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Solenzo : La saison hivernale s’est bien installée

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Solenzo : La saison hivernale s’est bien installée

Solenzo, 3 juillet 2023 (AIB)-La saison des pluies s’est bien installée avec des pluies torrentielles et des vents violents.

Le démarrage des travaux champêtres n’est pas le même chez tous les agriculteurs de la commune de Solenzo.

En effet le mois de juin n’a pas connu assez de pluies ce qui a empêché plusieurs paysans à rejoindre les champs.

Un constat ce lundi 3 juillet dans quelques champs a permis de s’imprégner de l’installation de la saison hivernale et le démarrage des travaux champêtres.

À la sortie ouest de Solenzo, Boniface Tialla est dans le champ familial.

Un groupe de femmes déplacées internes font le désherbage avec les membres de la famille sur une superficie de 2 hectares de sorgho.

Les plantes ont bien poussé et c’est avec un sourire aux lèvres que Boniface se confie.

« Mon mil s’est levé et beaucoup de personnes s’étonnent. Un bon cultivateur sait quand la saison hivernale débute. Nous avons semé aux premières pluies et aujourd’hui regardez vous même le champ » a rétorqué Boniface Tialla.

Selon lui, ils ont également quelques hectares de maïs et d’arachide qui ont bien poussé et attendent le désherbage.

Plus loin dans un autre champ, un enfant éparpille les tas de fumier. Il affirme attendre son père pour labourer afin que ses mères puissent semer.

Les travaux de cette saison hivernale diffèrent d’un champ à un autre. C’est ce qui explique le champ d’un déplacé interne qui a gardé l’anonymat.

« J’ai eu un champ et j’ai semé sur les anciennes buttes. Quand ça va sortir, je vais mettre le houemanga pour être un peu en avance car la saison pluvieuse c’est la loterie », a-t-il ajouté.

Mariam est une déplacée interne. Elle et d’autres femmes se sont organisées en groupe afin de travailler chez des gens pour subvenir à leurs besoins.

Elle a souligné que les déplacés internes n’ont pas de champ et que le peu qu’ils gagnent à l’action sociale ne leur suffit pas. C’est pourquoi, selon Mariam, elles se promènent pour travailler.

« Si la personne nous donner à manger alors on est payé à 750 f par personne la journée. Mais si c’est nous on amène notre nourriture, c’est 1000f. Avec cet argent, on paie des condiments, des médicaments si on est malade et aussi des habits et même la nourriture », a-t-elle ajouté.

La présente saison hivernale se présente bien dans l’ensemble d la province des Banwa, foi du directeur provincial en charge de l’agriculture.

Selon Madou Coulibaly, directeur provincial de l’agriculture et des ressources halieutiques la pluie a pratiquement commencé en mi-juin et elle a été mal repartie dans le temps et dans l’espace dans les Banwa.

Pour la commune de Solenzo, il affirme que pour l’instant la situation est bonne en matière de pluviométrie.

« Il y avait un retard mais actuellement, on a plus de 50% des semis et actuellement c’est la levée des plantes qu’on observe à Solenzo », a-t-il affirmé.

M. Coulibaly a précisé qu’à ce jour, le taux global de réalisation de cette campagne est à 75% de réalisation dans la province avec 241 600 hectares pour les céréales ».

L’état accompagne les producteurs en matière d’intrants agricoles et de semences chaque année dans la province.

Pour cette année, il est prévu 5% de ces intrants agricoles et semences pour les PDI qui ont des champs et l’acquisition est gratuite selon le Directeur Provincial.

Agence d’information du Burkina

SO/wis 

 

Afghanistan: les autorités  ordonnent la fermeture des salons de beauté

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Afghanistan: les autorités  ordonnent la fermeture des salons de beauté

 

 KABOUL, 4 juil 2023  – Le gouvernement  a annoncé mardi avoir ordonné la fermeture des salons de beauté d’ici un mois en Afghanistan, une nouvelle mesure visant à tenir les femmes toujours plus à l’écart de la vie publique.

Depuis leur retour au pouvoir en août 2021, les autorités ont exclu les femmes de la plupart des établissements d’enseignement secondaire, des universités et des administrations publiques. Ils leur ont aussi très largement interdit de travailler avec l’ONU et les ONG internationales.

Les femmes pas non plus le droit d’entrer dans les parcs, jardins, salles de sport et bains publics, de voyager sans être accompagnées d’un parent masculin et doivent se couvrir intégralement lorsqu’elles sortent de chez elles.

Mohammad Sadeq Akif Muhajir, le porte-parole du ministère de la Prévention du vice et de la Promotion de la vertu, a confirmé mardi à l’AFP la fermeture des salons de beauté, évoquée depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.

Il n’a pas justifié cette décision. « Une fois qu’ils auront été fermés, nous en donnerons la raison aux médias », a-t-il déclaré.

Un mois a été accordé aux salons pour fermer, afin qu’ils puissent écouler leur stock sans connaître de pertes, a-t-il expliqué.

Selon une copie écrite du décret consultée par l’AFP, la décision « s’appuie sur une instruction verbale émanant du chef suprême » de l’Afghanistan, Hibatullah Akhundzada.

Les instituts de beauté avaient proliféré à Kaboul et dans les grandes villes afghanes pendant les 20 années d’occupation par les forces américaines et de l’Otan, avant le retour au pouvoir des talibans.

Ils étaient considérés comme des endroits sûrs pour que les femmes puissent se rencontrer en l’absence d’hommes, et avaient aussi permis à de nombreuses femmes de créer leur propre commerce.

Dans un rapport présenté la semaine dernière au Conseil des droits de l’homme des Nations unies, Richard Bennett, rapporteur spécial pour l’Afghanistan, a estimé que la situation des femmes et des jeunes filles dans le pays « était l’une des pires au monde ».

La « discrimination grave, systématique et institutionnalisée à l’encontre des femmes et des filles est au coeur de l’idéologie et du pouvoir des talibans », a assuré M. Bennett.

Hibatullah Akhundzada a affirmé fin juin que les femmes vivant dans le pays avaient été sauvées de l' »oppression » par le gouvernement taliban et que leur statut d' »êtres humains libres et dignes » avait été rétabli.

Le chef suprême, dont les apparitions en public sont très rares et qui gère le pays par décrets depuis Kandahar (Sud), berceau des talibans, avait expliqué que tout était fait pour garantir aux femmes « une vie confortable et prospère conformément à la charia » (loi islamique).

Avec AFP

 

Sénégal : Macky Sall renonce à la présidentielle de 2024

Sénégal : Macky Sall renonce à la présidentielle de 2024

Ouagadougou 3 juillet 2023(AIB)-Le président sénégalais Macky Sall a annoncé lundi soir, qu’il ne se représentera pas à la présidentielle de 2024.

« Ma décision est de ne pas être candidat (…) J’ai un code d’honneur », a déclaré le président Sall dans un discours à la Nation.

L’éventualité d’un troisième mandat de Macky Sall et la condamnation de son principal opposant Ousmane Sonko, a plongé le Sénégal une fois de plus en juin dans la violence.

« Mes cher(e)s compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024. Et cela, même si la Constitution m’en donne le droit. », a écrit lundi soir le président sénégalais Macky Sall sur son compte Twitter.

