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Lutte contre le SIDA et les IST dans le Centre-Ouest : Le comité régional tient sa 2e session ordinaire de 2023

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Lutte contre le SIDA et les IST dans le Centre-Ouest : Le comité régional tient sa 2e session ordinaire de 2023

Koudougou, (AIB)-Le comité régional de lutte contre le SIDA et les Infections sexuellement transmissibles (IST) du Centre-Ouest a tenu, le mardi 20 février 2023 à Koudougou, sa deuxième session ordinaire de 2023, sous la présidence du gouverneur de la région du Centre-Ouest, Boubacar Nouhoun Traoré.

Les membres du comité régional de lutte contre le SIDA et les Infections sexuellement transmissibles (IST) du Centre-Ouest a tenu le mardi 20 février 2024 à Koudougou, une rencontre pour faire le bilan du Plan régional multisectoriel (PRM) de lutte contre le VIH, le SIDA et les IST de 2023 mais aussi d’adopter celui de 2024.

Du bilan du PRM 2023, il ressort des résultats forts appréciables dans bien de domaines à savoir la prévention et la sensibilisation, le dépistage en milieux de soins et dans les structures communautaires.

Il en est de même au niveau de la prise en charge médicale des IST, du traitement antirétroviral des patients notamment les Personnes vivant avec le VIH (PVVIH) et du soutien à l’observance des PVVIH.

Il est ressorti des insuffisances qui concernent la prévention au sein de certains groupes spécifiques, l’adhésion des partenaires des femmes enceintes à l’élimination de la transmission du VIH mère-enfant (e-TME).

La réalisation de l’examen de la charge virale, la mise en œuvre de la gratuité des examens et de suivi biologique ainsi que le nombre élevé de nouveaux cas de VIH ne sont pas en reste.

On dénombre à titre d’exemples, 571 cas en milieux de soins, 120 cas dans les structures communautaires et 54 cas au sein des personnes handicapées.

Quant au PRM 2024, les priorités programmatiques de la région en matière de lutte contre le SIDA et les IST, ont été présentées.

Ainsi, pour chacun des quatre impacts définis par le Cadre stratégique national CSN) SIDA révisé 2023-2026, il en découle des effets et des produits à réaliser au cours de l’année.

En lien avec ces différents produits, des stratégies ont été proposées et des activités éligibles définies dans la perspective de guider la planification et le suivi-évaluation des interventions de tous les acteurs dans la région. Lequel document, in fine, servira de base pour la capitalisation des résultats en fin d’année.

« La vigilance doit être toujours de mise. Bien que la prévalence du VIH soit de 0,8, la pandémie sévit toujours dans la région », a indiqué le Gouverneur par ailleurs président du comité régional multisectoriel de lutte contre le SIDA et les IST.

Il a exhorté les uns et les autres à ne pas baisser les bras mais à jouer pleinement leurs rôles, gage de sauvetage des populations.

Boubacar Nouhoun Traoré, a également félicité les acteurs pour tous les efforts consentis jusque-là dans la lutte surtout dans ce contexte difficile que traverse le pays.

Agence d’information du Burkina

PB/dnk/hb/yo

 Infrastructures routières, foncier et CEDEAO au menu des journaux burkinabè

Burkina-Presse-Revue

Infrastructures routières, foncier et CEDEAO au menu des journaux burkinabè

Ouagadougou, 22 fév. 2024 (AIB)- Les parutions de ce jeudi, commentent la reprise des travaux de bitumage du tronçon Sakoinsé-Koudougou, la mise en place d’une autorité nationale de coordination du foncier en Conseil des ministres d’hier mercredi par le gouvernement et la demande de la levée des sanctions de la CEDEAO contre le Niger lors de son sommet qui se tiendra à Abuja, demain vendredi, par l’ex-parti au pouvoir (CDP).

« Sanctions de la CEDEAO contre le Niger : Le CDP demande leur levée », arbore à sa manchette, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga.

Le journal privé rapporte qu’à la veille du sommet des chefs de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, (CEDEAO) qui s’ouvre demain vendredi à Abuja, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), l’ex- parti au pouvoir, à travers  un communiqué exhorte  la levée des sanctions qui pèsent sur le Niger.

Selon lui, le président du parti, Eddie Komboïgo dit avoir été touché par le désarroi des populations, lors de son récent séjour dans le pays.

Le confrère Le pays commente les propos du Président du Cadre d’action pour la patrie (CAP), Péma Néya, qui soutient que « Les dirigeants doivent faire preuve de hauteur de vue ».

A propos, il s’est appesantit sur les propos du juriste, James Kokou Kantchil, qui renchérit en ces termes : « Nous voulons des politiques et des actions concrètes ».

Sous un autre volet, le quotidien d’Etat Sidwaya titre à sa Une «  Reprise des travaux de la route Sakoinsé-Koudougou : Un taux d’avancement de 45,83%, selon les techniciens ».

Aux dires du journal public, le ministre des Infrastructures et du désenclavement, Adama Luc Sorgho, a constaté le mardi 20 février 2024,  la reprise des travaux de bitumage de la route Sakoinsé-Koudougou avec un taux d’avancement de 45,83%.

Le quotidien privé, L’Observateur Paalga précise que les panneaux indiquent un taux de 45, 79% avec cette reprise des travaux  de bitumage de la voie.

Dans la même veine, le journal privé, L’Express du Faso, édité à Bobo-Dioulasso laisse voir sa première page «  Voirie de Bobo-Dioulasso : 130 km de route en terre au bonheur des usagers ».

