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Culture : Le patrimoine national du Burkina accueille 332 biens

Culture : Le patrimoine national du Burkina accueille 332 biens

 

Ouagadougou, 29 juin 2023(AIB)-Le gouvernement a adopté jeudi, deux décrets permettant le classement de 142 biens culturels immeubles et de 190 éléments du patrimoine culturel immatériel sur la liste du patrimoine national du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

Burkina : Atéridar Galip Somé est le nouveau DG de la RTB

Burkina : Atéridar Galip Somé est le nouveau DG de la RTB

 

Ouagadougou, 29 juin 2023(AIB)-Atéridar Galip Somé a été nommé jeudi, Directeur général de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB), en conseil des ministres.

Jusqu’à sa nomination, il était le Directeur de cabinet du ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

M. Somé remplace à ce poste, Rabanki Abou-Bâkr Zida.

Agence d’information du Burkina

Ministère en charge de la Communication et de la Culture : Mamadou Dembélé nommé Directeur de cabinet

Ministère en charge de la Communication et de la Culture : Mamadou Dembélé nommé Directeur de cabinet

 

Ouagadougou, 29 juin 2023(AIB)-L’ex Directeur commercial et marketing de Les Éditions Sidwaya, Mamadou Dembélé, a été nommé jeudi, Directeur de cabinet du ministre en charge de la Communication et du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Agence d’information du Burkina

Burkina : Bientôt un parc d’attraction de 4 500 m2au sein du Musée national

Burkina : Bientôt un parc d’attraction de 4 500 m2au sein du Musée national

 

Ouagadougou, 29 juin 2023(AIB)-Le gouvernement burkinabè a annoncé jeudi, le lancement le 20 juillet 2023 des travaux de construction d’un parc d’attraction de 4 500 m2au sein du Musée national, afin d’accroitre l’offre touristique dans la capitale et permettre au Musée de s’autofinancer.

«Ce projet consiste en la construction d’un ensemble touristique intégré composé d’un parc d’attraction moderne couvert sur 4 500 m2, d’un restaurant moyen standing d’une capacité de 350 places, d’une piscine, d’un parc aquatique « aqua-Musée » et d’un « village» d’une capacité de plus de 600 places assises.

Il contribuera à accroître l’offre touristique de la ville de Ouagadougou en termes de loisir et d’embellissement. Les recettes générées permettront au Musée national d’autofinancer ses activités de conservation et de recherche des biens culturels de notre riche patrimoine.

Le lancement des travaux dudit projet est prévu le 20 juillet 2023, sous le haut patronage de Son Excellence Monsieur le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Me Apollinaire Kyelem de Tambèla. »

Agence d’information du Burkina

Source : Conseil des ministres

« Transcription facile avec DIGITALIX »: Venez vous former du 4 au 6 juillet 2023

« Transcription facile avec DIGITALIX »: Venez vous former du 4 au 6 juillet 2023

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Burkina : Un club officiellement ouvert pour permettre aux seniors de retrouver leur joie de vivre

Burkina-Société-Club-Ouverture

Burkina : Un club officiellement ouvert pour permettre aux seniors de retrouver leur joie de vivre

Ouagadougou, 29 juin 2023 (AIB)-Le Club des seniors sis au secteur 44 dans l’arrondissement n°10 (Zone 1) de la ville de Ouagadougou a officiellement ouvert ses portes le vendredi passé dans la soirée, dans l’optique de permettre aux personnes du 3e âge, de retrouver leur joie de vivre, à travers diverses activités telles que les jeux de société, la musique etc.

« Faisons ensemble de ce club, un cadre agréable, où nous puissions nous rappeler nos beaux souvenirs, notre jeunesse mais aussi un lieu de réception des conseils de nos médecins », a exhorté la promotrice du club des seniors, Mme Régine Zombra, aux personnes du 3e âge.

Elle a précisé que le cadre va permettre aux seniors de retrouver leur joie de vivre, à travers diverses activités telles que la gymnastique, les jeux de société, la musique dansante.

Mme Zombra s’exprimait le vendredi 23 juin 2023 à Ouagadougou, dans les locaux du Centre-Espérance-coupe-couture à la Zone 1 (arrondissement 10), à l’occasion de la cérémonie d’ouverture officielle du club des seniors.

Elle a par ailleurs indiqué que des docteurs s’engagent à soutenir le cadre récréatif avec des conseils, en vue de permettre aux personnes âgées de changer leurs habitudes alimentaires et leurs comportements pour vivre longtemps.

La promotrice a invité les seniors à consommer quotidiennement les tisanes (citronnelle, basilique) qui contiennent de nombreuses vertues thérapeutiques pour l’organisme humain.

