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Burkina: Pas d’augmentation du prix du carburant 

Burkina: Pas d’augmentation du prix du carburant 

Ouagadougou, 7 fév. 2024(AIB)-L’autorité compétente a annoncé mercredi, que le prix du carburant reste inchangé, contrairement aux rumeurs qui annoncent le contraire.

Agence d’information du Burkina

Lire le communiqué intégral de

« Des informations faisant état d’une augmentation prochaine du prix du carburant au Burkina Faso sont actuellement véhiculées dans l’espace public.

 

Le président du Comité Interministériel de Détermination des Prix des Hydrocarbures (CIDPH) informe le public burkinabè que la nouvelle structure des prix des hydrocarbures, qui entre en application pour compter du 11 février 2024, ne comporte aucune augmentation de prix sur toute l’étendue du territoire national.

 

Il invite par conséquent les populations à ne pas accorder foi a ces informations sans fondement. »

Abdoul-Salam Gampené

#AIB

Burkina : Le gouvernement autorise la SOFITEX à participer au capital social de « IROTEX Burkina »

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Burkina : Le gouvernement autorise la SOFITEX à participer au capital social de « IROTEX Burkina »

Ouagadougou, 7 fév. 2024 (AIB) – Le gouvernement a accordé mercredi une autorisation à la Société burkinabè des fibres textiles (SOFITEX) en vue de sa participation au capital social de « IROTEX Burkina », créée pour la transformation industrielle du coton.

 

 

« Le second décret est relatif à une autorisation accordée à la Société burkinabè des fibres textiles (SOFITEX) en vue de sa participation au capital social de « IROTEX Burkina », créée pour la transformation industrielle du coton », annonce le rapport du conseil des ministres parvenu mercredi à l’AIB.

 

Selon la même source, la nouvelle industrie ira à la conquête du marché intérieur mais aussi celui de la sous-région voire du reste du monde.

Agence d’information du Burkina

DNK/ata

Burkina : le gouvernement crée une société d’économie mixte spécialisée dans la confection des tenues militaires et paramilitaires

 

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Burkina : Le gouvernement annonce la création d’une société d’économie mixte spécialisée dans la confection des tenues militaires et paramilitaires

Ouagadougou, 7 fév. 2024 (AIB) – Le gouvernement a annoncé mercredi la création d’une société d’économie mixte spécialisée dans la confection des tenues militaires et paramilitaires.

Le gouvernement a adopté un décret « relatif à la création d’une société d’économie mixte pour la confection des produits de l’habillement militaire et paramilitaire et ceux des structures privées industrielles et des établissements professionnels », peut-on lire dans le rapport du conseil des ministres de ce mercredi.

Cette société est créé au titre du ministère du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises.

 

Agence d’information du Burkina

DNK/ata

 

FLAM: Marrakech, nouvelle destination de la littérature africaine (délégué général du festival)

 

FLAM: Marrakech, nouvelle destination de la littérature africaine (délégué général du festival)

 

Pour réussir ce concours, qui aura lieu le 10 février et accueillera trois mille participants, le délégué général du FLAM a noté que 50 enseignants en langues arabe, anglaise et française ont été mobilisés pendant deux mois pour préparer le texte qui sera utilisé dans la compétition.

Il s’agit d’un texte sur le thème « Mon Afrique à Moi » qui nous incite à mieux nous connaître, à dissiper les stéréotypes négatifs et à encourager en même temps la lecture et l’écriture, a-t-il encore poursuivi.

Il est à relever que le FLAM est fondé par Mahi Binebine (écrivain et artiste plasticien), Fatimata Wane-Sagna (journaliste), Hanane Essaydi (universitaire) et Younès Ajarraï (entrepreneur culturel).

 

Au programme du FLAM 2024, figurent notamment l’organisation de cafés littéraires ainsi que des entretiens, des signatures, une librairie éphémère, mais aussi une programmation jeunesse faite d’activités pédagogiques et d’interventions « hors les murs », en milieu universitaire et scolaire.

 

Les soirées du festival seront égayées par des performances musicales, de lectures et de poésie. Écrivains et public auront ainsi l’occasion cette année de se retrouver autour de différents formats quotidiens de rencontres.

 

Le FLAM verra la présence de plusieurs figures de la littérature africaine tels que José-Eduardo Agualusa (Angola), Leïla Bahsaïn (Maroc), Abdelkader Benali (Maroc), Souleymane Bachir Diagne (Sénégal), Ali Benmakhlouf (Maroc), Sophie Bessis (Tunisie), Siham Bouhlal (Maroc), Boum Hemley (Cameroun), Yasmine Chami (Maroc), Touhfat Mouhtare (Comores), Fanta Dramé (Mauritanie), Wilfried N’Sondé (République du Congo), Saad Khiari (Algérie) et Mia Couto (Mozambique).

Agence d’information du Burkina

Le Burkina réaffirme sa décision de quitter la CEDEAO sans délai

Le Burkina réaffirme sa décision de quitter la CEDEAO sans délai

 

Ouagadougou, 7 fev. 2024(AIB)-Le Burkina Faso a rejeté le délai du 29 janvier 2025 donné par la CEDEAO pour acter son départ, préférant quitter l’institution sans délai comme annoncé le 28 janvier 2024.

 

Le dimanche 28 janvier 2024, le Burkina Faso avait annoncé sur sa télévision nationale, sa décision de quitter la CEDEAO sans délai.

 

Le même jour, l’organisation ouest-africaine a réagi dans un communiqué pour dire qu’elle n’avait pas reçu de notification officielle.

 

Dès le 29 janvier 2024, le Burkina Faso a rempli ce préalable.

 

Le 31 janvier 2024, la CEDEAO a affirmé avoir reçu la notification et a décidé, conformément à ses textes, de la sortie officielle du Burkina Faso, le 29 janvier 2024, si le pays ne retire pas sa notification avant cette date.

 

Ce 7 février 2024, le Burkina Faso a écrit à nouveau à la CEDEAO pour réaffirmer sa volonté de sortir de l’organisation sans délai, a appris l’AIB auprès de sources concordantes.

