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Burkina : Une fondation donne le sourire à des enfants vivant avec un handicap

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Burkina : Une fondation donne le sourire à des enfants vivant avec un handicap

Ouagadougou, 18 déc. 2021 (AIB)- La Fondation internationale Tierno et Mariam (FITIMA) a offert samedi, des cadeaux à des enfants vivant avec un handicap, afin de leur permettre de retrouver le sourire à cette période de Noël.

«Nous avons des enfants qui sont en rééducation  et nous leur offrons des cadeaux pour contribuer à leur éveil», a déclaré la coordonnatrice de la Fondation internationale Tierno et Mariam (FITIMA), Aminata Diallo.

La première responsable de FITIMA s’exprimait samedi à Ouagadougou, lors d’un Arbre de Noël initié par sa structure, au profit d’une quarantaine d’enfants vulnérables dont une vingtaine est en rééducation.

Selon elle, le handicap  n’est pas une fatalité et ce qui a motivé sa structure a témoigné sa solidarité, sa fraternité et son amour par des dons de  ballons et de jouets, à l’endroit des  femmes et les enfants vivant avec un handicap.

Aminata Diallo a rappelé que sa structure est une Organisation non gouvernementale qui favorise l’accès aux soins de santé  aux enfants vivant avec un handicap et leur intégration dans la société par un encadrement socio-éducatif.

La fondation forme également des femmes en droits humains  et à la promotion des activités génératrices de revenus (AGR), a précisé Aminata Diallo.

Mme Diallo a remercié les partenaires qui soutiennent l’arbre de Noël depuis plusieurs années.

La coordonnatrice du FITIMA a saisi l’occasion pour énumérer les difficultés de fonctionnement, les retards de financement et l’insuffisance  du personnel qui plombent le suivi adéquat des enfants vivant avec un handicap.

Créée en septembre 2003, la FITIMA est une ONG, à but non lucratif  qui oeuvre pour la promotion  de droits humains et la protection des enfants et des femmes.

Agence d’information du Burkina

OSY-NO/ata/

 

Burkina : Des unités militaires déployées à Titao et à Thiou pour traquer des assaillants

Burkinabe soldiers stand in position near the Presidental Security Regiment (RSP) military barracks on September 29, 2015 in Ouagadougou. Burkina Faso's government on September 28 accused an elite presidential guard, led by coup leader Gilbert Diendere, behind this month's week-long coup of refusing to disarm, of seizing loyalist troops, and of planning yet more trouble. "The disarmament process started Saturday (September 26) was forcably questioned by General Diendére who informed his elements that the RSP can not be dissolved by the transitional goverment and it was better to resist," according to a government statement. AFP PHOTO / SIA KAMBOU

Burkina : Des unités militaires déployées à Titao et à Thiou pour traquer des assaillants

Ouagadougou, 20 déc. 2021(AIB)- L’armée burkinabè a déployé, au cours de la semaine écoulée, des unités et une couverture aérienne aux environs de Titao (Loroum) et de Thiou (Yatenga) pour traquer des assaillants qui terrorisent les populations, selon le bilan hebdomadaire des actions de l’armée transmise lundi à l’AIB.

D’après la même source, une attaque a été repoussée le 17 décembre dernier à Bango (Yatenga) par une unité de l’armée qui a enregistré trois blessés.

Le même jour, sur l’axe Dori-Gorom-Gorom, un gendarme est tombé lors d’une attaque qui a permis de neutraliser un terroriste et récupérer de l’armement.

Agence d’information du Burkina

Attention: Photo d’illustration et d’archive

 

Passoré: L’UNIR-MPS lance une opération de don de sang pour soutenir les victimes des attaques terroristes

Des militants donnant l'exemple au siège du parti à Yako.

Passoré: L’UNIR-MPS lance une opération de don de sang pour soutenir les victimes des attaques terroristes

Yako, (AIB)-L’Union pour la renaissancemouvement patriotique sankariste (UNIR/MPS) a organisé le samedi 18 décembre 2021 à Yako, une opération de don de sang pour soutenir les victimes des attaques terroristes que sont les déplacés internes, les Volontaires pour la défense de la patrie ( VDP) et les Forces de défense et de sécurité (FDS).

Remi Kafando est instituteur de formation. Ce samedi 18 décembre 2021, il dit être venu au siège de l’Union pour la renaissance-Mouvement patriotique sankariste ( UNIR/MPS) à Yako pour offrir un peu de sang aux victimes des attaques terroristes que sont les forces de défense et de sécurité, les Volontaires pour la défense de la patrie ( VDP) ainsi que les Personnes déplacées internes ( PDI).

Comme lui, Yvette Sawadogo épouse Logoré dit elle aussi accepter de donner son sang pour porter secours à ceux qui en ont besoin.

Et c’est ainsi que les populations de Yako se sont mobilisées pour répondre à  l’appel de l’UNIR/MPS  à la faveur d’une opération de don sang organisée ce samedi 18 décembre 2021 au siège provincial du parti à Yako.

Des populations ont exprimé leur solidarité en donnant de leur sang pour soutenir les victimes des attaques terroristes.

Pour l’élu national du parti pour le compte du Passoré, Halidou Sanfo, l’opération  se veut l’expression de la solidarité des sankaristes.

Prévu se tenir dans l’ensemble des 13 régions, le lancement officiel de l’opération est intervenu simultanément ce samedi 18 décembre 2021 à Bobo-Dioulasso, Réo, Ouagadougou et Yako.

«Vous savez que notre pays fait face actuellement au terrorisme qui a fait de nombreuses victimes et qu’aujourd’hui avec les blessés, on a besoin de beaucoup de sang.  C’est la raison pour laquelle l’UNIR/MPS a estimé qu’il faut être solidaire avec les  Personnes déplacées internes (PDI), les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) et surtout avec les Forces de défense et de sécurité (FDS)», a indiqué Halidou Sanfo.

Au regard de l’importance de ce liquide précieux qui se fait rare  dans les formations sanitaires et surtout en fin d’année, M. Sanfo et ses camarades militants du parti au Passoré  invitent l’ensemble des Burkinabé sans distinction de partis politiques  à accepter d’accompagner les centres de santé du pays, en offrant un peu de leur sang.

Il a aussi indiqué qu’à travers l’opération de Yako, ce sont 300 poches de sang qui sont attendues. Pour ce qui est des autres provinces, l’honorable Sanfo a annoncé qu’un calendrier va être établi par le ministère de Santé.

Halidou Sanfo: »Nous demandons à tous ceux qui ont quelque chose pour les déplacés internes à passer au siège du parti à Yako pour manifester leur solidarité’’.

