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Côte d’Ivoire : Rencontre Ouattara, Bédié et Gbagbo pour décrisper le « climat socio-politique national »

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Côte d’Ivoire : Rencontre Ouattara, Bédié et Gbagbo pour décrisper le « climat socio-politique national »

Ouagadougou, 14 juillet 2022 (AIB)-Le président ivoirien Alassane Ouattara et ses prédécesseurs Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo se sont rencontrés ce jeudi soir au palais présidentiel, à Abidjan, pour décrisper le « climat socio-politique national en Côte d’Ivoire ».

« La rencontre de ce jour a été une rencontre de retrouvaille pour renouer le contact et échanger dans la vérité, leurs vues sur toutes ces grandes questions », a indiqué l’ancien président Laurent Gbagbo à l’issue de la rencontre, au nom des trois présidents.

« Le président de la république et ses deux prédécesseurs ont exprimé leurs volontés de faire de cette première rencontre un levain de la décrispation du climat socio-politique national en Côte d’Ivoire », a indiqué l’ancien président Laurent Gbagbo.

Laurent Gbagbo a souligné que « le président de la république a salué la spontanéité de la réponse réservée à son invitation ».

« Les présidents Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo ont exprimé leur reconnaissance au président Alassane Ouattara pour son accueil fraternel », a poursuivi le porte-parole des trois présidents.


Pour le président ivoirien Alassane Ouattara, « c’est une réunion ordinaire qui sera régulière ».

« Chaque fois que mes prédécesseurs auront le temps, de reprendre ces échanges, je leur ferai appel pour recueillir leurs avis et recommandations », a affirmé le président Ouattara.

Selon lui, « ce sera une bonne chose pour la Nation (ivoirienne) d’entendre et écouter (ses) prédécesseurs, leurs connaissances du pays, leur expérience ».

Agence d’information du Burkina

WIS

Fada N’Gourma : le PPS offre 40 tonnes de riz et 10 bœufs aux PDI de l’Est

40 tonnes de vivres pour les PDI des cinq provinces de l’Est.

Fada N’Gourma : le PPS offre 40 tonnes de riz et 10 bœufs aux PDI de l’Est

Fada N’Gourma, 14 juillet 2022 (AIB)-Le Parti panafricain pour le salut (PPS) a offert, hier mercredi, dans la soirée à Fada N’Gourma, 40 tonnes de riz et 10 bœufs aux Personnes déplacées internes (PDI) de la région de l’Est.

C’était en présence de nombreuses PDI et des populations hôtes. Il s’agissait de la deuxième étape d’une tournée de la direction politique nationale du parti dans les régions durement éprouvées par l’insécurité.

Selon le président du PPS Abdoulaye Mossé, à travers ce geste traduit la solidarité du parti x milliers de Burkinabè de l’Est qui ont été contraints à l’exode.

« D’habitude nous partons vers ces populations pour conquérir l’électorat à la veille des élections. Cette fois, nous avons décidé de venir les soutenir dans cette épreuve difficile», a-t-il dit.

1. La direction politique nationale du PPS est solidaire des PDI de l’Est.

Pour Abdoulaye Koadima, porte-parole des PDI de la région de l’Est, ce don vient à point nommé. Car, a-t-il fait remarquer, certaines PDI n’ont pas de quoi se nourrir.

A ceux qui disent que le PPS est en campagne pour les futures échéances électorales, Abdoulaye Mossé a répondu: « nous ne sommes pas en campagne électorale puisqu’il n’y a pas d’élections en 2022 et il y en aura pas en 2023. J’invite tous ceux qui voient les choses ainsi à nous rejoindre pour que nous fassions ensemble la campagne de soutien aux déplacés».

Les bénéficiaires des vivres ont traduit leur reconnaissance au donateur.

Ousmane Boly, membre fondateur du PPS et secrétaire adjoint, a soutenu que nul ne doit rester indifférent face à la détresse des PDI.

Concernant la situation sécuritaire, Abdoulaye Mossé est persuadé que le Burkina Faso relèvera ce défi, tôt ou tard.

« Je suis convaincu que le Burkina Faso s’en sortira une fois encore comme en 1947, date marquant la reconstitution de la Haute-Volta», a-t-il indiqué.

Mais avant, a-t-il souligné, la recherche de la paix et la cohésion sociale induit beaucoup de sacrifices. «Même s’il faut passer par la négociation, la paix n’a pas de prix et le Burkina Faso passe avant tout », a déclaré Abdoulaye Mossé.

Agence d’information du Burkina

Joanny SOW

Burkina/Elevage: Plus de 900 millions de F CFA injectés au Sahel

Burkina- Elevage-Soutien-PADEL

Burkina/Elevage: Plus de 900 millions de F CFA injectés au Sahel

Dori 13 juil. 2022 (AIB)- Plus de 900 millions de FCFA ont été investis dans la région du Sahel, dans le cadre de la mise en œuvre des activités du Projet d’appui au développement du secteur de l’élevage au Burkina Faso (PADEL-B).

Au cours d’un atelier-bilan organisé le mardi 12 juillet 2022  par la direction régionale des ressources animales et halieutiques du Sahel a permis de faire l’inventaire de la mise en œuvre des activités du Projet d’appui au développement du secteur de l’élevage au Burkina Faso (PADEL-B).

Selon le directeur régional des ressources animales et halieutiques du Sahel, Bachir Boina, le PADEL-B a injecté 900 376 637 F CFA  dans la région du Sahel pour le développement du secteur de l’élevage.

M. Boina s’est également réjoui du soutien du PADEL-B qui a permis de sensibiliser plus de 2 millions d’éleveurs, de vacciner plus 3 millions de têtes de bovins, d’ovins et de volailles, de financer 66 micro-projets et de réaliser des postes vétérinaires.

A l’en croire, le projet a été un grand succès dans la région du Sahel, grâce à l’accompagnement des agents, des producteurs et des autorités administratives et locales.

La coordinatrice nationale du PADEL-B, Mwinyel Jocelyne Bountoulougou/Somé a rappelé que le secteur de l’élevage permet de lutter contre la pauvreté, à travers les revenus qu’il génère aux producteurs.

Pour elle, le gouvernement a mis en œuvre le PADEL-B pour plusieurs objectifs qui sont, entre autres, l’amélioration de la productivité et la commercialisation de la production animale non pastorale dans les chaines de valeurs sélectionnées.

La coordinatrice nationale du projet a aussi fait cas du renforcement des capacités des acteurs pour leur permettre de faire face aux crises qui affectent le secteur de l’élevage.

De son avis, le projet a duré cinq ans et a couté la somme de 46,4 milliards de F CFA au niveau national.

Il a touché 330 133 bénéficiaires et a permis d’acquérir plusieurs millions de doses de vaccins contre la peste des petits ruminants, la péripneumonie contagieuse bovine, la variole aviaire et la fièvre aphteuse.

Le projet a aussi  distribué 477,25 tonnes de semences fourragères et a la construit 35 postes vétérinaires,  110 parcs mixtes de vaccination et une centrale d’achat de médicaments vétérinaires et un laboratoire régional d’élevage.

Le gouverneur de la région du Sahel, le lieutenant-colonel Fabien Sorgho a pour sa part, témoigné toute sa gratitude aux plus hautes autorités et ’aux partenaires techniques et financiers pour avoir initié le projet et l’attention permanente accordée à la région du Sahel.

M. Sorgho a invité les organisations pastorales et les bénéficiaires à travailler pour pérenniser les acquis du projet.

Le représentant de la fédération des éleveurs du Burkina, Anafi Amirou Dicko et bénéficiaire du projet, à travers l’alliance productrice Dawla  a exprimé toute sa satisfaction au gouvernement pour la mise en place du PADEL-B.

« Nous avons bénéficié de forages équipés, des fermes modernes. L’élevage est l’un des poumons de l’économie burkinabé. C’est pourquoi, nous souhaitons la reconduction du PADEL-B, afin d’enrayer la pauvreté au sein des éleveurs burkinabé », a-t-il  exhorté.

Mariam Koita, une autre bénéficiaire du projet révèle que le PADEL-B a été une «seconde mère » pour elles, d’avoir des fonds qui  leur ont permis d’acquérir du matériel moderne pour pasteuriser, refroidir et fermenter le lait.

Elle fait savoir également qu’elles ont reçu du matériel de collecte du lait, des tricycles, des charrettes à traction asine.

En rappel, le PADE-L  est mis en œuvre  dans les 13 régions du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

AMM/no/ho/ak

Gourcy : deux fillettes périssent dans un incendie

Gourcy : deux fillettes périssent dans un incendie

Gourcy, 14 juillet 2022(AIB)-Deux fillettes ont péri  jeudi, dans un incendie probablement causé par une fuite de gaz butane, dans un domicile au secteur n° 3 de Gourcy, a appris l’AIB.

Un incendie s’est déclaré dans la matinée du 14 juillet 2022 aux environs de 6h au secteur n°3 de Gourcy, dans un domicile où dormaient deux fillettes.

Alertés par les cris de la mère des enfants qui était à l’extérieur, les voisins ont pu maîtriser le feu qui avait déjà envahi la maison.