 

Pour le Pays des Hommes intègres, le respect des textes avancé par la CEDEAO pour justifier le report de la sortie d’une année ne tient pas car l’organisation a elle-même violé ses propres textes à plusieurs reprises.

 

« En prenant des sanctions en dehors de celles prévues par ses propres textes, avec une intention manifeste de détruire les économies des pays en transition alors même que sa vocation première est de promouvoir l’intégration économique, et en instituant des mesures de confinement économiques et financières contre ses propres membres, la CEDEAO s’est inscrite dans le déni de son Traité révisé; foulant ainsi au pied les valeurs et principes sacro-saints qui fondent », indique une note de la diplomatie burkinabè.

 

En rappel, le Burkina Faso, le Mali et le Niger disent vouloir quitter la CEDEAO sans délai, à cause de son éloignement de ses idéaux de départ, son asservissement à des puissances étrangères et ses sanctions injustes et illégitimes.

Agence d’information du Burkina

Burkina : La police nationale occupe la première place pour son respect des droits des citoyens, sur 39 pays africains

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Burkina : La police nationale occupe la première place pour son respect des droits des citoyens, sur 39 pays africains

Ouagadougou, 6 fev. 2024 (AIB) – La police nationale du Burkina Faso a été classée première sur trente-neuf (39) pays africains, selon une enquête publiée par Afrobarometer, un réseau panafricain de recherches par sondage basé au Ghana, pour son accessibilité et son respect des droits des citoyens.

 

« Selon une enquête publiée le 29 janvier 2024 par Afrobarometer, un réseau panafricain de recherches par sondage basé au Ghana, la Police Nationale du Burkina Faso occupe la première place dans le classement des Polices les plus professionnelles et les plus performantes en Afrique », peut-on lire dans une note publiée sur la page Facebook de l’institution.

La note précise qu’une enquête menée dans trente-neuf (39) pays africains, notifie que la Police Nationale du Burkina Faso est la Police africaine la plus respectueuse des droits des citoyens. Elle est également la Police africaine la plus accessible lorsqu’il s’agit de demander une assistance.

Ce classement reluisant de la Police Nationale du Burkina Faso intervient dans un contexte marqué par le double engagement de l’institution dans le domaine de la protection des personnes et des biens et la lutte contre le terrorisme. Ce degré de performance atteint par la Police Nationale va, sans doute, ragaillardir l’ensemble des Policiers burkinabè et rendre fiers les citoyens qu’ils servent avec dévouement, ajoute le document.

 

Selon la même source, cette performance est à mettre à l’actif de l’ensemble des Forces de défense et de sécurité qui, dans ce contexte difficile, mènent des actions vigoureuses contre l’insécurité au quotidien. Elle est également à mettre à l’actif des populations qui ne ménagent aucun effort pour accompagner leur Police dans ses missions régaliennes.

 

Beaucoup de défis restent cependant à relever, notamment l’édification d’une Police des procédures, plus proactive, toute chose qui contribuera à lutter efficacement contre la corruption et les mauvaises pratiques de tout genre, afin de rendre à cette Police professionnelle une plus grande crédibilité et une plus grande légitimité, conclu le document.

 

Agence d’information du Burkina

DNK/ata

 

 

« Notre monde entre dans une ère de chaos », prévient le chef de l’ONU

« Notre monde entre dans une ère de chaos », prévient le chef de l’ONU

Nations Unies, États-Unis

« Notre monde entre dans une ère de chaos », s’est alarmé mercredi le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, déplorant les divisions sans précédent du Conseil de sécurité incapable d’agir face aux « conflits terribles » qui se multiplient.

 

« Des gouvernements ignorent et sapent les principes mêmes du multilatéralisme, sans rendre de comptes. Le Conseil de sécurité, principal outil pour la paix mondiale, est dans l’impasse en raison des fissures géopolitiques », a-t-il lancé en présentant devant l’Assemblée générale ses priorités pour 2024.

« Ce n’est pas la première fois que le Conseil est divisé. Mais c’est la pire. Le dysfonctionnement actuel est plus profond et plus dangereux. »

Ainsi, « lors de la Guerre froide, des mécanismes bien établis ont aidé à gérer les relations entre superpuissances », a-t-il noté. Mais « dans le monde multipolaire d’aujourd’hui, de tels mécanismes sont absents. Notre monde entre dans une ère de chaos ».

Et « nous voyons les résultats: une foire d’empoigne dangereuse et imprévisible, dans une impunité totale », a dénoncé le secrétaire général, s’inquiétant d’une nouvelle prolifération nucléaire et du développement de « nouveaux moyens de s’entretuer et pour l’humanité de s’anéantir elle-même ».

« Il y a tant de colère et de haine et de bruit dans le monde aujourd’hui. Chaque jour, et à la moindre occasion, c’est la guerre, semble-t-il. Des conflits terribles qui tuent et mutilent des civils à des niveaux record. Des guerres de mots. Des guerres de territoire. Des guerres culturelles ».

S’attardant spécifiquement sur le conflit entre Israël et le Hamas, il a mis en garde contre un éventuel assaut terrestre israélien à Rafah, où s’entassent des centaines de milliers de Palestiniens déplacés dans le sud de la bande de Gaza, à la frontière avec l’Egypte.

« Une telle action augmenterait de façon exponentielle ce qui est déjà un cauchemar humanitaire, avec des conséquences régionales incalculables », a-t-il insisté, réclamant à nouveau un « cessez-le-feu-humanitaire immédiat » et la libération de tous les otages.

De Gaza à l’Ukraine, du Soudan à la République démocratique du Congo, du Yémen à la Birmanie, « en parallèle à la prolifération des conflits, les besoins humanitaires mondiaux sont à un niveau record, mais les financements ne suivent pas », a-t-il encore déploré.

Dans ce contexte, Antonio Guterres a encouragé les gouvernements du monde entier à saisir l’occasion du « Sommet de l’avenir » qui aura lieu en septembre à New York en marge de l’Assemblée générale pour « modeler le multilatéralisme pour les années qui viennent ».