En marge du don de sang, a laissé entendre l’élu national, le parti de l’œuf lance un appel à  solidarité des Bukinabé à travers une collecte de dons de divers natures  en vue de soutenir les déplacés internes. La remise est prévue le 15 janvier 2022.

« Notre objectif, c’est que les PDI puissent retourner dans leurs communautés de base mais en attendant ils ont un besoin qui est la survie et il faut les aider à pouvoir se nourrir et à pouvoir faire les fêtes de fin d’années comme les autres de façon convenable», a-t-il expliqué.

Les sankaristes du Passoré ont  invité les bonnes volontés à se mobiliser massivement pour la cause au siège du parti à Yako.

Agence d’information du Burkina

Zezouma Elie SANOU

Burkina : Les acteurs du secteur de l’énergie présentés aux journalistes

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Burkina : Les acteurs du secteur de l’énergie présentés aux journalistes

Koudougou, 20 déc. 2021 (AIB)- Le directeur des Affaires juridiques et du contentieux de l’Autorité de régulation du secteur de l’énergie (ARSE), Léonard Sanon a présenté lundi, à Koudougou, aux journalistes, les différents acteurs du secteur de l’énergie avec en tête l’État.

L’État, les collectivités territoriales, les coopératives d’électricité sont, entre autres, les acteurs du secteur de l’énergie, a cité lundi, le directeur des Affaires juridiques et du contentieux de l’ARSE, Léonard Sanon.

 »L’énergie ne suffit pas donc il faut permettre aux gens de produire pour eux-mêmes et même pour vendre. Pour cela, il faut se faire délivrer un titre  », a-t-il affirmé.

Les missions des différents acteurs, les conditions de distribution, d’importations et d’exportations de l’énergie ont été aussi évoquées par M. Sanon.

Léonard Sanon a présenté la première communication de l’atelier d’information et de formation des journalistes sur la régulation et les missions de l’ARSE prévu du lundi au mercredi à Koudougou.

Dans la phase des questions, Léonard Sanon a expliqué que dans les rapports entre le fournisseur d’électricité et les consommateurs, il y a un contrat qui oblige l’un à fournir l’électricité à l’autre qui doit à son tour, s’acquitter de sa consommation.

Si l’un ne respecte pas les clauses du contrat à l’image de la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) au vu des récurrents délestages que subissent les consommateurs, il doit être sanctionné et la partie brimée doit être dédommagée.

Léonard Sanon a reconnu qu’une des missions de sa structure, c’est de défendre les droits des consommateurs.

A cet effet, un service existe au sein de sa direction pour cette tâche.

 » Malheureusement  », a-t-il reconnu, ce service n’est pour le moment pas  » fonctionnelle  ».

Dans un avenir proche, l’objectif de l’ARSE est d’arriver à sanctionner les parties qui ne respecteront pas les termes du contrat, selon Léonard Sanon.

Agence d’information du Burkina

WIS/az

Manga : Un institut s’attaque à «la mauvaise compréhension du système judiciaire» par les justiciables

Les officiels et les participants ont échangé sans langue de bois.

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Manga : Un institut s’attaque à «la mauvaise compréhension du système judiciaire» par les justiciables

Manga, 18 déc. 2021 (AIB) – L’Institut des Etats unis pour la paix a organisé, samedi, à Manga (Centre-sud), une session de formation à l’attention d’acteurs locaux,  afin de «résoudre la mauvaise compréhension ou appréhension du système judiciaire ».

«Nous pensons que si le citoyen lambda connait le fonctionnement de la justice, cela peut permettre de résoudre une grande partie du problème qui se retrouve entre le justiciable et la justice, notamment, la mauvaise compréhension ou la mauvaise appréhension du système judiciaire », a indiqué, samedi, Sandrine Nama, coordonnatrice de programmes de l’Institut des Etats unis pour la paix ou United States Institute for Peace (USIP) dans sa déclinaison anglaise.

Madame Nama s’exprimait samedi, lors de la session de formation des élèves et étudiants de la ville de Manga (Centre-sud), après celle consacrée aux leaders communautaires et membres d’Organisation de la société civile (OSC), la veille.

Elle a expliqué que la méconnaissance de plusieurs aspects du système judiciaire constitue des obstacles à l’accès à la justice.

Les élèves se sont dits satisfaits de la formation.

Le rôle spécifique des acteurs, les différents types de juridictions, les notions de prescription et d’exécution, sont méconnus de nombreux justiciables, a souligné le procureur du Faso près le Tribunal de grande instance (TGI) de Manga, Charles le Bon Kaboré.

«Les gens se demandent par exemple pourquoi celui qui a volé une moto, on peut facilement l’attraper et le juger mais quand c’est une affaire qui concerne un ministre on ne le poursuit pas », a illustré le procureur.

Il a, alors, rappelé que les ministres sont soumis aux procédures de la Haute cour de justice, à l’inverse des autres citoyens.

Saluant l’organisation des ateliers, Charles le Bon Kaboré s’est dit convaincu qu’une meilleure connaissance de l’appareil judiciaire par la population civile va favoriser le rapprochement des justiciables des acteurs de la justice et, par ricochet, briser les barrières à l’accès à la justice.

Le procureur du Faso près le TGI de Manga se félicite aussi du choix des leaders communicateurs et surtout des élèves et étudiants comme bénéficiaires de la formation.

Ceux-ci constituent «l’avenir de la Nation et une bonne pépinière pour semer les graines de la culture de la justice et le travail de consolidation de l’Etat de droit», a-t-il soutenu.

Clémence Nacoulma et Daniel Maré, élèves en 1ère D et en BP1 structure métallique ont affiché leur satisfaction car désormais mieux outillés sur l’organisation et le fonctionnement de la justice.

En rappel, les sessions de formation des justiciables s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet pilote «Améliorer la performance et la confiance dans le système judiciaire burkinabè».

En attendant son passage à la mise à l’échelle, la phase expérimentale du projet est exécuté dans le ressort du TGI de Manga avec l’accompagnement du Centre d’information et de formation en matière de droits humains en Afrique (CIFDHA) et l’Association pour le développement et l’intégration de la jeunesse rurale (ADIJR).

Agence d’information du Burkina

MZ/ata

Politique, justice et sécurité dominent la Une des quotidiens burkinabè

Burkina- Presse-Revue

Politique, justice et sécurité dominent la Une des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 20 déc. 2021 ( AIB )-  Les  parutions burkinabè de ce lundi évoquent à leur Une, la situation sécuritaire , le procès de l’assassinat de Thomas Sankara et de ses compagnons d’infortune, sans oublier le 8e congrès ordinaire du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), tenu les 18 et 19 décembre 2021.

« 8e Congrès ordinaire du CDP : Eddie prend les pleins pouvoirs », arbore le doyen des quotidiens privés du  Burkina Faso, L’Observateur Paalga.