Au moins 16 personnes ont perdu la vie.

Agence d’information du Burkina

Burkina: Le Premier ministre exhorte le secteur privé à prendre la place qui lui est accordée

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Burkina: Le Premier ministre exhorte le secteur privé à prendre la place qui lui est accordée

Ouagadougou, 3 juil. 2023 (AIB)- Le Premier ministre burkinabè, Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla a exhorté, lundi à Bobo-Dioulasso, les acteurs du monde des affaires burkinabè à prendre toute la place qui leur est accordée dans le processus de relance de l’économie nationale.

Le chef du gouvernement s’exprimait  ce lundi 3 juillet 2023, à  Bobo-Dioulasso, à l’ouverture des travaux  de la 5e  édition de la rencontre nationale  du Cadre de concertation et d’orientation pour le dialogue Etat/Secteur privé (CODESP).

Le thème retenu pour la rencontre est : « Le rôle du foncier dans la promotion de l’investissement productif au Burkina Faso ».

L’édition 2023 du CODESP se donne pour objectifs de présenter l’état de mise en œuvre des recommandations et engagements  de 2021 et les actions envisagées pour la mise en œuvre des recommandations issues des rencontres régionales et sectorielles de 2022.

Elle va également permettre d’examiner les  préoccupations qui n’ont pas eu de réponses satisfaisantes dans les instances antérieures et ce, en vue de susciter conformément aux objectifs de ce cadre de concertation, des politiques et réformes à même d’instaurer un environnement plus propice au développement du secteur privé.

A l’ouverture des travaux, le Premier ministre (PM), Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a fait savoir que le gouvernement a pris la pleine mesure des nombreux défis à relever pour accompagner la transformation structurelle de l’économie burkinabè.

En effet, a expliqué le PM, le Plan d’actions pour la stabilisation et le développement (PASD), impulsé par le président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré, accorde, outre la question sécuritaire, une place prépondérante au secteur privé, considéré à juste titre comme le principal moteur de la croissance économique.

« Ainsi, d’importantes réformes structurelles et sectorielles sont en cours dans une démarche participative afin de construire une véritable économie inclusive et prospère à travers ledit Plan d’Actions notamment en son Pilier 3 à savoir « refonder l’Etat et améliorer la gouvernance », a-t-il ajouté.

Toutefois, selon Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, il convient d’indiquer que le modèle de développement qui place l’investissement productif au cœur des priorités est confronté à des difficultés de mobilisation foncière, qui annihilent la mise en œuvre de projets structurants aussi bien publics que privés.

C’est à juste titre que pour lui, le thème de cette édition de la rencontre nationale du CODESP est très évocateur et donne l’occasion de se pencher sur les nombreux défis à relever par notre pays en matière foncière.

« Cette problématique ne peut être traitée qu’à travers un dialogue public/privé renforcé et consolidé avec des axes stratégiques clairement définis à l’effet de trouver des réponses adéquates », a-t-il insisté.

Du reste, le chef du gouvernement a assuré que les recommandations qui seront issues de la présente édition feront l’objet d’un examen attentif et d’une évaluation conjointe de la mise en œuvre, via le Comité de pilotage du CODESP qu’il  préside.

Toute chose qui permettra, à son avis, d’enregistrer les progrès escomptés.

Par ailleurs, il a exhorté le secteur privé à prendre toute la place qui lui est accordée dans le processus de relance de notre économie.

« L’Etat pour sa part réitère son engagement à créer les conditions favorables pour l’éclosion d’un secteur privé dynamique et prospère ; gage d’un développement économique inclusif et durable », a promis le Premier ministre.

A l’entendre, tenir un évènement aussi majeur que la Rencontre nationale du CODESP dans un contexte économique, politique et social particulièrement difficile au plan national et international  est un défi et un acte de résilience.

Quant à Mamady Sanoh, 2e vice-président de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso (CCI-BF), il a salué la récente adoption de la loi portant promotion immobilière qui permettra, entre autres, d’assurer une meilleure gestion du foncier national, de préserver les terres cultivables et de favoriser la promotion du logement décent et la mise en œuvre de projets intégrés de développement.

Actualité nationale oblige, il a, au nom de la communauté des affaires, salué, à sa juste valeur, les efforts déjà entrepris par le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim Traoré, et  l’ensemble du Gouvernement, en vue de restaurer notre territoire.

De ce faite, il  leur a traduit tout le soutien du Secteur  privé dans cette lutte qui interpelle toutes les couches sociales, car il est convaincu que c’est dans l’union, la cohésion et la concertation que nous y parviendrons.

Agence d’information du Burkina

Source : DCRP/Primature

Gourcy : Une association redonne le sourire à plus de 400 enfants

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Gourcy : Une association redonne le sourire à plus de 400 enfants

Gourcy, 3 juil. 2023 (AIB)-L’Association Liaison Universelle pour le Bien être des enfants et des Jeunes (ALUBJ) a célébré en différé ce samedi 1er juillet 2023 à Gourcy, la journée de  l’enfant africain. A cette occasion  plus de 400 enfants ont reçu des cadeaux.

La journée de l’enfant africain est organisée  le 16 juin de chaque année  en hommage aux enfants de Soweto massacrés en 1976 par le régime de l’apartheid en Afrique du Sud.

Pour commémorer cette journée, l’Association Liaison Universelle pour le bien-être des enfants et des Jeunes (ALUBJ) a choisi  ce samedi 1er juillet pour organiser des festivités au profit des enfants de la commune de Gourcy.

Pour le président de l’association, Éric Laurent Kissim, cette initiative entrant dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’action de sa structure, vise à donner le sourire aux enfants de Gourcy, particulièrement ceux issus des familles déplacées du fait de l’insécurité.

Ces festivités étaient placées sous la présidence du Haut-commissaire du Zondoma représenté par le Secrétaire général de la mairie de Gourcy Émile Gnoumou et le parrainage de Raïssa Pengdwendé Ouédraogo, présidente du Groupe Teed-Beoogo (GTB).

Les festivités ont été organisées en collaboration avec l’Association des Jeunes Leaders pour la Démocratie et la Paix (AJLDP). Des jeux divers, la danse, des chants et des récitals ont ponctué cette journée commémorative.

Prenant la parole, la marraine a exprimé sa joie d’être associée à cette activité visant l’épanouissement des enfants qui, selon elle, ont besoin de notre solidarité particulièrement dans le contexte actuel marqué par l’insécurité.

« Je reste disponible à  vous accompagner dans vos actions en faveur de l’enfant » a t-elle indiqué. En reconnaissance à cet engagement pour le bien-être des enfants, elle a été élevée au titre  »d’ambassadrice de l’enfance » par les organisateurs.

Pour le Secrétaire général Émile Gnoumou, l’enfant représente tout notre avenir. C’est pourquoi, tout en saluant ce clin d’oeil en leur direction, il a émis le vœu qu’on pense déjà à leur scolarisation.

Avant de repartir chaque enfant, après un repas communautaire, a reçu un kit de friandises et un lot de vêtements. En guise de reconnaissance, des attestations ont été remises aux partenaires qui ont contribué à la réalisation de l’activité.