Parmi les changements « dont le monde a vraiment besoin », il a répété son appel à des réformes majeures du Conseil de sécurité, du système financier international, et à la mise en place d’un « outil d’urgence pour améliorer les réponses internationales aux chocs mondiaux complexes » comme la pandémie de Covid-19.

Avec AFP

Passoré : Les corps constitués préparent la 167ème journée internationale des droits de la femme

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Passoré : Les corps constitués préparent la 167ème journée internationale des droits de la femme

Yako, 7 fév.2024 (AIB)-Le haut-commissariat du Passoré, en collaboration avec la direction provinciale en charge de l’Action humanitaire, a organisé le lundi 5 févriers 2024 à Yako, une rencontre de concertation provinciale sur la tenue conjointe de la 167e journée internationale des droits de la femme et du 7e forum national des femmes, le 8 mars prochain.

En prélude aux activités commémoratives de la 167ème journée internationale des droits et du 7ème forum national des femmes, les responsables des structures des femmes, les autorités administratives, coutumières, religieuses, militaires et paramilitaires du Passoré se sont concertées le lundi 5 février 2024 à Yako, chef-lieu de la province du Passoré.

Ce cadre de concertation provinciale a été organisé par le haut-commissariat du Passoré, dans la région du Nord.

Plusieurs points étaient inscrits à l’ordre de ce rendez-vous de Yako, dans le Passoré voulu par le ministère en charge de l’action humanitaire dans les 45 provinces du pays.

Il s’est agi, entre autres, de la présentation de la synthèse des doléances du forum national des femmes en 2002, du bilan de la mise en œuvre des recommandations issues du 6ème forum national des femmes tenu le 8 mars et 2020.

Les échanges ont porté également sur les facteurs limitant l’autonomisation socioéconomique des femmes qui ont abouti à des recommandations.

Selon le haut-commissaire de la province du Passoré, Daouda Sangaré, la rencontre a permis de recueillir les contributions des femmes et leurs doléances pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire.

La représentante de la coordination, Angèle Zida/Guigma s’est saisie de l’occasion pour formuler des doléances à l’autorité.

Celles-ci ont porté, entre autres, sur l’accès des femmes aux terres sécurisées, aux intrants et aux équipements agricoles et l’aménagement des terres irriguées.

 

Le directeur provincial en charge de l’Action humanitaire du Passoré, Elvis Bambio a remercié les différentes structures provinciales des femmes du Passoré pour leur participation effective aux travaux et surtout pour leurs contributions actives à l’élaboration des différentes recommandations formulées.

M. Bambio a apprécié le thème de la 167e journée internationale des droits de la femme qui s’intitule « Promotion de l’entrepreneuriat communautaire : quelle contribution des femmes ?».

La coordinatrice provinciale des femmes du Passoré, Angèle Zida/Guigma a invité ses pairs à la mise en œuvre de la décision du gouvernement visant à valoriser l’expertise nationale, à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme, prévue le 8 mars prochain.

En marge de la rencontre, la Direction provinciale de l’Action humanitaire  du Passoré a octroyé au moins 50 matériels à tisser aux femmes issues, des 9 communes de la province dont 29 femmes déplacées internes.

Agence d’Information du Burkina

ZES/no/ata

Kénédougou/concertations provinciales : Les femmes soumettent leurs doléances

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Kénédougou/concertations provinciales : Les femmes soumettent leurs doléances

Orodara, (AIB) Le Haut-Commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a présidé, le lundi 5 février 2024 à Orodara, une rencontre de concertation provinciale, en prélude au 7e Forum national des femmes et à la 167e Journée internationale de la femme, sous le thème : « Promotion de l’entrepreneuriat communautaire : quelle contribution des femmes? ».

Dans le cadre de l’organisation du 7e Forum national des femmes et de la 167e Journée internationale de la femme, le Haut-Commissaire de a province du Kénédougou, Saïdou Sakira, a présidé, le lundi 5 février 2024 à Orodara, une rencontre de concertation provinciale.

Il s’est agi de recueillir les préoccupations ou doléances des femmes du Kénédougou en lien avec le thème : «Promotion de l’entrepreneuriat communautaire : quelle contribution des femmes?», qui seront présentées au Président de la Transition, lors du dialogue direct avec les femmes le 8 mars prochain.

Saïdou Sakira, a rappelé que le Burkina Faso depuis quelques années, est confronté à une crise sécuritaire qui menace la paix, la cohésion sociale et la sécurité des populations.

« Elle impacte aussi le tissu économique avec la fermeture de certaines entreprises », a-t-elle indiqué.

A en croire M. Sakira, c’est au regard de ce constat et en vue d’un développement endogène afin de rendre le secteur économique résilient, que le Gouvernement de la transition a lancé en 2023, le programme d’entrepreneuriat communautaire (APEC).

Un programme qui ambitionne de faire participer directement les Burkinabè aux projets majeurs du pays.

Il a invité toutes les femmes et filles de la province du Kénédougou à jouer leur partition afin de garantir au Burkina Faso, la paix, la stabilité et surtout l’autonomisation socioéconomique de nos peuples à travers l’entrepreneuriat communautaire.

Au terme de cette rencontre, les femmes de la province du Kénédougou ont formulé de trois doléances telles que la sécurisation des espaces d’exploitations agricoles au profit de la coordination provinciale des femmes, l’implantation d’une unité de transformation de noix de cajou pour les femmes et la création d’un centre de formation féminine.

Agence d’information du Burkina.

AK/hb/bz

Comoé : La nouvelle Directrice provinciale de la culture installée dans ses nouvelles fonctions

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Comoé : La nouvelle Directrice provinciale de la culture installée dans ses nouvelles fonctions

Banfora, 05 février 2024 (AIB) – le Haut-commissaire de la province, Idrissa Hamidou Massa, a installé le 5 février 2024 à Banfora dans ses fonctions de directrice provinciale de la culture des arts et du tourisme de la Comoé, Dielea Traoré.

 

Nommé en conseil des ministres du 10 janvier 2024, Diela TRAORE, est la nouvelle directrice provinciale de la culture, des arts et du tourisme de la Comoé.

Conseiller des services touristiques et hôtelleries, Diela TRAORE, était précédemment Chef de service de la protection et valorisation du patrimoine touristique et culturel à la direction régionale en charge de la culture des Cascades.

