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Burkina/CENI : Le rapport public 2022-2023 remis au Chef de l’Etat

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Burkina/CENI : Le rapport public 2022-2023 remis au Chef de l’Etat

Ouagadougou, 23 Fév. 2024 (AIB)- Le président de la Transition, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré a reçu ce vendredi, le Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Elysé Ouédraogo, venu remettre le rapport public 2022-2023 de 90 pages, qui retrace les activités et les actions menées par l’institution au cours de la période 2022-2023.

« Nous n’avons pas encore un calendrier électoral; mais au niveau de la CENI, cela ne signifie pas que nous sommes sans activités. Nous travaillons à préparer nos plans d’opérations qui concernent toutes les phases du processus électoral, la révision du fichier électoral, la gestion des candidatures, l’organisation pratique du scrutin, la gestion des résultats, la gestion des personnes spécifiques », a indiqué le Président Elysé OUEDRAOGO après la remise du rapport.

Pour lui, ces différentes questions font l’objet de planification, de description en termes de procédures, d’organisation concrète des différentes phases du scrutin et de prises en compte des personnes en situation de handicap, des personnes déplacées internes et de la diaspora.

Au cours de la période 2022-2023, l’institution, selon son président, a travaillé à renforcer les capacités des commissaires et du personnel « pour nous permettre de monter en professionnalisme de sorte que les échéances à venir, lorsque les autorités auront apprécié et décidé du moment des élections, nous puissions être prêts pour réussir le pari ».

Le Chef de l’Etat a encouragé l’équipe de la CENI et lui a fait part de la disponibilité du gouvernement à accompagner l’Institution pour la réussite des scrutins à venir qui devront garantir la participation de tous les Burkinabè.

Agence d’information duBurkina

Bazèga : Le nouveau président de la délégation spéciale prend fonction

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Bazèga : Le nouveau président de la délégation spéciale prend fonction

Kombissiri, 2024 (AIB)- Le nouveau Préfet et président de la délégation spéciale de Kombissiri, Boukary Porgo, a officiellement pris fonction le jeudi 22 février 2024 a eu lieu à Kombissiri.

 Nommé en conseil des ministres le 24 janvier 2024, Boukary Porgo, nouveau Préfet et président de la délégation spéciale (PDS) de Kombissiri remplace à ces postes Hamidou Yarbanga.

Le nouveau PDS de Kombissiri a félicité son prédécesseur pour le travail abattu à la tête du département et la commune de Kombissiri. Il dit compter sur le soutien de l’ensemble de ses collaborateurs et de l’administration provinciale pour poursuivre les chantiers  entamés et relever les défis.

Le PDS sortant, Hamidou Yarbanga, a adressé ses félicitations à son successeur pour sa nomination à la tête du département et de la commune de Kombissiri et lui a souhaité bon vent dans la mission qui est désormais la sienne.

Après plus d’un an passé à la tête du département de Kombissiri, Hamidou Yarbanga, s’est dit satisfait des actions entreprises et des résultats engrangés pour le bonheur des populations dudit département.

Il a remercié ses supérieurs et l’ensemble de ses collaborateurs et des forces vives de la commune qui lui ont permis d’atteindre ses résultats.

La cérémonie d’installation a été présidée par la Secrétaire générale de la province du Bazèga, Wossolème Clarisse Denni, en présence des collaborateurs, collègues, parents et amis des deux Préfets entré et sorti.

Agence d’information du Burkina

TPT/dnk

 

 

Ioba/Réhabilitation de la route nationale (RN) 12 : Les populations de Dano veulent une route de meilleure qualité.  

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Ioba/Réhabilitation de la route nationale (RN) 12 : Les populations de Dano veulent une route de meilleure qualité. 

Dano, (AIB) – la haut-commissaire de la province du Ioba, Bernadette Adenyo née Sermé, a tenu  une rencontre d’échanges avec les populations bénéficiaires sur les travaux de réhabilitation de la RN 12/phase 1, le mardi 20 février 2024 à Dano.

 

 Cette rencontre a connu la participation du chef du projet de la réhabilitation de la route nationale (RN) 12, Taïbou Traoré. C’est la phase 1 de la réhabilitation de la RN 12 Pâ-Dano-Diébougou, longue de 93 kilomètres. Étaient également présents, les responsables du groupement d’entreprises EKS/SOBMTI chargé des travaux et l’équipe du bureau du suivi/contrôle.

Les bénéficiaires et les riverains de la RN 12 à l’intérieur de la ville de Dano ont pris part à la réunion d’échanges.

La rencontre a permis au chef du projet, Taïbou Traoré, de donner les informations justes sur l’avancée des travaux en cours. Selon lui, le taux d’exécution est de 10,77 %.

Sa communication s’est surtout focalisée sur les travaux à réaliser en traversée d’agglomération de la ville de Dano. Il est prévu de l’éclairage solaire par endroit le long de la voie,  des caniveaux et des dalots de traversée ainsi que des plantations d’arbres pour créer de l’ombrage, a expliqué M. Traoré. Le chef du projet a précisé qu’en ce qui concerne la chaussée en traversée d’agglomération, l’option retenue est une fois deux voies pour Dano avec un élargissement de douze (12) mètres.

Les doléances pour la réalisation de deux fois deux voies n’est pas possible au stade actuel, a ajouté M. Traoré. Il a relevé que la réhabilitation de la RN12 phase 1 est entièrement financée par le budget national à travers le fonds spécial routier à hauteur de plus de douze milliards de francs CFA. Le maître d’ouvrage est le ministère des infrastructures et du désenclavement, a-t-il ajouté.