Agence d’information du Burkina

AK/wis

Baccalauréat 2023 : C’est parti pour le second tour de l’examen dans la région de la Boucle du Mouhoun

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Baccalauréat 2023 : C’est parti pour le second tour de l’examen dans la région de la Boucle du Mouhoun

Dédougou, 03 juillet (AIB)-Les candidats admissibles au second tour de l’examen du Baccalauréat session de 2023 ont entamé ce lundi 03 juillet 2023 dans les différents centres d’examen, les épreuves de contrôle.

Le jury 19 sis au Lycée Privé Technique Béthel de Dédougou a servi de cadre ce lundi 03 juillet 2023 au lancement des épreuves du second tour de l’examen du Baccalauréat session de 2023 à Dédougou.

Pour l’occasion, le Directeur provincial des enseignements post-primaire et secondaire du Mouhoun Kèlètigui Soulama, qui a représenté le directeur régional a prodigué ses encouragements et conseils aux candidats avant de procéder à l’ouverture de la première enveloppe des épreuves.

« Ne soyez pas crispés, détendez-vous et soyez appliqués durant la composition. Vous avez la chance d’être autorisés pour cette seconde phase. Je vous souhaite beaucoup de courage et plein succès à vous » a dit M. Soulama.

L’une des particularités dans ce jury 19, un seul candidat compose le second tour dans la série C. Il a reçu les encouragements des autorités en charge des enseignements post-primaire et secondaire de la région. Les candidats admissibles au second tour sont au nombre de 2 762 composés de 1316 filles et 1446 garçons.

Pour le premier tour, la région de la Boucle du Mouhoun du Mouhoun a enregistré 2984 admis composés de 1327 filles et 1657 garçons soit un taux de succès de 31,36%.

La province du Sourou vient en tête avec 34,29%. Elle est suivie des Balé avec 32,38% et le Mouhoun avec 32,37%. La province de la Kossi a enregistré un taux de 26,87% et celle du Nayala 26,29%.

Le souhait des autorités en charge des enseignements post-primaire et secondaire est que les résultats du second tour soient meilleurs afin de permettre à la région d’avoir un bon classement au niveau national.

Agence d’information du Burkina

 SB/wis

Le Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique a mis en garde contre le fait de provoquer les sentiments de millions de musulmans

Le Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique a mis en garde contre le fait de provoquer les sentiments de millions de musulmans

Djeddah (UNA) – Le dimanche 2 juillet 2023 au siège du Secrétariat général de l’Organisation de la coopération islamique à Djeddah, se sont tenus les travaux de la réunion extraordinaire à composition non limitée du Comité exécutif de l’Organisation, pour discuter des mesures à prendre face aux répercussions de l’incendie d’un exemplaire du Noble Coran qui s’est produit devant la mosquée centrale de la capitale suédoise, Stockholm, les premiers jours de l’Aïd al-Adha.

La réunion du Comité exécutif s’est tenue à l’invitation du Royaume d’Arabie saoudite, Président de l’actuel Sommet islamique et Président du Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique.

Au début de la réunion, le représentant permanent saoudien auprès de l’Organisation de la coopération islamique, le Dr Saleh Al-Suhaibani, a confirmé lors de son discours au Royaume d’Arabie saoudite que la tentative de profanation du Saint Coran sous le faux prétexte de la liberté d’opinion et d’expression contredit l’esprit des articles 19 et 20 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ainsi que Le plan d’action convenu par consensus international contredit les résolutions du Conseil des droits de l’homme qui combattent l’incitation à la haine et à la discrimination sur la base de la religion ou des convictions.

Al-Suhaibani a souligné que cet incident représente une attaque contre l’islam et une provocation aux sentiments de millions de musulmans à travers le monde, soulignant qu’il s’est produit à un moment où les musulmans du monde entier célèbrent l’Aïd al-Adha d’une belle manière et des moments heureux qui incarnent les images les plus merveilleuses de cohésion et de coopération au profit de l’humanité, et recherchent la paix, la sécurité et l’harmonie, et en même temps que les invités de Rahman accomplissent le pèlerinage, le cinquième pilier de la vraie religion islamique.

Al-Suhaibani a réitéré la ferme condamnation et dénonciation par le Royaume de ces actes ignobles répétés, soulignant que ces actes haineux ne peuvent être acceptés sous aucune justification et qu’ils incitent clairement à la haine, à l’exclusion et au racisme, et violent les lois divines et toutes les décisions des références et pactes internationaux appelant pour l’harmonie, la paix et le rapprochement, et en même temps ils se contredisent, et directement avec les efforts internationaux visant à diffuser les valeurs de tolérance, de modération et de rejet de l’extrémisme, et sapant les principes de respect mutuel nécessaires aux relations entre peuples et états.

Il a ajouté : « à cet égard, le Royaume souligne la nécessité de prendre des mesures décisives de la part de la communauté internationale et de notre ancienne organisation pour empêcher la répétition de ces pratiques qui sont en dehors des valeurs humaines et des principes moraux, car de telles actions flagrantes ne feront que conduire à plus de fanatisme et d’extrémisme et à la propagation de la haine et de la violence. » Et semer la discorde et le mal à un moment où les gens ont un besoin urgent de connaissance, de rapprochement et d’harmonie.

A cet égard, le Royaume affirme la responsabilité de ces pays de prévenir la récurrence des appels à l’incitation et aux crimes de haine, et de s’opposer fermement à ces pratiques provocatrices.

Il a réaffirmé l’accent mis par le Royaume sur le respect des dénominateurs communs des valeurs de tolérance et de coexistence pacifique entre les peuples, et la promotion des moyens de dialogue entre les civilisations conformément aux résolutions pertinentes des Nations Unies, en particulier la résolution n° 167/66 de l’Assemblée générale des Nations Unies, car diffuser ces nobles valeurs et principes humains est le meilleur moyen de lutter contre les discours de haine, d’intolérance et d’extrémisme.

Al-Suhaibani a appelé les États membres de l’Organisation de la coopération islamique à aider à activer le rôle de l’Observatoire de l’islamophobie et à le soutenir par tous les moyens. Pour jouer son rôle comme prévu, soulignant que le Royaume exhorte les bureaux de l’organisation à l’étranger à prendre l’initiative et en coordination avec les missions permanentes des États membres de l’organisation à travailler ensemble dans le même sens.

Il a également appelé le Secrétariat général de l’organisation à accélérer l’engagement constructif avec tous les acteurs internationaux et les décideurs influents de l’opinion publique dans le monde afin de lutter contre le phénomène de l’islamophobie, et à faire face à ces actions flagrantes en formulant une stratégie efficace visant à créer un environnement international propice à l’harmonie civilisationnelle et émanant du plan décennal de l’organisation.

Il a rappelé les décisions opérationnelles des précédents sommets islamiques et conseils ministériels et la précieuse charte de l’organisation, investissant dans un travail étroit avec les acteurs et organisations régionaux et internationaux concernés pour sensibiliser le monde au phénomène de l’islamophobie.

Al-Suhaibani a déclaré que le Royaume demande que la profanation du Saint Coran et des symboles et saintetés islamiques figure parmi les priorités de l’ordre du jour des réunions de coordination des ministres des Affaires étrangères qui se tiendront en marge de la prochaine session du l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, ainsi que le prochain sommet islamique et les conseils ministériels, dans le but de prendre des mesures plus efficaces pour résoudre ces problèmes.