Le journal rapporte que le 8e congrès ordinaire du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) tenu les 18 et 19 décembre à Ouagadougou a renouvelé les instances dirigeantes de l’ex-parti au pouvoir.

De son avis, Eddie Komboïgo, le seul candidat au poste de président, a obtenu les faveurs de tous les membres du Bureau politique national (BPN) pour rebeloter pour un second mandat de quatre ans.

Pour le confrère, le chemin qui a conduit à ce congrès s’est fait entre batailles judiciaires et lettres interposées.

Le doyen des quotidiens privés burkinabè signale que  le président d’honneur, en exil en Côte d’Ivoire depuis 2014 a été dépourvu de toutes ses attributions.

Dans la même veine, le journal privé Le Pays soutient que les congressistes ont donné leur accord au président de mettre en place  une commission pour mener des réflexions sur le changement de dénomination et du logo du parti.

Il rappelle que les 7 personnes qui ont convoqué le parti en justice ont été suspendues pour une durée de 6 mois.

De son côté, le quotidien national Sidwaya précise que Eddie Komboïgo a été élu à l’issue de  la 8e instance statutaire du parti « de l’épi et de la daba ».

Le quotidien d’Etat souligne qu’il s’est réjoui à cet effet, de sa désignation pour poursuivre l’ancrage du parti  pour la reconquête du pouvoir d’Etat.

Quant au quotidien privé L’Express du Faso, édité à Bobo Dioulasso, il  laisse voir à sa première page : «  Congrès ordinaire du CDP : Blaise Compaoré dépouillé de ses attributions ».

Sous un autre chapitre, le même journal note à sa Une : «  Situation nationale : Le Conseil de défense examine la situation sécuritaire ».

A  l’en croire, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a regroupé le samedi  18 décembre 2021 à Ouagadougou, le conseil national de sécurité, afin d’affûter les armes pour venir à bout de l’hydre terroriste au Burkina.

A ce propos, le quotidien privé Le pays fait savoir qu’une Organisation de la société   civile (OSC) dénommée «  En avant pour la démocratie participative (EDP), en collaboration avec l’Association des jeunes Nong-Taaba a animé samedi dernier, une conférence de presse à Bobo Dioulasso.

A le (journal) lire, il s’est s’agi pour ces deux structures de présenter une alternative  démocratique pour le pays et de lancer un appel solennel inter-association à l’ensemble des  Burkinabè.

Toujours au sujet de la situation nationale, le journal public souligne que le nouveau Premier ministre, Lassina Zerbo a effectué une visite de courtoisie,  le vendredi  17 décembre 2021, à L’Assemblée nationale.

Aux dires de Sidwaya,  le chef de l’exécutif burkinabè est parti solliciter le soutien des députés pour  la réussite de sa mission  et du combat contre le terrorisme.

Le quotidien national sur le procès Thomas Sankara et de ses compagnons révèle que selon le témoin Yacouba Traoré, l’aspect du président de la  Révolution n’est pas rassurant le jour du 15 octobre 1987.

D’après l’ancien cadre de banque, il a dû quitter le président Sankara en larmes.

Dans la même optique, L’Observateur Paalga confie que le témoin, Ambroise Diarra renseigne  que la  Force d’intervention du ministère de l’Administration territoire territorial et de la sécurité (I FITMAT) n’a jamais désarmée ou neutralisée.

Le journal note  également que M. Diarra était  le second responsable de ladite force au moment des faits.

Agence d’information du Burkina

NO/ak

Burkina : Ouverture de l’atelier sur le secteur de l’énergie au profit des journalistes

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Burkina : Ouverture de l’atelier sur le secteur de l’énergie au profit des journalistes

Koudougou, 20 déc. 2021 (AIB)-La présidente de l’Autorité de régulation du secteur de l’énergie Mme Mariam Gui Nikiema a présidé ce lundi matin, la cérémonie d’ouverture de l’atelier d’information et de formation des journalistes sur la régulation et les missions de sa structure.

Selon Mme Mariam Gui Nikiema, l’atelier permettra de renforcer les capacités des journalistes pour qu’ils appréhendent les concepts et les fondamentaux de l’Autorité de régulation du secteur de l’énergie (ARSE).

Elle a indiqué qu’actuellement, le Burkina Faso importe 60%  de ses besoins énergétiques auprès de la Côte d’Ivoire et du Ghana.

 » Au cours de cet atelier, nous comptons sur les échanges pour améliorer nos missions  » a-t-elle fait savoir aux journalistes.

L’atelier d’information et de formation des journalistes sur la régulation et les missions de l’ARSE est prévue du lundi au mercredi à Koudougou (Centre Ouest).

Agence d’information du Burkina

WIS/az

Burkina : L’hôpital de Bogodogo offre des cadeaux à 750 enfants du personnel pour Noël

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Burkina : L’hôpital de Bogodogo offre des cadeaux à 750 enfants du personnel pour Noël

Ouagadougou, 20 déc. 2021 (AIB)-La cellule sociale du Centre hospitalier universitaire de Bogodogo (CHU-B) a offert samedi, des cadeaux à près de 750 enfants du personnel dudit établissement sanitaire dans le cadre de la célébration de la Noël 2021.

Selon le Directeur général (DG) du Centre hospitalier universitaire de Bogodogo (CHU-B), Seydou Nombré, la cérémonie de remise des cadeaux « n’a aucun caractère religieux ».

« Au-delà de son caractère festif, elle est un signe d’engagement fort, de compassion et de solidarité vis-à-vis des enfants », a-t-il renchéri.

Le DG s’exprimait samedi à Ouagadougou, à l’occasion de la 5e édition de l’arbre de Noël, organisé par la cellule sociale de son établissement sanitaire.

Le premier responsable du CHU-B a précisé que cette rencontre témoigne également de l’ambiance « conviviale » qui règne entre les travailleurs.

Seydou Nombré a rappelé que l’arbre de Noël de cette année se tient dans un contexte particulier marqué par la pandémie de la Covid-19 et de la crise sécuritaire.

Pour lui, cela a conduit le bureau de la cellule sociale à revoir le format de la manifestation par un petit nombre d’enfant à la cérémonie.

« Je tiens à saluer les membres du bureau qui ont décidé de préserver la bonne santé de nos enfants », a-t-il poursuivi.

Le DG du CHU-B a aussi félicité son personnel qui se bat avec dévouement et efficacité pour contribuer à l’amélioration de la santé de la population et des enfants en particulier.

Le président de la cellule sociale du CHU-B, Dr Christian Zoundi, a noté que le volet social de l’hôpital permet aux agents de se connaitre, de se rencontrer et de renforcer la cohésion sociale.

