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Washington déconseille à ses ressortissants de se rendre dans la région de Tindouf

Washington déconseille à ses ressortissants de se rendre dans la région de Tindouf

Alger, – Les Etats-Unis ont émis une alerte de sécurité quant au « risque accru » d’enlèvement de ressortissants occidentaux près des camps de Tindouf en Algérie aux alentours du Marathon du Sahara 2024, prévu le 28 février prochain.

A travers une alerte de l’Ambassade US à Alger, Washington recommande aux ressortissants américains d’éviter la zone jusqu’au 15 mars.

L’alerte insiste sur l’impératif pour les citoyens américains de rester extrêmement vigilants, de prendre une série de précautions pour assurer leur sécurité et d’éviter les endroits particulièrement fréquentés par les touristes et les ressortissants occidentaux.

Les directives incluent également la préparation de plans de contingence pour prévoir un départ rapide de la région si la situation se dégrade.

L’ambassade rappelle enfin l’importance de réviser les plans de sécurité personnelle, de maintenir les documents de voyage à jour et facilement accessibles, et de toujours porter une pièce d’identité valide (passeport américain avec un visa en cours de validité).

En plus des États-Unis, l’Espagne avait exhorté l’ensemble de ses ressortissants qui se trouvent actuellement dans la région à quitter les lieux si leur présence n’est pas nécessaire. « L’aggravation de l’instabilité au nord du Mali et l’activité croissante des groupes terroristes dans la région ont des répercussions sur la sécurité des camps de Tindouf », a indiqué le ministère des Affaires étrangères espagnol.

Le Royaume-Uni a également mis à jour ses recommandations de voyage pour l’Algérie à la lumière de l’alerte de sécurité américaine.

MAP

Fourniture d’électricité, SIAEL et la revue à la baisse des coûts du Hadj, font la Une des quotidiens du jour

Burkina-Revue-Presse

Fourniture d’électricité, SIAEL et la revue à la baisse des coûts du Hadj, font la Une des quotidiens du jour

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB)- Le parutions du jour font écho de la baisse du coût du Hadj 2024, de l’ouverture officielle de la 7e édition du Salon international de l’agriculture, de l’environnement et de l’élevage (SIAEL) et de la collaboration des pays de l’AES pour une fourniture solaire.

« Souveraineté énergétique dans l’espace AES : les sociétés nationales d’électricité renforcent leur collaboration », titre à sa Une le quotidien d’Etat Sidwaya.

Ce journal informe que la première rencontre de concertation des sociétés d’électricité des pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), a débuté ce mardi 20 février à Ouagadougou.

« Placé sous le thème : quelles stratégies pour sécuriser l’approvisionnement des pays de l’AES en énergie électrique, l’objectifs de cette rencontre est de formuler des recommandations en termes de stratégies aux décideurs des trois pays », ajoute le quotidien privé Le Pays.

Pour L’Observateur Paalga, cette rencontre stratégique de réflexion de 72h, a réuni des experts en production, en transport et en commercialisation d’électricité.

Sous un autre angle, le doyen des quotidiens privés L’Observateur Paalga titre à sa manchette « Offensive sylvo-agro-pastoral : La résilience dans le pré ».

Ce journal informe que la 7e édition du Salon international de l’agriculture, de l’environnement et de l’élevage (SIAEL) se tient du 20 au 27 février 2024 dans la commune de Komsilga sous le thème : « Impact de la crise sécuritaire sur le secteur agro-sylvo-pastoral : état des mieux et perspectives ».

« Cet évènement réunis les producteurs du monde rurale du Burkina Faso, et d’ailleurs, notamment le Mali, pays invité d’honneur cette année », poursuit le doyen des quotidiens privés.

Sidwaya ajoute que le SIAEL vise selon son commissaire général, Jean Victor Ouédraogo, à accélérer le processus de professionnalisation des acteurs du monde rural en donnant de la visibilité aux différentes chaînes de valeurs.

Sous un autre registre le quotidien privé Le Pays titre à sa Une : « Hadj 2024 : le coût revu à la baisse ».

Le quotidien privé informe que suite à un communiqué rendu public le 5 février 2024 où le ministère en charge des Cultes fixait le coût du Hadj 2024 par pèlerin à 3 276 500 FCFA, des concertations ont été engagées et ont permis de revoir le coût à la baisse.

Sidwaya informe ainsi que selon un communiqué du ministère en charge de l’Administration territoriale, ces concertations ont abouti à une baisse du coût du Hadj 2024 de 50 000 FCFA soit désormais à 3 226 500 FCFA non inclut le prix du mouton qui reste à la charge du pèlerin.

Par ailleurs L’Observateur Paalga souligne que l’Etat invite les responsables des agences de voyage à rembourser la différence de 50 000 FCFA à tous les pèlerins qui auraient déjà versé le montant initial.

Agence d’information du Burkina

AMZ/hb/yo

Aménagement des bas-fonds de Douna et Sindou : Le ministre Sombié mécontent de l’état d’avancement des travaux 

BURKINA-CASCADES-AGRICULTURE-MINISTRE-SORTIE

Aménagement des bas-fonds de Douna et Sindou : Le ministre Sombié mécontent de l’état d’avancement des travaux 

Sindou, (AIB)-Le ministre de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques, Ismaël Sombié, a effectué le lundi 19 février 2024, une visite dans la province de la Léraba (région des cascades), afin de s’imprégner de l’état d’avancement des travaux d’aménagement des bas-fonds engagés dans le cadre de l’offensive agropastorale et halieutique 2023-2025.

Lancés le 15 janvier 2024, les travaux d’aménagement de 280 hectares sur le site du bas-fond des pics de Sindou avancent à pas de tortue.

C’est le constat « amer » fait par une délégation conduite par le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Ismaël Sombié, le lundi 19 février 2024 sur les lieux.

Plus d’un mois après, rien n’est encore fait, pourtant le site qui s’inscrit dans le cadre de l’offense agropastorale et halieutique 2023-2025 doit être exploitable dès le début du mois de juin 2024.

« Je reviens la semaine prochaine ici. Je ne veux pas trouver le chantier à ce niveau », a-t-il lancé au représentant de l’entreprise en charge des travaux.

