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Ouahigouya : La patiente dont une pioche a été retirée de la tête va mieux

Ouahigouya : La patiente dont une pioche a été retirée de la tête va mieux

Ouahigouya, 24 mai 2025 (AIB) – La patiente à qui une équipe médicale du CHR de Ouahigouya (Nord) a réussi à retirer une pioche logée dans la tête a repris connaissance et communique désormais avec son entourage, a appris l’AIB samedi auprès de l’hôpital.

Le 22 mai 2025, aux environs de 20 h, une femme victime d’une agression a été admise aux urgences du Centre hospitalier régional de Ouahigouya, avec une pioche enfoncée dans le crâne de part et d’autre.

L’intervention, conduite par le Dr W. S. Pâcome Yaméogo, a débuté à 22 h et s’est achevée autour de 3 h du matin. La patiente est sortie du bloc opératoire aux environs de 4 h.

« La patiente a repris conscience et échange avec les gens de son environnement », a appris samedi l’AIB auprès d’un membre de l’équipe médicale.

Dans un communiqué, le CHR de Ouahigouya a félicité l’équipe des urgences chirurgicales, composée de spécialistes en neurochirurgie, en anesthésie-réanimation, de médecins en spécialisation (DES), d’étudiants en médecine, d’attachés de santé, de techniciens en hygiène hospitalière et d’infirmiers, sans oublier les services d’imagerie médicale, d’action sociale et la pharmacie.

La médecine a connu de grands bonds en avant ces dernières années au Burkina Faso, avec désormais la prise en charge locale de pathologies qui nécessitaient auparavant des évacuations sanitaires à l’étranger.

En avril 2025, une équipe chirurgicale du CHU-Tengandogo à Ouagadougou a réalisé des chirurgies à cœur ouvert sur huit patients.

Agence d’information du Burkina

PN-ATA/ak

Visite guidée à l’hôpital militaire Tanguet-OUATTARA 

SÉJOUR DU PRÉSIDENT DU FASO DANS LES HAUTS-BASSINS

Visite guidée à l’hôpital militaire Tanguet-OUATTARA 

(Bobo-Dioulasso, 23 mai 2025). Dans la matinée de ce 23 mai 2025, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État a visité l’hôpital militaire Tanguet-OUATTARA, situé au sein du camp Ouezzin-COULIBALY, pour encourager le personnel et donner des orientations pour une meilleure prise en charge des blessés et des malades.

De la clinique buccodentaire, en passant par l’imagerie médicale, le service de chirurgie comportant 3 blocs et une salle de réanimation, le Chef de l’État a constaté les conditions de travail, les efforts ainsi que les services fournis par le personnel dans cet établissement hospitalier militaire d’une capacité de 60 lits extensible.

Le Médecin-Colonel Armel PODA, directeur de cet hôpital militaire, qui a conduit cette visite guidée, s’est dit honoré avec son équipe de recevoir la visite de la plus haute autorité du pays. Une visite qui en elle-même est un symbole fort d’encouragement à l’ensemble des services de santé militaires du Burkina Faso et de solidarité aux combattants en soins médicaux.

Au terme de sa visite et dans le debriefing avec le personnel, le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a donné des instructions fermes pour l’érection de nouvelles infrastructures et l’acquisition d’équipements de pointe pour relever le niveau du plateau technique médical.

« Il n’est pas normal qu’un combattant souffre au front et quand il lui arrive d’être blessé, il souffre encore à l’hôpital pendant sa prise en charge », a dénoncé le Président du Faso. Il a félicité le personnel et a donné des orientations pour des investissements futuristes à même de faire de ce centre médical une référence dans les années à venir et dans la durée.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Agence d’Information du Burkina 

Visite guidée à l’hôpital militaire Tanguet-OUATTARA

SÉJOUR DU PRÉSIDENT DU FASO DANS LES HAUTS-BASSINS

Visite guidée à l’hôpital militaire Tanguet-OUATTARA

(Bobo-Dioulasso, 23 mai 2025). Dans la matinée de ce 23 mai 2025, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État a visité l’hôpital militaire Tanguet-OUATTARA, situé au sein du camp Ouezzin-COULIBALY, pour encourager le personnel et donner des orientations pour une meilleure prise en charge des blessés et des malades.

De la clinique buccodentaire, en passant par l’imagerie médicale, le service de chirurgie comportant 3 blocs et une salle de réanimation, le Chef de l’État a constaté les conditions de travail, les efforts ainsi que les services fournis par le personnel dans cet établissement hospitalier militaire d’une capacité de 60 lits extensible.

Le Médecin-Colonel Armel PODA, directeur de cet hôpital militaire, qui a conduit cette visite guidée, s’est dit honoré avec son équipe de recevoir la visite de la plus haute autorité du pays. Une visite qui en elle-même est un symbole fort d’encouragement à l’ensemble des services de santé militaires du Burkina Faso et de solidarité aux combattants en soins médicaux.

Au terme de sa visite et dans le debriefing avec le personnel, le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a donné des instructions fermes pour l’érection de nouvelles infrastructures et l’acquisition d’équipements de pointe pour relever le niveau du plateau technique médical.

« Il n’est pas normal qu’un combattant souffre au front et quand il lui arrive d’être blessé, il souffre encore à l’hôpital pendant sa prise en charge », a dénoncé le Président du Faso. Il a félicité le personnel et a donné des orientations pour des investissements futuristes à même de faire de ce centre médical une référence dans les années à venir et dans la durée.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Promotion de l’intégration sous régionale : les stagiaires des écoles professionnelles outillés sur la libre circulation des personnes et des biens

Promotion de l’intégration sous régionale : les stagiaires des écoles professionnelles outillés sur la libre circulation des personnes et des biens

(Ouagadougou, le 23 mai 2025)

La direction générale de l’intégration africaine du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur a organisé ce vendredi 23 mai 2025, une session de mise à niveau sur l’intégration sous régionale, au profit des stagiaires des écoles professionnelles et des cardes des départements impliqués dans la dynamique de l’intégration.