Pour sa part, le secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique, Hussain Ibrahim Taha, a appelé les États membres de l’organisation à adopter une position unifiée et des mesures collectives pour empêcher la répétition d’incidents de profanation d’exemplaires du Saint Coran et insultant notre Saint Prophète Muhammad, que Dieu le bénisse et lui accorde la paix.

« Malheureusement, le premier jour de cette occasion propice, alors que tous les musulmans du monde entier célébraient, un acte ignoble de profanation du Saint Coran a été commis à l’extérieur de la mosquée centrale de Stockholm, la capitale de la Suède », notant que la réunion vient discuter de la réponse appropriée à cette procédure.

Hussein Taha a souligné la nécessité d’envoyer un message clair à l’effet que les actes de profanation du Saint Coran et d’insulte au Saint Prophète Muhammad, que la prière et la paix de Dieu soient sur lui, et les symboles islamiques ne sont pas seulement des incidents ordinaires d’islamophobie, soulignant la nécessité d’envoyer un rappel continu à la communauté internationale concernant l’application urgente du droit international, qui interdit clairement tout appel à la haine religieuse.

Agence d’information du Burkina

En collaboration avec UNA

Le Comité Exécutif de la « Coopération Islamique » condamne toutes les tentatives de violer le caractère sacré du Saint Coran et appelle à prendre les mesures nécessaires pour prévenir la répétition des abus

Le Comité Exécutif de la « Coopération Islamique » condamne toutes les tentatives de violer le caractère sacré du Saint Coran et appelle à prendre les mesures nécessaires pour prévenir la répétition des abus

Djeddah 3 juil. 2023 (UNA) – Le Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique a fermement condamné la récente attaque flagrante contre le caractère sacré du Saint Coran dans le Royaume de Suède le premier jour de l’Aïd al-Adha en 1444 à l’extérieur de la Central Mosquée de la capitale, Stockholm, exprimant sa consternation face aux actes répétés de profanation d’exemplaires du Saint Coran, et les autorités délivrent un permis autorisant sa réalisation.

Cela ressort de la déclaration finale publiée après la réunion du Comité, dimanche, au siège du Secrétariat général de l’Organisation de la coopération islamique à Djeddah, à l’invitation du Royaume d’Arabie saoudite, président du Sommet islamique, et Président du Comité exécutif, pour discuter de la récente profanation d’exemplaires du Saint Coran en Suède.

Le Comité a invité le Secrétaire général de l’Organisation à envoyer une lettre au nom des États membres au gouvernement suédois et à envisager la possibilité d’envoyer une délégation en Suède et à la Commission de l’Union européenne pour exprimer la condamnation de l’incendie d’une copie du Noble Coran et de leur demander de prendre les mesures nécessaires pour empêcher que cet acte criminel ne se reproduise sous prétexte de liberté d’expression.

Le Comité a condamné toutes les tentatives d’offenser le caractère sacré du Saint Coran et d’autres valeurs et symboles sacrés de l’islam sous prétexte de liberté d’expression, ce qui contredit l’esprit des articles 19 et 20 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et appelle la communauté internationale à s’opposer à ces tentatives de provocation.

Le Comité a appelé les ambassadeurs des États membres de l’OCI dans les capitales où des actes odieux contre des copies du Saint Coran et d’autres symboles islamiques sacrés ont lieu, à déployer des efforts collectifs au niveau des parlements nationaux, des médias et des organisations de la société civile.

Ainsi que d’autres institutions gouvernementales, d’exprimer la position de l’Organisation de la coopération islamique et d’exhorter les autorités compétentes à prendre les mesures législatives nécessaires pour criminaliser de telles attaques, en tenant compte du fait que l’exercice de la liberté d’expression implique des devoirs et des responsabilités particuliers.

Le Comité a également appelé toutes les missions de l’OCI à l’étranger (New York, Genève et Bruxelles) à prendre l’initiative dans les organisations internationales compétentes auprès desquelles elles sont accréditées, afin de lutter contre les actes de haine contre l’Islam et ses symboles et sa sainteté en interprétant les conventions ainsi que l’élaboration de nouveaux textes juridiques internationaux à cet effet.

Le comité a exhorté les institutions de la société civile islamique à travailler avec les organisations de la société civile dans les pays où des attaques anti-islamiques se produisent contre des copies du Saint Coran et d’autres valeurs sacrées, à recourir aux tribunaux locaux et à épuiser toutes les procédures judiciaires locales, sous la direction d’un conseiller juridique spécialisé, avant d’intenter des poursuites aux instances judiciaires internationales, le cas échéant.

Le Comité a appelé le Secrétariat général à accélérer la mise en œuvre du « Plan d’action de lutte contre l’islamophobie », qui a été adopté par les ministres des États membres de l’OCI du Groupe de contact sur la paix et le dialogue, en marge de la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York.

Il a réaffirmé l’importance du plan d’action en huit points adopté à l’unanimité par la résolution 16/18 du Conseil des droits de l’homme comme une étape importante aux Nations Unies pour lutter contre l’incitation à la haine, à la discrimination, à la stigmatisation et à la violence fondée sur la religion ou la conviction, et appelle tous les États membres à examiner les progrès réalisés dans la mise en œuvre du plan d’action et à tout mettre en œuvre pour maintenir le consensus international autour de cette importante initiative de l’organisation.

Il a également réaffirmé le rôle essentiel de l’engagement politique au plus haut niveau pour la mise en œuvre pleine et effective de la résolution 16/18 du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, et encourage les États à accorder une attention particulière à l’importance de criminaliser l’incitation à la violence sur la base de la religion ou croyance tout en reconnaissant le rôle positif d’un débat ouvert et constructif, ainsi que le respect et le dialogue interreligieux à cet égard.

Il a demandé à tous les gouvernements de mettre pleinement en œuvre le cadre juridique et administratif existant ou d’adapter une nouvelle législation si nécessaire conformément à leurs obligations en vertu du droit international, des normes et des règles pour protéger tous les individus et toutes les communautés contre la haine et la violence fondées sur la religion et la conviction et pour garantir la protection des lieux de culte.

Il a également demandé au Secrétaire général d’envoyer une lettre au Secrétaire général de l’ONU et au Président du Conseil de sécurité, les exhortant à publier des déclarations condamnant à rejeter les symboles religieux et sacrés insultants, qui attisent la haine, encouragent la croissance de l’extrémisme violent et alimente le terrorisme. Elle appelle au respect mutuel de toutes les religions et croyances et à la promotion d’une culture de paix et de tolérance.

Et j’ai demandé à tous les États membres de l’Organisation de la coopération islamique à Genève d’attirer immédiatement l’attention du Conseil des droits de l’homme sur la récente attaque flagrante contre le caractère sacré et sacré du Saint Coran dans le Royaume de Suède en appelant à une urgence débat à sa cinquante-troisième session en cours et à toutes ses sessions à venir; Présenter une résolution pour faire face à la récurrence de ces incidents malheureux, identifier et confronter les motifs et les manifestations de cette grave question des droits de l’homme de manière systématique et institutionnelle, et garder la question à l’étude.

