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Burkina : Le ministère du commerce accuse un syndicat de «dénigrement»

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Burkina : Le ministère du Commerce accuse un syndicat de «dénigrement»

Ouagadougou, 21 juillet 2021(AIB)-Le ministère en charge du Commerce a accusé mardi le SYNAMICA « de dénigrement», après que le syndicat ait reproché au ministre Harouna Kaboré, une gestion teintée de gabegie et de clientélisme.

 «La préoccupation essentielle des responsables de ce syndicat est le  dénigrement et non l’amélioration des conditions de vie des travailleurs. Ces responsables du SYNAMICA sèment le doute dans les esprits » a déclaré le ministère en charge du Commerce dans un communiqué.

En rappel, ce communiqué ministériel est la réponse à la sortie médiatique du syndicat national du ministère de l’industrie, du commerce et l’artisanat(SYNAMICA), lundi 19 juillet 2021.

Le syndicat a qualifié la gouvernance du ministre Harouna Kaboré du «clientélisme», du «populisme», de la «gabegie» et «d’arrogance».

Pour le ministère, se cacher derrière un syndicat ne fait pas de quelqu’un, un bon citoyen ayant le monopole de l’honnêteté pour distribuer des bons et des mauvais points.

 

La note s’est tâchée à apporter plus de précisions sur les reformes entrant dans le domaine de l’industrie, du commerce et de l’artisanat pour la bonne marche de ce secteur.

« Dans le domaine de l’industrie,  précisément en avril 2019, une stratégie nationale d’industrialisation, a été élaborée et a pour objectif la création et le développement d’une masse critique d’industries compétitives, créatrices de valeur ajoutée et d’emplois décents», lit-on.

Ce document visait la transformation des matières premières et a été le fil conducteur des réformes et des mesures innovantes mises en œuvre pour remettre sur les rails plusieurs entreprises en proie à des phénomènes comme la fraude, la contrefaçon et la concurrence déloyale, relate le communiqué.

«La base des diagnostics réalisés,  ont apportés des solutions aux problèmes qui minaient le développement de la SN CITEC, de la SN SOSUCO et de la SAP OLYMPIC », poursuit-il.

Selon la même source, le domaine de l’artisanat a connu de grands projets dont le plus grand est le projet d’appui au renforcement des Capacités entrepreneuriales des Jeunes et des Femmes dans le domaine du textile (CNATAC).

« Avec une enveloppe de plus de trois milliards de francs FCFA, ce projet a permis la réalisation du processus de labellisation du Faso Dan Fani ».

La direction de la communication a aussi évoqué le cas de  la « gestion chaotique du carburant » dont parle le syndicat.

«Les responsables du SYNAMICA taisent volontairement les efforts énormes consentis par le ministère dans ce domaine » a déplore-t-elle.

Le ministère s’est  demandé si l’objectif recherché par les responsables du SYNAMICA, est vraiment l’amélioration des conditions de vie et de travail des travailleurs.

Il estime que la conférence de presse organisée a  révélé des contradictions fondamentales avec les missions  connues des syndicats.

Selon le département, il y a des infiltrés dans les rangs des valeureux syndicalistes.

«Les syndicats burkinabè ont joué (et continuent de le faire) un rôle historique dans la construction de la démocratie et le  renforcement des libertés au Burkina Faso », peut-on lire.

Agence d’information du Burkina

oa/wis/ata/ak

 

Koulpelogo : Les mécanismes endogènes de gestion des conflits préconisés pour une paix véritable

Koulpelogo : Les mécanismes endogènes de gestion des conflits préconisés pour une paix véritable

Ouargaye(AIB)-La journée communale de concertation sur le processus du dialogue national a eu lieu le lundi 19 juillet 2021 dans la salle de réunion de la mairie de Ouargaye. 

En la faveur du dialogue politique national initié par le gouvernement du Burkina Faso, des concertations sont organisées dans les différentes communes du pays.

La commune de Ouargaye a eu sa rencontre le 19 juillet 2021.

Cette rencontre présidée par le préfet du département de Ouargaye  Fidèle Beda,

le préfet du département de Ouargaye  Fidèle Beda,

a été une occasion pour le point focal du processus du dialogue politique de la commune de Ouargaye Ambroise Zombré  de faire la synthèse d’une enquête menée.

Cette enquête débutée depuis le 1er juin,  prend en compte les différents conflits qui existent dans la commune  et les mécanismes endogènes de gestion.

Ambroise ZOMBRE point focal du processus de la réconciliation nationale de Ouargaye.

Des apports et contributions pour enrichir le document ont été apportés par les acteurs notamment les autorités coutumières et religieuses avec à sa tête Sa Majesté Naaba Sanem Dima de Ouargaye, et bien d’autres personnes ressources issus du conseil municipal et des associations.

Le préfet a expliqué les mécanismes préconisés par l’Etat avant d’inviter tous les acteurs à une franche participation.

Pour sa majesté, il faut valoriser la tradition et ses mécanismes androgènes de gestion de conflits pour arriver à une paix véritable.

Naaba Sanem Dima de Ouargaye.

Cette journée de concertation a été supervisée par le Haut-commissaire Dramane Traoré, représentant le gouverneur de la région du Centre-Est Antoine Ouédraogo.

Agence d’information du Burkina

Boureima PAFADNAM

AIB-Koulpelogo.

Burkina : Le CES fait  des recommandations pour la gestion vertueuse du foncier

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Burkina : Le CES fait  des recommandations pour la gestion vertueuse du foncier

Ouagadougou, 19 juil. 2021 (AIB) –  A l’issue de la sa première session ordinaire de l’année 2021, le Conseil économique et social (CES)  a formulé lundi, des recommandations pour une gestion vertueuse du secteur foncier au Burkina Faso.

« La gestion du foncier est un thème d’actualité et interpellateur qui vous a amenés à vous investir avec dynamisme et ardeur  soutenus afin de formuler des recommandations  pertinentes qui permettront une gouvernance  vertueuse dans le secteurs ».

C’est ainsi que s’est exprimée, la vice-présidente du Conseil économique et social (CES), Fatimata Legma, lors de la lecture du discours de clôture de la première session ordinaire  de l’année en cours  du président de son  institution le lundi  19 juillet 2021 à Ouagadougou.

A l’occasion  le CES demande à  de l’Etat de faire   la relecture de la loi n°057 -2008/AN du 30 novembre 2008 portant  promotion immobilière, d’interdire la promotion immobilière ».

Ainsi, dans cette relecture, il souhaite   entre autre « l’interdiction de la promotion immobilière », « la révision des  conditions d’obtention de l’agrément  en augmentant substantiellement le montant du compte séquestre à au moins 200 millions de francs CFA »…

A l’endroit des collectivités territoriales, les conseillers  du CES veulent « la mise  en place  d’un système de communication et d’information sur le foncier dans les communes» et le respect des dispositions des textes relatifs aux actes de cession des terres ».

Auprès des autorités coutumières et religieuses, le CES suggère « leur contribution à la prévention et la gestion des conflits liés au foncier ». Quant  au niveau des   populations, il est envisagé  « la mise en place  des cellules citoyennes de sensibilisation sur les enjeux  socio-culturels, économiques et financiers de la terre ».