L’ensemble des participants ont invité le groupement d’entreprise EKS/SOBMTI à tout mettre en œuvre pour leur offrir des travaux de bonnes qualités. Ils ont posé plusieurs questions d’éclaircissement et formulé encore des doléances surtout pour des travaux connexes. Les riverains ont émis des inquiétudes par rapport au déroulement des travaux dans la ville. Certains ont aussi fait des apports pour la réussite des travaux.

Le préfet, président de la délégation spéciale communale de Dano, Denis Zanré, a salué la mobilisation des populations et leur participation active aux échanges. Il a demandé de faciliter l’exécution des travaux lors de la traversée d’agglomération.

La haut-commissaire de la province du Ioba, Bernadette Adenyo / Sermé, a souligné que toute la population attend la réhabilitation de la RN12. Cette route va faciliter la mobilité des personnes et le transport des biens, a-t-elle ajouté. Elle a rassuré les acteurs du projet de l’accompagnement de tous afin de permettre la bonne marche du chantier.

Mme Adenyo a remercié les autorités nationales pour la réalisation des travaux de réhabilitation de la RN12, phase 1 Pâ-Dano-Diébougou.

Agence d’information du Burkina                               

SZ/dnk

Un nouveau Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) renforce le maillage et la puissance de feu dans à la région de l’Est

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Un nouveau Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) renforce le maillage et la puissance de feu dans à la région de l’Est

Ouagadougou, 23 fév. 2024 (AIB) – Un Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) commandé par le capitaine «Tonnerre», s’est installé dans la région de l’Est pour renforcer le maillage et la puissance de feu dans cette importante zone frontalière avec le Niger, le Togo et le Bénin.

Selon des sources sécuritaires, le bataillon du capitaine surnommé «Thor», le dieu nordique du feu et du tonnerre, va intervenir dans l’un des quatre provinces de la région de l’Est pour davantage d’efficacité contre les menaces terroristes récurrentes dans la région.

Elle aura pour mission d’assurer les escortes de grands convois logistiques au profit des Forces Armées Nationales ou de tout autre organisme, de participer à la lutte contre le grand banditisme aux côtés des Forces de sécurité intérieure, de préserver et de perpétuer les traditions militaires.

En rappel, le chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré a créé en octobre 2023, sept nouveaux Bataillons d’intervention rapide (BIR) dont deux prévus pour la région de l’Est.

Agence d’Information du Burkina

Burkina: Des promoteurs de projets écologiques reçoivent leurs chèques pour l’adaptation au changement climatique

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Burkina: Des promoteurs de projets écologiques reçoivent leurs chèques pour l’adaptation au changement climatique

Ouagadougou, 22 fév. 2024 (AIB)- 20 promoteurs de projets d’adaptation au changement climatique ont reçu, jeudi, au ministère en charge de l’Eau et de l’Assainissement, des chèques d’une valeur totale de 1 milliard 18 millions de FCFA pour la mise en œuvre de leurs projets respectifs.

Dans le cadre du projet intégré des ressources en eau (GIRE) 2021-2025, un lancement à projet en 2023 a permis de sélectionner des projets qui répondent aux enjeux des changements climatiques.

Pour le ministre en charge de l’Eau et de l’Assainissement, Roger Baro, ces projets visent à améliorer significativement la résilience des populations rurale vis-à-vis des changements climatiques et des défis sécuritaires conformément à la vision stratégique du gouvernement.

« Sur 113 projets reçus, 20 ont été retenus à l’issus des travaux, pour impacter et contribuer significativement à l’amélioration de la résilience climatique de 66 135 bénéficiaires directs incluant des personnes déplacées internes », a indiqué M. Baro.

Le ministre en charge de l’Eau et de l’Assainissement a, par ailleurs, invité les porteurs de projets sélectionnés à leurs obligations de résultats et de gestions saine et transparente des ressources financières qui sont mises à leur disposition.

« J’effectuerai personnellement des visites terrains pour apprécier la mise en œuvre de ces projets », a-t-il indiqué.

Il a remercié l’Ambassade du Danemark qui a financé ces projets à hauteur de plus d’un milliard de FCFA.

L’ambassadeur du Danemark, Kristian Kirkegaard Edinger, quant à lui, a rappelé que l’un des objectifs du programme de développement bilatéral Burkina Faso-Danemark (2021-2025) est d’aider le pays à mieux faire face aux changements climatiques au profit de la population burkinabè.

« Pour une enveloppe totale estimé 93 milliards de FCFA pour la période 2021-2025, 39 milliards de Franc CFA sont alloués à l’Eau et l’Assainissement dont 8,8 milliards pour la GIRE. Le secteur de l’eau représente alors 42% de notre engagement au Burkina Faso », a-t-il souligné.

L’ambassadeur danois a alors invité les promoteurs à travailler avec conviction et redevabilité afin de prouver leur capacité à mettre en œuvre de tels projets au bénéfice de leurs communautés respectives.

« Aux directions générales des agences de l’eau, je vous invite à jouer pleinement votre rôle de suivi, d’apprentissage et de capitalisation tout au long de ce processus. Les leçons qui seront tirées permettront d’améliorer vos procédures pour vos futurs appels à propositions », a-t-il ajouté.

La représentante des comités de bassin des agences de l’eau, Léonie Ilboudo/Hien, a mis en avant l’importance de la GIRE pour renforcer la résilience des écosystèmes et des populations, face aux effets dévastateurs du changement climatique.

Mme Ilboudo/Hien ajoute que ces projets vont apporter une contribution forte à l’adaptation aux changements climatiques et générer un bénéfice certain pour les usagers et les écosystèmes.

« Nous allons veiller à une mise en œuvre efficiente de ces projets afin que chaque résultat soit atteint et produise l’effet attendu », a-t-elle rassuré.