Le top de départ des travaux a été donné par l’ambassadeur Issa BANCE, Conseiller technique de Madame le ministre délégué chargé de la coopération régionale.

Cette session de mise à niveau a permis de mettre à la disposition des participants, des informations pertinentes et des outils nécessaires, pour mieux comprendre les enjeux de l’intégration sous régionale, notamment la libre circulation des personnes et des biens.

Des principes qui restent chers au Burkina Faso, engagé dans plusieurs organisations sous régionales telles que l’UEMOA, l’Autorité du Liptako Gourma et de la Confédération des Etats du Sahel.

« Ce cadre d’échanges traduit la volonté du Président du Faso le Capitaine Ibrahim TRAORE de faire de l’intégration sous régionale une priorité, malgré les recompositions géopolitiques en cours et la diversification des partenaires occasionnées par la création de l’AES », a indiqué Monsieur Issa BANCE.

Il note par ailleurs, l’interdépendance des Etats sur le plan économique, technologique, marquée par une logique d’union et de coopération.

« Nous avons donc, la responsabilité de bâtir une sous-région unie, ouverte et prospère, où les citoyens bénéficient pleinement du droit de résidence et d’établissement, et où les entreprises évoluent dans un environnement favorable à l’échange et à l’innovation », a soutenu le Conseiller technique.

Il a surtout réaffirmé la volonté des Chefs d’Etat de l’AES, de promouvoir la libre circulation des personnes et des biens dans la sous-région et particulièrement dans l’espace confédéral, ainsi qu’un développement harmonieux des populations.

Plusieurs thèmes ont été développés au cours des travaux, sur les concepts et l’état des lieux de l’intégration sous régionale et dans l’espace AES, de la contribution de la culture et du rôle de la jeunesse dans l’intégration sous régionale.

DCRP/MAECR-BE

Burkina/Lutte contre le terrorisme : 900 motos Aloba et 164 tricycles saisis

Burkina-Lutte-Terrorisme-Saisie-Motos

Burkina/Lutte contre le terrorisme : 900 motos Aloba et 164 tricycles saisis

Ouagadougou, 23 mai (2025) AIB-Le Ministre de la Sécurité, Mahamadou Sana, a présenté vendredi à la presse 160 tricycles et 900 motos de type Aloba, saisis le 7 avril dernier par les forces de défense et de sécurité à la frontière ivoirienne.
« Ces véhicules ont été interceptés depuis le 7 avril 2025, alors qu’ils se dirigeaient en direction de la ville de Korhogo, en République de Côte d’Ivoire », a indiqué le ministre.

A entendre le ministre, jusqu’à ce jour, aucune réclamation n’a été enregistrée auprès des services compétents.
Selon les premières conclusions des investigations, ces engins seraient destinés à des zones à risque et financeraient le terrorisme dans la sous-région, a précisé le Ministre de la Sécurité.
Pour Mahamadou Sana, toutes personnes physique ou morales impliquées dans ce dossier de financement du terrorisme se verra appliquer la rigueur de la loi.
« Hier nous avons sensibilisé, aujourd’hui c’est la répression», a fermement averti le Ministre Mahamadou Sana.

Le Ministre a également annoncé que les engins saisis seront mis à la disposition des unités de défense et de sécurité engagées dans la lutte contre le terrorisme, afin de renforcer leurs capacités opérationnelles sur le terrain. Le Ministre a, par ailleurs, salué la réactivité et le professionnalisme des unités engagées dans cette opération d’envergure.
Le ministre Sana s’exprimait le vendredi 23 mai à Ouagadougou lors d’une conférence de presse.

Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Burkina : Le ministre de l’Education souhaite le retour des enfants à la sagesse africaine

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Burkina : Le ministre de l’Education souhaite le retour des enfants à la sagesse africaine

Ouagadougou, 23 mai 2025 (AIB)- Le ministre de l’Enseignement de base, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales, Jacques Sosthène Dingara a affirmé vendredi lors d’une visite au palais du Moogho Naaba, avec une délégation d’élèves qu’il souhaite que les enfants soient replongés dans la sagesse africaine.

« Nous voulons aujourd’hui que nos enfants soient éduqués au-delà de l’aspect français et tout ce qui est donné de manière académique, que ces enfants soient replongés dans la sagesse africaine, dans la sagesse de nos cultures, dans la sagesse de notre tradition », a déclaré le ministre en charge de l’éducation Jacques Sosthène Dingara.

Le ministre Dingara accompagné d’une délégation d’élèves, s’exprimait vendredi 23 mai 2025 lors d’une visite au palais du Moogho Naaba et au musée national, qui s’inscrit dans le cadre de la promotion d’une éducation citoyenne et culturelle.

Chez le chef des mossés, les élèves ont assisté au « Faux départ de Moogho Naaba », une cérémonie qui a lieu tous les vendredis pour rappeler que les grandes décisions doivent être guidées par la réflexion et non par l’impulsion.

Pour le ministre, cette sortie va permettre aux enfants de comprendre l’histoire des mossés et d’écouter les sages conseils de Moogho Naaba.

M. Dingara a par ailleurs indiqué qu’il aspire à ce que l’école soit placée sous la coordination des chefs coutumiers et traditionnel, afin que les enfants soient éduqués selon les réalités burkinabè.