Agence d’information du Burkina

EY/ata/ata

Photo archives Lefaso.net

Les Forces armées du Sahel continuent de monter en puissance, Officier français

Burkina-France-Coopération-Sécuritaire

Les Forces armées du Sahel continuent de monter en puissance, Officier français

Ouagadougou, 21 juillet 2021(AIB)-Le commandant sortant de la force anti-terroriste (Barkhane), le général français Marc Conruyt, a déclaré mercredi, que les Forces armées du Sahel montent en puissance et sont capables de porter des coups aux forces armées terroristes.

«Je considère que les Forces armées du Sahel continuent de monter en gamme», a indiqué le commandant sortant de la force anti-terroriste (Barkhane), le général français Marc Conruyt.

L’officier s’exprimait mercredi, à l’issue d’une rencontre d’au-revoir avec le président du Faso Roch Kaboré.

«Aujourd’hui les Forces armées sahéliennes sont tout à fait capable de s’opposer, de porter des coups aux forces armées terroristes et le successeur de Barkhane va continuer dans ce sens à accompagner les forces armées sahéliennes dans cette perspective», a-t-il ajouté.

Le président français Emmanuel Macron a annoncé en début juin, la  transformation de l’opération Barkhane qui mobilise depuis 2013, plus de 5000 soldats français aux côtés des armées africaines contre le terrorisme dans le Sahel.

M. Macron envisage la création d’une alliance internationale contre le terrorisme, devant regrouper des Forces spéciales françaises, sahéliennes et des partenaires.

«J’ai été le témoin d’expériences qui montraient comment l’intégration entre force Barkhane et forces africaines était forte et a permis de produire des résultats très importants», a affirmé  le général Marc Conruyt.

En rappel, l’officier a pris fonction le 27 juillet 2020 et achève sa mission le 28 juillet 2021. Son successeur est le général français Laurent Michon.

Agence d’Information du Burkina

KAR-MAK/ATA/AK

Photo : présidence du Faso.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vacances en Foot à Yako : La 16ème édition officiellement lancée

16 équipes vont se battre pour le trophée de cette édition de 2021.

Vacances en Foot à Yako : La 16ème édition officiellement lancée

Yako, (AIB)-Le tournoi maracana « Vacances en foot » a été officiellement lancé ce samedi 17 juillet 2021 sur le terrain du Naba-Djiguèmdé de Yako. Le match de gala donnant le top de départ de la 16ème édition s’est joué entre les anciens de l’US Passoré et les FDS de la localité.

 Les promoteurs du tournoi Vacances en foot que sont Abdoulaye Dianda, ses collaborateurs, amis et partenaires ont lancé dans la soirée du samedi 17 juillet 2021 la 16e édition de l’évènement qui rassemble au-delà des frontières du Passoré.

En levé de rideaux, ce sont les anciens de l’US Passoré qui ont croisé les crampons avec les Forces de défense et de sécurité( FDS) de la localité, en 2X20 minutes.

Dès la première partie du temps réglementaire, c’est l’équipe des anciennes gloires de l’US Passoré qui s’est montrée plus perspicace en inscrivant un but.

L’équipe des FDS devenue plus offensive, a égalisé quatre minutes plus tard.

Le score sera maintenu ce jusqu’à la fin de la deuxième partie du jeu. De quoi contenter déjà le président du comité d’organisation de l’évènement, Abdoulaye Dianda, par ailleurs DCPM du ministère en charge de l’habitat et des villes.

Abdoulaye Dianda : « Nous croyons que cette année encore, nous allons réussir le pari, rehausser les prix et mobiliser encore plus de matériels sportifs. »

Pour lui, cette 16ème édition se veut  une édition de la maturité, au-delà de la détermination et de la conviction de l’ensemble des initiateurs dont lui, qui se sont convaincu que le développement de la commune de Yako passe véritablement par sa jeunesse.

« Au début, c’était simplement une initiative sportive. Et aujourd’hui, Vacances en foot, c’est véritablement une plateforme citoyenne, c’est d’abord rassembler cette jeunesse autour du ballon rond. » a ajouté Abdoulaye Dianda.

L’une des particularités de Vacances en foot, c’est entre autres la participation des FDS.

Toute chose qui est  selon lui, une opportunité pour le comité d’organisation de passer des messages de mobilisation nationale, comme l’appelle le président du Faso face aux défis sécuritaires auxquels le Burkina Faso fait face.

«Nous avons demandé un match de gala entre les anciens de l’US Passoré et les FDS pour signifier l’impérieuse nécessité d’une franche collaboration entre celles-ci et les populations. » a-t-il indiqué.

Saisissant de l’occasion, le président du comité d’organisation a invité les fils et filles ainsi que l’ensemble des travailleurs et habitants de Yako et du Passoré à se mobiliser davantage afin de  poursuivre le combat de patriotisme, de civisme et d’intégrité pouvant faire  d’eux, de véritables Burkinabé.

Des partenaires, amis et collaborateurs présents se sont donné rendez-vous à la finale pour soutenir encore les promoteurs.

 

S’agissant de la mobilisation, M. Dianda s’est dit entièrement rassurer que la présente édition présagerait un grand succès, au regard de la forte présence des différents chefs de services de la commune, des jeunes ainsi que des habitants de Yako.

En attendant, la finale de ce 16ème rendez-vous, ce sont au total 16 équipes qui vont être engagées dans la compétition pour la conquête le trophée de cette édition de 2021.

Agence d’information du Burkina

Zézouma Elie SANOU

(AIB-Passoré)

 

Burkina : Le député Mélanchon appelle à lutter contre le financement du terrorisme  

 Burkina : Le député Mélanchon appelle à lutter contre le financement du terrorisme

 Ouagadougou, 19 juillet 2021 (AIB)- Le député français  Jean-Luc Mélenchon a déclaré lundi, que pour mener une action efficace contre le terrorisme, il faudrait savoir d’où provient le financement de ce fléau qui frappe violement le Burkina Faso depuis six ans.

 «J’étais septique sur le caractère religieux des combattants qui pays par pays essayent d’effondrer les structures institutionnelles du Burkina Faso et c’est pourquoi je continus à m’inquiéter avant tout de savoir qui les finance», a indiqué le leader de ‘’La France Insoumise (LFI)’’ Jean-Luc Mélenchon, lundi à Ouagadougou après un entretien avec le président du Faso Roch Kaboré.

Le Burkina Faso essuie depuis 2015, dans plusieurs de ses localités, des attaques terroristes ayant causé la perte de plusieurs centaines de personnes, de nombreux blessés, le déplacement de près de 1, 3 millions d’habitants et la fermeture de milliers d’écoles et de centre de santé.

«Comment on peut se trouver dans une situation où des gens surgissent de nulle part et arrivent, ne manquant jamais de munitions, équipés avec des matériels parfois forts sophistiqués ? La réponse à la  question du financement et des liens internationaux de ces bandes armées permettra de mener  des actions efficaces contre  ces groupes armées», a  ajouté Jean-Luc Mélenchon.

