda, la délégation a procédé à la remise officielle des tricycles aux présidents des Délégations Spéciales de Gaoua et de Diébougou.

Le matériel va contribuer à l’exécution des travaux d’intérêt commun, tels que la construction ou la réhabilitation d’infrastructures, l’amélioration du cadre de vie et la préservation de l’environnement, le renforcement des capacités des communautés à la base.

L’initiative présidentielle pour le développement communautaire a été adoptée le 30 août 2023 en conseil des ministres. Le Bureau national des grands projets coordonne la mise en œuvre des activités.

Plusieurs missions gouvernementales sillonnent actuellement les différentes zones du pays pour apporter leur soutien aux populations et recueillir leurs préoccupations et suggestions en vue d’améliorer l’action gouvernementale.

Agence d’Information du Burkina

OCI : Le Burkina réitère sa ferme condamnation des actions subversives de l’Ukraine au Mali et interpelle à nouveau le Conseil de sécurité

Burkina- Guerre Mali-Ukraine-Implication-Onu-Interpellation

OCI : Le Burkina réitère sa ferme condamnation des actions subversives de l’Ukraine au Mali et interpelle à nouveau le Conseil de sécurité

Ouagadougou, 31 août 2024 (AIB) La diplomatie burkinabè a réitéré la ferme condamnation du Burkina Faso des actions subversives avouées de l’Ukraine et interpelé à nouveau le Conseil de sécurité de l’Onu pour qu’il prenne ses responsabilités, vendredi à la 50e session du conseil des ministres des Affaires Étrangères de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), à Yaoundé, au Cameroun.

«Le Burkina Faso a réitéré sa ferme condamnation de l’attitude de l’Ukraine en se rendant complice des terroristes dans le nord Mali à travers des soutiens divers», a rapporté le service de communication du ministère burkinabè des Affaires étrangère.

Le chef de la diplomatie burkinabè, Jean Marie Karamoko Traoré a «appelé le Conseil de sécurité des Nations Unies à prendre ses responsabilités et à diligenter toutes les mesures nécessaires face aux actions subversives délibérées et avouées de l’Ukraine dans la situation récente au nord Mali», indique la même source.

Le 21 août dernier, il y a 10 jours donc, les ministres des Affaires étrangères de la Confédération des Etats du Sahel ont appelé, dans une lettre conjointe, le Conseil de sécurité de l’ONU à «prendre ses responsabilités face au choix délibéré de l’Ukraine de soutenir le terrorisme», et ce adressée lundi au président dudit conseil.
Dans une vidéo en lien avec des combats entre l’armée malienne et les terroristes installés au nord du Mali, le porte-parole du renseignement ukrainien, Andriy Yusov, a avoué avoir fourni des informations aux combattants du groupe CSP avant leurs affrontements avec les Forces armées maliennes.

L’ambassadeur ukrainien à Dakar, Yurii Pyvovarov, qui a partagé cette vidéo sur la page de l’ambassade, a exprimé, son soutien aux combattants ennemis du Mali.

Agence d’Information du Burkina

Le Burkina défend le projet AES à la tribune de l’Organisation de la coopération islamique à Yaoundé

Burkina-Diplomatie -OCI-AES-Promotion

Le Burkina défend le projet AES à la tribune de l’Organisation de la coopération islamique à Yaoundé

Ouagadougou, 31 août 2024 (AIB) – Le Burkina Faso a défendu le bien-fondé de la création de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) à la 50e session du conseil des ministres des Affaires Étrangères (CMAE) de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), tenue les 29 et 30 août 2024 à Yaoundé, au Cameroun.

Les chefs d’Etat du Burkina Faso, du Mali et du Niger «ont pris la pleine mesure de la nécessité et de l’urgence de travailler à créer les conditions d’une plus grande capacité d’actions et de développement dans le Liptako-Gourma face à tant d’adversités», a déclaré le ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, Jean Marie Karamoko Traoré à la tribune de l’OCI consacrée au thème «Développement des infrastructures de transport et de communication intra-OCI : instrument majeur de lutte contre la pauvreté et l’insécurité».

«C’est tout le sens de la création récente de la Confédération des Etats du Sahel animée par la volonté d’apporter une réponse cohérente et robuste aux aspirations des populations de l’Alliance des Etats du Sahel», a ajouté le chef de la diplomatie burkinabè, cité par son service de communication.

Le ministre Traoré a rappelé que le Burkina Faso a signé plusieurs accords dans le domaine de la facilitation du transport et du transit, le Burkina Faso dont les impacts ont amélioré les conditions de transport et de transit avec les pays voisins.

«Dans la même dynamique, le Burkina Faso entend renforcer cet engagement sous le leadership de Son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré, en tandem avec leurs Excellences le Colonel Assimi Goita, Chef de l’Etat du Mali et le Général Abdouramane Tiani, Chef de l’Etat du Niger» a poursuivi le ministre burkinabè.
Le thème de la rencontre a donné lieu à des échanges sur les sujets de la connectivité, de la croissance économique et la lutte contre la pauvreté notamment.