De l’avis de M. Zoundi par ailleurs médecin anesthésiste et animateur, l’arbre de Noël fait partie des activités phares de la cellule sociale.

« Nous avons tenu cette année malgré le contexte difficile de l’organiser quand même mais sous un autre format sans regroupement conformément aux recommandations du Comité de prévention et de contrôle des infections associées aux soins de l’hôpital », a-t-il dit.

A l’entendre, près de 750 enfants sont inscrits pour l’arbre de Noël  2021 du CHU-B et ceux-ci entreront tous en possession, de leurs dons, par leur centralisation au niveau des différents services.

« Les majors des différents services vont s’en occuper pour que chaque enfant ait son cadeau », a conclu Christian Zoundi.

Agence d’information du Burkina

NO/wis

Burkina : Eddie Komboïgo réélu président du Congrès pour la démocratie et le progrès

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Burkina : Eddie Komboïgo réélu président du Congrès pour la démocratie et le progrès

Ouagadougou, 20 déc. 2021 (AIB)-Le président sortant du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP-principal parti d’opposition), Eddie Komboïgo a été réélu dimanche, président au cours d’un congrès boycotté par ses vices présidents.

Le président sortant du CDP, l’expert-comptable Eddie Komboïgo a été réélu aux environs de 2 heures du matin, pour un nouveau mandat de quatre ans par les congressistes.

Le 8è Congrès ordinaire du principal parti d’opposition s’est déroulé les 18 et 19 décembre 2021 sous le thème,   » Le CDP, l’alternative crédible face aux enjeux actuels et futurs pour un Burkina réconcilié, résilient et prospère « .

Au cours d’une conférence de presse en milieu de semaine, les vice-présidents du CDP, opposés à la tenue du Congrès, avaient annoncé la suspension pour six mois, du président Eddie Komboïgo.

Celui-ci, au cours d’une autre conférence jeudi dernier, s’est interrogé sur les motivations de son vice-président Achille Tapsoba qui est pourtant le président du comité d’organisation du congrès.

Le président réélu annonce de grandes mesures  pour le parti, notamment, le changement de nom et du logo.

Le huitième congrès du CDP a décidé de dépouiller  Blaise Compaoré de ses attributions de président d’honneur.

« Nous avons retenu de garder le président Blaise Compaoré comme président d’honneur, mais nous avons retiré l’ensemble des attributions qui lui étaient accordées. Le président d’honneur a un titre honorifique », a expliqué le président Eddie Komboïgo.

Agence d’information du Burkina

WIS/az 

 

 

Burkina : Tenue d’un Conseil supérieur de la défense nationale axé sur les enjeux sécuritaires

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Burkina : Tenue d’un Conseil supérieur de la défense nationale axé sur les enjeux sécuritaires

Ouagadougou, 18 déc. 2021 (AIB)-Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a présidé ce samedi à Ouagadougou, un Conseil supérieur de la défense nationale (CSDN) axé sur les enjeux sécuritaires.

La session a examiné la situation sécuritaire nationale marquée par une recrudescence des attaques terroristes.

Cette session intervient à l’issue des changements majeurs opérés par le président du Faso au sein de l’exécutif, avec la nomination d’un nouveau Premier ministre, la formation d’un gouvernement resserré et de combat, et des remaniements importants au sein de la haute hiérarchie militaire.

C’est donc un CSDN fortement renouvelé qui s’est réuni autour des enjeux sécuritaires du moment, avec à la clé, des orientations pour un meilleur engagement des forces dans la guerre contre le terrorisme.

Agence d’information du Burkina

Source : Direction de la communication de la présidence du Faso

LE MONDE EN BREF DU SAMEDI 18 DECEMBRE 2021

LE MONDE EN BREF DU SAMEDI 18 DECEMBRE 2021

 

PARIS – A une semaine de Noël, les restrictions se multiplient de nouveau à travers le monde face à la montée du variant Omicron, entre rétablissement des jauges, annulation de festivités ou fermeture des lieux culturels, avec une pression accrue sur les non-vaccinés.

 

MOSCOU – La Russie a dévoilé vendredi des propositions de traités pour limiter drastiquement l’influence américaine et de l’Otan dans son voisinage, dont les Etats-Unis se sont dits prêts à discuter, en consultation avec les Européens.

 

LONDRES – Embourbé dans une série de scandales, le Premier ministre britannique Boris Johnson a dit vendredi « assumer » la responsabilité de la défaite de son parti conservateur à une élection locale, qui le fragilise encore en pleine résurgence épidémique.

 

VIENNE – Les négociateurs sur le nucléaire iranien se sont quittés vendredi en faisant état de légers progrès, mais les Européens ont insisté sur « l’urgence » de se retrouver au plus vite.

 

PARIS – La France va demander à la Commission européenne d’engager une procédure de contentieux contre le Royaume-Uni pour tenter d’obtenir encore quelques licences pour ses pêcheurs, mais s’est déjà résolue à lancer en parallèle un « plan d’accompagnement » pour les professionnels restés à quai.

 

PARIS – Emmanuel Macron a annulé vendredi le déplacement qu’il devait effectuer au Mali pour rencontrer le président de la transition et célébrer Noël avec les troupes françaises, avançant officiellement la crise du Covid-19, dans un climat de forte tension entre Paris et Bamako.

 

NEW YORK – L’ancienne mondaine britannique Ghislaine Maxwell, jugée à New York pour trafic sexuel, a affirmé vendredi que l’accusation n’avait pas apporté la preuve de sa culpabilité dans les crimes sexuels de son ancien partenaire américain Jeffrey Epstein mort en prison en 2019.

 

NIAMEy – Le président nigérien Mohamed Bazoum a « exigé des autorités françaises » une enquête sur les heurts fin novembre sur la route du convoi militaire de la force Barkhane, au cours desquels trois personnes ont été tuées selon Niamey.

 

LIBREVILLE – Un entraîneur de football de premier plan au Gabon est soupçonné d’avoir agressé sexuellement des centaines d’enfants et le chef de l’Etat a demandé vendredi à la Justice d’ouvrir une enquête et de l’élargir à toutes les fédérations sportives du pays pour en « éradiquer les prédateurs sexuels ».

 

BRUXELLES – Bruxelles a annoncé vendredi ouvrir une enquête sur le projet de suppression des vols intérieurs en France en cas d’alternative en train de moins de 2H30, à la satisfaction d’une partie du secteur aérien qui conteste la pertinence de cette mesure de lutte contre le changement climatique.

 

MILAN (Italie) – Telecom Italia, convoité par le fonds d’investissement KKR, a réussi vendredi à négocier le départ définitif de son ancien PDG, mais a remis à plus tard sa décision très attendue sur la proposition de rachat soumise par le groupe américain.