 

M. Mélanchon qui séjourne au Burkina Faso pour quatre jours, a promis de bâtir une «France fraternelle» avec le continent africain, s’il est élu en avril 2022.

Il a précisé qu’il faudrait que la France arrive avec les peuples et les nations d’Afrique, à tourner une bonne fois la page des méthodes et des pratiques dont les plus condamnables sont l’impérialisme, le colonialisme et le paternalisme.

«Nous avons aussi parlé de changement climatique qui est des plus inquiétant car, la plupart de ces conséquences sont pour nous radicalement des phénomènes (crise de sécheresse et désertification) nouveaux», a-t-il affirmé.

Son pays étant en train de se tropicaliser, le député de la France insoumise a ainsi émis le souhait d’apprendre du Burkina Faso qui a longtemps traité de ces questions climatiques.

M. Mélanchon a aussi abordé la question de la Covid avec le chef de l’Etat burkinabè.

Agence d’information du Burkina

mss/ata

 

LE MONDE EN BREF DU MERCREDI 21 JUILLET 2021

LE MONDE EN BREF DU MERCREDI 21 JUILLET 2021

 

PARIS – Le président français Emmanuel Macron et le roi du Maroc Mohammed VI figurent sur la liste des cibles potentielles du logiciel Pegasus, ont révélé mardi des médias membres du consortium qui a révélé ce scandale d’espionnage de journalistes, militants ou personnalités politiques.

 

PEKIN – L’armée chinoise a mis en garde mardi contre le risque imminent de rupture d’un barrage dans le centre du pays, soumis à des pluies diluviennes qui ont fait au moins 15 morts, dont 12 dans un métro inondé à Zhengzhou.

 

BAMAKO – Le président de transition au Mali, le colonel Assimi Goïta, s’est déclaré mardi indemne après avoir été visé par une tentative d’assassinat à l’arme blanche durant la prière musulmane de l’Aïd al-Adha, à la Grande mosquée de Bamako, un acte « choquant » condamné par Paris.

 

VERVIERS (Belgique) – La Belgique et son roi ému aux larmes se sont recueillis mardi en hommage aux victimes des inondations dramatiques des 14 et 15 juillet, dont le bilan humain a atteint les 200 morts, en grande majorité recensés en Allemagne où la chancelière Angela Merkel a déploré un désastre « inimaginable ».

 

WASHINGTON – L’homme le plus riche de la planète, l’Américain Jeff Bezos, a enfin réalisé mardi son rêve d’espace à bord du premier vol habité de son entreprise Blue Origin, se disant « abasourdi » et « stupéfait » par la beauté de la Terre après ce voyage qui marque une nouvelle étape pour l’industrie du tourisme spatial.

 

KABOUL – Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué mardi le tir de trois roquettes qui ont atterri près du palais présidentiel à Kaboul, où de nombreux responsables étaient réunis autour du président Ashraf Ghani à l’occasion de l’Aïd el Adha, la fête musulmane du Sacrifice.

 

MONTREAL (Canada) – La province de l’ouest du Canada a décrété l’état d’urgence mardi en raison de la progression des incendies qui devraient encore prendre de l’ampleur dans les jours à venir à cause de la chaleur et des vents.

 

– New York et plusieurs régions de l’est des Etats-Unis et du Canada ont été mardi couvertes d’un voile gris au goût de fumée, causé par des incendies dans l’ouest des Etats-Unis et au Canada.

 

BRUXELLES – Indépendance des juges, liberté de la presse, lutte anticorruption: Budapest et Varsovie sont pointés du doigt mardi dans le rapport annuel de l’UE sur l’Etat de droit, appelé à devenir un outil clé pour évaluer le bon usage des fonds européens.

 

NICOSIE – Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a réaffirmé mardi lors d’une visite à Chypre-Nord son attachement à une solution à deux Etats et annoncé la poursuite de la réouverture de Varosha, ville fantôme symbole de la division de l’île méditerranéenne.

 

– L’Union européenne a rejeté comme « inacceptable » ce projet de réouverture, également condamné par les Etats-Unis.

 

BOGOTA – Plusieurs milliers de Colombiens sont à nouveau descendus dans la rue mardi pour protester contre le gouvernement du président Ivan Duque et réclamer au Parlement, qui ouvre une nouvelle session, des réformes pour plus de justice sociale et contre la répression policière.

 

WASHINGTON – La cheffe de file en exil de l’opposition bélarusse Svetlana Tikhanovskaïa a déclaré mardi à Washington avoir demandé aux dirigeants américains des sanctions renforcées contres des sociétés publiques de son pays afin de les pousser à lâcher le président Alexandre Loukachenko.

 

LONDRES – Au moins 430 migrants ont traversé la Manche lundi pour se rendre au Royaume-Uni, selon le ministère britannique de l’Intérieur, un nouveau record journalier qui intervient alors que le Parlement examine le projet de durcissement du système d’asile britannique.

 

KANO (Nigéria) – Cent civils, enlevés début juin par des hommes armés dans le village de Manawa dans le Nord-Ouest du Nigeria, ont retrouvé leur liberté après 42 jours de captivité, ont annoncé mardi les autorités de l’Etat de Zamfara.

 

LONDRES – L’ancien conseiller de Boris Johnson, Dominic Cummings, a lancé mardi de nouvelles attaques contre le Premier ministre britannique, accusant le chef du gouvernement conservateur, dont il avait envisagé l’évincement, d’avoir pris à la légère la crise sanitaire ou d’être inadéquat pour gérer le pays.

 

NEW YORK – L’Etat de New York a annoncé mardi un nouvel accord à l’amiable, d’une valeur de 1,1 milliard de dollars, avec trois gros distributeurs américains de médicaments accusés d’avoir contribué à la crise des opiacés, prélude possible à un accord national qui pourrait être annoncé cette semaine.

 

LOS ANGELES – L’ancien producteur de cinéma Harvey Weinstein, qui purge depuis 2020 une peine de 23 ans de prison pour agressions sexuelles à New York, était mardi en route pour Los Angeles, où il devra répondre de nouvelles agressions lors d’un deuxième procès.

 

PEKIN – Louis Vuitton, L’Oréal ou encore Bulgari ont mis fin ou suspendu mardi leur collaboration avec l’acteur-chanteur Kris Wu, mégastar en Chine et ambassadeur de nombreuses marques, après des accusations de viol qu’il dément catégoriquement.

 

TOKYO – Deux jours avant la cérémonie officielle d’ouverture, les épreuves sportives des Jeux olympiques de Tokyo 2020 ont débuté mercredi à Fukushima à 09h00 locales (00h00 GMT), avec la rencontre de softball, version féminine du baseball, entre le Japon et l’Australie.

(afp)

Tabaski et  dialogue social, au menu des quotidiens burkinabè

Burkina-Presse-Revue

Tabaski et  dialogue social, au menu des quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 21 juil. 2021 (AIB) –  Les journaux burkinabè de  ce mercredi, évoquent à  leur Une,  la reprise du dialogue social entre les  syndicats et le gouvernement, l’attaque au couteau du  colonel Assimi Goïta, le président de la Transition malienne, sans oublier la célébration de la fête de l’Aïd  El Kebir  communément appelée Tabaski.