Sous un autre chapitre, le quotidien privé Le Pays publie à sa Une «  Gestion du foncier au Burkina : Une Autorité nationale de coordination  mise en place ».

Le journal  explique que cette Autorité rattachée à la présidence du Faso aura pour mission de coordonner et surtout d’accélérer tous les processus en cours, en termes de digitalisation de la gestion du foncier.

Le journal public Sidwaya précise  qu’une Autorité nationale de coordination du foncier a été mise en place hier mercredi à Ouagadougou, lors de la traditionnelle rencontre  des ministres, présidée par le capitaine Ibrahim Traoré.

Les journaux Sidwaya et L’Express du Faso font cas de la suspension de l’autorisation d’exportation  de l’or  par le gouvernement burkinabè.

Pour eux, un communiqué du ministère en charge des Mines informe l’opinion nationale la suspension  de l’autorisation d’exportation  de l’or et des autres substances précieuses de production artisanale et semi- mécanisées au Burkina.

Agence d’information du Burkina

NO/bh/yo

 

 

 

 

 

Une société chinoise accusée d’avoir piraté l’Otan et des gouvernements étrangers

Une société chinoise accusée d’avoir piraté l’Otan et des gouvernements étrangers

 

Pékin, Chine

Un prestataire informatique chinois a été en mesure d’infiltrer l’Otan, des gouvernements étrangers ainsi que des comptes de réseaux sociaux et des ordinateurs personnels, selon des analystes ayant passé au crible une importante fuite de données de l’entreprise.

Des experts de SentinelLabs et Malwarebytes, sociétés américaines de cybersécurité, affirment que l’entreprise incriminée, i-Soon, a infiltré les systèmes d’une dizaine de gouvernements et d’organisations pro-démocratie à Hong Kong.

I-Soon se présente comme une entreprise spécialisée dans la sécurité informatique et a candidaté à des appels d’offres du gouvernement chinois.

Ses données ont été déposées le 16 février sur le site de partage GitHub. Elles contiennent des fichiers de conversation, des présentations et des listes de cibles, selon les analystes.

« La fuite fournit certains des détails les plus concrets rendus publics à ce jour » sur l’espionnage supposé de la Chine et révèle sa « maturité », écrit SentinelLabs dans un rapport publié mercredi.

L’auteur de la fuite et ses motivations ne sont pas connus mais elle « donne un aperçu inédit des opérations internes d’un prestataire de services de piratage informatique affilié à un Etat », selon SentinelLabs.

I-Soon a été en mesure d’infiltrer notamment des ministères en Inde, en Thaïlande, au Vietnam et en Corée du Sud, d’après un autre rapport publié mercredi par Malwarebytes.

Mise en cause, l’entreprise i-Soon n’avait pas répondu dans l’immédiat à une demande de commentaire de l’AFP.

– Intrusion –

Le ministère chinois des Affaires étrangères a pour sa part affirmé jeudi lors d’un point presse régulier « ne pas être au courant » de cette affaire.

« Par principe, la Chine s’oppose résolument à toute forme de cyberattaques et les combat conformément à la loi », a indiqué Mao Ning, une porte-parole du ministère, en réponse à une question sur le sujet.

Dans les documents divulgués, l’AFP a trouvé ce qui semble correspondre à des listes de ministères en Thaïlande et au Royaume-Uni, ainsi que des captures d’écran de tentatives de connexion au compte Facebook d’une personne.

D’autres captures montrent une conversation houleuse entre un employé de i-Soon et un responsable au sujet de sa rémunération, ainsi que la description d’un logiciel qui permet d’accéder aux courriers électroniques Outlook d’une personne ciblée.

Un document précise les primes pour les pirates informatiques, notamment un versement de 55.000 dollars (50.780 euros) pour s’introduire dans un ministère au Vietnam.

« Comme le montre la fuite de documents, les entreprises tierces jouent un rôle important pour faciliter de nombreuses attaques de la Chine dans le domaine cybernétique », estime SentinelLabs.

Une autre capture d’écran décrit une demande d’un client pour accéder illégalement aux systèmes informatiques du ministre des Affaires étrangères, du cabinet du Premier ministre, de l’agence nationale de renseignement et d’autres ministères d’un pays non nommé.

– Batteries piégées –

Les experts qui ont décortiqué la fuite de données indiquent que i-Soon proposait de prendre le contrôle d’un compte sur le réseau social X (ex-Twitter).

L’objectif mis en avant par la firme auprès de clients potentiels était de pouvoir surveiller l’activité d’un utilisateur cible et de lire notamment ses messages privés.

Dans ces fuites supposées, i-Soon explique également comment ses employés peuvent accéder à l’ordinateur d’une personne, en prendre le contrôle à distance et surveiller ce qu’elle tape.

Toujours selon ces documents, i-Soon propose par ailleurs de pirater les systèmes d’exploitation de téléphone, dont l’iPhone d’Apple, ou d’en extraire illégalement des données via une batterie externe.

Selon les fuites, i-Soon a candidaté à des appels d’offres des autorités de la région du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) pour y réaliser notamment des opérations de piratage.

Après plusieurs attentats meurtriers, les autorités imposent depuis plus d’une décennie dans cette région des mesures draconiennes au nom de l’antiterrorisme.

Des études occidentales, fondées sur des interprétations de documents officiels chinois, des témoignages de victimes présumées et des extrapolations statistiques, accusent les autorités de répression contre les Ouïghours, l’une des minorités autochtones du Xinjiang.