 

TUNIS – « A bas le coup d’Etat » d’un côté, « tous avec Kais Saied » de l’autre: des centaines d’opposants et de partisans du président tunisien ont manifesté vendredi en Tunisie, dans un contexte de tensions exacerbées, à l’occasion du 11ème anniversaire de la Révolution de 2011.

 

GENEVE (Suisse) – L’ONU a donné vendredi son feu vert à un mécanisme international d’enquête sur les exactions commises depuis un an en Ethiopie, une décision qui va « exacerber la situation sur le terrain » selon Addis Abeba.

 

BERLIN – Friedrich Merz attendait son heure depuis deux décennies. Désigné vendredi pour prendre la tête des conservateurs allemands de la CDU, il tient sa revanche sur sa grande rivale Angela Merkel mais il va devoir redresser un parti laminé par son échec cuisant aux législatives.

 

PRAGUE – Le président tchèque a nommé vendredi un nouveau gouvernement dirigé par Petr Fiala, un homme de droite dont l’équipe devra lutter contre la pandémie et les difficultés économiques, notamment une inflation galopante.

 

ANTANANARIVO – Accusés d’avoir voulu assassiner le président de Madagasacar Andry Rajoelina, deux Français au nombre des vingt accusés de ce coup d’Etat présumé ont été condamnés vendredi à 10 et 20 ans de travaux forcés par la justice malgache.

 

OSAKA (Japon) – Au moins 24 personnes ont trouvé la mort vendredi dans un incendie qui a ravagé une clinique située dans un petit immeuble commercial au coeur d’Osaka, dans l’ouest du Japon, selon les médias locaux, la police examinant une piste « potentiellement criminelle ».

 

CEBU (Philippines) – Le typhon Rai, le plus puissant à frapper les Philippines cette année, a déraciné des arbres, provoqué l’effondrement de lignes électriques et inondé des villages à travers l’archipel vendredi, laissant au moins 12 morts derrière lui.

 

BERLIN – Douche froide sur l’économie allemande: la Bundesbank a abaissé vendredi sa prévision de croissance pour cette année et l’an prochain, face aux pénuries persistantes dans l’industrie et à la virulente vague de Covid-19, qui contrarient les premiers pas du nouveau gouvernement.

 

STOCKHOLM – Cinq ans que les pyromanes n’étaient pas venus à bout de ce géant de paille: Gävlebocken, un bouc fièrement installé dans le centre de la Suède, ne connaîtra pas son cinquième Noël d’affilée, après avoir été de nouveau incendié dans la nuit de jeudi à vendredi.

Avec afp

 

 

Burkina : Installé, le nouveau ministre des Sports Mathias Tankoano se donne pour urgence, la CAN

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Burkina : Installé, le nouveau ministre des Sports Mathias Tankoano se donne pour urgence, la CAN

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB) – Le nouveau ministre en charge des Sports, Mathias Tankoano installé vendredi à Ouagadougou, veut de toute « urgence », instaurer un climat de paix autour des Etalons afin qu’ils réalisent « un parcours glorieux au Cameroun ».

« Les Burkinabè ont tous déjà le regard sur la prochaine CAN pour laquelle je veillerai en urgence avec la Fédération burkinabè de football à ce qu’un climat de paix règne autour de notre équipe nationale afin qu’elle réalise un parcours glorieux au Cameroun », a lancé le nouveau ministre des Sports, de l’autonomisation des jeunes et de l’emploi Mathias Tankoano.

A quelques jours du démarrage de la plus prestigieuse des compétitions footballistiques du continent qu’est la Coupe d’Afrique des nations (CAN) prévue du 9 janvier au 7 février 2022 au Cameroun,  le climat est un peu trouble entre la Fédération burkinabè de football (FBF) et l’Union nationale des supporters des Etalons (UNSE).

Aussi, le nouveau ministre Tankoano a lancé « un appel à l’ensemble des acteurs du football à (cultiver) un esprit de dépassement de soi pour se pardonner, se comprendre, s’entendre et travailler au bonheur du public sportif burkinabè ».

Mathias Tankoano a été installé ce vendredi par la secrétaire générale du gouvernement et du conseil des ministres, Nana Fatoumata Benon/Yatassaye, en présence des présidents de la FBF Lazare Banssé et de l’UNSE Ousséni Tougma.

Il aura désormais la lourde charge de conduire aux destinées de deux ministères fusionnés, à savoir le ministère des sports et des loisirs et celui de la jeunesse, de la promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi.

A ce titre la secrétaire générale du gouvernement et du conseil des ministres Nana Fatoumata Benon Yatassaye lui a indiqué que « c’est une grande confiance » qui a été placée en lui certainement au regard de ses compétences et de son expérience.

« En même temps c’est une grande responsabilité que vous allez désormais assumer, celle de conduire avec succès la mise en œuvre et le suivi de la politique du gouvernement en matière de sport, d’autonomisation des jeunes et d’emploi », a-t-elle poursuivi.

Elle a également rappelé au nouveau ministre en charge des Sports, que « les ministres doivent être des modèles de probité au travail ».

Le ministre des sports sortant Dominique Nana  qui a passé 11 mois à la tête du département a rappelé à son successeur que « les challenges à relever à l’immédiat sont, la préparation de la CAN 2022 et l’organisation du championnat d’Afrique de cyclisme en mars 2022 ».

Le ministre de la jeunesse, de la promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi Salifou Tiemtoré (2019-2021) a souhaité une poursuite des dossiers en cours de traitement.

Notamment, « la poursuite des discussions autour du projet de construction des centres polyvalents de formation, la poursuite du processus d’élaboration de l’initiative présidentielle de création de 600 000 emplois pour les jeunes, les bourses marocaines pour la formation professionnelle dont les bénéficiaires sont bloqués à Ouagadougou suite à la fermeture des frontières par le Maroc en raison de la pandémie etc. ».

Le ministre Tankoano a dit qu’il s’emploiera à mettre un dispositif institutionnel au plus vite afin de réaliser la lettre de mission qui lui sera assignée.

« Nous sommes les filles et les fils de la même nation. Faisons donc du dialogue permanant notre cheval de bataille afin d’atteindre les objectifs communs de développement », a-t-il conseillé.

Cette passation de charge s’est passée en présence des anciens ministres Rémy Dandjinou (actuel ambassadeur du Burkina Faso en France), Elise Thiombiano (ancien ministre de la culture), du président du Comité national olympique des sports burkinabè, l’honorable Jean Yaméogo et plusieurs autres personnalités du pays.

C’est le 13 décembre que le nouveau Premier ministre Lassina Zerbo a formé son gouvernement de 25 membres dont deux ministres délégués.