« S’ils ont perdu la joie de vivre, c’est le lieu indiqué pour se souvenir de leur passé pour rallonger leur espérance de vie », a-t-elle confié.

Mme Régine Zombra dit compter sur l’accompagnement des bonnes volontés pour offrir des jeux de sociétés (lido, dame, jeux de cartes) aux seniors.

La promotrice du club des seniors, Mme Régine Zombra

Les soirées dansantes sont prévues les vendredis et samedis de 18h 30 à 22 h, les séances de gymnastiques tous les samedis de 7h 30 mn à 8h 30 mn avec un accès libre au club.

Le président du Conseil national de l’économie informelle du Burkina Faso, Salifou Nikièma a apprécié l’initiative de la promotrice, qui selon lui, permettra aux seniors de rallonger leur espérance de vie.

Pour lui, les personnes de 50 ans et plus vont également vibrer au rythme des mélodies des anciens temps.

« Ce club constitue un remède pour les seniors. Ce sont des gens qui ne sortent plus de chez eux facilement. L’ouverture d’un tel cadre récréatif va apporter un plus dans leur vie », a-t-il soutenu.

Le président du Conseil national de l’économie informelle du Burkina Faso a soutenu le lancement du Club en primant les meilleurs danseurs.

M. Nikièma a aussi souhaité que la paix revienne au Burkina tout en saluant le travail des forces combattantes sur le terrain, dans la reconquête du territoire national.

A cette cérémonie d’ouverture, l’un des pionniers de la musique burkinabè, l’artiste-musicien, Issouf Compaoré a tenu en haleine l’assistance aves ses chansons « Dis lui que je l’attends » et « Tanga Sega ».

A cet effet, le couple sexagénaire Zombra, a remporté le 1er prix en danse, avec la somme de 50 mille FCFA et le deuxième prix, 25 mille FCFA est revenu à un autre couple septuagénaire.

Notons que le club senior est logé dans les locaux du Centre-Espérance-coupe-couture à la Zone 1 (arrondissement 10), après l’hôpital pédiatrique Charles De Gaulle, en allant vers l’échangeur de l’Est.

Agence d’information du Burkina

NO/wis

Ukraine: la Russie affirme avoir tué deux généraux ukrainiens dans la frappe sur Kramatorsk

Ukraine: la Russie affirme avoir tué deux généraux ukrainiens dans la frappe sur Kramatorsk

L’armée russe a affirmé jeudi avoir tué deux généraux et des dizaines d’autres officiers ukrainiens, ainsi qu’une vingtaine d’instructeurs militaires étrangers dans une frappe récente sur Kramatorsk, dans l’Est de l’Ukraine.

 

« A la suite d’une frappe de haute précision (…), deux généraux, jusqu’à 50 officiers des forces ukrainiennes et jusqu’à 20 mercenaires et instructeurs militaires étrangers ayant participé à une réunion (…) ont été éliminés », a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

 

Cette annonce intervient deux jours après une frappe sur Kramatorsk — important noeud ferroviaire et abritant des sites militaires, qui a détruit un restaurant en faisant 12 morts et une soixantaine de blessés selon les autorités ukrainiennes.

 

Le ministère russe de la Défense avait de son côté affirmé mercredi avoir frappé un « point de déploiement temporaire » de la 56e brigade d’infanterie mécanisée des forces armées ukrainiennes.

Avec l’AFP

Burkina/Roman : Salifou Dioni propose « Les Anti-douleurs de la retraite », une thérapie pour les retraités et les non retraités

Burkina-Littérature-Ecrivain-Roman-Interview

Burkina/Roman : Salifou Dioni propose « Les Anti-douleurs de la retraite », une thérapie pour les retraités et les non retraités

Ouagadougou, le 19 juin 2023 (AIB)- Le jeune écrivain burkinabè, Salifou Dioni a indiqué dans une interview accordée lundi à un journaliste de l’AIB, que son œuvre « Les anti-douleurs de la retraite » se veut thérapeutique, proposant des outils ‘’réalistes’’ pour  soigner les retraités mais également les travailleurs afin qu’ils puissent bien préparer leurs retraites. Ce livre de 116 pages est subdivisé en 11 chapitres, facile à lire, disponible pour le moment dans les bibliothèques Mercurie, Plum’Afrik, Jeunesse d’Afrique au prix de 7000 FCFA.

 Question (Q) : Pourquoi le titre de l’ouvrage est intitulé « les antidouleurs de la retraite ? ».