Le site internet de i-Soon n’était pas accessible jeudi mais des archives en ligne datant de mardi indiquent que l’entreprise est basée à Shanghai et possède des bureaux à Pékin et dans plusieurs provinces de Chine, notamment au Sichuan (sud-ouest)

Avec AFP

 

Espagne: Dani Alves condamné à 4 ans et demi de prison pour viol

Espagne: Dani Alves condamné à 4 ans et demi de prison pour viol

Barcelone, Espagne

Dani Alves, ancienne star brésilienne du Barça et du PSG, a été condamné jeudi à une peine de quatre ans et demi de prison pour le viol en 2022 d’une jeune femme dans une discothèque de Barcelone, a annoncé le tribunal de cette ville l’ayant jugé.

« La victime n’était pas consentante et il existe des éléments de preuve qui, au-delà du témoignage de la plaignante, permettent de considérer le viol comme prouvé », a écrit le tribunal dans un communiqué.

AFP

 

Gayéri : Les soutiens patriotiques pour l’effort de paix continuent 

Gayéri : Les soutiens patriotiques pour l’effort de paix continuent 

Gayéri, 21 février 2024 (AIB)-Les populations de Gayéri dans la province de la Komondjari ont mobilisé une somme de un million quatre cent mille (1 400 000) francs au profit du fonds de soutien patriotique et des familles des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de la commune tombés sur les champs d’honneur.

 

A l’initiative de sa Majesté LABIDIERO , chef de canton de Gayéri, les populations de Gayéri ont mobilisé une somme de un million quatre cent mille (1 400 000) francs CFA au profit du fonds de soutien patriotique et des familles des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de la commune tombés.

Sa Majesté et sa population répondent ainsi à l’appel du Président de la Transition, Chef de l’ État, le capitaine Ibrahim Traoré.

La cotisation a été remise à Monsieur Léonard GOUGOU, Président de la Délégation Spéciale de la commune de Gayéri le lundi 19 février 2024.

 

Ainsi, 1 million 150mille(1 150 000f) francs CFA ont été versés au trésor public au titre du fonds de soutien patriotique et 250mille (250 000) francs CFA remise aux épouses et aux orphelins des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) de la commune tombés sur le champ d’honneur.

En rappel le samedi 27 mai 2023 les populations de Gayéri avaient mobilisé une somme de 1million 405 mille 475 francs CFA pour manifester leur soutien à la Transition et à l’effort de paix.

Agence d’information du Burkina

LNY/ata

 

 

 

 

 

Bam :Un ressortissant de la commune de Nasseré offre un tricycle aux VDP

Bam :Un ressortissant de la commune de Nasseré offre un tricycle aux VDP

 

Kongoussi( AIB)- Un ressortissant de la commune de Nassere vivant à Ouagadougou a offert le vendredi 16 fevrier 2024, un tricycle neuf aux Volontaires pour la défense de la patrie( VDP) de la commune de Nasseré afin d’accroître leur mobilité dans la lutte contre le terrorisme.

 

Le don a été remis au Président de la délégation spéciale ( PDS) de Nasseré Bobodo Sayouba Sankara qui, à son tour l’a transmis aux VDP de Nasseré.

 

Pour le représentant du donateur par ailleurs chef du village de Biliga , Wendpagnangdé Ouédraogo, ce geste s’inscrit en droite ligne avec la vision du gouvernement qui encourage chaque citoyen à participer à la reconquête du pays.

 

Le Préfet PDS de Nasseré a remercié le donateur pour son sens élevé de patriotisme. Il a ensuite félicité les VDP de Nasseré pour leur effort dans la sécurisation de la commune.

 

En rappel, le Préfet PDS de Nasseré Bobodo Sayouba Sankara avait entrepris des consultations internes afin d’inciter tous les fils et filles de Nasseré à participer à l’effort de paix conformément à la volonté du chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré.

Agence d’information du Burkina

Asmado RABO

Sabari Christian DAO officiellement installé dans ses nouvelles fonctions de Directeur général du Musée national 

Sabari Christian DAO officiellement installé dans ses nouvelles fonctions de Directeur général du Musée national 

 

Ouagadougou, 21 février 2024( AIB)- Le Directeur de Cabinet du Ministre d’Etat, Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Mamadou DEMBELE a officiellement installé mercredi le nouveau directeur général du musée national,Sabari Christian DAO dans ses nouvelles fonctions.

Nommé en conseil des ministres du mercredi 14 février 2024, le conservateur-restaurateur de musée, Sabari Christian Dao a officiellement pris fonctions ce mercredi 21 février 2024.

Il remplace à ce poste Rasmata SAWADOGO/MAIGA qui aura passé 6 ans à la tête de la maison.

Le Directeur de Cabinet( Dircab )du Ministère en charge de la communication,Mamadou Dembélé a félicité la directrice sortante pour le travail abattu et pour les résultats auxquels elle est parvenue durant son passage à la tête de la structure.

Mamadou DEMBELE a par la suite félicité le nouveau directeur général en l’invitant à œuvrer à la mise en œuvre d’actions innovantes en vue de susciter un réel engouement des Burkinabè à visiter le musée national.

Du reste le dircab a exhorté le nouveau DG de faire de la communication, un outil privilégié de travail, ce, pour l’atteinte des objectifs escomptés.

Sabari Christian DAO a remercié le Ministre d’Etat, Ministère en charge de la communication,Jean Emmanuel OUEDRAOGO pour la confiance placée en lui pour sa nomination à ce poste.

M.Dao a dit compter sur l’accompagnement de ses collaborateurs pour la réussite de sa mission.