Malheureusement, les deux fillettes n’ont pas pu être sauvées.

Selon les premiers constats, le feu serait parti d’une fuite de gaz installé dans le salon avant de gagner la chambre où dormaient les enfants.

Sous le choc, la mère a été évacuée à l’hôpital pour une prise en charge.

Notons que l’aînée des enfants venait d’obtenir son Certificat d’Etudes Primaires (CEP). Les victimes ont été inhumées dans l’après-midi.

On se rappelle qu’en février 2020,  cinq personnes d’une même famille avaient trouvé la mort dans des circonstances similaires au  secteur n°1 de Gourcy.

Agence d’information du Burkina

Situation nationale : le Président du Faso échange avec les leaders coutumiers et traditionnels

Situation nationale : le Président du Faso échange avec les leaders coutumiers et traditionnels

(Ouagadougou, 14 juillet 2022). Le Président du Faso, le Lieutenant-Colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA, a rencontré ce jeudi en fin de matinée les leaders de la chefferie coutumière et traditionnelle de notre pays. Au menu des échanges du Chef de l’Etat avec les dépositaires des valeurs traditionnelles et culturelles du Burkina Faso, la recherche de solutions à la situation nationale.

Convaincu que la chefferie traditionnelle et coutumière qui a toujours été « le garant de l’unité nationale et de la cohésion » au Burkina Faso, le Président du Faso a initié cette rencontre d’échanges pour demander leur implication et leur concours pour un retour de la paix dans notre pays.

« La situation actuelle du Burkina Faso nous interpelle tous et surtout les chefs coutumiers et traditionnels en premier lieu car ils sont les dépositaires des valeurs ancestrales et culturelles de notre pays », a déclaré le Chef de l’Etat. A cet effet, le Président du Faso les a invités « à orienter leurs efforts vers la recherche de la cohésion et de l’unité nationale ».

Par ailleurs, le Président du Faso, à travers les chefs traditionnels « a invité les populations de leurs contrées à faire bloc avec les Forces de défense et de sécurité et les engagés civils dans la lutte contre les forces du mal ».

Convaincu que « c’est ensemble que nous allons réussir, c’est ensemble que nous devons réussir », le Président DAMIBA a appelé la chefferie traditionnelle à propager des messages de cohésion, d’entente et de solidarité et à œuvrer à la réconciliation des fils et des filles du Burkina Faso.

Le Chef de l’Etat a saisi l’opportunité de cette rencontre pour évoquer avec les chefs traditionnels la démarche qu’il a entreprise d’échanger avec les anciens Chefs d’Etat sur la situation nationale. Selon le Président du Faso, cette initiative ne vise ni la restauration d’un quelconque ordre ancien ni la consécration de l’impunité dans notre pays.

C’est « une concertation qui vise à fédérer les intelligences et les énergies pour lutter contre un ennemi qui met à profit nos profondes divergences pour déstabiliser le Burkina Faso », a expliqué le Président du Faso.

Il a rassuré les leaders traditionnels et coutumiers que les concertations vont se poursuivre en bilatéral avec les anciens Chefs d’Etat qui étaient absents à la rencontre pour un engagement de tous les Burkinabè pour l’intérêt supérieur de la Nation. « Nous sommes convaincus que c’est dans la mobilisation de tous que les forces engagées sur le combat contre le terrorisme engrangeront davantage de résultats sur le terrain », a soutenu le Président DAMIBA.

 

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Bobo-Dioulasso: 4 présumés braqueurs dont un élève et un ancien FDS aux arrêts

Trois des quatre présumés délinquants ont été présentés à la presse.

Bobo-Dioulasso: 4 présumés braqueurs dont un élève et un ancien FDS aux arrêts

Bobo-Dioulasso, 14 juillet 2022(AIB)-Le commissariat central de police de Bobo-Dioulasso a interpellé quatre présumés bandits dont les agressions ont posé un préjudice de plus de 1, 6 millions de FCFA à sept de leurs victimes, a appris l’AIB jeudi.

La ville de Bobo-Dioulasso compte quatre délinquants de moins. Le réseau dont ils étaient membres et qui écumait certains secteurs de la ville a été démantelé, suite à une enquête diligentée par le commissariat central de Bobo-Dioulasso.

Trois des quatre présumés délinquants, spécialisés dans le vol à mains armées ont été présentés à la presse, le jeudi 14 juillet 2022, lors d’une conférence de presse.

Le quatrième délinquant, aux dires des conférenciers, médite déjà sur son sort à la Maison d’arrêt et de correction de Bobo-Dioulasso (MACB).

Le commissaire central de police de la ville de Bobo-Dioulasso, le commissaire principal Justin Ouédraogo, a expliqué le déroulement de l’enquête qui a conduit à leur arrestation.

A l’entendre, tout est parti d’une agression à mains armées dans une boutique de vente de marchandises diverses au secteur 21 de la ville, dans la nuit du 30 juin au 1er juillet dernier. C’est ainsi qu’une enquête a été ouverte par le commissariat central et a permis l’interpellation des quatre présumés auteurs, tous de sexe masculin.

Le commissaire Justin Ouédraogo salué et encouragé la collaboration des populations.

Ce sont G.A.K., un employé de commerce de 22 ans, S.S. un élève de 17 ans, Y.F.O., ancien agent des Forces de défense et de sécurité (FDS) et actuellement un employé de commerce de 33 ans et, D.H. un employé de commerce de 26 ans, tous domiciliés à Bobo-Dioulasso.

Le groupe, à en croire le principal conférencier, opérait spécialement, la nuit, dans les secteurs 5, 10, 20, 21, 22, 23, et 29 de la ville de Bobo-Dioulasso. Leurs cibles privilégiées étaient les boutiques de mobile-money, les alimentations et les stations-services.

Quel est le mode opératoire ? A cette question, le commissaire Ouédraogo a indiqué que le cerveau du groupe, Y.F.O., procède d’abord à l’identification des cibles à attaquer.

Ensuite, il prépare l’arme à feu et organise l’équipe d’opération constituée d’un binôme à moto. Le dernier membre du groupe était chargé de fournir un moyen de déplacement pour l’opération programmée.

L’opération, aux dires de M. Ouédraogo, se déroulait sous forme d’une agression à mains armées au cours de laquelle les victimes sont dépouillées de tout numéraire et matériel utile en leur possession. Le butin était rapporté au cerveau du groupe qui procédait au partage entre les membres.

Sept victimes ont été identifiées et le préjudice matériel s’évalue à au moins 1,6 millions F CFA.

Il a été saisi entre les mains du gang, deux engins à deux roues, un passeport ordinaire, trois clés USB, trois téléphones portables, une carte professionnelle et un macaron.

Le commissaire central a salué et encouragé la collaboration des populations qui, pour lui a permis de démanteler ce réseau. Il a aussi invité les gérants de stations-services, de boutiques mobile-money et d’alimentations à plus de vigilance et à dénoncer tout comportements suspects.

Agence d’information du Burkina

 

 

Burkina: Besoin de plus 3 000 milliards F CFA pour assurer le Plan d’action de la Transition

Burkina-Transition-Economie

Burkina: Besoin de plus 3 000 milliards F CFA pour assurer le Plan d’action de la Transition

Ouagadougou, 14 juillet 2022 (AIB)– Le Premier ministre Albert Ouédraogo a, au cours d’une rencontre à Ouagadougou, exprimé jeudi, un besoin de plus de 3 000 milliards de francs CFA auprès des partenaires techniques et financiers pour le financement du Plan d’action de la Transition (PAT).

Le Premier ministre Albert Ouédraogo a annoncé que le Plan d’action de la Transition (PAT) se fonde essentiellement sur les actions structurantes qui ont été définies dans le Plan national de développement économique et social (PNDES II) et la mise en œuvre de l’agenda de la Transition, adopté le 6 mai dernier en conseil des ministres.

Un document relatif au programme du PAT renseigne que sur un budget global de plus 11 840 milliards francs CFA pour la période 2022-2025, l’Etat burkinabé recherche plus de 3 391 milliards de francs CFA auprès des partenaires techniques et financiers.

Selon la même source, le gouvernement burkinabé prévoit, par ailleurs, rechercher plus de 2 999 milliards de francs CFA pour le financement du plan d’action de la Transition.

Pour le financement global du PAT, l’Etat burkinabé compte mobiliser des ressources propres du pays, plus 5 446 milliards de francs CFA soit 46,03 % du budget global.

Le Premier ministre Albert Ouédraogo s’exprimait jeudi 14 juillet 2022 à Ouagadougou, au cours d’une rencontre avec les Partenaires techniques et financiers (PTF) du Burkina Faso qu’il a présidée  pour le financement et la mise en œuvre de la Transition.

« Nous sommes parvenus avec la CEDEAO à un compromis sur la mise en œuvre de la Transition », a-t-il déclaré.

Selon lui, il est important de rencontrer les partenaires techniques et financiers du Burkina pour leur expliquer cet accord d’une part et d’autre part de demander leurs réengagements.