Réponse (R) : L’œuvre peut-être renommée les «Anti-douleurs  de la vie » et il faut le voir comme un livre thérapeutique, un livre qui soigne. Il prévient les jeunes et les moins jeunes à éviter les problèmes et en même temps il traite les problèmes à titre curatif. A l’image de la médecine, ce livre est comme un vaccin qui prévient les jeunes travailleurs  et un sérum qui soigne les problèmes des vieux qui sont à la retraite ou presque à la retraite. Il prévient pour que les problèmes ne les arrivent pas et en même temps il soigne ceux qui sont déjà dans les problèmes. Surtout, les problèmes financiers et sociaux.

Q : D’où vous est venue l’idée d’écrire un livre sur la retraite ?

R : L’idée est venue au moment où moi-même je cherchais des solutions sur ma future carrière lorsque j’étais encore étudiants. Et cette idée a été renforcée lorsque j’ai commencé à faire les stages dans les structures publiques et privées. Tous les salariés avaient presque les mêmes inquiétudes quel que soit le degré de leur salaire. Les inquiétudes sur la fin de leur carrière, l’insuffisance du salaire, les préoccupations sur l’avenir de leurs enfants, Etc. Je me suis posez moi-même des questions et par la suite je suis allé à la rencontre des ainés pour comprendre plus afin de préparer mon développement professionnel. Parmi ces aînés, certains ont accepté témoigner. De leur témoignage, il ressort qu’il n’y a qu’une minorité qui vit aisément leur retraite tandis que la majorité souffre énormément après la retraite à cause des erreurs et du manque d’information au début de leurs carrières. J’ai décidé d’utiliser ces témoignages pour moi-même. Comme j’avais également l’intention d’écrire un livre, je me suis dit pourquoi ne pas partager ce message pour prévenir et permettre à la majorité de pouvoir éviter les erreurs et de trouver les meilleurs outils pour bâtir une vie heureuse, une fois étant salarié.

Q : A qui s’adresse le livre ?

R : Le livre s’adresse de façon générale à tout le monde et les salariés en particulier. Si on veut encore être plus sélectif, le livre s’adresse beaucoup plus à ceux qui  débutent leur carrière. Ceux qui n’ont pas encore gaspillés leurs pécules, leurs salaires, leurs prêts et enfin leurs pensions. Ils trouveront tous satisfaction en lisant attentivement ce livre.

Q : Quelle est l’importance de ce livre dans la vie d’un travailleur ?

R : C’est très important pour tout travailleur dans la mesure où il permet d’éviter les problèmes financiers et sociaux. Il permet également d’utiliser les outils pour bâtir une vie riche pour en profiter avec sa famille et ses proches. Cela participe aussi au développement individuel et collectif de la nation. La richesse d’une nation est la somme des richesses de sa population et le livre permet cela.

Q : Quel est l’impact de ce livre dans la vie d’un jeune et dans la vie d’un vieux ?

R : L’impact de ce livre dans la vie d’un jeune, c’est d’abord la prise de conscience et l’ouverture d’esprit. La découverte de certaines informations et de certains secrets qui permettent aux jeunes de marcher sans erreur et de réussir à développer sa situation financière et sociale. Pour les vieux, l’impact se trouve dans l’espoir qu’il suscite et leur permet de vivre aisément en dominant les angoisses et les regrets en reconstruisant leur vie quel que soit leur âge. Tout est toujours possible tant qu’on est en vie.

Q : Pourquoi les gens doivent ils s’intéresser à ce livre ?

R : S’intéresser à ce livre, c’et s’intéresser à son propre avenir financier et social. C’est apprendre à devenir riche à partir de son salaire, son prêt, sa pension, etc. S’intéresser à ce livre, c’est éviter les pièges et les erreurs de jeunesse afin de vivre une vie heureuse et paisible. En gros, c’est un livre de développement professionnel, personnel individuel et collectif.
Agence d’information du Burkina
DNK/as/ata

Le Burkina interdit la télévision française LCI pour une période de trois mois

Le Burkina interdit la télévision française LCI pour une période de trois mois

 

Ouagadougou, 29 juin 2023(AIB)-Le Conseil supérieur de la Communication a enjoint les distributeurs, de suspendre pendant trois mois de leurs bouquets, la télévision LCI pour avoir laissé diffuser des informations erronées et graves sur la situation sécuritaire au Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

Plus d’informations à venir

Comoé/Tabaski 2023 : Les musulmans ont prié pour la paix et la sécurité 

Burkina- Célébration- Tabaski

Comoé/Tabaski 2023 : Les musulmans ont prié pour la paix et la sécurité 

Banfora, 28 juin 2023 (AIB)- Les fidèles musulmans de Banfora, à l’instar des autres villes du Burkina Faso ont célébré le mercredi 28 juin 2à23, la fête de l’Aïd El Kebir, appelée Tabaski ou la fête de mouton, au cours de laquelle, ils ont prié pour la paix et la sécurité dans le pays.