Elle a renouvelé l’appel du Secrétaire général à prendre des mesures immédiates pour renforcer l’Observatoire de l’islamophobie au sein du Secrétariat général, en le transformant en un département complet de lutte contre l’islamophobie, de dialogue et de communication, en allouant les ressources nécessaires pour permettre à l’observatoire de fonctionner efficacement, de mettre en œuvre des actions concrètes programmées sur le terrain, et faciliter sa liaison avec d’autres centres et mécanismes concernés par la surveillance du phénomène de l’islamophobie partout dans le monde, et d’annoncer ses rapports périodiques de manière professionnelle.

Et elle a appelé à inscrire la profanation des copies du Saint Coran, des symboles islamiques et des saintetés à l’ordre du jour de la réunion de coordination des ministres des Affaires étrangères des États membres en marge de la prochaine session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York et le prochain sommet islamique en Gambie dans le but de prendre davantage de mesures pour lutter contre ce phénomène négatif contre l’islam et les musulmans.

Il a également appelé le Secrétaire général de l’organisation à envisager des mesures possibles pour revoir le cadre officiel reliant le Secrétariat général à tout pays dans lequel des copies du Saint Coran et d’autres valeurs, symboles et doctrines islamiques sont profanés avec l’approbation du pays concerné, y compris la suspension du statut d’envoyé spécial.

Le Comité a demandé au Secrétaire général de mettre en œuvre le paragraphe 9 de la résolution n° 68/48-S, de nommer un envoyé spécial sur l’islamophobie, dans la limite des ressources disponibles, pour diriger les efforts collectifs au nom de l’Organisation de la coopération islamique.

Le comité a ordonné qu’une réunion ordinaire du Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique sur l’islamophobie se tienne en septembre 2023, afin de procéder à une évaluation complète des attaques ignobles contre les musulmans et les symboles islamiques sacrés, y compris la profanation d’exemplaires du Noble Coran et de suivre les résultats et les décisions des réunions précédentes du Comité exécutif et du Conseil des ministres des affaires étrangères, en préparation d’une réunion au niveau du bureau ministériel de l’Organisation de la coopération islamique en coordination avec le Secrétariat général et en concertation avec les États membres.

Il s’est félicité de la tenue de la Conférence internationale sur l’islamophobie et la lutte contre la discrimination du 22 au 23 août 2023 à Kuala Lumpur en coordination avec le Secrétariat général de l’Organisation de la coopération islamique, appelant le Secrétariat général à organiser des événements à l’occasion de la Conférence internationale Journée de lutte contre l’islamophobie à son siège et dans les pays où se produisent des attentats anti-islamiques, afin de sensibiliser au niveau mondial et de mobiliser les États membres et les partenaires potentiels, pour combattre l’islamophobie de la manière la plus efficace.

Agence d’information du Burkina

En collaboration avec UNA

Burkina : Résultats, meeting et procès au menu des quotidiens burkinabè

Burkina-Presse-Revue

Burkina : Résultats, meeting et procès au menu des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 3 juil. (AIB)-Les quotidiens de ce lundi évoquent la proclamation des résultats du BAC, le meeting de soutien à la Transition sans oublier le procès Vincent Dabilgou.

Le doyen des quotidiens privé L’Observateur Paalga titre à sa Une : «Procès Vincent Dabilgou et 6 autres : L’Etat réclame plus d’un milliard, le REN-LAC la dissolution du NTD ».

Le journal informe que l’audition des témoins dans le dossier Vincent Dabilgou et 6 autres a pris fin le vendredi 30 juin 2023 avec le passage de David Dao, Mathias Tiaho et Lucien Ilboudo. Ce fut l’occasion pour l’AJE et le REN-LAC de se constituer parties civiles dans ce dossier.

Le même journal ajoute que l’AJE a réclamé pour le compte de l’Etat plus d’un milliard de FCFA à titre de dédommagement et le REN-LAC a en tout demandé six millions mais aussi la dissolution du NTD.

Sur ce même sujet, le quotidien privé Le Pays titre à sa manchette : « Procès Vincent Dabilgou : Le REN-LAC pour la dissolution du NTD ».

Le journal relate que pour l’avocat du REN-LAC, Me Marcellin Ziba, les plaidoiries sont allées très vite. Pour ce dernier, le parti de Vincent Dabilgou doit être dissous.

Car, à l’entendre, le parti a tiré profit pendant la campagne électorale de 2020 avec des détournements de fonds qui sont reprochés au premier responsable du parti et à d’autres cadres.

Sous un autre angle, le journal de tous les Burkinabè Sidwaya titre à sa Une : « Meeting de soutien à la Transition : Des OSC aux côtés des autorités ».

Le journal indique que la coordination des organisations de la société civile du Burkina Faso a organisé un meeting de soutien à la Transition, le samedi 1er juillet 2023, à la place de la nation à Ouagadougou.

Pour le journal public Sidwaya les leaders coutumiers et religieux, des Organisations de la société civile (OSC) se sont retrouvés pour manifester leur solidarité aux autorités de la Transition, aux Forces de défense et de la sécurité (FDS) et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), dans la lutte contre le terrorisme.

Sur ce même sujet, L’Observateur Paalga titre à sa Une : « Réforme constitutionnelle : Des OSC disent déjà oui ».

Le journal informe que c’est aux environs de 11h30 que le regroupement d’OSC est enfin monté sur le promontoire pour délivrer son message, lequel a été lu par Ghislain Dabiré.

Pour lui, le capitaine Ibrahim Traoré et son gouvernement tirent leur source du peuple burkinabè qui se reconnait dans leurs prises de décision et celle-ci répondent aux aspirations de notre peuple.

Sous un autre volet, le quotidien privé Le Pays titre à sa manchette : «Proclamation des résultats du premier tour du BAC : Quand des cris de joie se noient dans des torrents de larmes ».

Le journal renchéri que c’est vers 11h au lycée Nelson Mandela que les membres du jury 143, série G2, se sont dirigés vers l’administration et là nous entendons la célèbre formule « Candidats approchez ».

Et c’est là que, le président du jury a commencé à lire les noms des admis au premier tour et s’en sont suivies des manifestations de joie.

Agence d’information du Burkina

MAO/wis  

L’Arabie saoudite et la Russie limitent leur offre

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L’Arabie saoudite et la Russie limitent leur offre

 

 RYAD, 3 juil 2023 – L’Arabie saoudite a annoncé lundi qu’elle prolongeait la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour (bpj) pour doper des prix en berne, la Russie annonçant dans la foulée réduire ses exportations de 500.000 bpj en août.

 

Ces mesures sont les dernières en date prises par de grands producteurs pour stabiliser des prix confrontés à la forte volatilité des marchés, aux retombées persistantes de l’invasion russe en Ukraine et à la reprise économique chancelante de la Chine.

L’Arabie saoudite, poids lourd de l’Opep, avait décidé début juin de procéder à une nouvelle coupe de production dans l’espoir de faire remonter les cours.

Cette réduction volontaire, entrée en vigueur ce weekend, se poursuivra en août et « peut être prolongée » au-delà de cette période, a indiqué l’agence de presse officielle du royaume, en citant une source du ministère de l’Energie.