Le nouveau directeur général du musée national a plusieurs cordes à son arc.

Il est en effet ,artiste slameur et écrivain avec notamment l’oeuvre intitulée « Sauvegarde du patrimoine culturel et immatériel au Burkina Faso » dédicacé le 9 août 2021 à Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina

ZES/ata

Bazèga : un projet lancé pour lutter contre les mariages d’enfants et les mutilations génitales féminines

Bazèga : un projet lancé pour lutter contre les mariages d’enfants et les mutilations génitales féminines

Manga (AIB) – L’association Zak La Yilguemdé a lancé, mardi 20 février 2024, à Toécé dans la province du Bazèga, la 5e édition du projet « Être fille est un droit » visant à lutter contre les mariages d’enfants et les mutilations génitales féminines au sein de la commune.

Après quatre éditions tenues dans la commune de Nobéré (province du Zoundwéogo), l’Association Zak La Yilguemdé (AZLY) reconduit de nouveau le projet « Etre fille est un droit » dans la commune voisine Toécé relevant de la province du Bazèga (région du Centre-sud).

Une journée d’informations et de plaidoyers sur les textes et lois favorables aux Droits en matière de Santé sexuelle et reproductive (DSSR) auprès de leaders communautaires, de responsables administratifs et de services techniques en charge des questions sociales et éducatives, organisée, vendredi, a servi de lancement officiel audit projet.

« Nous avons choisi la commune de Toécé après quatre ans de mise en œuvre du projet dans la commune de Nobéré parce que cela a été un succès chez le voisin et nous pensons que nous pouvons le dupliquer ici et aussi qu’avec la proximité, les populations pourront faire un bon témoignage qui faciliteront le changement de comportement », a indiqué Sara Ouédraogo de AZLY, à propos du choix spécifique de la commune de Toécé pour abriter le projet « Etre fille est un droit ».

Elle a ajouté à cela que l’option de Toécé résulte du constat que la pratique des mariages d’enfants et de l’excision a toujours cours au sein de la commune.

« Nous voulons contribuer à réduire ces taux de ces pratiques là à leur niveau le plus bas », a-t-elle souligné, puis de mentionner qu’il s’agit aussi, à travers leur intervention, de « contribuer à rehausser le taux de scolarisation et d’achèvement des filles à l’école en les aidant à renforcer leurs compétences et leurs connaissances ».

Pour parvenir aux résultats escomptés, AZLY entend, selon Sara Ouédraogo, « travailler à changer les normes sociales préjudiciables aux filles, renforcer le circuit de prise en charge des filles pour leur santé sexuelle et reproductive et améliorer leurs connaissances et leurs compétences pour qu’elles soient à mesure d’être, sans contrainte, à l’école avec joie et poursuivre leurs études ».

Intervenant au nom des bénéficiaires du projet, l’élève Konaté Nouriatou Faosia du lycée départemental de Toécé, a exprimé sa gratitude à l’endroit des initiateurs du projet avant d’annoncer leur « engagement pour accompagner les activités grâce à l’éducation par les pairs ».

Pour elle, lutter contre les mariages d’enfants et les mutilations génitales féminines est sans contexte une mesure idoine pour aider les filles à ne pas être obliger d’abandonner l’école.

Sans cela, a-t-elle poursuivi, « il sera difficile pour notre pays d’atteindre l’Objectif de Développement durable n°4 adopté par les Nations Unies en septembre 2015 et qui consiste à assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilité d’apprentissage tout au long de la vie ».

Le président de la Délégation spéciale (PDS) de la commune de Toécé, Harouna Nana, a pour sa part, promis tout l’accompagnement nécessaire à la réussite du projet.

Il a estimé que l’initiative est salutaire et salvatrice car elle va contribuer à « révolutionner les mentalités concernant les droits des enfants et adolescents en particulier des filles dans la commune ».

La 5e édition du projet « Etre fille est un droit » à Toécé va couvrir la période 2023-2024. Il est mis en œuvre grâce l’accompagnement financier de Mundo Cooperante et vise à termes à toucher 3 500 bénéficiaires directes dont 1900 filles d’âge compris entre 9 et 16 ans et 4 312 bénéficiaires indirectes.

Dix établissements primaires et sept établissements du post-primaire de 15 villages de Toécé, au total, seront concernés par les interventions du projet.

MZ/ ATA

Marche de Ouahigouya: des peines avec survis et des relaxés

Marche de Ouahigouya: des peines avec survis et des relaxés 

 

Ouahigouya, 21 fév. 2024(AIB)-Les huit prévenus interpellés suite aux casses qui ont eu lieu pendant la marche du 29 janvier 2024, ont écopé de peines avec sursis et de relaxés au bénéfice du doute.

A l’issue du procès des huit présumés coupables poursuivis pour organisation d’une manifestation illicite, attroupements armés et acte de vandalisme causés lors de la marche du 29 janvier 2024, tenu au Tribunal de grande instance de Ouahigouya, le mercredi 21 Février 2024, le président du Tribunal a requis 36 mois avec sursis pour un prévenu, 24 mois pour 4 et les trois autres ont été relaxés au bénéfice du doute.

Entamé aux environs de 8h30mns, le procès de la marche du 29 Janvier 2024 à Ouahigouya a livré son verdict.

 

Un seul prévenu a écopé d’une peine de 36 mois avec sursis avec une amende de 2 millions francs CFA fermes à payer, quatre autres ont été condamnés à 24 mois assortis de sursis avec un million de francs FCFA fermes que chacun doit payer et les trois autres ont été relaxés au bénéfice du doute.