«Tabaski 2021 : Les 4 piliers de l’iman Abdallah », arbore à sa manchette, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga.

Selon lui, 70 jours après la fête de Ramadan, les musulmans du Burkina comme ceux du monde entier ont célébré hier mardi 20 juillet 2021, la fête de l’Aïd  El Kebir  communément appelée Tabaski.

Le journal rapporte que la place de la Nation de Ouagadougou a servi de cadre pour la prière des deux zakats sous la direction de l’iman Abdallah Ouédraogo.

Pour le  confrère, l’iman Ouédraogo suggère à ses concitoyens, un remède reposant sur quatre piliers tels la soumission, le bannissement  de la stigmatisation, la solidarité et la foi religieuse.

Le quotidien privé Le Pays, de son côté, note à sa première page : «Tabaski, 2021 : Sous le signe de la paix et de la cohésion sociale».

De  son  avis, Abdallah Ouédraogo, dans son sermon a exhorté les fidèles musulmans au pardon, au partage, à l’acceptation des uns et des autres pour que la cohésion sociale soit une réalité au Burkina Faso.

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya titre : «Fête de Tabaski : Des prières pour le renforcement de la cohésion sociale» tout en signalant que des invocations ont été faites lors de la prière pour une bonne saison pluvieuse  dans la partie Nord du pays.

Quant à L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, il  affiche à sa Une : «Tabaski : 2021 : On a prié aussi pour la paix et la cohésion sociale à Orodara».

A l’en croire, les musulmans de Orodara dans la région des Hauts Bassins (Ouest) ont célébré la fête du mouton et ont prié pour la paix et la cohésion sociale au Burkina.

Le quotidien privé Le Quotidien laisse voir à sa première page : «Tabaski 2021 au Burkina : Les musulmans invités au don de soi pour la paix».

Sous un autre registre, la presse burkinabè commente la reprise du dialogue social entre l’Etat et les syndicats.

Rencontre gouvernement/syndicats : « Discussions bipartites pour un climat social apaisé », arbore  à sa manchette, L’Observateur Paalga.

D’après le journal, la rencontre entre le gouvernement et les syndicats  des travailleurs qui se tient du 19 au 23 juillet 2021 à Ouagadougou devait aboutir à des conclusions consensuelles.

A le lire (journal), c’est le Premier ministre Christophe Marie Joseph Dabiré qui a ouvert les travaux du cadre de concertations bipartites.

Pour lui, quatre ans après, cette entrevue reprend de service de par la volonté de chaque entité de trouver des accords sur les différents points d’achoppement.

A ce sujet, Le Pays affiche  à sa Une : «Dialogue social : Le cahier des doléances des syndicats de 2017 à  2021 en examen ».

Le confrère soutient  également que la rencontre bipartite permettra de faire un examen consensuel du cahier des doléances de 2017 à 2021 présenté par les organisations syndicales.

L’Express du Faso, à travers sa rubrique «Autant le dire… »,fait  cas du «Dialogue gouvernement/partenaires sociaux sur fond de vie chère » en soulignant que les deux parties  échangeront sur les préoccupations du monde du travail.

A propos du Mali, le quotidien d’Etat Sidwaya, se demande « Qui en veut à Assimi Goïta ? », le président  de la Transition au pays de Soundjata Keïta.

Il signale que le colonel Assimi Goïta  a été visé hier mardi 20 juillet 2021 par une attaque au couteau, alors qu’il prenait part  au rituel de la Tabaski, à la Grande mosquée de Bamako.

L’Observateur Paalga  s’interroge à ce sujet « qui voulait sacrifier le colonel Goïta ? » à  cette fête du mouton.

L’Express du Faso, s’interroge aussi sur sa première page : «Transition politique au Mali : A qui profiterait un assassinat d’Assimi Goïta ? »

Agence d’information du Burkina

NO/ata/ak

Tabaski : Imam Tiendrébéogo pour un don  des animaux sacrifiés aux déplacées internes

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Tabaski : Imam Tiendrébéogo pour un don  des animaux sacrifiés aux déplacées internes

Ouagadougou, 20 juil. 2021 (AIB)-L’Imam Ismaël Tiendrébéogo a déclaré mardi à Ouagadougou dans son sermon après la prière de l’Aïd-El-Kébir ou Tabaski, que la zakat, l’animal sacrifié ou tout acte de générosité devrait être destiné aux personnes déplacées internes du Burkina Faso, a constaté un journaliste de l’AIB sur place.

«Aujourd’hui c’est un jour de réjouissance, c’est un jour de partage et nous ne devons pas oublier les personnes déplacées internes qui ont abandonné derrière eux leurs histoires de famille, leurs richesses, leur sécurité et qui se sont déplacées », a déclaré Imam Ismaël Tiendrébéogo qui a dirigé la prière de Tabaski sur le terrain Dabo Boukari (Université de Ouagadougou) qui a servi de cadre.

Il a argumenté que « quand vous lisez le Coran dans la sourate 9, le verset 60, c’est à ces personnes déplacées internes que l’on doit destiner la zakat. On doit donc leur destiné ce que nous avons comme animal sacrifié, ce que nous avons comme acte de générosité parce qu’ils ont besoin de nous ».

Pour ce juriste diplômé en management international option affaire internationale, ces personnes déplacées sont des Burkinabè et « pour certains, nous ne les connaissons pas, mais rien ne dit que nous ne connaitrons pas d’autres situations pour lesquelles nous aurons besoin de la solidarité des autres ».

« Il faut donc tendre la main parce que nous sommes tous le mil d’un même panier et nous devons nous préoccuper les uns des autres quand nous appartenons à un même pays », a-t-il laissé entendre.

Toujours dans son sermon Ismaël Tiendrébéogo a profité demandé la redistribution équitable des richesses du Burkina Faso parce que pour lui « ce sont les villes et particulièrement la capitale qui prend le plus grand nombre de richesse généré par toute la population ».

« Il n’est pas normal que notre pays qui a plus de 80% d’agriculteurs s’échinent à cultiver et qu’on les oublie lors du partage des ressources. Ces paysans ne sont pas dans les grandes villes. Ils ne sont pas dans la capitale. Ils sont dans nos campagnes. Il est inadmissible qu’au Burkina Faso on ait encore des maternités délabrées, des centres médicaux qui manquent du minimum pour prendre en charge la santé des individus », s’est-il offusqué.

Imam Tiendrébéogo a également expliqué le sens de l’immolation du mouton le jour de la fête de Tabaski par le Prophète Ibrahim « pour rappeler la nécessité pour l’être humain d’être adorateur de Dieu, l’unique ».

L’auteur du sermon explique que « nous avons par ailleurs tiré des leçons de sa vie pour notre vie de maintenant. Pendant les épreuves, quelle doit être notre attitude. Nous avons appelé à ce qu’il y ait une meilleure politique sécuritaire au Burkina Faso. Nous avons remercié les VDP et les FDS pour l’effort qui est fait pour chacun d’entre nous parce que si chaque soir nous pouvons retrouver nos familles en paix, c’est parce que d’autres ont renoncé à cette chaleur de leur famille pour nous accorder cette sécurité ».