« Je voudrais, par ailleurs, vous informer, que sur instructions de Son Excellence Monsieur le Président du Faso, le Gouvernement est train d’élaborer un Plan d’urgence de la Transition (PUT) », a-t-il poursuivi

Le chef du gouvernement a précisé que, sur une période de 12 mois le plan d’urgence sera consacré aux projets prioritaires, innovants et à fort impact sur les conditions de vie des populations.

Agence d’information du Burkina

HO/ak

Financement du plan d’action de la Transition : Le gouvernement sollicite le soutien de ces partenaires

Burkina-Economie-Transition-Partenaires-Financement

Financement du plan d’action de la Transition : Le gouvernement sollicite le soutien de ces partenaires

Ouagadougou, 14 juillet 2022 (AIB)-Le Premier ministre Albert Ouédraogo a sollicité ce jeudi, auprès des partenaires techniques et financiers, « un appui en complément à ses ressources propres », pour le financement du Plan d’action de la Transition.

Le gouvernement a présenté ce jeudi, aux partenaires techniques et financiers, le Plan d’action de la Transition adopté en conseil des ministres le 6 mai dernier.

« Le financement du Plan d’action n’étant pas couvert en totalité par les ressources propres du budget de l’Etat, le gouvernement attend de vous un appui en complément à ses ressources propres », a indiqué le Premier ministre Albert Ouédraogo.

Le chef du gouvernement a déclaré aux partenaires techniques et financiers que leur « adhésion à ce plan sera d’une grande importance pour le Burkina Faso dans un contexte marqué par une crise sécuritaire ».

Le contexte sécuritaire « interpelle désormais et avec insistance, notre pays sur les choix des investissements à faire, en vue d’assurer durablement la sécurité et l’épanouissement des populations », a-t-il poursuivi.

Albert Ouédraogo a expliqué que le Plan d’action de la Transition « constitue l’instrument central de planification opérationnelle des priorités de la Transition ».

« Ce Plan d’action sert de guide à l’action quotidienne du gouvernement dans la sécurisation du pays, l’assistance aux personnes déplacées internes et le relèvement des personnes affectées par le terrorisme », a-t-il affirmé.

Le Premier ministre a aussi annoncé l’élaboration en cours d’un « Plan d’urgence de la Transition » qui « sera consacré aux projets prioritaires, innovants et à fort impact sur les conditions de vie des populations » pour « une période de 12 mois ».

Le Premier ministre a aussi évoqué le compromis trouvé entre le Burkina Faso et la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) qui fixe la durée de la Transition à 24 mois à partir de juillet 2022.

« A ce titre, un mécanisme de suivi et d’évaluation de la situation sera mis en place, afin d’apprécier les conditions d’organisation des élections à la fin de la Transition », a-t-il souligné.

Agence d’information du Burkina

WIS 

Photo d’illustration

Le nouveau président de la commission de la CEDEAO exhorte au paiement intégral des cotisations

Le nouveau président de la commission de la CEDEAO exhorte au paiement intégral des cotisations

Ouagadougou, 14 juillet 2022(AIB)-Le Gambien Omar Alieu Touray  qui a pris hier mercredi la tête de la Commission de la CEDEAO, a exhorté les pays membres au paiement intégral des cotisations et à la pleine mise en œuvre des protocoles de l’institution.

Après quatre ans de gestion, l’Ivoirien Jean Kassi Brou a passé la main au Gambien Omar Alieu Touray à la présidence de la Commission de la CEDEAO.

La passation de charge a eu lieu le mercredi 13 juillet 2022 à Abuja (Nigéria), au siège de l’institution régionale ouest-africaine.

Dr Oumar Alieu Touray s’est engagé à relever avec son équipe, les nombreux défis sécuritaires et économiques de l’espace.

Il a exhorté les États membres à assurer le paiement intégral de leurs prélèvements communautaires et la pleine mise en œuvre des protocoles de la CEDEAO.

Jean Kassi Brou a saisi l’occasion de la cérémonie de passation de pouvoir pour souligner les réalisations de la gestion 2018-2022 notamment dans les domaines de la promotion de la sécurité, de la consolidation de la paix et de la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Il a félicité les États membres pour leurs efforts résolus et leur position courageuse face au terrorisme et au banditisme dans la région, ce qui a abouti à l’élaboration du plan d’action.

M. Brou a également déclaré que sur le front politique, l’approfondissement de la culture démocratique s’était amélioré avec onze pays organisant pacifiquement des élections présidentielles et législatives pendant son mandat.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

 

 

 

Le reggae man Alpha Blondy invite les autorités ivoiriennes et maliennes à mettre balle à terre

Côte-d’Ivoire-Mali-Tension-Apaisement

Le reggae man Alpha Blondy invite les autorités ivoiriennes et maliennes à mettre balle à terre

Ouagadougou, 14 juillet 2022 (AIB)-La méga star internationale du reggae Alpha Blondy a invité mercredi soir, sur la télévision ivoirienne, les autorités ivoiriennes et maliennes à « mettre balle à terre et (à) se parler honnêtement » face à la tension entre les deux pays.

« Je demande aux autorités ivoiriennes, aux autorités maliennes de mettre balle à terre et de se parler honnêtement parce que ceux qui sont les diviseurs de l’Afrique, les exploiteurs de l’Afrique vont exploiter à d’autres fins cette petite mésentente. Je les invite à s’écouter », a déclaré mercredi soir, le reggae man ivoirien Alpha Blondy.

L’artiste interplanétaire du reggae Alpha Blondy s’exprimait mercredi soir sur le plateau du journal de 20 heures de la télévision nationale ivoirienne.

Les autorités maliennes ont arrêtés le dimanche dernier, 49 soldats ivoiriens qualifiés de « mercenaires » qui seraient entrés « illégalement sur le territoire national du Mali (…) en possession d’armes et de munitions de guerre, sans ordre de mission ni autorisation ».

Bamako a décidé lundi de les « mettre à disposition des autorités judiciaires compétentes », a indiqué le porte-parole du gouvernement, le colonel Abdoulaye Maïga.

Mardi soir, les autorités ivoiriennes ont demandé à Bamako, de libérer « sans délai », les militaires ivoiriens « injustement arrêtés ».

Selon eux, les 49 hommes sont des militaires de l’armée régulière ivoirienne qui sont arrivés au Mali « dans le cadre des opérations des Éléments nationaux de soutien » en vertu d’une convention signée en juillet 2019, entre la Côte d’Ivoire et l’organisation des Nations unies.

Pour Alpha Blondy « le grand frère Ouattara va trouver une solution ». « Lui et son gouvernement, ils vont appeler Assimi Goïta, ils vont trouver une solution. L’Afrique n’a pas le temps à perdre », a-t-il souligné.

L’artiste interplanétaire a mis sur le marché discographique son 20è album en mai dernier, consacrant ses 40 ans de carrière. Sur l’album, l’on trouve le titre « Layiri » chanté avec l’artiste malien Sidiki Diabaté.

Dans un message sur sa page Facebook mercredi, Sidiki Diabaté se présente comme « fils biologique du Mali et adoptif de la Côte d’Ivoire » et appelle « au sens de responsabilité de nos différentes autorités à privilégier le dialogue ».

Sur le plateau de la télévision nationale, la méga star Alpha Blondy a invité ses mélomanes de 40 ans et plus à venir à son concert au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire prévu le vendredi 15 juillet prochain.

« J’invite mes frères maliens au palais des congrès Sofitel Hôtel Ivoire, ça fait 26 ans que je n’ai pas joué là-bas », a-t-il affirmé.

Dans son dernier album, Alpha Blondy qualifie les cinq membres permanents du conseil de sécurité des Nations unis de « Pompiers pyromanes » qui ont mis de côté leur mission de préserver la paix pour devenir les « grands marchands d’armes ».

Pour Alpha Blondy, « les africains doivent arrêter la politique de la main tendue ». « Ils doivent faire une armée africaine. Ce n’est pas à la France de défendre la souveraineté du Mali, de la Côte d’Ivoire, du Bénin, de l’Afrique. Il faut que l’Afrique arrive à s’en sortir coûte que coûte », a-t-il insisté.

Dans le nouvel album, à travers la chanson « Immigré », Alpha Blondy exprime le désespoir des jeunes africains qui veulent aller en Europe et qui meurent régulièrement dans la mer.

« J’interpelle nos gouvernants, c’est leur faute, ils n’ont pas pu créer les conditions pour retenir les jeunes. On ne peut pas être riches en matières premières et être les plus pauvres », a-t-il relevé.

Du haut de ses 40 ans de carrière, le reggae man invite la jeunesse africaine à ne pas aussi tout attendre des dirigeants.

« Il n’y a pas de petit ni de sot métier. Si tu dois vendre un balai, vends le et tu auras un magasin de balai. Si tu dois vendre des gofloto (galettes), vends les et un jour, tu auras une petite usine de vente de gofloto », a-t-il souligné.

Agence d’information du Burkina

WIS

Terrorisme et naturalisation en couverture des journaux burkinabè

Burkina-Presse-Revue

Terrorisme et naturalisation en couverture des journaux burkinabè

Ouagadougou, 14 juil. 2022 (AIB)- Les parutions burkinabè de ce jeudi, commentent toujours l’attaque du détachement militaire de Barsalogho dans la province du Sanmatenga (Centre-nord), sans oublier l’adoption  hier mercredi, en Conseil des ministres, d’un décret permettant à tout Burkinabè de renoncer à sa nationalité au profit d’une autre.