La délégation ministérielle a pu visiter également le site de Douna dont les travaux d’aménagement sont en cours. C’est environ 600 ha qui seront mis à la disposition de la population pour la production de riz et autres spéculations sur ce site.

Aménagé par le Projet d’aménagement et de valorisation de la plaine de la Léraba (PAVAL), le ministre a pu constater l’évolution des activités.

Il a instruit les responsables de l’entreprise en charge, à accélérer les travaux pour que les premiers lots (parcelle d’exploitation) soient livrés aux producteurs dès le début de la campagne prochaine.

Selon le secrétaire général du ministre de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques, Gaoussou Sanou, la mise en œuvre de ces sites permettra l’atteinte des objectifs de production dans le cadre de l’offensive agropastorale et halieutique 2023-2025.

Après ces deux sites, le ministre a visité la ferme Kouna, un site de production agropastorale et halieutique, dans la commune de Wolonkoto (Province de la Léraba).

D’une superficie de 17 ha, la ferme est un modèle inclusif qui permet d’intégrer les productions agricole, halieutique et animale.

Selon le secrétaire général, le modèle de production de la ferme Kouna cadre avec les ambitions et les axes qui sont définis dans le cadre de l’offensive agropastorale 2023-2025.

Cette ferme qui utilise le système d’irrigation goutte à goutte comprend 4,5 ha de maïs, 0,5 ha de manguier, 14 200 poulets de chair et 10 bœufs.

« Nous sommes impressionnés par ce qu’il est en train de faire en termes de création d’emploi et d’objectif de production », a indiqué Gaoussou Sanou.

Aux dires du secrétaire général, l’objectif majeur c’est d’arriver à atteindre le mois de juin avec un niveau de production élevé afin d’atteindre les objectifs définis dans le cadre de l’offensive.

Pour le promoteur de la ferme, Moussa Koné, l’objectif pour cette exploitation est d’arriver à produire du maïs afin de nourrir les poulets et utiliser les déchets de ces derniers pour fertiliser le sol et produire le maïs.

« Étant une exploitation intégrée, il s’agit également de baisser le coût de production du poulet et le coût de production du maïs », a-t-il expliqué.

A l’en croire, sa ferme est dans une dynamique d’accompagner l’offensive agropastorale et halieutique, car le blé occupe 0,15 ha dans sa production.

« Nous pensons que ce type de culture peut très bien marcher au niveau de la région des cascades et nous allons accompagner le gouvernement en mettant à disposition un certain nombre de produits agricoles pour ne pas toujours importer des denrées alimentaires et des céréales », a laissé entendre Moussa Koné.

Agence d’information du Burkina

NN/hb/yo

Le ministre Bassolma Bazié aux impérialistes capitalistes

Le ministre Bassolma Bazié aux impérialistes capitalistes

Opérations de sécurisation du territoire : Des communes retrouvent la quiétude dans le Nayala

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Opérations de sécurisation du territoire : Des communes retrouvent la quiétude dans le Nayala

Les efforts de sécurisation de territoire ont permis de réinstaller des populations dans leur localité. Le constat a été fait les 14 et 15 février 2024 dans deux communes de la province du Nayala.

« La situation va de mieux en mieux. L’une de nos priorités était l’ouverture d’un axe majeur qui était fermé depuis plus d’une année. Nous sommes parvenus à le faire depuis 30 janvier 2024 ».

Ces propos sont du commandant d’une unité de Forces de défense et de Sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) basée dans une commune située à une dizaine de kilomètres de Toma, ce mercredi 14 février 2024.

Cette localité depuis 2022, était devenue le fief des terroristes. La population n’était pas totalement partie mais l’administration était inexistante.

Les écoles étaient fermées, le commissariat porte toujours les traces de balles et la mairie incendiée.

« Durant  une année, les terroristes dictaient leurs lois dans la ville. Ils venaient se ravitailler, mais aussi écoulaient les animaux qu’ils volaient dans les villages », regrette le président de la délégation spéciale qui salue au passage les efforts faits pour réinstaller l’administration.

Et de confier que depuis le 22 janvier 2024, la confiance s’est installée et tous les services techniques sont présents pour servir la population.

« Nous avons en face de nous, une population résiliente. Nous ferons notre devoir qui est de les servir », promet-il.

Depuis deux ans, on ne parlait plus d’école dans cette localité.

« Avec la présence des FDS et VDP, nous sommes revenus au mois de janvier 2024. Douze salles de classe ont été ouvertes. Le recrutement a permis d’enregistrer 700 élèves pour le CP1 », raconte la cheffe de la circonscription d’éducation de base (CCEB) tout en précisant que cet effectif sera réparti dans six salles de classe.

Certains enseignants avaient déjà été déployés dans d’autres établissements qui fonctionnaient à l’époque.

La CCEB annonce qu’elle a entrepris des démarches auprès de sa hiérarchie pour leur retour.

Son vœu le plus cher est que la paix s’installe définitivement pour que tous les habitants reviennent.

L’activité économique est de nouveau sur les rails. Dans le bas-fond aménagé au bord du barrage, des femmes et des hommes se battent chaque jour pour tirer leur pitance.

Mariam (nom d’emprunt) est la présidente d’un groupement de 45 femmes. C’est presque la période de récolte dans leur propriété. Tomates, oignons, aubergines et autres spéculations forcent l’admiration.

« Avant, on ne pouvait pas travailler. La présence des FDS et des VDP nous réconforte. Les activités ont repris et nous parvenons à nous faire des revenus  pour s’occuper de nos familles», se réjouit-elle.

Non loin de là, un homme, la quarantaine d’âges, a rejoint le bas-fond cette année. Il dit ne pas regretter du tout son choix.

« Je produis des tomates et de l’oignon surtout.  J’ai commencé à récolter. Pour écouler, je me rends à Toma. L’axe est patrouillé régulièrement par nos forces combattantes», laisse-t-il entendre.

Dans tout ça, c’est le chef de canton de la localité qui ne tarit d’éloges et de remerciements à l’égard des forces de sécurité qu’il appelle affectueusement ses enfants.

« Nous avons tout observé ici, depuis le début des attaques terroristes. La nuit, nous ne pouvions pas dormir. Plusieurs fois, nous avions reçu des menaces », se souvient-il.