Pour le représentant des bénéficiaires de chèques, Gaston Sanou, grâce à ce soutien, ils pourront mettre en œuvre des innovations adaptés au changement climatique pour faire face aux défis environnementaux rencontrés dans nos bassins.

« Dans le contexte économique actuel, nous mesurons pleinement l’ampleur de cet effort financier qui marque particulièrement l’importance que vous accordez à l’adaptions aux changements climatiques dans le secteur des usages de l’eau », a rassuré M. Sanou.

« Nous vous rassurons donc quant à notre engagement à fournir les efforts appropriés à l’atteinte des résultats », a-t-il poursuivi.

M. Sanou a reçu un chèque de 34 millions 979 millions FCFA pour son projet qui porte sur la protection du marigot Houet dont l’environnement est entièrement pollué à travers la réalisation de digues filtrantes.

A l’instar de M. Sanou, la représentante pays de l’ONG Humundi Alimata Sawadogo, a reçu un chèque de 213 millions 790 mille FCFA.

« Cela va permettre de mener des actions aux niveaux de Ziga-Est et Ziga-Ouest pour accompagner les maraichers qui ont besoin effectivement de valoriser des pratiques agro-écologiques pour impulser le dynamique de sécurité alimentaire dans la région », a-t-elle souligné.

Agence d’information du Burkina

AMZ/ata

Photos: Issouf TRAORE

Burkina: Pas de mouvements d’humeur au sein du GUMI 9, officiel 

Burkina: Pas de mouvements d’humeur au sein du GUMI 9, officiel 

Ouagadougou, 23 fév. 2024(AIB)-La police nationale a assuré vendredi qu’il n’y a pas de mouvement d’humeur au sein du GUMI 9, comme l’annonce les rumeurs.

Agence d’information du Burkina

Le 22 février 2024, le Directeur Général de la Police Nationale mettait fin à la mission et aux activités de sécurisation des éléments du gente Groupement des Unités Mobiles d’Intervention (GUMI 9) qui était basé à Yamba dans la province du Gourma, région de l’Est. Ce message, qui permet de réorganiser et de traiter dans le fond, tous les problèmes de ce GUMI, est sans appel.

Depuis ce jour 23 février 2024, des publications malveillantes tentent de semer la confusion dans l’opinion publique et de mobiliser les éléments des autres GUMI à observer un mouvement d’humeur collectif. D’autres publications fallacieuses ont fait état de tirs effectués au sein des GUMI en activité.

Le Directeur Général de la Police Nationale et l’ensemble du commandement, tiennent à saluer et à féliciter tous les GUMI et UMI pour le travail satisfaisant abattu au quotidien sur le terrain, et rassurent l’opinion publique que ces publications sont sans fondement et dénuées de toute crédibilité.

Ils rassurent les populations qu’aucun mouvement d’humeur et encore moins des tirs, ne sont observés au sein des unités mobiles de la Police Nationale, qui continuent honorablement de mener leurs opérations de sécurisation des populations.

Tout en renouvelant ses félicitations et encouragements aux éléments des GUMI et UMI, et à l’ensemble des policiers qui luttent contre l’insécurité sur le territoire national, le commandement les invite à faire preuve de vigilance quant au caractère visiblement malveillant de ces publications qui tendent à saper les efforts consentis.

Le commandement les invite enfin à redoubler d’efforts en vue de parachever l’œuvre de reconquête du territoire national.

La Police Nationale, une force publique au service des citoyens !

#AIB

Police Nationale : Communiqué

Burkina/Religion: L’abbé Charles Wanga exhorte les fidèles catholiques à multiplier les actes de charité 

Burkina/Religion: L’abbé Charles Wanga exhorte les fidèles catholiques à multiplier les actes de charité 

 

Ouagadougou, 23 février 2024(AIB)-L’abbé Charles Wanga a exhorté vendredi les fidèles catholiques, à multiplier les actes de charité et de miséricorde en faveur des plus démunis, en particulier en cette période de Carême.

Vendredi en milieu de journée, les fidèles catholiques de la paroisse Cathédrale de Ouagadougou se sont retrouvés pour prier le chemin de croix.

Cet acte de foi qui se déroule chaque vendredi pendant le temps de Carême, permet aux fidèles de méditer les souffrances de Jésus-Christ depuis son arrestation jusqu’à sa crucifixion et de revivre sa résurrection.

L’abbé Charles Wanga qui a dirigé la prière, a invité les fidèles à prendre l’exemple du Christ notamment par des actes de charité et de miséricorde envers les nécessiteux.

Pendant la messe qui a suivi, le prêtre a demandé aux paroissiens d’abandonner la méchanceté et de persévérer dans les bonnes actions, comme le recommande le prophète Ezekiel.

Pour Charles Wanga, il faut éviter les accès de colère et les insultes comme l’enseigne le Christ lui-même.

Agence d’information du Burkina

Maroc : le Roi Mohammed VI reçoit le Président du gouvernement du Royaume d’Espagne, en visite de travail au Maroc

Burkina-Maroc-Espagne-Visite

Maroc : le Roi Mohammed VI reçoit le Président du gouvernement du Royaume d’Espagne, en visite de travail au Maroc

Ouagadougou, 23 fév. 2024 (AIB) – Sa Majesté le Roi Mohammed VI a reçu mercredi dernier au Palais Royal de Rabat, Pedro Sanchez, Président du Gouvernement du Royaume d’Espagne, qui effectue une visite de travail au Maroc, a-t-on appris du communiqué du cabinet royal dont l’AIB a eu copie.