« La source a confirmé que cette réduction volontaire additionnelle vient renforcer les mesures de précaution prises par les pays de l’Opep+ dans le but de soutenir la stabilité et l’équilibre des marchés pétroliers », a ajouté l’agence de presse.

Cette décision maintient à environ 9 millions de barils par jour la production du riche royaume pétrolier.

En annonçant cette coupe le mois dernier à la suite de la réunion des producteurs de pétrole, le ministre saoudien de l’Energie, le prince Abdelaziz ben Salmane, a précisé qu’elle était potentiellement « extensible ».

En avril, plusieurs membres de l’Opep+ avaient décidé de réduire volontairement leur production de plus d’un million de barils par jour, une décision surprise qui a brièvement soutenu les prix, mais qui n’a pas entraîné une hausse durable.

– « Equilibre » –

Peu après l’annonce de l’Arabie saoudite lundi, la Russie a déclaré réduire les exportations de pétrole brut de 500.000 barils par jour en août.

« Dans le cadre des efforts visant à équilibrer le marché, la Russie va volontairement diminuer les livraisons aux marchés pétroliers de 500.000 barils par jour en août en réduisant les exportations à hauteur de cette quantité », a déclaré le vice-Premier ministre Alexandre Novak, cité par les agences de presse russes.

La Russie avait déjà annoncé en février 2023 une baisse de sa production de brut de 500.000 barils par jour, une mesure qu’elle a dit vouloir maintenir jusqu’à fin 2024. La décision annoncée lundi concerne les exportations, et non la production.

Depuis le début du conflit en Ukraine, Moscou a réorienté ses exportations d’énergie de l’Europe vers l’Inde et la Chine.

La réaction du marché aux annonces faites lundi par Ryad et Moscou, alliés au sein de l’Opep+, un collectif réunissant les principaux pays exportateurs de pétrole et leurs partenaires, a été relativement discrète.

Le Brent, référence du brut en Europe, a augmenté de 0,98% pour atteindre 76,15 dollars le baril, et son équivalent américain, le WTI, a connu une hausse 1,02% pour atteindre 71,36 dollars le baril, loin des sommets enregistrés en mars 2022 au début du conflit en Ukraine (près de 140 dollars).

 

Depuis le début d’année, le Brent a baissé de 11% et le WTI de 7%.

 

L’Arabie saoudite, plus grand exportateur de pétrole au monde, compte sur des prix plus élevés du pétrole pour financer un programme de réforme ambitieux qui pourrait permettre à son économie de se passer des énergies fossiles.

 

Les analystes estiment que le royaume a besoin d’un prix du pétrole à 80 dollars le baril pour équilibrer son budget, bien au-dessus des moyennes enregistrées ces dernières années.

Avec l’AFP       

Première session de l’année 2023 du comité provincial de la transhumance du Ioba

Burkina-Ioba-Production Animale-Transhumance

Première session de l’année 2023 du comité provincial de la transhumance du Ioba

Dano, 30 juin 2023 (AIB)-Les membres du comité provincial de la transhumance (COPT) du Ioba ont pris trois recommandations pour faciliter la mobilité animale lors de la première session tenue le lundi 26 juin 2023 à Dano.

Le secrétaire général de la province du Ioba André Lankoandé, a présidé cette première session du COPT du Ioba. L’état des lieux de la transhumance à l’échelle nationale, régionale et provinciale ont fait l’objet des échanges.

Ces communications ont été présentées par le directeur provincial de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques (DPARAH) du Ioba Oumar Ouédraogo.

Le directeur provincial de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques du Ioba, Oumar Ouédraogo a présenté l’état des lieux de la transhumance nationale et transfrontalière aux membres du COPT/Ioba

De son exposé, on retient que la transhumance est un déplacement organisé de manière saisonnière ou cyclique des troupeaux à la recherche d’eau, de pâturage et ou de curé salée.

Elle est pratiquée sous deux formes à savoir la transhumance nationale et la transhumance transfrontalière.

Selon le DPARAH, la transhumance permet entre autre l’accroissement de la production animale, la protection à moindre coût et la réduction des dégâts de cultures et partant des conflits entre agriculteurs et éleveurs en saison pluvieuse.

M. Ouédraogo a également exposé sur le cadre législatif et règlementaire, la mise en place des organes de gestion de la transhumance et les axes de transhumance transfrontalière.

Il a évoqué la situation de la transhumance en 2022 et celle du premier trimestre 2023. Un tableau des difficultés de la transhumance suivi de propositions de solutions a été présenté aux membres du COPT / Ioba.

Ces membres ont précédemment suivi la présentation du projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel phase 2 (PRAPS 2-BF). Il couvre six pays sahéliens.

Au Burkina, le projet est à sa deuxième phase débutée en 2021 pour s’achever en 2026. Le coût total du PRAPS 2 -BF s’élève à plus de 26 milliards de francs CFA a dit le point focal au sud-ouest Wendsongda Pascal Kaboré.

A terme, il doit toucher 950.000 bénéficiaires avec au moins 30% de femmes. Onze régions du Burkina sont couvertes par ce projet. Au Ioba, une retenue d’eau sous forme d’abreuvoir et un forage pastoral équipé de château d’eau ont été réalisés par le PRAPS 2-BF. Le projet bénéficie du soutien financier de la Banque Mondiale.

Les échanges après ces communications se sont focalisés sur la situation de la transhumance dans la province du Ioba.  On a enregistré une vingtaine de conflits liés au pastoralisme et gérés à l’amiable.

Le secrétaire général de la province du Ioba André Lankoandé (au milieu) a présidé la première session du COPT/Ioba en l’absence de la Haut-commissaire

Une seule piste de transhumance longue de 30 km entre les communes de Dissihn et Zambo existe en ce moment avec des problèmes d’occupation.  Les membres du COPT/Ioba ont donc pris trois recommandations pour faciliter la transhumance nationale.

Il s’agit de faire l’état de la piste Disshin – Zambo pour sa réouverture totale ; de recenser les anciennes pistes d’accès existantes par commune ; d’accélérer la mise en place des commissions de conciliation foncière villageoise (CCFV) et des commissions foncières villageoises (CFV) dans chaque commune.

Le secrétaire général de la province du Ioba, André Lankoandé a remercié tous les participants pour leur contribution à la recherche de l’amélioration de la santé animale et des chaînes de valeur du bétail sans oublier la gestion durable du paysage.

Il a réitéré sa gratitude au partenaire PRAPS 2-BF qui a permis la tenue de cette première session du COPT du Ioba.

Agence d’information du Burkina

SZ/wis

Pétrole: la Russie et l’Arabie saoudite veulent réduire leurs productions quotidiennes à partir d’aout

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Pétrole: la Russie et l’Arabie saoudite veulent réduire leurs productions quotidiennes à partir d’aout

 MOSCOU, 3 juil. 2023 – La Russie a annoncé lundi une réduction de ses exportations de pétrole brut de 500.000 barils par jour au mois d’août, une mesure visant, selon elle, à « équilibrer le marché ». De même, l’Arabie saoudite a annoncé  qu’elle prolongeait la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour, pour soutenir le prix du baril, en baisse.