Maintenant, foi du chef, la population est en sécurité et vaque paisiblement à ses occupations.

Souhaitant que les forces combattants restent dans localité jusqu’à l’éradication finale du terrorisme, il invite ses sujets à une collaboration franche et à dénoncer tout acte suspect auprès des FDS.

Une semaine avant notre passage dans cette commune située à une trentaine du chef-lieu de la province se sont déroulées les funérailles chrétiennes.

Pour l’occasion, raconte le curé de la paroisse, plusieurs personnes sont venues des autres villes et même de Ouagadougou.

« Les choses se sont bien déroulées et  tout le monde était content de pouvoir célébrer les morts», indique-t-il.

Pour la célébration de nos cultes, poursuit-il, la sécurité est présente sur lieux pour protéger les fidèles.

« Même, si nous voulons faire un déplacement dans une autre localité, nous prévenons les FDS qui prennent des mesures à cet effet », précise-t-il.

Cette accalmie, le curé la doit au professionnalisme des FDS appuyés par les VDP. Car, cette commune a connu de pires moments. Zone de grande production agricole, la population n’a pourtant pas pu mener les travaux champêtres durant la saison écoulée.

En juin 2022, pendant que les cultivateurs se préparaient à rejoindre leurs champs, relate l’infirmier-chef de poste, la menace a été d’une ampleur entrainant le déguerpissement total de la localité. La réaction n’a pas tardé puisque trois après, un détachement a été installé. Ce qui a permis le retour progressif des habitants, mais avec la peur d’aller dans les champs qui se situent le souvent hors de la ville.

« Plus tard, l’administration a été la cible. Nous n’avions eu le choix que de fermer le centre de santé pour nous réfugier à Toma. Nous sommes partis le 26 décembre 2022 et c’est 28 février 2023 que nous sommes revenus », se remémore-t-il.

Depuis ce retour, se réjouit-il, aucun incident majeur ne s’est produit. Le centre de santé qui compte quatre agents fonctionne jour et nuit. Le dépôt pharmaceutique est approvisionné à temps. Non loin des lieux, le carburant coule à flots à la station-service et fait la fierté de la population.

La commune en question était stratégique pour les terroristes. « Si elle tombait dans les mains de nos ennemis, toute la province allait être sous blocus », confie le commandant de l’unité.

Saluant la collaboration de la population, il déplore néanmoins une complicité dans certains villages.

« La menace n’est pas totalement écartée. Chaque jour, nous sommes sur le terrain pour permettre aux villages de vivre », rassure-t-il.

Grâce à la bravoure de ses hommes, plusieurs terroristes ont été neutralisés et d’autres mis en déroute. Ils ne parviennent plus à mener des attaques de grande envergure.

Désorganisés, leur stratégie consiste à poser des mines sur les grands axes routiers, ou de procéder à des enlèvements ciblés avec la complicité bien sûr de certains résidents.

« Le vol de bétail est toujours d’actualité, mais avec le concours des VDP, nous arrivons à récupérer certains animaux pour le bonheur de leurs propriétaires », souligne le commandant.

La vigilance est de mise et il rassure la population de la commune et des villages habités que son unité est sur place pour leur sécurité.

Agence d’information du Burkina

AS/hb/yo

Houet/Transformation artisanale du coton : Les artisans disposeront d’un centre de formation dans 8 mois

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Houet/Transformation artisanale du coton : Les artisans disposeront d’un centre de formation dans 8 mois

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le ministre du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises, Serge Poda, a lancé, le vendredi 16 février 2024 à Bobo-Dioulasso, les travaux de construction du Centre national d’appui à la transformation artisanale du coton (CNATAC).

Pour un secteur artisanal compétitif à forte valeur ajoutée et créateur d’emploi décent, la direction générale de l’artisanat a entrepris le renforcement des compétences technique et entrepreneuriale des artisans par la mise en place d’un Centre national d’appui à la transformation artisanale du coton (CNATAC).

Les travaux de construction dudit centre ont été lancés par le ministre du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des petites et moyennes Entreprises, le vendredi 16 février 2024 à Bobo-Dioulasso.

Fruit de la coopération entre le gouvernement du Burkina Faso et celui de la République d’Italie, à travers l’agence italienne pour la coopération au développement, les infrastructures à construire sont constituées en quatre lots.

Le premier lot d’un coût global de 815 248 801 F CFA comprend : un bloc ateliers-cours pratiques, un bloc magasins, un forage équipé de pompe solaire et d’un château d’eau, un réseau de distribution d’eau froide sanitaire, des voiries et réseaux divers.

Le deuxième lot, d’un coût total de 323 816 931 F CFA, comprend : un bloc administratif et médiathèque, un bloc de toilettes extérieures, une guérite et des portiques d’entrée et une clôture.

Pour le lot 3, il est d’un coût de 240 151 089 F CFA et comprend la réfection des infrastructures existantes et inachevées sur le site. Il s’agit du bloc ateliers de tissage, de la salle d’exposition, des trois salles de classe et du bureau du gestionnaire.

Quant au lot 4, d’un coût 177 989 698 F CFA, il comprend les locaux techniques, le réseau de distribution, les amenées d’énergie, le champ d’énergie solaire.

D’un coût global de 3,5 milliards FCFA, le délai de construction de ces infrastructures est de huit mois.

Selon le ministre, Serge Poda, ce centre ne se limitera pas à être une simple structure physique. Il va être un véritable hub d’innovation, offrant des programmes de formation avancée, des conseils techniques et des services de soutien pour aider les artisans à prospérer dans un environnement économique en constante évolution.

« Ce centre servira de catalyseur pour l’émergence de nouvelles techniques de transformation du coton, améliorant ainsi la qualité de nos produits et renforçant notre position sur les marchés nationaux et internationaux », a-t-il indiqué.

A en croire le chef du département en charge de l’artisanat, les infrastructures du CNATAC serviront, également, d’enceinte pour le renforcement des compétences techniques et entrepreneuriales des artisans par l’organisation des sessions de formation à la carte à leur profit dans les métiers du tissage, de teinture, de confection, en gestion d’entreprise et en informatique. Toute chose qui contribuera à la valorisation du coton burkinabè.

Serge Poda a invité les entreprises chargées de la réalisation des infrastructures a respecté les délais contractuels et réalisés des travaux de qualité.