Les fidèles musulmans de Banfora ont pris d’assaut les lieux de prière le mercredi 28 juin 2023, jour de la fête de Tabaski.

Comme à l’accoutumé, c’est la place de la nation qui a accueilli la prière dirigée par le grand Imam de la mosquée de Banfora, chef-lieu de la province de la Comoé, Ahmad Sanogo.

A cet effet, les fidèles musulmans ont prié pour la paix et la sécurité au Burkina Faso.

Pour eux, cette fête de Tabaski est marquée par l’immolation d’un bélier symbolisant l’acceptation et l’obéissance d’Abraham d’égorger son unique fils Ismaël sur l’ordre de Dieu.

Le grand Imam, Ahmad Sanogo dans son sermon, a exhorté les fidèles à la promotion de la paix, au partage, au pardon et à la tolérance.

Il a demandé à Allah d’étendre sa main sur le pays afin que la paix revienne. El hadj, Ahmad Sanogo a rappelé que la fête de Tabaski se déroule dans un contexte d’insécurité.

Comme d’habitude, les fidèles musulmans avaient à leurs côtés, les autorités administratives de la région, la Fédération des églises et missions évangéliques (FEME) de la Comoé et l’église catholique.

A la fin de la prière et du prêche, avant que les fidèles musulmans ne regagnent leurs domiciles, le grand Imam de la mosquée de Banfora a immolé un bélier blanc en guise de sacrifice d’Abraham.

Tout en souhaitant bonne fête de Tabaski à toute la communauté musulmane de Banfora, le gouverneur de la région des cascades, Colonel Jean Charles Yenapono Somé a dit être venu communier avec les musulmans en ce jour béni.

M. Somé a également souhaité une bonne saison pluvieuse dans le pays afin que les récoltes soient bonnes pour le bonheur des populations.

« Pour un vivre ensemble nous devons toujours nous pardonner et accepter nos différences », a-t-il ajouté.

Agence d’information du Burkina

JPY/no/ata/ak

 

 

Boussé/ Fête de lAïd El Kébir: La cohesion sociale et la paix au menu de la prière

 

Burkina- Province-Kourwéogo-Célébration-Tabaski

Boussé/ Fête de lAïd El Kébir: La cohesion sociale et la paix au menu de la prière

Boussé, 28 juin 2023 (AIB)- La communauté musulmane de Boussé (Plateau-central) a célébré le mercredi 28 juin 2023, la fête de l’Aïd El Kébir communément appelée la fête de la Tabaski, en priant pour la cohésion sociale et la paix au Burkina Faso.

La communauté musulmane de Boussé s’est retrouvée le 28 juin 2023 au stade municipal de la ville pour la prière de l’Aïd El Kébir.

L’imam Adama Soudré qui a dirigé la prière a appelé les musulmans à l’entente, à la solidarité et au renforcement du vivre ensemble.

Il a également imploré Allah pour le retour de la paix au Burkina Faso.

Pour Cheick waoudouhou Ouédraogo, la prière de l’Aïd El Kébir est aussi un moment de communion avec les autres confessions.

A l’en croire, la fête du sacrifice du mouton constitue également une occasion de traduire la reconnaissance aux autorités pour les efforts consentis dans la recherche de la stabilité.

A la fin de la prière, la communauté musulmane a formulé des voeux pour l’unité nationale.

Agence dinformation du Burkina

DB/ no/ata/ak

Zondoma/Tabaski 2023 : Les musulmans ont prié pour la cohésion sociale et la paix  

Burkina-Province-Zondoma-Célébration- Tabaski

Zondoma/Tabaski 2023 : Les musulmans ont prié pour la cohésion sociale et la paix

 Gourcy (AIB)-Les fidèles musulmans de Gourcy dans la province du Zondoma (Nord) ont prié le mercredi 28 juin 2023 pour la cohésion sociale et la paix au Burkina Faso, lors de la célébration de l’Aïd El Kebir.

La prière marquant la fête de la Tabaski qui se déroulait habituellement à la place de la grande mosquée a été délocalisée sur un nouveau site situé non loin du lycée provincial du Zondoma.

Elle a été dirigée par l’imam de la grande mosquée de Gourcy, El Hadj Ousmane Sana, en présence d’une délégation des autorités administratives, conduite par le haut-commissaire de la province du Zondoma, Aboubacar Sidiki Nabé.