 

Il s’agit de Abdoul Aziz Ouédraogo (membre du mouvement jeunesse engagée pour la libération du Nord), de Souleymane Sawadogo et de Issouf Ouédraogo.

 

Ils ont été accusés d’avoir organisé une manifestation illicite, occasionnera un attroupements armée et des actes de vandalisme lors de la marche du 29 janvier 2024.

 

Laquelle marche a occasionné des saccages des biens publics au niveau de l’antenne régionale de la Rtb2 Nord, du palais du roi du Yatenga, Naaba Kiiba, au 12 régiment d’infanterie commando (RIC) et à la compagnie de la gendarmerie.

A la barre ce 21 février 2024, dans une salle comble de monde, les huit prévenus ont comparu pour se défendre.

 

Tous ont plaidé non coupables. Parmi eux, quatre prévenus que sont le vice-président, le chargé à l’organisation, le chargé à la communication et à l’information et un membre sont issus du Mouvement jeunesse engagée pour la libération du Nord.

 

Selon leur version des faits, tout serait partie de l’association des jeunes commerçants du marché de Ouahigouya. « Lors d’une nuit de la veille citoyenne à la place de la Nation, nous avons été approchés pour l’organisation d’un meeting de soutien à la transition. J’ai donc informé mon président qui réside à Ouagadougou. Nous avons donc tenu une rencontre mais finalement l’association des jeunes commerçants s’est retirée car son président dit n’avoir pas été informé de la démarche. Mais, nous avions déjà informé la population de ce meeting à travers les groupes watsapp, le crieur public et autres canaux. », a indiqué le présumé coupable, le vice- président du mouvement.

 

Et de poursuivre que le 28 Janvier soit la veille de la marche, tous les membres des organisations de la société civile ont été reçus par le gouverneur de la région afin de sursoir à la marche.

 

« De retour de cette rencontre, on a envoyé des messages vocaux et fait une vidéo en direct postée sur notre page facebook  informant la population de l’annulation du meeting. Dans la même soirée, j’ai reçu des menaces de violence sur ma personne comme quoi on aurait reçu de l’argent chez le gouverneur. C’est ce qui justifie son annulation donc ils vont s’en prendre à nous. J’ai informé le reste du groupe et leur demander de se mettre à l’abri. C’est ainsi que moi et le chargé de communication, nous nous sommes réfugiés à Baporé, un village voisin», a-t-il confirmé.

 

C’est n’est qu’après qu’ils ont appris qu’une marche a eu lieu à Ouahigouya occasionnant des dégâts, selon ses dires.

Le mouvement jeunesse engagée auteur de la marche

Pourquoi n’avoir pas utilisé les mêmes canaux d’information pour informer la population de l’annulation du meeting ? a demandé le parquet.

 

Le prévenu, chargé de communication a expliqué que le temps était court pour faire appel à un crieur public. « Notre rencontre avec le gouverneur est finie aux environs de 18h. Donc c’était difficile de le faire », a-t-il répondu.

 

Aviez –vous une autorisation pour l’organisation du meeting ? a interrogé le procureur. Et le prévenu, vice-président de répondre qu’il ignorait qu’on devrait avoir une autorisation avant d’organiser un meeting.

 

« On a déjà organisé un meeting mais je ne savais pas qu’il fallait une autorisation », a-t-il ajouté.

Le président du tribunal lui a expliqué que la ville, le pays est régi par des lois nationales, traditionnelles, religieuses. « S’il y a la liberté d’aller et de venir, c’est parce que ces lois sont respectées », a précisé le président.

Les victimes à savoir la RTB2 Nord, le Naaba Kiiba, le 12é RIC et la compagnie de la gendarmerie, l’agent judiciaire, Marou Ilboudo demande qu’une réparation soit faite. Pour ce faire, il a estimé les dommages et intérêts de la RTB2 à 4 644 450FCFA, pour le RIC a 2  000  050FCA.

 

Le roi du Yatenga quand a lui a refusé de se constituer en partie civile et à refuser tout dédommagement.

Agence d’Information du Burkina (AIB)

Fleur BIRBA

Abdoulaye OUEDRAOGO(stagiaire)

 

 

 

 

 

 

 

Burkina : Le FESPACO se tiendra du 22 février au 1er mars 2025, la République du Tchad, pays invité d’honneur

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Burkina : Le FESPACO se tiendra du 22 février au 1er mars 2025, la République du Tchad, pays invité d’honneur

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB) – La 29ème édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), se tient du 22 février au 1er mars 2025 avec la République du Tchad, comme pays invité d’honneur.

Le ministre d’Etat, en charge de la culture, a fait au Conseil une communication relative à la tenue de la 29ème édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO).

Cette édition, prévue du 22 février au 1er mars 2025 a pour pays invité d’honneur, la République du Tchad, a indiqué le rapport du conseil des ministres de ce mercredi.

Le même rapport ajoute que le lancement officiel de l’appel à inscription des films est prévu pour le 29 février 2024.

« En marge du FESPACO, se tiendra le 22ème Marché international du cinéma et de l’audiovisuel africain (MICA) et les ateliers Yennega », précise le conseil des ministres.