Selon la présidente de la Chambre des Métiers de l’Artisanat du Burkina Faso (CMA-BF), Germaine Compaoré, une fois opérationnelle, le centre sera une référence en matière de formation professionnelle et d’apprentissage dans les domaines du textile notamment du tissage, de la teinture et de la coupe couture.

« En outre, il va permettre aux artisans d’avoir un cadre adéquat pour renforcer leurs compétences techniques dans ces métiers », a-t-elle souligné.

A l’écouter, les objectifs du centre sont pleinement en phase avec les préoccupations de l’heure des artisans et les objectifs de la CMA-BF en termes de professionnalisme, d’amélioration de la qualité des produits artisanaux et d’opportunités au profit des acteurs du secteur de l’artisanat.

« Ce centre constitue une véritable opportunité pour beaucoup de femmes et d’hommes, car il va servir non seulement aux artisans de contribuer à une transformation substantielle du coton burkinabè, mais aussi de proposer des sous-produits à base de coton de qualité pour le bonheur des populations », a laissé entendre la présidente de la CMA-BF.

Elle a, de ce fait, invité l’ensemble des acteurs qui vont intervenir dans ce centre à donner le meilleur d’eux-mêmes pour que ces jeunes et femmes qui y recevront les formations soient des relais dans la formation professionnelle, mais également des modèles d’entrepreneurs professionnels.

Agence d’information du Burkina

NN/hb/yo

Le nouvel ambassadeur du Japon réaffirme l’engagement de son pays à poursuivre sa coopération avec le Burkina Faso

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Le nouvel ambassadeur du Japon réaffirme l’engagement de son pays à poursuivre sa coopération avec le Burkina Faso

Ouagadougou, 20 fév. 2024 (AIB) – Le ministre d’État, ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo, a reçu en audience, le nouvel ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Japon au Burkina, Son Excellence Nagashama Jun, ce mardi à Ouagadougou.

Le diplomate nippon est venu réaffirmer au ministre Ouédraogo l’engagement de son pays à poursuivre la coopération avec le Burkina Faso, en faveur de la formation du capital humain, du développement agricole, de l’intégration régionale et de la sécurité.

Pour lui, le Japon est dans une dynamique de continuité dans la coopération pour accompagner la politique nationale de développement du Burkina Faso.

Le ministre Ouédraogo, porte-parole du Gouvernement, s’est réjoui de la bonne collaboration qui existe entre les deux pays et a souhaité que cela se renforce davantage jusqu’au niveau culturel, car selon Jean Emmanuel Ouédraogo, c’est à travers la culture que les peuples de découvrent réellement.
Agence d’Information du Burkina
Avec la DCRP/MCCAT

Houet : 249 Sapeurs-pompiers près à secourir ou à périr pour la patrie

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Houet : 249 Sapeurs-pompiers près à secourir ou à périr pour la patrie

Bobo-Dioulasso, (AIB)-L’Ecole nationale des Sapeurs-pompiers a abrité la cérémonie officielle marquant la fin de formation initiale de base de la 21e promotion des Sapeurs-pompiers, le vendredi 16 février 2024 à Bobo-Dioulasso. Forte de 249 élèves sapeurs-pompiers, la promotion a été baptisée « Abnégation».

Les stagiaires de la 21e promotion des sapeurs-pompiers sont désormais aptes à accomplir leurs missions qui leur seront confiées. En effet, ils ont effectué leur sortie le vendredi 16 février 2024, à Bobo-Dioulasso.

Arrivés à l’Ecole nationale de sapeurs-pompiers, le 2 juillet 2023, avec un effectif de 250 élèves après six mois de formation militaire initiale au Groupement d’instruction des forces armées (GIFA), ils sont aujourd’hui 249 élèves sapeurs, dont 25 personnels militaires féminins à avoir réussi la formation après une démission qui a été acceptée par la hiérarchie.

Selon le commandant, Blaise Waongo, l’acquisition d’un esprit militaire, l’aguerrissement et l’amélioration des aptitudes physiques ont été les objectifs de cette formation militaire initiale.

A l’en croire, ces jeunes sapeurs sont prêts à servir ou périr pour la sécurité de notre pays, le Burkina Faso. D’où le nom de baptême de la promotion « Abnégation ».

« Ils peuvent être sûrs que la formation qu’ils ont reçue va leur permettre de tenir leurs différents postes. Aussi bien, au sein des unités d’incendies, qu’au combat, ils peuvent libérer le Burkina Faso », a précisé Blaise Waongo.

Ainsi, il a exhorté les jeunes sapeurs à faire preuve de courage et de bravoure sur le terrain.

« Aujourd’hui prend fin votre Formation Initiale de Base, allez donc, aimez et exercez avec un grand amour ce noble métier que vous avez choisi », a-t-il dit.

Pour lui cette formation va leur permettre de réussir leurs différentes missions.

« Aussi bien, au sein des unités d’incendies, qu’au combat, ils peuvent libérer le Burkina Faso », a-t-il fait savoir.

Quant au chef de bataillon, le colonel commandant Naon Daba, il a exprimé sa gratitude à sa hiérarchie et à la direction du corps des sapeurs-pompiers pour les efforts fournis pour la réussite de cette formation.

Selon le délégué de la promotion, Manacé Lakoandé, la formation n’a pas été de tout repos.

« Après six mois de dur labeur au GIFA, on nous a orienté à l’Ecole nationale des Sapeurs-pompiers, où nous avons appris beaucoup de choses sur le secourisme, la natation et l’extinction des incendies », a-t-il expliqué.

Agence d’information du Burkina

SP/hb/yo

 

Houet/Promotion de l’entrepreneuriat : Les jeunes du secteur prônent l’entraide en leur sein

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Houet/Promotion de l’entrepreneuriat : Les jeunes du secteur prônent l’entraide en leur sein

Bobo-Dioulasso, (AIB)-L’Association des jeunes pour la promotion de l’entrepreneuriat, de la culture et de l’entraide (AJPECE) a organisé, le samedi 17 février 2024 à Bobo-Dioulasso, un gala de charité pour célébrer la solidarité et l’innovation entrepreneuriale.