L’OCI est une organisation internationale créée en septembre 1969 à Rabat au Maroc et regroupant 57 états. Elle œuvre à la promotion de la coopération dans les domaines économique, sociaux, culturels et scientifiques

Agence d’Information du Burkina

Zoundwéogo/Santé : rencontre de visibilité sur le régime d’assurance maladie universelle

Zoundwéogo/Santé : rencontre de visibilité sur le régime d’assurance maladie universelle

Manga (AIB) – Le Secrétariat permanent des Organisations non gouvernementales (SPONG) a organisé, vendredi 30 août 2024, à Manga (province du Zoundwéogo), un atelier de visibilité sur le Régime d’Assurance Maladie Universelle (RAMU).

La rencontre a réuni une trentaine de participants, dont des responsables et des agents du district sanitaire de Manga, des autorités administratives, des leaders coutumiers et religieux, ainsi que des membres de la société civile et des Comités de veille de santé (CVS).

« L’objectif de cette rencontre est de sensibiliser les représentants des communautés et les partenaires qui s’occupent des questions de santé à relayer l’information sur le RAMU pour commencer à mobiliser les communautés », a indiqué le chargé de projet au SPONG, Eugène Bakouan.

Le Régime d’Assurance Maladie Universelle (RAMU), a-t-il expliqué, a été conçu et mis en place pour répondre à un besoin : « permettre d’augmenter l’utilisation des services de santé et faire en sorte que tout le monde, partout, ait accès à des services de santé de qualité sans subir de difficultés financières ».

Le processus, selon lui, a commencé au Burkina Faso depuis 2008 et, à ce jour, la phase d’opérationnalisation à grande échelle a débuté après l’adoption du cadre juridique et réglementaire et des décrets d’application, ainsi que l’entame de phases pilotes de mise en œuvre dans quatre régions.

La rencontre de visibilité initiée à Manga est donc une tribune pour exhorter les participants à susciter l’engagement des communautés pour l’effectivité de la mise en œuvre du RAMU au niveau local.

« Le régime s’appuie essentiellement sur une caution solidaire, ce qui signifie que vous cotisez petit à petit pour que, quand vous tombez malade, on n’ait pas à vous demander de l’argent pour vous soigner. Il faut donc commencer à sensibiliser les communautés pour qu’elles puissent adhérer au processus », a expliqué Eugène Bakouan.

Poursuivant, il a noté qu’outre la communication autour du RAMU au niveau du district sanitaire de Manga, il est attendu des participants qu’ils commencent « à préparer les services déconcentrés à faire des diagnostics sur ce qui est à renforcer pour avoir moins d’écueils dans la mise en œuvre du processus ».

Le représentant du Haut-commissaire du Zoundwéogo, Innocents Ouattara, a lui aussi lancé un appel à l’engagement des participants.

« Je voudrais vous engager sur les sentiers pour une effectivité de l’assurance maladie universelle dans le district sanitaire de Manga », a-t-il confié à l’assistance.

La tenue de l’atelier de visibilité sur le RAMU s’inscrit dans la mise en œuvre du projet de veille communautaire pour l’amélioration de l’accès des couches vulnérables et des personnes déplacées internes aux services de santé, à l’assurance maladie et à la protection sociale au Burkina Faso. Ce projet, exécuté en partenariat avec l’UNICEF, est prévu pour durer d’avril 2024 à décembre 2025 et interviendra dans vingt (20) communes de dix (10) districts sanitaires à travers le Burkina Faso.

Dans la province du Zoundwéogo, il s’agit notamment des communes de Bindé, Guiba, Manga et Gon-Boussougou, relevant du district sanitaire de Manga, qui bénéficient de cette intervention. La mise en œuvre du projet au niveau local par le SPONG se fera en collaboration avec les associations Zak La Yilguemdé (AZLY) et Teel Taaba.

Agence d’information du Burkina
MZ/ata

Séno : La veille citoyenne à la recherche de solutions aux accidents mortels de la circulation

Séno : La veille citoyenne à la recherche de solutions aux accidents mortels de la circulation

Dori, 31 août 2024 (AIB)-Suite à un accident de circulation entre deux motocyclettes qui a coûté sur place la vie à trois jeunes dont une fille, la coordination provinciale de la veille citoyenne du Séno a organisé une rencontre, en vue de rechercher des solutions endogènes aux accidents mortels et récurrents de circulation dans la ville de Dori.

La coordination provinciale de la veille citoyenne du Séno a organisé une rencontre à Dori, le mercredi 28 août 2024, en vue de rechercher des solutions endogènes aux accidents mortels et récurrents de circulation dans la ville de Dori.

Dans la nuit du 27 au 28 août 2024, les populations de la ville de Dori ont été choquées par un grave accident de la circulation entre deux motocyclettes, ayant entraîné la mort instantanée de trois jeunes, dont une fille.

Selon le coordonnateur provincial de la veille citoyenne du Séno, M. Abdoulaye Maïga, c’est cet accident, dont l’origine est l’excès de vitesse de l’un des conducteurs, qui les a amenés à organiser cette réunion avec les représentants de la communauté.