La nouvelle Directrice provinciale a traduit toute sa reconnaissance et sa gratitude aux plus hautes autorités du Burkina Faso pour la confiance placée en sa personne.

Elle a exprimé sa disponibilité et son engagement à poursuivre les actions déjà entreprises par son prédécesseur dans le cadre de la promotion et de la sauvegarde du patrimoine culturel et touristique de la région des cascades en général et celles de la province de la Comoé en particulier.

Elle remplace à ce poste, Blagnima OUATTARA, qui a passé plus de 7ans à la tête de cette direction.

Le directeur provincial sorti a remercié les autorités et ses anciens collaborateurs. Il a manifesté sa reconnaissance à tous ses anciens collaborateurs qui lui ont permis d’atteindre ses objectifs.

M. Ouattara a cité notamment l’accompagnement des acteurs culturels quant à leurs initiatives de promotion et de valorisation du patrimoine culturel de la province, l’accompagnement des acteurs provinciaux en appui conseil et l’accompagnement d’une dizaine d’associations dans l’acquisition de leurs récépissés.

Le Haut-commissaire de la province de la Comoé, Idrissa Hamidou Massa, a témoigné son infinie gratitude au DP sorti pour l’immense travail abattu afin que rayonne la culture dans la Comoé.

M. MASSA, a au nom de l’ensemble des corps constitués et à son nom propre manifesté sa reconnaissance à Blagnima Ouattara pour le service rendu aux populations de la province durant des années. Il a également félicité la DP entré tout en lui rassurant du soutien des corps constitués.

Agence d’information du Burkina

JPY/dnk

 

 

 

Ioba : La Pédale de la Paix offre 126.000 FCFA de carburant aux VDP

Burkina -Ioba-Effort de Paix

Ioba : La Pédale de la Paix offre 126.000 FCFA de carburant aux VDP

 Dano, le 06 février 2024(AIB)- Le président de la commission prix du comité d’organisation de la Pédale de la Paix (PDP), Paulin Yéhoun, a remis le mercredi 24 janvier 2024 au premier vice-président de la délégation spéciale communale de Dano, Aristide Youorikiè Dabiré, des bons d’essence d’une valeur de 126.000 francs CFA, aux VDP.

Le comité d’organisation de la huitième édition de la Pédale de la Paix (PDP) et le commissariat général ont fait une collecte de fonds au profit des volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la commune de Dano.

La remise des bons a eu lieu à la mairie de Dano en présence du commandant la brigade territoriale de gendarmerie de Dano, l’adjudant-chef Olivier Coulibaly et le responsable provincial des VDP du Ioba, l’officier de police Souleymane Yaméogo.

Ces bons de carburant d’une valeur de 126 mille francs CFA ont été remis au vice-président de la délégation spéciale de la commune de Dano , Aristide Youorikiè Dabiré.

C’est le 02 décembre 2023 à l’occasion de la course cycliste de la 34 ème édition de la PDP que la collecte de ce fonds de soutien a été réalisée.

Selon les organisateurs, cette initiative vient du promoteur de la PDP, l’ambassadeur du Burkina Faso auprès de la république de la Turquie, le Général de brigade Vinta Somé.

Le représentant de la PDP , Paulin Yéhoun a précisé que cette dotation en carburant va permettre, sans nul doute aux VDP communaux de mener à bien leurs activités de sécurisation du territoire.

La PDP a vise la promotion de la paix par le sport , a-t-il ajouté. Pour le premier vice-président de la délégation spéciale communale de Dano, Aristide Youorikiè Dabiré , ce don vient apporter un soulagement pour la bonne marche des activités des VDP.

Il a remercié tous ceux qui ont contribué à la collecte des fonds de soutien patriotique destinés aux VDP communaux.

M. Dabiré a exprimé toute sa gratitude au promoteur, commissariat général et au comité d’organisation de la PDP.

Agence d’information du Burkina                             

 Souleymane ZOURE            

AIB / Dano

Concertations  provinciales du Tuy : Les  femmes formulent leurs doléances 

Les femmes du Tuy ont pris une part active aux échanges

Concertations  provinciales du Tuy : Les  femmes formulent leurs doléances 

Houndé, (AIB)- Le Secrétaire général de la province, Bassidiki Ouattara a présidé, le vendredi 2 février 2024, à Houndé, la rencontre  de  concertations   provinciales  du   Tuy. A   l’occasion,  les  femmes  ont  formulé   leurs   doléances  en  vue  de  renforcer leur autonomisation.

Des rencontres de concertations provinciales et des conférences  régionales    ont    lieu   en    prélude  au  7e  forum  national   des   femmes et la 167e journée internationale  de  la  femme au  Burkina   qui  se  tiendra  sous  le  thème : « Promotion de l’entreprenariat communautaire : quelle contribution   des   femmes ? ».

Dans  la  province  du  Tuy,  les   femmes   se  sont concertées  sur   leurs  préoccupations,  le    vendredi    2  février   2024   à    Houndé.  Les   travaux  de  concertations    ont   été   présidés   par    le                 Secrétaire    général   de  la  province (SGP), Bassidiki  Ouattara,  représentant    le    Haut-commissaire    du    Tuy. Selon  le  SGP     cette   rencontre    a     pour    objectif   de  recueillir  les préoccupations   des    femmes  en   vue    de   renforcer  leur   autonomisation.

La coordinatrice provinciale des femmes du Tuy, Aminata Lamien a exhorté les femmes à persévérer dans l’entreprenariat (BEB-2).

Il s’est agi   pour  les  femmes  de   formuler   trois  (3)   doléances que  nous   allons  transmettre à l’autorité régionale a-t-il indiqué. Au cours de la rencontre, d’abord,  la   direction  provinciale   en  charge  de l’action    humanitaire   du   Tuy   a    présenté     le     bilan      du    6e   forum    national    des    femmes     tenu     en      2020       qui  a  été  suivi   d’échanges.

Ensuite,  les   femmes  ont échangé  sur  leurs   préoccupations       dont   la    synthèse   a   permis de formuler les  trois  (3)   doléances   qu’elles     ont  unanimement    adopté.