Dans une soirée étincelante empreinte de générosité et d’enthousiasme, l’Association des jeunes pour la promotion des jeunes de l’entrepreneuriat, de la culture et de l’entraide (AJPECE) a organisé sa toute première édition annuelle de la charité.

Cet évènement a réuni des personnalités du monde des affaires, de la culture, et de la société civile pour soutenir les initiatives entrepreneuriales et solidaires des jeunes.

Sous les feux de projecteur, le gala a offert une plateforme unique pour mettre en lumière les réussites « remarquables » des jeunes entrepreneurs et les actions philanthropiques de l’association.

Des discours ont souligné l’importance de l’entrepreneuriat comme moteurs de développement économique et social, ainsi que le rôle crucial de la solidarité dans la construction d’une société plus juste et inclusive.

Parmi les temps forts de la soirée, des jeunes entrepreneurs ont eu l’opportunité d’exposer et présenter leurs projets novateurs devant un public attentif, démontrant la créativité et le dynamisme de la nouvelle génération d’entrepreneurs.

Selon le président de l’association Régis Appolinaire Gansonré, il s’agit une soirée de réseautage et d’opportunité.

L’objectif est de faire en sorte que les participants puissent collaborer et fusionner leurs projets et se faire des relations et voir quel type de partenariats ils peuvent développer.

Pour Ignace Koné, participant promoteur de l’école des affaires, assistée à une soirée de réseautage est déjà une belle initiative qui est a salué.

A l’écouter, c’est une occasion en tant qu’entrepreneurs de rencontrer d’autres personnes et se faire de nouveau ami dans un monde du relationnelle.

« Un entrepreneur qui veut mieux évoluer, doit se faire une liste de contact bien nourri raison pour laquelle que je suis présent ce soir pour me tisser des relations », a-t-il affirmé.

Agence d’information du Burkina

LZ/hb/yo

Nahouri/Tournoi Maracana de la  jeunesse : L’équipe de Guelwongo 2 remporte le trophée

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Nahouri/Tournoi Maracana de la  jeunesse : L’équipe de Guelwongo 2 remporte le trophée

Pô, (AIB) Le Haut-Commissaire de la province du Nahouri, Augustin Kinda, a présidé le samedi 17 février 2024, la finale de la quatrième édition du Tournoi maracana de la  jeunesse de Zecco, avec le sacre de   l’équipe  de Guelwongo 2.  C’était en présence des fils et filles de la localité et de plusieurs invités.

Au total,  13  équipes des communes de  Tiébélé, Zecco  et Ziou  se sont  rivalisés trois mois durant dans un esprit  de fraternité et de faire play, sous le thème : « Contribution des fils et filles de Zecco à la cohésion sociale et à l’effort de paix».

La finale a opposé l’équipe Watao FC à celle de Guelwongo 2 qui a remporté le trophée de la 4e édition du tournoi maracana de football    de la jeunesse de la commune de Zecco,  par le score de 1 but à zéro.

En plus du  trophée, Guelwongo 2 a reçu une enveloppe de 75 000 F CFA et deux ballons et Watao FC, 50 000 F CFA et deux ballons. Les autres équipes participantes ont été récompensées en espèces et en nature.

Avant le coup d’envoi les autorités coutumières et religieuses de la commune ont prié pour les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires de défense de la Patrie (VDP).

Selon  le promoteur, Alidou Bakiéka,  une telle activité,  quatrième du genre, est une invite aux  fils et filles des communes de Tiébélé, Zecco et Ziou, de s’unir afin que chacun apporte sa contribution pour un retour de la paix et la cohésion sociale au Burkina Faso.

Le parrain de l’édition, Honoré Tamougré Sia, tout en saluant le comité d’organisation pour la tenue effective de cet évènement, a invité la jeunesse à ne céder en aucun cas à la tentation des groupes armés terroristes et à accompagner les forces combattantes engagées pour la reconquête du territoire national.

Sia a indiqué sa disponibilité à accompagner toutes les actions entrant dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des populations.

La finale a connu la présence de Oscar Barro, sélectionneur des Etalons locaux, Hamadou Bamba, président de la League régionale des Hauts-Bassins et bien d’autres invités de marques venues soutenir le parrain et le comité d’organisation.

Le Haut-Commissaire de la province du Nahouri, Augustin Kinda, a félicité les organisateurs pour le thème choisi, car selon lui, sans  l’implication effective de la jeunesse et les populations dans cette lutte contre  l’insécurité,  les efforts resteront  vains.

Au cours de la cérémonie, 138 000 F CFA ont été collectés de façon ponctuelle pour soutenir les VDP de la commune de Zecco.

Plus tôt dans la matinée, un cross a été organisé pour la promotion de la cohésion, ou population, FDS et VDP ont communié autour de ce sport.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

                           

 

 

Campagne sèche: Le Haut-commissaire de la province du Zondoma encourage les producteurs

Campagne sèche: Le Haut-commissaire de la province du Zondoma encourage les producteurs

Gourcy,15 février 2024 (AIB)- Dans le cadre du suivi de la campagne sèche 2023-2024, le Haut-commissaire de la province du Zondoma Aboubacar Sidiki Nabé a rendu visite à des producteurs maraîchers de la commune de Gourcy ce mardi 13 février 2024.

Accompagné de la Directrice provinciale de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques Marie Théodora Kyelem, la première étape de la visite du Haut-commissaire Aboubacar Sidiki Nabé a été le site de Kardega à quelques kilomètres à la sortie Est de la ville de Gourcy.

Sur ce périmètre entretenu par la structure Pingdwendé, les visiteurs ont pu admirer des planches de choux, de pommes de terre et d’oignons en phase de maturité.

« Nous sommes venus pour vous féliciter et vous encourager pour les efforts que vous fournissez en vue d’atteindre l’autosuffisance alimentaire » a déclaré le Haut-commissaire, s’adressant aux producteurs constitués d’hommes et de femmes organisés en coopérative (scoop).

Après Kardega, le premier responsable de la province et son équipe ont mis le cape sur Gangourgou toujours à la sortie Est de la ville de Gourcy où les attendait Jean Bosco Sawadogo.

Titulaire d’une maîtrise en sociologie, ce jeune diplômé qui a choisi l’agriculture a émerveillé ses visiteurs à travers son exploitation d’une superficie de plus de trois hectares constituée de papayes, d’oignons, de haricot vert, de pastèques etc.