Au terme des deux rakats, l’imam Sana a invoqué le tout-puissant (Dieu) pour la paix et la cohésion au sein de sa communauté et sur l’ensemble du pays.

Il a surtout invité les fidèles musulmans à s’inspirer de l’exemple d’Ibrahim, l’un des prophètes qui, pour témoigner sa fidélité et son obéissance à Dieu, a accepté de sacrifier son fils unique Ismaël.

Pour l’Imam Sana, c’est l’origine et le sens du sacrifice du mouton qui est célébré à la fête de la Tabaski.

Agence d’information du Burkina

Balé/Prière de la Tabaski : La paix et une bonne saison agricole au cœur des prières

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Balé/Prière de la Tabaski : La paix et une bonne saison agricole au cœur des prières

Boromo, 28 juin 2023 (AIB)- Le préfet du département de Boromo, Esaïe Bamogo et une délégation d’autorités administratives et religieuses ont participé, ce mercredi 28 juin 2023 à l’espace de l’ancien marché de Boromo au secteur 4, à la prière de la fête de Tabaski. Ils ont prié pour le retour de la paix et une bonne saison agricole pour le Burkina Faso.

La communauté musulmane de Boromo a célébré ce jour 28 juin la fête de la Tabaski. Ils étaient nombreux, les fidèles musulmans à se rendre à la prière, conduite par l’Imam Ousseni Seynou.

L’Imam Seynou a formulé des vœux pour la paix au Burkina Faso et une bonne saison agricole avant de sacrifier le bélier.

La délégation des autorités administratives a témoigné la solidarité des autorités locales à l’ensemble de la communauté musulmane.

Au nom du haut-commissaire, le préfet a livré à l’ensemble de la communauté musulmane de la province les meilleurs vœux tout en les invitant à continuer à prier pour la paix au Burkina Faso.

« A nos prières nous devons joindre des comportements positifs pour le retour de la paix », a dit Esaïe Bamogo.

Les responsables de la communauté musulmane ont rappelé leur soutien aux multiples efforts du gouvernement.

Agence d’information du Burkina

OM/bz/ak

Tuy/Tabaski 2023 : Les fidèles musulmans ont prié pour l’unité et la cohésion sociale

BURKINA-RELIGION- TUY-PRIERE-TABASKI

Tuy/Tabaski 2023 : Les fidèles musulmans ont prié pour l’unité et la cohésion sociale

Houndé, 28 juin 2023 (AIB)- Les fidèles musulmans de Houndé dans la province du Tuy, ont célébré le mercredi 28 juin 2023 à Houndé, la fête de l’Aïd el Kébir, sous le signe de la pacification du Burkina Faso et pour l’unité et la cohésion sociale.

Les fidèles musulmans de Houndé ont effectué la grande prière de la Tabaski ce mercredi 28 juin 2023, à plusieurs endroits de la ville de Houndé. C’est dans la cour de l’école primaire A, que l’imam Cheik Sidi Mohamed Sana a dirigé la prière.

Pour lui, c’est un grand jour pour les musulmans de Houndé et en général du Burkina qui célèbrent l’Aïd el Kébir.

l’imam Cheik Sidi Mohamed Sana a soutenu que des vœux ont été formulés pour le retour de la paix dans le pays.

« Nous avons prié pour la paix et pour que Allah assiste nos autorités dans leur mission de pacification du pays », a-t-il expliqué.

La cérémonie a connu la présence d’une délégation des autorités administratives et religieuses conduite par le Haut-Commissaire du Tuy, Issiaka Segda.

L’autorité provinciale a dit être venue manifester la solidarité aux fidèles musulmans et leur souhaiter une bonne fête de l’Aïd el Kébir.

Pour le curé de Houndé, Dieudonné Bouna, la présence aux côtés des fidèles musulmans est un signe de vivre-ensemble harmonieux dans la cité de l’os dur (Houndé).

Il a dit aussi être venu au nom des chrétiens catholiques pour s’unir aux « frères musulmans », pour prier pour la paix au Burkina Faso.

Pour Dieudonné Bouna, cette communion de prière peut contribuer à l’unité et à la cohésion sociale tant recherchées entre les fils et filles du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

BEB/hb/bz

« Une nuit très éprouvante » : la police mise en difficulté par des émeutiers « très mobiles » en France

« Une nuit très éprouvante » : la police mise en difficulté par des émeutiers « très mobiles » en France

par Alexandre HIELARD et Tiphaine LE LIBOUX

Des émeutiers « très mobiles », organisés en petits groupes pour commettre violences et dégradations avant de disparaître : les forces de l’ordre ont vécu en France une nuit « très éprouvante ».