Selon ledit rapport, l’ambition de ces ateliers est de renforcer le rôle du festival comme passerelle de soutien à l’émergence de nouveaux talents dans les principales chaînes de valeur de l’industrie cinématographique, du financement et de la finalisation des projets de films du continent pour les rendre plus compétitifs et visibles sur le marché international.
Agence d’information du Burkina
DNK/ata

Ouattara Djakaridja Hema, nommé directeur général de la SN-SOSUCO à la suite de la suspension de Séraphin Dembélé

Burkina-Agroalimentaire-Nomination

Ouattara Djakaridja Hema, nommé directeur général de la SN-SOSUCO à la suite de la suspension de Séraphin Dembélé

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB) – Ouattara Djakaridja Hema, économiste planificateur, a été nommé ce mercredi directeur général de la société sucrière SN-SOSUCO, à la place de Séraphin Dembélé dont la nomination, début février, a été suspendu le jour de son installation.

Le conseil des ministres de ce mercredi a promu Ouattara Djakaridja Hema directeur général de la société sucrière SN-SOSUCO, basée à Banfora.

Son prédécesseur, Séraphin Dembélé avait été nommé le 7 février avant d’être contesté devant la justice par l’actionnaire principal de la société, «Sucre participation»

En novembre 2023, le gouvernement avait aussi remplacé directeur général de l’Office national de l’eau et de l’assainissement après des démarches contestant sa nomination.
Agence d’Information du Burkina

Burkina: Le gouvernement va injecter 10 milliards FCFA pour répondre à la forte demande de gaz butane

Burkina-Energie-Demande-infrastructure

Burkina: Le gouvernement va injecter 10 milliards FCFA pour répondre à la forte demande de gaz butane

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB) – Le gouvernement va injecter 10 milliards FCFA dans la construction de deux dépôts de gaz butane, dans les villes de Kaya et de Koupela, afin de répondre à une forte demande de la population, a appris l’AIB de source officielle.

Le porte-parole du gouvernement a annoncé ce mercredi les noms des entreprises retenues pour réaliser un dépôt de gaz butane à Kaya, grande ville de la région du Centre-ville abritant également des milliers de personnes déplacées internes du pays et un autre dépôt à Koupela, ville située au centre-est du Pays.

Les coûts de réalisations s’élèvent 10,185 milliards FCFA, soit 6,871 milliards pour le dépôt de Kaya et 3,313 milliards pour le dépôt de Koupela. Ils seront financés par le Burkina Faso à travers la Société nationale burkinabè des hydrocarbures (Sonabhy).

«L’objectif global de ces projets est d’accroître la production de gaz face à la demande exponentielle à travers la mise à disposition de nouveaux dépôts toujours plus proches des populations», selon le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi.
Agence d’Information du Burkina

Burkina: Plusieurs terroristes tués près de Djibo, (actualisée à 20h20)

Burkina: Plusieurs terroristes tués près de Djibo, (actualisée à 20h20)

 

Ouagadougou, 21 février 2024(AIB)-Plusieurs terroristes ont été pistés ce mercredi, aux enclabures de Djibo avant d’être neutralisés dans des frappes de l’armée burkinabè, a appris l’AIB auprès de sources sécuritaires.

Les commandos du 14e Régiment interarmes (RIA) de Djibo ont tendu à l’Est de la ville, le 18 février 2024, une embuscade à un groupe terroriste.

L’assaut a permis de tuer plusieurs criminels et de récupérer du matériel de guerre.

Le mercredi 21 février 2024, une quarantaine de terroristes sont arrivés sur les lieux pour évaluer les dégâts.

Ils sont aperçus par les guetteurs du RIA puis pris dans le viseur des vecteurs aériens.

Pendant leur retrait, les terroristes seront suivis jusque dans un hameau abandonné où les attendaient d’autres criminels.

Le grand groupe se retrouve sous un grand arbre pour le compte-rendu.

C’est en ce moment précis que les vecteurs aériens vont les frapper avec précision.

Les plus chanceux s’en sortent et prennent la fuite, laissant leurs compères dans les flammes.

Mais ils seront rattrapés et traités comme le méritent des criminels sans foi ni loi.

Agence d’information du Burkina

ISTIC : partage de success stories avec des professionnels du digital

ISTIC : partage de success stories avec des professionnels du digital

Dans le cadre des Masters class, l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication a organisé le mardi 20 février 2024 un événement dénommé « Tapis rouge aux professionnels ». A cette occasion des spécialistes de la communication digitale ont partagé leurs expériences avec les stagiaires de l’institut.

Des professionnels de la communication digitale et du branding partagent leurs expériences avec les étudiants de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC). En effet, à l’occasion des Masters class, l’école a tenu un événement intitulé « Tapis rouge aux professionnels », le mardi 20 février 2024 au sein de l’établissement. « Dans le cadre des Masters class, nous avons invité des spécialistes de la communication digitale et du branding pour partager leurs expériences, parler de leurs carrières professionnelles et conseiller les étudiants », a expliqué l’un des encadreurs de l’atelier communication, Wenceslas Yoni. Il a précisé que l’organisation de cette activité a été entièrement confiée aux étudiants dans le cadre des exercices pratiques. Il a dit attendre des apprenants, qu’ils tirent profit des expériences des panélistes.

Selon Moumouni Kowé, directeur marketing et communication à Coris Holding, panéliste, avec le développement technologique, la communication digitale prend tout son sens.

Des histoires qui inspirent

« Elle est importante aussi bien pour une institution, une personnalité, et l’ensemble de ce que nous faisons aujourd’hui. Pour des stagiaires en communication avec qui nous échangé, elle peut être importante parce qu’elle peut déboucher sur des opportunités d’emplois et des métiers comme le community manager, qui est un métier important de la communication digitale », a soutenu Moumouni Kowé.