A l’en croire il tire bien son épingle du jeu et emploie au moins six travailleurs permanents.

L’exploitation de Issa Sawadogo quant à elle, est constituée de quatre hectares d’oignons essentiellement.

Sa principale difficulté réside selon lui dans la conservation qu’il compte régler par la construction d’un magasin de stockage.

La principale attraction de la journée a été la ferme piscicole entretenue par Émile Savadogo dans le secteur 3 de Gourcy.

Pour cet exploitant modèle, sa production moyenne est de trois tonnes de poissons par an.

Satisfait de ce qu’il a vu sur le terrain, le Haut-commissaire a prodigué quelques conseils aux producteurs avant de les encourager à persévérer dans leurs activités dont la contribution selon lui dans l’économie du pays est sans conteste.

A leur tour les producteurs ont égrainé des difficultés allant de l’insuffisance d’eau, en passant par la l’écoulement, la cherté des instants de production etc.

Au cours de la visite les producteurs ont reçu chacun deux sacs d’engrais en guise d’encouragement de la part des autorités.

En rappel des puits à grand diamètre sont utilisés comme source d’eau dans tous les sites visités.

Agence d’Information du Burkina

AZK/ata

 

 

 

 

CSC et insécurité à la Une des journaux

Burkina-Revue-Presse

CSC et insécurité à la Une des journaux

Ouagadougou, le 20 fév. 2024 (AIB)- Les parutions de ce mardi font écho de la fermeture d’une trentaine de paroisses à cause de l’insécurité et des prochains états généraux de la communication et des médias.

« Conseil Supérieur de la communication : Bientôt les états généraux de la communication et des médias », écrit à sa manchette le quotidien d’Etat Sidwaya.

Ce journal rapporte que le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré a accordé une audience au collège des conseillers du Conseil supérieur de la communication (CSC), conduit par son président Idrissa Ouédraogo.

Le quotidien privé Le Pays, quant à lui a souligné qu’à la sortie de cette audience, « Idrissa Ouédraogo a également expliqué qu’avec la nouvelle loi, les attributions du Conseil supérieur de la communication se sont élargies nécessitant une modernisation de l’institution ».

Le doyen des quotidiens privés, L’Observateur Paalga, de son côté, écrit que selon M. Ouédraogo, l’institution entend travailler en amont pour l’accomplissement de ses missions.

« Et pour ce faire « il serait utile pour nous de commence par les états généraux de la communication et des médias pour faire en sorte que tous les acteurs puissent se parler et que les points d’obstacles soient identifiés et levés ensemble et de manière consensuel », a indiqué le président du CSC selon le même journal.

Le même journal écrit à sa Une, « Insécurité au Burkina : une trentaine de paroisse fermées ou inaccessibles ».

L’Observateur Paalga informe qu’à l’issue de la deuxième assemblée ordinaire de la Conférence épiscopale Burkina-Niger (CBN) 2024, il ressort qu’en raison de la crise sécuritaire, une trentaine de paroisses restent fermées ou inaccessibles.

Pour le journal, comme ils le font habituellement chaque année, au mois de février, les évêques du CBN se sont réunis du 12 au 18 février 2024 à Kaya.

« Le tour d’horizon sur la vie des diocèses fait apparaitre en dépit des efforts notoires des FDS et des VDP une situation d’insécurité persistante dont l’impact sur la vie de ses Eglises particulières porte à conséquence de façon très dommageable », informe le quotidien privé Le Pays.

Agence d’information du Burkina

AMZ/hb/yo

Kénédougou/Effort de paix : Le village de Djigouèra contribue à hauteur de  750 000 F CFA

BURKINA-KENEDOUGOU-INSECURITE-CONTRIBUTION

Kénédougou/Effort de paix : Le village de Djigouèra contribue à hauteur de  750 000 F CFA

Orodara, (AIB)-Le chef du village de Djigouèra,  Salia Traoré, a remis ce lundi 19 Février 2024 à Orodara, une enveloppe financière d’une valeur de 750 000 F CFA au Haut-Commissaire de la Province du Kénédougou, Saidou Sakira, en guise de contribution à l’effort de paix.

Suite à l’appel à contribution volontaire lancé par le Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré, pour faire face aux défis sécuritaires du moment dans notre pays, la population du village de Djigouèra s’est mobilisée pour l’effort de paix.

Une enveloppe d’une valeur de 750 000 F CFA a été remise par le Chef du village de Djigouèra, Salia Traoré au Haut-Commissaire de la province du Kénédougou, Saidou Sakira, en guise de leur contribution.

Aux dires du chef de village de Djigouèra, la lutte contre le terrorisme nécessite la contribution de toutes les filles et fils du pays.

Il a précisé que c’est dans ce sens que s’inscrit leur geste.

Le Haut-Commissaire de la province du Kénédougou, Saidou Sakira, a salué positivement l’initiative et a traduit sa gratitude et celle du gouvernement aux donateurs.

  1. Sakira a invité les autres villages de la province à suivre l’exemple de Djigouèra.

Agence d’information du Burkina

AK/hb/yo

Remaniement ministériel au Niger, avec l’entrée de deux ministres au gouvernement

Niger-Gouvernement-Remaniement

Remaniement ministériel au Niger, avec l’entrée de deux ministres au gouvernement

Ouagadougou, 19 fév. (AIB) – Le président du Conseil national pour la sauvegarde de la Patrie (CNSP), chef de l’Etat du Niger, le Général Abdourahamane Tiani, a nommé ce lundi deux nouveaux ministres au gouvernement, rapporte l’Agence nigérienne de presse (ANP).

Selon un décret portant réaménagement technique du gouvernement, le ministère du Pétrole, des mines et de l’Energie a été éclaté en trois départements. Moustapha Mahaman Barké Bako, alors titulaire du ministère originel, conserve le portefeuille du Pétrole. Le Commissaire Colonel Ousmane Abarchi fait son entrée dans le gouvernement et prend la tête des Mines. De même, le nouvel arrivant, Pr Haoua Amadou, s’occupe désormais du portefeuille de l’Energie.

Le premier gouvernement de la Transition actuelle au Niger, fort de 21 membres, a été formé le 9 août 2023.