Des violences, avec des mairies, des écoles et des commissariats incendiés, ont à nouveau éclaté partout en France dans la nuit de mercredi à jeudi dans les quartiers populaires de tout le pays, en réaction à la mort de Nahel, 17 ans, tué mardi par un policier lors d’un contrôle routier auquel il essayait de se soustraire à Nanterre, près de Paris.

« C’était une nuit extrêmement éprouvante, violente, avec des groupes mobiles à peu près partout », rapporte à l’AFP Grégory Joron, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police.

Ce CRS (policier anti-émeute) de formation, sur le terrain lors des émeutes survenues en 2005 après la mort de deux adolescents électrocutés dans un transformateur électrique en tentant d’échapper à la police en banlieue parisienne, estime que l’on se situe « au même niveau d’intensité ».

« Ils étaient trop nombreux, trop mobiles. On n’avait pas assez de monde. Dans ces cas-là, tu gères rien, tu subis. Il n’y a plus de stratégie à part rentrer chez soi entier, protéger ce que tu peux et attendre que ça se termine », résume-t-il.

Fait rare, au Bourget, au nord de Paris, des policiers municipaux ont dû tirer en l’air pour se dégager, a indiqué une source policière.

Et, selon une autre source policière, illustration du degré d’organisation de certains émeutiers, six individus qui vendaient des mortiers d’artifice sur la voie publique ont été interpellés mercredi soir à Gennevilliers.

– Consignes –

Selon un cadre de la préfecture de police de Paris, le niveau des violences est « monté de deux crans » par rapport à la première nuit de heurts. L’intensité observée en 2005 n’est pas encore atteinte « pour l’instant », mais « cela pourrait car rien ne semble pouvoir arrêter » les trouble

Le même haut-gradé retient qu’il n’y a « pas eu de faits graves, comme un mort ou des blessés très graves ».

Selon plusieurs sources policières interrogées par l’AFP, des consignes de tempérance avaient été passées aux effectifs engagés pour éviter un « suraccident ».

Dans une note de la direction départementale de la sécurité publique du Nord, consultée par l’AFP, il a notamment été demandé de ne pas recourir au lanceur de balles de défense (LBD), « sauf état de nécessité ».

Selon une source syndicale policière, des instructions ont aussi été données pour mettre en pause les contrôles anti-rodéos, les patrouilles dans les cités sensibles sauf en cas d’appel au 17, et les contrôles d’identité.

« De toute façon, c’est pas la police qui est venue dans les cités, c’est les cités qui sont venues chez nous, dans les commissariats », soupire Julien Schenardi, délégué Ile-de-France du syndicat Alliance.

« Le ministre a seulement passé des consignes d’apaisement », dément l’entourage de Gérald Darmanin.

– Changement de doctrine –

Mais, selon une source policière, le ministère de l’Intérieur, où était organisée une réunion interministérielle de crise convoquée par Emmanuel Macron jeudi matin, a demandé pour la nuit prochaine « un changement de doctrine », « plus offensive ».

40.000 policiers et gendarmes seront mobilisés en France jeudi soir, dont 5.000 à Paris et en proche banlieue, contre 9.000 la nuit dernière, a annoncé Gérald Darmanin, devant la mairie incendiée de Mons-en-Baroeul (Nord).

Pas de recours en revanche à l’état urgence à ce stade, comme en 2005, où les violences urbaines avaient duré trois semaines. « Je crois qu’on peut mobiliser énormément de moyens (…) sans qu’on ait besoin de recourir à des articles particuliers de la Constitution », a tranché le ministre de l’Intérieur.

Au-delà du nombre, « il va falloir revoir sans doute certains des dispositifs pour être plus mobiles », a déclaré sur France Inter la porte-parole du ministère de l’Intérieur, Camille Chaize.

Dans plusieurs villes, les forces de l’ordre ont dû être réapprovisionnées en munitions dans la nuit. Mais la direction générale de la police nationale (DGPN) a démenti à l’AFP la rumeur selon laquelle leurs réserves étaient insuffisantes.

« Les stocks (balles de défense, lacrymogène…) existent et permettent de tenir dans la durée si nécessaire », assure-t-elle.

Car l’autre enjeu, estime le cadre de la préfecture, c’est « la durée des heurts, qui s’étaient étalés sur trois semaines à l’automne 2005, avec des unités qu’il faut relever, qu’il faut faire dormir ».