« C’est également une manière d’amener les enfants à revenir à la source, à considérer que nous avons une identité, celle détenue par les garants de notre société », a poursuivi le ministre de l’Education.

Il a saisi l’occasion pour inviter ses collaborateurs à organiser « ce type de rencontres dans les différentes régions pour permettre à chaque enfant de se replonger dans sa société et à considérer tous les douze mois de l’année comme étant pratiquement les mois du patrimoine culturel.

Pour le chargé de mission au ministère, Yacouba Barry, cette immersion dans le monde des musées, lieu où s’entreposent toutes les valeurs culturelles et traditionnelles d’un peuple, permettra aux enfants de s’informer pour apprendre plus tard se protéger.
De son avis, le ministère de l’enseignement de base est engagé résolument pour que le monde de l’éducation puisse s’enraciner davantage dans nos valeurs traditionnelles.

Agence d’information du Burkina
AO/yos/ata

SÉJOUR DU CHEF DE L’ÉTAT DANS LES HAUTS-BASSINS

SÉJOUR DU CHEF DE L’ÉTAT DANS LES HAUTS-BASSINS

– Visite à l’usine de la Société nouvelle ANATRANS SA

– Engagement renouvelé pour le développement d’une industrie de transformation

(Bobo-Dioulasso, 23 mai 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a visité ce vendredi, la Société nouvelle ANATRANS SA (SN ANATRANS SA). C’est une unité industrielle de transformation de l’anacarde située dans la zone industrielle II de Bobo-Dioulasso sur la route de Bama.

« Nous sommes heureux et honorés de vous accueillir à la SN ANATRANS SA, l’usine qui, grâce à vous et à votre vision pour notre pays, est devenue nôtre », déclare la Directrice générale de la SN ANATRANS SA, Adeline Nibenwon SOMDA. En effet, créée en 2008, ANATRANS a traversé des difficultés qui ont abouti à l’arrêt de ses activités et à la mise en chômage technique de ses employés en juillet 2024.

Aujourd’hui, grâce à la vision du développement industriel impulsée par le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, cette « usine appartient à des Burkinabè. Une usine nationale qui s’intègre dans votre vision de voir le Burkina Faso se développer par les efforts et les sacrifices de ses dignes filles et fils », indique la Directrice générale Adeline Nibenwon SOMDA.

Elle explique que l’État à travers le Fonds burkinabè pour le Développement économique et social (FBDES) a contribué à la « renaissance » de la SN ANATRANS en investissant à hauteur de 20% dans le capital de l’unité industrielle.

Avec le retour de SN ANATRANS SA dans l’écosystème des industries de Bobo-Dioulasso, ce sont plus de 1300 emplois, dont 90% détenus par des femmes, qui ont été recréés et plus de 5 000 producteurs qui ont de nouveau accès à un marché privilégié pour leurs noix bio et bio équitables.

Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a encouragé les travailleurs et réaffirmé son engagement pour la promotion d’une industrie de transformation et de valorisation de nos ressources naturelles dans la perspective d’une souveraineté économique de notre pays.

Face aux employés, le Chef de l’État a exprimé sa satisfaction de voir cette unité industrielle à capitaux 100% burkinabè reprendre ses activités. Selon le Président du Faso, les employés de la SN ANATRANS SA sont désormais mieux placés pour expliquer à la jeunesse le sens du combat pour la souveraineté au regard des difficultés rencontrées par leur unité industrielle à la suite du départ de l’ancien partenaire. Une rupture inéluctablement liée à la vision souverainiste de notre pays depuis septembre 2022, date d’arriver au pouvoir du Capitaine Ibrahim TRAORÉ.

Revigorés par cette visite du Chef de l’Etat, les employés de la SN ANATRANS SA ont pris l’engagement de jouer leur partition dans la lutte pour un Burkina meilleur.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Agence d’Information du Burkina 

Burkina : Le ministre en charge de l’Agriculture, le commandant Ismaël Sombié, lance la construction d’une usine de production de médicaments vétérinaires à Samendeni

Burkina : Le ministre en charge de l’Agriculture, le commandant Ismaël Sombié, lance la construction d’une usine de production de médicaments vétérinaires à Samendeni

Bobo-Dioulassa, 23 mai 2025 (AIB) – Le ministre en charge de l’Agriculture et des Ressources animale et halieutiques, le commandant Ismaël Sombié, a posé jeudi à Samendeni, dans la province du Houet, régions des Hauts-Bassins, la première pierre de construction d’une usine de production de médicaments vétérinaires, d’une valeur de 21 milliards FCA, en vue d’assurer l’autonomie du pays dans l’importations desdits produits.

« La réalisation de cette infrastructure va constituer une bouffée d’oxygène pour nos braves et résilients paysans », s’est réjoui le directeur général des ressources vétérinaires au ministère de l’Agriculture et des Ressources animales et halieutiques le capitaine Aboubacar Nacro.

A termes, cette usine permettra de produire 110 000 millions de tonnes de doses de vaccins par an, des antibiotiques, des vitamines de bonne qualité répondant aux standards nationaux et internationaux à des prix abordables, qui seront également utilisés dans les campagnes de vaccination. Il permettra également de limiter la rupture, a ajouté le capitaine Nacro.

De son avis, l’usine permettra au pays d’économiser environ 10 milliards par an, jadis investis dans l’acquisition et l’importation des médicaments vétérinaires.

D’un coût global estimé à 21 milliards FCFA, l’infrastructure permettra de générer 600 emplois directs et indirects. Les premières doses de vaccins sont attendues dans 18 mois.

Bâtie sur une aire de 40 hectares, l’infrastructure sera dotée de laboratoires de production et de contrôle qualité, de chambres froides, d’une animalerie, d’une clinique vétérinaire, d’un dispensaire, d’un système de traitement de déchets et bien d’autres équipements.