Au cours de leur entrevue, les participants ont fait un diagnostic sans complaisance de la circulation routière dans la ville de Dori. D’après eux, celle-ci est caractérisée par l’incivisme de certains usagers de la route et l’état défectueux des voies.

Comme solutions, ils ont proposé la sensibilisation des jeunes, mais aussi des parents, pour une citoyenneté beaucoup plus responsable, la confection et la pose de ralentisseurs, le remblayage des crevasses sur les voies, le renforcement de l’enseignement du code de la route à travers l’éducation civique, la surveillance dans les quartiers des auteurs d’excès de vitesse, ainsi que l’application des peines pécuniaires et même privatives de liberté.

Les organisateurs comptent rencontrer les autorités administratives, coutumières et religieuses en vue d’une vaste campagne de sensibilisation dans les médias locaux, les lieux de culte et lors des rassemblements.

Ali Mamoudou Maïga
AIB/Séno
.

Ouagadougou : 75 revendeurs récompensés pour leur abnégation au travail

Ouagadougou : 75 revendeurs récompensés pour leur abnégation au travail

Ouagadougou, 29 août 2024 (AIB)- Une société privée a offert mardi des smartphones et des vélos à 75 de ses revendeurs qui se sont bien illustrés par leur travail.

« Nous avons décidé ce matin de récompenser nos différents revendeurs pour montrer leur importance dans notre business. Ce sont des jeunes à qui l’on évite de s’adonner à des actes d’escroquerie et qui viennent gagner honnêtement leur vie », a indiqué le premier responsable de la société ABI Distribution, Abdoul Rasmané Ouédraogo.

Cette société distribue les produits Fan Milk.

Selon lui, les jeunes arpentent les différentes artères de la capitale burkinabè avec des pousse-pousse, en proposant des produits congelés et de qualité aux consommateurs.

M. Ouédraogo s’exprimait jeudi au marché de Pissy, lors d’une remise symbolique des smartphones et des vélos à 75 revendeurs.

À ses dires, le geste de sa société va permettre aux revendeurs de s’épanouir et de se déplacer « convenablement » dans leur environnement.

« Nous distribuons des produits de qualité, pleins de vitamines. Nous avons des sels minéraux et du calcium. Parmi nos produits, il y a, entre autres, des produits congelés tels que le Danone, le Fandango, le Fanyogo Passion en bidon de 300 ml, les crèmes dans les alimentations, le Fan Milk ou Popi-Popi pour les enfants », a fait remarquer le premier responsable de la société.

Au-delà du business, l’acte vise, selon Abdoul Rasmané Ouédraogo, à encourager ces jeunes à s’occuper « utilement » dans leur vie.

Il a poursuivi en précisant que les lauréats ont été désignés à l’issue d’un concours entre les revendeurs utilisant des pousse-pousse et ceux qui sont à vélo pour proposer les produits à la population.

Issouf Guira, bénéficiaire d’un vélo, s’est dit satisfait d’obtenir une récompense de la société ABI Distribution. « Comme il n’y a pas de sous-métier, on s’est lancé dedans, et on a demandé à Dieu que ça aille bien », a-t-il exprimé.

Notons que les revendeurs sont en majorité des jeunes déscolarisés.

Agence d’information du Burkina
NO/yos/ata

Nahouri/Situation nationale : Sa majesté le Pô-Pê encourage le gouvernement

BURKINA-NAHOURI-CHEFFERIE-REMERCIEMENTS

Nahouri/Situation nationale : Sa majesté le Pô-Pê encourage le gouvernement

Pô, 31 août 2024 (AIB)-Le chef coutumier de Pô, sa majesté le Pô-Pê, a affirmé ce vendredi 30 août 2024, que  le gouvernement  du capitaine Ibrahim Traoré, prend des  décisions courageuses et  les plus populaires qui touchent toutes les couches sociales.  

Dans le cadre de la tournée du ministre en charge de l’Education nationale, Jacques Sosthene Dingara, pour encourager les FDS et VDP de la province du Nahouri, le chefcoutumier de Pô, le Pô-Pê, a transmis unmessage pour le président du Faso, Ibrahim Traoré.

« Nous sommes de cœur avec vous, même si nous n’avons pas l’occasion de manifester ou de crier sur les toits», a indiqué le chef coutumier.

Il a souhaité une bonne la santé, au Capitaine Traoré et a prié pour que Dieu guide ses pas pour qu’il puisse mener à bien la tâche qui lui a été confiée.

«Je suis très heureux de voir ce que vous faites.  Le président du Faso a démontré que les oubliettes dans lesquelles les autres nous ont abandonnés, lui, il nous sort de ces oubliettes et nous confie une mission,  travailler à ramener la cohésion sociale et le vivre ensemble», a-t-il soutenu.