Avec l’AFP

 

 

 

La Guinée demande justice lors du retour du corps d’un jeune tué en France par un policier

La Guinée demande justice lors du retour du corps d’un jeune tué en France par un policier

 

Le corps du jeune Guinéen de 19 ans tué lors d’un contrôle routier le 14 juin dans le sud-ouest de la France a été reçu mercredi soir à Conakry par sa famille et les autorités qui ont demandé à ce que justice se fasse, a constaté un journaliste de l’AFP.

« C’est avec une grande émotion que nous recevons le corps du jeune Alhoussein. Le chef de l’Etat avait promis qu’on ramènerait le corps ici en Guinée pour qu’il y ait un enterrement digne, ce qui est fait par la grâce de Dieu », a dit le ministre des Affaires étrangères Morissanda Kouyaté à son arrivée à l’aéroport.

« Les conditions dans lesquelles il a trouvé la mort seront élucidées. La Guinée tient à ce que la justice fasse tout son travail en France, pour élucider les conditions dans lesquelles il est décédé », a-t-il ajouté.

C’est « un être cher qui vient de partir, un enfant chéri », a dit le père du jeune homme tué, Fodé Camara, qui a remercié les autorités de se tenir aux côtés de la famille.

Le policier français, un brigadier de 52 ans, auteur du tir mortel a été inculpé mercredi pour homicide volontaire, « avec une interdiction de détention d’arme et une interdiction d’exercice professionnel », a annoncé la procureure de la République d’Angoulême.

Le 14 juin au petit matin, à Saint-Yrieix-sur-Charente, dans la banlieue d’Angoulême, Alhoussein Camara avait été touché mortellement par un tir de policier en tentant d’échapper à une interpellation lors d’un contrôle routier.

D’après les premiers éléments de l’enquête, alors que deux véhicules de police tentaient de le bloquer pour contrôle, le jeune homme avait enclenché la marche arrière pour repartir ensuite en avant, heurtant les jambes d’un policier, qui avait alors tiré une balle.

Les proches de M. Camara ont très vite dénoncé une « bavure ».

Arrivé en France en 2018, le jeune Guinéen travaillait dans une base logistique de supermarchés, où il se rendait, selon ses proches. Il était inconnu de la justice, selon le parquet.

Entre 800 et 1.000 personnes avaient participé à une marche après sa mort, réclamant justice, en présence de l’ambassadeur de Guinée en France, Sinkoun Sylla.

Cette affaire fait écho à la mort mardi à Nanterre, près de Paris, de Nahel, un jeune automobiliste de 17 ans, tué par un policier alors qu’il tentait d’échapper à un contrôle routier. Le drame a entraîné deux nuits de violences dans toute la France.

Avec l’AFP

 

 

Gourma : L’iman El-hadj Aboubacar Kina a prié pour la paix et pour une bonne saison hivernale

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Gourma : L’iman El-hadj Aboubacar Kina a prié pour la paix et pour une bonne saison hivernale

Fada N’Gourma, (AIB)-L’imam Aboubacar Kina a dirigé la prière de la fête de la Tabaski ce mercredi 28 juin 2023 à Fada N’Gourma. Il a prié pour la paix au Burkina Faso et souhaité une bonne saison hivernale afin que ses braves paysans fassent de bonnes récoltes.

C’est devant le gouverneur de la région de l’Est, le colonel Hubert Yaméogo, accompagné des autorités régionales et communales, les représentants des autres confessions religieuses et les fidèles musulmans que l’imam El-hadj Aboubacar Kina, a dirigé la prière de la Tabaski sur la place des martyrs de Fada N’Gourma.

Dans son sermon, l’imam a rappelé aux fidèles musulmans l’importance de la fête de la Tabaski avant d’implorer Allah d’accorder la paix au Burkina Faso en particulier et dans le monde en général.

Il a également souhaité une bonne saison hivernale au pays des hommes intègres afin que ses braves paysans fassent de bonnes récoltes.

Le gouverneur de la région de l’Est, le colonel Hubert Yaméogo, a déclaré que « la célébration de la Tabaski est une occasion pour nous de témoigner notre reconnaissance à cette communauté qui héberge les personnes déplacées et aussi l’inviter à faire preuve de partage et de solidarité dans la vie de tous les jours ».

«  Nous souhaitons bonne fête à tous les musulmans. Nous sommes venus pour leur témoigner de notre solidarité, de notre fraternité et prier avec eux pour demander la sécurité et la paix pour notre pays », a indiqué le représentant de l’église catholique, l’abbé Pascal Soubeiga.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/bz

 

Burkina: Tabaski, procès et terrorisme au menu des quotidiens

Burkina-Presse-Revue

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Burkina: Tabaski, procès et terrorisme au menu des quotidiens

Ouagadougou, 29 juin 2O23 (AIB)- Les quotidiens burkinabè de ce  jeudi font écho du procès de l’ancien ministre en charge des Transports, de l’attaque d’un convoi de ravitaillement qui a fait 34 morts et une vingtaine de blessés  dans la province du Soum,  sans oublier la fête de la Tabaski célébrée hier.