« Transition politique au Burkina : Tout Burkinabè est autorisé à répudier sa nationalité au profit d’une autre », affiche à sa Une, le quotidien privé Le Pays.

Le journal privé rapporte que l’Etat a adopté hier mercredi, en Conseil des ministres, un décret permettant à tout Burkinabè de renoncer à sa nationalité au profit d’une autre.

Selon le porte-parole du gouvernement, Lionel Bilgo, ce décret permet à 27 Burkinabè de répudier leur nationalité au profit d’une autre.

De son côté, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga soutient que 27 Burkinabè renoncent à leur nationalité.

Concernant toujours la rencontre du Conseil des ministres d’hier, le journal public Sidwaya indique  que le gouvernement a donné son feu vert pour le bitumage de la route Ouahigouya-Djibo.

Sous un autre volet, le même quotidien d’Etat laisse voir à sa première page : « l’attaque du détachement militaire de Barsalohgho : Plus de 17 terroristes neutralisés ».

Le quotidien privé L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso, pour sa part, se demande si les terroristes ne sont-ils pas en train de réussir leur coup ?

De son avis, les Burkinabè doivent décider par tous les moyens de défendre leur pays au risque de le voir disparaître petit à petit entre les mains des groupes armés terroristes.

D’après le journal bobolais, il faut donc intensifier les combats armés et le dialogue afin de parvenir très rapidement à une pacification du pays.

L’Observateur Paalga rappelle que suite à l’attaque contre le détachement militaire de Barsalogho dans la province du  Sanmatenga, région du Centre-nord le 10 juillet 2022, une contre-offensive est engagée depuis plusieurs jours pour traquer les groupes terroristes qui sévissent dans la zone.

Le confrère indique que le bilan fait  état de 17  assaillants neutralisés avec le démantèlement de bases terroristes et la saisie, entre autre, d’une quantité importante d’armes et de munitions ainsi que des produits pharmaceutiques et de vivres.

A propos, Le Pays souligne que l’opération a mobilisé des unités terrestres et des appuis aériens dans cette traque contre les « forces du mal » dans la région du Centre-nord.

Le quotidien privé fait savoir que plusieurs raids ont été menés sur des bases terroristes identifiées grâce aux services de renseignement.

Agence d’information du Burkina

NO/ata/ak

Balé : Les militants du PPS demandent à leurs leaders d’éviter les pratiques anciennes

Les délégués des communes ont répondu à l'appel du PPS.

Balé : Les militants du PPS demandent à leurs leaders d’éviter les pratiques anciennes

Boromo, le 13 juillet 2022(AIB)-Les militants du Parti patriotique pour le salut (PPS) dans les Balé, ont demandé aux leaders de la nouvelle formation politique, d’éviter les pratiques anciennes en  reconnaissant notamment, le sacrifice des ouvriers de la première heure et en respectant les choix de la base lors des élections.

Le Parti patriotique pour le salut (PPS) a tenu pour la toute première fois dans la province des Balé une rencontre officielle d’échange avec ses militants.

Les échanges ont eu lieu à Boromo dans la salle de conférence de l’auberge communale le 2 juillet 2022.

Pour cette première  rencontre, les participants étaient composés des membres de la mission du PPS et des délégués, des délégués des dix communes et du point focal provincial.

Les membres de la mission du PPS ont fait la genèse du parti, expliquer le choix du logos du parti et son idéologie, leur engagement politique avec le PPS.

Ils ont aussi donné des directives dans la mise en place des comités de base au niveau des villages et des communes, un des objectifs essentiels de la présente rencontre.

Lors des échanges, les délégués ont dans l’ensemble marqué leur adhésion au parti.

En outre, ils ont rassuré la mission quant à leur engagement militant et leur volonté de fixer les bases du parti dans leurs localités sans exclusion.

Le présidium était composé des membres de la mission du PPS.

Toutefois, ils ont sollicité l’appui des leaders du parti pour réussir leur mission d’installation des comités de base.

Ils ont aussi conseiller aux leaders de corriger des pratiques anciennes qui les ont faits quitter d’autres partis, notamment le manque de reconnaissance du sacrifice des ouvriers de la premières heure et la nécessité de respecter les choix à la base pour les élections municipales et législatives, afin de minimiser les frustrations qui divisent les militants au sein des partis politiques.

La mission s’est dite satisfaite de la forte présence des délégués invités et surtout la franchise des échanges.

En rappelle, la mission a été conduite par Robert Loué,  figure très connue de la scène politique dans les Balé et membre du bureau politique nationale.

Comme lui, la plupart des participants sont des démissionnaires d’autres partis politiques comme le MPP, le MBF et le CDP.

Ils prévoient ensemble faire de la province des Balé une terre conquise du PPS.

Toutefois Robert Loué reconnaît que la tâche sera ardue et demandera beaucoup d’engagements et de sacrifices de la part de tous les militants patriotes.

Agence d’information du Burkina

Obkiri MIEN

AIB Balé

 

Compte rendu du Conseil des Ministres du mercredi 13 juillet 2022

 

Compte rendu du Conseil des Ministres du mercredi 13 juillet 2022

Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 13 juillet 2022, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 16 H 17 mn, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Paul-Henri Sandaogo DAMIBA Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, procédé à des nominations, et autorisé des missions à l’étranger.

 

I. DELIBERATIONS

I.1. AU TITRE DE LA PRIMATURE

Le Conseil a adopté un décret portant organisation, attributions et fonctionnement des services du Premier ministre.

L’adoption de ce décret permet aux services du Premier ministre d’assurer efficacement leurs missions de coordination de l’action gouvernementale.

 

I.2. AU TITRE DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS HUMAINS, CHARGE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS

Le Conseil a adopté trois (03) décrets.

Le premier décret porte autorisation de répudiation de la nationalité burkinabè.

L’article 186 du Code des personnes et de la famille offre la possibilité à tout

Burkinabè de répudier sa propre nationalité au profit d’une nationalité étrangère.

L’adoption de ce décret permet à vingt-sept (27) personnes qui en ont fait la demande de renoncer à la nationalité burkinabè au profit d’autres nationalités.

Le deuxième décret porte rectification du décret n°2021-

0716/PRES/PM/MJDHPC du 12 juillet 2021 portant naturalisation.

L’adoption de ce décret permet de corriger les erreurs contenues dans ledit décret concernant trois (03) personnes afin que ces bénéficiaires de la nationalité burkinabè et leurs ayants droits puissent jouir du statut de Burkinabè.

 

Le troisième décret porte naturalisation.

Ce décret vise à accorder la nationalité burkinabè à des personnes de nationalité étrangères vivant au Burkina Faso qui en ont fait la demande selon les dispositions des articles 151, 155, 158 et 162 du Code des personnes et de la famille.

L’adoption de ce décret permet à cent quarante-six (146) personnes ainsi qu’à leurs enfants mineurs d’être naturalisés et de jouir du statut de Burkinabè.

 

I.3. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DE LA PROSPECTIVE

 

Le Conseil a adopté deux (02) rapports.

Le premier rapport est relatif à un avant-projet de loi de règlement du budget de l’Etat et ses annexes, exercice 2021.

 

Cet avant-projet de loi rend compte de l’exécution du budget de l’Etat, exercice 2021. Il retrace les autorisations en matière de recettes et de dépenses du budget général et des comptes d’affectation spéciale ainsi que leur état d’exécution, l’état d’exécution des opérations de trésorerie et la présentation du résultat d’exécution des Lois de finances.

Le Conseil a marqué son accord pour la transmission dudit projet de loi à l’Assemblée législative de Transition.

Le second rapport est relatif à un projet de décret portant mutation du Fonds national de solidarité en Fonds national de solidarité et de résilience sociale.

L’adoption de ce décret permet de disposer d’un instrument adapté à l’évolution du processus d’aide pérenne aux personnes vulnérables et au nouveau contexte d’urgences sociales et humanitaires notamment la prise en charge des victimes de guerre et/ou d’attaques terroristes de même que la capacitation et la résilience des couches sociales vulnérables en détresse.

I.4. AU TITRE DU MINISTERE DES INFRASTRUCTURES ET DU DESENCLAVEMENT

Le Conseil a adopté un rapport relatif à une demande d’approbation des résultats de l’appel d’offres international ouvert n°2021-

0204/MID/SG/DMP/SMT-PI du 19/03/2021 relatif aux travaux de construction et de bitumage de la route nationale n°23 Ouahigouya-Djibo y compris les travaux connexes (voiries et pistes rurales).

Le Conseil a marqué son accord pour l’attribution du marché à l’Entreprise Africaine des Travaux Publics (ATP) pour un montant de quarante-huit milliards cent quarante-quatre millions cinq cent quarante-huit mille cent quarante-quatre (48 144 548 144) F CFA TTC, avec un délai d’exécution de trente (30) mois y compris la saison des pluies.

Le financement est assuré par le Fonds koweitien pour le développement économique arabe (FKDEA), le Fonds saoudien de développement (FSD), la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) et le Budget de l’Etat.