Le Secrétaire général de la province, Bassidiki Ouattara a présidé les travaux de concertations.

Ces   doléances   ont   trait   à  la   construction   d’une  maison  de   la   femme  et  un  centre  de   transformation des produits agricoles non ligneux dans chaque  commune,  la facilitation des conditions  d’accès  aux  crédits   et   à   la  terre  des   femmes   et    la  formation  des femmes en entrepreneuriat et gestion des ressources humaines et financières.

Au  sortir  de  la rencontre, le   SGP   Bassidiki   Ouattara,  s’est    dit   satisfait   au   regard  de   la   qualité   des    échanges. Il   a, par ailleurs,   salué   la   forte  participation   des  femmes   aux    échanges   qui   dénote   de    l’intérêt    de   l’activité.

Pour  sa   part,  la  coordinatrice  provinciale des femmes du Tuy,  Aminata Lamien   a   jugé   les  échanges  « très fructueux ». Elle   a   salué  la   mobilisation   des   femmes    et   les   a    exhorté   à    persévérer   dans  le   travail   notamment      l’entreprenariat.

Agence d’information du Burkina

Babou Eric BAZIE 

(AIB-Tuy)

Namentenga : 97 femmes PDI reçoivent des métiers à tisser 

Burkina- Namentenga-Soutien-Femmes- PDI

Namentenga : 97 femmes PDI reçoivent des métiers à tisser   

Boulsa, (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga a remis officiellement le lundi 5 février 2024 à Boulsa, des métiers à tisser à 97 femmes déplacées internes, dans le cadre du programme du gouvernement dénommé « Mille métiers ».

Au total 97 femmes ont reçu chacune un métier et ses accessoires des mains des autorités, le lundi 5 février 2024 à Boulsa, chef-lieu de la province du Namentenga, dans la région du Centre-Nord.

Pour loccasion, le premier responsable de la province, Adama Conseiga a prodigué des conseils aux bénéficiaires pour lamélioration de la résilience des personnes affectées par la crise sécuritaire et humanitaire.

M.Conseiga a également félicité les femmes déplacées internes pour leur assiduité pendant la formation en teinture et en tissage et le choix porté sur elles dans le cadre du programme gouvernemental.

LUne des bénéficiaires de la commune de Boala, Bibata Sawadogo, sest réjouie du fait quelle a été outillée sur le tissage et la teinture.

« Nous savons maintenant comment nous occuper dans la journée. Je suis contente et je remercie indéfiniment le gouvernement », a-t-elle soutenu.

Selon le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga le nouveau statut des tisseuses pourrait leur être très rentable pour peu quelles se constituent en coopérative.

« Vous devriez être désormais à mesure dhabiller les élèves et les communautés, à loccasion des grands événements tels le 8 mars et autres fêtes coutumières et religieuses. Courage à vous et bon usage », a conclu M. Conseiga.

Agence dinformation du Burkina

JBP/no/ata

 

Les sextoys font leur entrée progressive dans l’intimité de nombreux Burkinabè

Les sextoys font leur entrée progressive dans l’intimité de nombreux Burkinabè

Ouagadougou, 7 févr. 2024(AIB)-Les jouets sexuels ou « sex-toys » en Anglais sont de plus en plus visibles dans certains cercles et dans la vie de bien des habitants de la ville de Ouagadougou. Un usage qui n’est pas sans conséquence sur la santé. Des utilisateurs se confient sur leurs motivations et ressentis. Pour les vendeurs, c’est même devenu un business très florissant.

Des objets curieux s’offrent à la vue des regards insistants dans certains types de commerces. Ils sont appelés godemichés, vibromasseurs, ou stimulateurs clitoridiens, vaginettes, anneaux vibrants, masseurs prostatiques …

Dans les échoppes, ils côtoient pommades, sirops et tisanes aux vertus aphrodisiaques. Ils sont utilisés dans la sexualité pour stimuler l’acte sexuel afin de palier « des pannes » ou combler le vide laissé par un partenaire absent.

 

F.K, une dame dans la quarantaine, y est désormais familière. Elle partageait sa vie avec un conjoint avec qui, ils ont eu plusieurs enfants. Sentant l’existence de son foyer menacé, F.K s’attache les services d’un conseiller conjugal. Mais malgré tous les conseils sur les techniques d’usage des jouets sexuels prodigués par le conseiller matrimonial pour donner un nouveau souffle à son couple, la bonne dame finira par être répudiée par son mari.

« En tout cas, ça ne m’a pas aidé dans mon foyer. Mais, je continue d’utiliser de temps en temps les sex-toys », admet-elle. Si, dans une tentative ultime pour sauver son foyer, F.K a croisé le chemin des sex-toys, H.D. en a fait recours dans le souci de rester fidèle à son conjoint qui était absent pendant une longue période.

« La manière de vivre sa sexualité dépend de comment on a été éduqué », selon la sociologue,
Dr Jocelyne Vokouma.

« Mon mari avait eu une bourse d’études de 2 ans en France. C’est en ce moment qu’une de mes amies m’a conseillé les sextoys comme astuce pour rester fidèle. Quand il est revenu, j’ai arrêté. Ces gadgets m’ont procuré du plaisir », assure H.D.

Ayant compris ce besoin de plus en plus exprimé par certains hommes et femmes, Abdoul Joseph Zongo (nom d’emprunt) a vite fait de se lancer dans le business de la vente des jouets sexuels alors qu’il était encore sur les bancs de l’université.

De l’origine de ces nouvelles pratiques

Et depuis, son chiffre d’affaires ne cesse de se multiplier à mesure qu’il se spécialise. Cela fera bientôt 7 ans qu’il se fait de l’argent dans ce commerce. « Il y a des besoins, mais la sexualité étant un tabou, les gens n’en parlent pas.