Agence d’information du Burkina (AIB)


AS/wis

Le nouveau ministre de la Prospective Abdoulaye Bamogo compte imaginer le futur du Burkina Faso

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Le nouveau ministre de la Prospective Abdoulaye Bamogo compte imaginer le futur du Burkina Faso

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB)- Le nouveau ministre de la Prospective et des Reformes structurelles, Abdoulaye Bamogo s’est engagé ce vendredi, lors de son installation, à imaginer et accélérer le processus de transformation du Burkina Faso pour la génération actuelle et future.

« Ensemble nous allons imaginer notre Faso du futur et accélérer sa réalisation », a déclaré le nouveau patron du ministère de la Prospective et des Reformes structurelles, Abdoulaye Bamogo.

M. Bamogo a été installé ce vendredi par la secrétaire générale du gouvernement et du conseil des ministres, Nana Fatoumata Benon/Yatassaye, à la tête de ce département, nouvellement crée.

Il a indiqué que la création du département de la Prospective et des Reformes structurelles par le  président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, vise à poser les bases de la construction d’une nation forte.

De son avis, même si la question sécuritaire demeure prioritaire, il ne faut pas cependant occulter celle de la préparation du futur. « On ne va pas faire la guerre avant de préparer l’avenir », a-t-il laissé entendre.

Abdoulaye Bamogo a signalé que les missions de son département seront entre autres, la production des études sous formes de diagnostic, de prospective, le suivi et la mise en œuvre des reformes structurelles.

A l’entendre  également, la démarche du ministère  consistera à encourager les investissements,  à  libérer le potentiel de croissance et à améliorer le niveau de vie des populations du Burkina Faso.

M. Bamogo a remercié le président Kaboré pour la confiance placée à sa modeste personne pour rejoindre le gouvernement de combat à cette période de crise sécuritaire.

En rappel,  le lundi 13 décembre 2021, Abdoulaye Bamogo a été nommé ministre de la Prospective et des Reformes structurelles dans le gouvernement Lassina Zerbo I.

Agence d’information du Burkina

NO/wis

Burkina : La ministre du genre compte renforcer la prise en charge des déplacés internes

Burkina-Ministère-Action Sociale

Burkina : La ministre du genre compte renforcer la prise en charge des déplacés internes

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB)-La nouvelle ministre du genre, de la solidarité nationale, de la famille et de l’action humanitaire, Mme Fati Ouédraogo/Zizien a été installée ce vendredi à Ouagadougou. Elle s’est engagée à renforcer la prise en charge des déplacés internes.

« Les défis auxquelles ce département est confronté (…) ont pour nom, le renforcement de la prise en charge des personnes déplacées internes du fait de la situation sécuritaire dans notre pays », a indiqué vendredi la ministre Fati Ouédraogo/Zizien.

Mme Ouédraogo/Zizien a été installée vendredi, à Ouagadougou, comme ministre du genre, de la solidarité nationale, de la famille et de l’action humanitaire, par la secrétaire générale du gouvernement et du conseil des ministres, Nana Fatoumata Benon/Yatassaye.

Elle a affirmé qu’elle ne vient pas en terrain inconnu pour avoir occupé le poste de secrétaire générale de ce même département depuis mars 2016.

Aussi, elle compte œuvrer avec l’accompagnement de tous ses collaborateurs, à « la consolidation des filets sociaux de sécurité au profit de toutes les personnes vulnérables et personnes à besoins spécifiques ».

La nouvelle ministre compte également renforcer « la lutte contre les inégalités et les iniquités de genre, (de même qu’à) l’autonomisation sociale, politique et économique de la femme burkinabè et la consolidation du rôle de la famille ».

Mme Ouédraogo/Zizien n’a pas manqué de saluer son prédécesseur qui selon elle, a atteint à la date du 15 décembre, des objectifs de 77,75%, malgré le contexte national marqué par les situations sécuritaire, sanitaire et humanitaire difficiles.

Sur les résultats engrangés par Laurence Marshall Ilboudo, elle a cité l’opération de retrait des enfants, des jeunes et femmes de la rue, la mise en œuvre du projet d’acquisition et d’installation d’unités économiques au profit des femmes des 13 régions du Burkina Faso.

Elle a aussi évoqué l’opérationnalisation du fond de l’amitié ivoiro-burkinabè pour la promotion de la femme.

Elle a terminé ses propos en réitérant son engagement auprès de la ministre sortante, de continuer les chantiers qu’elle a commencé pour le bonheur de leurs clients ou usagers.

La ministre sortante de la Femme, de la solidarité nationale, de la famille et de l’action humanitaire, Laurence Marshall Ilboudo a invité ses anciens collaborateurs « à rester mobilisés, engagés et rassemblés autour de la nouvelle ministre pour qu’ensemble » ils puissent relever les nouveaux défis.

Agence d’Information du Burkina

OSY/wis

Burkina : La ministre Sori-Coulibaly compte rendre dynamique les coopérations au service de la sécurité

Burkina-Politique-Diplomatie-Installation

Burkina : La ministre Sori-Coulibaly compte rendre dynamique les coopérations au service de la sécurité

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB)- La nouvelle ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly, installée ce vendredi, à Ouagadougou, dans ses fonctions, compte rendre davantage dynamique les coopérations au service de la sécurité.

« Il faut redynamiser les coopérations au service de la sécurité. Et c’est un travail qui n’incombe pas seulement au ministre des Affaires étrangères mais il apportera sa contribution dans le cadre de son mandat » a indiqué vendredi Mme Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly.

Nommée lundi soir, ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur, Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly a été installé dans ses fonctions ce vendredi par la secrétaire générale du gouvernement et du conseil des ministres, Nana Fatoumata Benon/Yatassaye.

Dans le contexte de crise sécuritaire que vit le Burkina Faso, Mme Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly propose « la diplomatie des citoyens ou une diplomatie d’ordre publique ».

Selon elle, la population doit connaitre le choix des dirigeants « basé sur  l’intérêt  du pays, (et) le travail diplomatique (doit) épouser les changements internationaux dans un monde global ».

Elle a affirmé que le « conteste géopolitique oblige d’avoir une diplomatie d’influence pour impacter l’agenda régionale et internationale sur les questions relatives à la construction de la paix au sahel notamment ».

« Il faut une diplomatie capable de fédérer pour impulser la meilleure gouvernance politique de questions transcendantes des frontières nationales », a-t-elle soutenu.

Pour Mme Sori-Coulibaly, la diplomatie burkinabè doit incarner cette nouvelle dynamique pour permettre à notre pays de tirer les meilleurs avantages de notre coopération.