I.5. AU TITRE DU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ALPHABETISATION ET DE LA PROMOTION DES LANGUES NATIONALES

Le Conseil a adopté un rapport relatif à la problématique du paiement de la quote part des frais de scolarité des élèves affectés par l’Etat dans les établissements privés d’enseignement post-primaire et secondaire.

Pour remédier au déficit des capacités d’accueil dans les établissements publics d’enseignement, le ministère de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales a signé des conventions d’affectation d’élèves avec les établissements privés, désignés sous le terme d’établissements privés conventionnés.

Cependant, la prise en charge de ces frais de scolarité se pose avec acuité, entrainant des arriérés d’année en année.

Le Conseil a instruit les ministres chargés de l’Education nationale et celui des Finances de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de l’apurement de ces arriérés. Il a également instruit qu’une réflexion soit menée en vue d’améliorer le mécanisme des subventions dus aux établissements conventionnés et aux structures faîtières.

I.6. AU TITRE DU MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DE LA CULTURE, DES ARTS ET DU TOURISME

Le Conseil a adopté un décret portant organisation du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme.

L’adoption de ce décret permet au ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme d’assurer efficacement ses missions, conformément aux dispositions du décret n°2022-0026/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 31 mars

2022 portant attribution des membres du Gouvernement et du décret n°2022-0055/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 20 avril 2022 portant organisation-type des départements ministériels.

I.7. AU TITRE DU MINISTERE DE L’URBANISME, DES AFFAIRES FONCIERES ET DE L’HABITAT

Le Conseil a adopté un décret portant organisation du ministère de l’Urbanisme, des affaires foncières et de l’habitat.

L’adoption de ce décret permet au ministère de l’Urbanisme, des affaires foncières et de l’habitat d’assurer efficacement ses missions, conformément aux dispositions du décret n°2022-0026/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 31 mars

2022 portant attribution des membres du Gouvernement et du décret n°2022-0055/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 20 avril 2022 portant organisation-type des départements ministériels.

II. COMMUNICATIONS ORALES

II.1. Le Conseil a instruit le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les institutions de prendre toutes dispositions utiles pour l’activation de la Haute Cour de justice.

L’opérationnalisation de cette haute juridiction permettra de connaître des dossiers pendants jusque-là restés sans suite.

II.2. Le ministre de l’Administration territoriale de la décentralisation et de la sécurité a fait au Conseil une communication relative à l’organisation de la 17ème rencontre des Chefs des services de renseignement et de la sécurité des pays membres de l’initiative d’Accra, les 26 et 27 juillet à Ouagadougou au Burkina Faso.

L’initiative d’Accra qui regroupe sept (07) pays dont le Burkina Faso, le Bénin la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali, le Niger et le Togo a pour objectif de lutter contre la criminalité transfrontalière, le grand banditisme, la fraude en tout genre et surtout le terrorisme.

II.3. Le ministre de la Solidarité nationale et de l’action humanitaire a fait au Conseil deux (02) communications.

La première communication est relative au dispositif de réponse humanitaire concernant le déplacement des personnes en provenance des zones d’intérêt militaire.

Cette réponse humanitaire repose sur le dispositif institutionnel classique de prévention et de gestion des catastrophes et des crises humanitaires qu’est le Conseil national de secours d’urgences et de réhabilitation (CONASUR).

La seconde communication est relative à l’organisation d’un panel sur la promotion de la solidarité au Burkina Faso prévu le 22 juillet 2022 à Ouagadougou.

Placé sous le thème central « la solidarité nationale, facteur de paix et de cohésion sociale : quelles perceptions, prescriptions et recommandations pour la promotion de la solidarité au Burkina Faso ? », le panel a pour objectif général de susciter la réflexion et les échanges entre les différents acteurs sur la promotion de la culture de la solidarité au sein de la société burkinabè pour le renforcement de la cohésion et de la paix au pays.

III. NOMINATIONS III.1. NOMINATIONS DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES

A. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE, DE LA DECENTRALISATION ET DE LA SECURITE

– Monsieur Saïdou SANKARA, Mle 59 713 C, Administrateur civil,

1ère classe, 11ème échelon, est nommé Secrétaire général adjoint ;

– Monsieur Georges Marie COMPAORE, Colonel-Major, est nommé

Conseiller Conseiller technique ;

– Monsieur Barké IMA, Mle 28 151 H, Administrateur civil, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Inspecteur général des services ;

– Monsieur Mwinbagfu Hugues Landry HIEN, Mle 118 963 D,

Administrateur civil, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Secrétaire permanent de la Commission nationale de la Décentralisation (SP/CONAD) ;

– Madame Salimata DABAL, Mle 91 139 J, Administrateur civil, 1ère classe, 8ème échelon, est nommée Secrétaire permanent de la Commission nationale des frontières ;

– Monsieur Bienvenu Claude Valery BADO, Mle 130 317 X, Magistrat de grade exceptionnel, 1er échelon, est nommé Coordonnateur national de contrôle des Forces de police ;

– Monsieur Bantida Samiré YONI, Mle 262 515 M, Commissaire principal de police, catégorie 1, 2ème échelon, est nommé Commandant de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité ;

– Monsieur Jean-Pierre VOGNA, Mle 98 021 K, Administrateur civil,

1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur général de l’Administration du territoire ;

– Monsieur Porzanga Saïbou TRAORE, Mle 238 007 H, Administrateur civil, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur général adjoint de l’Administration du territoire ;

– Monsieur Justin Omer BALIMA, Mle 59 709 N, Administrateur civil,

1ère classe, 11ème échelon, est nommé Directeur général de la

Modernisation de l’état civil ;

– Monsieur Issoufou KONGO, Mle 59 761 M, Administrateur civil,

1ère classe, 9ème échelon, est nommé Directeur général des Collectivités territoriales ;

 

– Monsieur Adama BATORO, Mle 97 424 K, Administrateur civil,

1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur général adjoint des Collectivités territoriales ;

– Monsieur Lazare YAGO, Officier, Colonel-Major, est nommé Directeur général de la protection civile ;

 

– Monsieur Gommêtekba Toussaint DIPAMA, Mle 216 137 I,

Administrateur des services financiers, 1ère classe, 6ème échelon, est Directeur général des études et des statistiques sectorielles ;

– Monsieur Mahamadou BA, Mle 37 106 X, Conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur de la communication et des relations presse ;

 

– Monsieur Batia BAZIE, Mle 70 052 K, Conseiller en gestion des ressources humaines, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Directeur des ressources humaines ;

– Monsieur Namoussa Yenoapo François BANGOU, Mle 260 184 D,

Administrateur civil, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur du développement institutionnel et de l’innovation ;

 

– Monsieur Hamidou SAMANDOULGOU, Mle 247 242 Z, Conseiller en archivitisque, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur des archives et de la documentation.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées Chargés de missions :

– Monsieur Bouraogo Casimir SEGUEDA, Mle 23 617 P, Administrateur civil ;

– Monsieur Halhassane SINARE, Mle 41 154, Juriste ;

– Monsieur Khalil BARA, Mle 28 169 K, Administrateur civil ;

 

– Monsieur Sibiri de Issa OUEDRAOGO, Mle 23 593 L, Administrateur civil ;

– Monsieur Antoine N. OUEDRAOGO, Mle 28 137 M, Administrateur civil ;

– Madame Irène COULIBALY, Mle 28 164 C, Administrateur civil ;

– Madame Josiane Y. KABRE/ZOUNGRANA, Mle 28 398 J, Administrateur civil ;

– Monsieur François de Sales Charlemagne NAMA, Mle 28 142 D,

Administrateur civil ;

– Monsieur Abdoulaye OUEDRAOGO, Mle 28 138 B, Administrateur civil ;

– Madame Alizèta DABIRE/SAWADOGO, Mle 59 707 Y, Administrateur civil ;

– Madame Nana Fatoumata BENON/YATASSAYE, Mle 88 836 K, Administrateur civil ;

 

– Madame Joséphine KOUARA APIOU/KABORE, Mle 25 760 S,

Administrateur civil.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées au poste de Secrétaire général de régions :

Région du Centre

– Monsieur Joseph R. KAFANDO, Mle 91 943, Administrateur civil ;

Région du Plateau-Central

– Monsieur Hamidou SORE, Mle 23 665 K, Administrateur civil ;

 

Région du Sahel

– Monsieur Boureima SAWADOGO, Mle 28 203 G, Administrateur civil ;

Région des Hauts-Bassins

– Madame Mariama KONATE/GNANOU, Mle 59 720, Administrateur civil ;

Région du Centre-Ouest

– Monsieur Sévérin Zoumèsègh SOME, Mle 28 156 L, Administrateur civil ;

Région du Sud-Ouest

– Monsieur Robert ZOUNGRANA, Mle 28 175 X, Administrateur civil ;

Région de la Boucle du Mouhoun

– Madame Adjara OUEDRAOGO, Mle 59 700 D, Administrateur civil ;

 

Région du Nord

– Monsieur Albert Kouliga ZONGO, Mle 59 766 R, Administrateur civil ; Région du Centre-Sud

– Madame Abibata Ouo BAMOUNI/TRAORE, Mle 75 654 J, Administrateur civil ;

Région du Centre-Nord

– Monsieur Inoussa KABORE, Mle 28 018 U, Administrateur civil ;

Région de l’Est

– Monsieur Siaka de Issa OUATTARA, Mle 23 621 Z, Administrateur civil ;

Région du Centre-Est

– Monsieur Sayouba SAWADOGO, Mle 28 530 N, Administrateur civil ;

Région des Cascades

– Madame Anastasie SAWADOGO/SAWADOGO, Mle 28 128 R, Administrateur civil.