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Moi, j’ai décidé de vendre les produits permettant de satisfaire ces besoins tout en respectant les tabous qu’il y a autour et cela leur donne confiance », confie M. Zongo. Ses premières ventes se sont faites en ligne, notamment sur Facebook. Pour le conseiller conjugal, Roch Damiba, le sexe est tout au plus un moyen de manifester son amour pour l’autre

« Quand j’ai commencé, j’ai trouvé que les gens étaient intéressés et je me suis lancé dedans », confie t-il. Le jeune entrepreneur a aujourd’hui toute une panoplie de services autour de la sexualité qu’il propose à sa clientèle, question de satisfaire leurs moindres désirs.

Le conseiller conjugal, Roch Damiba, déplore que le sexe de l’homme tout comme celui de la femme soit perçu comme, tout au plus, un moyen de manifester son amour pour l’autre. « Le sexe devrait être utilisé dans le but de créer plus d’intimité entre les conjoints ou entre deux personnes. On devrait utiliser le sexe pour valoriser le conjoint ou la conjointe », précise M. Damiba.

Toutefois, le sexe et la sexualité demeurent encore une construction sociale dans le cadre d’une éducation. C’est d’ailleurs à ce titre que la sociologue, Dr Jocelyne Vokouma, s’interroge sur l’origine de ces nouvelles pratiques dans l’univers burkinabè, ces passions, obsessions qui conduisent à la recherche du plaisir insatisfait.

« La manière de vivre sa sexualité dépend de comment on a été éduqué. On doit montrer à l’enfant comment il doit se comporter sexuellement. Maintenant avec la modernité qui ouvre d’autres perspectives, le Burkinabè qui savait vivre dans le contentement ou dans sa manière à lui de faire plaisir à sa femme, ne veut plus se limiter à cela », analyse-t-elle.

Pour le Professeur Charlemagne Ouédraogo, gynécologue obstétricien, la pratique est également alimentée par le visionnage des films pornographiques pour améliorer sa sexualité. Il estime que les programmes sur la sexualité accessibles sur les réseaux sociaux ont contribué à lever le tabou si bien que ce qui relevait de la pudeur, est désormais dans l’espace public.

Et, cette « évolution » présente aussi des revers, le sexe étant détourné de sa vocation originelle dans la mesure où même un objet peut le remplacer. « Si on ne veut plus utiliser son sexe naturel pour manifester son amour pour son prochain, l’autre devient automatiquement un objet pour soi. Les objets sexuels viennent creuser davantage le vide. Quand on a besoin de sexe, on utilise l’objet et on ne parle plus de sa femme ou de son mari. Donc, il n’y a plus de communion entre les deux », souligne le conseiller conjugal. Pour lui, chaque société doit apprendre à sa jeunesse comment on doit utiliser le sexe à travers l’éducation sexuelle.

 

Des conséquences sur la santé

L’homme est toujours à la recherche du plaisir et il est prêt à user de tous les moyens pour se procurer ce plaisir. C’est pourquoi, le gynécologue, Pr Ouédraogo reconnait qu’on ne peut pas percer le mystère des pratiques sexuelles des uns et des autres.

« Il y a des gens qui ont utilisé des bouteilles de Coca-Cola pour se masturber l’anus et la bouteille…

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Sénégal: Washington juge non « légitime » le vote du report de la présidentielle

Sénégal: Washington juge non « légitime » le vote du report de la présidentielle

Dakar, Sénégal

Les Etats-Unis jugent que le vote du Parlement sénégalais qui reporte la présidentielle et prolonge le mandat du président Macky Sall n’est pas « légitime », réaction la plus critique à ce jour d’un important partenaire face à la grave crise politique en cours.

« Les Etats-Unis sont profondément préoccupés par les mesures prises pour repousser l’élection présidentielle du 25 février au Sénégal, et qui vont à l’encontre de la forte tradition démocratique » du pays, a affirmé le Département d’Etat dans un communiqué.

Ils sont « particulièrement alarmés » par les conditions dans lesquelles les députés ont entériné lundi ce report décrété de facto par le président Sall deux jours plus tôt et par l’évacuation de force par les gendarmes des parlementaires qui s’opposaient au vote, dit le Département d’Etat.

Etant donné ces circonstances, « le vote ne peut être considéré comme légitime », ajoute-t-il.

La diplomatie américaine « demande instamment au gouvernement du Sénégal d’organiser l’élection présidentielle conformément à la Constitution et aux lois élecorales ».

Il s’agit de la réaction la plus tranchée à ce jour d’un allié du Sénégal devant une modification de dernière minute du calendrier qui a suscité une indignation largement répandue au Sénégal, des cris de « coup d’Etat constitutionnel » de la part de l’opposition, et l’inquiétude d’un certain nombre de partenaires étrangers.

L’organisation ouest-africaine Cedeao, dont le Sénégal est membre et au sein de laquelle il a constamment plaidé pour le respect de l’ordre constitutionnel dans les autres pays, l’a encouragé à « prendre de toute urgence les mesures nécessaires pour rétablir le calendrier électoral ».

Pour la première fois, les Sénégalais, qui devaient élire leur cinquième président le 25 février, le feront presque dix mois plus tard que prévu, si les choses ne changent pas encore d’ici là.

Le vote de l’Assemblée lundi soir parachève pour le moment l’une des plus graves crises institutionnelles qu’ait connues depuis l’indépendance en 1960 ce pays volontiers vanté pour sa stabilité et sa pratique démocratique dans une région troublée.

L’adoption de la proposition par une alliance de députés du camp présidentiel et de partisans du candidat Karim Wade, disqualifié par la Cour constitutionnelle, a plongé le pays dans une grande fébrilité et la crainte de nouveaux troubles, après ceux meurtriers de mars 2021 et juin 2023.

– Internet mobile rétabli –

Les autorités ont suspendu lundi et mardi l’internet des données mobiles, moyen de plus en plus couramment employé pour enrayer les mobilisations. Mais l’accès a été rétabli mercredi, au moins dans la capitale, où l’activité revenait à la normale après avoir sérieusement ralenti pendant deux jours.

L’émoi s’est abondamment exprimé sur les réseaux sociaux, mais il n’a que peu gagné la rue. Quelques rassemblements ont été réprimés par les forces de sécurité. L’opposition et la presse ont fait état de dizaines d’arrestations.