La nouvelle ministre en charge des Affaires étrangères a reconnu qu’elle prend les rênes de la diplomatie dans une période où le Burkina Faso, « doit faire face à divers maux qui mouchètent son rayonnement à l’international ».

Aussi, elle dit mesurer « l’ampleur de la tâche et (reste) persuadée que le succès de la transformation radicale (du Burkina Faso) passe par le succès de (sa) diplomatie ».

Pour réussir sa mission, Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly, « ne compte (pas) être le messie ni un héros solitaire » mais plutôt, « un serviteur (qui) imprimera avec engagement et conviction, la dynamique nouvelle ».

« C’est ensemble avec chaque  maillon de la chaine que nous pourrons atteindre les missions confiées à notre département », a-t-elle conclu.

La secrétaire générale du gouvernement et du conseil des ministres Nana Fatoumata Benon/Yatassaye a félicité et encouragé la ministre entrante Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly.

Le ministre sortant Alpha Barry, a également félicité son collègue et lui a souhaité la bienvenue dans sa nouvelle maison.

Mme Hadizatou Rosine Sori-Coulibaly a déjà dirigé le département de l’Economie, des Finances et du Développement de 2016 à 2019.

Jusqu’à sa nomination à la tête de la diplomatie burkinabè, elle était représentante spéciale pour la Guinée-Bissau et chef de bureau intégré des Nations unies pour la consolidation  de la paix en Guinée-Bissau (BINUGBIS

Agence d’information du Burkina 

FBS/wis

Covid : Deux cas du variant Omicron détectés au Burkina Faso

BURKINA-SANTE-COVID-VARIANT

Covid : Deux cas du variant Omicron détectés au Burkina Faso

Ouagadougou, 17 déc. 2021(AIB)-Le ministère de la Santé burkinabè a annoncé vendredi, avoir détecté deux personnes résidentes dans le pays et testées positives au variant Omicron de la Covid, une souche «préoccupante du fait sa rapidité de propagation», avertit le département.

 

Compte tenu de la vitesse de propagation du variant Omicron, le ministère de la Santé invite les populations à respecter les mesures barrière,  surtout à l’approche des fêtes de fin d’année, précise un communiqué.

 

Le département rappelle que la vaccination constitue un moyen efficace de prévention de la Covid 19 et des cas graves.

 

Il assure enfin que des dispositions ont été prises pour renforcer la surveillance épidémiologique à tous les niveaux.

 

Isolé pour la première fois en Afrique du Sud en fin novembre, le variant Omicron suscite dans le monde des inquiétudes du fait de sa très forte contagion. De nombreux pays ont annoncé à nouveau, la fermeture des écoles et des aéroports et envisagent des confinements.

 

Agence d’information du Burkina

Burkina : Le nouveau ministre en charge de l’Agriculture s’engage à développer le secteur rural

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Burkina : Le nouveau ministre en charge de l’Agriculture s’engage à développer le secteur rural

Ouagadougou, 17 Déc. 2021 (AIB)-Le ministre de l’Agriculture, des aménagements hydro-agricoles, de la mécanisation et des ressources animales et halieutiques, Moussa Kaboré a été installé vendredi. Il s’est engagé à placer le secteur rural au cœur du développement.

« Je voudrais rassurer de mon engagement à aller dans le sens des engagements du Président du Faso à travers le PNDES, qui place le secteur rural au cœur du développement », a déclaré le ministre Moussa Kaboré.

Il a été installé vendredi, à la tête  du département de l’Agriculture, des aménagements hydro-agricoles, de la mécanisation et des ressources animales et halieutiques, fusion de deux ministères.

Pour lui, le secteur agricole et des ressources animale et halieutique, sont la base de l’industrialisation de notre pays. C’est pourquoi, il a appelé les Burkinabè à s’« appuyer sur les filières structurelles des secteurs (agricole et des ressources animale et halieutique) pour pouvoir amorcer le développement ».

M. Kaboré a souligné que l’urgence, c’est la question de la situation alimentaire avec une agriculture qui dépend très fortement de la pluviométrie.

Le ministre de l’Agriculture, des aménagements hydro-agricoles, de la mécanisation et des ressources animales et halieutiques, Moussa Kaboré (troisième à partir de la droite) a souligné que l’urgence, c’est la question de la situation alimentaire avec une agriculture qui dépend très fortement de la pluviométrie

« Nous devons développer des outils et des instruments nécessaires pour apporter l’appui aux populations afin de mitiger ces risques de sécurité alimentaire », a-t-il ajouté.

Le ministre en charge de l’Agriculture sorti, Salifou Ouédraogo a soulevé les aléas qui ont marqué son mandat qui sont entre autres, la pandémie de la COVID 19, les poches de sécheresse et les inondations.

M. Ouédraogo a cité des réalisations comme la mise en œuvre de l’autosuffisance en riz, l’opérationnalisation de la Centrale d’approvisionnement en intrants et matériels agricoles et des unités de transformation de tomate, entre autres.

Il a exhorté les agents du ministère à accompagner le nouveau ministre dans l’exécution de ses missions.

Le ministre en charge des Ressources animales Modeste Yerbanga, a promis remettre  à son successeur un rapport comportant les acquis et les difficultés rencontrés lors de son mandat.

Après avoir félicité son successeur, il a invité les collaborateurs  à accompagner le nouveau ministre sans réserve pour relever les défis liés au développement de l’élevage au Burkina Faso.

Nommé le 13 décembre dernier, Moussa Kaboré, ingénieur statisticien, était depuis 2016, conseiller spécial du président du Faso, chargé de l’agriculture et de la sécurité alimentaire.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

Burkina : Politique, justice, à la une des quotidiens

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Burkina : Politique, justice, à la une des quotidiens

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB)-Les journaux du vendredi évoquent, politique, le procès de Thomas Sankara, faits de société et la discorde autour de l’organisation du 8e congrès du (CDP-ex parti au pouvoir), à leur une.

« 8e congrès du CDP : ‘’L’aile futuriste’’ maintient les 18 et 19 décembre », titre le doyen des quotidiens burkinabè, L’Observateur Paalga.

Le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), l’aile futuriste, était, hier, face aux médias, où le président du parti, Eddie Komboïgo, a déclaré que le congrès aura lieu les 18 et 19 décembre, selon L’Observateur Paalga.

Le journal rapporte qu’accusé par l’aile historique de vouloir changer le logo et la dénomination du parti et éjecter le président d’honneur Blaise Compaoré de sa tête,   Eddie Komboïgo, a déclaré qu’il n’en est rien et cette sortie médiatique est le lieu pour lui de siffler la fin de la récréation.

« Il se définit comme étant l’aile futuriste du parti avec une ambition de faire du CDP un parti dépourvu de haine et de vengeance, combatif et fort de compassion, de construction et de développement », fait savoir le journal.