 

Les personnes dont les noms suivent sont nommées au poste de conseiller technique chargé des questions relatives aux libertés publiques, à la prévention et à la gestion des conflits dans les régions suivantes :

 

Région de la Boucle du Mouhoun

– Monsieur Hamadé BOÏNA, Mle 32 454, Administrateur civil ;

Région des Cascades

– Monsieur Boureima SOW, Mle 28 114 Y, Administrateur civil ;

 

Région du Centre

– Monsieur Cyprien OUEDRAOGO, Mle 73 712 Z, Administrateur civil ;

Région du Centre-Est

– Madame Madéleine B. TRAORE/BICABA, Mle 85 089, Administrateur civil ;

Région du Centre-Nord

– Monsieur Rasmané NIKIEMA, Mle 91 925 U, Administrateur civil ;

Région du Centre-Ouest

– Monsieur Mahamadi ZABA, Mle 28 528 A, Administrateur civil ;

Région du Centre-Sud

– Monsieur Hamado OUEDRAOGO, Mle 28 396 X, Administrateur civil ;

 

Région de l’Est

– Monsieur Sékou SO, Mle 98 039 T, Administrateur civil ;

Région des Hauts-Bassins

– Madame Charlotte E. BADO, Mle 304 112, Administrateur civil ;

Région du Plateau-Central

– Monsieur Thomas BAMBARA, Mle 212 059 K, Administrateur civil ;

Région du Nord

– Monsieur Yala DAHOUROU, Mle 25 669 G, Administrateur civil ; Région du Sahel

– Monsieur Abdoul Aziz BANDAOGO, Mle 206 185 G, Administrateur civil ;

Région du Sud-Ouest

Monsieur Bertrand Djinta DABIRE, Mle 25 755 F, Administrateur civil.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées au poste de Haut-Commissaire de provinces :

 

Région de la Boucle du Mouhoun

Province des Balé

– Monsieur Ibrahim BOLY, Mle 98 002 A, Administrateur civil ;

Province des Banwa

– Monsieur Oumarou SANDWIDI, Mle 91 920 V, Administrateur civil ;

 

Province de la Kossi

– Monsieur Dô Jacques Abel SANOU, Mle 283 351 Y, Commissaire de Police ;

Province du Mouhoun

– Monsieur Souleymane NAKANABO, Mle 105 193, Administrateur civil ;

Province du Nayala

– Monsieur Honoré Frédéric PARE, Mle 98 013 B, Administrateur civil ;

Province du Sourou

– Monsieur Salif TRAORE, Mle 105 208 U, Administrateur civil.

 

Région des Cascades

Province de la Comoé

– Monsieur Hamidou MASSA, Mle 200 324 P, Administrateur civil ;

Province de la Léraba

– Monsieur Mahamadi CONGO, Mle 91 891 U, Administrateur civil.

 

Région du Centre

Province du Kadiogo

– Monsieur Maurice KONATE, Mle 105 189 Y, Administrateur civil.

Région du Centre-Est

Province du Boulgou

– Monsieur Constantin Domèbèguièrè DABIRE, Mle 105 182 N,

Administrateur civil.

 

Province du Koulpélogo

– Monsieur Ousmane OUATTARA, Mle 111 301 F, Administrateur civil ;

Province du Kouritenga

– Madame Aissata Angélina TRAORE, Mle 104 429 K, Administrateur civil.

 

Région du Centre-Nord

Province du Bam

– Monsieur Adama Jean Yves BERE, Mle 92 922 H, Administrateur civil ; Province du Namentenga

– Monsieur Adama CONSEIGA, Mle 111 296 Y, Administrateur civil ;

Province du Sanmatenga

– Monsieur Abraham Yiyé SONDO, Mle 105 205 W, Administrateur civil.

 

Région du Centre-Ouest

Province du Boulkiemdé

– Monsieur Théophile Koultiga OUEDRAOGO, Mle 59 772 E, Administrateur civil ;

Province du Sanguié

– Madame Germaine Talari OUOBA, Mle 229 989 F, Administrateur civil ;

Province de la Sissili

– Monsieur Téwindé Isaac SIA, Mle 98 018 V, Administrateur civil ;

 

Province du Ziro

– Monsieur Saïba ZOROME, Mle 91 933 G, Administrateur civil.

Région du Centre-Sud

Province du Bazèga

– Madame Justine KIENTEGA/ILBOUDO, Mle 220 656 W, Administrateur civil ;

Province du Nahouri

– Monsieur Auguste KINDA, Mle 91 868, Administrateur civil ;

Province du Zoundwéogo

– Monsieur Julien OUEDRAOGO, Mle 52 205, Administrateur civil.

 

Région de l’Est

Province de la Gnagna

– Monsieur Jean Baptiste BEOGO, Mle 91 935 E, Administrateur civil ;

Province du Gourma

– Monsieur Toussaint MEDA, Mle 75 413 T, Administrateur civil ;

Province de la Komondjari

– Monsieur Valentin GNAGNOU, Mle 220 654 B, Administrateur civil ;

Province de la Kompienga

– Monsieur Ismael OUATTARA, Mle 245 871, Administrateur civil ;

Province de la Tapoa

– Monsieur Réné KARAMBIRI, Mle 220 660 W, Administrateur civil.

Région des Hauts-Bassins

Province du Houet

– Monsieur Adama BIDIGA, Mle 238 001 J, Administrateur civil ;

Province du Kénédougou

– Monsieur Saidou SAKIRA, Mle 105 203 Y, Administrateur civil ; Province du Tuy

– Monsieur Issaka SEGDA, Mle 32 446 X, Administrateur civil.

 

Région du Nord

Province du Lorum

– Monsieur Djibril BASSOLE, Officier, Lieutenant de Gendarmerie ;

Province du Passoré

– Madame Francine R. Irma ZOUNGRANA, Mle 75 237, Administrateur civil ;

Province du Yatenga

– Monsieur Tasséré NACOULMA, Mle 59 770 R, Administrateur civil ; Province du Zandoma

– Monsieur Aboubacar Sidiki NABE, Mle 308 625 G, Commissaire de police.

 

Région du Plateau-Central

Province du Ganzourgou

– Madame Aminata SORGHO/GOUBA, Mle 212 187 R, Administrateur civil ;

Province du Kourwéogo

– Monsieur Siaka BARRO, Mle 212 398 J, Administrateur civil ;

Province de l’Oubritenga

– Monsieur Sahabani ZEBA, Mle 28 517 A, Administrateur civil.

 

Région du Sahel

Province de l’Oudalan

– Monsieur Valentin MARE, Mle 229 881 H, Administrateur civil ;

Province du Séno

– Monsieur Jean R. OUEDRAOGO, Mle 200 345 V, Administrateur civil ; Province du Soum

 

– Monsieur Emile Firmin W. BAMAS, Mle 25 756 S, Administrateur civil ;

Province du Yagha

– Monsieur Issouf OUATTARA, Mle 107 222, Commissaire principal de police .

Région du Sud-Ouest

Province de la Bougouriba

– Monsieur Hamidou KONATE, Mle 212 085 B, Administrateur civil ;

Province du Ioba

 

– Madame Bernadette ADENYO/SERME, Mle 220 655 W, Administrateur civil ;

Province du Noumbiel

– Monsieur Jean Marie KIENTEGA, Mle 105 186 K, Administrateur civil ;

Province du Poni

Monsieur Lucien GUENGUERE, Mle 91 945 R, Administrateur civil.

 

B. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION REGIONALE ET DES BURKINABE DE L’EXTERIEUR

 

– Monsieur Wendengoudi TAPSOBA, Mle 58 621 L, Inspecteur du Trésor,

1ère classe, 5ème échelon, est nommé Trésorier près l’Ambassade du Burkina Faso à Ottawa (CANADA).

 

C. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DE LA PROSPECTIVE

 

– Madame Ouindlassida Delphine OUEDRAOGO/ZOUNDI,

Mle 216 162 E, Administrateur des services financiers, 1ère classe,

6ème échelon, est nommée Comptable principale des matières du ministère des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur.

 

D. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES RELIGIEUSES ET COUTUMIERES

 

– Monsieur Ambroise SOME, Mle 28 127 B, Administrateur civil, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Inspecteur général des services.

 

E. AU TITRE DU MINISTERE DES INFRASTRUCTURES ET DU DESENCLAVEMENT

 

– Madame Kiswendsida Alice OUEDRAOGO, Mle 88 666 A, Economiste, 1ère classe, 10ème échelon, est nommée Secrétaire permanent du Programme sectoriel des transports.