La réalisation de la première usine de production de médicaments vétérinaires entre dans le cadre de la mise en œuvre de l’offensive agropastorale et halieutiques 2023-2025, voulue par président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.
Agence d’information du Burkina
DNK

Banwa : Le nouveau Directeur de la communication entend faire de la province une destination artistique et culturelle

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Banwa : Le nouveau Directeur de la communication entend faire de la province une destination artistique et culturelle

Solenzo, 23 mai 2025 (AIB)- Le nouveau Directeur Provincial de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme (DPCCAT) des Banwa, Babou Eugène Ido s’est engagé vendredi à Solenzo, lors de la passation de service, à faire de la province une destination artistique et culturelle.

Le nouveau DPCCAT des Banwa a été installé vendredi 23 mai 2025 par le Secrétaire général de la province, Abdoul Kader Kongzabré en présence d’autres directeurs et chefs de service provinciaux.
Babou Eugène Ido a rassuré aux uns et aux autres de sa disponibilité et de son engagement à poursuivre les actions de son prédécesseur Kouintani Sanou.
« Le tourisme est un secteur clé pour l’économie locale et nous travaillerons à mettre en avant les atouts naturels, historiques et culturels des Banwa » a-t-il indiqué.

Selon ses dires, des partenariats avec les acteurs privés et les différentes communautés seront renforcés pour développer le tourisme afin de faire rayonner la province sur le plan culturel et touristique.

Le Secrétaire général de la province des Banwa a félicité le nouveau DPCCAT et lui a prodigué des conseils pour la réussite de sa mission.

Agence d’information du Burkina
Salifou Ouédraogo

Burkina : Un réseau de journalistes organise une campagne de dépistage de cancers au profit des femmes FDS

Burkina- Rjpc-Dépistage-Cancers-Féminins

Burkina : Un réseau de journalistes organise une campagne de dépistage de cancers au profit des femmes FDS

Ouagadougou, 23 mai (AIB)- Le réseau des journalistes pour la protection civile (RJPC) a organisé du 21 au 23 mai 2025 à Ouagadougou, une campagne de dépistage des cancers féminins au profit des femmes Forces de défense et de sécurité (FDS), a appris vendredi l’AIB.

« Cette initiative vise à témoigner notre reconnaissance aux femmes FDS pour tous les services abattus au quotidien pour le bonheur des citoyens », a déclaré le président du réseau des journalistes pour la protection civile, Achille Rabasboudou Konkobo.

Selon lui, cette campagne est le bienvenu car les femmes FDS sont investies dans la situation sécuritaire au point de s’oublier elles-mêmes.

« Une nation ne peut pas se bâtir sans les femmes, elles sont les porteuses de l’humanité, et leur santé reproductive compte pour la nation », a-t-il souligné.
M. Konkobo a par ailleurs invité toutes les femmes à veiller sur leur santé sexuelle et reproductive.

« Face au cancer, le silence est mortel», a-t-il prévenu.
Le président de réseau des journalistes pour la protection civile, Achille Rabasboudou Konkobo s’exprimait, ce vendredi lors de la clôture de la campagne de dépistage des cancers féminins à l’intention d’une centaine de femmes FDS.
« Le dépistage précoce permet de traiter et guérir de façon définitive les lésions de l’utérus et de détecter des modifications au niveau du sein pour une prise en charge rapide », a rappelé le médecin gynécologue du CHU Yalgado Ouédraogo, Armand Zagré.

Il a salué l’initiative du réseau qui a permis à la clinique mobile de se rapprocher des femmes à travers cette campagne de dépistage des cancers féminins.
Dr. Zagré a également exhorté les femmes à effectuer les différents dépistages précancéreux.

Selon la volontaire adjointe de sécurité, Sidonie Sawadogo, « les dépistages des différents cancers sont très importants. Par cette occasion, nous allons pouvoir faire le point sur notre état de santé pour être plus efficace dans nos différents postes ».
Madame Sawadogo a salué l’initiative du réseau des journalistes pour la protection civile à leur égard.

« J’invite l’ensemble de la gente féminine à se faire dépister car le cancer est une réalité », a-t-elle ajouté

Agence d’information du Burkina

Gourma : Une association compte collecter plus de 30 poches de sang  pour sauver des vies

BURKINA-GOURMA-JUSTICE-DON-SANG

Gourma : Une association compte collecter plus de 30 poches de sang  pour sauver des vies

Fada N’Gourma, 23 mai 2025 (AIB)-L’Association sportive de la justice      (ASJ) de Fada N’Gourma, a organisé, ce vendredi 23 mai 2025 dans la cité de Yendabili, une collecte de sang pour contribuer à sauver des vies.

La collecte de sang organisée par l’Association sportive de la justice (ASJ) de Fada N’Gourma, le vendredi 23 mai 2025, s’inscrit dans ses activités.

Selon le président de l’ASJ de Fada N’Gourma, Wendpagnadé Fabrice Stéphane Yaméogo, sa structure a organisé cette collecte du liquide précieux parce que donner son sang est un geste salvateur, un geste pour sauver des vies au regard du contexte particulier.

Il a poursuivi en précisant qu’en temps normal, le sang est beaucoup sollicité pour sauver des Burkinabés de façon générale et même des expatriés.

M. Yaméogo a fait remarquer que ce contexte d’hydre terrorisme qui inflige des blessures régulières fait accroître de façon exponentielle la demande du sang.

Le président de l’ASJ de Fada N’Gourma, a estimé qu’il est de bon ton que sa structure contribue au don de sang pour encourager les populations, les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), qui font souvent face aux attaques terroristes afin de leur permettre de vivre encore.