Dans le journal Le Pays, Eddie Komboïgo soutient que « ceux qui appellent à la non-tenue du congrès ont un agenda caché ».

Dans ses colonnes, M. Komboïgo dit ne pas comprendre l’attitude du premier vice-président du parti, Achille Tapsoba, qui tient de tels propos à son égard et réclame le report du 8e congrès du parti, alors qu’il est le président du comité d’organisation dudit congrès.

« Comment expliquer que celui qui a présidé la validation des documents du congrès aille tenir d’autres propos lors d’une conférence de presse ? », s’est-il indigné.

C’est à juste titre que le journal dans sa rubrique ‘’ombre blanches’’ fait cas de ce ‘’ pot-pourri ’’ du CDP en publiant le contenu de la lettre du 13 décembre des 8 vice-présidents du parti, opposés à Eddie Komboïgo sur la tenue de ce 8e congrès.

L’Expresse du Faso, journal privé, édité à Bobo-Dioulasso, quant à lui, dit de « laisser Eddie organiser sa chose ! ».

Selon le journal, ils se livrent à des querelles de ‘’chiffonniers ’’ au lieu de travailler à reconquérir le pouvoir.

Le quotidien rappelle que si c’est Eddie Komboïgo le problème, comme le soutiennent certains militants, le parti dispose de cadres de concertation pour poser les vraies questions et leur apporter des solutions, car soutient-il, « Eddie n’a pas été parachuté à la tête du parti ».

Les journaux font également cas du procès de l’assassinat de Thomas Sankara,  qui s’est déroulé hier avec l’audience de neufs témoins à la barre.

« Procès Thomas Sankara : Blaise Compaoré était le donneur d’ordre », titre Sidwaya citant le témoin Fidèle Kientéga.

« Même si Blaise Compaoré n’a pas tiré, c’est lui l’assassin », a soutenu le témoin selon L’Observateur Paalga.

L’Observateur Paalga et Le Pays rapportent également le témoignage de Kouma Ilboudo, qui était à l’époque, détenu à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).

Il avait servi de fossoyeur des tombes de Thomas Sankara et ses 12 compagnons. Selon ce dernier, Sankara est mort les poings fermés.

« J’ai pu identifier le corps du président, il avait porté un survêtement rouge et le bras en l’air avec les poings fermés. On était obligé d’enlever la ficelle de son pantalon pour attacher ses mains avant de pouvoir l’enterrer », rapporte l’Express du Faso.

Plus loin le témoin avoue avoir retiré l’alliance du président et l’avoir vendu à 50 000 francs CFA.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

Burkina : Ouverture du 2è congrès de la Société burkinabè de santé publique

Burkina-Santé-Développement

Burkina : Ouverture du 2è congrès de la Société burkinabè de santé publique

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB)-Les ministres en charge de la Santé Charlemagne Ouédraogo et de la Recherche Alkassoum Maïga ont présidé jeudi, l’ouverture du 2è congrès de la Société burkinabè de santé publique (SOBUSAP).

Selon le ministre de la Santé, de l’Hygiène et du Bien-être, le Pr Charlemagne Ouédraogo, son ministère attend de ce congrès du monde de la recherche en santé publique, des recommandations qui permettront à son département de prendre des décisions à partir des informations scientifiques éclairées dans l’optique de poser des actes en faveur de la santé des populations.

Pour le Pr Alkassoum Maïga en charge de la recherche, ce rendez-vous du donner et du recevoir du monde des spécialistes en santé publique, va leur permettre en tant que décideurs d’avoir de la matière pour agir de façon conséquente à l’endroit des étudiants et du monde de la recherche.

Ce 2è congrès de la Société burkinabè de santé publique se tiendra durant 3 jours du 16 au 18 décembre 2021, en présentiel et en ligne sous le thème « Sécurité Sanitaire : quels dispositifs pour mieux protéger les populations contre les risques épidémiques et pandémiques ».

Il réunira plusieurs participants du monde de la recherche venus de 11 pays d’Afrique et d’Europe et se penchera notamment sur la recherche de solutions contre les menaces sanitaires actuelles et les défis futurs.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la santé publique est une activité organisée de la société visant à promouvoir, à protéger, à améliorer et le cas échéant à rétablir la santé des personnes, de groupes de personnes ou de populations entières.

Agence d’information du Burkina

OSY/wis

Burkina/Ambassadeur de nescafé Burkina : Kayawoto remplace Amzy

Burkina-Culture-

Burkina/Ambassadeur de nescafé Burkina : Kayawoto remplace Amzy

Ouagadougou, 17 déc. 2021 (AIB)-Ambassadeur de nescafé Burkina depuis 2019, l’artiste musicien Amzy a passé le témoin ce mercredi à Ouagadougou, à Kayawoto. A l’occasion, ce dernier, sacré Kundé de la révélation 2021, a reçu son chèque d’un million de FCFA.

Depuis 20 ans de collaboration avec Kundé, Nescafé Burkina élève, chaque année, au rang d’ambassadeur, le meilleur Kundé de la révélation.

Après avoir occupé le titre d’ambassadeur de Nescafé, pendant deux ans, l’ex-Kundé de la révélation, Amzy a passé le flambeau ce mercredi, au nouveau Kundé de la révélation 2021 Kayawoto.

C’était au cours d’une cérémonie organisée par Nescafé, au cours de laquelle, Kayawoto a reçu son chèque d’un million de FCFA pour avoir été sacré Kundé de la révélations 2021.

« C’est une manière pour nous, de soutenir la culture dans le monde musical et d’identifier les jeunes talents au niveau de la musique », a déclaré le directeur général de Nestlé Burkina Faso, Xavier Beraud.

M. Beraud a indiqué que dans la carrière d’un artiste, le premier album est celui qui déclenche toute la suite de sa carrière. Et c’est pourquoi, chaque année, sa structure prend en charge le Kundé de la révélation.

Il a soutenu que « l’objectif principal de la marque nescafé, est de soutenir la jeunesse burkinabè, sélectionner et identifier les nouveaux talents et les accompagner au moins 12 mois via (leurs) activités culturelles ».

Le nouvel ambassadeur de Nescafé Abdoul Kaboré dit Kayawoto s’est réjoui que son travail paie déjà.

Il a invité tous ses fans des provinces à se préparer car bientôt il sera proche d’eux pour des concerts gratuits sponsorisés par la marque nescafé.

L’ancien ambassadeur Amzy a reconnu que le contrat avec nescafé lui a permis d’avoir de l’argent, de se faire confiance et de faire des tournées régionales, même s’il regrette que la maladie à coronavirus a entravé certaines activités.

Agence d’information du Burkina

OSY/wis

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