« Cette visite s’inscrit dans la continuité de la nouvelle phase des relations bilatérales, entamée depuis la rencontre entre Sa Majesté le Roi, que Dieu Le glorifie, et le Président du Gouvernement espagnol, en avril 2022, et l’adoption, à cette occasion, de la Déclaration conjointe entre les deux pays », a indiqué le communiqué du cabinet royal.

Cette nouvelle dynamique se déploie de manière satisfaisante. Elle est marquée par le renforcement de la coopération, de la coordination et du partenariat dans tous les domaines, sur la base des principes de la confiance, du respect mutuel, de l’ambition, du bon voisinage et du respect des engagements.

À l’occasion de cette Audience, le Président du gouvernement espagnol a réitéré à Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, la position de l’Espagne, contenue dans la déclaration conjointe d’avril 2022, considérant l’initiative marocaine d’autonomie comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend. Sa Majesté le Roi a remercié l’Espagne pour cette nouvelle position constructive et importante.

Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, et Son Excellence Monsieur Pedro Sanchez, ont souligné les perspectives uniques de coopération qui s’ouvrent aux deux pays voisins.

L’organisation conjointe – avec le Portugal – de la Coupe du Monde de football 2030, constitue un levier supplémentaire de renforcement des relations bilatérales.

Par ailleurs, le Président du Gouvernement espagnol a salué et marqué l’intérêt de l’Espagne pour les initiatives stratégiques lancées par Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, notamment l’Initiative des pays africains riverains de l’Atlantique, l’Initiative Royale pour favoriser l’accès des pays du Sahel à l’Océan Atlantique, ainsi que le Gazoduc Africain-Atlantique Nigéria Maroc.

Ont assisté à cette audience du côté espagnol, M. José Manuel Albares, ministre des Affaires étrangères, de l’Union Européenne et de la Coopération, Mme Emma Aparici, secrétaire générale des Affaires étrangères à la Présidence du gouvernement, et du côté marocain, M. Fouad Ali El Himma, Conseiller de SM le Roi et M. Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

A son arrivée au Palais Royal, le Président du gouvernement espagnol a passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d’être convié à la traditionnelle cérémonie d’offrande de lait et de dattes ».
Agence d’information du Burkina

Kompienga : La population de Pama organise une marche meeting pour réclamer un convoi de ravitaillement 

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Kompienga : La population de Pama organise une marche meeting pour réclamer un convoi de ravitaillement 

Pama, (AIB)-La population de la ville de Pama, région de l’Est, a organisé une marche-meeting, le jeudi 22 février 2024, pour réclamer un ravitaillement de toute urgence.

Afin de parer à un drame humanitaire, la population de la ville de Pama a tenu une marche-meeting le jeudi 22 février 2024.

Selon le porte-parole des manifestants, Jules César Onadja, ils sont sortis pour réclamer un ravitaillement de toute urgence car le dernier convoi date du mois d’Août 2023.

Il a aussi ajouté le manque de produits pharmaceutiques dans la province.

La ville de Pama connaît une pénurie depuis quelques mois obligeant la population à utiliser la farine de soja pour faire du tô.

Les manifestants ont traduit leur soutien aux autorités de la Transition et ont espéré que leurs doléances fassent échos.

Agence d’information du Burkina

AO/hb/yo

Burkina : 72 heures de concertation entre les sociétés d’électricité de l’AES pour prendre en main leur « destin en matière d’approvisionnement en électricité »

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Burkina : 72 heures de concertation entre les sociétés d’électricité de l’AES pour prendre en main leur « destin en matière d’approvisionnement en électricité »

Ouagadougou, 23 fév. 2024 (AIB)-La première rencontre de concertation entre les sociétés d’électricité des pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) a pris fin dans la soirée du jeudi à Ouagadougou. Elle témoigne la volonté de l’AES de prendre en main son « destin en matière d’approvisionnement en électricité », selon le représentant du ministre en charge de l’Energie Souleymane Kéré.

 

«Cette rencontre n’a été ni plus ni moins que la démonstration de notre volonté affichée de prendre notre destin en main en matière d’approvisionnement de nos pays en électricité », a affirmé jeudi soir à Ouagadougou, le représentant du ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières Souleymane Kéré.

M. Kéré, par ailleurs, président du Conseil d’administration (PCA) de la SONABEL s’exprimait au terme des 72 heures de la première rencontre de concertation entre les sociétés d’électricité des pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES).

Aux experts des trois pays qui ont mené les travaux de Ouagadougou, le représentant du ministre a estimé qu’ils ont accompli quelque chose d’«historique et d’admirable» et joué leur «partition en tirant la sonnette d’alarme».

Le PCA de la SONABEL a rassuré les experts que les conclusions de la rencontre vont être transmises sans délai aux trois chefs d’Etats des pays de l’AES.

 

Selon le directeur général de la SONABEL Souleymane Ouédraogo, le Niger va développer une centrale à charbon, le Mali une centrale hydroélectrique et le Burkina va accroitre sa production d’énergie solaire.

« Nous pouvons y arriver et devons y arriver. Nous pouvons compter sur la mobilisation des populations et l’appui des partenaires techniques et financiers car ce sont des projets structurants », a-t-il souligné.

Agence d’information du Burkina

NY-WHN/wis

Burkina : Un appareil d’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) au profit du Centre Hospitalier Universitaire Souro Sanou

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Burkina : Un appareil d’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) au profit du Centre Hospitalier Universitaire Souro Sanou

Ouagadougou, 23 fév. 2024 (AIB)- Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a inauguré jeudi, l’appareil d’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) du Centre Hospitalier Universitaire Souro Sanou (CHU-SS) de Bobo-Dioulasso.

La disponibilité de l’IRM au CHU-SS viendra soulager le personnel, les usagers et toute la population de la région des Hauts-Bassins et environnante qui sont les bénéficiaires directs de cet équipement combien important pour les hôpitaux.