Il a imploré « Allah de bénir leurs efforts et de les protéger. Nous demandons aux acteurs politiques et aux acteurs de la société civile de penser Burkina Faso et d’exclure les intérêts partisans dans ce processus de réconciliation qui est indispensable pour chacun d’entre nous. Nous ne devons pas jouer avec l’avenir du Burkina Faso ».

Ismaël Tiendrébéogo a également évoqué la question du chômage et rappelé qu’il est plus qu’urgent de réajuster les programmes d’enseignement au besoin du marché.

La Tabaski est la plus importante des fêtes musulmanes qui a lieu tous les 10 du mois de « dhou al-hijja », le dernier mois du calendrier musulman, après la station sur le mont Arafat qui marque chaque année la fin du Hadj.
Agence d’information du Burkina (AIB)
as/ata

 

Tabaski 2021 : Les  musulmans prient pour la paix et la concorde nationale

Burkina-Religion-Tabaski-Célébration

Tabaski 2021 : Les  musulmans prient pour la paix et la concorde nationale

Ouagadougou, 20  juil.2021 (AIB) – Les fidèles musulmans du Burkina Faso ont célébré mardi, la fête de l’Aïd El Kebir communément appelée Tabaski, au cours de laquelle, ceux de la capitale ont prié pour la tolérance, l’entente et la paix pour faire face à l’adversité des terroristes.

Commentant le sermon du Cheick Albdallah Ouédraogo qui a dirigé la prière de Tabaski, le vice-président de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF), El Hadj Mohamed Ouédraogo a indiqué que les prédications de l’Iman se basent sur la tolérance, l’entente et la paix au Burkina.

Selon lui, le pays est éprouvé par les actes terroristes et Cheick Albdallah Ouédraogo a invité les Burkinabè à se réconcilier, afin de faire face à l’adversité «des forces du mal» dans le pays.

Depuis 2016, le Burkina Faso est en proie à des attaques terroristes qui ont engendré près d’un millier de morts, plus d’un million deux mille personnes déplacées et de nombreux dégâts matériels.

M. Ouédraogo s’exprimait mardi, à la place de la Nation de Ouagadougou, au terme de la prière de la fête l’Aïd El Kebir appelée Tabaski.

«Son message, c’est qu’il faudrait que  les Burkinabè se réconcilient, qu’ils s’entendent et restent unis pour faire face à ce que nous avons comme difficultés (terrorisme) aujourd’hui», a soutenu El Hadj Mohamed Ouédraogo.

A l’en croire, l’iman a aussi demandé à chaque citoyen de faire des sacrifices pour la promotion de la cohésion sociale et du vivre-ensemble, toute chose qui participe au développement du Burkina.

D’après, El Hadj Ouédraogo, les sacrifices doivent être soutenus par des actes d’entente dans la famille et dans la société.

Le représentant de l’église catholique, le Nonce apostolique auprès du Burkina, Michael Francis Crotty, dit être venu  pour témoigner  le message de  la solidarité de  l’église famille, aux fidèles musulmans à cette fête du mouton.

«Nous sommes les frères et sœurs de la même société humaine et il est important  pour nous de manifester notre solidarité à l’endroit de nos frères musulmans », a-t-il  indiqué.

Pour M. Crotty, cette démarche permettra de renforcer la coexistence  pacifique entre les différentes confessions religieuses au Burkina Faso.

Le ministre en charge de l’Administration territoriale, Clément P Sawadogo  dit venir communier avec les musulmans dans la prière et  la joie à cette  fête musulmane 2021.

M. Sawadogo a signalé que le gouvernement a été sensible au message de la CMBF par rapport à la paix, à la cohésion sociale et à la prospérité  dans le pays.

«Nous voudrions encore une fois saisi l’occasion pour souhaiter  aux fidèles musulmans une bonne fête et leur souhaiter encore plus d’unité, de cohésion dans l’imploration de Dieu pour notre pays », a-t-il ajouté.

En rappel, depuis  deux ans, la CMBF traverse une crise liée à  sa gouvernance provoquant ainsi la mise en place d’un bureau de transition au sein  de ladite communauté.

Agence d’information du Burkina

NO/ata/ak

Burkina : «Thomas Sankara est la haute figure de l’insoumission » (Jean- Luc Mélenchon)

Burkina-Politique

Burkina : «Thomas Sankara est la haute figure de l’insoumission » (Jean- Luc Mélenchon)

Ouagadougou, 18 juiL.2021 (AIB)- Le président du parti «La France insoumise » (LFI) et candidat à la prochaine présidentielle française  d’avril 2022, Jean-Luc Mélenchon, a affirmé hier dimanche que le père de la Révolution burkinabè, Thomas Sankara, assassiné le 15 octobre 1987 par un coup d’Etat demeure «la haute figure de l’insoumission».

«Thomas Sankara est la haute figure de l’insoumission », a déclaré le président du parti «La France insoumise » (LFI) et candidat à la prochaine présidentielle française  d’avril 2022, Jean-Luc Mélenchon.

Pour M. Mélenchon, le père de la Révolution burkinabè, assassiné le 15 octobre 1987  par un coup d’Etat,  constitue une «haute figure» à laquelle son parti adhère ses valeurs de l’insoumission.

Le président de la  LFI  s’exprimait hier dimanche 18 juillet  2021 au  Mémorial Thomas Sankara (MTS) de Ouagadougou,  à l’issue d’un dépôt de gerbe à son hommage, en compagnie des députés Bastian Lachaud et Mathilde Panot, en séjour de 4 jours au Burkina Faso.

De son avis, M. Sankara aurait pu se contenter du pouvoir pour lui-même ou  se  dire que «les bornes ne pouvaient pas être franchies, que certains défis ne pouvaient pas être relevés ».

«Comment dans un pays si pauvre et si frappé par la nature, pouvait-on avoir l’audace d’imaginer qu’on serait en état d’interrompre les crises et sècheresses, (…) pour établir un grand sentiment d’égalité et une pratique plurielle », s’est-til interrogé.

Et au député français  de se questionner davantage  «comment pouvait-on imaginer devant tant de difficultés, obtenir la souveraineté alimentaire dans un pays qui semble voué à la famine et à la  dépendance et y parvenir en quatre ans».

L’ancien ministre délégué de l’enseignement professionnel de 2000 à 2002 de la France et candidat malheureux aux présidentielles de 2012 et 2017 a rappelé  que l’insoumission  n’est pas un état d’esprit  de désordre «permanent» comme certains peuples y croyaient.

D’après  Jean- Luc Mélenchon, il s’agit la résignation,  de se plier devant  tout ce qui oppose les êtres humains quel que soit la nature de l’adversité.

«Nous sommes venus apprendre  parce que nous connaissons la personnalité hors du commun de Thomas Sankara et de ses principales indications politiques, qui valent pour nous  comme sans doute pour vous comme les enseignements de la grande Révolution française », a-t-il poursuivi.

Notons que cette visite du député français insoumis intervient après celle du président Emmanuel Macron, en novembre 2017 au Burkina Faso.