Trois députés alliés ou membres du Pastef, Guy Marius Sagna, Abass Fall et Cheikh Aliou Beye, interpellés mardi, ont été relâchés, ont dit à l’AFP deux responsables du parti qui avait été à la pointe de la confrontation avec le pouvoir en 2021 et 2023. Le Pastef a été dissous par les autorités en 2023 et ses numéros un et deux, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, emprisonnés.

Le Conseil constitutionnel a disqualifié M. Sonko de la présidentielle, mais validé la candidature de M. Faye. Ce dernier, même en prison, s’est imposé comme un postulant crédible à la victoire, un scénario cauchemar pour le camp présidentiel.

Après le vote de lundi, le Pastef ainsi qu’un certain nombre des candidats retenus par le Conseil constitutionnel ont affirmé leur intention de faire campagne quand même. Mais leur projet peine à se concrétiser.

Le mandat de M. Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, arrivait à expiration le 2 avril.

En abrogeant samedi le décret convoquant les électeurs aux urnes le 25 février, il a dit tirer les conséquences du conflit institutionnel ouvert après l’homologation définitive de vingt candidatures et l’invalidation de dizaines d’autres en janvier.

Il a aussi invoqué les accusations de corruption portées par le candidat recalé Karim Wade contre le Conseil constitutionnel. Il a dit vouloir prévenir toute contestation électorale et de nouveaux troubles.

Le report, qui devrait ramener le Sénégal au point de départ d’un processus électoral périlleux et dont la constitutionnalité est vivement mise en doute, a aussitôt avivé le soupçon d’un plan du camp présidentiel pour éviter une défaite annoncée, voire pour prolonger la présidence Sall. Le chef d’Etat a réaffirmé son engagement à ne pas se représenter.

Avec AFP

 

Burkina : L’ASCE-LC et l’introduction du vaccin contre le paludisme font la Une des journaux du jour

Burkina -Revue-Presse

Burkina : L’ASCE-LC et l’introduction du vaccin contre le paludisme font la Une des journaux du jour

Ouagadougou 7 fév. 2024 (AIB)- Les parutions de ce mercredi font écho du rapport 2022 de l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC), ainsi que l’introduction du vaccin antipaludique dans la vaccination de routine.

Le journal Le pays titre à sa manchette Pr Halidou Tinto, à propos du vaccin RTS, S « L’introduction du vaccin contre le paludisme est un tournant majeur ».

Ce journal a accordé une interview au Pr Halidou Tinto, l’un des chercheurs ayant contribué à la mise au point du vaccin.

Lors des échanges, le Pr. Tinto, a souligné que l’introduction de ce vaccin dans la vaccination de routine, vient consacrer l’aboutissement de plusieurs décennies de recherche sur une maladie qui continue malheureusement de faire des centaines de milliers de victimes chaque année.

« Il est important que les populations adhèrent massivement à la campagne d’introduction du vaccin contre le paludisme », poursuit le professeur.

L’Observateur Paalga toujours sur le même sujet annonce que les premières doses de vaccination antipaludique sont injectées aux nourrissons.

Le doyen des quotidiens privés ajoute que le lundi 5 février 2024 à Koudougou, le vaccin a été officiellement administré aux enfants de 5 à 15 mois.

« La première dose a été injectée par le ministre de la santé et de l’hygiène publique, le Dr Robert Lucien Kargougou », poursuit le journal.

Sous un autre registre le quotidien d’Etat Sidwaya se prononce sur le rapport annuel général d’activités 2022 de l’ASCE-LC «Des malversations financières de plus de 385 millions constatées ».

Le journal informe que l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) a restitué les résultats du rapport annuel général d’activités (RAGA) 2022, au cours d’une conférence de presse, le mardi 6 février 2024, à Ouagadougou.

« Le rapport fait état de plus de 385 millions 712 mille 445 FCFA de malversations financières commises » ajoute le quotidien d’Etat.

Le quotient privé Le Pays informe, quant à lui, que plus de 16 milliards de FCFA de pertes financières ont été occasionnées par des agents de l’Etat.

Le même journal souligne dans un tableau, le top 10 des ministères et institutions où il y’a eu plus de pertes financières (FCFA)

Parmi eux il y a le MID qui enregistre 2 327 270 669 dont 14,108%, le MATDS qui enregistre 513 155 229 dont 3,111%, le PF qui 606 280 754 dont 3,675%.

Le doyen des journaux privés burkinabè, L’Observateur Paalga écrit que selon le contrôleur d’Etat et intérimaire de l’ASCE-LC, Urbain Millogo, les dépenses de personnel et de transfert courants n’ont pas été couvertes par les audits.

Le journal indique par ailleurs, que le contrôle de la gestion financière et comptable du ministère en charge de la Défense, a couvert la période de 2016 à 2021 et a concerné entres autres, les domaines de la commande publique, des indemnités spéciales des militaires en opérations intérieure, des allocations alimentaires et la gestion matérielle des stocks des armements, munitions et optique (AMO).

Agence d’information du Burkina

MJR-AMZ/hb/bz

 

 

 

Plus de 120 pays travaillent sur des armes de l’information, selon la Défense russe

 

SÉCURITÉ: DÉFENSE-ARMES-INFORMATION-FORUM-1

Plus de 120 pays travaillent sur des armes de l’information, selon la Défense russe

MOSCOU, 7 février. /TASS/. Plus de 120 pays travaillent sur des armes de l’information capables de désorganiser la gestion du pays et de l’armée et semer la panique au sein de la population, a indiqué le général Vadim Chamarine, chef du département de la communication des forces armées russes et chef adjoint de l’état-major général.

« Afin de parvenir à la supériorité en matière de communication, plus de 120 pays du monde ont commencé à créer des armes de l’information capables de démanteler des administrations d’États et désorganiser des armées, de déstabiliser et de piéger des peuples, ainsi que de semer une panique générale », a-t-il déclaré lors du forum national sur la sécurité de l’information Infoforum 2024.