 

La mise en service de cette IRM au CHU-SS va permettre également aux praticiens hospitaliers d’établir un diagnostic plus fiable, et de proposer des traitements efficaces sans recours à la radiation ou à du matériel radioactif.

 

Par ailleurs, cette importante acquisition au profit du CHU-SS va renforcer les capacités des praticiens de cet hôpital en matière de diagnostic, en ce sens qu’elle va permettre de faire des diagnostics plus pointus et plus précis des pathologies.

Il convient de relever que des instructions ont été données aux services techniques et aux organes dirigeants du CHU-SS, afin qu’ils travaillent à baisser et à harmoniser les tarifs des examens d’IRM dans le secteur public, dans l’optique de les rendre accessibles financièrement à la population.

Agence d’information du Burkina

WIS/NO

Source : DCRP/Primature

Journée de l’aviation civile dans l’espace de l’AES : Le Premier ministre invite à la création d’une compagnie aérienne commune

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Journée de l’aviation civile dans l’espace de l’AES : Le Premier ministre invite à la création d’une compagnie aérienne commune

Ouagadougou, 23 fév. 2024 (AIB)-Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a invité ce jeudi, à Bobo-Dioulasso, à la cérémonie d’ouverture de la première édition des Journées de l’aviation civile (JDAC) dans l’espace de l’Alliance des États du Sahel (AES), à la création d’une compagnie aérienne commune.

Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a présidé, ce jeudi 22 février 2024, sur l’esplanade de l’aéroport international de Bobo-Dioulasso, la cérémonie d’ouverture de la première édition des Journées de l’aviation civile (JDAC) dans l’espace de l’Alliance des États du Sahel (AES).

 

A cette occasion, il a relevé trois objectifs fondamentaux qui guident l’AES. Il a cité la construction du chemin de fer Bamako-Ouagadougou Niamey, la construction de l’autoroute Bamako-Ouagadougou-Niamey et la création d’une compagnie aérienne commune.

 

«Il faut que nous fassions savoir que nous existons. C’est une nécessité. Ça va coûter cher mais ce n’est pas impossible. C’est une question d’ambition», a-t-il affirmé.

 

La première édition des Journées de l’aviation civile (JDAC) dans l’espace de l’Alliance des États du Sahel (AES) se déroule du 22 et 23 février 2024 dans la capitale économique burkinabè.

 

Pendant deux jours, décideurs, experts et acteurs de l’aéronautique du Burkina Faso, du Mali et du Niger vont échanger autour du thème central «Développement durable de l’aviation civile dans l’espace de l’AES dans un contexte de résilience : défis et perspectives».

 

Pour mener à bien cette réflexion, plusieurs panels vont meubler ces premières journées de l’aviation civile dans l’espace de l’AES.

 

Il s’agit, entre autres, de «La création de la compagnie AES, quelles stratégies de mise en œuvre», et «Le développement de l’aviation civile dans les pays membres de l’AES, aéroports et aérodromes de l’intérieur».

 

Selon Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, le thème central de la présente édition des JDAC est interpellateur, en ce moment décisif de l’histoire de l’AES, car il traduit la volonté des plus hautes autorités des trois États du Sahel, de donner au transport aérien une autre dimension, un rôle central et stratégique au regard des défis et des enjeux de l’heure.

 

«En mutualisant les idées et les propositions de solutions, les administrations de l’aviation civile de nos trois États entendent conjuguer leurs efforts, afin de donner une réponse appropriée aux aspirations légitimes de nos populations», a-t-il expliqué.

Du reste, il a soutenu que l’aviation civile joue un rôle crucial dans le développement d’une grande région comme l’AES sur cinq points essentiels, à savoir renforcer la connectivité et favoriser l’accessibilité des régions éloignées et des zones géographiquement isolées, stimuler l’économie par la création d’emplois directs et indirects, développer le tourisme, faciliter le commerce international et assurer l’accès aux services essentiels.

Et d’indiquer, «en résumé, l’aviation civile est un catalyseur majeur du développement régional, offrant des avantages économiques, sociaux et culturels significatifs pour une grande région comme la nôtre».

De son avis, «elle ne se limite donc pas à des voyages d’affaires ou de loisirs. Elle est une artère vitale pour le développement économique, social et culturel de nos pays, en particulier dans ce contexte où des Hommes sans foi ni loi tentent de nous faire sombrer dans un chaos qui leur serait profitable».

De l’avis du Premier ministre, dans le contexte actuel, l’aviation civile est bien plus qu’un simple maillon du secteur des transports, car elle est un symbole de la souveraineté de notre espace et un moteur essentiel du développement économique, social et technologique.

C’est pourquoi, il est convaincu que la souveraineté aérienne est un pilier fondamental de notre indépendance retrouvée. «Elle garantit que nos pays ont le contrôle total de leur espace aérien, de leurs infrastructures aéroportuaires et de leurs compagnies aériennes».

«En renforçant donc notre capacité à assurer la sûreté et la sécurité de notre espace aérien, nous protégeons notre territoire et nos citoyens contre toute menace extérieure. Cela est d’autant plus d’actualité que nos récentes décisions et actions, ont amené certains à nous fermer leur ciel», a-t-il ajouté.

 

Puis, Dr Kyélèm de Tambèla a mentionné que le développement, le renforcement de la desserte aérienne dans l’espace AES, la modernisation des infrastructures aéroportuaires et les questions sécuritaires auxquels sont confrontés nos États imposent de développer une dynamique de renforcement des liens de coopération et d’entraide afin de trouver ensemble, des solutions idoines pour faire face à un environnement devenu de plus en plus complexe et hostile.