« Dans le cadre des efforts visant à équilibrer le marché, la Russie va volontairement diminuer les livraisons aux marchés pétroliers de 500.000 barils par jour en août en réduisant les exportations à hauteur de cette quantité », a déclaré le vice-Premier ministre Alexandre Novak, cité par les agences de presse russes.

L’annonce de cette décision intervient juste après celle de l’extension de la réduction de production de pétrole d’un million de barils par jour par l’Arabie saoudite, alliée de la Russie au sein de l’Opep+, un collectif réunissant les principaux pays exportateurs de pétrole et leurs partenaires.

Les mesures de ce type visent à réduire l’offre de pétrole sur les marchés afin de stimuler les prix.

La Russie avait déjà annoncé en février 2023 une baisse de sa production de brut de 500.000 barils par jour, une mesure qu’elle a dit vouloir maintenir jusqu’à fin 2024. La décision annoncée lundi concerne les exportations, et non la production.

L’Arabie saoudite a annoncé lundi qu’elle prolongeait la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour, pour soutenir le prix du baril, en baisse.

La réduction, qui a pris effet en juillet, se poursuivra en août et « peut être prolongée » au-delà de cette période, a indiqué l’agence de presse officielle du royaume, en citant une source du ministère de l’Energie.

Avec l’AFP

Baccalauréat 2023 : 50 candidats pour le second tour pour la province du Lorum

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Baccalauréat 2023 : 50 candidats pour le second tour pour la province du Lorum

Ouagadougou, 02 juillet 2023 (AIB)-Les épreuves du second tour du Baccalauréat s’ouvrent lundi 3 juillet 2023 sur toute l’étendue du territoire nationale. 50 candidats sont en lice à une seconde chance pour le compte de la province du Loroum.

Au Baccalauréat série D, ils sont 35 candidats soit 15 garçons et 20 filles et en série A, 15 candidats soit 6 garçons et 9 filles qui s’apprêtent à s’offrir le premier parchemin des universités et instituts supérieurs du Burkina.

130 candidats soit 54,62% de l’effectif présenté ont malheureusement échoué à leur examen à cette première phase de la compétition. Ces candidats composent dans plusieurs jurys de la ville de Ouahigouya.

Agence d’information du Burkina

ASO/wis

Match de gala journée internationale de presse sportive: l’AJSB corrige les entraineurs de football

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Match de gala journée internationale de presse sportive: l’AJSB corrige les entraineurs de football

Ouagadougou, 2 juil. 2023 (AIB) – L’équipe de l’Association des journalistes sportifs du Burkina (AJSB) a donné dimanche à Ouagadougou, une leçon de football à celle de l’Association nationale des entraineurs de football du Burkina Faso (ANEF-BF) en la battant en match amical, par le score de 3 buts à 2, comptant pour les activités commémoratives de la 28e journée internationale de la presse sportive, a-t-on constaté.

C’est la première fois depuis la création de cette journée que l’AJSB a décidé de marquer d’une pierre blanche, en jouant un match amical contre l’équipe des entraineurs, ces maîtres à penser des équipes. Les journalistes étaient décidés à déjouer tous les plans mis en place par ces coachs durant les 2 fois 25mn imparties au jeu.

Photos des deux équipes ensemble après le match

Les entraineurs ont donc été cueillis à froid par ce but matinal d’Ibrahim Kabré dès la 10emn, puis suivra la réalisation d’Ousmane Traoré à la 17e minute. Avant la pause l’ancien international burkinabè Wilfried Dah, devenu coach, réduit la marque (23e).

L’équipe de l’AJSB revient de la pause gonflée à bloc et opte pour les contre-attaques. L’ANEF-BF obtiendra tout de même un penalty que va transformer Ibrahim Korbéogo (35e), un autre ancien international burkinabè.

Le président de l’AJSB Jérôme Tiendrébéogo (droite) remettant un maillot souvenir au président d’honneur de l’AJSB Alexis Koncobo

Très à l’aise dans le jeu malgré la présence des anciens Etalons dans l’équipe des coachs, la formation de l’AJSB appuiera sur l’accélérateur. Ousmane Traoré des Editions Sidwaya, auteur du 2e but des journalistes, revient à la charge et crucifie le gardien de but de l’ANEF-BF d’une frappe imparable (47e).

Ce 3e but a sonné le glas de la défaite des entraineurs de football et a confirmé la grande forme de l’équipe de l’AJSB pour les compétitions à venir.

Le coup d’envoie du match a été donné par Alexis Koncobo et le représentant de Sunu Assurance, l’assureur officiel de l’AJSB

Le président d’honneur de l’AJSB Alexis Koncobo qui a donné le coup d’envoi de ce match, a félicité toutes les deux équipes pour ce rendez-vous réussi. Pour le président de l’AJSB Jérôme Tiendrébéogo, cette activité de commémoration de la journée internationale de la presse sportive au Burkina Faso, sera dorénavant inscrite dans le calendrier de l’association.

Chaque 2 juillet depuis 1995, la presse sportive commémore cette journée sur le plan mondial en organisant des activités.
Agence d’information
as/ata/

 

1er tour du Baccalauréat 2023 : 36,82 % au premier tour dans la province du Nahouri

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1er tour du Baccalauréat 2023 : 36,82 % au premier tour dans la province du Nahouri

Pô, 2 juil. 2023 (AIB)-Les six (06) jurys de la province du Nahouri ont proclamé en fin de matinée les résultats du premier tour du BAC session de 2023. La province enregistre pour ce premier tour, un taux de succès de 36,82 % pour 500 admis toutes séries confondues (A4 et D) avec 287 garçons admis et 213 filles admises. 

Pour le second tour, ils sont au total 422 autorisés à poursuivre les épreuves.  En rappel, la province a présenté 1358 candidats pour cette session de 2023. Ce taux est en hausse par rapport à la session précédente dont le taux au premier tour était de 34,02%.

Agence d’information du Burkina

HKO/wis

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1er tour du Baccalauréat 2023 : 29,76% de réussite au 1er tour dans la province du Ioba   

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1er tour du Baccalauréat 2023 : 29,76% de réussite au 1er tour dans la province du Ioba                          

Dano, 1er juillet 2023 (AIB)-Le vendredi 30 juin 2023, les 06 jurys du Baccalauréat série A4 et série D session de 2023 dans la province du Ioba ont obtenu au résultat du 1er tour, 419 admis sur les 1408 candidats présents soit un taux de succès de 29,76%.

Les résultats du premier tour du Baccalauréat ont été proclamés le vendredi 30 juin dernier dans les six jurys abritant les séries A4 et D de la session de 2023.

Au total sur 1408 candidats présents, 419 candidats dont 273 garçons et 146 filles sont admis à l’issue des épreuves du premier tour soit un taux de réussite de 29,76%.

Pour la série A4 uniquement, on a enregistré 245 admis sur 758 candidats présents soit un pourcentage de succès de 32,32%.

Dans les jurys abritant la série D, il y avait 650 présents et 174 sont admis pour un taux de réussite de 26,77%.

Les candidats déclarés admissibles pour passer les épreuves du second tour sont au nombre de 439 dont 254 garçons et 185 filles sur l’ensemble des six jurys de la province du Ioba.