Wendpagnadé Fabrice Stéphane Yaméogo, a clamé que donner son sang est un geste d’amour envers autrui qu’ils doivent continuellement répéter parce que ce liquide précieux permet de sauver des vies.

Le procureur général près le tribunal de la Cour d’appel de Fada N’Gourma, Barnabé Compaoré, a salué l’initiative de l’ASJ.

Pour lui, ce don de sang organisé par l’ASJ est la bienvenue.

«Le contexte d’insécurité et la saison des pluies qui s’annoncent accroissent la demande de ce liquide. Donc, collecter le sang à cette période permet de répondre à beaucoup de sollicitudes», a laissé entendre le procureur Compaoré.

Les donneurs de sang ont apprécié cette collecte de sang.

Le greffier Abdou Aziz Ouédraogo, s’est réjouit de cette activité qu’il trouve hautement salutaire au regard des besoins de ce liquide à l’hôpital.

L’assistant de Garde de sécurité pénitentiaire (GSP), Youkalean Éric Balima, a renchéri qu’en donnant son sang à cette période où bientôt le paludisme va sévir, pourrait sauver des vies.

M.Balima, a exhorté les uns et les autres à donner leur sang car beaucoup de gens ont besoin de ce liquide pour vivre en cette période d’insécurité et à celle du paludisme.

Le responsable de l’équipe médicale, Julien Millogo, est satisfait de la bonne organisation de cette séance de collecte.

A l’issue de cette collecte de sang, M. Julien, espère collecter plus de 30 poches de sang.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

 

 

 

Mali/Rencontre ministérielle de l’AES : la Banque confédérale pour l’investissement et le développement (BCID-AES) en marche

#Mali/Rencontre ministérielle de l’AES : la Banque confédérale pour l’investissement et le développement (BCID-AES) en marche

Aussitôt arrivé à Bamako, le Premier ministre du Niger n’a pas perdu de temps. Il s’est rendu, avec son homologue, le Général de Division Abdoulaye Maïga, à la Rencontre ministérielle de la Confédération des États du Sahel pour le compte du pilier « Développement », tenue ce vendredi 23 mai 2025 au CICB.

Cette cérémonie, qui marque une avancée manifeste dans le processus de mise en œuvre des actions prioritaires, repose sur les piliers fondamentaux suivants : la sécurité collective, l’intégration économique, la souveraineté financière et l’identité culturelle et éducative.

La rencontre ministérielle est essentielle pour assurer le financement des infrastructures communes des États confédérés et le développement durable de la Confédération.

La création de la Banque confédérale pour l’investissement et le développement (BCID-AES) constitue un pas décisif vers une intégration économique plus renforcée et plus dynamique de notre région.

Le ministre de l’Économie et des Finances du Burkina Faso, Dr Aboubakar Nacanabo, Chef de la délégation du Burkina Faso, s’est réjoui de la tenue de ce cadre de travail qui permettra de positionner le Sahel comme un acteur majeur dans le concert des nations africaines et mondiales.

Le Premier ministre du Niger, Ali Mahaman Lamine Zeine, a, dans la même veine, invité les acteurs à s’engager davantage dans la consécration de ce choix commun de nos trois pays.

Pour le Premier ministre, le Général de Division Abdoulaye Maïga, il s’agit « d’une nouvelle page de notre histoire partagée que nos enfants liront avec fierté, qui marque non seulement la volonté de souveraineté retrouvée, mais aussi l’audace d’un avenir repensé et remodelé par le Collège des Chefs d’État de la Confédération des États de l’AES ».

Des propos forts qui reflètent à suffisance la vision des pères fondateurs de l’AES : le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, Chef de l’État du Burkina Faso, le Général d’Armée Assimi Goïta, Président de la Transition, Chef de l’État de la République du Mali, Président en exercice de la Confédération des États du Sahel et le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République du Niger, Chef de l’État.

Le Chef du gouvernement a ajouté que l’intégration africaine permettra de dynamiser notre marché, riche de 78 millions de consommateurs, de renforcer nos tissus industriels et de créer des millions d’emplois pour les jeunes.

Il a conclu sur une note d’espoir : « La création de l’Alliance des États du Sahel, le 16 septembre 2023, sonne et sonnera comme un coup d’accélérateur dans le cœur de tous les Panafricains ».

CCRP/Primature Mali

Agence d’Information du Burkina

𝐒𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 : 𝐥’𝐎𝐍𝐔 𝐫éa𝐟𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨

𝐒𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 : 𝐥’𝐎𝐍𝐔 𝐫éa𝐟𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé une audience au Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies et Chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Leonardo Santos Simão, ce vendredi 23 mai 2025, à Ouagadougou. Cette rencontre a permis à l’émissaire des Nations Unies de s’imprégner de la situation que connait le Burkina Faso.

Du 21 au 24 mai 2025, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Leonardo Santos Simão, est en visite officielle au Burkina Faso.

« Je suis venu me renseigner sur l’évolution de la situation et voir aussi dans quelle mesure les Nations Unies peuvent soutenir les efforts pour améliorer les conditions de vie des populations », a-t-il déclaré, à l’issue de cette audience.

À la faveur de cette audience, le Premier ministre a exposé au Représentant spécial de Antonio Guterres la situation politique, économique, sociale et sécuritaire que connait le pays, mais aussi la vision des autorités burkinabè. « Nous souhaitons que les Nations Unies portent le message des nations en lutte pour leur souveraineté. L’ONU ne doit plus rester silencieuse face au parrainage du terrorisme dans le Sahel par certains pays dits puissants. C’est ce courage que nous attendons de l’ONU », a déclaré le Chef du Gouvernement, avant de réitérer la position du Burkina Faso face à certaines expressions usitées par des structures internationales en ce qui concerne la situation sécuritaire. « Un terroriste est un terroriste. Il est inconcevable d’user de termes qui puissent légitimer l’action du terroriste », a-t-il affirmé.