A l’en croire, tous les responsables coutumiers sont prêts à relever  ce défi.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/bz

Nahouri/Solidarité : Le ministre Jacques Sosthène Dingara offre des vivres aux VDP de la province

BURKINA-NAHOURI-SOLIDARITE-DON-VIVRES-MINISTRE

Nahouri/Solidarité : Le ministre Jacques  Sosthène Dingara offre des vivres aux VDP de la province

Pô, 31 août (AIB)-Le ministre en charge de l’Education nationale,  Jacques SosthèneDingara, a remis symboliquement 57 sacs de maïs de 50 kg et 70 sacs de riz de 25 kg, le vendredi 30 août 2024 à Pô,  aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP)  de la province du Nahouri.

Composés de 57 sacs de maïs de 50 kg et 70 sacs de riz de 25 kg, les vivres ont été remisaux VDP, le vendredi 30 août 2024 à Pô, par le ministre en charge de l’Education nationale, Jacques Sosthène Dingara.

Selon le secrétaire général de la province du Nahouri, Sanfiénalé Joseph Sirima, les vivresvont contribuer énormément au fonctionnement des structures des  VDP de la province.  

Il a salué ce geste  combien important et traduit sa reconnaissance,  celle des populations et les VDP en particulier à l’endroit du gouvernement pour ce don.

Le ministre Dingara était dans la province du Nahouri dans le cadre d’une tournée d’encouragement des VDP  et des FDS dans la région du Centre -Sud.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/bz

Kossi/Conseil de santé de district de Nouna : Des acteurs réfléchissent sur l’amélioration de la qualité des services de santé dans la province

BURKINA-KOSSI-SANTE-CONSEIL-DISTRICT

Kossi/Conseil de santé de district de Nouna : Des acteurs réfléchissent sur l’amélioration de la qualité des services de santé dans la province

Nouna, 31 août 2024 (AIB)-Le haut-commissaire de la province de la Kossi, Noufo Dembelé, a présidé ce vendredi 30 août 2024 à Nouna, la première session du conseil de santé de district de Nouna, pour examiner les problèmes de santé afin d’y apporter des solutions endogènes.

La première session du Conseil de santé du district (CSD) de Nouna, a pour ambition d’examiner les problèmes de santé afin d’y apporter des solutions endogènes pour l’amélioration des soins de santé de la population de manière générale et particulièrement de la mère et de l’enfant.

Le haut-commissaire de la province de la Kossi, Noufo Dembelé, président du conseil de a invité les participants, le vendredi 30 août 2024, à une pleine participation aux travaux afin de faire des propositions idoines pour l’amélioration de la qualité des services de santé dans la province.

Au menu des échanges, examen de la situation sanitaire de l’année 2024 du district, présentation des indicateurs en matière de santé et les évènements de santé sous surveillances, présentation de l’approche management de qualité et recommandations pour l’amélioration des indicateurs de qualité.

La présentation de la situation sanitaire du district, faite par Jonas Bourgou, de l’équipe cadre, fait ressortir l’impact de l’insécurité sur l’offre de santé dans la province.
Sur les 54 formations sanitaires que compte le district, 32 sont fonctionnelles et le mandat de tous les comités de gestion COGES sont expirés.

En terme de bilan financier le district est à 54% de taux d’absorption.
Le haut-commissaire a fait une mention spéciale aux personnels de santé pour leur résilience, malgré les difficultés inhérentes à l’insécurité.

La situation des maladies sous surveillance fait ressortir des cas bénins, des cas suspects, des cas probables et la non atteinte du seuil d’épidémiologie.
Cependant, des difficultés existent, le contexte sécuritaire et de difficultés de ralliement des formations sanitaires et bien d’autres.

L’équipe cadre du district CSD fait de l’approche management de qualité un objectif a atteindre et cela nécessite une démarche et une mobilisation des ressources financières conséquentes.
Au terme des travaux des recommandations ont été formulées par les participants afin d’améliorer la santé des populations, la mise en service de l’imagerie médicale l’ouverture du CSPS du secteur 4, la réouverture des formations sanitaires et le renouvellement des COGES d’ici la fin de l’année.

Agence d’information du Burkina
AC/hb/bz

#Barsalogho : Adoration et chapelet pour les victimes et pour la paix

#Barsalogho : Adoration et chapelet pour les victimes et pour la paix

Boulsa, 31 août 2024 (AIB)-L’abbé Gabriel Sandouidi a présidé la célébration de l’adoration du Saint-Sacrement et la prière du chapelet le 29 août 2024 dans l’église Sainte Maria Goretti de Boulsa, en faveur des victimes de Barsalogho.

En union de prière, les fidèles chrétiens de Boulsa, pendant près d’une heure, ont d’abord procédé à l’adoration du Saint-Sacrement, avant de réciter le chapelet pour solliciter l’intercession de la Sainte Vierge Marie auprès de son fils Jésus-Christ, implorant la grâce de la conversion des cœurs et la réparation de tous les attentats à la vie humaine.

À cet effet, le célébrant du jour, l’abbé Gabriel, pendant l’adoration comme pendant le chapelet, a fait des invocations des saints pour les morts et pour la paix au Burkina Faso.