Agence d’Information du Burkina

 Namentenga : Une journée provinciale pour promouvoir le sport et les loisirs

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Namentenga : Une journée provinciale pour promouvoir le sport et les loisirs

 Boulsa (AIB)- (AIB le secrétaire général, Bassouleymane Ouattara  a présidé le samedi 17 février 2024 à Boulsa, les compétitions des jeux de société et le lancement des activités de l’Union des sports scolaires et universitaires du Burkina Faso (USSUBF). La cérémonie a été parrainée par  le directeur de la caisse populaire de Boulsa, Ibrahim Kaboré et du responsable de l’agence de la Caisse Nationale de sécurité sociale (CNSS) Inoussa Ouédraogo.

Les amoureux des jeux de société tels le scrabble, la belote, la pétanque, le babyfoot, la dame se sont mobilisés le samedi 17 février 2024 à Boulsa, lors de la journée provinciale des sports et loisirs, dans la région du Centre-Nord.

Le secrétaire général de la province du Namentenga, Bassouleymane Ouattara  représentant  le haut-commissaire  a présidé les compétitions des jeux de société et le lancement de l’Union des sports scolaires et universitaires du Burkina Faso (USSUBF).

Il s’est agi, d’une part, pour les  joueurs  de conquérir un titre et d’autre part,  de marquer leur attachement au sport et loisirs. Les candidats dans leurs domaines respectifs se sont rivalisés d’ardeur, de talents et dans un esprit fairplay.

A cet effet, un match de football a opposé l’équipe de l’ensemble des établissements du privé à celle du public au  terrain du lycée provincial de Boulsa et  s’est soldé  par un score nul et vierge.

Le secrétaire général de la province a félicité les deux équipes et a invité les établissements à s’engager dans les différentes disciplines en compétition dans un esprit de fairplay. Il a aussi rendu  un hommage au directeur provincial des sports et loisirs ,Moussa  Ilboudo.

A l’issue, des compétitions, les trois premiers de chaque discipline et le 4e  au niveau de la pétanque ont été récompensés avec la somme de dix mille à vingt mille FCFA.

Les lauréats en pentarque sont Henri Sawadogo et Zakaria Kafando, en dame,  ce sont Jean Bosco Koudougou, Yacouba Nikièma et Jean-Baptiste Damiba, en belote, Bindaogo Ima en scrabble et Yacouba Nako et Paténéma Ima en babyfoot.

Tous ont reçu leurs prix des mains des autorités présentes à cette occasion. Le parrain de la  cérémonie, le directeur de la caisse populaire de Boulsa, Ibrahim Kaboré a également offert six gadgets aux champions en titre.

Agence d’information du Burkina

JBD/no/ata

 

 

Namentenga : Le  ministère en charge de l’Action sociale visite un site de production de tomates par les PDI 

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Namentenga : Le  ministère en charge de l’Action sociale visite un site de production de tomates par les PDI 

Boulsa, (AIB)-Une mission du ministère en charge de l’Action sociale conduite  par Abdoul Karim Tiendrébéogo a visité  le vendredi 16 février 2024, un site  de production de  tomates de 5 ha, par les personnes déplacées internes (PDI) dans la province du Namentenga (Centre-Nord). Ce projet rentre dans le cadre de l’initiative présidentielle dénommée « L’offensive agrosylvopastorale».

« Constater de visu, le périmètre maraicher destiné à l’exploitation de la tomate par les Personnes déplacées internes (PDI) dans le cadre initiative présidentielle  et encourager  les acteurs terrains, constitue  l’objet principal de la mission », a  fait savoir  le chef de mission du ministère en charge de l’Action sociale, Abdoul Karim Tiendrébeogo.

Le site de production de tomates par les PDI, dans la province  du Namentenga, région du Centre-Nord a été concédé par le Malgrnaba de Boulsa,

A cet effet, la mission a échangé avec les directeurs provinciaux en charge de l’Agriculture et de l’Action sociale.

La population très enthousiaste pour la réalisation du projet est sortie massivement sur le site  situé du côté-Est de l’établissement la Sagesse, route Boulsa-Zorgho  pour accueillir la mission.

Selon le directeur provincial en charge de l’Agriculture, Mamadou Sidibé, le site a une superficie de 5 ha et le forage  possède un débit d’environ 17m 3 / heure.

Sidibé a indiqué que les exploitantes, au cours de la campagne humide écoulée, ont bénéficié d’engrais, de semences et d’accompagnement technique.

Saisissant l’occasion, le Malgrnaba, au nom des bénéficiaires a remercié la mission et déploré la lenteur observée dans la réalisation du projet notamment en ce qui concerne le château d‘eau avant de souhaiter la réalisation des latrines.

Il s’est aussi dit fier de l’engagement des populations en général et des PDI  en particulier.

Le Secrétaire général (SG) de la province du Namentenga, Bassouleymane Ouattara au nom du haut-commissaire a réitéré les remerciements de la province au propriétaire terrien, à savoir  le Malgrnaba du village de Nièga  pour avoir concédé son terrain  de 5 ha et la population pour sa  disponibilité.

Le SG  Ouattara a également  fait savoir que les doléances  relatives à l’accélération des travaux du chantier de forage seront transmises à qui  de droit.

Agence d’information  du Burkina

JBD /no/ata

 

 

 

 

 

Sissili/Education : La direction provinciale des enseignements post- primaire et secondaire tient son deuxième conseil de direction

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Sissili/Education : La direction provinciale des enseignements post- primaire et secondaire tient son deuxième conseil de direction

Léo, AIB)- La Direction provinciale des Enseignements post- primaire et secondaire (DPEPS) de la Sissili a tenu le vendredi 16 février 2024, son deuxième conseil de direction, au titre de l’année 2023-2024 sous la présidence de Mimtiri Oualbéogo.

Les chefs d’établissements des lycées et collèges ainsi que le personnel administratif de la Direction provinciale des Enseignements post- primaire et secondaire (DPEPS) et les représentants des parents d’élèves se sont réunis le vendredi 16 février 2024 à Léo, à l’occasion de la tenue de son deuxième conseil de direction, au titre de l’année 2023-2024.