En rappel,  Thomas Sankara et douze de ses compagnons,  ont été assassiné le 15 octobre 1987 lors d’un coup d’Etat qui portât Blaise Compaoré au pouvoir, lui-même écarté du pouvoir, lors des journées insurrectionnelles d’octobre 2014.

Malgré plusieurs rebondissements y compris le déclassement d’archives par la France, l’affaire judiciaire Thomas Sankara peine à connaitre un dénouement.

Agence d’information du Burkina

NO/ata/ak

 

 

Politique et fait de société en couverture des journaux burkinabè

Burkina-Prese-Revue

Politique et fait de société en couverture des journaux burkinabè

Ouagadougou, 19 juil. 2021 (AIB – Les quotidiens burkinabè lus par l’AIB ce lundi, commentent l’incendie du cabinet de Me Prosper Farama, la visite du président de la « France insoumise », Jean -Luc Mélenchon au Burkina Faso, sans oublier la situation de crise à la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

«Eviction de Newton Ahmed Barry : Mouton sacrificiel de la Oumma ?», s’interroge à sa Une, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga.

Pour lui, s’il y aura prestation de serment des membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), ce lundi  19 juillet 2021 au Conseil constitutionnel de Ouagadougou, elle se fera, en l’absence de Newton Ahmed Barry.

Le journal rapporte que cette prestation intervient à un moment où la CENI traverse une crise née du renouvellement de ses membres.

De son côté, le quotidien privé Le Pays  mentionne en première page ceci: «FAIB (Fédération des associations islamiques du Burkina, Ndlr) : Le magistrat Adama Kafando remplace Newton Ahmed Barry à la CENI».

A l’en croire,  une correspondance adressée au ministère en charge de l’Administration territoriale du 17 juillet 2021 relève que Newton Ahmed  Barry sera remplacé par  le magistrat Adama Kafando

Le quotidien national Sidwaya  titre en ces termes : «CENI : Adama Kafando remplace Newton Ahmed Barry»

L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso  se questionne à propos  de la prestation de serment des membres  de l’organe en charge des élections : «Communauté musulmane : Newton Ahmed Barry, le mouton de Tabaski pour sauver la CENI ? »

Sous un autre registre, Le Pays note à sa manchette : «Galian 2021 : Les Editions Le Pays remporte le prix de l’employeur modèle et celui de la meilleure interview ».

Il note qu’après le rendez-vous manqué du 25 juin dernier, la 24e édition de la nuit des Galian s’est déroulée le jeudi 15 juillet 202 dans la salle des Banquets de Ouaga 200O.

Le quotidien privé précise qu’au total 20 prix officiels et 10 prix spéciaux ont été décernés dans les catégories presse en ligne, presse écrite, langues nationales et radiodiffusion télévisuelle et sonore.

Le confrère  soutient aussi  qu’il en est sorti avec le prix de «l’employeur modèle » et  de celui de la meilleure interview à cette promotion de l’excellence des média.

Le journal privé, L’Observateur Paalga  dit remporter, lui aussi, le prix du reportage et celui de  la photo à ce Galian 2021.

L’incendie du cabinet du cabinet de Me Prosper Farama  alimente également la presse burkinabè.

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya affiche  à sa première page : «Incendie au cabinet des frères Farama : Plusieurs dégâts matériels».

Pour lui, le cabinet des frères Prosper et Ambroise Farama sis au quartier Ouaga 2000, a été ravagé  par des flammes dans l’après- midi du samedi 17 juillet 2021.

Le quotidien d’Etat signale que d’importants dégâts ont été enregistrés lors de l’incendie, tandis que Le Pays fait cas  de la présence des  riverains sur les lieux pour éteindre le  feu.

Le  journal indique qu’il n’y a  pas eu  de perte en vie humaine mais que d’énormes dégâts matériels ont été enregistrés.

Les journaux burkinabè  évoquent la visite du président de «La France insoumise  », (LFI), candidat à la présidentielle française de novembre 2022, Jean-Luc Mélenchon au Burkina.

Les quotidiens  l’Observateur Paalga, Le Pays , Sidwaya et l’Express du Faso,   soulignent que le président de la LFI et opposant français a déposé hier dimanche, dans la soirée, une gerbe de fleur  au Mémorial Thomas Sankara de Ouagadougou, afin de rendre  hommage au père de la révolution burkinabè.

Agence d’information du Burkina

NO/ata/ak

 

Séno : Deux jeunes décapités par des voleurs de bétail

Séno : Deux jeunes décapités par des voleurs de bétail

 

Dori, 18 juillet 2021 (AIB)-Des voleurs de bétail ont décapité deux jeunes originaires de Gorgadji, avant de saisir les bêtes qu’ils acheminaient sur Dori,  a appris l’AIB.

 

Très tôt dans la matinée du vendredi 16 juillet 2021, les habitants de Yakouta, un village situé à 12 km de Dori, ont découvert deux corps sans vie dont les têtes ont été décapitées.

De bouches à oreilles et après renseignements pris, a précisé une source bien introduite, il ressort que les jeunes sont originaires de la commune de Gorgadji, située sur l’axe Dori-Arbinda et à 45 km de Dori. Notre source nous informe que les deux infortunés étaient chargés de conduire des animaux achetés à Gorgadji jusqu’à Dori.

La source a expliqué que les commerçants de bétail achètent généralement les animaux dans les différentes localités autour de Dori notamment Gorgadji et les confient à des personnes chargées de les acheminer à Dori. Avant l’instauration du couvre-feu, a indiqué la source, les gens convoyaient les animaux toute la nuit pour rallier Dori au petit matin. De l’avis de notre source, tout porte à croire que les deux jeunes assassinés conduisaient des animaux dans la mesure où c’est vers 4 heures du matin qu’ils ont quitté Gorgadji pour rejoindre Dori le vendredi dernier qui est également jour hebdomadaire de marché. Sur leur parcours, relate notre source, leur chemin a malheureusement croisé celui des Hommes armés non identifiés (HANI) et le pire arriva. Bien avant ce drame, a confié la même source, deux camions vides ont été incendiés sur le même axe précisément dans le village de Djigo par des HANI dans la nuit du 15 au 16 juillet 2021. Selon les informations reçues, les deux camions de retour d’Arbinda où ils avaient acheminé des vivres, l’un des camions est tombé en panne dans le village de Djigo. La réparation ayant pris du temps que prevu donc, les chauffeurs ont décidé de passer la nuit à Gorgadji dans l’espoir de revenir le lendemain matin. A leur grande surprise, ils sont revenus trouvé un tas de ferraille car les deux camions avaient été incendiés.

Outre ces deux événements malheureux, notre source nous a fait savoir que les HANI ont fait irruption dans le village de Dani, à une dizaine de km de Dori et frontalier de celui de Yakouta, où ils ont emporté du bétail dans la soirée du jeudi 15 juillet 2021.

Agence d’information du Burkina

ATTENTION : Photo d’illustration et d’archive/lefaso.net

Burkina: Un projet veut renforcer les mécanismes de prévention des mariages d’enfants et des mutilations génitales au Centre-sud et au Centre-est

Les participants vont constituer les comités d’alerte précoce dans les villages ciblés.