En rappel, l’adoration et le chapelet sont intervenus après l’observation de la journée de deuil diocésain pour les morts et du chemin de croix au sein des communautés chrétiennes de base (CCB) les 28 et 29 août 2024.

« Je suis venu prier pour le repos en Dieu des âmes des victimes du massacre de Barsalogho et pour la paix au Burkina Faso », a fait savoir le catéchiste à la retraite Jean-Baptiste Sallé.

Agence d’information du Burkina
JBD/no/ata

Lutte pour la sécurité et la souveraineté : Le Premier ministre demande aux artistes d’accompagner le peuple

Lutte pour la sécurité et la souveraineté : Le Premier ministre demande aux artistes d’accompagner le peuple

Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, a effectué une visite dans les locaux du Bureau Burkinabè du Droit d’Auteur (BBDA), ce vendredi 30 août 2024, à Ouagadougou. A cette occasion, il a exhorté les artistes à accompagner le peuple dans sa lutte pour la sécurité et pour la souveraineté.

L’immersion du Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, au Bureau Burkinabè du Droit d’Auteur (BBDA) avait deux objectifs.

Il s’est agi, tout d’abord, pour le Chef du Gouvernement de s’imprégner des conditions de travail et de fonctionnement de cette structure, et par la suite, de féliciter et d’encourager le personnel pour le travail qu’il abat.

A son arrivée, il a échangé, à huis-clos, avec les responsables de la structure.

Au cours de cet entretien, le Directeur général du BBDA, Dr Hamed dit Patindeba Patric Lega, a fait une brève présentation de cette structure, notamment son historique, ses difficultés, ses résultats majeurs en 2024.

L’on peut retenir de cette présentation que le BBDA est un établissement public à caractère professionnel créé en 1985 dont la mission est la protection et la gestion collective des droits des créateurs d’œuvres littéraires et artistiques, et des titulaires des droits voisins, qu’ils soient burkinabè ou étrangers.

Selon lui, les difficultés du BBDA concernent les impayés des redevances, la faible bancarisation du processus, etc.

Comme acquis, il a cité notamment l’adoption du plan de carrière, l’acquisition d’un site pour la construction du futur siège.

Les défis qui se présentent au BBDA portent sur les financements et son ambition de couvrir les treize régions du pays.

Après cette étape, le Premier ministre a visité les locaux du BBDA, à savoir le pool saisie, les caisses de paiement, le bureau adhésion, le centre des archives, afin de prendre connaissance des activités de la structure.

A l’issue de la visite, il a immortalisé son passage par un message dans le livre d’or.

Dr Kyélem de Tambèla a dit que  » c’est avec un immense plaisir » qu’il a visité le BBDA.

Après avoir remercié le personnel, avec à sa tête le Directeur général, pour « l’accueil chaleureux » dont il a bénéficié, il a écrit que cette visite a été « une révélation » pour lui, dans la mesure où elle lui a permis d’en savoir davantage sur la mission du BBDA.

« Votre travail est essentiel et inspirant. Votre structure est un modèle d’efficacité et de professionnalisme », a-t-il fait remarquer, avant de souhaiter « pleins succès au BBDA dans ses futurs projets ».

Cette visite du Chef du Gouvernement a également coïncidé avec la répartition des droits du mois d’août 2024.

Le Premier ministre a saisi cette occasion pour livrer un message aux bénéficiaires.

 » C’est vous les créateurs, c’est vous les innovateurs. Les artistes tracent le futur de notre pays. C’est vous qui inventez et qui donnez le ton et le peuple suit. En cette période critique de notre pays, qui est confronté à des difficultés, il est demandé aux artistes d’accompagner le peuple dans sa lutte pour la sécurité et pour sa souveraineté », a-t-il fait savoir.

Et de poursuivre : »Les gens vous écoutent et vous suivent. Quel que soit votre domaine, vos créations inspirent la marche de la société. Vous êtes souvent en avance et le peuple vous suit. Cherchez à ne jamais être en retard. Si vous croyez en vous-mêmes vous réussirez et le peuple réussira avec vous. Engagez vous davantage parce qu’un artiste engagé vit au sein de sa propre société où il puise son inspiration et son propre bonheur ».

DCRP/Primature

Suite au crash d’un F-16, Zelenski a démis le commandant de l’armée de l’air ukrainienne

SÉCURITÉ: AVION-UKRAINE-CRASH-DÉMISSION-1

Suite au crash d’un F-16, Zelenski a démis le commandant de l’armée de l’air ukrainienne

MOSCOU, 30 août. /TASS/. Suite au crash d’un F-16 octroyé à Kiev par l’Occident, le président ukrainien Vladimir Zelenski a démis le commandant de l’armée de l’air de l’Ukraine Nikolaï Olechtchouk. Le décret en la matière est paru sur le site du bureau du chef de l’État.

Plus tôt, l’état-major général de l’Ukraine a confirmé la perte d’un F-16 sans révéler les détails de l’accident. En réaction, une élue de la Rada a supposé que l’avion avait été abattu par méprise par un missile de système de défense aérienne Patriot et que le commandement de l’armée tentait de dissimuler ce fait.