 

«Nous tenons une occasion exceptionnelle de transformer l’enclavement de nos États en atout majeur. Malgré la complexité de notre position géographique de pays de l’hinterland, notre espace aérien commun représente des enjeux géostratégiques, géopolitiques et économiques très importants, dont nous n’avons pu ou su tirer la plénitude des dividendes que nous sommes en droit d’attendre», a-t-il insisté.

 

Agence d’information du Burkina

WIS/NO

L’AES et les nouvelles conditions de séjour des étrangers au Burkina font la Une des journaux Burkinabè

Burkina-Revue-Presse

L’AES et les nouvelles conditions de séjour des étrangers au Burkina font la Une des journaux Burkinabè

Ouagadougou, 23 Fév. 2024. (AIB)- Les parutions de ce vendredi commentent largement les nouvelles conditions d’entrée et de séjour des étrangers au Burkina Faso et la rencontre des sociétés d’Electricité de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) pour la construction d’une centrale à charbon au Niger.

« Electricité pour tous dans l’espace AES : Les experts tablent sur la valorisation des ressources endogènes », affiche à sa Une, le quotidien d’Etat Sidwaya.

Le journal informe que la première rencontre de concertation entre les sociétés d’électricité des pays de l’AES a pris fin dans la soirée du 22 février 2024 à Ouagadougou.

Le quotidien d’Etat soutient que les experts ont identifié plusieurs projets à court moyen et long terme, en vue de sécuriser l’approvisionnement des pays en électricité.

Le confrère Le Pays précise que l’adoption dudit projet de loi va également permettre non seulement de lutter efficacement contre les groupes terroristes et les organisations criminelles transfrontalières et transnationales, mais aussi de réduire considérablement l’insécurité sur le territoire burkinabè.

Le quotidien privé L’Observateur Paalga ajoute que les experts burkinabè, maliens et nigériens ont défini six axes stratégiques et formulé des recommandations dans le but de trouver des solutions endogènes à la fourniture du jus aux populations.

La presse burkinabè s’est intéressée également à la loi sur les entrées et sorties au Burkina Faso.

Le quotidien d’Etat Sidwaya titre a cet effet « loi sur les entrées et sorties au Burkina Faso : Les députés donnent leur quitus ».

Le journal précise que l’Assemblée législative de Transition (ALT) a adopté en plénière, le jeudi 22 février 2024 à Ouagadougou, une loi portant condition d’entrée et de séjour des étrangers, des sorties des nationaux et étrangers du territoire national.

Le quotidien privé L’Observateur Paalga parlant toujours des nouvelles conditions d’entrée et de séjour des étrangers poursuit que de l’avis du ministre délégué en charge de la sécurité, Mahamoudou Sana, la nouvelle loi va permettre non seulement aux forces de polices de prendre les mesures appropriées de contrôle aux frontières qu’exige le contexte sécuritaire actuel, mais aussi d’internaliser les différentes conventions et résolutions internationales.

Le Pays quant à lui titre à sa manchette « Entrée et sorties des étrangers et nationaux, du Burkina : La loi votée à l’unanimité ».

Il indique que le projet de loi a été adopté dans un contexte d’accroissement du flux migratoire mondial marqué par l’apparition de menaces asymétriques telles que le terrorisme, le grand banditisme et les trafics de tout genre.

Agence d’information du Burkina

MJR/no/hb/yo

 

 

Mouhoun/Sortie annuelle des masques en feuilles : Une semaine de festivités pour invoquer la paix et la cohésion sociale

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Mouhoun/Sortie annuelle des masques en feuilles : Une semaine de festivités pour invoquer la paix et la cohésion sociale

Dédougou, (AIB) : La traditionnelle sortie des masques en feuilles de Dédougou a commencé ce jeudi 22 février 2024 à Dédougou. Durant une dizaine de jours, les masques, à travers des rites et des processions vers les sites sacrés de la ville et des visites aux autorités administratives, invoqueront la paix, la sécurité et le bien être pour les populations de la « cité de Bankuy » et pour la nation entière.

 Ce jeudi 22 février 2024, marque la sortie officielle des masques en feuilles de Dédougou. Durant une dizaine de jours, les masques en feuilles sillonneront les artères de la ville et les sites sacrés de la ville pour présenter leurs civilités aux notabilités coutumières et aux responsables de l’administration publique.

Pour le responsable coutumier en charge de la brousse, Dofinizoumou Dayo, il est de coutume qu’à chaque sortie, les masques passent chez les autorités pour les saluer et leur souhaiter un climat de paix et de cohésion dans la cité.

« Cette sortie de masques constitue pour nous le premier jour d’une nouvelle année. Nous prions pour la paix, la sécurité et la cohésion dans notre cité et partant pour tout le pays », a dit le notable.

Selon les garants de la tradition, les masques en feuilles sortent à la fin des récoltes pour chasser les maladies et souhaiter tout ce qu’il y a comme bonheur pour le village.

« Ils sont sacrés car ils sont du Do. C’est le matin de bonheur que les initiés s’habillent à l’aide de feuilles fraîches dans le bois sacré ou un site approprié choisi par les sages. Après les rites en ville, ils y retournent le soir pour se déshabiller. Les feuilles sont immédiatement brûlées. Pour éviter les débordements, des directives ont été données à chaque responsable de masques de même que l’itinéraire à suivre », a expliqué M. Dayo.

Le Massa de Dédougou qui a reçu la visite des masques en premier a souhaité que cette sortie des masques soit une source de paix, de cohésion et de prospérité pour les populations.

« Pour ce premier jour, il y a environs 80 masques sorties du quartier Borakuy et de celui du chef. Nous avons 11 quartiers et durant la dizaine de jours, les masques de ces quartiers sortiront pour implorer la paix et l’entente », a dit le Massa de Dédougou.