Burkina: Un projet veut renforcer les mécanismes de prévention des mariages d’enfants et des mutilations génitales au Centre-sud et au Centre-est

Manga, (AIB)-Amesty International United Kingdom et Foundation for a Just Society ont mis sur pied le Projet de renforcement des mécanismes de prévention des mutilations génitales et des mariages d’enfants au Burkina Faso. Les tenants et les aboutissants dudit projet qui va intervenir à Basgana et Gon-Boussougou dans la région du Centre-Sud et à Beka dans la région du Centre-Est ont été expliqués, samedi 17 juillet 2021, à Manga, aux membres des Comités de d’alerte précoce issus desdits villages.

Les mutilations génitales et les mariages d’enfants sont des pratiques que Amesty International United Kingdom et Foundation for a Just Society veulent aider à combattre à Basgana et Gon-Boussougou dans la région du Centre-Sud et à Beka dans la région du Centre-Est.

Le samedi 17 juillet 2021, l’initiative qu’ils ont financée à cette fin, à savoir le «Projet de renforcement des mécanismes de prévention des mutilations génitales et des mariages d’enfants au Burkina Faso», a fait l’objet d’échanges entre les responsables du projet et les acteurs impliqués notamment les membres des futurs Comités d’alertes précoce (CAP).

Les responsables de la mise en œuvre du projet ont sollicité l’implication effective des participants.

Les CAP sont des structures qui seront mises en place dans les localités d’intervention du projet avec pour objectif de «récolter des informations et dénoncer les cas ou tentatives d’excision et de mariages forcés et précoces », a confié le coordonnateur chargé de l’éducation et la formation en droits humains à Amesty International Burkina Faso, Moussa Ouédraogo.

Les CAP constituent un bras actif pour l’atteinte des résultats visés par le projet au niveau local.

A écouter M. Ouédraogo, tout le long de l’exécution du projet, à savoir de janvier 2021 à décembre 2023, soit durant trois ans, l’ambition est de mettre fin progressivement aux violences basées sur le genre en l’occurrence les mutilations génitales féminines et les mariages d’enfants.

«Le projet vise à défendre et à protéger les droits liés à la santé reproductive et sexuelle de la jeune fille et de la femme », a fait aussi savoir Moussa Ouédraogo.

Le coordonnateur de l’association Ayda à Zabré remercie l’engagement de Amesty International et son partenaire américain Foundation for just society.

A terme, a-t-il ajouté, chaque communauté par le biais du chef du village doit ainsi faire une déclaration publique et signée, dans laquelle elle s’engage à l’abandon officiel des mariages précoces et forcés ainsi que les mutilations génitales féminines.

Le paraphe de ce document de déclaration sera parrainé par des partenaires locaux de mise en œuvre du projet comme les mairies et particulièrement l’association Zak La Yilguemdé (AZLY) pour ce qui concerne l’intervention dans le village de Basgana dans la commune de Manga (région du Centre-sud).

Le coordonnateur de l’association Ayda à Zabré dans la province du Boulgou (région du Centre-Est), Mamini Tarnagda, se réjouissant de l’initiative du projet, a dit nourrir de fortes attentes concernant une évolution positive des mentalités.

Le plaidoyer à Basgana a consisté à une demande d’implication des leaders communautaires.

«Avec l’accompagnement de Amesty International, nous pensons qu’on peut arriver à des résultats très positifs grâce aux sensibilisations qui vont permettre de faire comprendre aux populations les implications de ces pratiques au niveau sanitaire, social et même économique», a-t-il noté.

Avant la session de Manga visant à outiller les participants, entre autres, sur les missions des CAP, les tenants et aboutissants du projet et les sanctions prévues dans le code pénal burkinabè à propos des pratiques de mariages d’enfants et d’excision, les responsables de la mise en œuvre du projet sont allés formuler, le vendredi 16 juillet 2021, à Basgana, un plaidoyer communautaire à l’endroit des autorités coutumières et religieuses.

L’exercice, a informé Moussa Ouédrogo, a consisté à décliner également les attentes et les résultats visés dans le cadre du projet durant le temps d’exécution. M. Ouédraogo a fait savoir que leurs doléances ont rencontré une oreille attentive de la part de leurs hôtes de Basgagna qui ont promis accompagner l’initiative pour l’atteinte des résultats escomptés.

Le projet de renforcement des mécanismes de prévention des mutilations génitales et des mariages d’enfants au Burkina Faso, hormis le Centre-Sud et le Centre-Est, intervient également dans d’autres régions du pays. Il s’agit notamment des certains villages des régions du Nord, de la Boucle du Mouhoun, des Hauts Bassins et du Centre.

Agence d’information du Burkina

Mamady ZANGO

 

 

Gourma: Trois personnes portées disparues dont un haut responsable

Gourma: Trois personnes portées disparues dont un haut responsable
Fada N’Gourma, 16 juillet 2021, (AIB)- Le Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de la Tapoa, un instituteur et un agent de l’Organisation non gouvernementale (ONG) Plan Burkina sont portés disparus, depuis le mercredi 14 juillet 2021, a-t-on appris de sources concordantes.
Il ressort des informations parvenues à l’AIB que les trois fonctionnaires ont été enlevés par des individus armés sur l’axe Matiacoali-Fada alors qu’ils avaient quitté Diapaga pour se rendre à Fada N’Gourma.
Aux dernières nouvelles, l’un des trois infortunés aurait été libéré.
Selon toute vraisemblance, les trois personnes ont été interceptées au même moment parce qu’elles faisaient chemin ensemble, sur des motos.
Il est revenu à l’AIB que des individus armés inconnus, parfois cagoulés, parfois à visage découvert, contrôlent les identités des usagers sur l’axe Fada-Kantchari, précisément dans les environs de Tanwalbougou.

Baccalauréat 2021:465 admis sur 1678 candidats dans le Ganzourgo

Baccalauréat 2021:465 admis sur 1678 candidats dans le Ganzourgo
Zorgho, (AIB)-Les résultats du premier tour du baccalauréat session de 2021 sont tombés ce 16 juillet à Zorgho.
Selon la direction Provinciale en charge des enseignements post primaire et secondaire du Ganzourgou, sur 1746 inscrits toutes séries confondues, 1678 ont répondu présents.
Parmi eux, 465 sont déclarés admis au premier tour soit un taux de succès de 27,71%. 459 sont appelés à subir les épreuves du second tour.
La série C qui avait 16 candidats s’en sort avec le plus fort taux de succès au premier tour avec 43,75% suivi de la série A4 avec 32,95% et la série D avec 22,75%.
Moïse SAMANDOULGOU

Premier tour du bac dans le Nahouri : 602 admis sur 1650 candidats

Premier tour du bac dans le Nahouri : 602 admis sur 1650 candidats
Pô, (AIB)-Les résultats du premier tour du bac session de 2021 ont été proclamés dans la matinée de ce 16 juillet 2021 dans les 7 jurys que compte la province.
Au total 1650 candidats ont répondus présents dont 1040 garçons et 610 filles.
Sont déclarés admis à l’issu du premier tour 602 candidats dont 376 garçons et 226 filles.
Sont autorisés à suivre les épreuves du second tour 466 dont 183 filles et 282 garçons.
Hamidou Koudougou OUENA
AIB Pô