Avec TASS

Léraba/Cohésion sociale : Une équipe gouvernementale échange avec les forces vives de la Léraba

BURKINA-LERABA-COHESION-GOUVERNEMENT-ECHANGE

Léraba/Cohésion sociale : Une équipe gouvernementale échange avec les forces vives de la Léraba

Sindou, 30 août 2024 (AIB)-Une équipe gouvernementale avec à sa tête le ministre d’Etat, ministre, des anciens combattants, Kassoum Coulibaly, s’est entretenue, le vendredi 30 août 2024 à Sindou, avec les différentes couches sociales et les forces vives de la province de la Léraba.

Afin de se rapprocher d’avantage à sa population, le gouvernement Burkinabè dans sa mission, a délégué une équipe avec à sa tête le ministre d’Etat, ministre des anciens combattants, Kassoum Coulibaly, le vendredi 30 août 2024 à Sindou, pour échanger avec les différentes couches sociales et les forces vives de la province de la Léraba.

Il était accompagné du ministre en charge de l’Environnement, Roger Baro et la ministre déléguée en charge des Finances et du budget de l’Etat, Fatoumata Bako.
Le principal message dans cette rencontre a été la question sécuritaire.

Ainsi, il est demandé aux populations de la Léraba de s’unir pour creuser des tranchées de 3 mètres de large sur 2 mètres de profondeur aux postes stratégiques de fortification pour mieux prévoir la sécurité des localités.
Les participants ont eu des échanges directs avec les émissaires du gouvernement pour mieux comprendre la situation actuelle du pays sur la question de l’insécurité.

A l’issue des échanges, les chefs de village comme la veille citoyenne de la province ainsi que les OSC ont donné leur engagement au message du chef de l’Etat.
Agence d’information du Burkina
MK/hb/bz

 

Bazèga : Les abandons en milieu scolaire au menu des réflexions au forum sur l’éducation

Burkina-Bazèga-Abandon-Scolaire

Bazèga : Les abandons en milieu scolaire au menu des réflexions au forum sur l’éducation

Kombissiri, (AIB) – Les acteurs de l’éducation se sont penchés sur le phénomène des abandons en milieu scolaire au cours des travaux du forum sur l’éducation dans la province du Bazèga, tenu le vendredi 30 août 2024 à Kombissiri. Prendre des engagements et formuler des recommandations pour une résorption du phénomène, tel était l’objectif du forum.

La direction provinciale de l’éducation préscolaire primaire et non formelle (DPEPPNF) du Bazèga dans la région du Centre -sud a organisé son deuxième forum sur l’éducation sous le thème : « Les abandons en milieu scolaire dans la province du Bazèga : Implication des communautés pour une résorption du phénomène ». Selon les chiffres de la DPEPPNF du Bazèga, le taux d’abandon est passé de 2,23% en 2019 à 4,42%= en 2024.
Selon le directeur provincial de l’éducation préscolaire primaire et non formelle du Bazèga, Claude Ouédraogo, la tenue du forum vise à permettre aux acteurs de la province d’élaborer des stratégies pour résorber le phénomène.

Pour le parrain, Dr Marcel Guigma, directeur général de la qualité de l’éducation formelle, les abandons scolaires constituent un défi majeur pour le système éducatif au Burkina Faso, entravant ainsi les efforts de développement et de progrès social.
Il est impératif, poursuit-il, que des solutions durables soient trouvées à ce problème en mettant l’accès sur l’implication active des communautés locales.

Les travaux du forum ont ainsi permis aux participants venus de toute la province, de prendre des résolutions et formuler des recommandations qui contribueront à l’attente des objectifs d’amélioration des indicateurs de qualité de l’éducation au niveau du Bazèga.

Au nombre des résolutions, les participants se sont engagés, entre autres, à renforcer l’accompagnement et l’encadrement pédagogique des enseignants, tout en créant des cadres de partage d’expériences et de bonnes pratiques et à promouvoir la cantine scolaire endogène et les activités génératrices de revenus pour les mères éducatrices avec l’implication de la communauté et des autorités locales.

Le président de la délégation spéciale de la commune de Toécé, Harouna Nana, représentant le Haut-commissaire de la province, a salué la tenue du forum et invité chaque acteur dans sa sphère de responsabilité à être des leaders éclairés, des acteurs avisés et engagés pour la réalisation effective des engagements pris.
A l’issue des travaux, les acteurs de l’éducation de la province se sont donnés rendez-vous pour le prochain forum en 2025.

Agence d’information du Burkina
TPT/dnk/ata

Régime d’assurance maladie universelle : des acteurs sensibilisés à Kaya

Régime d’assurance maladie universelle : des acteurs sensibilisés à Kaya

Kaya, (AIB)- L’Association pour la Promotion en Santé Communautaire et de Développement du Centre-Nord (APSCD/CN) a organisé, le mercredi 28 août 2024 à Kaya, un atelier d’information et de sensibilisation sur le régime d’assurance maladie universelle (RAMU) au profit des acteurs communautaires et de santé du district sanitaire de Kaya.