« Il y a des efforts au plan économique, au niveau de l’agriculture et dans d’autres secteurs pour améliorer la vie de populations, mais surtout le retour des populations déplacées par le fait du terrorisme. Sur le plan sécuritaire, nous constatons un terrorisme qui est de plus en plus sophistiqué, qui utilise des moyens sophistiqués et qui utilise même des enfants. Il y a donc cette préoccupation de l’évolution du terrorisme qui affecte la vie du pays. Il est nécessaire de continuer à mobiliser les efforts dans la lutte contre le terrorisme », a reconnu Leonardo Santos Simão.

Prenant en compte ce diagnostic, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel a exprimé la disponibilité des Nations Unies à poursuivre la mobilisation des efforts pour soutenir le Burkina Faso.

« J’ai pu recueillir des éléments que je compte utiliser dans des rapports sur la situation au Burkina Faso. Nous comptons partager ces éléments avec le Système des Nations Unies et nous comptons continuer le plaidoyer pour mobiliser et augmenter le soutien au pays, dès que possible », a confié l’envoyé des Nations Unies.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

Agence d’Information du Burkina

Burkina : Le district sanitaire de Baskuy veut collecter une centaine de poches de sang au profit des combattants

BURKINA-SANTE-DISTRICT-BASKUY-DON-SANG

Burkina : Le district sanitaire de Baskuy veut collecter une centaine de poches de sang au profit des combattants

Ouagadougou, 23 mai 2025 (AIB)- Le district sanitaire de Baskuy (arrondissement 1) a initié vendredi, une  collecte de 100 poches de sang pour soutenir les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour  la défense de la patrie (VDP) engagés dans la reconquête du territorial.

« Le sang est un produit  vital pour l’être humain. Nous pouvons être  dans le besoin un  jour et c’est pour cela que notre district sanitaire a décidé de collecter des poches de sang au profit des forces combattantes et des malades hospitalisés dans le besoin », a confié le Médecin chef du district sanitaire (MCD) de Baskuy, Dr Ursule Bambara.

 Selon le MCD, cette initiative s’inscrit à la fois dans le cadre des journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne et de la première édition des journées d’excellence organisée par le district.

Dr Bambara a  précisé qu’une centaine de poches de sang sera collectée pour soutenir les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour  la défense de la patrie (VDP) engagés dans les actions de reconquête du territoire  ainsi que les malades hospitalisés qui sont dans le besoin.

 Elle a  par ailleurs signalé que l’opération  a été possible avec le soutien des tous agents du district sanitaire, la population riveraine,  les agents de santé à base communautaire (ASBC) et les autorités religieuses et coutumières.

La première  responsable de la structure sanitaire a aussi fait remarquer que cette journée est suivie d’une campagne de dépistage  des lésions précancéreuses dans l’ensemble des formations sanitaires du district de Baskuy.

A ses dires, l’initiative du dépistage du cancer du col de l’utérus  consiste à prévenir et détecter tôt chez les femmes et les jeunes filles pour leur mieux-être sanitaire.

«Aujourd’hui, aucune femme ne doit mourir du cancer du col de l’utérus et nous avons profité de l’occasion pour sensibiliser les femmes et les inviter à se  faire dépister massivement », a-t-elle affirmé.

L’agent collecteur de sang au Centre national de transfusion sanguine (CNTS), Alidou Ouédraogo, s’est réjoui de l’engouement  de la population autour de l’opération du don de sang.

M. Ouédraogo par ailleurs ingénieurs en sciences infirmières et obstétricales a apprécié l’initiative du district sanitaire de Baskuy qui permet de sauver des vies.

Il  a aussi exhorté tous les autres districts sanitaires à emboiter les pas de celui de Baskuy pour organiser des journées de collete de sang à l’endroit des populations.

L’un des donneurs de sang, Eugène Ouédraogo, dit être venu au CMU de Gounghin offrir un peu de sang aux malades.

« Je suis très fier de cette opération du don de sang du district sanitaire de Baskuy qui va soulager plus  les FDS et les VDP », a confié M. Ouédraogo, un agent de santé à base communauté.

Hier jeudi, le district sanitaire de Baskuy a effectué une visite d’immersion à la grande chancellerie pour s’imprégner de son fonctionnement et de  ses différentes missions.

Agence d’information du Burkina

NO/YOS/ATA

 

 

𝗥é𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗣𝗼𝗽𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲 : 𝘂𝗻 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗣𝗮𝗻𝗲𝗹 𝗦𝗼𝘂𝘀-𝗿é𝗴𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗥ô𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗻𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 élè𝘃𝗲𝘀 𝗲𝘁 é𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗪𝗮𝘆𝗶𝘆𝗮𝗻𝘀

𝗥é𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗣𝗼𝗽𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲 : 𝘂𝗻 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗣𝗮𝗻𝗲𝗹 𝗦𝗼𝘂𝘀-𝗿é𝗴𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗥ô𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗻𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 élè𝘃𝗲𝘀 𝗲𝘁 é𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗪𝗮𝘆𝗶𝘆𝗮𝗻𝘀

Le Ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, Monsieur Anûuyirtole Roland SOMDA, a présidé, ce jeudi 22 mai 2025, dans la salle de conférences de Ouaga 2000, un Grand Panel Sous-régional placé sous le thème : « Révolution Progressiste Populaire : Rôle et Contribution des Élèves et Étudiants Wayiyans ». Aux côtés de ses homologues du Mali et du Niger, Messieurs Abdoul Kassim FOMBA et Sidi MOHAMED, le Ministre SOMDA a salué cette initiative ambitieuse, portée par le Mouvement Jeunesse Réveille-toi, qui compte aujourd’hui plus de 50 000 membres.