Agence d’information du Burkina

SZ/wis

Burkina : La 9e édition du Salon des Banques et PME de l’UEMOA se tiendra en novembre prochain au Sénégal

BURKINA-UEMOA-BANQUES-PME-SALON

Burkina : La 9e édition du Salon des Banques et PME de l’UEMOA se tiendra en novembre prochain au Sénégal

Ouagadougou, 30 juin 2023 (AIB)-La 9e édition du Salon des Banques et petites et moyennes entreprises (PME) de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) se tiendra du 02 au 05 novembre prochain à Dakar au Sénégal en marge du Mois du Consommer Local, a appris l’AIB de sources officielles.

La 9e édition du Salon des Banques et petites et moyennes entreprises (PME) de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) se tiendra du 02 au 05 novembre prochain à Dakar au Sénégal, conformément au caractère annuel et tournant du Salon dans les Etats membres de l’UEMOA, en marge du Mois du Consommer Local, a appris l’AIB vendredi, à travers un communiqué de l’Institution.

Selon le communiqué, la 9e édition mettra un accent particulier sur le partage des expériences des pays sur le Consommer Local, la promotion des chaînes de valeur, les solutions innovantes des faîtières, des PME et des collectivités territoriales pour la redynamisation des économies, en vue de créer plus de richesses et d’emplois.

L’édition de cette année se tiendra sous le thème : Accompagnement et financement des AOP et des PME de l’UEMOA, dans un contexte de la résilience et de la relance des économies ».

« Le choix de Dakar a été confirmé suite à la visite de travail du Secrétaire Permanent, du 10 au 20 juin 2023 à Dakar et c’est le tour du Sénégal d’abriter l’édition 2023 et à la Guinée Bissau de clore la tournée en 2024 », a souligné le communiqué.

Le document de presse a poursuivi que le président du Comité de pilotage, par ailleurs Directeur des PME, a salué le parcours du Salon et l’engagement du Secrétariat permanent à tenir la 9e édition à Dakar, capitale du Sénégal.

Pour lui, cela cadre parfaitement avec la vision du ministre du Commerce, de la consommation locale et des PME, Abdou Karim Fofana, qui a déclaré 2023, l’année des PME.

Le communiqué a indiqué que le Secrétaire général du ministère du Commerce, de la consommation et des PME, a, au nom du ministre, félicité l’initiative tournante du Salon des Banques et PME de l’UEMOA.

Il s’est réjoui du choix de Dakar pour abriter cette 9e édition et a annoncé que son ministère apportera tout son soutien à l’organisation du Salon, sous le leadership du ministre, porte-parole du Gouvernement, Abdou Karim Fofana, avec l’accompagnement de la DPME et des structures chargées de l’encadrement des PME.

«Je voudrais remercier le Secrétariat Permanent qui a su être résilient, pour la flexibilité et la volonté d’impliquer les ministères en charge des PME ainsi que les institutions communautaires, pour réussir le pari de faire du Dakar 2023, la capitale des PME de l’UEMOA », a indiqué le Directeur des PME, Seydina Aboubacar Sadikh N’Diaye.

Pour lui, l’édition de Dakar qui sera organisée avec sa Direction, contribuera à faire du Sénégal, un hub d’investissement pour les PME et le Carrefour de la finance en Afrique subsaharienne.

Le communiqué précise que les PME et les Banques sont attendues pour jouer un rôle important dans le développement du commerce entre les pays africains, dans la transformation des économies africaines, dans la promotion des financements innovants.

Il a souligné qu’en 8 éditions tenues successivement depuis 2015, c’est plus de 27 370 participants et visiteurs, 144 panels thématiques, 758 exposants de 32 pays, 1 578 rencontres B to B, 200 lauréats aux PME awards, 521 projets innovants, 397 pitchs.

« 160 résolutions et recommandations formulées à l’endroit des Chefs d’Etat, des institutions sous régionales et internationales, des ministères en charge des PME, des structures de financement et d’accompagnement, les Collectivités locales du privé, de la société civile, des minorités, des groupes vulnérables », a-t-il cité.

En rappel, sur les 8 pays que compte l’UEMOA, 6 pays ont déjà abrité le Salon des Banques et PME de l’UEMOA, notamment le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger et le Togo.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

1er tour du Baccalauréat  2023 : Le  Tuy  réalise 389  admis  sur 1484  candidats présents

Burkina-Tuy-Baccalauréat-Résultats

1er tour du Baccalauréat  2023 : Le  Tuy  réalise 389  admis  sur 1484  candidats présents

Houndé, 2 juil. 2023, (AIB)- La province   du   Tuy a   réalisé,  à  l’issue des épreuves  du  1er tour du Baccalauréat 2023, un  résultat de  389  admis  et   415  admissibles toutes séries (A4 et D) confondues.

En série A4, sur 686 candidats présents, on  note  216  admis  et  229 admissibles au second tour.

En série D sur 798 candidats présents, on enregistre 173 admis et 186 admissibles  au second  tour.

Agence d’information du Burkina

BEB/wis

 

1er tour du Baccalauréat 2023 : 777 admis au premier tour au Passoré soit un taux de succès estimé à 26,44%

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1er tour du Baccalauréat 2023 : 777 admis au premier tour au Passoré soit un taux de succès estimé à 26,44%

Yako, 1 er juillet 2023 (AIB)- Le service des Examens et Concours de la Direction provinciale des enseignements post-primaire et secondaire (DPEPS) du Passoré  a rendu public le vendredi 30 juin 2023, les résultats du premier tour du  Baccalauréat session de 2023. On relève 777 admis au premier tour soit un taux de succès estimé à 26,44%

 Selon les statistiques fournies par le service des Examens et Concours de la Direction provinciale des enseignements post primaire et secondaire du Passoré sur les 3016 candidats ayant pris part aux épreuves écrites du Baccalauréat session de 2023, 777 candidats ont pu arracher leur premier diplôme de l’enseignement supérieur.

Pour ce qui est de composition des épreuves du second tour, prévue pour le 3 juillet prochain, ils seront au total 807 candidats issus des séries A4, D, C et Bac Agricole qui sont autorisés à y prendre part.

Agence d’information du Burkina

ZES/wis

1er tour du Baccalauréat 2023 : Les candidats du Loroum réalisent 24,36% de taux de succès

Burkina-Lorum-Baccalauréat-Résultats

1er tour du Baccalauréat 2023 : Les candidats du Loroum réalisent 24,36% de taux de succès

Ouahigouya, 30 juin 2023 (AIB)-Le Baccalauréat 2023 a donné ses premiers résultats. Dans les deux séries A et D, les candidats du Loroum ont fait un taux de succès de 24,36 %.

Sur 163 candidats présentés au Baccalauréat série D (89 garçons et 74 filles), 41 ont été déclarés admis (28 garçons et 13 filles) soit un taux de satisfaction de 25,15%.

Dans la série A, sur 75 candidats (24 garçons et 51 filles), 17 ont réussi à leur parchemin (3 garçons et 14 filles) soit un taux de succès de 22,67%.

Les candidats du Loroum ont composé dans plusieurs jurys de la ville de Ouahigouya.

Agence d’information du Burkina

ASO/wis

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