Cet atelier visait à informer et sensibiliser les acteurs impliqués dans la mise en œuvre du régime d’assurance maladie universelle (RAMU) du district sanitaire de Kaya. Ainsi, des agents de santé, des membres des comités de gestion, des comités villageois de santé, ainsi que des leaders communautaires et associatifs se sont approprié les principes de mise en œuvre du RAMU et du projet de veille communautaire en santé. Organisé par l’APSCD/CN, cet atelier s’inscrit dans le cadre du « projet de veille communautaire pour l’amélioration de l’accès des couches vulnérables et des personnes déplacées internes aux services de santé, à l’assurance maladie et à la protection sociale au Burkina Faso. » Il a pour objectif, selon le point focal Camille Sawadogo, de « contribuer au renforcement des connaissances et des engagements des communautés et des acteurs des districts sanitaires d’intervention sur le RAMU. »

Pour Idrissa Gansonré, Haut-Commissaire de la province du Sanmatenga, cette activité s’aligne parfaitement avec la politique du gouvernement, qui vise à améliorer l’accès aux soins de qualité pour tous. Le président de séance a donc invité les participants, dès l’ouverture de l’atelier, à une écoute attentive afin de devenir des relais dans leurs structures d’origine pour une mise en œuvre réussie du RAMU.

Sous la facilitation d’Eugène Bakouan, Chargé de Projets SPONG, les participants ont, à l’issue de 24 heures d’échanges, déclaré avoir beaucoup appris sur le projet et le RAMU. En tant que leaders communautaires, ils se sentent désormais mieux équipés pour sensibiliser les populations à l’opérationnalisation du RAMU dans le district sanitaire de Kaya.

Dans le cadre de la réalisation de l’axe 2 de son plan stratégique 2023-2032, intitulé « Promouvoir la citoyenneté et le contrôle citoyen de l’action publique par les ONG/AD/Fondations au Burkina Faso d’ici à 2032 », le SPONG a encouragé les participants à s’engager activement dans le « projet de veille communautaire pour l’amélioration de l’accès des couches vulnérables et des personnes déplacées internes aux services de santé, à l’assurance maladie et à la protection sociale au Burkina Faso.

» Les participants comptent s’investir à travers la veille communautaire, la mobilisation communautaire, ainsi que par des actions d’interpellation et de plaidoyer.

Le RAMU, adopté au Burkina Faso, se veut un socle minimum de sécurité sociale, contribuant à la mise en œuvre des politiques de santé et de protection sociale des Burkinabè. Il a pour objectif de lutter contre la vulnérabilité (notamment la pauvreté) causée par la maladie en contribuant à lever les barrières financières d’accès aux soins de santé.

Agence d’information du Burkina
AIO/es/ata

Cinq donateurs ont remis ce vendredi des chèques d’une valeur totale de 10, 62 millions CFA au Fonds de soutien patriotique

Cinq donateurs ont remis ce vendredi des chèques d’une valeur totale de 10, 62 millions CFA au Fonds de soutien patriotique

Restaurant « Tantie Sanou » : une chance pour les fonctionnaires

Économie informelle

Restaurant « Tantie Sanou » : une chance pour les fonctionnaires

 Depuis l’instauration de la journée continue au Burkina Faso, de nombreux fonctionnaires ne peuvent plus rentrer à la maison pour déjeuner à cause de la courte durée de la pause de midi (30 minutes du lundi au jeudi et 1 heure le vendredi). C’est ainsi que certains mangent sur leurs lieux de travail quand il y existe des restaurants, tandis que d’autres cherchent dans les environs. Au quartier Paspanga de Ouagadougou, la restauratrice Adjaratou Sanou a saisi cette opportunité pour développer son business. Reportage.

Sur des chaises et des tables dispersées sous un manguier, des citoyens dégustent des plats tout en menant la causette dans une ambiance bon enfant. Trois femmes font sortir sans cesse des repas fumants d’un kiosque de couleur bleue, à cause des avarices du temps. Il est 12 h 40 ce mercredi 28 août 2024 au restaurant « Tantie Sanou », situé au flanc nord-ouest de l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Adjaratou SANOU, gestionnaire du restaurant, se bat comme elle se peut pour s’en sortir.

Comme tous les jours ouvrables, le restaurant est bien fréquenté pendant la pause déjeuner, avec des fonctionnaires en majorité.

La gestionnaire Adjaratou Sanou, dite « Tantie Sanou », et ses deux employées ont peu de temps pour satisfaire cette clientèle, pressée de retrouver les bureaux.

Débuts difficiles

Ces travailleurs viennent en grande partie de l’AIB, de l’Ambassade du Ghana, des services du ministère des Ressources animales, de la Caisse autonome de retraite des fonctionnaires (CARFO), du Centre national de lutte contre le Sida et les infections sexuellement transmissibles (CNLS/IST), du Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) et du ministère des Infrastructures.

La qualité des plats et la serviabilité du personnel sont saluées par les travailleurs.