« Aïd-El-Kébir 2023 : La prière a été consacrée à la paix et aux victimes de terrorisme », arbore en manchette, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso, évoquant la fête de Tabaski, célébrée la veille.

A ce sujet, le quotidien public Sidwaya titre à sa Une : « Tabaski 2023 : sous le signe de la cohésion sociale ».

Le journal informe que les fidèles musulmans, à l’occasion de la fête de Tabaski,  ont prié le mercredi 28 juin à Ouagadougou à la place de la Nation sous le signe de la paix et  de la cohésion sociale.

Selon lui, la prière a été dirigée par l’imam Abdallah Ouédraogo.

Pour sa part, le quotidien privé Le Pays soutient que la communauté musulmane a  prié pour le retour de la paix.

Le confrère indique qu’après deux rakats  de prières, suivies de son sermon, l’imam Abdallah Ouédraogo a rappelé l’histoire de la Tabaski et les mérites de  ses actes.

Selon le journal, il a formulé des bénédictions pour les  Forces de défense et de sécurité (FDS) qui sont en avant-première dans la lutte contre le terrorisme.

Le quotidien privé précise que l’imam Ouédraogo a salué la présence des autres confessions religieuses aux côtés des musulmans.

Quant au doyen des quotidiens privés L’Observateur Paalga, il informe qu’il y avait une  délégation gouvernementale forte de quatre ministres à la prière.

Pour lui, il s’agit des ministres en charge de la Fonction publique, de l’Administration territoriale, de la Justice et de l’Education nationale.

Sous un autre angle, le même journal  titre à sa Une: «  Procès Vincent Dabilgou et 6 autres : des directeurs régionaux des  transports marquent un arrêt au prétoire ».

A l’en croire,   à la reprise de l’audience mardi 27 juin dernier, des directeurs régionaux des transports  se sont succédé à la barre pour éclairer la lanterne des différentes parties engagées dans ce procès.

D’après L’Observateur Paalga, il était question pour eux de donner des réponses sur les fameux faux bordereaux qu’ils ont signés pour justifier du carburant qu’ils ont reçu.

Sur le même sujet, le journal public Sidwaya  renseigne qu’au nombre des témoins qui se sont succédé à la barre pour apporter leur part de « vérité » sur le dossier, l’on peut retenir entre autres, Salfo Souleymane Ilboudo, administrateur général de la société Ildo Oil, Aristide Méda.

Le quotidien d’Etat fait savoir que des  anciens directeurs régionaux des transports  Ali Ramdé, Ibrahim Sanfo, Abdoulaye Sinon, et Amadou Onadadja étaient à la barre.

Sous un autre volet, le quotidien privé édité à Bobo, L’Express  du Faso affiche : « Attaque de Namsiguia, ils ont encore tout fait pour nous endeuiller ».

Le journal bobolais  relate que le lundi 26 juin 2023 dans la localité de Namsiguia (Soum), les «forces du mal »   ont attaqué un convoi de ravitaillement qui revenait de Djibo.

Pour le doyen des quotidiens privés, le bilan provisoire enregistré après les premières opérations de ratissage  fait état de trente-quatre (34) tombés (31 militaires et 3 VDP) et une vingtaine de blessés.

Le journal précise que plus de 40 terroristes ont été neutralisés lors de l’attaque terroriste.

Agence d’information du Burkina

LM/no/ak

Tabaski/Loroum : Les fidèles musulmans de Titao prêchent pour un retour de la paix

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Tabaski/Loroum: Les fidèles musulmans de Titao prêchent pour un retour de la paix

Ouagadougou, 28 juin 2023 (AIB) – Les fidèles musulmans de Titao, dans la province du Loroum, à l’instar de ceux d’autres localités, ont prié, ce mercredi, pour le retour de la paix.

A Tansaliga, bourgade située à quelques encablures au sud de la ville de Titao, dans le secteur 1, les fidèles musulmans se sont retrouvés sur l’esplanade de la mosquée. Ils ont fait les deux rakats et sacrifié au rituel du mouton.

A Bounayiri, secteur 6 de Titao, c’est le même scénario. L’imam Abdoul Aziz Ouédraogo a prêché pour un retour de la paix et de la cohésion d’antan.

Sur d’autres espaces de prières, à Sogodin et au secteur 3, les communautés ont communié en prière.

Agence d’information du Burkina

ASO/ak

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