La rencontre a rassemblé des centaines de jeunes issus des trois pays, tous animés par la ferme volonté de jouer un rôle déterminant dans la construction d’un avenir souverain et responsable. Dans une déclaration marquante, Monsieur Raphaël YONLI, Président du mouvement, a réaffirmé l’engagement indéfectible de la jeunesse à défendre les idéaux portés par l’Alliance des États du Sahel (AES). Il a lancé cet appel sans équivoque : « Si quelqu’un veut s’en prendre aux camarades dirigeants de l’AES, il devra passer sur nos corps. ». Un cri de fidélité, de conviction et de patriotisme, qui incarne l’élan d’une jeunesse résolument engagée à construire, protéger et faire rayonner les valeurs de souveraineté, de discipline et de citoyenneté.

Ce panel a été l’occasion de fructueux échanges entre jeunes leaders, autorités publiques et experts venus du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Il a mis en exergue les réformes engagées dans chacun de ces pays pour faire de la jeunesse un pilier incontournable du développement. Une jeunesse consciente de ses responsabilités, riche de convictions, porteuse d’idées novatrices et résolument tournée vers l’avenir.

DCRP MSJE

Kourittenga/Coupe de la fraternité : Le lycée privé Philadelphie remporte le trophée

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Kourittenga/Coupe de la fraternité : Le lycée privé Philadelphie remporte le trophée

Koupéla, 22 mai 2025 (AIB)- La finale de la 4e édition de la coupe de la fraternité, organisée par la direction provinciale en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga, s’est jouée, le jeudi 22 mai 2025 à Pouytenga. Le lycée privé Philadelphie de Koupéla a remporté le trophée face au lycée ‘’Le citoyen’’ de Gounghin, par le score de 4 buts à 2

31 établissements ont pris part à la compétition de la coupe de la fraternité pour cette 4e édition, sous le thème : «Sport et assainissement du milieu scolaire pour une éducation de qualité ».

La finale de cette compétition, tenue le jeudi 22 mai 2025, a opposé l’équipe du lycée privé Philadelphie de Koupéla qui a remporté la victoire à celle du lycée ‘’Le citoyen’’ de Gounghin, par 4 buts à 2 à l’issue des tirs aux buts.

L’équipe victorieuse est repartie avec le trophée, un jeu de maillot, un ballon, une enveloppe financière et des prix spéciaux.

« C’est la première fois que nous remportons la coupe de cette compétition de la coupe de la fraternité», a déclaré le coach de l’équipe gagnante, Georges Yameogo.

Le directeur provincial en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga, Dieudonné Belemssigri, a indiqué que l’initiative est d’unir la jeunesse et de promouvoir la cohésion sociale, le vivre- ensemble.

« Le cadre se veut d’interpeller tous les acteurs et partenaires du système éducatif, quant à la nécessité de la culture des valeurs patriotiques et citoyennes au profit de la jeunesse», a souligné la marraine de cette 4e édition de la coupe de la fraternité, Valérie Kaboré, ancienne ministre en charge de la Culture.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

Ziro: 35 enfants outillés sur les violences basées sur le genre 

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Ziro: 35 enfants outillés sur les violences basées sur le genre 

Sapouy, 20 mai 2025 (AIB)- 35 élèves de la commune de Sapouy ont bénéficié d’une formation sur les violences basées sur le genre. Tenue du 19 au 20 mai 2025 à Sapouy, cette formation est organisée par le Réseau pour la protection de l’enfant et la Direction provinciale de l’Action humanitaire du Ziro en partenariat avec Plan International Burkina.

Cette session avait pour but d’outiller les enfants et les jeunes sur leurs droits, les moyens de protection et les mécanismes de dénonciation, dans un contexte sécuritaire et humanitaire de plus en plus préoccupant.

Au cours de cette séance de formation, une attention particulière a été portée à la participation des filles, cibles principales de ces pratiques néfastes.

« Je ne savais pas que le mariage d’une fille de 14 ans pouvait être dénoncé comme une violence. Aujourd’hui, je me sens plus informée et plus forte pour dire non », a confié Abzétou, élève en classe de seconde A.

Le Directeur provincial de l’Action humanitaire et de la Solidarité nationale du Ziro, Jean Séverin Bakala a souhaité que ce type d’initiative soit multiplié au profit des enfants afin qu’ils soient protégé et informé de leurs droits.

Les participants ont également été sensibilisés sur l’importance de devenir des agents de changement, capables d’influencer positivement leurs communautés sur la question du respect des droits des enfants et de l’égalité des sexes.

A l’issue de la formation, les élèves ont pris l’engagement de défendre et de dénoncer tout cas de violation de leurs droits.

Parmi les 35 enfants formés, 9 ont été parrainés par Plan international Burkina.

Agence d’information de Burkina AIB

AK

Finale OSCEP: victoire aux tirs au but de l’Ecole Sebba ‘’A’’ devant Sebba ‘’B’’ (4-3)

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Finale OSCEP: victoire aux tirs au but de l’Ecole Sebba ‘’A’’ devant Sebba ‘’B’’ (4-3)

Sebba, 22 mai 2025 (AIB)-L’équipe de l’Ecole primaire Sebba A a battu aux tirs au but (4-3) le mercredi 21 mai dans ladite localité, celle de l’Ecole Sebba B, lors de la finale de l’Organisation du sport et de la culture à l’école primaire (OSCEP), après un match équilibré dans le temps réglementaire (0-0), a constaté l’AIB.