 

F. AU TITRE DU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ALPHABETISATION ET DE LA PROMOTION DES LANGUES NATIONALES

 

– Madame Fatimata ZONGO/OUEDRAOGO, Mle 250 231 D, Conseiller d’éducation, 1ère classe, 5ème échelon, est nommée Inspecteur technique des services ;

– Monsieur Rasmané ZEBRET, Mle 29 938 G, Inspecteur de l’enseignement du 1er degré, 1er grade, 10ème échelon, est nommé Secrétaire permanent de la promotion des langues nationales ;

 

– Madame Habibata TONE/OUEDRAOGO, Mle 36 637 X, Inspecteur de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 2ème classe, 12ème échelon, est nommée Directrice de l’enseignement pédagogique, de la formation initiale et continue ;

– Monsieur Boureima OUEDRAOGO, Mle 46 461 A, Professeur certifié des lycées et collèges, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Directeur des activités sportives, culturelles et des loisirs de l’éducation ;

 

– Monsieur Tiambè DIOMA, Mle 20 808 N, Inspecteur général de

l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe,

14ème échelon, est nommé Directeur de la recherche en éducation non formelle ;

– Monsieur Sidbewindin Innocent SAWADOGO, Mle 45 057 G,

 

Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur de la production des manuels et matériels didactiques ;

– Madame Aïssata ILBOUDO/BOUDA, Mle 49 934 S, Conseiller d’orientation scolaire et professionnelle, 1ère classe, 15ème échelon, est nommée Directrice de l’information, de l’orientation scolaire, professionnelle et des bourses ;

 

– Monsieur Bertin TOE, Mle 26 666 T, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 3ème classe, 11ème échelon, est nommé Directeur des technologies de l’information et de la communication pour l’éducation ;

– Monsieur Y. B. Bonaventure MEDA, Mle 34 622 U, Inspecteur de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 2ème classe, 10ème échelon, est nommé Directeur des curricula, programmes et référentiels ;

 

– Monsieur Karim KABORE, Mle 33 681 D, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 16ème échelon, est nommé Directeur de l’enseignement privé ;

– Monsieur Ambroise PARE, Mle 30 551 R, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur régional de l’enseignement primaire et de l’éducation non-formelle de la Boucle du Mouhoun ;

 

– Monsieur Soilliou KARANTAO, Mle 36 871 G, Inspecteur de

l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe,

7ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle des Cascades ;

 

– Monsieur Bourbila Pierre SILGA, Mle 43 575 R, Inspecteur de

l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe,

10ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Centre-Est ;

– Monsieur Hamidou GUIRO, Mle 19 998 H, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 14ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire primaire et non-formelle du Centre-Nord ;

 

– Madame Adiarata SAWADOGO, Mle 43 557 C, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 11ème échelon, est nommée Directrice régionale de l’éducation préscolaire primaire et non-formelle du Centre-Ouest ;

– Madame Emilienne KONSEM/SAWADOGO, Mle 52 917 J, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 6ème échelon, est nommée Directrice régionale de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Centre-Sud ;

 

– Monsieur Zakarie ZOURE, Mle 26 512 H, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle des Hauts-Bassins ;

– Monsieur Elhadj BOUBACAR, Mle 34 494 E, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 11ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Sahel ;

 

– Monsieur Raogo Aristide BALIMA, Mle 26 073 T, Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Directeur régional de l’Institut national de formation des personnels de l’éducation du Nord ;

– Monsieur Noufou TAO, Mle 50 958 F, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur régional de l’Institut national de formation des personnels de l’éducation du Sahel ;

 

– Monsieur Ousseini Moukaylou MAIGA, Mle 42 285 B, Inspecteur de

l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe,

7ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle de l’Oudalan ;

 

– Monsieur Hamidou CISSE, Mle 52 734 W, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Soum ;

 

– Monsieur Hamadou Boureima DICKO, Mle 52 613 B, Inspecteur de l’enseignement primaire, 1er grade, 7ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Séno ;

– Monsieur Issiaka Hamidou BOKOUM, Mle 48 263 A, Inspecteur de

l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe,

7ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Yagha.

 

G. AU TITRE DU MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MOBILITE URBAINE ET DE LA SECURITE ROUTIERE

– Monsieur Ditierisse HIE, Mle 117 002 W, Conseiller en gestion des ressources humaines, est nommé Chargé d’études ;

– Monsieur Mohamed Awallo ZAMPALIGRE, Mle 228 374 N, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur régional des Transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière du Centre-Est ;

– Monsieur Boukari SAVADOGO, Mle 238 564 J, Conseiller en emploi et en formation professionnelle, 1er grade, 3ème échelon, est nommé Directeur régional des Transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière des Hauts-Bassins ;

– Monsieur Nouffou COMPAORE, Mle 247 494 Y, Conservateur d’archives, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur régional des Transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière du Nord.

H. AU TITRE DU MINISTERE DE L’URBANISME, DES AFFAIRES FONCIERES ET DE L’HABITAT

– Madame Sétou COMPAORE, Mle 130 357 R, Magistrat, catégorie P5,

1er grade, 4ème échelon, est nommée Conseiller technique ;

– Monsieur Sylvain Appolinaire COMPAORE, Mle 372 813 W,

Technicien supérieur en aménagement foncier, 1ère classe, 8ème échelon, est nommé Chargé de missions, en remplacement de Monsieur Emmanuel TAPSOBA.

I. AU TITRE DU MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE L’EMPLOI

– Monsieur Drissa KONATE, Mle 59 651 T, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Directeur général des études et des statistiques sectorielles ;

– Monsieur Idrissa TRAORE, Mle 117 343 M, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Conseiller technique ;

– Monsieur Boubakar DRABO, Mle 57 153 W, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur général du Fonds d’appui au secteur informel (FASI).

III.2. NOMINATIONS DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION

Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs aux Conseils d’administration :

– du Centre hospitalier régional de Kaya et du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO au titre du ministère de la Santé et de l’hygiène publique ;

– de l’Agence burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM), de la Société nationale burkinabè d’hydrocarbures (SONABHY), de la Société nationale des cartons et d’emballages du Burkina (SONACEB) et de l’Agence burkinabè des investissements (ABI) au titre du ministère du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises.

Le Conseil a également procédé à la nomination d’un Président au Conseil d’administration du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO au titre du ministère de la Santé et de l’hygiène publique.

A. MINISTERE DE LA SANTE ET DE L’HYGIENE PUBLIQUE

Le Conseil a adopté trois (03) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Kaya pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA COMMISSION MEDICALE

– Monsieur Barnabé SANON, Mle 238 821 H, Pharmacien, en remplacement de Dr Aimé BILGO.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS DE L’ETABLISSEMENT

– Monsieur Ousséni SAWADOGO, Mle 85 329 X, Attaché de santé.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES ASSOCIATIONS DES MALADES

– Monsieur Boukaré OUEDRAOGO, Membre de la coordination régionale des organisations de la société civile du Centre-Nord.

Le deuxième décret nomme Monsieur Alexandre SANFO, Mle 51 324 B, Administrateur des hôpitaux et des services de santé, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la santé et de l’hygiène publique au

Conseil d’administration du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Eric TOUGOUMA.

Le troisième décret nomme Monsieur Alexandre SANFO, Mle 51 324 B, Administrateur des hôpitaux et des services de santé, Président du Conseil d’administration du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO pour un premier mandat de trois (03) ans.

B. MINISTERE DU DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL, DU COMMERCE, DE L’ARTISANAT ET DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES

Le Conseil a adopté quatre (04) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration de l’Agence burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM) pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT L’ETAT

Au titre du ministère du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises :

– Madame Lydie ZONGO/SANON, Mle 111 324 L, Conseiller des affaires économiques.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DU BURKINA FASO (CCI-BF)

– Monsieur Ibrahim TRAORE, Elu consulaire, Directeur général de la société nouvelle huilerie et savonnerie (SN-CITEC).

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LE PERSONNEL DE L’AGENCE BURKINABE DE NORMALISATION, DE LA METROLOGIE ET DE LA QUALITE

– Monsieur Bahilama Moussa SOURABIE, Mle 14 054, Technicien supérieur en contrôle qualité.

Le deuxième décret nomme Monsieur Bolo SANOU, Cadre supérieur de banque, Administrateur représentant l’Etat, au titre de la Présidence du Faso au

Conseil d’administration de la Société nationale burkinabè d’hydrocarbures (SONABHY) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Patrice KOURAOGO.

Le troisième décret nomme Monsieur Nazaire THIOMBIANO, Mle 52 156 K, Administrateur des services financiers, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises au Conseil d’administration de la Société nationale des cartons et d’emballages du Burkina (SONACEB) pour un premier mandat de trois (03) ans.

 

Le quatrième décret nomme Monsieur Parfait Désiré OUEDRAOGO, Mle 100 372, Cadre supérieur de banque, Administrateur représentant l’Etat, au titre de la Présidence du Faso au Conseil d’administration de l’Agence burkinabè des investissements (ABI) pour un premier mandat de trois (03) ans.