Stagiaire conseiller en communication, Catherine Bado a retenu des communications, qu’il faut de la patience et de l’amour dans tout ce que l’on entreprend. « Le premier panéliste nous a appelé à la persévérance, l’envi d’apprendre, c’est ce qui l’a amené à être experts de la communication digitale. Il nous a invité également lui emboiter le pas », a-t-elle fait savoir.

L’ISTIC organise annuellement des masters class au profit des étudiants en fin de formation afin de permettre leur immersion dans le milieu professionnel. Cette année, elle se déroulent en trois phases du 15 février au 1er avril et intègrent des pratiques professionnelles en radiodiffusion, télévision, presse écrite, presse en ligne et communication.

Joseph HARO

(Collaborateur)

 

 

Burkina : Une association veut accompagner la professionnalisation des acteurs ruraux

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Burkina : Une association veut accompagner la professionnalisation des acteurs ruraux

Ouagadougou, 21 fév. 2023 (AIB)- Le commissaire général du Salon international de l’agriculture, de l’environnement et de l’élevage (SIAEL), Jean Victor Ouédraogo a indiqué hier mardi, que le SIAEL a pour but de valoriser le processus de professionnalisation des acteurs du monde rural dans un contexte de crise sécuritaire et humanitaire du pays.

Pour le commissaire général du Salon international de l’agriculture, de l’environnement et de l’élevage (SIAEL), Jean Victor Ouédraogo, la préoccupation principale reste la valorisation des activités du monde rural.

« Aujourd’hui, les acteurs du monde rural ont subi les conséquences de la crise sécuritaire injustement imposé à notre pays et se sont déplacés à la quête de meilleures conditions sécuritaires », a-t-il soutenu.

M. Ouédraogo s’exprimait hier mardi, dans la commune de Komsilga, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la 7e édition du SIAEL organisée par l’association pour le développement du monde rural (ADMR).

Cette rencontre, placée sous le très haut patronage du Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla a pour thème : « Impact de la crise sécuritaire sur les secteurs agro-sylvo-pastoral: états des lieux et perspectives ».

Le commissaire général du SIAEL 2024 a expliqué que la rencontre va permettre, entre autre, de donner plus de visibilité à toutes les chaînes de valeur, telles l’agriculture, l’élevage et l’environnement, de mettre en valeur l’interdépendance et susciter la compétitivité entre les différents secteurs socio-professionnels du monde rural.

Il a ajouté qu’il s’agira aussi d’assurer plus d’engagement et de réussite aux jeunes et aux femmes dans les secteurs productifs.

« Le gouvernement doit soutenir dans tous ces efforts la valorisation du monde rural par des structures de la société civile, car notre espoir d’atteindre l’autosuffisance alimentaire se base sur les braves producteurs et productrices » a-t-il poursuivi.

Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla a précisé que le gouvernement a adopté en Conseil de ministres de septembre dernier, l’offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025 qui permettra d’atteindre la souveraineté alimentaire au Burkina Faso.

« La révolution agricole en cours dans notre pays exige une transformation intégrale de nos systèmes de production, de transformation, de consommation et de mises sur le marché des produits locaux », a renchéri Dr Kyélem.

Le chef du gouvernement burkinabè a aussi salué la présence de la délégation malienne conduite par le ministre de l’élevage et de la pêche, Youba Ba, représentant son Premier ministre Choguel Maïga, parrain de la cérémonie.

« Votre présence témoigne de la solidarité au sein de l’Alliance des Etats du Sahel et j’encourage vivement nos populations respectives et leurs organisations faitières, à créer des espaces de collaborations pour partager régulièrement leurs expériences et œuvrer ensemble au développement économique », a-t-il dit.

Selon lui, pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, un fonds dénommé MOUKAFA a été créé et doté d’un budget estimé à plus de 45 milliards pour les 3 premières années visant à faciliter l’accès aux financements des accords de la filière agricole, animale et végétale.

De l’avis du ministre de l’élevage et de la pêche du Mali, Youba Ba, il espére, dans le cadre du SIAEL, non seulement nouer des partenariats gagnants gagnant mais aussi constituer avec le Burkina Faso, des blocs de business pour conquérir en commun un marché extérieur profitable

M. Ba a rassuré que 15 représentants de la chambre d’agriculture du Mali participent au SIAEL 2024 et constituent un important capital de savoirs et de savoir-faire en matière d’agriculture, d’environnement et d’élevage.

« Je voudrais vous rassurer du dynamisme de nos filières agricoles, de la coordination de l’assemblée permanente des chambres d’agriculture du Mali. »

En rappel le SIAEL se déroule du 20 au 27 février 2024 dans la commune de Komsilga avec le Mali comme le pays invité d’honneur.

Agence d’information duBurkina

AMZ/no/ata

Burkina : Le gouvernement suspend l’exportation minière artisanale 

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Burkina : Le gouvernement suspend l’exportation minière artisanale 

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB)-Le ministère de l’Energie, des mines et des carrières a suspendu hier mardi, l’autorisation d’exportation de l’or et des autres substances précieuses de production artisanale et semi-mécanisée, dans un communiqué dont l’AIB a eu copie.

Dans un communiqué du 20 février 2024, le ministère de l’Energie, des mines et des carrières, suspend l’autorisation d’exportation de l’or et des autres substances précieuses de production artisanale et semi-mécanisée.

Le document note que cette suspension fait suite au besoin d’assainissement du secteur minier au Burkina Faso.

Cela traduit la volonté du gouvernement de mieux organiser la commercialisation de l’or et des autres substances précieuses.