Selon M. Chamarine, la situation est aggravée par le fait que le coût de développement des armes de l’information est beaucoup moins élevé que celui d’autres types d’armes. « Par conséquent, nos préoccupations quant à la mise en place d’une protection complète des [systèmes] d’information dans le cadre de l’accomplissement des objectifs stratégiques et de la mise en œuvre de projets de communication sont tout à fait compréhensibles. »

Avec TASS

Santé oculaire : Le groupe Lapaire ouvre sa 2e agence de Bobo-Dioulasso

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Santé oculaire : Le groupe Lapaire ouvre sa 2e agence de Bobo-Dioulasso

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le groupe Lapaire Burkina a ouvert sa 2e agence de Bobo-Dioulasso, le mardi 6 février 2024, au secteur 21 de la ville, à un jet de pierre du rond-point du stade Sangoulé Lamizana.

L’ouverture de cette nouvelle agence du groupe Lapaire porte à deux le nombre d’agences la cité de Sya, et à neuf sur l’ensemble du territoire national.

D’ici la fin de l’année 2024, le groupe, selon le responsable marketing du Burkina Faso, Karim Ouédraogo, compte ouvrir 20 agences à travers tout le territoire national.

La multiplication de ses agences répond au souci du rapprochement des services du groupe aux populations, à en croire M. Ouédraogo.

Selon Karim Ouédraogo, la création du groupe Lapaire est partie du constat que beaucoup de personnes vivent en ignorant leurs problèmes de vue.

En plus, a-t-il poursuivi, les spécialistes de la vue sont difficilement accessibles, et les lunettes de vue coûtent très cher. C’est pour permettre non seulement aux personnes de se situer sur leur état de vision et avoir des lunettes à prix abordables que Groupe Lapaire a été créé en 2018.

« Nous nous sommes donné pour mission de permettre à tous de bien voir en ouvrant nos agences un peu partout là où sommes pour rapprocher plus de la clientèle », a-t-il fait savoir.

Le responsable marketing de Lapaire Burkina, a confié que le groupe est présent dans sept pays, dont le Burkina Faso et offre des consultations optiques ou tests de vue « gratuits » dans toutes ses agences, disponibilise des verres correcteurs, médicaux, et de protection à des prix « accessibles ».

« Dans chacune de nos boutiques, les consultations sont prises en charge gratuitement par les spécialistes. L’autre barrière, ce sont les prix des verres. Chez nous, nous avons des prix transparents. Et les prix de nos lunettes commencent à partir de 19 000 F CFA. Pour ceux qui connaissent le monde de l’optique, lorsqu’on donne des verres pharmaceutiques à ces prix-là, ça veut dire grand-chose pour eux », a soutenu Karim Ouédraogo.

De passage dans les encablures de la nouvelle boutique, Idrissa Ouédraogo s’est fait diagnostiquer des problèmes de vue de loin comme de près. « Une situation qu’il ignorait », a-t-il dit.

Agence d’information du Burkina

KF/hb/bz

Houet/Loterie nationale burkinabè : Sambo Kabré remporte plus de 61 millions F CFA au 4+1

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Houet/Loterie nationale burkinabè : Sambo Kabré remporte plus de 61 millions F CFA au 4+1

Bobo-Dioulasso, (AIB)-La Loterie nationale burkinabè (LONAB) a remis le mardi 6 février 2024 à Bobo-Dioulasso, le chèque de 61 998 00 F CFA, du seul heureux gagnant du 4+1 du mercredi 24 janvier dernier, Sambo Kabré.

Sambo Kabré est un commerçant résidant au secteur 14 de Bobo-Dioulasso.

Le mercredi 24 janvier dernier, il fait une seule prise de 300 F CFA au jeu du 4+1.

A l’arrivée tous les chevaux sur lesquels il a mis son espoir rentrent dans l’ordre.

Au tableau d’affichage, le gain s’élève à 61 998 000 F CFA et il est le seul gagnant.

Son chèque lui a été remis ce mardi 6 février 2024 par le directeur régional de l’Ouest de la Loterie nationale burkinabè (LONAB), Boureima Ouédraogo.

Après avoir reçu son chèque, Sambo Kabré, sous l’effet de l’émotion, avait du mal à exprimer ses sentiments au point de ne pouvoir dire ce qu’il ferait de ce pactole.

Néanmoins, il laisse entendre qu’il compte investir cet argent afin de faire fructifier son commerce.

L’élu du jour, en casquette LONAB, et entouré de ses parents, a fait savoir que c’est la chance qui lui a souri ce jour puisqu’il a plusieurs fois joué sans gagner.

«Je ne m’y attendais pas. Je compte améliorer mon commerce avec l’argent que je viens de gagner », a laissé sobrement entendre le nouveau millionnaire de la LONAB.

M. Kabré a invité les parieurs à faire confiance à la LONAB et à toujours tenter leur chance.

Le directeur régional de l’Ouest de la LONAB (DRO/ LONAB), Boureima Ouédraogo, qui était à ses côtés, a aussi appelé la population à toujours faire confiance à la nationale des jeux de hasard.

« La LONAB est une entreprise citoyenne qui, à travers ses produits, permet à chaque Burkinabè de devenir un jour millionnaire et en même temps, participe à l’édification de notre nation par les œuvres qu’elle réalise partout au pays », a indiqué le DRO/LONAB.

M. Ouédraogo est d’autant plus heureux qu’en l’espace d’un mois en cette nouvelle année 2024, la ville de Bobo-Dioulasso a enregistré deux gros lots, le premier le 10 janvier avec la somme de 67 190 500 F CFA et le deuxième ce présent gain de 61 998 000 FCFA.

Aussi, un client de la gamme des instantanés (télé fortune), a trouvé les trois canaris et ira à Ouagadougou les jours à venir pour tourner la roue et espérer gagner entre 2 et 20 millions F CFA.

« J’invite tous et toutes à faire confiance à tous les produits de la LONAB car les millions s’y trouvent », a affirmé Boureima Ouédraogo.

Il a néanmoins invité les parieurs à jouer de façon responsable avec des mises qui ne dépassent pas leurs capacités.

Pour mémoire, la LONAB, selon le DRO/LONAB, va lancer dans les prochains jours des jeux digitaux, et procéder à la digitalisation de tous les anciens produits afin de permettre aux parieurs de jouer partout, et à tout moment.

Agence d’information du Burkina

AD-EK/hb/bz

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