La ville de Sebba a été animée ce 21 mai 2025 par les activités culturelles et sportives de la Circonscription d’éducation de base de Sebba. La finale en football a opposé l’équipe de Sebba ‘’A’’ à celle de Sebba ‘’B’’.

Cette finale a mobilisé beaucoup de monde. Les élèves, les enseignants, les parents d’élèves et les autorités administratives et communales ont marqué leur présence à la fête. Au coup d’envoi, chaque équipe a montré sa volonté de remporter la coupe, sous les encouragements du public sorti nombreux. Les deux équipes se sont séparées dos à dos à la pause (0-0).

A la reprise, les deux équipes sont revenues avec les mêmes intentions, les joueurs ayant donné le meilleur d’eux-mêmes, sans changer le score. C’est aux épreuves fatidiques des tirs au but que Sebba ‘’A’’ s’est montrée plus adroite en marquant 4 buts contre 3.

Les quatre équipes finalistes ont été primées. Les autres participantes ont reçu des primes d’encouragement.
Avant le début du match, l’inspecteur chef de la circonscription d’éducation de base de Sebba Bali Bako a remercié les organisateurs pour la bonne organisation et les invités pour leur présence à ce rendez-vous. Il a demandé aux parents d’accompagner les activités sportives et culturelles à l’école primaire car le bonheur des enfants, c’est aussi le leur.

Le chef de la circonscription a enfin témoigné sa reconnaissance envers le parrain pour tout ce qu’il a fait. Il s’agit de BoureimaCissé Bary (inspecteur de police en service à Ouagadougou), représenté.
La représente du parrain, madame Samboal Hindatou a transmis toute la reconnaissance de celui-ci pour le choix porté sur sa modeste personne pour accompagner les enfants de la commune de Sebba. « Il est, et restera disponible pour les éditions à venir », rassure-t-elle. Elle a également remercié les premiers responsables de l’éducation, les FDS et les VDP de Sebba pour tout le soutien et tous ceux qui ont œuvré pour la réussite cette édition sportive.

Agence d’information du Burkina
mam/as/ata

Kourittenga : Le Haut-commissaire du Kourittenga lance les épreuves sportives du Baccalauréat session 2025

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Kourittenga : Le Haut-commissaire du Kourittenga lance les épreuves sportives du Baccalauréat session 2025

Koupéla, 22 mai 2025 (AIB)- Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a lancé, le jeudi 22 mai 2025 au lycée de Liguidi-malguem, dans la commune de Koupéla, les épreuves sportives du baccalauréat session 2025.

Ce lancement officiel, le jeudi 22 mai 2025 au lycée de Liguidi-malguem, des épreuves sportives du baccalauréat, marque le début effectif des hostilités pour les futurs bacheliers.

La province du Kourittenga totalise pour la session 2025, 2 466 candidats dont 1 386 filles et 1 080 garçons.

Le directeur provincial en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga, Dieudonné Belemsigri, a rappelé aux candidats l’importance de l’épreuve physique et sportive dans le cursus académique en tant que discipline à part entière.

« Je salue l’engagement du corps enseignant pour les efforts consenti dans l’encadrement pédagogique et sportif des candidats. Je formule mes vœux de bon déroulement des épreuves », a-t-il laissé entendre.

Dieudonné Belemsigri, a exhorté les membres du jury mobilisés pour la supervision des épreuves à l’équité, à la transparence et au professionnalisme.

Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a encouragé les candidats tout en les invitant à donner le meilleur d’eux-mêmes et ce, dans un esprit de discipline.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

Kourittenga : L’élan de la révolution dans l’espace AES expliqué lors d’une conférence

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Kourittenga : L’élan de la révolution dans l’espace AES expliqué lors d’une conférence

Koupéla, 23 mai 2025 (AIB)- Le président de la commission nationale des confédérations des Etats du Sahel, Bassolma Bazié, a animé, le jeudi 22 mai 2025 à Koupéla, une conférence sur l’élan de la révolution dans l’espace AES, sous le thème : « L’élan révolutionnaire dans l’espace AES pour la souveraineté et le progrès social véritable : état des lieux, défis et perspectives».

La conférence sur l’élan de la révolution dans l’espace AES animée, le jeudi 22 mai 2025 à Koupéla, par le président de la commission nationale des confédérations des Etats du Sahel, Bassolma Bazié, est une initiative de la direction provinciale en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga.

Corps constitués, éducateurs, élèves, citoyens engagés, tous ont salué l’initiative, qui place la jeunesse au cœur de la réflexion sur l’avenir des Etats du Sahel.

« De telle initiative vise à sensibiliser la jeunesse sur les enjeux actuels de souveraineté et de transformation socio-politique dans l’espace de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), tout en mettant en lumière le rôle central de l’éducation », a indiqué le directeur provincial en charge de l’Enseignement secondaire du Kourittenga, Dieudonné Belemsigri.

Il a laissé entendre que nous vivons dans un contexte où la jeunesse a besoin d’une formation idéologique sur la vision de l’AES.

« C’est de permettre à la jeunesse de comprendre son rôle et sa responsabilité dans la lutte pour l’émancipation de notre pays, ainsi que de tous les États membres de l’AES », a dit M. Belemsigri.

Le Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo, a salué la pertinence du thème.

Il a également précisé que l’élan révolutionnaire déclenché dans les pays de l’AES est un mouvement porteur d’espoir pour la souveraineté et le véritable progrès social, qui doit être soutenu avec beaucoup d’intérêt.

Agence d’information du Burkina

AWS/hb/yo

 

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