 

Wendkouni Joël Lionel BILGO

 

 

Zondoma : un enfant meurt par noyade à Niessega

Zondoma : un enfant meurt par noyade à Niessega

Gourcy, 13 juillet 2022(AIB)-Un enfant de 8 ans s’est noyé hier mardi  à Niessega, alors qu’il se baignait dans une rivière avec quatre autres bambins, a appris l’AIB.

Un enfant a trouvé la mort par noyade dans l’après-midi du mardi 12 juillet 2022 dans le village de Niessega, situé à 11 kilomètres au Sud de Gourcy chef-lieu de la province du Zondoma.

Selon les témoignages,  cinq enfants se baignaient dans une rivière non loin des champs quand ils ont été surpris par l’arrivée d’un courant d’eau venu d’une pluie tombée probablement loin de là.

Si quatre des enfants ont pu s’échapper, le cinquième, âgé d’environ 8 ans a malheureusement été emporté par l’eau.

Son corps sans vie a été repêché à près d’un kilomètre du lieu de la baignade. Il a été inhumé dans la même soirée après les constats d’usage.

Agence d’information du Burkina

Aziz KIEMDE

AIB-ZONDOMA

Insécurité : Deux jeunes enlevés au secteur 1 de Fada N’Gourma

Insécurité : Deux jeunes  enlevés au secteur 1 de Fada N’Gourma

Fada N’Gourma, 13 juillet 2022(AIB)-Deux jeunes qui ont fui l’insécurité pour se réfugier dans la zone non-lotie du secteur n°1 de Fada N’Gourma, ont été enlevés mardi soir par des hommes armés, a appris l’AIB.

Selon les sources de l’AIB, des hommes armés ont fait irruption le mardi 12 juillet 2022 autour de 20heures dans la zone non lotie du secteur N°1 de Fada N’Gourma.

Ils ont enlevé deux jeunes et emporté une motocyclette et du bétail.

Les mêmes sources ajoutent que les deux jeunes sont des éleveurs qui ont fui leur village d’origine pour cause de l’insécurité et qui s’étaient réfugiés à Fada N’Gourma.

Agence d’information du Burkina

 

27 personnes renoncent à la nationalité burkinabè, 146 autres en bénéficient

27 personnes renoncent à la nationalité burkinabè, 146 autres en bénéficient

Ouagadougou, 13 juillet 2022(AIB)-27 Burkinabè ont « répudié » leur nationalité au profit d’autres nationalités tandis que 146 autres personnes de nationalités étrangères, vont bénéficier de la nationalité burkinabè, a annoncé mercredi, le porte-parole du gouvernement burkinabè Lionel Bilgo.

Mercredi à l’issue du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement burkinabè Lionel Bilgo a rappelé que «l’article 186 du Code des personnes et de la famille offre la possibilité à tout Burkinabè de répudier sa propre nationalité au profit d’une autre nationalité».

C’est à ce titre que 27 Burkinabè qui en ont fait la demande, vont bénéficier de ce droit, a-t-il ajouté.

Selon Lionel Bilgo, la rectification du décret du 12 juillet 2021 portant naturalisation, va permettre de corriger des erreurs concernant trois personnes, afin qu’elles et leurs ayants droits puissent bénéficier de la nationalité burkinabè.

M. Bilgo a aussi annoncé que 146 personnes de nationalités étrangères et leurs enfants mineurs vivant au Burkina Faso, vont bénéficier à leur demande, de la nationalité burkinabè, conformément aux articles 151 ; 155 ; 158 et 162 du Code des personnes et de la famille du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

Entretien avec l’artiste musicien burkinabè Djeli Karim  » Je fais de la musique tradi-moderne mandingue »

Burkina-Musique-Artiste-Interview

Entretien avec l’artiste musicien burkinabè Djeli Karim  » Je fais de la musique tradi-moderne mandingue »

Bobo-Dioulasso, 13 Juillet 2022 (AIB)-Griot de naissance, l’artiste-musicien Djeli Karim s’est professionnalisé dans la musique tradi-moderne mandingue. Dans une interview accordée à la WEB TV AIB, il évoque son genre musical, les tournées et les prix obtenus avec son premier album Djeliya, les difficultés dans la musique, son prochain album prévu en 2023.

Retrouvez l’entretien sur la WEB TV AIB…

Yako : Les acteurs de l’Education font le bilan des examens du BEPC et BAC 2022 

Burkina-Yako-Education-Examens-Résultats-Bilan

Yako : Les acteurs de l’Education font le bilan des examens du BEPC et BAC 2022 

Yako, mercredi 13 juillet 2022(AIB)-Le Directeur provincial des enseignements post-primaire et secondaire(DPEPS) du Passoré, Halidou Konfé a présidé, mercredi, les travaux de la rencontre portant sur le bilan des examens scolaire du post primaire et secondaire de la province du Passoré.

Les chefs de services de la DPEPS, les représentants des chefs d’établissement et partenaires sociaux du post primaire et secondaire du Passoré ont tenu ce mercredi à la Direction provinciale des enseignements post-primaire et secondaire(DPEPS) du Passoré, une rencontre de présentation du bilan des examens du CAP, BEP, BEPC et du BAC de la session de 2022.

Trois points essentiels étaient inscrits à l’ordre du jour. Il s’agit de la présentation du bilan desdits examens, assortie des échanges sur la présentation ainsi que les perspectives pour l’année scolaire 2022-2023.

Dans sa présentation, le chef de service des examens et concours de la DPEPS, Hamado Dondassé a signifié que sur 6211 candidats qui ont pris part aux épreuves écrites et orales du BEPC, la province a enregistré 2593 admis. Ce qui correspond à un taux de réussite de 41,75%.

Pour ce qui est des examens du BEP et du CAP, ils étaient au total 154 candidats dont 126 admis pour un taux de réussite de 81,82%.

Le Directeur provincial des enseignements post-primaire et secondaire(DPEPS) du Passoré, Halidou Konfé

Au titre de la session du Baccalauréat, sur les 3404 candidats présents, seulement 1366 candidats ont pu s’octroyer le titre de bacheliers de la session. Un résultat qui équivaut à un taux de succès estimé à 40,13%.

M. Dondassé a également fait cas de certaines difficultés rencontrées dans l’organisation desdits examens.

Il révélé entre autres le problème d’électricité dans certains jurys, l’absence d’encadreurs pédagogiques dans certaines disciplines, la mauvaise qualité de l’encre pour les imprimantes et photocopieuses ainsi que la distance entre les jurys et le lieu de la concertation.

Le Directeur provincial des enseignements post-primaire et secondaire du Passoré, Halidou Konfé a félicité l’ensemble des acteurs qui ont été impliqués dans le déroulement des examens concernés.

Il a du reste fait comprendre que les actions seront entreprises dans le sens de pallier certaines difficultés mentionnées dans la limite de ses compétences.

Quant à certaines difficultés qui dépasseraient ses compétences, M.Konfé a promis de les faire parvenir à qui de droit.

Agence d’information du Burkina

ZES/wis 

Bac 2022: La province de la Sissili enregistre un taux de succès  de 42,77%

Burkina-Education-Examen-Baccalauréat

Bac 2022: La province de la Sissili enregistre un taux de succès  de 42,77%

Léo, 13 juil. 2022 (AIB)– La province de la Sissili dans la région du Centre-ouest a obtenu, à l’issue des résultats, un taux de 42,77 % à l’examen du Baccalauréat, session 2022.

Au nombre de 1447 candidats présentés dans cinq jurys de la province de la Sissili dans la région du Centre-ouest, 619 élèves ont pu décrocher leur parchemin.

Les examens du Baccalauréat ont débuté le 21 juin dernier et ont pris fin le jeudi 7 juillet dans la province de la Sssili, par la proclamation des résultats définitifs à l’issue du second tour.

Agence d’information du Burkina

OAN/ho/no/ak

Image utilisée juste à titre illustratif

BAC 2022 : La province du Tuy obtient 562 admis soit 34,78%

Burkina-Houndé-Baccalauréat-Résultats

BAC 2022 : La province du Tuy obtient 562 admis soit 34,78%

Houndé, 13 juillet 2022 (AIB)-La province du Tuy a obtenu un taux de réussite de 34, 78% au baccalauréat session 2022, soit 562 admis, a appris jeudi l’AIB. 

Sur 1652 candidats inscrits, 1616 ont effectivement pris part aux épreuves et 562 ont été déclarés admis.

La province du Tuy a obtenu un taux de succès de 34, 78% toutes séries confondues (A4 et D) à l’issue des deux tours du baccalauréat session 2022.

Sur 1616 candidats dont 712 de la série A4 et 904 de la série D, qui ont pris part aux épreuves, 562 sont déclarés admis (219 filles et 343 garçons).

En série A4, 305 candidats ont passé avec brio l’examen, ce qui correspond à un taux de 42,84%.

Tandis qu’en série D, ce sont 257 candidats qui ont été déclarés admis soit un pourcentage de 28,43%.

En rappel, après les épreuves du premier tour, la province était à un pourcentage de 26,24% dont 30,06 % pour la série A4 et 23, 23% pour la série D.

Agence d’information du Burkina

BEB/wis

Photo d’archive pour illustration 

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