Les sociétés de masques constituent de véritables institutions, garantes des valeurs fondamentales, qui régissent la vie quotidienne des hommes et des femmes d’un même village. Accompagnées vocalement par les griots, les cérémonies de masques mobilisent du monde et surtout la frange jeune.

Pour la réussite de la présente édition comme les éditions précédentes, les autorités coutumières travaillent en collaboration avec la municipalité afin de sensibiliser les populations à respecter les cortèges de masques.

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SB/hb/yo

Niger : découverte d’un arsenal de guerre appartenant à l’armée française

Niger : découverte d’un arsenal de guerre appartenant à l’armée française

 

Ouagadougou, 22 févr. 2024(AIB)-Les Forces de sécurité nigériennes ont découvert les 19 et 20 février 2024 à Niamey, un arsenal de guerre dans une villa auparavant occupée par des instructeurs militaires français, selon des images diffusées jeudi soir par la télévision publique nigérienne (RTN).

 

Selon le média, cet arsenal de guerre était destiné à déstabiliser le Niger.

 

Dans la villa, les Forces de sécurité nigériennes ont découvert des fusils de dernière génération, des lance-roquettes anti-char, des drones, des munitions, des grenades, des pick-up non immatriculés et des fausses plaques d’immatriculation.

 

On y trouve également un centre opérationnel de commandement, des cartes de l’Afrique de l’ouest et une carte montrant les endroits stratégiques de la capitale nigérienne.

 

Sur le tableau des instructeurs militaires français, on peut lire ceci: « La paix, on peut l’éviter ».

 

En rappel, le président Abdourahamane Tiani arrivé aux affaires en juillet 2023, a ordonné et obtenu le départ des troupes anti-terroristes françaises du Niger.

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Le SIAEL bat son plein à Komsilga: Des zébus se négocient entre 1 million et 2 millions de FCFA

Le SIAEL bat son plein à Komsilga: Des zébus se négocient entre 1 million et 2 millions de FCFA

 

Le 7e Salon international de l’agriculture et de l’élevage (SIAEL) ouvert le 20 février 2024, bat son plein à Komsilga, une commune située à la périphérie sud de Ouagadougou.

Des produits agricoles sont en exposition et des bœufs issus de l’embouche bovine.

Joseph Ouédraogo exposant de la région du Nord, 50 ans d’activités, échange son gros zébu à 2 millions de FCFA et l’autre à 1 million 50 mille FCFA.

Son collègue Moumouni Zoromé vend son animal à 1 million de FCFA.

D’autres potentialités sont à découvrir au SIAEL qui ferme ses portes le 27 février 2024.

250 exposants en provenance du Burkina Faso, du Mali, du Niger, de l’Algérie et du Maroc y sont présents.

Pour son promoteur Jean Victor Ouédraogo, après le triomphe contre le terrorisme, « le salut du Burkina Faso repose sur l’agriculture et l’élevage ».

AIB

Burkina : Des acteurs de développement se concertent pour la mise en œuvre de politiques sectorielles

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Burkina : Des acteurs de développement se concertent pour la mise en œuvre de politiques sectorielles

Ouagadougou, 22 Fév. 2024 (AIB)- Le ministre d’Etat, ministre en charge du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a présidé, jeudi, la revue annuelle 2023 du Cadre sectoriel de dialogue : « culture, tourisme, sports et loisirs (CSD-CTSL)», pour le suivi, l’évaluation et l’orientation de la mise en œuvre des politiques sectorielles.

Selon le ministre en charge du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, la revue annuelle du Cadre sectoriel de dialogue « Culture, tourisme, sports et loisir (CSD-CTSL)», constitue un dispositif de suivi de la mise en œuvre de la politique nationale de développement.

Pour lui, c’est un secteur de planification très important dans la marche du Burkina Faso et dans les objectifs de la Transition.

Le ministre d’Etat a précisé que la rencontre va permettre de faire le point avec les techniciens et les partenaires techniques et financiers des départements ministériels concernés par ce secteur de planification et de pouvoir projeter sur les actions futures jusqu’en 2026.

Le ministre Ouédraogo s’exprimait jeudi à Ouagadougou, sur la revue annuelle du cadre sectoriel de dialogue « Culture, tourisme, sports et loisir ».

« La mise en place du CSD est opérationnalisé à travers la mise en œuvre de plans d’actions sectoriels de la Transition et permet de mesurer la contribution des secteurs concernés à l’atteinte des objectifs de la politique nationale », a-t-il indiqué.

Il a expliqué que le plan d’actions du secteur de planification se fonde sur le pilier 3 de la Transition, intitulé « Refonder l’Etat et améliorer la gouvernance ».

Le premier responsable du département en charge du Tourisme a ajouté que ce secteur contribue à l’atteinte de l’objectif stratégique 4.2 à savoir « Développer un secteur industriel et artisanal compétitif, à forte valeur ajoutée et créateur d’emplois décents ».

A l’en croire, des actions sont définies telles que l’opérationnalisation de la stratégie nationale de la culture et du tourisme, l’amélioration de l’offre et de la qualité des infrastructures sportives, la pratique du sport de haut niveau et la dynamisation de la pratique des activités physiques et de loisirs.

« La présente session nous permettra d’examiner et valider le rapport de performance annuel 2023 ainsi que le Plan d’actions pour la stabilisation et le développement de notre secteur de planification », a poursuivi le ministre d’Etat.

M. Ouédraogo a assuré que le secteur de planification qui réunit le ministère des Sports, de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur sont des secteurs stratégiques.