« Durant cette période de suspension, les acteurs miniers qui disposent de quantités à exporter, sont tenus de prendre attache avec la Société nationale des substances précieuses (SONASP), qui se chargera de les payer », précise le communiqué.

La même note soutient que le ministère compte sur la collaboration et le civisme de tous les acteurs pour l’exécution des termes dudit communiqué.

Agence d’information du Burkina

HB/no/ata

 

 

Burkina : le gouvernement met en place l’Autorité nationale de coordination du foncier (ANCF)

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Burkina : le gouvernement met en place l’Autorité nationale de coordination du foncier (ANCF)

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB) – Le gouvernement a mis en place mercredi l’Autorité nationale de coordination du foncier (ANCF), dont la mission est de coordonner et surtout d’accélérer tous les processus en cours en termes de digitalisation de la gestion du foncier.

 

« Le premier rapporte porte création, attributions, organisation et fonctionnement de l’Autorité nationale de coordination du foncier (ANCF) », peut-on lire dans le rapport du conseil de ministre de ce mercredi.

Selon le même rapport, l’ANCF aura pour mission de coordonner et surtout d’accélérer tous les processus en cours en termes de digitalisation de la gestion du foncier. Elle est rattachée à la Présidence du Faso.

Selon le ministre d’Etat, Porte-parole du gouvernement, il s’agit « d’une étape importante qui vise à créer les conditions d’une grande transparence dans ce secteur et surtout, à favoriser la gestion de l’apurement du passif foncier ».

Agence d’information du Burkina

DNK/ATA

Burkina: Le gouvernement adopte un décret pour faciliter la dénonciation des actes de corruption dans l’administration 

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Burkina: Le gouvernement adopte un décret pour faciliter la dénonciation des actes de corruption dans l’administration 

 

Ouagadougou, 21 fév. 2024(AIB)-Le gouvernement burkinabè a adopté mercredi, un décret pour faciliter la dénonciation des actes de corruption dans l’administration, lesquelles dénonciations seront transmises à la présidence du Faso, en échange de récompense si les actes dénoncés sont avères.

 

 

« Le deuxième décret porte conditions et modalités de dénonciation des faits de corruption et infractions assimilées, des mauvaises pratiques dans les administrations publiques ainsi que les récompenses y afférentes. Ce décret vient concrétiser la volonté affichée du Chef de l’Etat de lutter contre les mauvaises pratiques dans l’administration publique mais aussi contre la corruption », lit-on lire dans le rapport du conseil de ministre de ce mercredi.

Selon le ministre en charge, de la communication, porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo, « il s’agit véritablement de permettre à l’ensemble des citoyens qui sont victimes ou témoins de corruption ou de mauvaises pratiques dans l’administration publique de pouvoir exercer leur droit de dénonciation et surtout que ces actes de dénonciation puissent être également transmis au niveau de la Présidence du Faso ».

Il a également précisé qu’il est prévu des récompenses pour ceux qui dénoncent si ces actes en question sont avérés.

Le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, a affiché depuis sa prise du pouvoir en septembre 2022, sa volonté de lutter contre la corruption qui gangrène l’administration publique.

En janvier dernier dans une rencontre avec le personnel de la présidence, le capitaine Traoré a annoncé démarrer la machine de la lutte contre la corruption et l’absentéisme dans l’administration publique pour l’année 2024.

Il avait également annoncé que la traque contre la corruption a déjà commencé au sein de l’armée avec la radiation des soldats indélicats.

 

Agence d’information du Burkina

DNK/ATA

Le Niger inaugure un palais des sports et de la culture à Dosso, d’un coût de 127 millions FCFA

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Le Niger inaugure un palais des sports et de la culture à Dosso, d’un coût de 127 millions FCFA

Ouagadougou, 21 fév. 2024 (AIB) – Les autorités nigériennes ont inauguré ce mercredi à Dosso (130 km au sud-est de Niamey), le centre Olympafrica de Dosso, un palais des sports et de la culture d’un coût de réalisation de 127 millions FCFA, selon l’Agence nigérienne de presse

Le ministre nigérien de la Jeunesse de la Culture, des Arts et des Sports, le colonel-major Abdourahamane Amadou a inauguré le centre Olympafrica de Dosso, région frontalière du Bénin et du Nigeria, au cours d’une cérémonie marquée de démonstrations de lutte traditionnelle, de taekwondo, etc.

Etabli une superficie de 8 hectares, le centre comprend un terrain de football, une piste d’athlétisme, un plateau polyvalent, une grande salle pour les sports de salle et les spectacles, des vestiaires. Il dispose aussi d’un espace réservé au maraîchage et aux cultures de contre-saison entre autres.

Le maire de la commune urbaine de Dosso, Abdou Madougou a rappelé que c’est depuis le 28 novembre 2021 qu’est allumée la flamme Olympafrica dans sa commune, s’est allumée à Dosso devant une foule pleine d’espoir. Cette flamme, a-t-il précisé, illumine plus que jamais le ciel dans la région de Dosso, rapporte l’ANP.

Agence d’Information du Burkina

Burkina : création d’une autorité pour accélérer la digitalisation de la gestion du foncier

Burkina : création d’une autorité pour accélérer la digitalisation de la gestion du foncier

 

Ouagadougou, 21 fév. 2024(AIB)-Le gouvernement burkinabè a annoncé mercredi, la création de l’Autorité nationale de coordination du foncier (ANCF) avec pour mission principale l’accélération de la digitalisation de la gestion du foncier et l’apurement du passif foncier.

Agence d’information du Burkina

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