Loroum: Adama Komi, le nouveau bachelier qui rêve de révolutionner l’aéronautique en Afrique

Loroum: Adama Komi, le nouveau bachelier qui rêve de révolutionner l’aéronautique en Afrique
Titao, 17 juillet 2021(AIB)-Son récent sacre au bac D avec une moyenne de 16,50, constitue un grand pas pour Adama Komi sur sa route de révolutionner l’aéronautique en Afrique…
16,50 de moyenne au Baccalauréat série D à Titao, c’est le sacre de l’élève Adama Komi du Lycée Municipal Pierre Hazette de Titao.
Filiforme, d’un calme olympien, le regard fuyant, l’élève Adama Komi requiert l’unanimité de ses camarades, professeurs et encadreurs sur son ardeur au travail et sa conduite.
Entré au Lycée Municipal Pierre Hazette de Titao en octobre 2014, c’est sans surprise qu’il décroche son brevet d’étude du premier cycle en 2018 avec une moyenne de 18,75, mention très bien.
Muni de ce nouveau parchemin qu’est le baccalauréat , Adama Komi rêve d’une carrière d’ingénieur aéronautique.
Ce métier de rêve, il dit l’avoir mûri depuis longtemps et depuis lors il a fait du visionnage des documentaires sur l’aéronautique, son passe-temps favori.
Pour Adama Komi, l’aéronautique est un secteur stratégique pour tout pays, notamment nos jeunes États qui doivent travailler à se faire une place sur l’échiquier international.
Quel est son petit secret pour des résultats aussi probants? Adama rétorque qu’il n’y a aucun secret que le travail.
Il élabore et suit un calendrier qui dose aussi bien le travail individuel que collectif.
Toutefois, il rappelle une étape de son enfance qui a servi de déclencheur pour lui.
Tout petit, alors qu’il était rentré de la Côte d’Ivoire après la classe de CP2, la directrice de l’école lui fait reprendre la classe pour insuffisance de niveau.
Pour Adama, cette reprise a été pour lui un point important, un élément déclencheur de la performance.
Depuis lors, il a volé de succès en succès pour successivement se positionner meilleur élève au certificat d’études primaires de la province en 2014, meilleur élève au BEPC et 3ème au niveau national en 2018 et meilleure performance au baccalauréat 2021 du centre de Titao avec la mention très bien.
Avec 18 sur 20 en Mathématiques, en Science de la vie et de la terre, français et en anglais, 19 sur 20 en Histoire et géographie, le voeu de Adama est que les autorités nationales lui accorde une opportunité de se faire encore plus valoir en lui permettant d’étudier dans de grandes écoles internationales.
Du rêve, Adama veut que l’ingénierie aéronautique soit une réalité afin qu’il puisse apporter sa contribution au développement du pays et du secteur aéronautique africain.
Dans un contexte sécuritaire assez difficile, cette étoile montante a montré à la face du monde qu’en toute circonstance il y’a lieu de s’adapter et tenir le bon bout, le bout de l’excellence.
Abdoul Salam Ouarma

Burkina: l’opposition politique dénonce l’insécurité au Bam

Burkina: l’opposition politique dénonce l’insécurité au Bam
Kongoussi, 17 juillet 2021(AIB)-Les partis politiques de l’opposition politique regroupés au sein du Chef de file de l’opposition politique( CFOP) ont marché ce matin 17 juillet 2021 à Kongoussi pour exiger du gouvernement l’équipement des forces de défense et de sécurité en matériel conséquent pour lutter contre le terrorisme.
Les manifestants ont pris le départ au rond-point central de Kongoussi, pour rallier le haut-commissariat où un message a été transmis au haut commissaire Ali Ouédraogo.
Mais avant la marche, les représentants des déplacés internes El Hadj Tasséré Kinda, celui des Volontaires pour défense de la patrie( VDP) de Namssiguian et la représente des veuves des victimes de l’insécurité Bibata Zoromé ont donné de la voix.
Tous ont dénoncé la dégradation de la situation sécuritaire dans la province avant de demander plus de protection de la part de l’autorité.
«Nous sommes fatigués et nous demandons une réaction des autorités pour que nous ayons la paix. Nous ne sommes pas contre le gouvernement. Nous lui demandons de prendre des mesures urgentes pour assurer notre sécurité. On a été bien accueilli à Kongoussi, nous avons reçu de l’assistance mais c’est pas suffisant. Nous voulons la paix» a laissé entre le représentant des déplacés internes.
Au cours de la marche, on pouvait lire sur des pancartes, des messages qui traduisent les préoccupations des « marcheurs ».
Sur une des pancartes, on demandait le départ des forces françaises au Burkina Faso.
Cette dernière a été retirée par les organisateurs suivi d’une mise en garde des responsables.
Tous le long de l’itinéraire, les populations exprimaient leur mécontentement lié à la gestion de la crise sécuritaire au Bam.
Au haut-commissariat de Kongoussi, le représentant du CFOP au Bam Inoussa Sawadogo dit Zasco ( secrétaire général du CDP /Bam)a d’abord livré le message du chef de file de l’opposition burkinabè Eddie Komboigo aux autorités ( haut commissaire, préfet de Kongoussi, commandant de la brigade de gendarmerie, directeur provincial de la police nationale), avant d’ajouter les préoccupations propres au Bam.
Il a demandé l’érection de bases militaires à Kanrgo dans la commune de Zimtanga et à Rollo.
Il a également exigé la reprise du bitumage de la route Yargo-Djibo dans les meilleurs délais.
A l’issue de la marche, il a exprimé sa satisfaction.
«Nous sommes très satisfaits parce que nous avons pu nous exprimer à travers cette marche. Les populations sont sorties et ont marché dans le calme et la discipline. Seulement, nous voulons que notre message soit entendu par le président du Faso» a-t-il précisé.
Le haut- commissaire du Bam Ali Ouédraogo a rassuré les manifestants que leur message sera transmis à qui de droit.
Asmado RABO

Koulpelogo : un boutiquier tué lors d’un braquage

Koulpelogo : un boutiquier tué lors d’un braquage

Ouargaye, 16 juillet 2021(AIB)-Un boutiquier d’une trentaine d’années a été tué à Koukaye, à une quinzaine de km de Ouargaye, par des bandits qui lui ont pris de l’argent.

Quatre individus armés de fusils de chasse et de machettes ont fait irruption dans la nuit du 15 au 16 juillet 2021, au marché de Koukaye, à une quinzaine de km de Ouargaye dans la province du Koulpelogo (Centre-est).
Ils ont détroussé deux femmes dont une restauratrice avant de se diriger vers un boutiquier qui est un jeune de Ouargaye.
Après des coups de feu, des témoins dont l’AIB ont découvert un corps sans vie, tailladé grandement au niveau du mollet.
Avant de fuir, les bandits ont pris le sac d’argent que la victime portait au cou.
Agence d’information du Burkina
Boureima PAFADNAM

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