« Nous avons de l’ambition de marquer durablement l’histoire de notre Burkina, à travers des réformes ambitieuses mais aussi à travers des actions audacieuses, de nous projeter et voir dans quelle mesure nous pouvons nous mobiliser pour que véritablement les objectifs que nous nous fixons soient atteints », a-t-il soutenu.

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HB/no/ata

La loi sur le flux migratoire donne des outils juridiques pour lutter contre le terrorisme et toute forme de menace, ministre

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La loi sur le flux migratoire donne des outils juridiques pour lutter contre le terrorisme et toute forme de menace, ministre

Ouagadougou, 22 fév. 2024 (AIB) – Le ministre en charge de la sécurité, Mahamoudou Sana, a salué l’adoption jeudi par l’assemblé législative de transition (ALT) de la loi portant conditions d’entrée et de séjour des étrangers, de sortie des nationaux et des étrangers du territoire national, estimant que cela donne plus d’outils juridiques au gouvernement pour mieux lutter efficacement contre le terrorisme et toute forme de menace.

 

« On a voulu relire cette loi pour nous donner plus d’outils juridique pour mieux lutter efficacement contre le terrorisme. Vous savez que qui parle de lutte contre le terrorisme parle également de contrôle de flux migratoire. Et cela va beaucoup contribuer en matière de lutte contre le terrorisme », a indiqué le ministre en charge de la sécurité, Mahamoudou Sana.

Le ministre en charge de la sécurité, Mahamoudou Sana, s’exprimait jeudi à l’occasion de l’adoption par l’assemblé législative de transition (ALT) de la loi portant conditions d’entrée et de séjour des étrangers, de sortie des nationaux et des étrangers du territoire national.

Pour M. Sana, le texte juridique qui encadrait les conditions de sortie, d’entrée des étrangers et des nationaux au Burkina Faso date de 1984.

Pour lui, il était temps de relire cette ordonnance afin de prendre en compte les changements « tant au niveau des menaces qu’au niveau des conventions internationales ainsi que les standards internationaux »

Selon lui, cette nouvelle renforce « un certain nombre du dispositif juridique et clarifie certains concept qui n’avait été pris en compte dans l’ordonnance 84 tel que les étrangers, les nationaux, les apatrides, les réfugiés».

Selon le commissaire de police, la nouvelle loi prendre également en compte certaines normes et standards internationaux et communautaires et permet d’actualiser et adapter « notre dispositif juridique en matière d’encadrement des entrée et sortie sur le territoire international », a-t-il ajouté.

Pour le ministre, la nouvelle prend également en compte la digitalisation de l’administration sécuritaire et et offre des moyens pour pouvoir également lutter contre toute forme de menace.

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DNK/ATA

Morcellement et vente d’espaces à Bobo-Dioulasso : Le PDS met en garde les promoteurs immobiliers

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Morcellement et vente d’espaces à Bobo-Dioulasso : Le PDS met en garde les promoteurs immobiliers

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le Président de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso, Laurent Kontogom, a rencontré le mardi 20 février 2024 à Bobo-Dioulasso, les acteurs de la promotion immobilière de la ville de Sya. Les échanges ont porté sur des mauvaises pratiques immobilières constatées sur le terrain.

Les acteurs de la promotion immobilière de la ville de Bobo-Dioulasso étaient face au Président de la délégation spéciale communale (PDS), Lorent Kontogom, le mardi 20 février 2024.

C’était lors d’une rencontre voulue par le PDS sur la question de la promotion immobilière dans la ville de Sya.

A écouter Lorent Kontogom, la rencontre s’est tenue après un constat de « mauvaises » pratiques venant de certains promoteurs immobiliers et individus.

« Nous avons fait le constat qu’il y a des agences immobilières et certains individus qui ont des droits de propriété sur certaines terres, qui s’adonnent au morcellement et à la vente de ces espaces », a-t-il affirmé.

La conséquence, selon le PDS, est la prolifération de nouveaux habitats spontanés qui pourrait compromettre l’élan actuel d’apurement du foncier.

« Notre crainte est que ces activités ne créent des habitats spontanés à perte de vue, au point qu’on ne puisse plus avoir assez d’espace pour aménager et apurer le passif du foncier », a déclaré, le premier responsable de la délégation spéciale communale de la ville de Bobo-Dioulasso.

Ces activités de promotion foncière, vis-à-vis de la nouvelle loi 008-2023/ALT portant promotion immobilière au Burkina Faso, sont illégales.

« La nouvelle loi étant rentrée en vigueur, les agréments ne sont plus en vigueur », a fait savoir Laurent Kontogom.

« Cette rencontre vise à sensibiliser les indélicats. Mais si les pratiques persistent, la commune utilisera la méthode forte. Au demeurant, nous allons prendre les dispositions avec les forces publiques, pour aller mettre ces espaces en l’état, arracher les bornes, et éventuellement les constructions qui pourraient y être», a signifié M. Kontogom.

A l’occasion, les promoteurs immobiliers ont égrené quelques préoccupations au PDS, entre autres, de la réticence de la population à acheter les maisons des structures immobilières, la présence des brebis galeuses dans le secteur et le besoin d’assainissement du secteur.

« Nous avons attiré l’attention de l’autorité de la présence parmi nous il y a des brebis galeuses », a confié le président de l’Association des promoteurs immobiliers des Hauts-Bassins, Éric Kientéga.

En marge de la rencontre, il a été annoncé que l’Office national de contrôle d’aménagement et de constructions, ouvrira son antenne prochainement à Bobo-Dioulasso.

Il vise spécifiquement à contrôler toutes les formes d’aménagements urbains et de constructions réalisées.

Agence d’information du Burkina

ASB/hb/yo

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