« Le journalisme est parfois contraignant. Souvent, on n’a pas le temps de parcourir des kilomètres pour manger. Ici, on a la chance que le restaurant soit à côté », indique Youssouf Séogo, journaliste à l’AIB.

Il recommande néanmoins que les plats soient variés en incluant des mets locaux.

Son collègue Nida Ouédraogo, fidèle client depuis 2009, apprécie l’amabilité des restauratrices mais estime que la quantité des plats n’est plus à la hauteur de ses attentes.

Tout n’a pas toujours été rose pour dame Sanou. Après plusieurs années de service comme fille de ménage, elle décide un jour de se lancer à son propre compte. De prospection en prospection, elle réussit à se caser sur le site de l’AIB grâce à des connaissances au début de l’année 2008. Avec ses maigres économies et d’énormes sacrifices, elle parvient au bout de quelques années à bien faire tourner son business.

Youssouf Séogo demande de varier les plats.

La crise sécuritaire, le grand défi

Selon Adjaratou Sanou, le métier lui permet, à elle et à ses deux employés, de se nourrir et de scolariser leurs enfants.

Martine Sawadogo travaille avec Mme Sanou depuis une dizaine d’années. Elle apprécie la complicité qui les lie et la fraternité avec les travailleurs.

Aux côtés des fonctionnaires qui constituent l’écrasante majorité des clients du restaurant « Tantie Sanou » figurent les commerçants installés aux abords de l’avenue Thomas Sankara, les élèves du lycée Bogodogo et certains passants.

Nida Ouédraogo se dit satisfait de l’acceuil.

En ces périodes de vacances scolaires, le marché n’est pas totalement au rendez-vous, se lamente Adjaratou Sanou. À son avis, le plus grand problème qui réduit d’année en année ses recettes, c’est la crise sécuritaire marquée par une morosité économique en général et la fermeture de certains axes en centre-ville.

En effet, il est de plus en plus difficile de rejoindre l’AIB, à cause de sa proximité avec la présidence du Faso et du camp Paspanga. Pour des raisons sécuritaires, certaines voies ont été fermées, d’autres barrées par moments avec un renforcement du dispositif sécuritaire à faire peur au citoyen non averti.

Dame Sanou demande à Dieu d’accorder la paix au Burkina Faso afin que les habitants puissent travailler dans la sérénité pour s’en sortir.

Tilado Apollinaire ABGA

Les ressortissants de la commune de Bogandé cotisent 5 millions pour soutenir la lutte contre le terrorisme

Burkina-Antiterrorisme-Mobilisation

Les ressortissants de la commune de Bogandé cotisent 5 millions pour soutenir la lutte contre le terrorisme

Ouagadougou, 30 août 2024 (AIB) – Les ressortissants de la commune de Bogandé , dans la région de l’Est, ont mobilisé 5 millions FCFA pour alimenter le Fonds de soutien patriotique mis en place pour contribuer à la lutte contre le terrorisme, a appris l’AIB ce vendredi de source officielle.
Le chèque de 5 millions a été symboliquement remis au président du comité de gestion du Fonds de soutien patriotique (FSP), Vieux Abdoul Rachid Soulama, ce vendredi à Ouagadougou, en présence des ressortissant de Bogandé et notamment de Larba Yarga, membre du conseil constitutionnel, ancien ministre de la Justice et enseignant de droit public à la retraite.

Au total, plus de 10 millions FCFA enregistrés au Fonds de soutien patriotique ont été communiqués ce 30 août 2024.

«Le Secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, Vieux Abdoul Rachid Soulama, a remercié les donateurs du jour. Il les a rassurés que les fonds reçus seront utilisés à bon escient», a indiqué le service de communication du ministère des Finances.

Pour un objectif fixé 100 milliards à mobiliser d’ici la fin de l’année, le fonds de soutien patriotique a déjà enregistré plus de 85 milliards FCFA.

Agence d’Information du Burkina

Une famille accorde 5 millions à la lutte contre le terrorisme, en hommage au défunt Francis Ouédraogo

Burkina-Antiterrorisme-Mobilisation

Une famille accorde 5 millions à la lutte contre le terrorisme, en hommage au défunt Francis Ouédraogo

Ouagadougou, 30 août 2024 (AIB) – Les héritiers de feu Francis Ouédraogo, fondateur de la société SOFRAF, ont accordé 5 millions FCFA au fonds de soutien patriotique, pour rendre hommage à leur illustre disparu.

Le chèque de 5 millions a été symboliquement reçu par le président du comité de gestion du Fonds de soutien patriotique (FSP), Vieux Abdoul Rachid Soulama, ce vendredi à Ouagadougou.
Au total, plus de 10 millions FCFA enregistrés au Fonds de soutien patriotique ont été communiqués ce 30 août 2024.

«Le Secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, Vieux Abdoul Rachid Soulama, a remercié les donateurs du jour. Il les a rassurés que les fonds reçus seront utilisés à bon escient», a indiqué le service de communication du ministère des Finances.

Agence d’Information du Burkina

Dernières publications