Cette rencontre vise à faire le bilan des évaluations pédagogiques du deuxième trimestre, des préparatifs des examens et concours scolaires et des rapports de rentrée 2023-2024.

Pour le responsable du service de la scolarité de la DPEPS-Sissili, Michaël Apollinaire Sow, le bilan des activités pédagogiques du 1er  trimestre de la province fait ressortir un taux de 55,94%.

Selon lui, ce taux satisfaisant donne un point de plus par rapport aux résultats du 1er   trimestre de l’année dernière qui étaient de 54,97%.

Pour le Directeur provincial des Enseignements post- primaire et secondaire de la Sissili (DEPPS), Mimtiri Oualbeogo, cette performance est la conjugaison des efforts de l’ensemble des acteurs du système éducatif de la province.

Oualbéogo a invité les parents d’élèves ainsi que l’ensemble des partenaires sociaux à suivre l’éducation de leurs enfants et à accompagner les chefs d’établissements dans la réalisation des activités pédagogiques.

« Cette année scolaire, le nombre d’élèves enregistré par la direction provinciale des enseignements post- primaire et secondaire de la Sissili est de 2968 candidats au BEPC », a- t- il relevé.

Selon le premier responsable des enseignements post- primaire et secondaire de la Sissili, au regard des résultats des évaluations du 2e trimestre, des efforts sont encore à déployer pour achever l’année scolaire 2023-2024.

Mimtiri Oualbeogo a enfin invité les uns et les autres à plus d’efforts et d’engagement pour donner le meilleur d’eux-mêmes  en tant que responsables pour la réussite des activités pédagogiques dans la province.

Agence d’information du Burkina

OAN/no/ata

Bazèga : La veille citoyenne inaugure le « Rond-point Ibrahim Traoré »

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Bazèga : La veille citoyenne inaugure le « Rond-point Ibrahim Traoré »

Kombissiri, (AIB) – Un regroupement de citoyens  de la coordination patriotique de Kombissiri dans la province du Bazèga ont marqué le dimanche 18 février 2024, leur engagement pour la veille citoyenne. Cette cérémonie a été marquée par une remise de vivres aux personnes déplacées internes et l’inauguration du monument « Rond-point Ibrahim Traoré »

Depuis la prise du pouvoir par le Capitaine Ibrahim Traoré, des Burkinabè à travers tout le pays, ne cessent de prendre des initiatives pour soutenir et accompagner la transition.

À l’instar des citoyens des autres villes du Burkina Faso, ceux de Kombissiri dans la province du Bazèga regroupés au sein de la Coordination patriotique de Kombissiri (CPK), ont décidé d’apporter leur soutien à la transition dans la lutte contre le terrorisme.

Pour le coordinateur de la CPK, Ablassé Rouamba, cette cérémonie marque le lancement des activités de veille citoyenne dans la commune de Kombissiri.

« Nous voyons le travail que le Capitaine Ibrahim Traoré fait sur le terrain contre l’insécurité. Ici à Kombissiri, la population est fière de lui et nous voulons l’accompagner dans cette lutte contre le terrorisme », a indiqué M. Rouamba.

Sous un soleil de plomb, la population s’est mobilisée aux côtés des responsables administratifs et coutumiers pour vivre cette cérémonie et écouter les différents témoignages et appels de soutien à la transition.

Les membres de la coordination aussi appelés « les Wayiyans » de Kombissiri ont reçu le soutien des représentants de leurs camarades venus des autres villes du pays. La cérémonie a été l’occasion pour les initiateurs de sensibiliser la population sur l’importance de l’union et de soutien à la transition pour venir à bout de l’hydre terroriste. Joignant l’utile à l’agréable, Ablassé Rouamba et ses camarades ont fait une remise symbolique de vivres aux personnes déplacées internes avant de procéder à l’inauguration du monument dénommé « rond-point Ibrahim Traoré » érigé en face de l’entrée principale du marché central de Kombissiri.

 

Agence d’information du Burkina

TPT/dnk

Rencontre du capitaine Ibrahim Traoré et remise du rapport 2022 de la Cour des Comptes, à la Une des journaux

Burkina-Revue-Presse

Rencontre du capitaine Ibrahim Traoré et remise du rapport 2022 de la Cour des Comptes, à la Une des journaux

Ouagadougou, 19 fév. 2024 (AIB)- Les parutions burkinabè de ce lundi font écho de la remise du rapport public 2022 de la Cour des Comptes au chef de l’Etat et de la rencontre du capitaine Ibrahim Traoré avec la veille citoyenne.

« Conduite de la Transition : La veille citoyenne réaffirme son soutien aux autorités », titre le quotidien public Sidwaya à sa Une.

Ce journal informe que la coordination nationale de la veille citoyenne patriotique a organisé un meeting de soutien aux autorités de la transition le samedi 17 février 2024 au palais des sports de Ouaga 2000.

« Cette rencontre de la coordination de la veille citoyenne patriotique a été une occasion pour les représentants des 13 contrées du pays d’adresser les félicitations et de faire parvenir les doléances des populations de leurs localité », rapporte le quotidien d’Etat.

« Comme il fallait s’y attendre, ce sont les impérialistes et les valets locaux rebaptisés en esclaves de salon qui ont reçu les flèches du président de la Transition burkinabè », poursuit le quotidien privé Le Pays.

Le doyen des quotidiens privés, L’Observateur Paalga, a souligné que le chef de l’Etat a rappelé qu’ils n’auront plus de sentiment pour les traîtres.

Le même journal poursuit que pour le capitaine Ibrahim Traoré, quiconque va trahir sa patrie au profit de l’impérialisme sera traité comme tel.

Le quotidien privé Le pays titre à sa manchette : « Cour de comptes, Le rapport public 2022 remis au chef de l’Etat »

Ce quotidien informe que selon le président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré a reçu le vendredi, le rapport public 2022 de la Cour des comptes.

De son coté, Sidwaya poursuit que pour le premier président de la Cour des Comptes, Latin Poda, le rapport relève des irrégularités frappantes.

« Le premier président de la Cour des Comptes dit espérer que les problèmes relever seront pris en charge par les décideurs publics en vue d’un changement dans la gouvernance des finances », poursuit le quotidien d’Etat.

Agence d’information du Burkina

AMZ/hb/yo

 

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